Il donne l’idée d’un beau corps auquel l’âme fait défaut, et les artifices de son noble langage laissent le cœur indifférent. […] Voilà le style de ces grandes âmes qui méprisaient la mort comme si elles eussent eu des corps de louage et une vie empruntée. […] O mon âme, que d’honneur et de gloire ! […] Il les compare à des malades, qui rendraient l’âme, en passant d’un lit sur un autre.