On y fait voir l’influence de la société sur les auteurs, des auteurs sur la société : c’est proprement l’histoire des affaires de l’esprit. […] Mais, quand le moucheron terrasse le lion, c’est une autre affaire : alors l’enfant n’est plus lion, il est moucheron ; il apprend à tuer un jour, à coup d’aiguillons, ceux qu’il n’oserait attaquer de pied ferme.