Si par l’étude patiente de ce que leurs paroles expriment ou cachent de sens, vous n’arrivez pas à leurs pensées, si vous ne sentez pas leur cœur dans leurs écrits, c’en est fait, vous êtes à jamais privés des douceurs de leur commerce. […] Cette solitude-là est permise1, elle est bonne ; les écrits et les exemples des sages nous apprennent que Dieu en est toujours le compagnon.