ignorés de nous-mêmes, qui nous font si imprudemment reculer, au moment de proclamer l’acte du plus grand dévouement, certainement inefficace, s’il n’est pas rapide et vraiment abandonné ; je dirais à ceux qui se familiarisent peut-être à l’idée de manquer aux engagements publics par la crainte de l’excès des sacrifices, par la terreur de l’impôt, je leur dirais : Qu’est-ce donc que la banqueroute, si ce n’est le plus cruel, le plus inique, le plus inégal, le plus désastreux des impôts ? […] N’est-ce donc rien dans la situation où je suis, que de n’être pas abandonné de l’univers entier ?