Malherbe, Corneille, Boileau, n’eurent que très peu ou n’eurent pas du tout le sentiment grec. […] Tel était le mélange des auteurs que Corneille, Racine et Boileau y coudoyaient les abbés Cassagne et Cotin. […] C’est d’ailleurs une des pièces que Molière a le plus soignées, et Boileau donna le fini aux vers qui ne l’avaient pas reçu. […] Nos vieux auteurs ne lui suffisent pas encore pour suppléer à l’indigence de la langue poétique fixée par Malherbe et par Boileau. […] Deux traits caractérisent le génie de Boileau.