Soyez-vous à vous-même un sévère critique : L’ignorance toujours est prête à s’admirer. […] Rappelons aussi ces vers de Dufresny : J’admire la jeunesse et sa vivacité ! […] « Ces vers n’ont paru qu’après la mort de Boileau, et ils ne sont ni assez connus, ni assez admirés.