oivent être la base de notre conduite ; principes qui constituent les
vertus
que nous appelons simplement morales, parce qu’el
es. Ainsi la morale de l’homme du monde consiste dans la pratique des
vertus
morales, et dans la cs. Vertus morales. L’e
monde consiste dans la pratique des vertus morales, et dans la cs.
Vertus
morales. L’estime de soi-même et l’estime des
nd bien dont l’homme du monde puisse jouir. La pratique de toutes les
vertus
morales lui procure cette jouissance délicieuse.
. Mépris et malheur à l’âme de boue, qui ne sent point le prix de ces
vertus
, le charme de cette jouissance ! La probité est l
’être toujours content de soi. Il est donc essentiel de connoître ces
vertus
morales, et d’y conformer sa conduite, pour rempl
justes, sur des notions exactes de l’utile et de l’honnête, dont les
vertus
morales sont la base et la substance. L’homme y a
ont les avis d’une telle mère, ne s’écarteront jamais du chemin de la
vertu
. Nous avons de la même dame un Traité de l’amitié
livres que je viens d’indiquer, on peut puiser le goût et l’amour des
vertus
morales, à la pratique desquelles il faut, comme
ue. Madame de la Sablière, si recommandable par son esprit et par ses
vertus
, y a répandu des maximes chrétiennes, qui respire
res, si élevées, des instructions si saines, si touchantes. Jamais la
vertu
n’a parlé un si doux langage : jamais la sagesse
lité de l’âme, celle d’un Dieu vengeur du crime et rémunérateur de la
vertu
dans une autre vie ; par conséquent le système de
d’idées profondes. L’homme y est représenté comme un être capable de
vertu
et de bonheur, dans l’état même de corruption et
. En un mot, la nature de l’homme, le principe de ses vices et de ses
vertus
, les motifs qui peuvent le déterminer dans ses ac
onfiance de Louis, dauphin de France, père de LI. Ce prince, dont les
vertus
sublimes et le mérite rare ne furent connus qu’ap
emment ; le livre le plus capable de nous faire aimer et pratiquer la
vertu
, est l’Imitation de Jésus-Christ ; livre admirabl
lève, à n’être pas retenu par une fausse honte dans la pratique de la
vertu
. Votre respect, votre amour sincère pour la relig
libertins se sentent forcés de le respecter. Vous savez trop que les
vertus
du christianisme, loin d’être incompatibles avec
é. Mais qu’on joigne sur-tout à ces qualités de l’homme du monde, les
vertus
du vrai chrétien ; et l’on aura l’homme parfait,
utte aussi à la haine des empereurs, des hommes d’une morale et d’une
vertu
sublimes, que la cruauté des tyrans n’épargnait p
Jupiter Libérateur ! Vous mourez, satisfait de sortir d’une vie où la
vertu
n’a rien à faire qu’à s’envelopper de sa majesté
ne vous en inquiétez pas non plus : vous êtes autant qu’eux, et votre
vertu
vous en fait l’égal. Stoïcien, ce n’est point pou
eigné : il a la foi, et, tandis que vous désespérez de l’avenir de la
vertu
, tandis que vous vous passez votre sagesse de mai
donc pour être chrétienne ? Il lui manque le zèle du prosélytisme. La
vertu
du stoïcien est une sorte d’égoïsme aristocratiqu
que, dans nos actions, nous poursuivions l’idée d’un bonheur et d’une
vertu
que nous ne pouvons pas atteindre, soit que, seul
agérés et faux ; ce sont des aventures qu’on ne rencontre jamais, des
vertus
qui ne sont pas de ce monde, et des vices aussi e
i ne sont pas de ce monde, et des vices aussi extraordinaires que les
vertus
. Et pourtant nous aimons les romans. Les romans o
ue le vice a pris des allures fières et hautaines qui déconcertent la
vertu
, cette manie de mettre le grand dans l’horrible,
des milliers d’Épictète qui ne savent pas qu’ils le sont, et dont la
vertu
est poussée jusqu’à ignorer leur vertu même. Elle
pas qu’ils le sont, et dont la vertu est poussée jusqu’à ignorer leur
vertu
même. Elle nous soutient surtout dans le malheur,
ar ses défauts autant que par ses rares qualités. La gloire et la
vertu
La paix et l’affection ne sont pas le terme o
ix et l’affection ne sont pas le terme où s’arrête l’efficacité de la
vertu
agissant sur l’âme et y créant son règne. Elle ap
tains que la gloire, et une gloire éternelle, est la récompense de la
vertu
. Et saint Paul, parlant aux premiers chrétiens dé
, et en jouit. Elle la sent inaltérable, et pourtant dépendante de la
vertu
, qui en est le principe, et qui elle-même dépend
nous exalte d’autant plus qu’elle est moins méritée. La gloire de la
vertu
n’est pas seulement intérieure, elle sort de l’âm
a mort tranquille de Sylla n’insulte plus au sang de ses victimes. La
vertu
seule continue son règne au travers des âges, et
ller à quelque chose d’éternel ; et nous l’avons. Nous l’avons par la
vertu
. Ouvriers d’une œuvre commencée par Dieu, nous y
cette autre puissance qui ne souffre jamais impunément d’éclipse, la
vertu
. Dès ses jeunes années, le fils du patricien, c’e
ns qu’on y lise une pensée, et son cœur battra sans qu’on y sente une
vertu
. Heureusement la Providence de la parole le couvr
fense, ni une épée, ni un drapeau. L’idée lui manque, et avec elle la
vertu
, le progrès, l’histoire, la stabilité. Mais voici
ui paraît sans être, bientôt disparaît ; mais tout ce qui est, par la
vertu
de sa nature, paraît tôt ou tard. La gloire est p
s discours que l’on y tient sont-ils propres à inspirer l’amour de la
vertu
? Hélas ! l’on n’y entend que des maximes pernici
ance, le luxe, la volupté, le désir insatiable d’accumuler, voilà les
vertus
que le monde connaît et estime, voilà les vertus
accumuler, voilà les vertus que le monde connaît et estime, voilà les
vertus
auxquelles il porte ses partisans. Pour les vertu
estime, voilà les vertus auxquelles il porte ses partisans. Pour les
vertus
de l’Évangile, la fuite des plaisirs et des honne
honneurs, l’humilité, la mortification, le mépris des richesses, ces
vertus
par lesquelles seules nous pouvons arriver au roy
vaient de l’humanité ; ils connaissaient la justice ; ils aimaient la
vertu
. Ils travaillaient avec une sollicitude commune p
tueuses mains. Toute leur attention était d’élever leurs enfants à la
vertu
. Ils leur représentaient sans cesse les malheurs
t commun ; que vouloir s’en séparer, c’est vouloir se perdre ; que la
vertu
n’est point une chose qui doive nous coûter ; qu’
x mariages : le nombre augmenta, l’union fut toujours la même ; et la
vertu
, bien loin de s’affaiblir dans la multitude, fut
ntaient les injustices des premiers Troglodites et leurs malheurs, la
vertu
renaissante avec un nouveau peuple et sa félicité
mort particulière à venger. Tel fut le combat de l’injustice et de la
vertu
. Ces peuples lâches, qui ne cherchaient que le bu
aient que le butin, n’eurent pas honte de fuir ; et ils cédèrent à la
vertu
des Troglodites, même sans en être touchés. Comme
ous les yeux sur un vieillard vénérable par son âge et par une longue
vertu
. Il n’avait pas voulu se trouver à cette assemblé
’une voix sévère : « Je vois bien ce que c’est, ô Troglodites ! votre
vertu
commence à vous peser. Dans l’état où vous êtes,
itiez de tomber dans les grands crimes, vous n’aurez pas besoin de la
vertu
. » Il s’arrêta un moment, et ses larmes coulèrent
blia ses actions criminelles, pour se souvenir de son respect pour la
vertu
; de sorte qu’elles furent considérées plutôt com
nos passions, il les regarda comme des forces qu’on peut tourner à la
vertu
, et crut trop à la bonté originelle de notre natu
lecture touchante ; j’en étais fou dans mon enfance ; le génie et la
vertu
ne sont nulle part mieux peints ; l’on y peut pre
; là, brille en pleine lumière la force de la nature ; là, paraît la
vertu
sans bornes, le plaisir sans infamie, l’esprit sa
fus deux ans comme cela, et puis je dis à mon tour, comme Brutus : O
vertu
, tu n’es qu’un fantôme ! Cependant, cet aimable s
’es qu’un fantôme ! Cependant, cet aimable stoïcien, que sa constante
vertu
, son génie, son humanité, son inflexible courage
sur la faiblesse de sa mort : c’est une extrême pitié de voir tant de
vertu
, tant de force et de grandeur d’âme vaincues, en
faveur du monde et les récompenses des princes1. Clazomène ou la
vertu
malheureuse Clazomène a eu l’expérience de to
pas laisser assez de bien pour payer ses dettes, il n’a pu sauver sa
vertu
de cette tache. Si l’on cherche quelque raison d’
lus aimables, je remercie à genoux la nature de ce qu’elle a fait des
vertus
indépendantes du bonheur, et des lumières que l’a
ants. » « Les premiers jours du printemps ont moins de grâce que la
vertu
naissante d’un jeune homme. » « La servitude ab
ce Cours, l’intention bien prononcée de ramener les jeunes gens à la
vertu
, en les rappelant à l’étude et a l’admiration du
t de leur prouver qu’il ne peut y avoir ni génie, ni sensibilité sans
vertus
, comme il ne peut y avoir rien de solide dans le
le talent, sans les mœurs et la conduite. Les anciens, nos modèles en
vertus
, comme ils furent nos maîtres dans tous les arts
us d’attention encore et de sollicitude à ouvrir son âme à toutes les
vertus
, persuadé avec raison qu’il en fera aisément un o
ent d’avance pratiqué eux-mêmes, et que tout ce qu’ils disaient de la
vertu
n’était que le tableau de leurs pensées, et l’his
rd indispensable et constant chez les véritables grands hommes, de la
vertu
et de l’éloquence, des mœurs et des talents. 1.
une et y restai trop peu, pour profiter, comme je l’eusse désiré, des
vertus
et des lumières que réunissait ce corps généralem
ien, habile à bien dire. Ils montraient, par cette définition, que la
vertu
est inséparable de la vraie éloquence : c’est une
. Un homme vicieux et hypocrite, qui voudrait singer le langage de la
vertu
, se trahirait bien vite derrière son masque. N’ou
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » § II. Rhétorique. L’étude de l’éloquenc
uelque chose d’auguste et de solennel. Ministre de la vérité et de la
vertu
, il a à combattre de puissants ennemis : d’un côt
simple, onctueuse et persuasive, quand elle expose les douceurs de la
vertu
, les miracles de la charité, les miséricordes de
yrique sacré est l’éloge d’un saint ; il a pour objet de célébrer les
vertus
des pieux héros que l’Église honore d’un culte pa
urs a un double but : il fait ressortir la grandeur, les talents, les
vertus
du personnage qu’il célèbre, en le proposant à l’
toute la vie du personnage à la nécessité de pratiquer la piété et la
vertu
. Le nom de Bossuet est inséparable de l’oraison f
, parce qu’elle est l’instrument de la justice, de la vérité et de la
vertu
; elle parle le langage du bon sens et de la sage
ral d’inspirer aux vivants le respect des morts, et de proposer leurs
vertus
comme exemple. On le trouve en usage chez les Égy
Te nomme grandeur de courage, Valeur, prudence, fermeté. Du titre de
vertu
suprême Il dépouille la vertu même, Pour le vice
Valeur, prudence, fermeté. Du titre de vertu suprême Il dépouille la
vertu
même, Pour le vice que tu chéris : Et toujours se
e le sort remporte pour eux ; Et que, devant ses yeux stoïques, Leurs
vertus
les plus héroïques Ne sont que des crimes heureux
’admirerai dans Alexandre1 Ce que j’abhorre en Attila ? J’appellerai
vertu
guerrière Une vaillance meurtrière Qui dans mon s
rons de tels exploits ! Est-ce donc le malheur des hommes Qui fait la
vertu
des grands rois ? Leur gloire, féconde en ruines,
loire ne soit qu’à lui ! C’est un roi que l’équité guide, Et dont les
vertus
sont l’appui ; Qui, prenant Titus pour modèle, Du
fit oublier ses fureurs. Montrez-nous, guerriers magnanimes, Votre
vertu
dans tout son jour : Voyons comment vos cœurs sub
masque tombe, l’homme reste, Et le héros s’évanouit1. L’effort d’une
vertu
commune Suffit pour faire un conquérant : Celui q
tomber son orgueil, bien plus qu’il ne fut victime de son inflexible
vertu
, comme il l’a dit dans son ode à la Postérité (IV
romu aux évêchés de Lavaur et de Nîmes, il honora l’épiscopat par ses
vertus
, comme il avait charmé les salons par ses agrémen
e les découvre, je suis peut-être peu discret ; si je vous expose ses
vertus
, je serai suspect ou de trop d’amitié, ou de trop
igués contre lui des déplaisirs mortels, et réjouissait Jacob par ses
vertus
et par ses exploits, dont la mémoire doit être ét
du héros dont parle l’Écriture, celui dont je viens vous parler ? La
vertu
et le malheur de l’un et de l’autre sont semblabl
hi mon discours de ces images vives et naturelles qui représentent la
vertu
, et qui la persuadent tout ensemble, de combien d
eur d’avoir une femme et des enfants qui connaissent et qui aiment la
vertu
et la solide religion. Je leur écris cette lettre
plus l’orgueil du Capitole, Et les peuples instruits, charmés de tes
vertus
, Adorent ta grandeur, et ne la craignent plus.
gloire de savoir et de dire quelque particularité de sa vie et de ses
vertus
. L’un disait qu’il était aimé de tout le monde sa
cet illustre mort, est le plus grand et le plus glorieux éloge de sa
vertu
. Les peuples répondirent à la douleur de leur pri
ain de la chute des Burgraves. Cette étude sérieuse et habile, où des
vertus
fières parlaient un langage parfois cornélien, se
st moins grande. Moi, je commande ici, comme lui dans son camp, Et ma
vertu
doit être au niveau de mon rang. La vertu que cho
me lui dans son camp, Et ma vertu doit être au niveau de mon rang. La
vertu
que choisit la mère de famille, C’est d’être la p
ine. » Les doigts laborieux rendent l’esprit plus fort, Tandis que la
vertu
dans les loisirs s’endort. Aussi, celle qui prend
ve en ce relâchement, Et, de notre déclin signe plus alarmant ! Cette
vertu
qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de
’avoir tant combattu. A quoi bon les efforts du patriote austère ? La
vertu
fut toujours trop rare sur la terre, Et l’on se d
oreux dont les lignes ondoient, Et que tous ces grands mots, bonheur,
vertu
, raison, Dont la demi-lueur flotte sur l’horizon,
rtels destins que Dieu nous a promis. — Je sais aussi, je sais que la
vertu
succombe ; Le chemin du devoir est celui de la to
u milieu de ses esclaves, et leur donnant l’exemple du travail et des
vertus
austères ! Comme elle est bien la digne épouse du
n est heureusement inspiré. Personne n’a peint avec plus de charme la
vertu
de Lucrèce, et, pour mieux faire son tableau, il
arle comme un Caton, en vrai Romain, ennemi du luxe, épris des fortes
vertus
. 2. Les révolutions sont des crises qui renouvel
oin de mœurs privées et publiques, de discipline, de dévouement et de
vertus
. 1. C’est le rhéteur qui parle. 2. Ou sait que
ichesses de la plus magnifique éloquence. La scie n ce des armes, les
vertus
guerrières, la réputation et le bonheur, telles s
33). Des talents militaires de Pompée, Cicéron passe à l’éloge de ses
vertus
domestiques. 93 « Jàm verò ita faciles aditus a
César : n’est-ce pas là le langage d’un homme également sensible aux
vertus
de César et aux intérêts de la patrie, et qui ren
tête d’une pareille guerre ! Mais puisque Pompée est le seul dont la
vertu
ait effacé la gloire des plus grands capitaines d
alancer dans une circonstance aussi importante ! » Science des armes,
vertus
guerrières, réputation et bonheur : voilà ce qui,
itaire qui ait pu échapper à ses connaissances ». 91. « Quant à ses
vertus
guerrières, quel discours pourrait les célébrer c
e Pompée, ou nouveau pour vous, ou inconnu pour qui que ce soit ? Les
vertus
d’un grand général ne se bornent pas à celles qu’
ns l’action, sagesse dans les mesures, promptitude dans l’exécution ;
vertus
que Pompée réunit seul dans un plus haut degré qu
qui réunit à une connaissance profonde de l’art militaire, toutes les
vertus
d’un guerrier, une brillante réputation, et le bo
n trait de clémence, d’humanité, de justice ou de modération ; si ces
vertus
se sont signalées surtout dans la colère, ennemie
de périls, que de ressources ! Vit-on jamais en deux hommes les mêmes
vertus
, avec des caractères si divers, pour ne pas dire
nnocence même, qui répare avantageusement un peu de fragilité par des
vertus
extraordinaires, et par une ferveur continuelle »
a faiblesse d’un moment, quand on lui peut opposer une vie entière de
vertus
. « On ressentait dans ses paroles (du grand Cond
ntenant, avec Bossuet, dans sa retraite de Chantilly. « Avec lui, la
vertu
eut toujours son prix ; il la louait même dans se
près les combats et le tumulte des armes, de savoir encore goûter ces
vertus
paisibles et cette gloire tranquille qu’on n’a po
e respect, et qui est le fruit le plus doux et le plus innocent de la
vertu
héroïque : toutes ces choses, si propres à faire
qui le suivent : tout seul qu’il est, on se figure autour de lui ses
vertus
et ses victoires qui l’accompagnent. Il y a je ne
ans tous les traités : Il faut aimer ce qui nous rend heureux, Or la
Vertu
nous rend heureux, Donc il faut aimer la Vertu.
us rend heureux, Or la Vertu nous rend heureux, Donc il faut aimer la
Vertu
. Aimer… vertu… sont les deux termes dont vous c
Or la Vertu nous rend heureux, Donc il faut aimer la Vertu. Aimer…
vertu
… sont les deux termes dont vous cherchez le rappo
dire dogmatiquement : Il faut aimer ce qui nous rend heureux, Or la
Vertu
, etc. Il dit : La Vertu nous rend heureux, Il f
faut aimer ce qui nous rend heureux, Or la Vertu, etc. Il dit : La
Vertu
nous rend heureux, Il faut aimer la Vertu. Rédu
a Vertu, etc. Il dit : La Vertu nous rend heureux, Il faut aimer la
Vertu
. Réduit à ces deux propositions, le syllogisme
ntègre. Critiquez-vous les vices de la civilisation, vous chantez les
vertus
des âges primitifs. Voyez dans Rousseau (Discours
celui qui vante la sagesse, mais celui qui la cultive ; il n’a pas la
vertu
sur les lèvres, mais dans le cœur, etc. 7° Les
ur n’est pas dans la satisfaction de tous nos désirs ; il est dans la
vertu
, dans la pratique du devoir ici-bas, et dans la r
la pratique du devoir ici-bas, et dans la récompense éternelle de la
vertu
après la mort. Les passions en littérature, c’est
eux précédentes. Supposons que je veuille prouver qu’il faut aimer la
vertu
; j’établis d’abord cette vérité générale, que pe
en rapproche ensuite une autre vérité également incontestable : or la
vertu
nous rend heureux ; et j’en tire la conclusion na
a conclusion naturelle, qu’il fallait prouver : donc il faut aimer la
vertu
. La première proposition se nomme majeure, la sec
semblance ou d’opposition. Ainsi : votre père s’est distingué par ses
vertus
, donc vous devez marcher sur ses traces. Votre fr
e dans Molière : Pourquoi l’opium fait-il dormir ? Parce qu’il a une
vertu
dormitive. Le cercle vicieux rentre dans la pét
té de tous les deux ; il instruit en badinant, persuade aux hommes la
vertu
par l’organe des bêtes, élève les petits objets j
té, un Père de l’Église ! Que n’est-il point ? Nommez, messieurs, une
vertu
qui ne soit pas la sienne. Toucherai-je aussi vot
tres, pleins de hauteur et de confiance avec ceux qui n’ont que de la
vertu
, muets et embarrassés avec les savants ; vifs, ha
opre de ce vice, qui n’est fondé ni sur le mérite personnel ni sur la
vertu
, mais sur les richesses, les postes, le crédit, e
les exciterait à l’émulation, au désir de la gloire, à l’amour de la
vertu
; qui, au lieu de courtisans vils, inquiets, inut
pable de le tenter est cette sorte de gloire qui devrait naître de la
vertu
toute pure et toute simple ; mais les hommes ne l
er, par son autorité et par son exemple, du crédit à la piété et à la
vertu
; protéger l’Église, ses ministres, ses droits, s
a bonne intelligence est redoutable au reste du monde. Ces admirables
vertus
me semblent renfermées dans l’idée du souverain.
ctrine ! quelle raison éminente ! quelle candeur, quelle innocence de
vertu
! quelle force invincible et accablante des témoi
La Bruyère se souvient d’Horace, qui disait : « Je m’enveloppe de ma
vertu
. » 2. Cordon bleu, ruban bleu porté par les ch
sienne ; mais pour lui c’est le premier pas de sa course. » 4. Sa
vertu
, sens latin. Sais-tu que ce vieillard fut la mêm
» 4. Sa vertu, sens latin. Sais-tu que ce vieillard fut la même
vertu
, La vaillance et l’honneur de son temps ?… (Corne
éments. 2. Cheminer, faire son chemin. « Voyez dans quel sentier la
vertu
chemine. »(Bossuet, Oraison sunèbre de la reine d
i, tout grands que vous êtes, vous ne faites que succéder. Ayez de la
vertu
et de l’humanité ; et si vous me dites : Qu’auron
: Qu’aurons nous de plus ? je vous répondrai : De l’humanité et de la
vertu
. Maîtres alors de l’avenir, et indépendants d’une
érités du siècle3, n’en a point eu à ses corruptions ; un homme d’une
vertu
antique et nouvelle, qui a su joindre la politess
es et des complaisances humaines, et qui, toujours prêt à donner à la
vertu
les louanges qui lui sont dues, a fait craindre à
e que je hais. Ne dissimule pas mes défauts, et ne m’attribue pas mes
vertus
; loue seulement la miséricorde de Dieu qui a vou
les autres… » On lui dit mille fois que la franchise n’était pas une
vertu
de la cour ; que la vérité n’y faisait que des en
cun travaille à cacher de véritables défauts ou à produire de fausses
vertus
; ces airs mystérieux qu’on se donne pour couvrir
: tout cet esprit de dissimulation et d’imposture ne convint pas à sa
vertu
. Ne pouvant s’autoriser encore contre l’usage, il
L’envie est une passion désordonnée qui ne peut souffrir ni grâce ni
vertu
dans les âmes : il n’y a point d’autorité, point
seul orateur, je croirais suffisant de décerner aux citoyens que des
vertus
réelles ont rendus recommandables, des honneurs n
leur dit que la louange est exagérée. L’homme supporte l’éloge de la
vertu
d’autrui, tant qu’il se croit au niveau des belle
dis à la gloire de la république, à qui le devons-nous, sinon à leurs
vertus
et à celles de leurs semblables ? » Sur quelque c
u’ils ont affrontée pour la patrie, me semble placer au grand jour la
vertu
de chacun d’eux. C’est par la mort qu’il faut com
mais jamais ils ne crurent qu’un revers dût priver la patrie de leur
vertu
. Aussi lui ont-ils payé la plus magnifique des co
ns la même lice ; en effet la république qui honore magnifiquement la
vertu
, doit être aussi la patrie des cœurs vertueux. Al
orateur proprement dit. 4. D’après Quintilien et tous les anciens, la
vertu
est une condition nécessaire à l’éloquence. Caton
ole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et pour la
vertu
. » 5. Quelques rhéteurs modernes prétendent qu’o
leur colère contre les crimes de Clodius et leur admiration pour les
vertus
de Milon. C’est au discernement de l’orateur à lu
enferme plusieurs idées particulières qu’on appelle espèces. Ainsi la
vertu
peut être considérée comme genre : la tempérance
nre : la tempérance et la justice seront des espèces par rapport à la
vertu
prise en général. Comme l’espèce est contenue dan
onvient pas nécessairement au genre. On dira donc : Il faut aimer la
vertu
, Donc il faut aimer la justice. — Il faut haïr
chez les chrétiens les mœurs sont innocentes, Les vices détestés, les
vertus
florissantes ; Ils font des vœux pour nous qui le
celui qui vante la sagesse, mais celui qui la cultive ; il n’a pas la
vertu
sur les lèvres, mais dans le cœur. 37. Les répug
aractère d’une personne. Racine fait dire à Hippolyte : Ainsi que la
vertu
le crime a ses degrés, Et jamais on n’a vu la tim
l’orateur rappelle sans cesse, comme Démosthènes, les exemples et les
vertus
des ancêtres ; au barreau, il cherche des causes
qui chaque jour la tribune et le théâtre offrent des souvenirs de la
vertu
de vos ancêtres, vous pussiez être assez pusillan
s. En voici un exemple : Ce qui nous rend heureux est aimable : Or la
vertu
nous rend heureux, Donc la vertu est aimable. 60.
ous rend heureux est aimable : Or la vertu nous rend heureux, Donc la
vertu
est aimable. 60. Tout syllogisme se compose néces
d et le petit terme. Dans l’exemple cité, aimable est le grand terme,
vertu
est le petit terme, nous rend heureux est le moye
ureux est le moyen terme. Dans les premières propositions, aimable et
vertu
sont comparés successivement au moyen terme nous
rit peut aisément suppléer. Ainsi l’on dira dans l’exemple cité : La
vertu
nous rend heureux, Donc la vertu est aimable ; o
l’on dira dans l’exemple cité : La vertu nous rend heureux, Donc la
vertu
est aimable ; ou bien : Ce qui nous rend heureu
t aimable ; ou bien : Ce qui nous rend heureux est aimable, Donc la
vertu
est aimable. Dans l’enthymème, la première propo
t de majeure au second. Ce qui nous rend heureux est aimable, Or, la
vertu
nous rend heureux, Donc la vertu est aimable ; Or
ous rend heureux est aimable, Or, la vertu nous rend heureux, Donc la
vertu
est aimable ; Or la justice est une vertu, Donc l
nous rend heureux, Donc la vertu est aimable ; Or la justice est une
vertu
, Donc la justice est aimable. 66. Le sorite (σωρ
uel forfait trouvez-vous en sa bonne conduite ? Horace. Quel éclat de
vertu
trouvez-vous en sa fuite ? Valère. La fuite est g
ce pour bien remplir un emploi : en outre, ils peuvent avoir assez de
vertu
pour rapporter à Dieu la gloire de leurs succès.
