Les anciens appelaient l’orateur un homme de bien, habile à bien dire. […] L’orateur choisit ordinairement pour point de départ un texte de l’Écriture qui sert comme de pivot à son discours, et il le divise en plusieurs parties qu’on appelle points : il y a rarement plus de trois points. […] C’est l’éloquence des hommes d’État, appelés à gouverner ou à diriger les peuples. […] L’orateur du barreau doit connaître à fond la jurisprudence, ce qu’on appelle le droit : c’est le répertoire fondamental de la science judiciaire ; elle est renfermée dans les codes.