Chaque original de son immense galerie se traduit à son insu par ce qu’il y a de plus vivant en ses écrits ; et si les traits de sa physionomie ne sont pas flatteurs, il ne doit pas en vouloir à M. […] Mais pourquoi parler toujours d’être auteur et d’écrire ? Il vient un âge, peut-être, où l’on n’écrit plus. […] On se dit, comme Voltaire dans ces vers délicieux : Jouissons, écrivons, vivons, mon cher Horace ! […] Voltaire écrivait à madame du Deffand : « Savez-vous le latin, madame ?