Vous consolez ses maux, vous parez son bonheur ; Vous êtes ses trésors, vous êtes son honneur, L’amour de ses beaux ans, l’espoir de son vieil âge, Ses compagnons des champs, ses amis de voyage5 ; Et de paix, de vertus, d’études entouré, L’exil même avec vous est un abri sacré6. […] c’est là que l’étude ébaucha ma raison ; Là, je goûtai des arts les premières délices ; Là, mon corps se formait par de doux exercices. […] Lebrun, le Bonheur de l’étude, t.