r mœurs, en général, les habitudes bonnes ou mauvaises qui forment la
vertu
ou le vice. L’homme vertueux est celui qui a de b
action doivent être l’expression fidèle de ses bonnes mœurs ou de ses
vertus
. L’imitation qu’il voudrait faire des vertus qui
s bonnes mœurs ou de ses vertus. L’imitation qu’il voudrait faire des
vertus
qui lui sont étrangères ne serait que mensonge et
i trouve toujours son modèle en lui-même, et qui, pour faire aimer la
vertu
, n’a qu’à peindre son propre cœur ! 91. Les princ
imer la vertu, n’a qu’à peindre son propre cœur ! 91. Les principales
vertus
ou qualités morales qui conviennent à l’orateur,
on et Quintilien établissent en divers endroits la nécessité de cette
vertu
. Il importe beaucoup, en effet, qu’on regarde l’o
l paraît s’oublier soi-même pour ne s’occuper que de son sujet. Cette
vertu
plaît à tout le monde, tandis que la présomption
ait celui qui aurait tout ensemble et le plus de talent et le plus de
vertu
. Cicéron, que nous ne prétendons pas citer comme
e vertu. Cicéron, que nous ne prétendons pas citer comme un modèle de
vertu
, répond cependant avec beaucoup d’adresse aux rep
t pour ses bienfaiteurs. Je souhaite, dit-il, de posséder toutes les
vertus
: mais il n’en est aucune dont je sois si jaloux
cune dont je sois si jaloux que de la reconnaissance. En effet, cette
vertu
est non seulement la plus grande, mais la mère de
u est non seulement la plus grande, mais la mère de toutes les autres
vertus
. Quant à moi, je ne trouve rien de si digne de l’
genre. (Discours pour Plancius.) 97. Pour montrer qu’il possède ces
vertus
, l’orateur se gardera bien de le dire en termes f
ls. Qu’il soit vraiment probe, prudent, bienveillant et modeste : ces
vertus
prêteront du charme à ses discours et viendront d
tte peinture. (Voir le nº viii.) Massillon exhorte au travail et à la
vertu
des prêtres vénérables qui ont blanchi dans le sa
bienséances et les précautions oratoires. Quand l’orateur possède les
vertus
que nous avons indiquées, quand il connaît et res
n instrument indifférent par lui-même et qui emprunte sa malice ou sa
vertu
de l’usage qu’on en fait. Nous avons dit qu’avant
t user de tous les ressorts pour maintenir et venger les droits de la
vertu
. Quand l’orateur est convaincu d’une vérité ou ép
éveloppe par l’étude, par la réflexion et surtout par la pratique des
vertus
chrétiennes. Montrez-vous sensibles à tout ce qui
sez-vous toucher de bonne heure par les charmes de la vérité et de la
vertu
, par les merveilles de la nature, par le spectacl
uffrir. Vous produirez surtout une impression profonde en montrant la
vertu
malheureuse et opprimée. 146. Il arrive souvent q
rer ; il est un monde qui vous regrette, et c’est un monde, ami de la
vertu
, que je dois consoler. Voilà ce qu’on attend de m
e, c’est l’étui de la science. 268. Une bonne mémoire doit avoir deux
vertus
: recevoir promptement et sans peine les choses q
ications naturelles, et de pressantes exhortations à la piété et à la
vertu
. Article troisième. Du sermon34. 331. Le se
enfin une invocation à Dieu ou aux saints pour obtenir la grâce ou la
vertu
dont il s’agit. Ces quatre parties ne se rencontr
ions où ils se sont trouvés, de leurs actions principales et de leurs
vertus
les plus éminentes, des intentions qu’ils ont eue
gé, et faire comprendre aux fidèles que la sainteté consiste dans les
vertus
communes et dans cette piété uniforme et constant
me morale consiste à diviser le panégyrique d’après les deux ou trois
vertus
principales qui ont brillé dans le saint et qui f
l’or. L’accomplissement de ce devoir suppose une âme énergique et une
vertu
courageuse ; avec ces qualités, l’orateur s’élève
ni la sensibilité des Athéniens ; longtemps ils n’estimèrent que les
vertus
guerrières, et la soif des conquêtes sembla les o
récit remplit l’âme d’horreur pour le crime et d’enthousiasme pour la
vertu
, son histoire est vraiment éloquente. Dans ce gen
lle a pour but de procurer le bonheur des empires par la vérité et la
vertu
; mais souvent elle détruit au lieu d’édifier, el
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. Un homme qui a l’âme forte et grande, avec une g
dévouement à la religion et à la patrie, touchante piété, toutes les
vertus
, tous les nobles sentiments qui conviennent à un
(des Charlemagne et des saint Louis) ; puissiez-vous l’être de leurs
vertus
! puissent ces grands modèles revivre en vous par
fermer à tant de vœux les entrailles de votre miséricorde ? Dieu des
vertus
, tournez-vous donc vers nous : Deus virtutum, con
l’Europe entière envie plus notre bonheur et soit plus touchée de ses
vertus
, qu’elle ne soit jalouse de ses conquêtes et de s
sentent ; car le raisonnement conduit à l’intérêt, le sentiment à la
vertu
. S’ils font du mal, c’est plutôt pour nuire que p
nnocence même, qui répare avantageusement un peu de fragilité par des
vertus
extraordinaires et par une faveur continuelle. Qu
igués contre lui des déplaisirs mortels, et réjouissait Jacob par ses
vertus
et par ses exploits dont la mémoire doit être éte
n’avons ni les talents, ni le profond savoir, ni sans doute aussi les
vertus
de ceux qui ont prêché la parole de Dieu avec tan
s hommes qui, sans lui rien ôter de sa simplicité auguste et de cette
vertu
qu’elle tire de l’humilité de la croix, savaient
rs vous être un cher entretien ! ainsi, puissiez-vous profiter de ses
vertus
, et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
rince, de cette victoire : jouissez-en éternellement par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
est le cœur qui croit, corde creditur ; c’est le cœur qui enfante les
vertus
, c’est le cœur que Dieu demande. Mais pour parler
puis, qu’elle relève l’homme, l’embrasse et l’emporte avec elle, à la
vertu
, au bonheur, au ciel. (L’abbé Mullois.) XXIII
lui, soit devant Dieu, soit devant les hommes. 3e membre. Les hautes
vertus
de tous les grands hommes, de tous les héros chré
son terme, on porte toujours avec soi le sentiment impérissable de la
vertu
et du péché. Le mal moral porte toujours le mal,
se qui la donne. C’est justement parce qu’on a reçu quelquefois cette
vertu
d’en haut qui nous rend supérieurs à nous-mêmes,
en lui ; sa parole est vraiment inspirée ; l’homme disparaît dans la
vertu
de Dieu, qui se manifeste par son organe, et c’es
a parole de Dieu, rappelez-vous que, là plus que partout ailleurs, la
vertu
est dans le désintéressement et la puissance dans
scène s’exécute. Je le respecte, cet enfant, son âge, sa candeur, les
vertus
dont ses traits offrent le présage. Je n’ai pu, s
le je serais réduit. Croyez que je lui dirais : « Votre père a eu des
vertus
, votre père a eu des époques glorieuses dans sa v
! Oui, vous avez un fils, et il est toujours le même ; pénétré de vos
vertus
, et brûlant de les imiter, convaincu de votre inn
ans les proclamations, bulletins et ordres du jour de Napoléon, de la
vertu
militaire, l’art de l’orateur et le sens profond
jours, même aux yeux d’un public corrompu, de l’autorité que la seule
vertu
donne à l’éloquence. Il dit, en gémissant de ses
e son règne et les ignominies dont sa fin fut abreuvée ; devant cette
vertu
charmante, ce bon sens si aimable et si méconnu,
urs modernes entendent-ils le mot éloquence dans le même sens ? 4. La
vertu
est-elle une condition nécessaire à l’éloquence ?
r doit-il être réellement vertueux ? 91. Quelles sont les principales
vertus
nécessaires à l’orateur ? 92. En quoi consiste la
quoi consiste la modestie, et quelle est sa nécessité ? 96. Outre ces
vertus
, ne faut-il pas d’autres qualités particulières a
circonstances ? 97. Comment l’orateur montrera-t-il qu’il possède ces
vertus
? 98. En quoi consistent les mœurs considérées da
a mémoire, et quels en sont les avantages ? 268. Quelle est la double
vertu
de la mémoire, et comment peut-elle être fécondée
9. Quel doit être le style de l’avocat ? 380. Qu’exige de l’avocat la
vertu
de probité ? 381. Que demande la bonne foi dans l
affreux désordre les personnes même les plus résolues à pratiquer la
vertu
, et les plus remplies d’horreur pour le vice. La
pour faire le contre-poids des mauvaises passions, et pour rendre la
vertu
aimable. Je voudrais qu’un orateur se préparât lo
t, et les nourriciers de l’Église dont ils versaient le sang. Mais la
vertu
de l’Évangile ne doit pas s’éteindre après ces pr
s, tout dépravés qu’ils sont, n’ont point encore osé donner le nom de
vertu
au vice, et qu’ils sont réduits à faire semblant
udente des hommes. Après tant de siècles de règne effréné du vice, la
vertu
est encore nommée vertu ; et elle ne peut être dé
tant de siècles de règne effréné du vice, la vertu est encore nommée
vertu
; et elle ne peut être dépossédée de son nom par
ert. Ainsi, malgré toute son impudence, il rend un hommage forcé à la
vertu
, en voulant se parer de ce qu’elle a de plus beau
x philanthropes est traître et tyrannique ; ils promettent toutes les
vertus
de la société, et ils ne font de la société qu’un
jusqu’au bout du monde : d’ordinaire il demeure modeste et reculé. La
vertu
ne perce point la foule ; elle n’a ni avidité ni
observation de petites formalités ; il consiste pour chacun dans les
vertus
propres à son état. Un grand prince ne doit pas s
ieux faire que de ramener tout à cette règle. Soyez l’héritier de ses
vertus
avant que de l’être de sa couronne. Invoquez-le a
et les mêmes talents, comme les plantes ont eu le même suc et la même
vertu
; mais j’estime que les Siciliens, par exemple, s
ons et heureux, c’est l’idéal plus que la réalité. 3. La vérité, la
vertu
. C’est une de ces formules définitives qu’il faut
se piquer d’être raisonnable, mais non pas d’avoir raison. 1. Les
vertus
rendent constamment heureux ceux qui les ont. Ell
onsolation ! La plaie est horrible, mais la main du consolateur a une
vertu
toute-puissante. Non, il n’y a que les sens et l’
e couvert de tout l’opprobre du crime et digne de tous les prix de la
vertu
, il peint trait pour trait Jésus-Christ ; la ress
obre avant que Socrate eût loué la sobriété ; avant qu’il eût loué la
vertu
, la Grèce abondait en hommes vertueux. Mais où Jé
us haute sagesse se fit entendre, et la simplicité des plus héroïques
vertus
honora le plus vil 4de tous les peuples. La mort
se encore mieux votre conscience, quand vous voudrez la consulter. La
vertu
, monsieur, n’est pas une science qui s’apprenne a
placé vos parents et la Providence : voilà le premier précepte de la
vertu
que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris
parents : c’est là que vous remplirez véritablement les soins que la
vertu
vous impose. Une vie dure est plus facile à suppo
he par métier, au lieu de se contenter de l’être par la nature et par
vertu
. » Les Sophiste, n’ayant aucun principe, discutai
agé. Le premier n’est jamais plus pathétique que quand il célèbre les
vertus
chrétiennes ; et le morceaus le plus éloquent qu’
heureuse paix, et ne craint que ce qui pourrait donner atteinte à sa
vertu
. L’orateur continue ainsi à marquer ces différen
énéral, les divers caractères, les habitudes bonnes ou mauvaises, les
vertus
, les vices des hommes, et même les usages et le c
re modeste : la modestie rehausse toujours le prix du talent et de la
vertu
; et c’est surtout à l’entrée de son discours que
anmoins très souvent ensemble. Quand un orateur, par exemple, loue la
vertu
, il ne le fait que pour la conseiller et nous ani
, vos plaisirs, vos honneurs passent avec lui. Si la réputation et la
vertu
pouvaient dispenser d’une loi commune, l’illustre
ctrine que l’Église enseigne, et à déraciner les vices contraires aux
vertus
chrétiennes. Ainsi, suivant saint Augustin, la pr
nouvelles intrigues, de nouvelles passions, de nouveaux héros dans la
vertu
comme dans le vice, qui font le sujet des louange
ours à la louange d’une personne illustre dont on préconise les rares
vertus
ou les belles actions. Ce n’était pas autre chose
des saints. L’orateur s’y propose de les honorer par l’éloge de leurs
vertus
, et de nous engager nous-mêmes à les imiter. Il n
remplir ce double objet qu’en joignant l’instruction au récit de ces
vertus
. Un juste mélange des éloges et de la morale fait
saint depuis sa naissance jusqu’à sa mort, et de louer chacune de ses
vertus
en particulier. Il faut se contenter de rappeler
ques époques marquées, et de ramener les faits et la morale à quelque
vertu
dominante qui paraît avoir animé toutes les autre
in avec plus d’éclat, sévère à soi-même avec plus de force et plus de
vertu
; et la seconde établira que saint Louis a été, p
les morts qui ont été illustres par leur naissance, leur rang, leurs
vertus
et leurs actions. En ce sens, l’oraison funèbre n
énie ? Non, mes frères, si la piété n’avait comme consacré ses autres
vertus
, ni ces princes ne trouveraient aucun adoucisseme
igués contre lui des déplaisirs mortels, et réjouissait Jacob par ses
vertus
et par ses exploits, dont la mémoire doit être ét
du héros dont parle l’Écriture, celui dont je viens vous parler ? La
vertu
et le malheur de l’un et de l’autre sont semblabl
hi mon discours de ces images vives et naturelles qui représentent la
vertu
et qui la persuadent tout ensemble, de combien de
émies, le 24 avril 1816 ; le discours du même Cuvier, Sur les prix de
vertu
, prononcé en 1829 à l’Académie française, et qui
l’on s’est faite. Nous ne cesserons d’exhorter à la bonne foi et à la
vertu
, nous la regardons comme une des conditions sine
s rhéteurs anciens. Le genre et l’espèce. Vous voulez exhorter à une
vertu
spéciale, recommandez la vertu en général, vous d
t l’espèce. Vous voulez exhorter à une vertu spéciale, recommandez la
vertu
en général, vous développerez par le lieu genre.«
z la vertu en général, vous développerez par le lieu genre.« Si toute
vertu
mérite notre admiration et nos éloges, pourquoi m
injure reçue ? Cette charité, dans son excès même, n’est-elle pas une
vertu
? » L’idée, — les soldats français sont braves,
aves. « Sparte, modèle de frugalité, de tempérance et des plus hautes
vertus
, a disparu, et nous espérons que nos empires sero
sans expliquer les raisons qui ont déterminé les crimes de l’un, les
vertus
de l’autre ? Bourdaloue a raconté les hauts faits
s ; qui n’abandonne rien au hasard de ce qui peut être conduit par la
vertu
; capable enfin de tout oser, quand le conseil es
u des fragilités de la nature, les effets constants de la grâce ; des
vertus
évangéliques pratiquées en esprit et en vérité ;
quelque chose de plus formidable qu’à Rocroi15 ; et pour éprouver sa
vertu
, la guerre va épuiser toutes ses inventions et to
les qui, plus chastes en paroles qu’en effets, couvrent d’un voile de
vertu
leurs égarements cachés. De quel front osent-elle
énéral, les divers caractères, les habitudes bonnes ou mauvaises, les
vertus
, les vices des hommes, et même les usages et le c
avec raison, que tout son discours annonce un homme de bien, dont les
vertus
égalent les lumières. C’est par là qu’il gagnera
suasion dans les âmes. Un des plus efficaces moyens de faire aimer la
vertu
, c’est de persuader qu’on l’aime soi-même. Un des
teur, qui joint au talent de l’éloquence, la pratique constante de la
vertu
, veut nous persuader de l’importance et de la néc
égitimes pour parvenir à sa fin, prend le nom d’émulation ; c’est une
vertu
. Se sert-elle de moyens injustes et violents ? C’
à sa naissance et au mérite de ses ancêtres. L’autre en imitant leurs
vertus
, en rehausse l’éclat par ses belles actions. Ce d
e l’opulence. Comme ils ont occasion d’acquérir et de montrer plus de
vertus
, ils aiment à faire de grandes choses que leur pu
ets, ainsi que les caractères des différents vices et des différentes
vertus
. La peinture que Massillon a tracée de l’ambition
de notre âme peuvent donc être en nous les principes des différentes
vertus
, ou des différents vices, selon l’objet vers lequ
lus forte pour tout ce qui est mauvais et criminel, les entraîne à la
vertu
, en leur inspirant l’amour le plus vif pour tout
orce, et jusqu’entre les bras de la mort, qu’il reprend par sa propre
vertu
, une vie bienheureuse et immortelle ». Tel est a
és contre lui, des déplaisirs mortels, et réjouissait Jacob50 par ses
vertus
et par ses exploits, dont la mémoire doit être ét
t avec lui l’honneur de ses triomphes, tandis que la clémence est une
vertu
qu’il ne partage avec personne. On va voir qu’il
contre les accusateurs, de l’estime pour l’accusé, de l’amour pour sa
vertu
, de l’admiration pour ses sentiments, de la recon
les barbares à la ruine des Grecs ? Pour moi, ô terre ! ô soleil ! ô
vertu
! et vous, source du juste discernement, lumières
urs vous être un cher entretien : ainsi puissiez-vous profiter de ses
vertus
; et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
Prince, de cette victoire, jouissez-en éternellement par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
igués contre lui des déplaisirs mortels, et réjouissait Jacob par ses
vertus
et par ses exploits, dont la mémoire doit être ét
du héros dont parle l’Écriture, celui dont je viens vous parler ? La
vertu
et le malheur de l’un et de l’autre sont semblabl
de Turenne ? Où brillent avec plus d’éclat les effets glorieux de la
vertu
militaire ? Conduites d’armées, sièges de places,
ée, le sage, le chrétien. Je louerai tantôt les victoires, tantôt les
vertus
qui les ont obtenues. Si je ne puis raconter tant
as par la force de l’éloquence, mais par la vérité et la grandeur des
vertus
dont je suis engagé de vous parler. » 3° Narr
scélératesse, il en était presque venu au point de ne pas croire à la
vertu
dans ces affreux climats ; qu’il ait confondu le
rs vous être un cher entretien ! Ainsi, puissiez-vous profiter de ses
vertus
, et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
prince, de cette victoire, jouissez-en éternellement par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
passions désordonnées ; s’attacher toujours à inspirer l’amour de la
vertu
, et faire sentir qu’elle seule est digne de nos h
e ne saurais trop répéter que le romancier doit toujours présenter la
vertu
sons des couleurs favorables et attrayantes, la f
productions romanesques de ces écrivains surannés ne respirent que la
vertu
. Elles offrent, il est vrai, un mélange bizarre d
ec décence, et bien propres à entretenir dans les cœurs l’amour de la
vertu
: Les Mémoires d’un homme de qualité, le Doyen de
ieu, des merveilles de la création, des charmes et des prodiges de la
vertu
, ou les émotions ardentes de la victoire, ou les
ivinité et ses bienfaits, les héros, les grands hommes qui, par leurs
vertus
, leur courage, leurs services éclatants, se sont
des sons funestes, s’ils ne présentent pas à notre âme, créée pour la
vertu
, des exemples et des leçons salutaires. Il se fer
grandeur puisée dans sa source : ce sont de vraies beautés, de vraies
vertus
qu’on admire, et des sentiments solides qu’on exp
rs ; aux bienheureux, pour exalter leur fidélité, l’héroïsme de leurs
vertus
, ainsi que leur bonheur et leur gloire, et les in
e liturgique, ils célèbrent Dieu et ses grandeurs ; les saints, leurs
vertus
et leur gloire ; les mystères et les vérités de l
que est celle qui célèbre les hauts faits, le génie, les talents, les
vertus
éclatantes des grands hommes dans tous les genres
e ou philosophique est celle dont les sentiments sont inspirés par la
vertu
, l’amitié et l’humanité. Elle attaque le vice, cé
ar la vertu, l’amitié et l’humanité. Elle attaque le vice, célèbre la
vertu
, présente de grandes vérités, de belles et utiles
I, nous pouvons citer en ce genre une ode de Joachim du Bellay sur la
Vertu
; l’ode à la Fortune, d’Horace, mise en vers fran
ésie remplit le mieux l’honorable fonction de ramener les hommes à la
vertu
. 211. Quel est le moyen de relever ce genre ? Ce
u sein de son éternité. Le chaos endormi s’éveille en sa présence, Sa
vertu
le féconde, et sa toute-puissance Rep
efois consacrée aux souvenirs de l’innocence, aux saintes joies de la
vertu
, aux allégresses d’une bonne conscience. Saint Fr
anges que l’on donne aux époux, à cause de leurs qualités et de leurs
vertus
; l’autre les vœux que l’on forme pour leur bonhe
anmoins très souvent ensemble. Quand un orateur, par exemple, loue la
vertu
, il ne le fait que pour la conseiller, et nous an
trine, que l’église enseigne, et à déraciner les vices contraires aux
vertus
chrétiennes. Ainsi, suivant un grand docteur90, l
e pratique, d’engager les auditeurs à fuir le vice, et à embrasser la
vertu
, c’est alors qu’il doit tonner, foudroyer, porter
seulement il nous fait voir qu’il est plus raisonnable d’embrasser la
vertu
, mais encore il prouve qu’elle est notre souverai
rain bien ; et nous sommes obligés d’en convenir, à l’aspect de cette
vertu
qu’il sait si bien nous présenter avec tous ses c
urs à la louange d’une personne illustre, dont on préconise les rares
vertus
, ou les glandes actions. Le Panégyrique Chrétien
des Saints. L’Orateur s’y propose de les honorer par l’éloge de leurs
vertus
, et de nous engager nous-mêmes à les imiter. Il n
remplir ce double objet, qu’en joignant l’instruction au récit de ces
vertus
: un juste mélange des éloges et de la morale, fa
aint, depuis sa naissance jusqu’à sa mort, et de louer chacune de ses
vertus
en particulier. Il faut se contenter de rappeler
ues époques marquées, et de ramener les faits et la morale, à quelque
vertu
dominante, qui paraît avoir animé toutes les autr
ec plus d’éclat ; 3º sévère à lui-même, avec plus de force et plus de
vertu
. » 1º. Humble devant Dieu. Tout Roi qu’il était,
grand mérite de ne perdre jamais de vue le Saint dont il célèbre les
vertus
. Les anciens avaient aussi leurs Orateurs Panégyr
les morts qui ont été illustres par leur naissance, leur rang, leurs
vertus
et leurs actions. Ce genre de discours demande be
et celui-là pour la défense : l’universalité jointe à l’éminence des
vertus
guerrières, était le caractère de distinction de
usques dans ses égarements vous reconnaîtrez les dons du ciel, et les
vertus
dont son âme était ornée. Des écueils mêmes de sa
e, toujours simple, noble, énergique et touchant, inspire l’amour des
vertus
qu’il a si bien louées dans ses Héros. On admire
es, on ne louait que la valeur militaire, et à Rome, toutes sortes de
vertus
. Aucune de ces Oraisons funèbres ne nous est parv
ux connaissances les plus avancées de son temps, et plié son âme à la
vertu
par des soins et avec un art qu’il a voulu enseig
ficulté qu’il a cultivé son génie, sans effort qu’il s’est formé à la
vertu
, sans un travail opiniâtre qu’il a été utile à so
fond, Nous peint en eux nos propres injustices, Et nous fait voir la
vertu
dans leurs vices. C’est un théâtre, un spectacle
our tous les hommes. Elle décrie les vices, elle démasque les fausses
vertus
, elle détrompe des erreurs et des préjugés popula
es et belles actions qu’elle leur présente, elle fait conclure que la
vertu
est le véritable bien de l’homme, et qu’elle seul
rend véritablement grand et estimable. Elle apprend à respecter cette
vertu
et à en démêler la beauté et l’éclat à travers le
chimère… Voici comment j’ai compté Dès ma plus tendre jeunesse : La
vertu
, puis la santé ; La gloire, puis la richesse. ——
re, puis la richesse. ——————————— Conti140 n’est plus, ô ciel ! ses
vertus
, son courage, La sublime valeur, le zèle pour son
main des neuf sœurs ne pare vos trophées, Vos
vertus
étouffées N’éclaireront jamais les yeux de l’aven
neuvième riment ensemble. Montrez-nous, guerriers magnanimes, Votre
vertu
dans tout son jour. Voyons comment vos cœurs subl
os qui a terminé une glorieuse entreprise ? Il lui donnera toutes les
vertus
des grands hommes ; et ces vertus seront portées
reprise ? Il lui donnera toutes les vertus des grands hommes ; et ces
vertus
seront portées au plus haut degré de perfection,
es puissent se montrer dans l’homme même. Il mêlera, s’il veut, à ces
vertus
quelques faiblesses dont les plus grands hommes n
parfait d’entre les sauvages, avec leurs mœurs, leurs passions, leurs
vertus
: ce sera alors dans la nature et dans la belle n
ns le sien : on verra que ces diverses circonstances, ces différentes
vertus
, ces différents vices existent, ou peuvent existe
pourraient soutenir l’idée de moi ; ils auraient besoin de toute leur
vertu
pour m’avouer1, ils regarderaient mon tombeau com
on croie que je ne savais rien, et que vous m’aviez tout dit1. La
vertu
doit être le principe du gouvernement populaire
exécuter les lois se juge au-dessus des lois, on a besoin de moins de
vertu
que dans un gouvernement populaire, où celui qui
mocratie. Comme ceux qui avaient part aux affaires n’avaient point de
vertu
, que leur ambition était irritée par le succès de
lle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus qu’un faible reste de
vertu
; et comme elle en eut toujours moins, au lieu de
ne reconnaissaient d’autre force qui pût le soutenir que celle de la
vertu
. Ceux d’aujourd’hui ne nous parlent que de manufa
e commerce, de finances, de richesses, et de luxe même. Lorsque cette
vertu
cesse, l’ambition entre dans les cœurs qui peuven
iompher des forces d’Athènes qu’il était difficile de triompher de sa
vertu
. Comment Carthage aurait-elle pu se soutenir ? Lo
arthage désarmée, on peut juger de ce qu’elle aurait pu faire avec sa
vertu
lorsqu’elle avait ses forces1. Sur l’esprit d
éroïsme est le principal ressort de son théâtre ; il nous propose des
vertus
altières et de grands caractères, dans une langue
oute la France D’où ce titre d’honneur a tiré sa naissance, Et que la
vertu
seule a mis en ce haut rang Ceux qui l’ont jusqu’
sang ? Dorante. J’ignorerais un point2 que n’ignore personne, Que la
vertu
l’acquiert comme le sang le donne. Géronte. Où l
’acquiert comme le sang le donne. Géronte. Où le sang a manqué si la
vertu
l’acquiert, Où le sang l’a donné le vice aussi le
, Remplir les bons d’amour, et les méchants d’effroi ; Joignez à ces
vertus
celles d’un capitaine : Montrez-lui comme il faut
. Seigneur, de vos bontés il faut que je l’obtienne6 ; Elle a trop de
vertus
pour n’être pas chrétienne ; Avec trop de mérite
à Pauline7 Apprends d’elle à forcer ton propre sentiment ; Prends sa
vertu
pour guide en ton aveuglement ; Souffre que de to
me une espèce de patrie et de nourrice ; c’est elle qui a allaité nos
vertus
, et avec elles nous donne le bonheur. » 2. Il fa
rdeau dont il faut se débarrasser le plus tôt possible. Enfin, quelle
vertu
, quel devoir accomplissez-vous dans la journée ?
nd nécessaire des tragédies, ou celui des bons et des méchants, de la
vertu
persécutée par le vice, mais le contraste de la g
cite l’honneur dans un cœur abattu : Proverbes éternels dictés par la
vertu
; Morale populaire à force de génie, Et que ses a
encore par son caractère que pour son grand âge. Il avait toutes les
vertus
rigides de sa secte, et de plus avait été le maît
re ? Romains, la pompe funèbre de l’homme juste est le triomphe de la
vertu
qui retourne à l’Être-Suprême ». La simplicité n
ains, croyez-en un vieillard qui, depuis quatre-vingts ans, étudie la
vertu
et cherche à la pratiquer : la philosophie est l’
e, où la pauvreté, les richesses, la vie, la mort ne sont rien, où la
vertu
existe seule. Romains, c’est cette philosophie qu
nsport. Dès ce moment il n’eut qu’une passion, celle de se former aux
vertus
les plus pénibles : tout ce qui pouvait l’aider d
x. Ne te laisse pas non plus éblouir par les respects. Si tu n’as des
vertus
, on te rendra des hommages et l’on te haïra. Croi
tu dois être juste, puissé-je vivre encore assez pour contempler tes
vertus
! Si tu devois un jour… » Tout-à-coup Commode, qu
i les reçoit. Tout panégyrique est une sorte de triomphe accordé à la
vertu
. Il faut donc en retrancher toutes les louanges e
s temples, puisqu’ils ont pour but ordinaire d’inspirer l’amour de la
vertu
et l’horreur du vice. La tribune politique offre
sque tous les éloges et les panégyriques, sinon des exhortations à la
vertu
? On délibère sur le choix d’un général ; l’éloge
trois propositions : Il faut aimer ce qui nous rend heureux ; Or la
vertu
nous rend heureux ; Donc il faut aimer la vertu.
rend heureux ; Or la vertu nous rend heureux ; Donc il faut aimer la
vertu
. La première de ces trois propositions se nomme
logisme parfait dans l’esprit, mais imparfait dans l’expression : La
vertu
nous rend heureux ; Donc il faut aimer la vertu.
ns l’expression : La vertu nous rend heureux ; Donc il faut aimer la
vertu
. La première proposition se nomme antécédent, et
n de vif et de figuré ? serait-ce un orateur ? En logique on dit : La
vertu
nous rend heureux ; donc il faut aimer la vertu.
