D’avides étrangers, transportés d’allégresse, Engloutissent déjà toute cette richesse, Ces terres, ces palais, de vos noms ennoblis. […] Quel est ce langage étranger ? […] Mais comment voudraient-ils à travers les dangers, Poursuivre ma vengeance en des bords étrangers ; Eux que leur intérêt et que leur propre vie Ont à peine arrachés du sein de leur patrie ?