L’homme est en marche vers l’infini qui lui échappe toujours et que toujours il poursuit. […] La mienne, ma perfection morale, celle dont j’ai l’idée claire et le besoin invincible, et pour laquelle je me sens né, en vain je l’appelle, en vain j’y travaille ; elle m’échappe et ne me laisse que l’espérance.