n logique on dit : La vertu nous rend heureux ; donc il faut aimer la
vertu
. Dans un ouvrage de goût, on présente d’abord la
uver, et la raison qui la prouve n’arrive qu’après : Il faut aimer la
vertu
, car elle nous rend heureux. On donne souvent pl
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » (Lettre à l’Académie française.) 2º. L’énumé
de lien qu’un vil intérêt ne divise ; la bonne foi n’est plus que la
vertu
des simples ; les haines sont éternelles ; les ré
s autres. Les assemblées ne sont plus que des censures publiques : la
vertu
la plus entière n’est plus à couvert de la contra
resse ; la cour est le centre de toutes les passions humaines ; et la
vertu
, autorisée par l’exemple du souverain, honorée de
orsqu’on prouve qu’il faut aimer la justice parce qu’il faut aimer la
vertu
, qui est genre par rapport à la justice ; et réci
on doit aimer, par exemple, la justice, qui est une des espèces de la
vertu
. Nous ne parlerons point de la similitude, qui es
constances. Celui qu’on doit à la nature repose principalement sur la
vertu
; celui que donnent les circonstances vient de l’
onne à l’autorité ; je ne vois rien non plus qui soit une garantie de
vertu
; mais il n’en est pas moins vrai que l’art et l’
table orateur portent l’empreinte de la justice, de l’humanité, de la
vertu
. Soit qu’il défende les accusés, qu’il délibère s
ablement éloquent, on reconnaît la double autorité du talent et de la
vertu
; dans ses jugements, dans ses maximes éclate son
ignorait la route ? L’orateur doit donc établir son autorité sur ces
vertus
. Il n’annonce pas qu’il les possède ; mais elles
st le plus parfait modèle de l’expression des mœurs. La sagesse et la
vertu
ont dicté ce discours. L’affection vive et tendre
ents fait croire qu’il les a dans le cœur : c’est là le langage de la
vertu
et de l’affection. Aussi le poète a-t-il le droit
ce, la fourberie, l’adulation, imitent trop aisément les traits de la
vertu
, de la prudence et de l’affection sincère : le mê
blement de la probité, du zèle ; il a des mœurs oratoires lorsque ces
vertus
qu’il a dans le cœur se peignent dans tout son di
e qu’il n’est point de genre littéraire où ce parfum de probité et de
vertu
ne puisse communiquer aux pensées et au style un
re l’amour de la campagne, de la liberté, du repos, du travail, de la
vertu
, lorsqu’on en peint fortement les avantages. C’es
donner des grâces touchantes. Il le représente plein de courage et de
vertu
; il vous intéresse pour lui ; il veut le faire a
de tes erreurs. S’il te reste au fond du cœur le moindre sentiment de
vertu
, viens, que je t’apprenne à aimer la vie. Chaque
fiance. La modestie, qui rehausse toujours le prix des talents et des
vertus
, porte un caractère de candeur qui ouvre le chemi
e l’orateur et de l’historien : « L’épreuve la moins équivoque d’une
vertu
solide, c’est l’adversité. Et quels coups, ô mon
mot. Tout ce que dit l’honnête homme doit conserver la dignité de la
vertu
. L’ironie, maniée grossièrement ou mal à propos,
pourquoi l’opium fait dormir. Le candidat répond : C’est qu’il a une
vertu
dormitive. Celui qui demande pourquoi l’opium fai
emande pourquoi l’opium fait dormir, sait fort bien que l’opium a une
vertu
dormitive ; mais il demande d’où vient cette vert
que l’opium a une vertu dormitive ; mais il demande d’où vient cette
vertu
. Ces mots vertu, propriété, faculté, ne lui appre
ne vertu dormitive ; mais il demande d’où vient cette vertu. Ces mots
vertu
, propriété, faculté, ne lui apprennent rien. Le c
signées par les noms vagues de qualités, de forces, de propriétés, de
vertus
. Nous savons que le ressort de la montre est la c
n réunit en faveur de Milon le double intérêt de l’admiration pour la
vertu
, et de la compassion pour l’infortune. Il veut re
t su que combattre et vaincre ; | s’il ne s’était élevé au-dessus des
vertus
humaines ; | si sa valeur et sa prudence n’avaien
rs exprime d’une manière sublime, quoique simple, l’intrépidité de la
vertu
religieuse. La honteuse lâcheté de nos mœurs, dit
. L’hyperbate transpose l’ordre de la syntaxe usitée : Et les hautes
vertus
que de vous il hérite, pour qu’il hérite de vous
épître : L’argent, l’argent, dit-on, sans lui tout est stérile ; La
vertu
sans argent n’est qu’un meuble inutile ; L’argen
que j’ai haïe. Ne dissimule pas mes défauts, et ne m’attribue pas mes
vertus
: loue seulement la miséricorde de Dieu qui a vou
des exemples. 2º L’éthopée, représentation des mœurs, qui décrit les
vertus
ou les vices, les qualités ou les défauts. Sallus
ais ne recule pas, il le frappe à la tempe. Gracchus, sans flétrir sa
vertu
par une seule plainte, tombe en silence. Le meurt
même Sénèque et ce même Burrhus Qui depuis… Rome alors estimait leurs
vertus
. Et dans Phèdre : Prenez garde, seigneur : vos
es politiques, leurs desseins, leurs passions, leurs défauts ou leurs
vertus
. Et tous ces traits précieux sur les mœurs et le
imitons leurs aïeux ; et ils déshonorent un héritage de gloire et de
vertu
. Leur noblesse finit, la mienne commence. » Tite
ns l’empire ; et l’on trouvera encore dans ces malheureux siècles des
vertus
cachées, des actions généreuses, des traits d’un
s braves : reposons-nous dans la gloire des lettres et la douceur des
vertus
civiles. Un nouveau règne commence ; Louis XII, s
l arrive d’un pays qui les appelle barbares, mais qui n’a point leurs
vertus
. À Athènes, il a vu des assemblées populaires, de
arrive d’un pays où les philosophes se demandent ce que c’est que la
vertu
. Là, on vous appelle barbares ; on trouve votre v
s peuples que j’ai visités sont réduits à l’admiration stérile de vos
vertus
. Votre fidélité inébranlable dans l’amitié, votre
ars et à son glaive ; gardez votre heureuse pauvreté ; défendez votre
vertu
contre les arts de la Grèce. Montés sur vos chars
uel doux orgueil je t’entendais louer par ces étrangers jaloux de tes
vertus
! j’aurais voulu t’attirer l’hommage de toute la
s, il est donc vrai que tout ce qui est de l’homme est borné, même la
vertu
; et ils ne trouvaient pas de consolation. Plein
t, pour subsister, à labourer la terre, et honorant sa misère par ses
vertus
et sa noble patience. De sa première fortune, il
. Récit224. Rome, sous ses consuls, donnait des couronnes à la
vertu
; elle était libre alors. Rome, esclave sous Domi
grands hommes par des proscriptions. Accusé par l’estime publique de
vertu
et de génie, Dion fut proscrit : il abandonna san
ne noble patience, il exerçait dans les travaux les plus pénibles ces
vertus
austères que vante le philosophe et que pratique
omitien et mes maux, qui ne craigne pas le mérite et qui encourage la
vertu
. Alors, puisqu’il vous faut des combats et de la
a valeur ; maintenant il cache dans l’obscurité d’un exil éloigné des
vertus
dont Rome n’est pas digne ; il exerce dans les mé
s’il se dévoue, l’empire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la
vertu
et les dieux. Romains, vous allez décider du sort
s déposent leurs armes ; on loue la sagesse de Nerva ; on raconte les
vertus
de ses ancêtres ; un cri s’élève, et les rives du
Trajan. Même sujet225. Dion Chrysostome avait mérité par ses
vertus
la haine de Domitien : un tyran cruel et timide n
charrue, il semblait répandre sur un état obscur tout l’éclat de ses
vertus
. Souvent, fatigué de son travail, il s’asseyait p
de si profondes blessures ? quel est l’homme aimé des dieux, dont les
vertus
et le courage rendront au monde le bonheur, la pa
ome appelle par ses vœux. Combien de fois avez-vous entendu louer les
vertus
de Nerva ! combien de fois vos compagnons d’armes
ervé surtout cet amour de Rome qui lui fut inspiré avec l’amour de la
vertu
. Le voilà celui que nous devons choisir pour répa
dieu dont il venait d’attester le nom. Les crimes du tyran mort, les
vertus
de Nerva se retracèrent à la fois à tous les espr
nlevez le patriotisme et les souvenirs qui font les héros, de quelles
vertus
nouvelles vous flattez-vous donc d’armer nos cœur
llégresse et d’amour. Je veux que la valeur et la clémence soient les
vertus
de mes enfants ; je veux qu’ils prennent pour dev
car c’est outrager le trône et la patrie, que de louer son prince des
vertus
qu’il n’a pas ». Quelle simplicité harmonieuse e
ession naïve de ce caractère simple, qui, n’ayant de faste ni dans la
vertu
ni dans la gloire, savait à peine que sa grande â
e meilleur des rois. Après un triomphe si rare, il ne fallait pas une
vertu
commune ». Cet éloge, entièrement fondé sur des
intrigues des cours. Partout elle est étrangère ; elle est, comme la
vertu
, le partage de quelques âmes privilégiées ; et lo
suivent. Exemples : La candeur, la docilité, la simplicité, sont les
vertus
de l’enfance. La charité est douce, patiente, bie
nt l’une dépend de l’autre. Exemple : La douceur est à la vérité une
vertu
; mais elle ne doit pas dégénérer en faiblesse.
qui expriment une interrogation. Exemple : Quoi de plus beau que la
vertu
? 182. — Le point d’admiration (!) se met aprè
manquer de ce pain qu’ils ont semé1. La politesse Avec de la
vertu
, de la capacité et une bonne conduite, l’on peut
, et il y en a d’autres qui ne servent qu’aux grands talents ou à une
vertu
solide. Il est vrai que les manières polies donne
tres, pleins de hauteur et de confiance avec ceux qui n’ont que de la
vertu
, muets et embarrassés avec les savants ; vifs, ha
n heureuse pour moi que celle qui vous est utile ! Le temps et la
vertu
Chaque heure en soi, comme à notre égard, est
uité. Que deviendront ces modes quand le temps même aura disparu ? La
vertu
seule, si peu à la mode, va au delà des temps.1.
sur les mœurs) : « La politesse est l’expression ou l’imitation des
vertus
sociales : c’en est l’expression s elle est vraie
pression s elle est vraie, et l’imitation si elle est fausse ; et les
vertus
sociales sont celles qui nous rendent utiles et a
La Bruyère se souvient d’Horace, qui disait : « Je m’enveloppe de ma
vertu
. » 4. Cordon bleu, ruban bleu porté par les ch
ors aux hommes une leçon indirecte ; il leur enseigne le devoir et la
vertu
par la peinture de leurs contraires. Ainsi donc,
re Fénelon, « à transporter les hommes en faveur de la sagesse, de la
vertu
et de la religion. » — Enfin, la dernière conditi
Faites choix d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclatant, en
vertus
magnifique... On s’ennuie aux exploits d’un conqu
urelles, Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage ; Chaque
vertu
devient une divinité : Minerve est la pudeur, et
ire par l’exposition de la vérité noble et touchante, de persuader la
vertu
par des images vives et naturelles, par l’éloge d
bre de s’abandonner aux inspirations de l’éloquence pour persuader la
vertu
, comme Bossuet ou Bourdaloue, par les fortes leço
é à Bossuet. 1. Dieu accorde les prospérités à la prière. 2. Or, les
vertus
sont les vraies prospérités. 3. Donc Dieu accorde
Or, les vertus sont les vraies prospérités. 3. Donc Dieu accorde les
vertus
à la prière. Cet argument, comme on voit, se com
Dieu accorde les prospérités à la prière. 3. Donc il lui accorde les
vertus
. L’argument se réduit ici à la majeure et à la co
, 3. combien plus leur accorde-t-il les vrais biens, c’est-à-dire les
vertus
! » (Orais. fun. de Marie-Thérèse de France.) Vo
de l’ Oraison funèbre de Turenne, énumère « les effets glorieux de la
vertu
militaire, conduites d’armées, sièges de places,
légitimes Veut violer enfin les droits les plus sacrés. Ainsi que la
vertu
, le crime a ses degrés.... Élevé dans le sein d’u
ait su que combattre et vaincre ; s’il ne s’était élevé au-dessus des
vertus
humaines, si sa valeur et sa prudence n’avaient
es jours dans l’aveuglement et dans l’erreur, je louerais en vain des
vertus
que Dieu n’aurait pas couronnées… Mais, grâce à J
r, C’est par là qu’Hippolyte est connu dans la Grèce ; J’ai poussé la
vertu
jusques à la rudesse. On sait de mes chagrins l’i
inction même est un hommage rendu la puissance de la probité et de la
vertu
, puisqu’un malhonnête homme est obligé d’en empru
leur maître, mais révoltent le spectateur. La justice n’est pas une
vertu
d’État. Le choix des actions ou mauvaises ou bonn
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » (Lettre à l’Académie, § iv.) On comprend qu’i
reur contre la cruauté, la compassion pour la misère, l’amour pour la
vertu
. Voilà ce que Platon appelle agir sur l’âme de l’
inna : Oui, j’accorde qu’Auguste a droit de conserver L’empire où sa
vertu
l’a fait seule arriver. C’est l’avantage du dial
espect sont de justes tributs Qu’aux plus fiers ennemis arrachent les
vertus
; Et c’est ce que vient rendre à la haute vaillan
fait consister la sagesse dans un certain milieu entre le vice et la
vertu
; en ce qu’au grand soulagement des spectateurs i
t le monde connaît le fameux raisonnement du Malade imaginaire sur la
vertu
soporifique de l’opium. On en trouve un non moins
prouver que Molière, dans le Misanthrope, s’est proposé de rendre la
vertu
ridicule, emploie le même sophisme. « Vous ne sau
ue sur les mots. « On pourrait dire qu’il a loué dans Alceste non la
vertu
, mais un véritable défaut, qui est la haine des h
reuves éclatantes de la vérité, les erreurs d’Anne de Gonzague ou les
vertus
de M. Le Tellier. C’est la passion qui inspire à
qu’ils exprimaient aux idées contraires, donné aux vices les noms des
vertus
, et appliqué au faux les signes du vrai. Une autr
spirituelle noblesse d’un honnête homme : Cette grande raideur des
vertus
des vieux âges Heurte trop notre siècle et les co
urs vous être un cher entretien ! ainsi puissiez-vous profiter de ses
vertus
! Et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
qui le suivent : tout seul qu’il est, on se figure autour de lui ses
vertus
et ses victoires qui l’accompagnent ; il y a je n
t uniquement songer à bien faire, et laisser venir la gloire après la
vertu
. » (Oraison funèbre de Condé.) 14° Réticence. —
tère de l’épopée est éminemment moral. L’influence de ce poème sur la
vertu
résulte de l’impression que fait chacune de ses p
opres faiblesses et de leurs passions ; enfin, de nous représenter la
vertu
victorieuse et glorifiée et le vice abaissé et pu
ent des sujets importants ; dans l’Odyssée, on trouve l’exemple d’une
vertu
constante dans ses projets, ferme dans les revers
etc. Mais il faut que ses faiblesses soient éclipsées par de grandes
vertus
, qu’il triomphe de la passion, qu’une âme élevée
ne soit le principe de ses défauts. Ce héros, doit toujours avoir une
vertu
dominante qui le caractérise particulièrement : t
, la prudence dans Ulysse, la valeur dans Achille. C’est cette grande
vertu
dont il est constamment animé, qui nous le fait a
ts ; et notre admiration est portée à son comble, à l’aspect de cette
vertu
couronnée par le succès de l’entreprise. 353. Qu’
x où l’on indique l’espèce particulière de sagesse, de bravoure ou de
vertu
qui appartient à chacun ; ils font voir les trait
u héros qui la fait, et à exciter une plus grande admiration pour ses
vertus
. Il sert aussi à faire voir que les héros les plu
ns l’abîme. Les hommes occupent le milieu, touchant au ciel par leurs
vertus
, à l’enfer par leurs vices ; aimés des anges et d
ux, etc. Il présente aussi, sous une forme visible, les passions, les
vertus
et les vices. Tons ces êtres de raison prennent l
mer la qualité de cette chose ou de cette personne : = Esprit vaste ;
vertu
rare ; maison commode ; jardin agréable ; César v
; jardin agréable ; César victorieux ; Cicéron éloquent. Ici, esprit,
vertu
, maison, jardin, César, Cicéron, sont des noms su
ie quelque chose par lui-même, comme on le voit dans les mots esprit,
vertu
, maison, jardin, César, Cicéron, et que l’adjecti
port seulement qu’on dit, des fers, des plombs, etc. 2°. Les noms des
vertus
et des vices ; comme foi, sincérité, ambition, or
arce qu’ils ont rapport à un nom qui les précède : = il faut aimer la
vertu
et la pratiquer. En et y sont, par la même raiso
sonne ou la chose qui en est le terme. = Nous aimons naturellement la
vertu
; = vous ambitionnez trop les honneurs ; = le lim
qu’ils sont les principes de ces actions, puisqu’ils les produisent.
Vertu
, honneurs, terres, bois, sont objets, parce qu’il
e chose qui en est le sujet : = la médiocrité est la sauvegarde de la
vertu
: = les riches sont heureux de pouvoir être les p
ayant blâmé. eu. été. DEUXIÈME MODE. Indicatif. La pratique des
vertus
chrétiennes rehausse la gloire des plus grands Hé
r simple. Le futur simple marque une chose qui sera ou se fera : = la
vertu
sera récompensée. Futur composé. Le futur compos
firmation, ou avec négation, et qui sont, et, ni : = La science et la
vertu
sont estimables : = Il ne faut ni trop se livrer
té. = Ce n’est pas assez de fuir le vice, il faut encore pratiquer la
vertu
. 3°. Les alternatives, qui lient, soit en laissa
ire d’une proposition, et qui sont, donc, ainsi, partant, etc. : = La
vertu
seule peut faire notre bonheur : donc nous devons
xpliquant, et qui sont, comme, savoir, surtout, etc. : = Il y a trois
vertus
théologales, savoir, la foi, l’espérance et la ch
, dit M. Villemain, des époques d’enthousiasme, de mœurs naïves et de
vertus
guerrières, qui ne peuvent s’exprimer et se peind
se, la Mort, le Sommeil, ou dans la personnification des vices et des
vertus
. Rien n’est plus froid que ces fictions ; elles n
épique un héros qui domine tous les autres par sa grandeur ou par sa
vertu
; l’ouvrage y gagne en unité et en intérêt. Autou
econdaires, dont chacun doit avoir sa physionomie, son caractère, ses
vertus
ou ses défauts. Ils parlent, ils agissent ; ils s
Faites choix d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclatant, en
vertus
magnifique ; Qu’en lui, jusqu’aux défauts, tout s
la Chine ou du Mexique ; et, que, faisant, comme on dit, de nécessité
vertu
, nous ne désirerons pas davantage d’être sains ét
te ; mais, quand il y aurait du péril, que c’est le propre d’une rare
vertu
de se signaler plutôt dans la tempête que dans le
au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable. Les
vertus
se perdent dans l’intérêt, comme les fleuves se p
renants et les plus terribles. L’humilité est la véritable preuve des
vertus
chrétiennes : sans elle nous conservons tous nos
n donner guère à ceux qui nous écoutent. La fortune fait paraître nos
vertus
et nos vices comme la lumière fait paraître les o
ait paraître les objets. Si la vanité ne renverse pas entièrement les
vertus
, du moins elle les ébranle toutes. La fortune ne
échants que soient les hommes, ils n’oseraient paraître ennemis de la
vertu
; et lorsqu’ils la veulent persécuter, ils feigne
ne voyant pas la vérité entière, ils n’ont pu arriver à une parfaite
vertu
. Les uns considérant la nature comme incorrompue1
rois, qui parle si magnifiquement aujourd’hui par toute la terre des
vertus
de Votre Majesté, elle dira à Votre Majesté que t
ustice, mais le temple de Clémence, que les Romains élevèrent à cette
vertu
triomphante en la personne de Jules César, est un
e Jules César, est un plus grand et un plus beau nom encore. Si cette
vertu
n’offre encore un temple à Votre Majesté, elle lu
iolence et sans faire tort à ses sujets, elle peut exercer toutes ces
vertus
ensemble ? L’avenir, sire, peut être prévu et rég
ecteur : la Peinture, la Musique, l’Éloquence et la Sculpture. Quatre
Vertus
soutenaient la première représentation : la Force
ur remplir un devoir. Entre tant de pages, également inspirées par la
vertu
et le génie, notre choix était bien difficile. Au
e trop fortunée de ses entreprises, ni ses fameuses victoires dont la
vertu
est indignée, ni cette longue tranquillité qui a
rsion195 fut suivie de celle de la princesse Louise sa sœur, dont les
vertus
font éclater par toute l’Elise la gloire du saint
fut jamais et ne trouvent de consolation que dans le souvenir de ses
vertus
. Ce n’est pas encore le temps de vous en parler.
lus tendre pour sa personne sacrée, ni de plus fort pour célébrer ses
vertus
royales, sa piété, son courage, son grand génie,
urs vous être un cher entretien ! ainsi puissiez-vous profiter de ses
vertus
! Et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
ince, de cette victoire ; jouissez-en éternellement, par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
e. Qu’elle est belle, cette Église gallicane, pleine de science et de
vertu
! mais qu’elle est belle dans son tout, qui est l
ctrine ! quelle raison éminente ! quelle candeur, quelle innocence de
vertus
! quelle force invincible et accablante des témoi
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. Rien n’est plus méprisable qu’un parleur de méti
ue pour faire le contrepoids des mauvaises passions et pour rendre la
vertu
aimable260. Je voudrais qu’un orateur se préparât
ruire et lui montrer la voie du salut. Un saint Léon accompagné de sa
vertu
et de la seule dignité de son sacerdoce, un Benoî
les environne, ou par la sainteté de leur vie et l’éminence de leurs
vertus
? Non ; soyons saints, et nous serons respectés :
ministère que de se persuader qu’il y ait quelque autre chose que la
vertu
qui puisse le rendre respectable ; mais c’est enc
ids donné du même coup à leurs contraires et à la cabale opposée ; la
vertu
de ressort qui pousse dans cet instant leurs mené
on pas les morts. Un prince318, jouet de ses passions, et dupe de ses
vertus
mêmes ; un prince qui ne connut jamais sa force n
habit. Je sais que vous êtes mon ennemi ; mais je vous crois assez de
vertu
pour ne pas abuser de ma confiance et de mon malh
duction à la connaissance de l’esprit humain 388. Du vice et de la
vertu
. Les hommes étant imparfaits n’ont pu se suff
n heureux naturel ! Il est bien facile de voir que je veux parler des
vertus
: leur noblesse et leur excellence sont l’objet d
rd établir une règle sûre pour les bien distinguer du vice. Le mot de
vertu
emporte l’idée de quelque chose d’estimable à l’é
rêt général au personnel est la seule définition qui soit digne de la
vertu
, et qui doive en fixer l’idée. Au contraire, le s
part des vices ne concourent pas au bien public, comme les plus pures
vertus
. Qui ferait fleurir le commerce sans la vanité, l
qui arrêtent le progrès de ses désordres390 ; et c’est la raison, la
vertu
, qui le subjuguent, qui le contiennent dans certa
t dans certaines bornes et le rendent utile au monde. À la vérité, la
vertu
ne satisfait pas sans réserve toutes nos passions
e pas sentir que c’est le Vice qui nous empêche d’être heureux par la
vertu
. Si elle est si insuffisante à faire le bonheur d
icieux ; et les vices, s’ils vont au bien, c’est qu’ils sont mêlés de
vertus
, de patience, de tempérance, de courage, etc. Un
and avantage au monde, pour surprendre l’admiration, il agit comme la
vertu
, parce qu’elle est le vrai moyen, le moyen nature
rme que tendent ses déguisements. Ainsi le caractère distinctif de la
vertu
subsiste : ainsi rien ne peut l’effacer. Que prét
quent estimables à l’égard de toute la terre, voilà ce que l’on nomme
vertu
. Et ces odieuses passions tournées à la ruine des
s le genre humain, c’est ce que j’appelle des vices391. Idem. La
vertu
aux prises avec le malheur. Clazomène a eu l’
dans ses disgrâces méconnu de ceux qu’il aimait. L’injure a flétri sa
vertu
, et il a été offensé de ceux dont il ne pouvait p
pas laisser assez de bien pour payer ses dettes, et n’a pu sauver sa
vertu
de cette tâche. Si l’on cherche quelque raison d’
r. Seigneur, de vos bontés il faut que je l’obtienne ; Elle a trop de
vertus
pour n’être pas chrétienne415 : Avec trop de méri
ton gendre : ose : que tardes-tu ? Tu vois le même crime, ou la même
vertu
. Ta barbarie en elle a les mêmes matières : Mon é
upière. Défendez-vous par la grandeur, Alléguez la beauté, la
vertu
, la jeunesse449 : La Mort ravit tout sans
ux son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la
vertu
. Quelques titres honteux qu’en tous lieux on lui
voyons ses défauts avec quelque douceur. Il faut, parmi le monde, une
vertu
traitable ; À force de sagesse on peut être blâma
Et veut que l’on soit sage avec sobriété500. Cette grande roideur des
vertus
des vieux âges Heurte trop notre siècle et les co
e, Et qui plaît d’autant plus, que plus il se découvre. Mais la seule
vertu
peut souffrir la clarté : Le vice, toujours sombr
ux de visage, Ni petit, ni trop grand, très peu voluptueux, Ami de la
vertu
plutôt que vertueux. Que si quelqu’un, mes vers,
t de raison ; Seulement pour l’argent un peu trop de faiblesse De ses
vertus
en lui ravalait la noblesse. Sa table toutefois,
amour, souvent de remords combattu, Paraisse une faiblesse et non une
vertu
. Des héros de roman fuyez les petitesses : To
es ne se trouvèrent mieux justifiées. Ajoutons que sa modestie et ses
vertus
privées égalaient ses talents. Au sein de sa fami
mander. Tout ce qu’en vous quittant j’ose vous demander, Croyez (à la
vertu
je dois cette justice) Que je vous trahis seule,
elle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l’aimable
vertu
doux et puissants attraits ! Tout respire en Esth
un zèle trompeur à vos yeux revêtu, Contre notre innocence arma votre
vertu
. Et quel autre, grand Dieu ! qu’un Scythe impitoy
heure l’assiège ; Mathan, de nos autels infâme déserteur, Et de toute
vertu
zélé persécuteur. C’est peu que, le front ceint d
raélite. Le ciel en soit béni ! Mais ce secret courroux, Cette oisive
vertu
, vous en contentez-vous ? La foi qui n’agit point
au milieu de ce peuple abattu ? Benjamin est sans force, et Juda sans
vertu
: Le jour qui de leurs rois vit éteindre la race
mable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la
vertu
sous une affreuse image. Hélas ! ils ont des rois
e suivre, Sûre que les remords qui saisissent ton cœur Naissent de ta
vertu
plus que de ton malheur… Zénobie a promis de ven
ttre. Je connais la fureur de tes soupçons jaloux ; Mais j’ai trop de
vertu
pour craindre mon époux. À la fin du quatrième a
nant, n’eussent pas offensé trop souvent la religion, la morale et la
vertu
. Doué de tous les genres d’esprit, de celui des a
n bonté. Hélas ! si comme vous il était sanguinaire, S’il n’avait des
vertus
, vous n’auriez plus de père. Avez-vous oublié qu’
s genoux. « Alvarez, me dit-il, Alvarez, est-ce vous ? « Vivez, votre
vertu
nous est trop nécessaire : « Vivez, aux malheureu
nt. Je connais mal peut-être une loi si nouvelle ; Mais j’en crois ma
vertu
, qui parle aussi haut qu’elle. Zamore, tu m’es ch
endre à mourir en regardant Zamore. GUSMAN, à Zamore. Il est d’autres
vertus
que je veux t’enseigner : Je dois un autre exempl
nne de te plaindre et de te pardonner726. ALVAREZ. Ah ! mon fils, tes
vertus
égalent ton courage. ALZIRE. Quel changement, gra
le, égaré, confondu. Quoi donc ! les vrais chrétiens auraient tant de
vertu
! Ah ! la loi qui t’oblige à cet effort suprême,
, la foi ; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de moi ; Tant de
vertu
m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être
mérite À l’abri de ses traits errants ; Que la calomnie écoutée À la
vertu
persécutée Porte souvent un coup mortel, Et pours
après sa mort746. Oui, la mort seule nous délivre Des ennemis de nos
vertus
; Et notre gloire ne peut vivre Que lorsque nous
sauve au moins par la fable Des ennuis de la vérité. C’est par cette
vertu
magique Du télescope poétique Que je retrouve enc
mon travail de justes récompenses. « Jeune ami, j’ai trouvé quelques
vertus
en toi ; Va, sois heureux, dit-il, et te souviens
ra sans douleur sa vieillesse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses
vertus
pour appui Et des fils, s’il se peut, encor meill
le crime heureux tout languit abattu, Malheur au citoyen coupable de
vertu
Et dont la gloire offense, à Rome ou dans l’armée
a Fontaine demandait-aux neuf sœurs de lui apprendre Les noms et les
vertus
de ces clartés errantes Par qui sont nos destins
reprochait « de n’avoir pas marqué dans ses Maximes assez de foi à la
vertu
. » C’est ce qui fait que J.-J. Rousseau a appelé
uet, une armée d’allégories à demi païennes, figurant les qualités et
vertus
du défunt, remplissait l’église : on ne voyait pa
onservé toute sa confiance. Saint-Simon, dans l’admirable tableau des
vertus
et de la mort de ce jeune prince, remarque, au su
sur ce point, ont, par une confiance téméraire, exalté à l’excès nos
vertus
naturelles, « il est resté dans les lignes de la
es, puisqu’il ramena toutes ses pensées à deux points invariables, la
vertu
et la soumission aux arrêts de la Providence. De
un ennemi chimérique. Jamais en effet Molière n’a songé à traduire la
vertu
sur la scène et à la rendre ridicule : il a voulu
créditer la misanthropie, qui, si elle n’est pas incompatible avec la
vertu
, a du moins le tort très grave de la dépouiller e
ence bienfaitrice. La conclusion morale de la pièce est celle-ci : la
vertu
véritable consiste non seulement à éviter de tout
ons le répéter, c’est dans un défaut de son caractère, et non dans sa
vertu
, que l’auteur a placé le ressort de sa pièce. 53
d’intérêt de Monime, qui était Grecque de nation et renommée pour sa
vertu
. La scène se passe à Nymphée, port de mer sur le
d’admiration. Le spectacle de la méchanceté démasquée et punie, de la
vertu
et de la piété arrachées aux embûches de leurs en
’être comparé a la Pauline de Corneille : Zénobie a la noblesse et la
vertu
de l’héroïne romaine. 694. Cette scène, si attac
trer qu’il n’est nullement inaccessible aux affections naturelles. La
vertu
douce et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à s
lle dont Gratien a orné votre tête : vous ne la tiendrez que de votre
vertu
. On a détruit vos statues. Ah ! qu’il vous est fa
et aux injures : ouvrages de la clémence et aussi immortelles que la
vertu
même, celles-ci seront placées dans tous les cœur
p des rebelles en sujets fidèles et affectionnés, c’est l’effet d’une
vertu
divine. Quelle conquête une seule parole peut vou
paraissons au tribunal de la suprême justice ; voilà le langage de la
vertu
et de la religion ; n’est-il pas plus entraînant
de caractère. « Ouvrages de la clémence et aussi immortelles que la
vertu
même, celles-ci seront placées dans tous les cœur
a dans tous les cœurs, et qui perpétueront à jamais le souvenir de sa
vertu
, à des statues vivantes et impérissables ; mais l
u bien celui que le même orateur établit dans pro Marcello, entre les
vertus
guerrières de César et sa clémence. La traduction
de la patrie. Dans le genre démonstratif, c’est l’amour ardent de la
vertu
, l’admiration ou la reconnaissance de grandes ver
mour ardent de la vertu, l’admiration ou la reconnaissance de grandes
vertus
, de grands services. La probité de l’orateur nous
’on appelle son autorité. L’autorité est cet ascendant naturel que la
vertu
et les talents d’un homme ont sur ceux qui senten
ments d’admiration, de reconnaissance ou d’émulation pour les grandes
vertus
. L’exorde est véhément lorsque l’orateur, emporté
rmes, il est d’une incroyable fermeté. Il ne voit l’exil que là où la
vertu
ne peut être ; la mort lui paraît le terme de la
s, de la pusillanimité de nos lamentations, à la contemplation de tes
vertus
, auxquelles ne conviennent ni les pleurs ni les g
notre faiblesse nous le permet, c’est surtout par l’imitation de tes
vertus
que nous devons t’honorer. Voilà les vrais hommag
s ; qui n’abandonne rien au hasard de ce qui peut être conduit par la
vertu
, capable enfin de tout oser quand le conseil est
Sénèque, et ce même Burrhus, « Qui depuis… Rome alors estimait leurs
vertus
. Et dans Phèdre : « Prenez garde, seigneur, vos
ce quelque chose de plus formidable qu’à Rocroy ; et pour éprouver sa
vertu
, la guerre va épuiser toutes ses inventions et to
rop fortunée de ses entreprises, et de ses fameuses victoires dont la
vertu
était indignée, ni cette longue tranquillité qui
ieux obéir. » Le parallèle rapproche les actions, les personnes, les
vertus
et les vices ; compare, pèse et juge s’il y a éga
urs vous être un cher entretien ! ainsi puissiez-vous profiter de ses
vertus
! Et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
rince, de cette victoire ; jouissez-en éternellement par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
haume et ces foyers rustiques qu’habitaient jadis la modération et la
vertu
? Quelle splendeur funeste a succédé à la simplic
igne de Rome, est celui de conquérir le monde, et d’y faire régner la
vertu
. Quand Cynéas prit notre sénat pour une assemblée
de périls, que de ressources ! Vit-on jamais en deux hommes les mêmes
vertus
, avec des caractères si divers, pour ne pas dire
Le temps était-il arrivé où il devait recueillir le fruit de tant de
vertus
chrétiennes, et recevoir de vous la couronne de j
e de saint Louis. (Fragment.) Gouvernement de saint Louis : ses
vertus
civiles et militaires. Le saint roi rendit aux
voir en quels termes ce prince, « qui fut un prodige de raison et de
vertu
dans un siècle de fer », a été loué par Voltaire.
