Adieu, je vous aimerai toute ma vie. […] Attendez-moi, aimez-moi, recevez-moi, consolez-moi, et ne me grondez pas. […] Mais il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer la société, dont tant d’hommes méchants corrompent les douceurs ; comme il faut aimer sa patrie, quelques injustices que l’on y essuie. […] Si je vous aimais moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ; mais je vous aime, et je vous gronde beaucoup. […] Il a aimé la gloire, mais n’a point dédaigné la fortune.