Si Dieu permet que je t’y suive. *** Jure-moi mon bonheur devant Dieu qui l’ordonne ; Je jure de mourir, moi, si tu, m’abandonne ! […] Grand Dieu ! […] Dans le temple des Juifs un instinct m’a poussée, Et d’apaiser leur Dieu j’ai conçu la pensée ; J’ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu’il soit, en deviendrait plus doux. […] En l’appui de ton Dieu tu t’étais reposé : De ton espoir frivole es-tu désabusé ?