hommes. Sa piété, qui était celle d’un anachorète, ne lui ôta aucune
vertu
de roi. Une sage économie ne déroba rien à sa lib
é que malheureux. Il n’est pas donné à l’homme de porter plus loin la
vertu
. » Cf. M. de Châteaubriand, dans ses Etudes histo
eurs, puisqu’il y a tant d’écrivains qui n’avaient assurément pas les
vertus
qu’ils font aimer par leurs ouvrages ? On répond
s ont écrit, ils ont dû nécessairement être remplis de l’amour de ces
vertus
: et comment auraient-ils pu nous les peindre si
n est tracé ; rien ne vous retient plus : Vous n’avez qu’à marcher de
vertus
en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez l
é ; rien ne vous retient plus : Vous n’avez qu’à marcher de vertus en
vertus
. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime,
e. Mais je vois que mes pleurs touchent mon empereur ; Je vois que sa
vertu
frémit de leur fureur. Il n’est aucun homme sens
, que dans le brillant de la jeunesse et de ses victoires, et dont la
vertu
éprouvée par la disgrâce, força enfin la fortune
otre bonheur. 6º. L’honnêteté : elle consiste dans le respect pour la
vertu
, que l’auteur de la nature a gravée dans notre âm
squ’il est bien écrit, lorsqu’il est instructif, lorsqu’il respire la
vertu
. Mais il est bien essentiel d’observer qu’un ouvr
vertu. Mais il est bien essentiel d’observer qu’un ouvrage, où cette
vertu
ne serait pas respectée, réunît-il d’ailleurs tou
ui de proposer à l’admiration, à l’émulation, à la reconnaissance les
vertus
et les talents qui ont honoré l’humanité, et de f
est vraiment louable, et que son art, qui est celui de faire aimer la
vertu
, ne soit jamais celui d’excuser le vice. La philo
les d’oraisons funèbres, consacrées par la piété reconnaissante à des
vertus
qui n’avaient pas pour elles l’éclat du nom ou la
cru pouvoir déroger à ses usages ; et il est beau que ce soit pour la
vertu
modeste et ignorée. Le genre de l’oraison funèbre
es fers, et traîné des fers à l’échafaud ; une reine illustre par ses
vertus
et par son courage, contrainte de fuir à travers
aticale Phrase à analyser. « Religion, quel est ton empire ! que de
vertus
te doivent le humains ! Oh ! qu’il est heureux le
ng., sujet de est. que. Pour combien, adv., formant avec les mots de
vertus
le complément ou régime direct du verbe doivent.
s le complément ou régime direct du verbe doivent. de. Préposition.
vertus
. Nom com. f. pl. complétant, à l’aide de la prépo
aire. Idem. Pensées recueillies dans Pascal. Il n’est point de
vertu
sans sacrifice. Malgré la vue de toutes nos misèr
seur de bons mots, mauvais caractère. Je n’admire point l’excès d’une
vertu
comme de la valeur, si je ne vois en même temps l
e vertu comme de la valeur, si je ne vois en même temps l’excès de la
vertu
opposée, comme en Epaminondas, qui avait l’extrêm
ouve un homme. La vraie nature de l’homme, son vrai bien, et la vraie
vertu
, et la vraie religion, sont choses dont la connai
les illustres malheurs Peuvent aussi se promettre vos pleurs. Sur sa
vertu
par le sort traversée, Sur son voyage et ses long
vivre au sein de nos lares, Et conserver, paisibles casaniers, Notre
vertu
dans nos propres foyers, Que parcourir bords loin
naguère un perroquet fameux, A qui sont art et son cœur généreux, Ses
vertus
même, et ses grâces badines, Auraient dû faire un
taine, parlant d’un pèlerin : Prou de pardons il avait rapporté ; De
vertu
, peu : chose assez ordinaire. 1. Autresfois, e
rt de tous avec une libéralité d’invention qui rappelle l’inépuisable
vertu
des forces créatrices dont le mystère se cache au
la sagesse des consuls, et dans le temps où régnait la vigueur de la
vertu
romaine. J’avoue qu’il y a eu des âges où la com
’attendrir à la vue d’une passion honnête ; et c’est un haut étage de
vertu
que cette pleine insensibilité où ils veulent fai
sque nous vivons en infâmes ? Non, non, la naissance n’est rien où la
vertu
n’est pas. Aussi nous n’avons part à la gloire de
suivre les pas qu’ils nous tracent, et de ne point dégénérer de leur
vertu
, si nous voulons être estimés leurs véritables de
qu’un gentilhomme qui vit mal est un monstre dans la nature ; que la
vertu
est le premier titre de noblesse ; que je regarde
te non interrompue de belles actions et de beaux ouvrages, de grandes
vertus
et de talents supérieurs, les circonstances de sa
eurs lois que j’ai rétablies, le génie sacré de nos législateurs, les
vertus
de nos ancêtres, l’amour de mes concitoyens qui m
réveille et ranime pour un moment quelques étincelles, du moins, des
vertus
ou des talents qui les ont immortalisés ! 89. C
lent incontestable pour faire l’éloge du vice et tâcher de décrier la
vertu
, je suis en droit de dire que cet homme ne sera j
, l’orateur qui me parlera des douceurs du crime et des fadeurs de la
vertu
corrompra son art, au lieu de l’améliorer ; il se
on doit craindre de la dégrader, en l’éloignant de la vérité et de la
vertu
qui sont les sources du beau, pour la faire servi
e vous conseille, et vous saurez choisir : Restez dans le sentier des
vertus
difficiles2 ; Votre âge a des devoirs plus doux q
us d’hommes. 5. Le vieux sol, ce sont les antiques croyances, et les
vertus
de famille. 6. L’ironie précoce est un symptôme
ue ses jeunes sentiments et ses vieilles pensées. » Joubert. 3. « La
vertu
est la santé de l’âme. Les vertus rendent constam
ieilles pensées. » Joubert. 3. « La vertu est la santé de l’âme. Les
vertus
rendent constamment heureux ceux qui les ont. Ell
de ce qu’il y a de plus vertueux qu’ils veulent perdre les amis de la
vertu
. Et ceux qu’ils n’ont pu renverser par la violenc
es du Forum, voulaient se jeter sur mon frère, sur un frère rempli de
vertus
, de courage et d’attachement pour ma personne. Il
coups et par les meurtres ? Les premiers donc que distinguèrent leur
vertu
et leur sagesse, ayant étudié la nature de l’espr
s seul est mortel, que les conceptions de leur âme et la gloire de la
vertu
sont éternelles ; et si nous voyons cette opinion
érable, dont l’immortalité même vint, dit-on, recueillir l’âme et les
vertus
, dès que les flammes du bûcher eurent consumé son
solent tant ? » Lui ; « Ce sont les supplices De la race qui fut sans
vertus
et sans vices, Tels sont les habitants de cette r
rûlant désir de passer cette fange. Or, jamais âme humaine, éprise de
vertu
, N’est descendue ici ; c’est pour cela, vois-tu,
; Vos visages sont doux, car douce est votre voix. Qu’aimable est la
vertu
que la grâce environne ! Croissez, comme j’ai vu
cite l’honneur dans un cœur abattu ; Proverbes éternels dictés par la
vertu
; Morale populaire à force de génie, Et que ses a
té ne peuvent devenir la loi de l’État ; elles cesseraient d’être des
vertus
. Notre tâche est de les faire prévaloir sur nos m
nous admirons aujourd’hui dans le parlement anglais, paraît avoir été
vertu
familière à tout citoyen grec. Le goût et le tale
era ses mouvements les plus sublimes ; elle saura intéresser pour une
vertu
ignorée ; elle fera couler des larmes pour un hom
nte ; mais quand il y aurait du péril, que c’est le propre d’une rare
vertu
de se signaler plutôt dans la tempête que dans le
ids donné du même coup à leurs contraires et à la cabale opposée ; la
vertu
de ressort qui pousse dans cet instant leurs mené
es difficultés étaient grandes, même pour un roi qui aurait joint aux
vertus
douces et aux excellentes intentions de Louis XVI
sur le principe d’autorité, rien ne lui résiste, ni la raison, ni la
vertu
, ni l’héroïsme. Le principe d’autorité est un ins
leur ! Ne plaignons pas le sort du juste qui succombe, Sa force et sa
vertu
renaissent de la tombe. C’est au prix de son sang
Te nomme grandeur de courage, Valeur, prudence, fermeté. Du titre de
vertu
suprême Il dépouille la vertu même, Pour le vice
Valeur, prudence, fermeté. Du titre de vertu suprême Il dépouille la
vertu
même, Pour le vice que tu chéris : Et toujours se
e le sort remporte pour eux ; Et que, devant ses yeux stoïques, Leurs
vertus
les plus héroïques Ne sont que des crimes heureux
J’admirerai dans Alexandre Ce que j’abhorre en Attila ? J’appellerai
vertu
guerrière Une vaillance meurtrière Qui dans le sa
rons de tels exploits ! Est-ce donc le malheur des hommes Qui fait la
vertu
des grands rois ? Leur gloire, féconde en ruines,
loire ne soit qu’à lui ! C’est un roi que l’équité guide, Et dont les
vertus
sont l’appui ; Qui, prenant Titus pour modèle, Du
i fit oublier ses fureurs. Montrez-nous, guerriers magnanimes, Votre
vertu
dans tout son jour : Voyons comment vos cœurs sub
masque tombe, l’homme reste, Et le héros s’évanouit. L’effort d’une
vertu
commune Suffit pour faire un conquérant : Celui q
dans ses disgrâces méconnu de ceux qu’il aimait. L’injure a flétri sa
vertu
, et il a été offensé de ceux dont il ne pouvait p
pas laisser assez de bien pour payer ses dettes, et n’a pu sauver sa
vertu
de cette tache. Si l’on cherche quelque raison d’
e est plus honnête que calculée, car le calcul poursuit l’utile et la
vertu
, le beau. À cet âge plus qu’à tout autre, ils aim
ve en ce relâchement, Et, de notre déclin signe plus alarmant ! Cette
vertu
qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de
ÉE. Et votre empire en est d’autant plus dangereux, Qu’il rend de vos
vertus
les peuples amoureux, Qu’en assujettissant vous a
espect sont de justes tributs Qu’aux plus fiers ennemis arrachent les
vertus
Ah ! si je pouvais vous rendre à la république, Q
u de mérite. Ose me démentir ; dis-moi ce que tu vaux ; Conte-moi tes
vertus
, tes glorieux travaux, Les rares qualités par où
rendre. Je ne veux point encore, en lui manquant de foi, Donner à sa
vertu
des armes contre moi. J’oppose à ses raisons un c
ISSE. Burrhus ne pense pas, seigneur, tout ce qu’il dit : Son adroite
vertu
ménage son crédit ; Ou plutôt ils n’ont tous qu’u
rrhus conduit son cœur, Sénèque son esprit. Pour toute ambition, pour
vertu
singulière, Il excelle à conduire un char dans la
être, à votre place, eût eu Plus de haine que vous, sire, et moins de
vertu
. LE ROI. Mais peut-être Louis avec votre génie Au
ne fois vous arrive ! Ne vous abusez pas sur votre mission : C’est la
vertu
des rois que l’abnégation, Et n’appréhendez pas q
’avoir tant combattu. À quoi bon les efforts du patriote austère ? La
vertu
fut toujours trop rare sur la terre, Et l’on se d
oreux dont les lignes ondoient, Et que tous ces grands mots, bonheur,
vertu
, raison, Dont la demi-lueur flotte sur l’horizon,
rtels destins que Dieu nous a promis55. Je sais aussi, je sais que la
vertu
succombe ; Le chemin du devoir est celui de la to
mme juste, à regret, s’en fait une arme austère ; C’est aux mains des
vertus
qu’il remet la terreur ; Il punit sans faiblesse
ient en lesse Pour flatter qui lui cède et mordre qui la blesse : Des
vertus
qu’ils n’ont plus ces détracteurs si bas. Ces ins
Aussitôt qu’il les voit dans la bouche d’autrui. Molière. La
Vertu
véritable. CLORINDE.
e sauriez-vous, âme chaste et tranquille À qui la vie est douce et la
vertu
facile, Enfant qui pour gardiens de votre tendre
i loyale Que des plus généreux elle me fait l’égale ! J’ai toutes les
vertus
du rang que j’usurpais : Ma conscience peut le re
ux bien y croire — N’est qu’un commencement de l’œuvre expiatoire. La
vertu
me paraît comme un temple sacré : Si la porte par
engeance : C’est l’encouragement et c’est la récompense De ces fières
vertus
qui dans un galetas Ont froid et faim, madame, et
oble en soi ; Tu fis bien ; mais beaucoup auraient fait comme toi. La
vertu
, qui n’est pas d’un facile exercice, C’est la per
s brigands nous ont plongés, il est encore dans notre patrie quelques
vertus
publiques, et qu’on y respecte l’humanité. Périss
a loi ayant été usurpée par la tyrannie, le mal fut appelé bien et la
vertu
crime. Dans cette douloureuse épreuve, nous n’avo
tte gloire éclatante ? N’est-ce pas qu’il savait enseigner ici-bas La
vertu
, la valeur, Mars, et l’art des combats ? BACCHUS.
que j’ai puisé mes types les plus beaux, Ces exploits éclatants, ces
vertus
immortelles Dignes de nous servir à jamais de mod
aisissait les crayons de l’éloquence et de l’histoire pour honorer la
vertu
de Turenne. Quelquefois une idée perdue dans l’an
beauté éternelle qu’il pourra enfanter et produire, non des images de
vertus
, ce n’est pas à des images qu’il s’attache ; mais
mages de vertus, ce n’est pas à des images qu’il s’attache ; mais des
vertus
réelles et vraies, parce que c’est la vérité seul
utes les espérances. E. Augier 78. La vraie Rhétorique La
vertu
du discours étant d’entraîner les âmes, celui qui
Virtutis veræ custos, rigidusque satelles. « Satellite de l’austère
vertu
, » il la défend, il la protége de toutes ses forc
e là vient que nous admirons dans ses admirables Épîtres une certaine
vertu
plus qu’humaine, qui persuade contre les règles,
il avait acquise aux montagnes d’où il tire son origine ; ainsi cette
vertu
céleste qui est contenue dans les écrits de saint
ts, si on lui en peut reprocher quelques-uns, plus estimables que les
vertus
des autres : personnage véritablement né pour la
ucoup à celui qui a écrit tant de belles pages sur la liberté, sur la
vertu
et sur Dieu ; mais réservons notre admiration tou
stérile, Que ce siècle menteur. Nos modestes aïeux Parlaient moins de
vertus
et les cultivaient mieux. Quels demi-dieux enfin
u les reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple femme en nos jours, La
vertu
qu’ils avaient n’est plus qu’en leurs discours. S
s devoirs jaloux, Exempt d’ambition, de faste, d’avarice, Ayant mille
vertus
sans avoir aucun vice, Et que tout le sénat soit
essaires sur lesquelles reposent la famille et la société, toutes les
vertus
privées et publiques, et cela par le pur ministèr
stoire, L’amour de la patrie et l’amour de la gloire, Des plus nobles
vertus
mille traits merveilleux Que notre lâcheté traite
ux connaissances les plus avancées de son temps, et plié son âme à la
vertu
par des soins et avec un art qu’il a voulu enseig
te à l’église… en robe de velours. Pourquoi pas ? Dieu veut-il que la
vertu
modeste, Se drapant d’un tartan pour vivre sans r
est donc le devoir et l’art du politique. Prévost-Paradol. La
Vertu
dans la Démocratie Il ne faut pas beaucoup de
; mais dans un État populaire il faut un ressort de plus, qui est la
vertu
. Ce que je dis est confirmé par le corps entier d
exécuter les lois se juge au-dessus des lois, on a besoin de moins de
vertu
que dans un gouvernement populaire, où celui qui
mocratie. Comme ceux qui avaient part aux affaires n’avaient point de
vertu
, que leur ambition était irritée par le succès de
lle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus qu’un faible reste de
vertu
; et comme elle en eut toujours moins, au lieu de
ne reconnaissaient d’autre force qui pût le soutenir que celle de la
vertu
. Ceux d’aujourd’hui ne nous parlent que de manufa
e commerce, de finances, de richesses, et de luxe même. Lorsque cette
vertu
cesse, l’ambition entre dans les cœurs qui peuven
iompher des forces d’Athènes qu’il était difficile de triompher de sa
vertu
. Comment Carthage aurait-elle pu se soutenir ? Lo
arthage désarmée, on peut juger de ce qu’elle aurait pu faire avec sa
vertu
, lorsqu’elle avait ses forces. Montesquieu.
