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52. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Avant sa trente-septième année, l’auteur de tant de hautes conceptions tragiques nous donnait encore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée l’une des meilleures1. […] Et qu’a fait, après tout, ce grand nombre d’années. […] Plus jeune que lui de dix-neuf années, il ne lui en survécut pas moins de vingt-cinq. […] Sa traduction, à laquelle il consacra près de six années (les deux premiers livres parurent en 1651), a été réimprimée environ quarante fois.

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