Rome n’a pas eu deux Cicéron, deux Horace, deux Virgile. […] L’homme bien élevé2 lira Corneille, la Fontaine, Racine et Molière, comme nos pères lisaient Horace et Virgile. […] Sans être poëte ou orateur, qui peut m’empêcher d’adorer la poésie et l’éloquence à ma manière, et de répéter bien humblement, mais du fond du cœur, ces vers si touchants de Virgile : Me verò primùm dulces ante omnia Musæ, Quarum sacra fero ingenti perculsus amore, Accipiant !