e de l’homme, autant son activité l’emporte sur celle que toute autre
vertu
fait naître. Si donc l’esprit est, par rapport à
ations. (Mich. Lévy édit.) 9. Descartes a dit de même en parlant des
vertus
stoïciennes : « Souvent ce qu’ils appellent d’un
sauvages et farouches… qui a rappelé l’usage de la raison, cultivé la
vertu
, et inventé les beaux-arts. Fénelon. 70. S
oit de gouverner l’opinion publique. Son tort impardonnable, c’est sa
vertu
: Casimir Delavigne avait le génie le plus rare d
haume et ces foyers rustiques qu’habitaient jadis la modération et la
vertu
? Quelle splendeur funeste a succédé à la simplic
igne de Rome, est celui de conquérir le monde, et d’y faire régner la
vertu
. » Apostrophe. L’Apostrophe adresse direct
Homme, quel usage fais-tu ? Des plantes, des métaux tu connais la
vertu
, Des différents pays les mœurs, la politique, La
ques Rousseau, dans cet endroit de son Discours sur les Lettres. « Ô
vertu
, science sublime des âmes simples, faut-il donc t
end à faire servir à l’ambition, à la grandeur, à la politique, et la
vertu
, et la Religion, et le nom de Dieu » ? On se ser
s pieds. César, au nom des Dieux dans ton cœur oubliés, Au nom de tes
vertus
, de Rome et de toi-même, Dirai-je au nom d’un fil
nts sont sublimes, dit l’Abbé Batteux (2), quand fondés sur une vraie
vertu
, ils paraissent être presque au-dessus de la cond
he : Je connais la fureur de tes soupçons jaloux ; Mais j’ai trop de
vertu
pour craindre mon époux. Son âme inaccessible à
le dire ; car je suis fort touchée de ces sentiments, et ce sont des
vertus
: mais il fallait le dire sans chercher des terme
chose, et dont on ne doit pas passer sous silence les talents et les
vertus
. Cicéron est admirable dans ces sortes de lettres
sser sous silence la lettre que le Duc de Montausier, cet homme d’une
vertu
si pure, si droite, si ferme et si courageuse, éc
uves que vous avez données de bravoure et d’intrépidité : ce sont des
vertus
héréditaires dans votre maison. Mais je me réjoui
ce du mois de Septembre 1758. Elle contient de trop grandes leçons de
vertu
, pour que je doive craindre de la citer tout enti
par un côté ce que l’amour fait toujours perdre de l’autre à l’exacte
vertu
. « J’allais mettre 5°., mon cher frère ; mais la
orme, le ton et le style de l’éloge, tout est aussi neuf ici, que les
vertus
mêmes qui l’inspiraient. Disciple et ami (deux ti
l’élève ; mais, peu content de cet hommage tacite rendu partout à la
vertu
sublime de Socrate, Platon crut devoir à sa mémoi
nte ; c’est de ne les point épargner, si vous les voyez préférer à la
vertu
les richesses ou quelque chose au monde que ce so
omparaison de ces grands traits de la véritable éloquence, louant des
vertus
réelles, les éloges trop vantés et si peu lus d’I
sont les passions, les intérêts, les accidents de tous les jours, les
vertus
, les vices, les mœurs, les usages, les caractères
re de l’imagination, il porte atteinte au bon goût, à la vérité, à la
vertu
. De nos jours, les romanciers sont souvent des ho
t. Leur âme ne doit recevoir que les inspirations bienfaisantes de la
vertu
, leur goût ne doit contempler que ce qui est pur
prit et troubler le cœur où règnent la candeur et la simplicité de la
vertu
; car ils peignent un monde idéal et factice qui
e force dans l’esprit. Son honnêteté, souvent déclamatoire, honora la
vertu
par des phrases que démentaient ses exemples. Mêl
s ravissements d’amour pour les grandes âmes ? Cet enthousiasme de la
vertu
, quel rapport a-t-il avec notre intérêt privé ? P
n’y a point de route plus sûre pour aller au bonheur, que celle de la
vertu
. Si l’on y parvient, il est plus pur, plus solide
erdre ce qui peut vous être enlevé ; apprenez à tout quitter quand la
vertu
l’ordonne, à vous mettre au-dessus des événements
un peuple digne de vos leçons ; et vous qui savez si bien peindre les
vertus
et la liberté, apprenez-nous à les chérir dans no
e ; et il n’y a point d’homme, ayant quelque hauteur d’âme et quelque
vertu
, qui pût penser, sans le plus mortel désespoir, q
t alors sur tout le cours de leurs années, ils ne trouvent souvent ni
vertus
ni actions louables qui les distinguent les unes
réfère souvent se soumettre à la pauvreté et à tonte la rigueur de la
vertu
, plutôt que d’acquérir des biens illégitimes ? Po
ce de l’Évangile dont il détruisait les dogmes, peindre la beauté des
vertus
qu’il éteignait trop souvent dans l’âme de ses le
d’idées : rapprochons un moment le poète de l’orateur. Ô combien de
vertus
que la tombe dévore ! Combien de jours brillants
nt chaque jour une partie de toi-même, ce n’était que par un excès de
vertu
que tu n’étais point malheureux ; et cette vertu
que par un excès de vertu que tu n’étais point malheureux ; et cette
vertu
ne te coûtait point d’efforts. Je t’ai toujours v
ce ; mais le temple de la clémence, que les Romains élevèrent à cette
vertu
triomphante en la personne de Jules César, est un
Jules César, est un plus grand, et un plus beau nom encore. Si cette
vertu
n’offre pas un temple à votre majesté, elle lui p
iolence et sans faire tort à ses sujets, elle peut exercer toutes ces
vertus
ensemble ? L’avenir, sire, peut être prévu, réglé
voie sur les bords du lac. Ce fut le mérite de son éloquence et de sa
vertu
. Vers 1602, il vint prêcher le Carême à Paris dan
es perles, ne se charge pas de coquilles, et ceux qui prétendent à la
vertu
ne s’empressent point pour les honneurs. Certes,
rgent pas aussi beaucoup leur navire : ainsi ceux qui prétendent à la
vertu
ne laissent pas de prendre leurs rangs et les hon
riser leur corps, à le sacrifier pour donner à l’âme le plaisir de la
vertu
et de la gloire. Chez eux, ce n’étaient pas seule
les possédaient ; à croire qu’on ne peut se rendre heureux que par la
vertu
. Cet esprit s’était si fortement établi dans ces
ie en pleurs les Français abattus Vont raconter sa mort, digne de ses
vertus
; Et la Chevalerie, inclinant sa bannière, Pose s
yez fidèles. » Sans doute, en ce moment, le couvrant de ses ailes, La
vertu
du Très-Haut, qui nous sauve aujourd’hui, Aplanis
ans doute, en cette courte vie, Nous accorder le prix qu’il doit à la
vertu
; Vainement pour son nom nous avons combattu. Res
ie future ; il en trouvait la preuve invincible dans sa religion, ses
vertus
et ses malheurs. Enfin, vers les trois heures de
observation de petites formalités ; il consiste pour chacun dans les
vertus
propres à son état. Un grand prince ne doit pas s
là ce que la morale païenne n’avait pas seulement imaginé. Toutes les
vertus
humaines étaient chez les anciens ; les vertus di
nt imaginé. Toutes les vertus humaines étaient chez les anciens ; les
vertus
divines ne sont que chez les chrétiens. Voir d’un
re des pauvres, qu’il soulageait lui-même ! Et cependant à toutes ces
vertus
de saint, il savait unir la plus téméraire bravou
ont été de ceux qui ne peuvent avoir pour instruments que de grandes
vertus
. Cardinal de Retz. Les Ministres de Charles
Capell avait porté dans le Parlement, à la cour, dans les camps, les
vertus
fortes de sa famille, et Charles Ier avait éprouv
naissance Qu’on en voit déjà le bout ; Et la fortune, amoureuse De ta
vertu
généreuse, Trouve de si doux appas À te servir et
sme déborda, Où rien de bon ne fait séjour ; Où partout la
vertu
montre bientôt la corde, Où le héros n
i ; Sans cesse il faut guetter la proie ; Il faut éviter l’ennemi. Ô
vertu
, tendresse immuable ; Ô soins constants, travaux
des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les
vertus
de ces clartés errantes Par qui sont nos destins
mme aux jours fortunés des pénates antiques, Le foyer est le dieu des
vertus
domestiques. Là reviennent s’unir les parents, le
et ne durent qu’à force de patience et de sobriété, mais ces froides
vertus
sont ordinairement accompagnées du dégoût de la v
les qualités héroïques avec le plaisir, le luxe et la mollesse ; ses
vertus
ont peu de consistance ; ses vices n’ont point de
imer. La frivolité qui nuit au développement de ses talents et de ses
vertus
le préserve en même temps des crimes noirs et réf
dogme immortel, il a servi d’anneau à une chaîne immense de foi et de
vertu
, et laissé aux générations qui vont naître une cr
epuis offertes, il les a embrassées ; et celles qui n’étaient pas, sa
vertu
et son étoile les ont fait naître : admirable mêm
n homme vrai, simple, magnanime, à qui il n’a manqué que les moindres
vertus
. La Bruyère. Le Prêtre Un prêtre est, pa
du repentir, instruit l’ignorant, fortifié le faible, affermi dans la
vertu
des âmes troublées par les orages des passions. A
de chrétiens, mais les chrétiens ne sont pas changés. Les plus pures
vertus
, des vertus dignes des premiers siècles, honorent
s, mais les chrétiens ne sont pas changés. Les plus pures vertus, des
vertus
dignes des premiers siècles, honorent encore le c
ils. Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez fidèle : Trop de
vertu
pourrait vous rendre criminelle, Lui-même il port
r. Allons, ma sœur, allons, ne perdons plus de larmes: Contre tant de
vertus
ce sont de faibles armes. Ce n’est qu’au désespoi
l acquis. N’imprimez pas, seigneur, cette honteuse marque À ces rares
vertus
qui vous ont fait monarque ; Vous l’êtes justemen
Maxime. Oui, j’accorde qu’Auguste a droit de conserver L’empire où sa
vertu
l’a fait seule arriver, Et qu’au prix de son sang
peut conduire à la grandeur suprême, Mais pour y renoncer il faut la
vertu
même ; Et peu de généreux vont jusqu’à dédaigner,
a le cœur lâche, mol, abattu, Et pour s’en affranchir tout s’appelle
vertu
. Vous en avez, seigneur, des preuves trop certain
and je le vois de Rome et l’amour et l’appui, Tempérant la fierté des
vertus
héroïques Par la simplicité des vertus domestique
appui, Tempérant la fierté des vertus héroïques Par la simplicité des
vertus
domestiques, Être même adoré des rois qu’il a vai
en Germanicus, Jeune encor par son âge et vieux par ses services, Les
vertus
de César affranchi de ses vices… Quand aux bords
s, mon père. Parmi tant de héros je n’ose me placer ; Mais il est des
vertus
que je lui puis tracer, Je puis l’instruire au mo
qu’elle a porté, Du règne de Néron compte sa liberté. Que dis-je ? la
vertu
semble même renaître. Tout l’empire n’est plus la
égler ; Pour bien faire, Néron n’a qu’à se ressembler. Heureux si ses
vertus
, l’une à l’autre enchaînées, Ramènent tous les an
e trop fortunée de ses entreprises, ni ses fameuses victoires dont la
vertu
est indignée, ni cette longue tranquillité qui a
ur se jouer des hommes crédules : ces hommes, qui avaient abusé de la
vertu
même, quoiqu’elle soit le plus grand don des dieu
mpies ; ils veulent encore passer pour bons, et font, par leur fausse
vertu
, que les hommes n’osent plus se fier à la véritab
tin ; Il souffre sans murmure, il jouit en silence ; Son cœur dans la
vertu
trouve l’indépendance. L’avide ambitieux, esclave
orité ; La liberté fougueuse est une tyrannie ; L’audace triompha, la
vertu
fut bannie ; Mais de sages mortels le sublime
our l’immortalité, Partout dans l’univers voit la Divinité : L’humble
vertu
le charme, il prend en main sa lyre, Et plein de
Un homme n’était honoré sur la terre qu’il cause de sa force et de sa
vertu
: il n’était point riche par des charges ou des p
en usage ; Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage, Chaque
vertu
devient une divinité : Minerve est la prudence, e
amour, souvent de remords combattu, Paraisse une faiblesse et non une
vertu
. Des héros de roman fuyez les petitesses : To
lecture touchante ; j’en étais fou dans mon enfance ; le génie et la
vertu
ne sont nulle part mieux peints ; on y peut prend
me ; là brille en pleine lumière la force de la nature ; là paraît la
vertu
sans bornes, le plaisir sans infamie, l’esprit sa
fus deux ans comme cela, et puis je dis à mon tour, comme Brutus : Ô
vertu
, tu n’es qu’un fantôme ! Cependant cet aimable st
n’es qu’un fantôme ! Cependant cet aimable stoïcien, que sa constante
vertu
, son génie, son humanité, son inflexible courage
sur la faiblesse de sa mort : c’est une extrême pitié de voir tant de
vertu
, tant de force et de grandeur d’âme vaincues, en
représentation fidèle de la vie, de la beauté, de la douleur et de la
vertu
. Émeric David. Horace et Virgile Virgil
onastère, qui ont depuis édifié le monde par leur sagesse et par leur
vertu
. On sait avec quels sentiments d’admiration et de
ême but, et cherchaient le même trésor, je veux dire la sagesse et la
vertu
. Ils vivaient sous le même toit, mangeaient à la
et à l’imiter. « Notre principale étude et notre unique but était la
vertu
. Nous songions à rendre notre amitié éternelle en
l’ombre du mal. Ils avaient grand besoin, lui et Basile, d’une telle
vertu
pour se soutenir au milieu des périls d’Athènes,
s grands discours résonner le Portique. Je tremble en l’écoutant : sa
vertu
me fait peur ; Je ne puis, comme lui, rire dans l
s sont capables des plus grands vices aussi bien que des plus grandes
vertus
; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuv
êves stériles et ne produit rien ou rien de grand. Le génie seul a la
vertu
de convertir ses conceptions en créations. Si le
t le juste est abattu ; Hé bien ! conclurez-vous qu’il n’est point de
vertu
? Tous les divers fléaux dont le poids nous accab
el la récompense que les hommes laissent à Dieu le soin de payer à la
vertu
. Jouffroy 93. La Conscience du genre humain
gloire avec ton corps aux champs de Philippes. Pourquoi dis-tu :« La
vertu
n’est rien » quand tu vas jouir du prix de la tie
doit la récompense avant le mérite, et qu’il est obligé de payer leur
vertu
d’avance. Oh ! soyons bons premièrement, et puis
, ii). 38. À l’époque de Corneille on disait indifféremment la même
vertu
ou la vertu même. 39. Théâtre. (Michel Levy édi
À l’époque de Corneille on disait indifféremment la même vertu ou la
vertu
même. 39. Théâtre. (Michel Levy édit.) 40. Ar
ppose plus que de l’éloquence ; qu’elle demande tout le courage de la
vertu
, toute l’énergie du vrai talent. Mais c’est à cel
t de prix et de mérite à la réunion des grands talents et des grandes
vertus
. L’honneur, la gloire, la vertu, l’orgueil nation
on des grands talents et des grandes vertus. L’honneur, la gloire, la
vertu
, l’orgueil national, les principes de l’équité pe
e veut et se sait défendre. Mais que sert-il de le dissimuler ? Cette
vertu
, que le roi met aujourd’hui en usage, nous est au
us excellent de persévérer dans le mal que de n’être pas assuré en la
vertu
. Il y a une infinité de gens qui feraient de bonn
ur remplir un devoir. Entre tant de pages, également inspirées par la
vertu
et le génie, notre choix était bien difficile. Au
it animer par sa valeur, il agit de tous côtés par l’impression de sa
vertu
. Jamais on n’a fait la guerre avec une force plus
t : C’est que je sais, ajoutait-il, que l’Évangile de la croix est la
vertu
de Dieu pour tous ceux qui sont éclairés des lumi
empereurs, un homme qui sans autre secours, sans autres armes, par la
vertu
seule de la croix, a vaincu l’idolâtrie, a triomp
pas plus qu’homme ? N’est-il pas homme et Dieu tout ensemble ? Quelle
vertu
la croix où nous le contemplons n’a-t-elle pas eu
ples ? Combien d’apôtres de son Évangile, combien d’imitateurs de ses
vertus
, combien de confesseurs, combien de martyrs, comb
pable de le tenter est cette sorte de gloire qui devrait naître de la
vertu
toute pure et toute simple ; mais les hommes ne l
e cas où ses souffrances viendraient à croître ; et s’il en meurt, sa
vertu
ne saurait aller plus loin : elle est héroïque, e
té, un Père de l’Église ? Que n’est-il point ? Nommez, messieurs, une
vertu
qui ne soit pas la sienne. Toucherai-je aussi vot
usqu’au bout du monde ; d’ordinaire, il demeure modeste et reculé. La
vertu
ne perce point la foule ; elle n’a ni avidité ni
servation des petites formalités ; il consiste, pour chacun, dans les
vertus
propres de son état. Un grand prince ne doit pas
urs de son temps, mais sans faste et sans luxe. Soyez héritier de ses
vertus
avant de l’être de sa couronne. Invoquez-le avec
iècles. Aussi vois-je cette fécondité qui se renouvelle toujours ; la
vertu
de la croix ne cesse d’attirer tout à elle. Regar
té exacte de nos pères, leur ingénuité, leur pudeur, passent pour des
vertus
rigides et austères d’un temps trop grossier. Sou
exte de se polir, on s’est amolli par la volupté et endurci contre la
vertu
et contre l’honneur. On ne connaît plus d’autre p
souverains, et les peuples n’aiment guère dans les souverains que les
vertus
qui rendent leur règne heureux303. Et, en effet,
ouvelles intrigues, de nouvelles passions, de nouveaux héros, dans la
vertu
comme dans le vice, qui font le sujet des louange
mis de l’avilir325 » Les vices d’Alexandre étaient extrêmes comme ses
vertus
: il était terrible dans sa colère ; elle le rend
r, je les avais employées à l’écouter : et si j’ai de l’amour pour la
vertu
, je le dois aux impressions que ses discours fais
un homme qui doit être agréable aux dieux, puisqu’il souffre pour la
vertu
. » Cependant Alexandre ayant appris que je respec
et ne durent qu’à force de patience et de sobriété, mais ces froides
vertus
sont ordinairement accompagnées du dégoût de la v
ctions la moralité qui les ennoblit, de ce qu’il lui donna droit à la
vertu
. La suprême jouissance est dans le contentement d
doit la récompense avant le mérite, et qu’il est obligé de payer leur
vertu
d’avance. Oh ! soyons bons premièrement, et puis
re avant que Socrate eût loué la sobriété ; avant qu’il eût défini la
vertu
, la Grèce abondait en hommes vertueux. Mais où Jé
us haute sagesse se fit entendre, et la simplicité des plus héroïques
vertus
honora le plus vil de tous les peuples. La mort d
vertement pour un écrivain qui inspirait l’amour des devoirs et de la
vertu
, et qui, portant ses regards plus loin, annonçait
. Allons, ma sœur, allons, ne perdons plus de larmes : Contre tant de
vertus
ce sont de faibles armes. Ce n’est qu’au désespoi
u de mérite. Ose me démentir : dis-moi ce que tu vaux ; Conte-moi tes
vertus
, tes glorieux travaux, Les rares qualités par où
t d’honneur que son dévouement ; il ne faut jamais oublier combien la
vertu
est au-dessus du talent poétique526. » Vences
ents Toujours en quelque esprit jettent un mauvais sens, Et jamais sa
vertu
, tant soit-elle connue532, En l’estime des siens
toute nue533 : Si donc, pour mériter de régir des États, La plus pure
vertu
même ne suffit pas, Par quel heur voulez-vous que
murmure, Et régnez dans les cœurs par un sort dépendant Plusse votre
vertu
que de votre ascendant ; Par elle rendez-vous dig
C’est un intérêt qui n’est pas d’importance : Il est riche en
vertus
, cela vaut des trésors ; Et puis, son père et moi
pondre : Et plus en criminel ils pensent m’ériger, Plus, croissant en
vertu
, je songe à me venger. Imite mon exemple ; et lor
es ne se trouvèrent mieux justifiées. Ajoutons que sa modestie et ses
vertus
privées égalaient ses talents. Au sein de sa fami
us mon père. Parmi tant de héros je n’ose me placer ; Mais il est des
vertus
que je lui puis tracer : Je puis l’instruire au m
qu’elle a porté, Du règne de Néron compte sa liberté. Que dis-je ? la
vertu
semble même renaître : Tout l’empire n’est plus l
égler ; Pour bien faire, Néron n’a qu’à se ressembler. Heureux si ses
vertus
, l’une à l’autre enchaînées, Ramènent tous les an
arer. Mais vous qui, jusqu’ici content de votre ouvrage, Venez de ses
vertus
nous rendre témoignage, Expliquez-nous pourquoi,
in est tracé, rien ne vous retient plus ; Vous n’avez qu’à marcher de
vertus
en vertus. Mais, si de vos flatteurs vous suivez
cé, rien ne vous retient plus ; Vous n’avez qu’à marcher de vertus en
vertus
. Mais, si de vos flatteurs vous suivez la maxime,
e… Mais je vois que mes pleurs touchent mon empereur ; Je vois que sa
vertu
frémit de leur fureur : Ne perdez point de temps,
rendre. Je ne veux point encore, en lui manquant de foi, Donner à sa
vertu
des armes contre moi. J’oppose à ses raisons un c
E. Burrhus ne pense pas, seigneur, tout ce qu’il dit745 : Son adroite
vertu
ménage son crédit ; Ou plutôt ils n’ont tous qu’u
hus conduit son cœur, Sénèque son esprit. « Pour toute ambition, pour
vertu
singulière, « Il excelle à conduire un char dans
e domine Les souveraines lois ; Alors, tout pénétré de sa
vertu
suprême, Ce n’est plus un mortel, c’est Apollon l
nt perdue Une seconde fois763 ! Telle était de Phébus la
vertu
souveraine, Tandis qu’il fréquentait les bords de
us parfait modèle Entre les dieux mortels. ; Et jamais la
vertu
n’a, dans un siècle avare, D’un plus riche parfum
COMTE. Qu’entends-je ! Juste ciel ! Fortune, ta faveur Au mérite, aux
vertus
, égale le bonheur : Oui, tu me rends mes biens, m
une preuve sûre. Grâce au ciel, votre sœur est digne de son sang : Sa
vertu
, plus que moi, la remet dans son rang. LISIMON. B
nant, n’eussent pas offensé trop souvent la religion, la morale et la
vertu
. Doué de tous les genres d’esprit, de celui des a
de l’univers ! Dieu qui formas ses traits, veille sur ton image ! La
vertu
sur le trône est ton plus digne ouvrage822. MÉROP
s. Voyez ces hommes saints, ces sublimes courages, Héros dont les
vertus
, les travaux bienfaisants, Ont éclairé la terre e
! Mais n’importe ; un grand homme au milieu des supplices Goûte de la
vertu
les augustes délices : Il le sait, les humains so
Même ingrats, il est doux d’avoir fait des heureux. Il sait que leur
vertu
, leur bonté, leur prudence, Doit être son ouvrage
orceaux choisis à l’usage de la classe de quatrième, un bel éloge des
vertus
de Turenne et, en particulier, de sa piété. 98.
entibus annis In senium… 126. Cette résignation est loin d’être la
vertu
ordinaire des vieillards. Aristote (Rhét., l. II,
crés du siècle de Louis XIV, c’est qu’ils ont tous été des modèles de
vertus
. Pour connaître celles de Bourdaloue, on lira une
e, transforma cette nature difficile, et le duc de Bourgogne, par ses
vertus
et sa piété, mérita d’être nommé sans flatterie u
elon : « Sa piété, qui était celle d’un anachorète, ne lui ôta aucune
vertu
de roi, une sage économie ne déroba rien à sa lib
é que malheureux. Il n’est pas donné à l’homme de porter plus loin la
vertu
. » 255. Tous nos grands orateurs sacrés ont pro
trompeur et doublement emprunté, puisque vous ne le tirez ni de votre
vertu
, mi même de votre bourse. » 281. Les plus brill
panche ! Est-il possible de donner plus de charme à la vérité et à la
vertu
? » 306. Le Petit Carême, prononcé en 1718 devan
ouis XV, alors âgé de huit ans, a pour objet de traiter de toutes les
vertus
et de tous les vices, dans leurs rapports avec le
bien Rousseau dans le même ouvrage, un principe inné de justice et de
vertu
, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jug
n pour les justifier, mais pour ramener par ce spectacle l’homme à la
vertu
. 415. Il ne faut pas interpréter d’une façon tro
29. Ce caractère de Ladislas, où l’on voit se combattre entre eux les
vertus
et les vices, semble avoir fourni plus d’un trait
J.-B. Rousseau : Oui, la mort seule nous délivre Des ennemis de nos
vertus
; Et notre gloire ne peut vivre Que lorsque nous
tres Romains devaient expier par la proscription leur gloire et leurs
vertus
. 717. Nourri de la lecture des anciens, Racine s
e ? 734. Remarquez l’antithèse de ces deux expressions, marcher de
vertus
en vertus et courir de crime en crime. La seule o
. Remarquez l’antithèse de ces deux expressions, marcher de vertus en
vertus
et courir de crime en crime. La seule opposition
e ces deux termes est une leçon de morale : elle nous rappelle que la
vertu
s’acquiert et se développe par des efforts patien
rou : Un crime pourrait bien être un essai de l’autre. Ainsi que les
vertus
, les crimes enchaînés Sont toujours ou souvent l’
rait aujourd’hui manquer de noblesse. 745. Tel est l’ascendant de la
vertu
, a remarqué La Harpe, que Narcisse ne croit pouvo
tomber son orgueil, bien plus qu’il ne fut victime de son inflexible
vertu
, comme il l’a dit dans son ode à la Postérité (IV
s de l’ignorance du vice que nous n’en avons de la connaissance de la
vertu
. De sorte qu’en ce royaume de demi-lieue on ne sa
héroïsme est le principal ressort de son théâtre. Il nous propose des
vertus
altières et de grands caractères, dans une langue
tâche à lui témoigner quelque reconnaissance par l’admiration de ses
vertus
, où trouvera-t-elle des éloges dignes de cette ma
actions humaines l’amour-propre, le calcul, le déguisement ; pas une
vertu
ne trouve grâce devant son humeur chagrine qui dé
ort en est barbare aux yeux de l’univers, Et c’est brutalité plus que
vertu
suprême. On sait bien que les pleurs ne ramèneron
imprévu trépas ; Mais la perte par là n’en est pas moins cruelle. Ses
vertus
de chacun le faisoyent révérer ; Il avoit le cœur
à Clermont-Ferrand dans une famille où l’intelligence s’alliait à la
vertu
, élevé librement par un père qui fut un homme sup
Dieu a été le fondement, le soutien et le comble de toutes ses autres
vertus
. Toi qui vois344, dans cet abrégé, la seule chose
re éternelle celui qu’il avait comblé ici-bas de plus de grâces et de
vertus
que l’étendue d’une épitaphe ne permet d’en écrir
nd plus 356 ce qu’on lui oppose357 ! (Logique de Port-Royal.) Les
vertus
Il y a des vertus qui brillent et qui éclatent
lui oppose357 ! (Logique de Port-Royal.) Les vertus Il y a des
vertus
qui brillent et qui éclatent, et il y en a qui so
âmes une plénitude de volonté358 qui renferme l’essence de toutes les
vertus
. Elles sont pénitentes, charitables, patientes, p
ntes, pauvres, sans avoir eu d’occasions extérieures de pratiquer ces
vertus
, et lors même que, par leur état, elles sont dans
e qui fait voir qu’il n’y a que Dieu qui soit le véritable juge de la
vertu
, et que nous ne pouvons en avoir que des conjectu
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » Dans cette éloquence si saine, si substantiell
prince ; quand je vois que, comme un soleil, sa munificence porte sa
vertu
jusque dans les provinces les plus reculées, que
soutient ; et qu’ainsi notre âme, supérieure au monde et à toutes les
vertus
qui le composent, n’a rien à craindre que de son
et agréables raisonnements, à se former à leur fantaisie une image de
vertu
, de laquelle ils faisaient leur idole. Ils ne rec
romu aux évêchés de Lavaur et de Nîmes, il honora l’épiscopat par ses
vertus
, comme il avait charmé les salons par ses agrémen
ous le faire paraître plus odieux ; en vain il posséderait toutes les
vertus
, les vertus les plus éclatantes prennent dans not
paraître plus odieux ; en vain il posséderait toutes les vertus, les
vertus
les plus éclatantes prennent dans notre imaginati
raités d’hypocrites, d’intrigants et d intéressés ? combien de vraies
vertus
contestées ? combien de bonnes œuvres censurées ?
cita bien des ennemis, et l’on ne saurait nier que ses incontestables
vertus
ressemblent parfois au talent de se rendre nécess
678 puissent avoir. Jetez dans leurs cœurs les semences de toutes les
vertus
; et en les instruisant songez que de leur éducat
re d’aucun parti, mais établir partout la paix. Sanctifiez toutes vos
vertus
, en leur donnant pour motif l’envie de plaire à D
hommes se relayent pour le contempler. La politesse Avec de la
vertu
, de la capacité, et une bonne conduite, l’on peut
, et il y en a d’autres qui ne servent qu’aux grands talents ou à une
vertu
solide. Il est vrai que les manières polies donne
par des peines mal ordonnées que par l’impunité792. Le temps et la
vertu
Chaque heure en soi, comme à notre égard, est
é793. Que deviendront ces modes quand le temps même aura disparu ? La
vertu
seule, si peu à la mode, va au-delà des temps795.
sur le présent ; mais soutiens-toi dans le sentier rude et âpre de la
vertu
, par la vue de l’avenir. Prépare-toi, par des mœu
8. » Alors Philomèle continua seule : « Que ce jeune héros croisse en
vertu
, comme une fleur que le printemps fait éclore ! Q
ommes, et aimé d’eux ! Que les Muses fassent naître en lui toutes les
vertus
! » Puis les deux oiseaux inspirés reprirent ense
e certains vices de l’esprit, que l’on raffine et que l’on déguise en
vertus
dans un âge plus avancé. Dieu voit la boue dont i
u’elle affadit tout, qu’elle ôte leur séve et leur force à toutes les
vertus
et à toutes les qualités de l’âme, même suivant l
age, par nos troubles et par nos remords secrets, à la sainteté de la
vertu
que nous violons ; partout un fonds d’ennui et de
itique mécontent, méconnu et entêté de chimères. Très-lié, malgré ses
vertus
austères, avec le duc d’Orléans, il n’eut d’influ
anc avec ses amis que terrible pour ses ennemis, vraiment épris de la
vertu
, sensible à toutes les délicatesses de l’honneur,
ié fut regardée comme un écueil, l’ingénuité comme une imprudence, la
vertu
comme une affectation qui pouvait rappeler dans l
restent devant le Créateur des temps et de tous les êtres. Sans cette
vertu
, l’homme n’est que l’ennemi de l’homme ; il n’est
pour s’y arrêter : Moi, je suis de mon pays1287... Les charmes de la
vertu
m’affectent plus que la difformité du vice ; je m
e couvert de tout l’opprobre du crime et digne de tous les prix de la
vertu
, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ress
obre avant que Socrate eût loué la sobriété ; avant qu’il eût loué la
vertu
, la Grèce abondait en hommes vertueux. Mais où Jé
us haute sagesse se fit entendre, et la simplicité des plus héroïques
vertus
honora le plus vil1378 de tous les peuples. La mo
se encore mieux votre conscience, quand vous voudrez la consulter. La
vertu
, monsieur, n’est pas une science qui s’apprenne a
placé vos parents et la providence : voilà le premier précepte de la
vertu
que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris
parents : c’est là que vous remplirez véritablement les soins que la
vertu
vous impose. Une vie dure est plus facile à suppo
aimables, je remercie à genoux la nature1405 de ce qu’elle a fait des
vertus
indépendantes du bonheur, et des lumières que l’a
anmoins à tout, et parle de tout sans pudeur ; en un mot, un fat sans
vertus
, sans talents, sans goût de la gloire, qui ne pre
Les grands remarquent à peine la misère, les mœurs, les talents, les
vertus
et les vices des autres hommes ; ils sont pour ce
. La plupart des hommes honorent les lettres, comme la religion et la
vertu
, c’est-à-dire comme une chose qu’ils ne peuvent n
r prendre un repas délicieux. Au contraire, un jeune homme né pour la
vertu
, que la tendresse d’une mère retient dans les mur
s et en grâces, ombre illustre, aimable génie ; toi qui fis régner la
vertu
par l’onction et par la douceur, pourrais-je oubl
soit sans défaut1440. l e comte. Paresseux, dérangé... Figaro. Aux
vertus
qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence
ustes outrages, tantôt abattu par le sentiment de son impuissance. La
vertu
seule lui manqua pour être orateur accompli. De
ante qui porte au loin. Sa correspondance fait aimer et respecter ses
vertus
antiques, austères et patriarcales1489. Une soi
en présence de ces Russes hospitaliers1494. Les souffrances de la
vertu
Il me semblé qu’il n’y aurait rien de si infor
même, ni savoir ce qu’il vaut. Les souffrances sont les combats de la
vertu
: elles ajoutent à ses mérites. Le brave s’est-il
qu’on préfère se soumettre à la pauvreté et à toute la rigueur de la
vertu
plutôt que d’acquérir des biens illégitimes ? Pou
ma vie, en remontant dans les cieux, laisse-moi l’indépendance de la
vertu
. Qu’elles viennent, ces vierges austères, qu’elle
e ciel une puissance divine, compagne assidue de la religion et de la
vertu
. Elle nous aide à supporter la vie, s’embarque av
ait plusieurs choses à la louange de cette femme morte, racontant ses
vertus
, puis, s’arrachant les cheveux, déchirant ses hab
à l’homme intérieur, à l’homme moral ; il lui inspirait l’amour de la
vertu
, l’innocence des mœurs, l’humilité, la patience ;
et graver sur ses tablettes, transmises à l’avenir, le secret de ses
vertus
et le principe du bien qu’il a fait au monde1677.
et nécessaires sur lesquelles reposent la famille et la société, les
vertus
privées et publiques, et cela par le pur ministèr
êves stériles et ne produit rien ou rien de grand. Le génie seul a la
vertu
de convertir ses conceptions en créations1695.
