« Il est accablé, il se sent lui-même anéanti, et jette des regards de désespoir sur cette ville, qu’il voit avec douleur échapper à sa rage, sur cette ville qui s’applaudit sans doute d’avoir rejeté loin d’elle le poisons qu’elle portait dans son sein ». […] Opposez d’abord à ce vieux gladiateur estropié vos consuls et vos généraux ; armez et conduisez toute la fleur et la force de l’Italie contre cette misérable poignée de gens échappés au naufrage de leurs propres fortunes.