L’amour cruellement éprouvé d’une sœur y maudit un frère meurtrier de son amant et libérateur de la patrie ; et, par amour pour son pays, un frère verse le sang d’une sœur qui s’est laissé emporter à des imprécations contre Rome et son vengeur. […] La grâce divine triomphera, mais non sans le secours de l’amour humain sanctifié par les lumières de la foi. […] Que cette amour m’est chère ! […] avec quel amour la Grèce vous révère ! […] Telle fuit la colombe, oubliant ses amours, À l’aspect du milan qui menace ses jours.