Cependant on a vu des critiques, qui faisant un parallèle entre les deux maîtres de notre scène, n’ont pas craint de ne citer que les endroits médiocrement beaux de Corneille ; de citer les plus beaux qu’ils avaient pu trouver dans Racine, et de se prévaloir de ces exemples, pour donner la préférence à ce dernier. […] Les meilleurs modèles de critique que je connaisse en notre langue, sont les Sentiments de l’Académie sur le Cid, tragédie de Corneille, et les Réflexions critiques sur le génie d’Horace, de Despréaux et de Rousseau, par le duc de N***.