, de se croire ridiculement moins d’esprit, moins de mérite, moins de
vertu
que l’on n’en a ; il suffit de ne pas s’en accord
s et la virginité de l’âme. Je l’ai vu, je l’ai aimé. Il m’a parlé de
vertu
, et j’ai cru à la sienne ; il m’a parlé de Dieu,
rendu la compagnie si instructive par le savoir et si aimable par la
vertu
, que, parlant de sa petite maison du faubourg, il
ais pour t’affranchir ; car il combat déjà contre tes ennemis. Par la
vertu
et la sagesse de Dieu, il met le pied sur le cou
et contre qui il n’est pas même permis d’avoir raison. » 358. Toute
vertu
suppose, en effet, avant tout, la vaillance d’une
igines latines de notre langue. 362. Lacordaire parlait ainsi de la
vertu
: « La vertu est ici-bas le prix et le terme du
de notre langue. 362. Lacordaire parlait ainsi de la vertu : « La
vertu
est ici-bas le prix et le terme du combat contre
la mérite par une sincère estime et beaucoup de vénération pour votre
vertu
. Je n’ai point changé de sentiment pour vous depu
ains ornements ; Il ne s’abaisse point vers des âmes si hautes, Et la
vertu
sans eux est de telle valeur, Qu’il vaut mieux bi
d’avoir peint des objets qui portent au vice, ou qui représentent la
vertu
, croit avoir accompli ce qu’on attend de son pinc
nture : Quelle main sur la terre en broyë la couleur, Leurs secreltes
vertus
, leurs degrés de chaleur ; Voyez germer à l’œil l
ont assujetti la force, le nombre, les richesses, la politesse, et la
vertu
même des autres peuples. « Il y avait de la ver
politesse, et la vertu même des autres peuples. « Il y avait de la
vertu
dans les provinces, n’en doutez pas : le mépris d
risie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour
vertus
. La profession d’hypocrite a de merveilleux avant
s le monde tout ce qu’ils peuvent faire. » 649. La charité est une
vertu
religieuse et chrétienne. L’humanité est simpleme
pable de le tenter est cette sorte de gloire qui devrait naître de la
vertu
toute pure et toute simple ; mais les hommes ne l
ans le fond de notre être, que vanité et que néant, tout, jusqu’à nos
vertus
, se ressent de ce néant et tient de cette vanité
contenus les faits des grands hommes qui se sont distingués par leurs
vertus
ou par quelque action mémorable. Nous ne finissio
ons sur les mœurs) : La politesse est l’expression ou l’imitation des
vertus
sociales : c’en est l’expression si elle est vrai
ression si elle est vraie, et l’imitation si elle est fausse ; et les
vertus
sociales sont celles qui nous rendent utiles et a
à peu près dans ces termes ? 784. La Bruyère disait ailleurs : La
vertu
a cela d’heureux qu’elle se suffit à elle-même, e
arfaite : qu’elle soit à la mode, qu’elle n’y soit plus, elle demeure
vertu
. 785. Ces barbeaux qui croissent parmi les sei
la condition des personnes. 886. Fénélon unit toujours à beaucoup de
vertu
beaucoup d’ambition généreuse et de dextérité dan
oler vers les régions où l’invite cette espérance divine, fille de la
vertu
et de la mort. Cependant l’ange de paix, descenda
e comparaison a été appliquée ainsi par Sénèque : « La gloire suit la
vertu
, comme son ombre. » J’aime mieux l’emploi que Mas
ongtemps une des plus célèbres de l’Europe. On la nommait la mère des
vertus
et des sciences. Elle est aujourd’hui fort déchue
, non plus que le vôtre ; mais vous possédez l’une et l’autre tant de
vertus
que l’on compte pour rien la maigreur et ses vein
le crime heureux tout languit abattu, Malheur au citoyen coupable de
vertu
, Et dont la gloire pure offensa, dans l’armée, Ti
met au-dessus des autres hommes. La bienfaisance est la première des
vertus
. Puisque vous êtes arrivé à soixante-dix ans avec
nchantements utiles à nos mœurs; elle nous donne et le bonheur et la
vertu
! » 1371. Platon est le plus inspiré des philoso
sophe par métier, au lieu de se contenter de l’être par nature et par
vertu
. » Les sophistes, n’ayant aucun principe, discuta
agé. Le premier n’est jamais plus pathétique que quand il célèbre les
vertus
chrétiennes ; et le morceau le plus éloquent qu’a
N’estimez que le jeune homme que les vieillards trouvent poli. Les
vertus
rendent constamment heureux ceux qui les ont. Ell
pas à vous-même. On doit refuser la science à ceux qui n’ont pas de
vertu
. 1519. « On est régenté où l’on voudrait êtr
ce que la poésie est à l’imagination. « Dieu ! et de là toutes les
vertus
, tous les devoirs. S’il en est où l’idée de Dieu
el la récompense que les hommes laissent à Dieu le soin de payer à la
vertu
. » 1561. Cette Philomèle classique, ne chantan
ers, excepté de celui de consentir à leur opprobre. La première des
vertus
est le dévouement à la patrie. Le cœur d’un hom
de vivant et de puissant. Je lui souhaite perpétuellement toutes les
vertus
, toutes les ressources, toutes les lumières, tout
d pas de nous d’avoir par nous-mêmes. » 1628. Il eut rarement cette
vertu
; car il était de ces téméraires et de ces fougue
nte élite ; D’un vice ? il fut toujours l’objet de son mépris ; D’une
vertu
? son cœur en connaît tout le prix ; D’aïeux ? eh
’est jamais plus pathétique et plus touchant que quand il célèbre les
vertus
chrétiennes ; et le morceau le plus éloquent qu’a
e de l’intérêt, après une lutte héroïque, et sacrifie la fortune à la
vertu
. Regardez-le au moment où il vient de prendre cet
dée de Dieu. Rome a soumis le monde, la Grèce a vaincu l’Asie par des
vertus
. Tandis que les autres races humaines, courbées s
sur la terre grecque et aux abords du Tibre. La parole y enfanta des
vertus
inconnues de l’Orient ; elle fit de l’homme un ci
: Que la mémoire de nos pères, que leur culte, la tradition de leurs
vertus
vive au fond de nos cœurs 1771. En Corse, on app
empérer ce que l’évangile a d’austère par tout ce que la pratique des
vertus
a de plus attrayant : c’est à ces traits que tous
s philosophes, dit-il, avait mis le pardon des offenses au nombre des
vertus
; mais c’était un prétexte de vanité plutôt qu’un
prit à connaître un Dieu, à l’aimer, à le craindre ; on lui montra la
vertu
dans les règles ; on la lui rendit aimable par de
it de s’y laisser emporter, son cœur prenait en secret le parti de sa
vertu
contre sa propre faiblesse. » Ainsi vécut d’abord
ton espoir et la gloire aux champs de Philippes. Pourquoi dis-tu : La
vertu
n’est rien, quand tu vas jouir du prix de la tien
n appétit des aliments substantiels ou exquis en nous démontrant leur
vertu
par son exemple ; il puise aux sources pures avec
pandait dans mon âme et me rendait meilleur en me faisant croire à la
vertu
, au désintéressement, à l’héroïsme. Ces grands ho
es faibles images me ravissent encore sous la forme imparfaite de nos
vertus
, de notre science, de notre sagesse humaine, il l
re nature ? À vrai dire, la Rochefoucauld ne laisse subsister que les
vertus
du dehors, que des apparences. Ces apparences, po
au essayer d’admirer notre propre sagesse et de nous contenter de nos
vertus
naturelles, de nos talents, de notre science, un
de Jésus-Christ ; le troisième, de la bienveillance à laquelle cette
vertu
dispose envers tous ceux qui nous environnent : m
m bonum . On ne peut que voir avec plaisir ce rapport étroit entre la
vertu
et le plus noble des arts libéraux, et il est fac
ise et des autres qualités morales de la personne qui nous parle. Ces
vertus
donnent à ce qu’elle dit du poids et de la force
e cette remarque ne tend qu’à prouver l’influence d’une réputation de
vertu
et non de la vertu même, je dois démontrer que la
tend qu’à prouver l’influence d’une réputation de vertu et non de la
vertu
même, je dois démontrer que la vertu est encore f
réputation de vertu et non de la vertu même, je dois démontrer que la
vertu
est encore favorable à l’éloquence par des raison
ous n’avons point de plus grand et de plus noble encouragement que la
vertu
; elle nous anime d’une louable émulation, soutie
re on ne donne pas toute l’attention qu’elle mérite ; c’est que de la
vertu
réelle découlent ces sentiments qui produisent su
ommes, rien n’exerce sur leur esprit une plus grande influence que la
vertu
. Aucun langage n’est généralement mieux entendu e
ransporter un auditoire. Ici l’art et l’imitation sont sans effet. La
vertu
feinte n’a point ces nobles résultats ; c’est la
émosthène, n’étaient pas moins estimés de leurs concitoyens par leurs
vertus
et leur amour de la patrie que par leur éloquence
r amour de la patrie que par leur éloquence. Sans doute, c’est à leur
vertu
que leur éloquence dut ses plus grands effets ; e
ablement éloquents doivent donc s’exercer à la pratique de toutes les
vertus
, et donner à leurs sentiments la plus grande déli
ôt son éclat, et l’orateur ne doit plus compter sur aucun succès. Ces
vertus
, ces sentiments qu’il faut surtout cultiver, sont
nd respect pour tout ce qui porte le caractère de l’héroïsme et de la
vertu
. Rien n’est moins favorable à l’éloquence qu’un g
de tout ce qui a mérité les applaudissements universels. À toutes les
vertus
mâles et fortes, il doit unir un sentiment vif et
aits, dans ses récits, l’auteur doit toujours se ranger du côté de la
vertu
. Ce ne sont pas précisément des préceptes de mora
me écrivain estimable, il faut qu’il montre autant de respect pour la
vertu
que d’indignation pour le vice. Affecter de ne pr
et que ne pourra jamais produire l’écrivain qui n’a ni sensibilité ni
vertu
. Comme les observations que je viens de faire por
rouve cependant fort impartial. Ses écrits respirent la probité et la
vertu
. Il garde partout la gravité de l’historien. Ses
ernes. Je connais peu d’ouvrages où l’on trouve plus de sagesse et de
vertu
que dans les Mémoires de Sully ; j’en connais peu
uelque sorte, d’un coup d’œil le caractère, la tournure d’esprit, les
vertus
et les vices des hommes célèbres, et les leur fai
où nos passions nous entraînent, elles peuvent inspirer l’amour de la
vertu
et l’horreur du vice. Lorsqu’elles sont bien écri
tes avaient du moins le mérite d’être écrits sous l’inspiration de la
vertu
et de l’héroïsme. Les chevaliers étaient des modè
e. L’on y retrouve encore l’héroïsme, la galanterie, la morale et les
vertus
des romans de chevalerie ; mais les dragons, les
ent ce qu’elles ont de compatible avec l’innocence, la simplicité, la
vertu
. Dans ces limites, un observateur judicieux de la
rales et philosophiques, qui expriment les sentiments inspirés par la
vertu
, l’amitié, l’humanité : telles sont celles d’Hora
ont ceux dans lesquels il peint le bonheur attaché à l’exercice de la
vertu
, la bonté du Tout-Puissant, le tendre épanchement
genre de poésie n’est plus moral que l’épopée. Il n’exhorte pas à la
vertu
en montrant précisément toute l’importance d’une
ine, ou, en d’autres termes, d’exciter notre admiration ; et comme la
vertu
est un objet d’admiration pour tous les hommes, c
ssi les poèmes épiques soutiennent ou doivent soutenir la cause de la
vertu
. Ils nous représentent, sous les couleurs les plu
ndes et héroïques. C’est un témoignage bien honorable en faveur de la
vertu
, que les plaisirs les plus vifs et les plus délic
ents qui servent de base à la distinction établie entre le vice et la
vertu
, les compositions épiques que nous possédons suff
resse qu’à ce sentiment que tous les hommes éprouvent en faveur de la
vertu
, et fait voir assez que la nature elle-même l’a p
en sorte qu’il est nécessaire qu’ils se présentent à nous avec leurs
vertus
et leurs imperfections. Voilà pourquoi des histoi
ers ont pour base telle ou telle espèce de sagesse, de bravoure ou de
vertu
; ils font voir les traits distinctifs de chaque
ement il a peint dans différents guerriers le même courage et la même
vertu
sous tous ses traits divers, mais encore il a des
urel et de vérité, et nous instruit par les exemples de sagesse et de
vertu
que nous donnent tous les personnages que le poèt
me de bien ; si la fortune perd ses menaces quand elle s’attaque à la
vertu
; s’il suffit de vouloir ce qui est louable, et s
ure douce et calme, comme celles de la vie champêtre, des plaisirs de
vertu
, des avantages et des douceurs de la paix, parce
e que la comédie. La première a pour sujets les grandes passions, les
vertus
, les crimes et les malheurs auxquels sont exposés
ritable esprit qui doit l’animer, l’un des plus propres à inspirer la
vertu
, dont la nature a placé si profondément le germe
faut qu’ils s’appliquent à nous le faire aimer. Dans une tragédie, la
vertu
peut paraître malheureuse, mais aucun poète ne te
ettre quelques inconvenances, bien qu’ils ne montrent pas toujours la
vertu
sous son véritable point de vue, cependant person
ans l’esprit du spectateur des impressions favorables à l’amour de la
vertu
et au développement des sentiments généreux. Ains
Selon Aristote, le but de la tragédie est de ramener les hommes à la
vertu
par la pitié et la terreur. Cette proposition a q
la tragédie, en disant qu’elle tend à développer notre penchant à la
vertu
. Lorsqu’un auteur nous intéresse en faveur de la
penchant à la vertu. Lorsqu’un auteur nous intéresse en faveur de la
vertu
, lorsqu’en traçant un tableau des vicissitudes de
aître assez en butte aux coups de la fortune, les dangers auxquels la
vertu
est exposée peuvent y produire des émotions assez
us laisser en proie à la douceur que fait éprouver le spectacle de la
vertu
persécutée. Ici se présente naturellement une que
le choix d’événements capables de disposer les spectateurs à aimer la
vertu
et à admirer la sagesse de la Providence. Mais po
rovidence. Mais pour arriver à ce but, il n’est pas nécessaire que la
vertu
se trouve toujours récompensée à la fin de la piè
en mettant sous leurs yeux des événements qui pourraient faire de la
vertu
un objet d’aversion et d’horreur. L’innocence peu
nnées de circonstances propres à faire toujours aimer et respecter la
vertu
, et à rendre même le sort des personnes qui en so
ucune émotion tendre, il n’y laisse aucune disposition favorable à la
vertu
ou à l’humanité. Il faut convenir que les sujets
us critiques de la vie ; que cette personne soit ou non disposée à la
vertu
, elle sera, dans ces circonstances, naturellement
le poète doit-il saisir ces occasions pour prêter plus d’intérêt à la
vertu
. Shakspeare, par exemple, dans le monologue du ca
médie, et la raison en est fort simple. Les grands vices, les grandes
vertus
, les grandes passions sont les mêmes chez tous le
’on y voit fréquemment confondus ensemble les anges et les dieux, les
vertus
et les vices, la religion chrétienne et la mythol
e modeste, et jamais il n’y manque au respect dû à la sagesse et à la
vertu
. Molière, à ces grandes qualités, joint cependant
pas le vice et l’extravagance, mais presque toujours la sagesse et la
vertu
. Au dénouement, le libertin s’amendait en apparen
s louer de ce qu’elles n’ont rien qui puisse offenser la morale et la
vertu
. Nous sommes incontestablement redevables de cett
l’amour est regardé comme une faiblesse ; dans Milton seul il est une
vertu
. Le poète transporte le lecteur dans un jardin de
air était de mépriser beaucoup sa femme, laquelle était un modèle de
vertu
et de raison. Cette jeune femme l’accablait de bo
difficile d’en racheter l’uniformité. Trop de personnages parlent de
vertu
, et ils en parlent trop. Au reste, ce défaut, qui
s modèles, mais qu’il tâche de réunir en lui toutes leurs différentes
vertus
. » 9. La description que nous donne César de la
vante les douceurs d’une table frugale ; Qu’il célèbre les lois, les
vertus
et la paix : Surtout qu’il soit fidèle à garder l
a parole que pour la pensée et de la pensée que pour la vérité, et la
vertu
. 4. Du genre judiciaire. — Le genre judiciaire
esque tous les éloges et les panégyriques sinon des exhortations à la
vertu
? — Bossuet a pris pour texte de l’oraison funèbr
heur à quelque oiseau. 10. De l’emploi des mœurs. — Telles sont les
vertus
sur lesquelles l’orateur doit établir son autorit
it croire qu’il les a dans le cœur ; c’est à la fois le langage de la
vertu
et de l’affection. Au contraire, les conseillers
teur par ces principes odieux et ignobles ; La justice n’est pas une
vertu
d’État : Le choix des actions ou mauvaises ou bon
a des mœurs réelles lorsqu’il a véritablement et au fond du cœur les
vertus
que nous avons nommées ; il a des mœurs oratoires
es vertus que nous avons nommées ; il a des mœurs oratoires quand ces
vertus
se peignent dans tout son discours. Ce n’est pas
runté à Bossuet : Dieu accorde les vrais biens à la prière ; or, les
vertus
sont les vrais biens : donc Dieu accorde les vert
prière ; or, les vertus sont les vrais biens : donc Dieu accorde les
vertus
à la prière. Il n’est pas de raisonnement qu’on
: Dieu accorde les vrais biens à la prière : donc il lui accorde les
vertus
. L’enthymène est, dit Aristote, l’argument propr
té par Beaumarchais à Figaro ; et il n’a pas cessé d’être vrai : Aux
vertus
qu’on exige d’un domestique, Votre Excellence con
t de la conscience, qui commande, affermit et perfectionne toutes les
vertus
, établit de nouveaux rapports de bienfaisance sur
ns nos ennemis, dans l’Etre suprême un père ; la religion du cœur, la
vertu
en action, le plus beau de tous les codes de mora
prépare l’éloge de Turenne en énumérant : Les effets glorieux.de la
vertu
militaire : conduites d’armées, sièges de places,
renne en l’opposant d’abord aux généraux qui n’ont pas eu toutes ses
vertus
. Si M. de Turenne n’avait su que combattre et va
vait su que combattre et vaincre, s’il ne s’était élevé au-dessus des
vertus
humaines, si sa valeur et sa prudence n’avaient é
es jours dans l’aveuglement et dans l’erreur, je louerais en vain des
vertus
que Dieu n’aurait pas couronnées… mais, grâces à
r. C’est par là qu’Hippolyte est connu dans la Grèce ; J’ai poussé la
vertu
jusques à la rudesse. On sait de mes chagrins l’i
légitimes Peut violer enfin les droits les plus sacrés. Ainsi que la
vertu
, le crime a ses degrés.... Élevé dans le sein d’u
reur contre la cruauté, la compassion pour la misère, l’amour pour la
vertu
. C’est ce que Platon appelle agir sur l’âme et ém
ô l’honneur de nos jours ! O d’un État penchant l’inespéré secours !
Vertu
digne de Rome, et sang digne d’Horace, Appui de t
e n’être point lu ; qu’importe à Roland que son cheval ait toutes les
vertus
, s’il est mort ; il faut céder aux exigences de l
bienveillance a le grand mérite de rehausser le prix du talent et des
vertus
; elle porte un caractère de candeur qui ouvre le
est pas la timidité. Le meilleur exemple de l’alliance entre ces deux
vertus
est celui de Démosthène, disant avec une sage har
rochain avec plus d’éclat, sévère à soi-même avec plus de force et de
vertu
. — Il a été grand roi, dans la guerre et’ dans la
ette excellente division de Bossuet : Si la justice est la reine des
vertus
morales, elle ne doit point paraître seule ; auss
verrez-vous sur son trône, servie et environnée par trois excellentes
vertus
que nous pouvons appeler ses principales ministre
en même temps une leçon morale : L’épreuve la moins équivoque d’une
vertu
solide, c’est l’adversité. Et quels coups, ô mon
déjà le début de sa. Confirmation, puisque toutes les qualités et les
vertus
de la reine n’ont pu la préserver de ces coups te
s. J. J. Rousseau voulant accuser Molière d’avoir cherché à rendre la
vertu
ridicule dans la personne d’Alceste, équivoque su
par le séné ou l’opium, certains savants ont imaginé comme causes la
vertu
pulsifique, la vertu magnétique, la vertu purgati
um, certains savants ont imaginé comme causes la vertu pulsifique, la
vertu
magnétique, la vertu purgative et la vertu sopori
ont imaginé comme causes la vertu pulsifique, la vertu magnétique, la
vertu
purgative et la vertu soporifique. De même les Ch
es la vertu pulsifique, la vertu magnétique, la vertu purgative et la
vertu
soporifique. De même les Chinois voyant une horlo
t une horloge auraient pu en expliquer les merveilleux effets par une
vertu
indicatrice qui marque les heures et une vertu so
eilleux effets par une vertu indicatrice qui marque les heures et une
vertu
sonorifique qui les fait sonner. L’erreur la plu
atique du devoir, à la modération dans les désirs, à la sagesse, à la
vertu
. Le cercle vicieux est une espèce toute particuli
os du luxe : Ce vice qui en attire tant d’autres, est loué comme une
vertu
. Nous n’emportons de cette vie que la perfection
s toujours la préférence à celle-ci. Cherchez votre bonheur dans la
vertu
| et vous n’aurez point à vous plaindre de la nat
. Si l’équité régnait dans le cœur des hommes, | si la vérité et la
vertu
leur étaient plus chers que les plaisirs, la fort
comme un âge de plaisir et de relâchement mais comme un temps que la
vertu
consacre au travail et à l’application ; voilà ce
urs vous être un cher entretien ! Ainsi puissiez-vous profiter de ses
vertus
et que sa mort que vous déplorez vous serve à la
description des mœurs, c’est-à-dire dés qualités ou des défauts, des
vertus
ou des vices. Salluste en a laissé un célèbre mod
même Sénèque et ce même Burrhus Qui depuis… Rome alors estimait leurs
vertus
. Dans ce passage du Télémaque, la réticence doub
vois passer les images ? De quelle œuvre, de quelle gloire, de quelle
vertu
te dira-t-elle occupé ? — Du soin d’augmenter ton
funeste que l’assoupissement de l’âme qui croit être avancée dans la
vertu
. L’esprit, veillé et dispute contre le sommeil, s
’or, même à la laideur donne un trait de beauté. Boileau Que de
vertus
en nous un seul vice a détruites ! L. Racine.
antifs : L’argent, l’argent, dît-on, sans lui tout est stérile ; La
vertu
sans argent n’est qu’un meuble inutile ; L’argent
Turenne n’abandonne rien au hasard de ce qui peut être conduit par la
vertu
. » Le mot est impropre. — Bossuet a dit plus just
ils peuvent pour les envelopper d’un voile, afin que l’éclat de leurs
vertus
ne puissent les obscurcir. Si Marguerite d’Anjou
i l’usage le plus délicieux de la grandeur ? Pour récompenser tant de
vertus
par quelque honneur extraordinaire, il fallait tr
lle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse ; De l’aimable
vertu
, doux et puissants attraits ! Tout respire en Est
du fond, c’est-à-dire le culte de la moralité, de la justice et de la
vertu
. Ce fut l’œuvre de Socrate d’apprendre à mettre a
de Maintenon : Je suis fort touchée de ces sentiments et ce sont des
vertus
; mais il fallait le dire sans chercher des terme
Développement. — Rome, sous ses consuls, donnait des couronnes à la
vertu
; elle était libre alors. Rome, esclave sous Domi
grands hommes par des proscriptions. Accusé par l’estime publique de
vertu
et de génie, Dion fut proscrit : il abandonna san
ne noble patience, il exerçait dans les travaux les plus pénibles ces
vertus
austères que vante le philosophe et que pratique
omitien et mes maux, qui ne craigne pas le mérite et qui encourage la
vertu
. Alors, puisqu’il vous faut des combats et de la
a valeur ; maintenant il cache dans l’obscurité d’un exil éloigné des
vertus
dont Rome n’est pas digue ; il exerce dans les mé
s’il se dévoue à l’empire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la
vertu
et les dieux. Romains, vous allez décider du sort
s déposent leurs armes ; on loue la sagesse de Nerva ; on raconte les
vertus
de scs ancêtres ; un cri s’élève, et les rives du
nt la conscience ou le goût ; telle est l’analyse des principes de la
vertu
, des caractères du beau en littérature ou dans le
du repentir, instruit l’ignorant, fortifié le faible, affermi dans la
vertu
lésâmes troublées par les orages des passions. Ap
là ce que la morale païenne n’avait pas seulement imaginé. Toutes les
vertus
humaines étaient chez les anciens ; les vertus di
nt imaginé. Toutes les vertus humaines étaient chez les anciens ; les
vertus
divines ne sont que chez les chrétiens. Voir d’un
ère des pauvres qu’il soulageait lui-même. Et cependant, à toutes les
vertus
du saint, il savait unir la plus téméraire bravou
l’interprète de la pensée. — 4. La justice est la reine de toutes les
vertus
. — 5. Le souvenir des maux passés est agréable. —
la raison et de la parole. — 3. Assurément tous ceux qui possèdent la
vertu
sont heureux. — 4. Iphicrate était très-habile da
présent. — 12. Chez les Romains, l’époque de Papirius fut féconde en
vertus
. — 13. Scipion était insatiable de vertu et de vr
de Papirius fut féconde en vertus. — 13. Scipion était insatiable de
vertu
et de vraie gloire. — 14. Chez les Romains, Scévo
1. L’injure est opposée au bienfait. — 2. Le vice est opposé à la
vertu
. — 3. Les ténèbres sont le contraire de la lumièr
vigne est bon également pour les arbres. — 6. L’homme est né pour la
vertu
. — 7. La nation des Gaulois Sénonais était terrib
diorem et maledicentiorem quàm te novi neminem. corrigé. 1. La
vertu
est meilleure que la richesse. — 2. La lune est m
orum maximè ferax. corrigé. 1. De toutes les récompenses de la
vertu
, la gloire est la plus pleine. — 2. Thémistocle f
uit. corrigé. 1. Nous obéissons aux lois de la patrie. — 2. La
vertu
est le remède de l’âme. — 3. C’est un crime d’en
caresse ses tendres nourrissons. — 5. Dieu promet une récompense à la
vertu
, et menace le péché d’un châtiment. — 6. Atticus
flatterie est la compagne inséparable d’une grande fortune. — 11. Les
vertus
font l’ornement et la gloire des hommes. — 12. L’
truites par Scipion. — 9. Les jeunes gens sont portés à l’amour de la
vertu
par les conseils des vieillards. version 39.
6. L’âge d’or, pauvre en orateurs, abondait en poëtes. — 7. Certaines
vertus
ont besoin d’aiguillon, d’autres ont besoin de fr
tourne les hommes du crime. — 13. Les plaisirs détournent l’âme de la
vertu
. — 14. Les ports nous mettent à l’abri de la temp
u de celle de la mer. — 11. Souvent la volupté est aux prises avec la
vertu
. — 12. Hercule combattit le sanglier d’Érymanthe
sespéra pas de la République. — 7. L’honnêteté est le fondement de la
vertu
. — 8. Les Athéniens avaient confiance dans leurs
furent épargnés par l’ennemi. — 4. Ceux qui surpassent les autres en
vertu
sont admirés. — 5. L’apparence nous trompe souven
erner le faux ; le second, c’est de connaître le vrai. — 2. C’est une
vertu
de fuir le vice. — 3. Il est agréable de savoir.
r longtemps ; mais le général romain dut à la fortune, ou plutôt à sa
vertu
, une victoire prompte. Les Falisques étaient dans
vres des ennemis. Ainsi la conspiration fut étouffée, et Rome, par la
vertu
, la résolution, la prévoyance de Cicéron, échappa
nt de la classe des laboureurs. — 7. La noblesse a eu pour origine la
vertu
. — 8. Le Lusitanien Viriate devint de berger chas
ar la maladie ou par l’âge. — 2. Nous mesurons les grands hommes à la
vertu
, et non à la fortune. — 3. La nature a entouré et
officiosam avem viginti millibus nummorum emit. corrigé. 1. La
vertu
est estimée partout à un prix élevé. — 2. Fabius
qui aime l’homme ; il n’en a pas peur. — 4. L’envie est partout ; la
vertu
même y est exposée. — 5. Il faut mettre un frein
avides ? De gloire. — 6. De quoi avons-nous le plus grand besoin ? De
vertu
. Or, qui a besoin de vertu ? Tout le monde. Qui s
quoi avons-nous le plus grand besoin ? De vertu. Or, qui a besoin de
vertu
? Tout le monde. Qui se repent d’une bonne action
faim ? — 12. Les hommes sont-ils heureux par les richesses ou par la
vertu
? — 13. Aimeriez-vous mieux vivre à Rome, ou bien
en latin, soit du latin en grec. — 10. Que les hommes recherchent la
vertu
. — 11. Alcibiade avait et une grande politesse et
e craint parce qu’il est haï. — 5. Si Pausanias de Lacédémone eut des
vertus
brillantes, il fut pétri de vices. — 6. S’il y a
supporter mon commandement. » — 9. Que si l’intelligence, la foi, la
vertu
, la concorde se rencontrent dans l’homme, d’où ce
e la soif de l’or a fait irruption, et que l’opulence a le pas sur la
vertu
, les cœurs abandonnent l’honneur pour le plaisir.
