Le dix-huitième siècle, trop livré à la frivolité et à l’égoïsme, vit ainsi plus d’un écrivain d’avenir s’éteindre dans le délaissement et la misère. […] La meilleure édition de cet écrivain est celle qui a été publiée en 1823 (par Mastrella), Paris, Dalibon, in-8° : elle est accompagnée « des corrections de l’auteur, des variantes et de remarques littéraires et historiques ».