La Prosopopée, une des plus vives, des plus magnifiques et des plus brillantes figures de l’éloquence et de la poésie, fait parler tous les êtres, soit animés, soit insensibles, soit réels, soit imaginaires ; les morts mêmes. […] L’Apostrophe adresse directement la parole à quelque objet animé ou inanimé : À Dieu, comme on le voit dans cet endroit de l’Oraison funèbre de Turenne b, par Fléchier.