Nous mentionnerons ensuite les parallèles de Corneille et de Racine, par La Bruyère et par Lamotte ; de Bossuet et de Fénelon dans l’affaire du Quiétisme, par d’Aguesseau ; de Turenne et de Condé, par Bossuet ; de Démosthènes et de Cicéron, par Fénelon ; de Richelieu et de Mazarin, par Voltaire ; du Français et de l’Anglais, par Thomas. […] On peut avoir besoin de s’entretenir avec une personne absente, de communiquer ses pensées à un parent, à un ami dont on est éloigné ; on a des relations d’amitié à cultiver, des devoirs de bienséance à remplir, des affaires à traiter, ce qui exige des lettres d’amitié, des lettres de convenance et des lettres d’affaires. […] I. — Lettres dans l’intérêt de celui qui écrit : lettres d’affaires, d’excuse, de demande, de remercîment. […] Quel est le caractère des lettres d’affaires ? Le mérite des lettres d’affaires consiste à dire clairement ce qu’il faut et rien de plus.