Ajoutons qu’il vise à la certitude, veut substituer aux conjectures la vraisemblance ou la vérité, et puise toujours aux sources les plus authentiques. […] Les sages et les habiles des divers siècles ajoutent sans cesse à ce trésor commun où puise l’humanité, qui sans eux serait restée dans sa pauvreté primitive, c’est-à-dire dans son ignorance et sa faiblesse.