(se jetant aux pieds de Néron,) Me voilà prêt, Seigneur, avant que de partir, Faites percer ce cœur qui n’y peut consentir ; Appelez les cruels qui vous l’ont inspirée ; Qu’ils viennent essayer leur main mal assurée. […] Agréable et touchant, suivant la pensée de Cicéron 1, sans chercher à le paraître, il dédaigne, comme ces beautés modestes, toute parure affectée, tout ce qui s’appelle fard et ornement étranger. […] Il appelle l’évêque de Fréjus, et lui remet les destinées de son sang et de son royaume. » III.