Souvent des vieux auteurs j’envahis les richesses, Plus souvent leurs écrits, aiguillons généreux, M’embrasent de leur flamme, et je crée avec eux. […] Son frère, Marie-Joseph Chénier, écrivait ces vers en réponse à des calomniateurs qui l’appelaient Caïn : Hélas ! […] ……………… O mon frère, je viens, relisant tes écrits, Chanter l’hymne funèbre à tes manes proscrits.