à Rome, et que la gloire, l’autorité, la puissance en dépendirent, la
vertu
commença à se relâcher, et la pauvreté à passer p
t mortel, tandis que les beaux mouvements de l’âme et la gloire de la
vertu
ne meurent jamais. § 191. Infinitif futur for
éprisez la pudeur ; vous désirez humilier et anéantir le mérite et la
vertu
. » version 153. Humarorum casuum exemplum.
halaris, utrùm Cato an Catilina ? corrigé. 1. Qui doute que la
vertu
ne soit un trésor ? — 2. Est-il douteux que l’inj
ien ou mal ? — 12. Quelle différence y aura-t-il entre le crime et la
vertu
, si l’on n’attache aucune importance à ce qu’un h
frique, que de soumettre tout l’univers. — 8. S’il faut considérer la
vertu
seule, je doute si je ne mettrai pas Thrasybule a
plus funeste par le désastre qu’il éprouva, ou plus glorieux par les
vertus
dont il fit preuve : je croirais volontiers que c
u ciel comme une épreuve, les dieux immortels voulant s’assurer si la
vertu
romaine méritait l’empire du monde. — 5. C’est un
néantir le nom chrétien ; en effet, le vice est toujours hostile à la
vertu
, et les hommes vertueux sont considérés par les m
ité revient à lui, il tourne alors sa colère contre lui-même. — 4. La
vertu
nous attire à elle. — 5. Ajax demanda aux Grecs d
s concitoyens. — 10. Un Spartiate recommandable par sa noblesse et sa
vertu
ayant été vaincu dans sa candidature pour une cha
enderent. corrigé. 1. Il n’a encore existé aucun homme dont la
vertu
ne fût altérée par le mélange d’aucun défaut. — 2
pas paraître bienfaisant ? — 3. Il n’y a rien de plus aimable que la
vertu
, rien qui attire davantage notre affection. — 4.
le plus considérable que la main des hommes ait jamais élevé. — 8. La
vertu
est la seule chose qui puisse nous assurer l’immo
on langage ; il croyait que le chemin le plus court pour arriver à la
vertu
est de faire tous ses efforts pour être tel qu’on
renferment pas en soi la vraie gloire, que l’on ne croit due qu’à la
vertu
. — 10. La pensée n’est accordée qu’à l’homme. — 1
d’ar[illisible chars][texte coupé]ent ne doit être estimé plus que la
vertu
. — 2. Les [illisible chars][texte coupé]hamps fer
e te montrestu, mon Spurius ? Chaque pas que tu feras te remettra tes
vertus
en mémoire. » — 11. Le peuple Romain a lutté pour
rocederet. corrigé. 1. La gloire ne manque jamais de suivre la
vertu
. — 2. Fundanus a perdu sa fille : si donc vous lu
ent les petites choses nous en font comprendre de grandes. — 8. Toute
vertu
nous fait chérir les hommes dans lesquels elle pa
Il n’y a pas lieu de croire aux paroles dites dans la colère. — 9. La
vertu
ne réclame aucun autre prix de ses travaux et de
soi aucune raison d’être recherchée, elle ne laisse pas de suivre la
vertu
, comme l’ombre suit le corps. — 6. Lorsque Péricl
lus simple de ne rien dire ? Mais, dis-tu, j’aime l’antiquité pour sa
vertu
, sa probité, sa sobriété, sa modestie. Eh bien, v
avait, dit-on, promis de l’épouser. — 5. La gloire est l’ombre de la
vertu
; elle l’accompagnera même malgré elle. — 6. Hora
eunesse a besoin d’être contenue et réprimée. — 2. Je tiens plus à la
vertu
qu’à la gloire. — 3. Ce n’est pas accorder un bie
t que d’obliger à contre-cœur. — 4. Il y a des vices qui ont l’air de
vertus
. — 5. Les filles de Scipion furent dotées aux fra
st exposée à moins d’accidents, combien ne devons-nous pas estimer la
vertu
, qui ne peut ni s’enlever ni se dérober, qui ne s
aste, la profusion ; mettez votre gloire dans la simplicité ; que vos
vertus
et vos bonnes actions soient les ornements de vot
e nous aimait tous également et nous inspirait les mêmes principes de
vertu
. Maintenant la destinée, après la perte de mon pè
sservissement. Dieu pourrait-il permettre que le vice triomphât de la
vertu
? « Soyez donc pleins de confiance et d’espoir :
inspiration religieuse, ils ont compris en quoi consiste la véritable
vertu
; ils étaient hommes seulement, et pourtant ils o
ment inférieurs, eux qui se sont toujours exercés aux pratiques de la
vertu
; mais je ne vois pas quels avantages ils ont pro
à eux-mêmes en particulier. Je pense pourtant que, si l’on cultive la
vertu
, c’est pour que les gens de bien soient dans une
cience d’avoir contracté dès l’enfance l’habitude du courage et de la
vertu
, marchons contre l’ennemi qui est incapable de se
i arrivent à la fin de la carrière mortelle, participent à toutes les
vertus
. « Fils d’Israël, la base, le principe du bonheur
erez toujours prêts aux combats et invincibles. « Si vous cultivez la
vertu
, les plus grandes récompenses vous sont réservées
ts de sa providence, tant que vous persisterez dans la pratique de la
vertu
et que vous le suivrez comme guide. » Traduit de
ils la propagation de ma race et les fruits que me promettaient leurs
vertus
. En effet, plus la fin de leur vie a été noble et
procédés, si je me conduis envers eux, qui se vantent de pratiquer la
vertu
, comme ils se sont conduits eux-mêmes bien souven
nom de juges, pour vivre avec les âmes des héros qui pratiquèrent la
vertu
et la justice pendant leur existence, un tel voya
les Perses. Sers-toi de mon malheur plutôt pour mettre en évidence ta
vertu
que pour assouvir ta vengeance. Si tu adoptes le
reté a toujours été en honneur ; mais à la pauvreté s’est adjointe la
vertu
, fille de la sagesse et de la loi qui est forte ;
us avoir pour ami, c’est vous, Fabricius, qui réunissez à la fois les
vertus
civiles et les talents militaires. Mais je ne pui
ribut dû à la nature, la jalousie et la calomnie disparaissent, et la
vertu
brille entourée d’un éclat impérissable. » Tradu
ence. » Traduit de saint Jean Chrysostôme. LXXXVI. Discours de la
Vertu
à Hercule. Prodicus, sophiste d’Iulis, dans l’
nce, eut une vision, dans laquelle, sous la figure de deux femmes, la
Vertu
et la Mollesse cherchaient à l’attirer vers elles
éloges, vous les leur devez assurément. Qui n’admirerait en effet la
vertu
de ces grands hommes qui se décidèrent à quitter
érober aux mêmes dangers, mes mœurs, mes inclinations, et ces faibles
vertus
qui m’ont fait connaître, ne sont-elles pas ce qu
de tant de gloire, cet empire que nos ancêtres obtenaient grâce à une
vertu
supérieure ou à une naissance illustre ; et celui
ous ceux qui pensent, on peut craindre, dit Prévost-Paradol, « que la
vertu
ne demeure dans un dangereux voisinage de la pass
de ses défaillances, et dans l’équilibre de sa santé la raison de ses
vertus
? Cette énumération pourrait se poursuivre, et ch
parle au cœur. On sent une secrète satisfaction d’entendre parler la
vertu
: c’est l’abeille de la France. » Rollin mourut à
les succès du gouvernement et dans la félicité publique. Or, c’est la
vertu
seule qui met les hommes en état de bien remplir
si un instrument propre à procurer le bonheur de la société. C’est la
vertu
qui lui donne le goût de la véritable et de la so
l’approbation des gens de bien, rien de honteux que le vice. C’est la
vertu
qui le rend désintéressé, pour le conserver libre
il avait, au contraire, par sa conduite fait perdre aux Athéniens les
vertus
de leurs ancêtres, et qu’ils les avaient rendus p
qui peuvent nous y conduire45. Elles n’ont pas pour objet immédiat la
vertu
, mais elles y préparent ; et elles sont à son éga
hommes. Le bonheur ou la témérité ont pu faire des héros ; mais la
vertu
toute seule peut former de grands hommes ; il en
es ses forces, et l’orgueil, pour un peu de temps, peut suppléer à la
vertu
. Mais les combats de la foi sont des combats de t
à les vaincre ; et ses préceptes pompeux étaient plutôt l’éloge de la
vertu
que le remède du vice. Il était même nécessaire à
ar la force seule de la raison, l’homme aurait pu faire honneur de sa
vertu
à la supériorité de sa raison, ou à la beauté de
nneur de sa vertu à la supériorité de sa raison, ou à la beauté de la
vertu
même ; mais ces prédicateurs de la sagesse ne fir
le siège des passions et des plaisirs pouvait devenir le siège de la
vertu
et de l’innocence : quelle gloire pour la religio
éritable des grands. De tous leurs titres, le plus honorable c’est la
vertu
: un prince, maître de ses passions ; apprenant s
touché de ses fautes que des vaines louanges qui les lui déguisent en
vertus
; regardant comme l’unique privilège de son rang
touré de tous les attraits du vice, et ne leur montrant jamais que la
vertu
: un prince de ce caractère est le plus grand spe
e près, que de faibles idoles, sans âme, sans vie, sans courage, sans
vertu
, livrés dans le fond de leurs palais à de vils es
rience, au défaut du devoir, suffirait encore pour nous conseiller la
vertu
. La leçon ainsi donnée restera incertaine. Mais s
je me propose encore un autre prix, un prix que la délicatesse de ma
vertu
me reproche inutilement : c’est l’estime que le m
ar respect pour la volonté du feu Roi. Tout le monde aussi connaît sa
vertu
, son mérite, son application, sa probité, son dés
la sûreté du droit des pairs avec la grâce inouïe qu’il faisait à la
vertu
de M. le comte de Toulouse, qui la méritait par s
exemple, d’autant plus flatteuse qu’elle n’avait de fondement que la
vertu
, pour exciter cette même vertu de plus en plus au
se qu’elle n’avait de fondement que la vertu, pour exciter cette même
vertu
de plus en plus au service et à l’utilité de l’Ét
e toujours et avec tous ce qu’il était et par son caractère et par sa
vertu
, et ne faisant jamais sentir aucune espèce de sup
anté131. La manie de parler de soi. J’ai vu des gens chez qui la
vertu
était si naturelle qu’elle ne se faisait pas même
omme un prodige dont le récit doit surprendre. Si la modestie est une
vertu
nécessaire à ceux à qui le ciel a donné de grands
ente de cette cité de la terre, où les anciens Romains, pour quelques
vertus
humaines, avaient reçu des récompenses aussi vain
es vertus humaines, avaient reçu des récompenses aussi vaines que ces
vertus
. Nous avons dit que dans les premiers temps la po
exécuter les lois se juge au-dessus des lois, on a besoin de moins de
vertu
que dans un gouvernement populaire, où celui qui
mocratie. Comme ceux qui avaient part aux affaires n’avaient point de
vertu
, que leur ambition était irritée par le succès de
lle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus qu’un faible reste de
vertu
; et comme elle en eut toujours moins, au lieu de
ne reconnaissaient d’autre force qui pût le soutenir que celle de la
vertu
. Ceux d’aujourd’hui ne nous parlent que de manufa
ommerce, de finances, de richesses, et de luxe même161. Lorsque cette
vertu
cesse, l’ambition entre dans les cœurs qui peuven
iompher des forces d’Athènes qu’il était difficile de triompher de sa
vertu
. Comment Carthage aurait-elle pu se soutenir ? Lo
arthage désarmée, on peut juger de ce qu’elle aurait pu faire avec sa
vertu
lorsqu’elle avait ses forces. Esprit des Lois, l
égyrique funèbre de Louis XV, on aimera la justice rendue par lui aux
vertus
de Louis XVI, au zèle de Turgot et de Malesherbes
te de son mari. Les Mémoires du duc de Sully développèrent toutes ses
vertus
, et firent pardonner ses faiblesses : plus l’hist
égale fermeté, et sa morale elle-même a le tort grave de faire de la
vertu
moins un devoir absolu qu’un calcul de l’intérêt
er des leçons ou des exemples ? peut-on même supposer qu’il y eût des
vertus
avant la société ? peut-on dire de bonne foi que
s les malheurs viennent de la société ; et qu’importe qu’il y eût des
vertus
dans l’état de la nature, s’il y avait du bonheur
le repentir, et se croire même plus grand par le repentir que par la
vertu
, telle est l’idée fondamentale de l’histoire de J
er, manquent de délicatesse morale et paraissent trop prendre pour la
vertu
ce qui n’en est que l’émotion. Mais, ce que le mê
se encore mieux votre conscience, quand vous voudrez la consulter. La
vertu
, monsieur, n’est pas une science qui s’apprenne a
placé vos parents et la Providence : voilà le premier précepte de la
vertu
que vous voulez suivre ; et si le séjour de Paris
parents : c’est là que vous remplirez véritablement les soins que la
vertu
vous impose. Une vie dure est plus facile à suppo
gnage de sa déchéance, qu’elles peuvent même parfois le conduire à la
vertu
. Sans doute l’optimisme de Vauvenargues n’est pas
’on cherche avant tout la commodité. » Il est vrai, cependant, que la
vertu
ainsi rapprochée de la passion se trouve dans un
epose en secret, contente de se posséder. Qu’elle est belle, quand la
vertu
dirige tous ses mouvements ! mais qu’elle est dan
la sagesse de Rome. Qu’un homme de ce caractère aurait porté loin la
vertu
, s’il eût été tourné au bien ! mais les circonsta
u crime par de fatales rencontres, ou par leur situation ; ainsi leur
vertu
dépend de leur fortune. Que manquait-il à César,
qualités, et par conséquent de grandes qualités qui s’éloignent de la
vertu
. Je reconnais cette vérité avec douleur : il est
qui est sain est sain, ce qui est fort est fort. Les inégalités de la
vertu
, les faiblesses qui l’accompagnent, les vices qui
s et en grâces, ombre illustre, aimable génie ; toi qui fis régner la
vertu
par l’onction et par la douceur, pourrais-je oubl
’est une lecture touchante, j’en étais fou à son âge : le génie et la
vertu
ne sont nulle part mieux peints ; l’on y peut pre
la force de la nature brille au sein de la corruption ; là, paraît la
vertu
sans bornes, les plaisirs sans infamie, l’esprit
fus deux ans comme cela, et puis, je dis à mon tour, comme Brutus : O
vertu
! Tu n’es qu’un fantôme ! Cependant, cet aimable
’es qu’un fantôme ! Cependant, cet aimable stoïcien, que sa constante
vertu
, son génie, son humanité, son inflexible courage,
sur la faiblesse de sa mort : c’est une extrême pitié de voir tant de
vertu
, tant de force et de grandeur d’âme vaincues, en
lque chose. Les premiers jours de printemps ont moins de grâce que la
vertu
naissante d’un jeune homme. Réflexions et Maxime
vre soit sans défaut. Le comte. — Paresseux, dérangé… Figaro. — Aux
vertus
qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence
lleurs toute bienfaisante pour ses semblables, qu’il eût ramenés à la
vertu
par le bonheur, s’ils avaient accepté ses plans d
e envie y parle avec orgueil ; l’orgueil s’y donne hardiment pour une
vertu
; la paresse y prend l’attitude d’une occupation
endre la route facile, elle leur oppose des obstacles dignes de leurs
vertus
. C’est ainsi que l’on peut toujours distinguer le
nfant obscur la gloire du maître du monde. Bientôt toutes les fausses
vertus
seront démasquées par l’auteur des Annales ; bien
n au mal, le dévouement à l’égoïsme ; on célèbre les sacrifices de la
vertu
, les saintes douleurs qui accompagnent l’accompli
enfin une intention généreuse accomplie462. Y a-t-il eu au monde une
vertu
plus malheureuse et même plus mal employée que ce
me doit pas son estime. Mais cette conception du bien en soi et de la
vertu
désintéressée ne serait-elle pas un idéal impossi
ire qu’elle en soit absolument vide ? Qu’il se trouve un seul acte de
vertu
, je dis un seul, et la vertu n’est plus une chimè
t vide ? Qu’il se trouve un seul acte de vertu, je dis un seul, et la
vertu
n’est plus une chimère. Si un homme a pu être ver
l’être deux fois, cent fois ; d’autres peuvent l’être comme lui : la
vertu
n’est donc point au-dessus des forces humaines, e
nemis ! » D’âge en âge, le genre humain a célébré ces grands actes de
vertu
; il n’a jamais pu croire, quoi qu’en aient dit l
ux connaissances les plus avancées de son temps, et plié son âme à la
vertu
par des soins et avec un art qu’il a voulu enseig
ficulté qu’il a cultivé son génie, sans effort qu’il s’est formé à la
vertu
, sans un travail opiniâtre qu’il a été utile à so
embla reprendre son langage naturel. Pas de tirades sur le vice et la
vertu
, des épigrammes vives et mordantes ; pas de maxim
trer que le christianisme a renouvelé la société, en lui révélant des
vertus
qu’elle ne connaissait pas, dire quelle force il
mot qu’il a dit vibre encore et produit plus que l’amour, produit des
vertus
fructifiant dans l’amour. Il y a un homme attaché
dans la fidélité à soi-même, à ses convictions, à ses amitiés, à ses
vertus
, une force intime qui jaillit de la personne et i
e dit La Bruyère, a été inspiré au poète par l’homme, au génie par la
vertu
; c’est celui-ci : Le vers se sent toujours des b
de superbe A la Postérité, où il se déclare victime de son inflexible
vertu
562. Bien des ouvrages de Rousseau sont tombés da
u dieu qui le domine Les souveraines lois ; Alors, tout pénétré de sa
vertu
suprême, Ce n’est plus un mortel, c’est Apollon l
ne l’eût point perdue Une seconde fois577 ! Telle était de Phébus la
vertu
souveraine, Tandis qu’il fréquentait les bords de
naître un plus parfait modèle Entre les dieux mortels ; Et jamais la
vertu
n’a, dans un siècle avare, D’un plus riche parfum
e suivre, Sûre que les remords qui saisissent ton cœur Naissent de ta
vertu
plus que de ton malheur… Id. acte III, scène V.
, Et le crime partout semble suivre mes pas. JOCASTE. Et quoi ! votre
vertu
ne vous rassure pas ? N’êtes-vous pas enfin sûr d
semblance ; Et je m’applaudissais de retrouver en vous, Ainsi que les
vertus
, les traits démon époux609. Seigneur, qu’a ce dis
ne fût un jour fidèle ; Et, suspect à moi-même, à moi-même odieux, Ma
vertu
n’osa point lutter contre les dieux. Je m’arracha
endre à mourir en regardant Zamore. GUSMAN, à Zamore, Il est d’autres
vertus
que je veux t’enseigner : Je dois un autre exempl
nne de te plaindre et de te pardonner621. ALVAREZ. Ah ! mon fils, tes
vertus
égalent ton courage. ALZIRE. Quel changement, gra
le, égaré, confondu. Quoi donc ! les vrais chrétiens auraient tant de
vertu
! Ah ! la loi qui t’oblige à cet effort suprême,
, la foi ; Mais tant de grandeur d’âme est au-dessus de moi ; Tant de
vertu
m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être
les illustres malheurs Peuvent aussi se promettre vos pleurs. Sur sa
vertu
par le sort traversée, Sur son voyage et ses long
vivre au sein de nos lares, Et conserver, paisibles casaniers, Notre
vertu
dans nos propres foyers Que parcourir bords loint
naguère un perroquet fameux, A qui son art et son cœur généreux, Ses
vertus
même, et ses grâces badines, Auraient dû faire un
enus. Né à Versailles en 1733, Ducis demeura de tout temps fidèle aux
vertus
de famille dont il eut le modèle sous les yeux. C
on frère. ŒDIPE. Qu’entends-je ? où suis-je ?… O Ciel ! si c’était la
vertu
! Je balance… je doute… Ingrat, te repens-tu ? Ne
avenir. Enfin, dans mes exploits, dans ma propre innocence, Ma timide
vertu
trouvait quelque assurance667. Je cherchais dans
ens, m’éclaire, et me calme avec lui. Dans des pièges trompeurs si ma
vertu
sommeille, J’embrasse, en le suivant, sa vertu qu
pièges trompeurs si ma vertu sommeille, J’embrasse, en le suivant, sa
vertu
qui m’éveille, Dans le champ varié de nos doux en
s voici tous672 : Qu’un peu d’aisance entre chez nous ; Que jamais la
vertu
n’en sorte. Mais n’en laissez point approcher Tou
t à soulager les faibles abattus : Tu lui ressembleras autant par tes
vertus
Que par tes yeux si doux et tes grâces naïves. »
ta main de cacher ton visage. Souvent marchent ensemble Indigence et
Vertu
; Souvent d’un vil manteau le sage revêtu, Seul,
mon travail de justes récompenses. « Jeune ami, j’ai trouvé quelques
vertus
en toi ; Va, sois heureux, dit-il, et te souviens
ra sans douleur sa vieillesse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses
vertus
pour appui Et des fils, s’il se peut, encor meill
tes clameurs ; Souffre, ô cœur gros de haine, affamé de justice, Toi,
vertu
, pleure si je meurs731. Iambes. Joseph Chén
Ah ! croyez que pour moi c’est un tourment de vivre Sans gloire, sans
vertu
, chaque jour poursuivi Par l’impuissant remords d
ois des pertes sans deuil, des morts sans mausolées ; Les grâces, les
vertus
, d’un long crêpe voilées ; Près d’elles, le génie
eaux. La cruelle livrait aux fureurs populaires Du sage Lamoignon les
vertus
séculaires ; Elle égorgeait Thouret, Barnave, Cha
un faux encens qu’on t’offre de si bas : La gloire ne peut être où la
vertu
n’est pas. Viens reprendre ton rang dans ta splen
’avoir tant combattu. A quoi bon les efforts du patriote austère ? La
vertu
fut toujours trop rare sur la terre, Et l’on se d
oreux dont les lignes ondoient, Et que tous ces grands mots, bonheur,
vertu
, raison, Dont la demi-lueur flotte sur l’horizon,
rtels destins que Dieu nous a promis. — Je sais aussi, je sais que la
vertu
succombe : Le chemin du devoir est celui de la to
oble en soi ; Tu fis bien ; mais beaucoup auraient fait comme toi. La
vertu
, qui n’est pas d’un facile exercice, C’est la per
s ne vise qu’à nous meubler la tête de science ; du jugement et de la
vertu
, peu de nouvelles. » 42. Sénèque, Épître LIX. 4
n a beaucoup disserté sur le sens que Montesquieu attache à ce mot de
vertu
. Montesquieu cependant l’a défini plusieurs fois.
cissements sur l’Esprit des Lois, Montesquieu répète qu’il définit sa
vertu
l’amour de la patrie, et qu’il définit l’amour de
as évité. A force de peindre le français léger, vaniteux, « dont les
vertus
(c’est Duclos qui le dit) ont peu de consistance
ai de dire que, dans la haute société, les mœurs sont plus pures, les
vertus
domestiques plus communes, que le caractère franç
étius, entraîné par ces monstrueux principes, livre au ridicule toute
vertu
et toute religion, et proclame que le seul art de
le XIVe chapitre du IIe discours du livre De l’Esprit, distingue les
vertus
de préjugés des vertus vraies. Les premières sont
e discours du livre De l’Esprit, distingue les vertus de préjugés des
vertus
vraies. Les premières sont toutes les vertus qui
s vertus de préjugés des vertus vraies. Les premières sont toutes les
vertus
qui se rapportent à nous-mêmes, les secondes sont
utes les vertus qui se rapportent à nous-mêmes, les secondes sont les
vertus
qui sont utiles au public. 462. Dans la leçon dé
tes, industrielles et pacifiques… Froid, sans passions, il fait de la
vertu
un art, de la probité un commerce, de l’amour des
’être comparé à la Pauline de Corneille : Zénobie a la noblesse et la
vertu
de l’héroïne romaine. 597. Déjà Racine, dans Ph
trer qu’il n’est nullement inaccessible aux affections naturelles. La
vertu
douce et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à s
l’acte III d’Œdipe. C’est Thésée qui parle : Quoi ! la nécessité des
vertus
et des vices D’un astre impérieux doit suivr
taine, parlant d’un pèlerin : Prou de pardons il avait rapporté : De
vertu
, peu : chose assez ordinaire. 644. Autrefois,
? Et vous, fléaux de Dieu, qui sait si le génie N’est pas une de vos
vertus
? 811. Le Campo Santo est un cimetière que les
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » Dans cette éloquence si saine, si substantiell
e là vient que nous admirons dans ses admirables Épîtres une certaine
vertu
plus qu’humaine, qui persuade contre les règles,
il avait acquise aux montagnes d’où il tire son origine : ainsi cette
vertu
céleste qui est contenue dans les écrits de saint
a vigueur qu’elle apporte du ciel, d’où elle descend. C’est par cette
vertu
divine que la simplicité de l’Apôtre a assujetti
que vous en eussiez fait germer les plantes avec tant de fruits et de
vertus
différentes, avant la naissance des forêts, avant
us étiez par vous-mêmes lumineux, pleins de sainteté, de vérité et de
vertu
, et si vous étiez vous-mêmes votre lumière, vous
nt trompés par le moindre éclat, et que le monde se connaît si peu en
vertu
, que la moindre apparence éblouit sa vue ; de sor
rs vous être un cher entretien ! ainsi, puissiez-vous profiter de ses
vertus
, et que sa mort, que vous déplorez, vous serve à
rince, de cette victoire ; jouissez-en éternellement par l’immortelle
vertu
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’un
aine puissance ne leur a été accordée d’en haut que pour faire que la
vertu
soit aidée, que les voies du ciel soient élargies
re bonheur. 6º. L’honnêteté. Nous entendons par là ce respect pour la
vertu
que l’auteur de la nature a gravé dans notre âme
intéressant, bien écrit et instructif ; lorsque, enfin, il respire la
vertu
. Mais il est bien essentiel d’observer qu’un ouvr
a vertu. Mais il est bien essentiel d’observer qu’un ouvrage où cette
vertu
ne serait pas respectée, réunît-il, d’ailleurs, t
raités d’hypocrites, d’intrigants et d’intéressés ! combien de vraies
vertus
contestées ! combien de bonnes œuvres censurées !
