En France, l’éloquence politique a commencé seulement à l’ouverture des états généraux. […] Soldats, bientôt je vous ramènerai en France. […] L’empereur et les soldats, la France en perspective, la paix pour récompense, la gloire pour souvenir. […] Toute sa vie a été une épreuve continuelle de fidélité et même de dévouement pour les intérêts de la France, de haine et presque de fanatisme contre les ennemis de la France. Il est choisi à cinquante-quatre ans pour aller à six mille lieues régir les possessions de la France et détruire les possessions rivales de celles de la France.