Il faillit gâter ainsi l’ingénuité du langage national, et les plantes étrangères qu’il avait voulu acclimater périrent faute de racines. […] Edwards, les sons è, e, étrangers au latin, seraient aussi de provenance gauloise, comme la voyelle u, dont l’usage s’est perpétué au nord de l’Italie, dans l’ancienne Gaule Transpadane ; car c’est seulement au sud du Pô que commence la prononc ation toute latine de l’ou italien. — On explique par la même origine les articulations ch et j, le son nasal des lettres m et n, enfin l’emploi des u mouillées.