Ce mot représente, comme en latin, ee que les Grecs appelaient φράτις. […] C’est en ce sens que Cicéron appelle le style le meilleur artisan, le meilleur maître d’éloquence. […] Mais, peu importe, dira-t-on, que vous appeliez ton ce que d’autres appellent style ; les résultats, les préceptes seront toujours les mêmes. — Il importe beaucoup, au contraire. […] Ensuite, la distinction que je propose une fois admise, le jeune homme, à qui l’on recommande de se faire un style, ne demandera plus lequel il doit prendre, du simple, du sublime ou du tempéré ; lequel des trois constitue ce que l’on peut appeler un bon ou un mauvais style.