Il y a un air qui convient à la figure et aux talents de chaque personne : on perd toujours, quand on le quitte pour en prendre un autre. […] Ce qui fait que la plupart des petits enfants plaisent, c’est qu’ils sont encore renfermés dans cet air et ces manières que la nature leur a donnés, et qu’ils n’en connaissent point d’autres.