Avant sa trente-septième année, l’auteur de tant de hautes conceptions tragiques nous donnait encore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée l’une des meilleures1. […] Et qu’a fait, après tout, ce grand nombre d’années. […] Plus jeune que lui de dix-neuf années, il ne lui en survécut pas moins de vingt-cinq. […] Sa traduction, à laquelle il consacra près de six années (les deux premiers livres parurent en 1651), a été réimprimée environ quarante fois.