C’est un feu que Dieu nous a confié ; nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. […] A quoi servirait l’idée d’un Dieu qui n’aurait sur vous aucun pouvoir4 ? […] Voltaire n’a pas toujours tenu un langage aussi sensé ; mais au moins faut-il reconnaître que, dans ses bons moments, il crut à un Dieu créateur et Providence. […] Or, disons bien haut que croire à Dieu, l’aimer, l’adorer et le servir est le premier, le plus naturel de nos devoirs. […] Il dit ailleurs : « Otez aux hommes l’opinion d’un Dieu rémunérateur et vengeur.