Ce n’est pas eux qu’on aime, c’est soi-même. […] Ne vous laissez point obséder par des esprits flatteurs et insinuants ; faites sentir que vous n’aimez ni les louanges, ni les bassesses. […] Il faut que les bons vous aiment, que les méchants vous craignent, et que tous vous estiment. […] Il aimait avec tendresse et confiance tous ceux qu’il devait aimer ; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il aimait le plus, quand ils avaient tort. […] C’est nous qui mourons : ce que nous aimons vit, et ne mourra plus.