Ce que j’ai vu le jour, se retrace le soir Dans mon esprit, comme dans un miroir ; Le fracas d’une grande ville, Où chez les petits et les grands, Les passions sont le premier mobile ; Tous ces gens animés d’intérêts différents, Qui pleins de leurs projets, occupés de leurs vues, Toujours pressés, toujours courants, Roulent de toutes parts ainsi que des torrents, Et viennent inonder les rues…. […] Les immenses baleines et tous les monstres marins faisant avec leurs narines un flux et reflux de l’onde amère, sortaient à la hâte de leurs grottes profondes, pour voir la Déesse. » Voyez aussi dans l’idylle des Oiseaux par madame Deshoulières, cette peinture si riante et si animée.