D’où il suit que l’idée marche toujours la première, et que la pensée la suit de très près ; mais que si l’idée est fugitive, si elle nous échappe, la pensée n’a point eu le temps de se former. […] C’était la voix des bons principes qui s’élevait contre celle des principes mauvais ; c’était le cri de la Rhétorique alarmée qui s’échappait de consciences bourrelées par le remords.