Pour ce qui est de vous, Monsieur, ce retour serait un miracle si grand à la fois et si nuisible, qu’il n’appartiendrait qu’à Dieu de le faire, et qu’au diable de le vouloir. […] On ne sait si l’on doit sourire ou le plaindre ; il écrivait ailleurs sur lui-même : « Je le dis avec autant de vérité que de fierté : jamais, en aucun temps de ma vie, il n’appartint ni à l’intérêt ni à l’indigence de m’épanouir ou de me serrer le cœur. […] On dirait que mon cœur et ma tête n’appartient pas au même individu.