Une remarque m’a frappé, et j’en appelle ici aux souvenirs de tous ceux qui ont passé par les écoles publiques, c’est que l’immense majorité de ces jeunes gens éprouve une invincible répugnance pour les Manuels, Traités, Cours, et en général pour tous les écrits élémentaires sur l’art qu’ils apprennent. […] D’abord, je ne prétendais pas écrire pour ceux qui savent, mais avant tout pour ceux qui apprenuent : nos institutionem professi non solum scientibus ista, sed etiam discentibus tradimus . […] N’écrivez, ne parlez que par amour de l’art, par amour du vrai, par amour de vos semblables.