Déjà Balzac, dans sa célèbre Lettre à Scudéri au sujet du Cid, disait prudemment : « Aristote blâme la Fleur d’Agathon, quoiqu’il dise qu’elle fût agréable et l’Œdipe peut-être n’agréoit pas, quoiqu’Aristote l’approuve.
Déjà Balzac, dans sa célèbre Lettre à Scudéri au sujet du Cid, disait prudemment : « Aristote blâme la Fleur d’Agathon, quoiqu’il dise qu’elle fût agréable et l’Œdipe peut-être n’agréoit pas, quoiqu’Aristote l’approuve.