Ami, sois donc sa providence : Elle compte plus d’un rival ; Hélas ! […] J’ai quitté l’obscure vallée, Le toit champêtre d’un ami ; Loin des bocages de Bissy, Ma muse, à regret exilée, S’éloigne, triste et désolée, Du séjour qu’elle avait choisi. […] Il tenait sans cesse près de son cœur, comme pour le réchauffer, sa famille, son enfant, ses frères, quelques amis. […] Il était doux à toute chose, à la vie, au succès, à la souffrance ; doux à ses amis, doux à ses ennemis. »