Aimer, au contraire, et préférer Racine, ah ! […] Enfin, tant aimer Racine, c’est risquer d’avoir trop, ce qu’on appelle en France le goût, et qui rend si dégoûté3.
Aimer, au contraire, et préférer Racine, ah ! […] Enfin, tant aimer Racine, c’est risquer d’avoir trop, ce qu’on appelle en France le goût, et qui rend si dégoûté3.