de quelle âme émue J’ai revu, j’ai monté cette antique avenue Qui s’élève, en tournant, sous ses larges noyers, Jusqu’aux tours du portail, où nichaient les ramiers !
de quelle âme émue J’ai revu, j’ai monté cette antique avenue Qui s’élève, en tournant, sous ses larges noyers, Jusqu’aux tours du portail, où nichaient les ramiers !