risie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour
vertus
. La profession d’hypocrite a de merveilleux avant
ans le monde tout ce qu’ils peuvent faire. » 1. La charité est une
vertu
religieuse et chrétienne. L’humanité est simpleme
ait y avoir deux manières d’être bons et vertueux. Les uns mettent la
vertu
à une hauteur si décourageante, qu’elle rebute le
l’on ne sait s’ils ont voulu faire l’apologie du vice ou celle de la
vertu
. Ces extrêmes ne se rencontrent point dans la phi
op frappé cependant d’une fausse lumière, J’ai longtemps ignoré cette
vertu
première, Cette docilité d’un cœur humble, ingénu
curité, du ciel même qu’ils irritaient ? Où serait donc le prix de la
vertu
, et que deviendraient les espérances du juste, si
, le zèle et le courage qui enfantent et utilisent presque toutes les
vertus
… ? C’est la doctrine et le bonheur du néant. Le p
r, cette base immuable sur laquelle reposent à jamais la morale et la
vertu
, a été établie par tous les moralistes, chantée p
0 livres. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres. Traité des
vertus
. Des vertus et des vices. La Politique. Les Écono
andes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres. Traité des vertus. Des
vertus
et des vices. La Politique. Les Économiques. Mat
et tous les hommes, en fait de mœurs, diffèrent par le vice et par la
vertu
), il s’ensuit nécessairement aussi que nous imito
sance de la parole, on peut en dire autant de tout ce qui est bon, la
vertu
exceptée, et principalement de tout ce qui est ut
r des syllogismes, de considérer ce qui se rapporte aux mœurs et à la
vertu
et, en troisième lieu, de connaître les passions
III. Le bonheur sera donc une réussite obtenue avec le concours de la
vertu
, le fait de se suffire à soi-même, ou la vie mené
s luttes agonistiques ; la renommée, l’honneur, la bonne fortune ; la
vertu
, ou bien encore ses parties, la prudence, le cour
ivement à la valeur morale, c’est-à-dire la tempérance et le courage,
vertus
propres au jeune homme. Au point de vue des parti
ois qu’ils ont été présents, ont été mis en pièces. XVIII. Quant à la
vertu
, comme c’est un lieu très propre aux louanges, no
en moins, donne lieu au choix de l’un et au rejet de l’autre. VI. Les
vertus
sont nécessairement un bien. En effet, elles caus
autres dispositions morales de même nature ; car ce sont là autant de
vertus
de l’âme. X. La santé, la beauté et les biens ana
l’âme. X. La santé, la beauté et les biens analogues ; ce sont là des
vertus
corporelles qui produisent un grand nombre de fai
préciés en général, le plaisir et la vie. XI. La richesse, qui est la
vertu
de la propriété et un puissant moyen d’action. XI
re est plus grand, ou dont la privation est plus sensible. Ce qui est
vertu
est plus grand que ce qui n’est pas vertu, et ce
t plus sensible. Ce qui est vertu est plus grand que ce qui n’est pas
vertu
, et ce qui est vice plus grand que ce qui n’est p
ertu, et ce qui est vice plus grand que ce qui n’est pas vice. Car la
vertu
et le vice sont des fins, et ce qui n’est ni vice
ce. Car la vertu et le vice sont des fins, et ce qui n’est ni vice ni
vertu
n’est pas une fin. XVII. Les choses dont les effe
lication approfondie dans les Politiques 240. Chapitre IX De la
vertu
et du vice. Du beau et du laid (moral). — Des élé
— Des éléments de l’éloge et du blâme. Nous parlerons ensuite de la
vertu
et du vice, ainsi que du beau et du laid ; car ce
s rendre et pour rendre tel autre digne de confiance par rapport à la
vertu
. II. Mais, comme il nous arrive souvent de louer,
t que bon. Or, si c’est là le beau, il s’ensuit nécessairement que la
vertu
est une chose belle ; car c’est une chose louable
e belle ; car c’est une chose louable parce qu’elle est bonne. IV. La
vertu
est, ce nous semble, une puissance capable de pro
te sorte et à tous les points de vue. V. Les parties (variétés) de la
vertu
sont : la justice, le courage, la tempérance, la
lité243, la mansuétude, le bon sens, la sagesse. VI. Les plus grandes
vertus
sont nécessairement celles qui ont le plus d’util
airement celles qui ont le plus d’utilité pour les autres, puisque la
vertu
est une puissance capable d’accomplir de bonnes a
ore par-dessus tout les justes et les braves ; car la première de ces
vertus
rend des services durant la paix, et la seconde d
la guerre. Vient ensuite la libéralité, car ceux qui possèdent cette
vertu
donnent sans réserve et ne font pas d’opposition
ue d’autres convoitent avec le plus d’ardeur. VII. La justice est une
vertu
par laquelle chacun a ce qui lui appartient, et c
n a le bien d’autrui contrairement à la loi. VIII. Le courage est une
vertu
par laquelle on est capable d’accomplir de belles
à la loi. La lâcheté est le vice contraire. IX. La tempérance est une
vertu
par laquelle on se comporte vis-à-vis des plaisir
e prescrit. L’intempérance est son contraire. X. La libéralité est la
vertu
capable de faire accomplir une bonne action au mo
l’argent ; la parcimonie est son contraire. XI. La magnanimité est la
vertu
capable de faire faire de grandes largesses ; la
la petitesse d’esprit est son contraire. XII. La magnificence est la
vertu
capable de faire mettre de la grandeur dans les d
prit et la mesquinerie sont ses contraires. XIII. Le bon sens est une
vertu
de la pensée, suivant laquelle on peut délibérer
x énumérés précédemment en vue du bonheur. XIV. Sur la question de la
vertu
et du vice, considérée en général, et sur leurs v
t il n’est pas difficile de voir ce qui concerne les autres (vices et
vertus
non définis), car il est évident que les choses s
inis), car il est évident que les choses servant à faire pratiquer la
vertu
sont de belles choses, ainsi que celles qui sont
rtu sont de belles choses, ainsi que celles qui sont produites par la
vertu
. Ce caractère est propre aux manifestations de la
duites par la vertu. Ce caractère est propre aux manifestations de la
vertu
et de ses actes. XV. Mais, comme les manifestatio
e la vertu et de ses actes. XV. Mais, comme les manifestations (de la
vertu
) et toutes les choses qui ont le caractère d’acti
s subis (justement). En effet, par une exception propre à cette seule
vertu
(la justice), ce qui est subi justement n’est pas
nt infligée que celle qui le serait injustement. Il en est des autres
vertus
comme de celles dont nous avons parlé précédemmen
s en faveur d’une bonne cause qui nous conduit à la gloire. XXII. Les
vertus
et les actions sont plus belles lorsqu’elles éman
omme plutôt que celles d’une femme. XXIII. Sont plus belles aussi les
vertus
capables de donner des jouissances aux autres plu
rs même qu’ils ne doivent pas nous profiter, et ils font paraître une
vertu
supérieure. Quant aux témoignages commémoratifs,
te raison en fera-t-il à ses amis, car c’est le plus haut degré de la
vertu
que de rendre service à tout le monde. XXX. Il fa
us dans le même esprit, il y aura là comme une marque apparente de sa
vertu
et de sa résolution. XXXIII. La louange (ἔπαινος)
louange (ἔπαινος) est un discours qui met en relief la grandeur d’une
vertu
. Il faut donc que les actions soient présentées c
genres diffèrent des précédents ; de même que le bonheur comprend la
vertu
, la félicitation comprend aussi ces genres247. XX
commun des hommes, puisque la supériorité semble être la marque d’une
vertu
. XL. Généralement parlant, parmi les formes commu
eux espèces. XII. Les unes sont celles qui se produisent par excès de
vertu
ou de vice et qui provoquent les invectives et le
indépendamment des démonstrations produites. Ce sont le bon sens, la
vertu
et la bienveillance ; car on peut s’écarter de la
teurs. VII. En conséquence, ce qui mettra en relief le bon sens et la
vertu
d’un orateur, on devra le chercher dans les disti
a le chercher dans les distinctions que nous avons établies parmi les
vertus
; car les mêmes arguments qui permettront de donn
ard). Sont de ce nombre et les gens dont le mérite consiste dans leur
vertu
, et les personnes qui jouissent d’une bonne réput
c’est par l’intention que l’homme injuste est injuste. V. De même la
vertu
outragée qui possède la puissance ; car il est év
faits pour exciter l’émulation, il s’ensuit, nécessairement, que les
vertus
sont dans ces conditions, ainsi que tout ce qui p
t le sujet de nos explications précédentes ; — habitudes (ἕξεις), les
vertus
et les vices ; nous avons qualifié plus haut, à c
oral371 que d’après le calcul : or le calcul tient à l’intérêt, et la
vertu
à ce qui est beau. XIII. Ils ont le goût de l’ami
car le calcul dépend de l’intérêt, et le caractère moral dépend de la
vertu
. Quand ils causent un préjudice, c’est pour nuire
vue. Nous adoptons la vulgate. 252. Aristote a composé un traité des
vertus
et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 253. Ce sera
et le mal un bien, ce monde, tout monde qu’il est, respecte encore la
vertu
, envie quelquefois le bonheur de la vertu, cherch
’il est, respecte encore la vertu, envie quelquefois le bonheur de la
vertu
, cherche souvent un asile et une consolation aupr
erche souvent un asile et une consolation auprès des sectateurs de la
vertu
, rend même des honneurs publics à la vertu. » In
uprès des sectateurs de la vertu, rend même des honneurs publics à la
vertu
. » Inutile de s’arrêter à la répétition, ni d’en
légitimes Peut violer aussi les droits les plus sacrés. Ainsi que la
vertu
, le crime a ses degrés ; Et jamais on n’a vu la t
nant, n’eussent pas offensé trop souvent la religion, la morale et la
vertu
. Doué de tous les genres d’esprit, de celui des a
Espagnols tant vantés, troupe jadis si fière, Sa mort anéantit votre
vertu
guerrière : Pour la première fois vous connûtes l
clairés, leurs cœurs n’ont plus de haine ; Sa valeur les vainquit, sa
vertu
les enchaîne ; Et, s’honorant déjà du nom de ses
s lieux, le puissant Orosmane, Sait connaître, seigneur, et chérir la
vertu
. (En montrant Nérestan.) Ce généreux Français, qu
ême Sénèque, et ce même Burrhus Qui depuis… Rome alors estimait leurs
vertus
. Au reste, le roi sauva la vie de Charles de Bir
de aux destinées de l’instruction publique, et dont les talens et les
vertus
réalisent si bien la définition que les anciens d
e ce cours l’intention bien prononcée de ramener les jeunes gens à la
vertu
en les appelant a l’étude et à l’admiration du be
; de leur prouver qu’il ne peut y avoir ni génie ni sensibilité sans
vertu
, comme il n’y a rien de solide ni de profitable d
comme toutes les choses grandes et pures, comme la justice, comme la
vertu
; elles ont le privilége d’élever l’âme et de la
passions sont alors les ressorts qu’elle fait mouvoir. L’honneur, la
vertu
, l’orgueil national, les principes d’équité, ceux
qui honore tant la religion ; il s’agit de rendre le vice odieux, la
vertu
aimable, le devoir attrayant, la condition de l’h
rce de ses argumens et de son éloquence : par exemple, si prenant une
vertu
, un vice, sous un aspect particulier, il en exami
lise honore la mémoire lui fournit des exemples propres à porter à la
vertu
et à la piété. La philosophie humaine, pourvu qu’
ours à la louange d’une personne illustre dont on préconise les rares
vertus
ou les grandes actions1. Son objet. L’objet de
t que l’orateur commence. Captiver, fixer, attacher sur l’image de la
vertu
, des yeux distraits, des esprits légers, des imag
int par eux-mêmes, dit Cicéron, les louanges qui ne sont dues qu’à la
vertu
. Cependant, comme cette vertu se montre surtout d
, les louanges qui ne sont dues qu’à la vertu. Cependant, comme cette
vertu
se montre surtout dans l’usage modéré qu’on fait
des dons de la fortune et de la nature dans les panégyriques. « Les
vertus
louables par elles-mêmes sont celles qui consiste
les actions dont le héros n’espérait ni avantages ni récompenses. La
vertu
la plus digne de louanges est celle de ces illust
nel, à toutes sortes de peines et de périls. On n’admire pas moins la
vertu
qui supporte l’adversité avec courage, qui ne se
« L’élévation aux charges publiques, les récompenses accordées à la
vertu
, les belles actions honorées de l’approbation gén
in de louer dans la personne qui fait le sujet de notre discours, les
vertus
qui lui plaisent le plus. Il doit voiler les tac
progressive. Le panégyriste, réduit toute la vie du héros à certaines
vertus
principales ; il rassemble et rapproche les détai
des saints, l’orateur se propose de les honorer par l’éloge de leurs
vertus
, et de nous engager nous-mêmes à les imiter. Il n
remplir ce double objet qu’en joignant l’instruction au récit de ces
vertus
. La morale doit naître de la narration des faits,
bre. L’oraison funèbre loue les morts illustres par leur rang, leurs
vertus
et leurs actions. Ce genre de discours demande be
faire voir qu’il n’y a pas de véritable gloire sans la religion et la
vertu
. C’est ainsi que Bossuet, dans l’oraison funèbre
me on ne peut louer dignement les hommes de bien sans connaître leurs
vertus
, il n’est pas possible non plus de blâmer avec én
e mesure commune. Exemples de syllogisme. Si je veux prouver que la
vertu
est à rechercher, je chercherai une troisième idé
et je dirai : On doit rechercher le vrai bonheur ;… majeure. Or la
vertu
procure le vrai bonheur ;.. mineure. } Prémisses
Or la vertu procure le vrai bonheur ;.. mineure. } Prémisses Donc la
vertu
est à rechercher……. conclusion. Voudrai-je prou
la vertu est à rechercher……. conclusion. Voudrai-je prouver que la
vertu
procure le vrai bonheur ? je choisirai encore une
me idée moyenne pour servir de mesure commune entre ces deux idées la
vertu
et le vrai bonheur ; par exemple, je dirai : Ce
le, exemple de regret et de repentir, procure le vrai bonheur ; Or la
vertu
donne une existence paisible, exempte de regret e
ne une existence paisible, exempte de regret et de repentir ; Donc la
vertu
procure le vrai bonheur. S’il s’agissait ensuite
u procure le vrai bonheur. S’il s’agissait ensuite de prouver que la
vertu
donne réellement cette existence paisible, etc….,
raison qui la prouve n’arrive qu’après. Exemples : Il faut aimer la
vertu
, parce qu’elle nous rend heureux : il faut appren
illesse de souvenir. » (Montaigne.) « Ceux qui ôtent l’honneur à la
vertu
, ôtent la vertu à la jeunesse. » (Caton.) La for
nir. » (Montaigne.) « Ceux qui ôtent l’honneur à la vertu, ôtent la
vertu
à la jeunesse. » (Caton.) La force de ces pensée
heure l’assiége ; Mathan de nos autels infâme déserteur, Et de toute
vertu
zélé persécuteur. C’est peu que le front ceint d’
.) Boileau, pour prouver que la véritable noblesse n’est que dans la
vertu
, et que, sans la vertu, les titres les plus pompe
er que la véritable noblesse n’est que dans la vertu, et que, sans la
vertu
, les titres les plus pompeux, les plus éclatantes
puissance, qui répond à Dieu d’un peuple entier, et participe par ses
vertus
à tous les honneurs dus au génie : un homme qui s
l est très-avantageux de tremper ses pinceaux dans les couleurs de la
vertu
: le moyen de persuasion le plus efficace est la
couleurs de la vertu : le moyen de persuasion le plus efficace est la
vertu
de celui qui parle. L’orateur doit être homme de
bonus dicendi peritus. Les meilleurs maîtres modernes ont regardé la
vertu
comme une des sources principales du talent de pa
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. » (Lett. à l’Ac. franç. sur l’éloquence.) Autr
, à cette chaleur généreuse qu’inspire l’amour de la justice et de la
vertu
, à cette sainte indignation contre le vice, la fr
ur prévenir quelquefois l’injustice, et pour sauver l’innocence et la
vertu
. Socrate dédaigna une apologie oratoire. Il dit à
’adversaire ; le bien ou le mal, le juste ou l’injuste, le vice ou la
vertu
qui se montrent dans les actions qu’il faut juger
z-vous exciter l’envie contre quelqu’un ? Dites que ce n’est pas à la
vertu
qu’il doit les avantages dont il jouit, mais à sa
e pathétique ; mais rien n’est plus propre à inspirer la pitié que la
vertu
malheureuse et opprimée1. » « Quintilien veut q
ère sans limites. Toutes les actions extraordinaires inspirées par la
vertu
et par l’héroïsme, portent dans le cœur une surpr
d’une absolue nécessité. Cicéron regarde la clarté comme la première
vertu
du discours. (De Orat., l. III, n. 38.) « Ce n’e
(Fléchier, Orais. fun. de Marie-Thérèse.) Son effet. Telle est la
vertu
du nombre dans le discours, que, selon Quintilien
i. On verra combien la mélodie des paroles ajoute à l’éloquence de la
vertu
. Il faut que nous soyons bien pénétrés du ton qui
t-on proposer à l’admiration, à la reconnaissance, à l’émulation, des
vertus
héroïques, qu’on fasse des tableaux frappans, cap
appans, capables d’inspirer l’enthousiasme et la passion de ces mêmes
vertus
; c’est le but qu’on doit se proposer. Il convien
e articulation. Des locutions comme celles-ci : quoiqu’on calomnie la
vertu
; censeur sage et sincère ; travail toujours trop
nistration des affaires un homme plus grand par son esprit et par ses
vertus
que par ses dignités. » (Fléchier, port. du card.
s mêmes honneurs ; oui, Eschine, à tous ; car tous avaient eu la même
vertu
, quoique la destinée souveraine ne leur eût pas a
a gloire avec ton corps aux champs de Philippes. Pourquoi dis-tu : La
vertu
n’est rien, quand tu vas jouir du prix de la tien
arlant de Judas Machabée : « Cet homme qui réjouissait Jacob par ses
vertus
et par ses exploits. » Jacob est là pour le peupl
violent, et qui sont nés avec des dispositions moins favorables à la
vertu
que vous, etc… Tournez-vous de tous les côtés : a
roches, etc…. Exemples. Fléchier interrompt le récit et l’éloge des
vertus
chrétiennes de la reine Marie-Thérèse, par cette
e Séneque, et ce même Burrhus, Qui depuis…. Rome alors estimait leurs
vertus
. En voici un autre exemple cité par Quintilien :
l n’est rien qui charme autant le peuple que la bonté : de toutes les
vertus
qui brillent en vous, il n’en est aucune qu’il ch
sage du Traité de l’amitié où Cicéron vante les prérogatives de cette
vertu
. « Les amis sont présens quoique absens, dans l’a
tesse affectée, et tous les défauts qui semblent approcher de quelque
vertu
, marquent la faiblesse d’esprit et non pas la for
ettre sur le compte de l’amour propre, ce qu’on met sur le compte des
vertus
. Les éclipses étaient en droit d’effrayer les hom
t on a dit : fort de ses intentions,fort de ses principes, fort de sa
vertu
. Un poëte s’est servi de ce trope : Beau d’orgu
une, et à l’autre sa perfection. Une mémoire heureuse doit avoir deux
vertus
: la première, de recevoir promprement et sans pe
, la troisième, entendre par là que, sans l’action, toutes les autres
vertus
de l’orateur doivent être comptées pour peu de ch
aient une force considérable par eux-mêmes, que la voix ait aussi une
vertu
particulière qu’elle communique aux choses, et qu
ilien, décrivant toutes les parties du visage, leurs fonctions, leurs
vertus
et leurs vices, recommande de ne pas avoir les ye
ur le détourner du projet d’empoisonner Britannicus. La sagesse et la
vertu
ont dicté ce discours. Une affection vive et tend
es ne se trouvèrent mieux justifiées. Ajoutons que sa modestie et ses
vertus
privées égalaient ses talents. Au sein de sa fami
ls. Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez fidèle : Trop de
vertu
pourrait vous rendre criminelle. Lui-même il port
i seule funeste, D’une infidèle vie abrégera le reste, Et, sauvant ma
vertu
, rendra ce que je doi A Pyrrhus, à mon fils, à mo
qu’ils ont fait que ce qu’ils ont été : Parle-lui tous les jours des
vertus
de son père, Et quelquefois aussi parle-lui de sa
mille remords son esprit combattu Croit tantôt son amour et tantôt sa
vertu
. Il respecte en Pyrrhus l’honneur du diadème ; Il
ées nobles Boileau a dit avec raison dans une de ses satires : La
vertu
d’un cœur noble est la marque certaine. La vertu
e ses satires : La vertu d’un cœur noble est la marque certaine. La
vertu
doit donc accompagner la noblesse ; et c’est pour
Les mortels sont égaux ; ce n’est point la naissance, C’est la seule
vertu
qui fait la différence. Voltaire. Le premier qui
uis XIV ; il implore sa clémence et lui dît qu’elle est la plus belle
vertu
qui puisse le rapprocher de la Divinité ; il s’ad
Crète à mon bras était dû ; Et les dieux réservaient ce monstre à ma
vertu
. Le vers suivant est parfait et inspire la pitié
u’elle affadit tout, qu’elle ôte leur séve et leur force à toutes les
vertus
et à toutes les qualités de l’âme, même suivant l
sur le présent ; mais soutiens-loi dans le sentier rude et âpre de la
vertu
, par la vue de l’avenir. Prépare-toi, par des mœu
affreux désordre les personnes même les plus résolues à pratiquer la
vertu
, et les plus remplies d’horreur pour la vice. La
x philanthropes est traître et tyrannique ; ils promettent toutes les
vertus
de la société, et ils ne font de la société qu’un
à la condition des personnes. 3. Fénelon unit toujours à beaucoup de
vertu
beaucoup d’ambition généreuse et de dextérité dan
en deux grandes classes. La première renferme ces hautes et éminentes
vertus
qui exigent de grands efforts, et qui exposent à
édain du plaisir ou le mépris de la mort. L’autre classe comprend les
vertus
sociales, la compassion, la douceur, l’amitié, la
iales, la compassion, la douceur, l’amitié, la générosité, toutes les
vertus
douces, en un mot. Elles excitent dans l’âme de l
a parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la
vertu
. (Fénelon.) Ainsi, la définition oratoire accumul
ement. Exemple : Il faut aimer la modestie, parce qu'il faut aimer la
vertu
et que la modestie est une vertu. 4° La comparais
modestie, parce qu'il faut aimer la vertu et que la modestie est une
vertu
. 4° La comparaison est un argument qui compare de
paroles de l'orateur doivent porter l'empreinte de la justice, de la
vertu
et de l'humanité. Chaque âge a ses plaisirs, son
eare s'identifie avec ses héros, et il n'en fait ni des Romains d'une
vertu
inaccessible, comme Corneille ; ni des Romains ph
elque chose pour une autre personne, il faut parler du caractère, des
vertus
, des talents de cette personne. Dans une lettre d
On voit que la nature elle-même a placé dans votre cœur le goût de la
vertu
; dans l'âge ou les femmes de votre rang ne sont
mme elle ne veut plaire qu'à son époux, elle trouve sa parure dans sa
vertu
, et non dans ses ajustements ; et l'attrait de la
parents et à son époux, ses soins touchants, sa douceur, sa bonté, sa
vertu
, voilà ce qui relève sa beauté. Heureuse du prése
, les voici tous : Qu'un peu d'aisance entre chez nous, Que jamais la
vertu
n'en sorte. (Ducis.) Le dialogue. Le dial
La satire signale les vices et les ridicules, et venge la piété, la
vertu
et le savoir. Voyez les satires de Boileau. L
bscur, elle trouve des moyens sublimes ; elle sait intéresser pour la
vertu
ignorée, et faire couler des larmes pour un homme
ail suffit à tes besoins. Mais Dieu du pauvre écoute la prière, Et la
vertu
trouve sur son chemin Un abri sûr, une âme hospit
’en est que plus touchante. Il sort du fond de la vérité une certaine
vertu
de persuasion qui lui donne toujours un grand ava
ure dangereuse et séduisante pour le cœur, tout discours hostile à la
vertu
et favorable aux passions ; mais encore porter au
leurs combats, leurs ravages, tous les maux qu’elles ont causes, les
vertus
qu’elles ont étouffées comme dans leurs germes, l
irritant contre les obstacles, l’homme aux prises avec la fortune, la
vertu
couronnée au bord du tombeau, et le crime précipi
dans la tragédie, lorsque nous verrons la justice, l’innocence et la
vertu
, longtemps menacées et persécutées, soit par le s
ever de rendre le vice méprisable, et surtout se garder d’attaquer la
vertu
ou de la confondre avec le crime. Enfin, le dénoû
n : ils agrandissent leurs personnages en leur inspirant toujours une
vertu
, une force, ou une volonté à laquelle toutes les
faut qu’ils s’appliquent à nous le faire aimer. Dans une tragédie, la
vertu
peut paraître malheureuse ; mais au dénoûment, on
rs et aux crimes, pour faire voir combien il est dangereux, ou que la
vertu
en triomphe, pour montrer qu’il n’est pas invinci
en loin d’avoir un but utile en flétrissant le vice sans atteindre la
vertu
, comme doit le faire la comédie, est véritablemen
prétexte de flétrir l’ignoble hypocrisie, elle attaque la piété et la
vertu
. Ce tort cependant ne tient pas à la nature de la
p de situations pathétiques ou attendrissantes. Ce genre présente les
vertus
communes avec des traits qui les font aimer, et d
rès avoir dit qu’il y a pour l’homme un moyen pins sûr d’arriver à la
vertu
, ajoute que la société serait bien à plaindre, si
s sont capables des plus grands vices aussi bien que des plus grandes
vertus
; et ceux qui ne marchent que fort lentement peuv
rs contiennent plusieurs enseignements et plusieurs exhortations à la
vertu
qui sont fort utiles ; que la théologie enseigne
bâtis que sur du sable et sur de la boue : ils élèvent fort haut les
vertus
, et les font paraître estimables par-dessus toute
t hospitalier pour toutes les nouveautés étrangères. 1. Allusion aux
vertus
romaines : l’insensibilité, pour le premier Brutu
s qui le suivent : tout seul qu’il est on se figure autour de lui ses
vertus
et ses victoires qui l’accompagnent : il y a je n
faites pour l’apprécier, c’est qu’il ne se borne point à parler de la
vertu
; il la fait respecter à ses lecteurs, parce qu’i
er sa défense. Mais un siècle et des hommes capables de persécuter la
vertu
, ne l’étaient pas d’écouter la voix de l’amitié ;
grand conquérant sur le néant de la gloire et la réalité de la seule
vertu
, sont un des plus précieux monuments de la philos
. Mais ne vous figurez pas que les hommes naissent fidèles : si cette
vertu
leur était naturelle, elle se manifesterait en eu
ples versent leurs contributions dans le trésor public. La valeur, la
vertu
, la naissance ne sont plus comptées pour rien, et
côté moral de la pièce, et de donner en toute occasion des leçons de
vertu
. Le chœur restait constamment sur le théâtre pend
jeu les passions humaines ; il représente le vice aux prises avec la
vertu
; celle-ci sort triomphante de la lutte ; mais au
semence qui porte de tristes fruits. Il faut une volonté forte et un
vertu
solide pour résister à cette séduction. § IV.
ique, qu’il porte les personnages à de grands crimes ou à d’héroïques
vertus
, comme dans Phèdre, dans Andromaque, dans Zaïre.
reux : à moins que la volonté elle-même n’en triomphe par un effet de
vertu
. Et que l’amour, souvent de remords combattu, Pa
amour, souvent de remords combattu, Paraisse une faiblesse et non une
vertu
. Boileau , Art poét . 3° Style tragique.
romu aux évêchés de Lavaur et de Nîmes, il honora l’épiscopat par ses
vertus
, comme il avait charmé les salons par ses agrémen
gloire de savoir et de dire quelque particularité de sa vie et de ses
vertus
. L’un disait qu’il était aimé de tout le monde sa
cet illustre mort, est le plus grand et le plus glorieux éloge de sa
vertu
. Les peuples répondirent à la douleur de leur pri
même genre. Ainsi en définissant l’espérance, je dirai que c’est une
vertu
et je nommerai son genre : j’ajouterai que c’est
c’est une vertu et je nommerai son genre : j’ajouterai que c’est une
vertu
chrétienne et j’indiquerai sa différence ; j’expl
e ciel une puissance divine, compagne assidue de la religion et de la
vertu
. Elle nous aide à supporter la vie, s’embarque a
La foi et la charité lui disent : ma sœur ! C’est donc une des trois
vertus
théologales. § 2. Portraits et Caractères.
ans les temps passés ; il ne devient caractère que lorsqu’il peint la
vertu
ou le vice d’une manière générale. Voir Canevas n
vais conseiller, est le seul compagnon de la justice des hommes. Deux
vertus
aimables, la pitié et l’espérance, entourent la j
ils tournent au profit de la vérité qu’il veut faire connaître ou des
vertus
qu’il veut inspirer. Il admet dans cette vue les
nt verser aux enfants et combien l’on est heureux de voir toujours la
vertu
récompensée et la méchanceté punie. La Barbe Bleu
il faisait cette proclamation, si belle et si capable d’exciter à la
vertu
: Ces enfants, dont les pères sont morts à la gue
roclamera en plein théâtre, que le peuple d’Athènes couronne, pour sa
vertu
, le plus méchant des hommes ; et pour son courage
mêmes honneurs ; oui, Eschine, à tous, parce que tous eurent la même
vertu
, quoique la destinée ne leur ait pas accordé à to
vec les barbares contre les Grecs. » Pour moi, ô terre ! ô soleil ! ô
vertu
! et vous intelligence, science, qui nous faites
rmation et de la réfutation. Manque-t-elle de l’une ou de l’autre des
vertus
que lui demandent les rhéteurs, clarté, précision
lque sorte, de parvenir à cette unité, et par conséquent à toutes les
vertus
qui en dérivent, c’est de bien saisir ce que j’ap
se change en argument ; tout ce qui eût été défaut en général devient
vertu
dans l’espèce. Examinez de ce point de vue toute
haume et ces foyers rustiques qu’habitaient jadis la modération et la
vertu
; ainsi quand tout à l’heure Massillon nous montr
enser, et tremblez de dire après la victoire : C’est pour prix de nos
vertus
que le Seigneur nous a livré la terre promise. No
le Seigneur nous a livré la terre promise. Non : ce ne sont point vos
vertus
, ce sont leurs propres impiétés qui vont attirer
offrir à votre admiration, étaient ceux où respire le sentiment de la
vertu
, la haine du vice ou l’amour éclairé de la patrie
a meilleure compagnie, qui la recherchait pour son esprit et pour ses
vertus
, au nombre desquelles fut toujours la plus exacte
XIV. Cette haute fortune de Mme de Maintenon eut son principe dans sa
vertu
, ce moyen de parvenir trop peu mis en usage ; car
oursuivant qu’un seul et bien misérable objet, la considération, sans
vertu
et sans amour… »
e avec zèle… ………………………………………………… Nos modestes aïeux Palaient moins de
vertus
et les cultivaient mieux6. Quels demi-dieux enfin
ux-tu reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple femme en nos jours, La
vertu
qu’ils avaient n’est plus qu’en leurs discours. S
ne âme, un corps, Egayait la raison de riantes images ; Cachait de la
vertu
les préceptes sauvages Sous le voile enchanteur d
age, par nos troubles et par nos remords secrets, à la sainteté de la
vertu
que nous violons ; partout un fonds d’ennui et de
la mauvaise, la peine secrète du vice, la récompense intérieure de la
vertu
; elle seule immortalise ceux qui l’ont aimée, il
e comparaison a été appliquée ainsi par Sénèque : « La gloire suit la
vertu
comme son ombre. » J’aime mieux l’emploi que Mass
ce et de la pauvreté. Il croissait avec la triple garde de ces fortes
vertus
, comme un enfant de Sparte et de Rome, ou, pour m
cette autre puissance qui ne souffre jamais impunément d’éclipse, la
vertu
. Dès ses jeunes années, le fils du patricien, c’e
: Que la mémoire de nos pères, que leur culte, la tradition de leurs
vertus
vive au fond de nos cœurs ! 2. Général de l’Empi
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