Chapitre V. Cinquième espèce de mots. Le
verbe
. 47. — Le Verbe est un mot dont on se sert pour
Chapitre V. Cinquième espèce de mots. Le verbe. 47. — Le
Verbe
est un mot dont on se sert pour exprimer que l’on
ou que l’on fait quelque chose : ainsi, le mot être, je suis, est un
verbe
; le mot lire, je lis, est un verbe. On connaît u
nsi, le mot être, je suis, est un verbe ; le mot lire, je lis, est un
verbe
. On connaît un verbe, en français, quand on peut
suis, est un verbe ; le mot lire, je lis, est un verbe. On connaît un
verbe
, en français, quand on peut y ajouter ces pronoms
à qui l’on parle ; il, elle, ils, elles, et tout nom placé devant un
verbe
, marquent la troisième personne, celle de qui l’o
troisième personne, celle de qui l’on parle. 49. — Il y a dans les
verbes
deux nombres ; le singulier, quand on parle d’une
aurai lu. 51. — Il y a cinq modes ou manières de signifier dans les
verbes
français. 1° L’indicatif, quand on affirme que la
comme lire, être. 52. — Réciter de suite les différents modes d’un
verbe
avec tous leurs temps, leurs nombres et leurs per
trième a l’infinitif terminé en re, comme rendre. 54. — Il y a deux
verbes
que l’on nomme auxiliaires, parce qu’ils aident à
s aident à conjuguer tous les autres : nous commencerons par ces deux
verbes
. 55. — Verbe auxiliaire avoir. INDICATIF. p
guer tous les autres : nous commencerons par ces deux verbes. 55. —
Verbe
auxiliaire avoir. INDICATIF. présent. Sing.
sent. Ayant. passé. Eu, eue, ayant eu. futur. Devant avoir. 56. —
Verbe
auxiliaire Être. Indicatif. présent. Je suis. T
é, aimée, ayant aimé. futur. Devant aimer. Ainsi se conjuguent les
verbes
chanter, danser, manger, appeler, et tous ceux do
es prières des prêtres ; béni, bénie, partout ailleurs. Haïr, mais ce
verbe
fait, au présent de l’indicatif, je hais, tu hais
re. Des temps primitifs. 61. — On appelle temps primitifs d’un
verbe
, ceux qui servent à former les autres temps dans
finis ; je reçois, imp. reçois ; je rends, imp. rends. Excepté quatre
verbes
: je suis, impératif, sois ; j’ai, impératif aie
tous les temps composés (de deux mots)1, en y joignant les temps des
verbes
auxiliaires avoir, être ; comme j’ai aimé, j’ai f
aimé, que j’eusse fini, que j’eusse reçu, que j’eusse rendu, etc.
Verbes
irréguliers. 63. — On appelle irréguliers les
du, etc. Verbes irréguliers. 63. — On appelle irréguliers les
verbes
qui ne suivent pas toujours la règle générale des
nt pas toujours la règle générale des conjugaisons2. Plusieurs de ces
verbes
ne sont pas usités à certains temps et à certaine
usités à certains temps et à certaines personnes. TEMPS PRIMITIFS des
verbes
irréguliers. présent de l’infinitif. particip
Vivre. Vivant. Vécu. Je vis. Je vécus. Nous ne marquons pas les
verbes
composés, parce qu’ils suivent la conjugaison de
xemple, les composés promettre, admettre, etc. se conjuguent comme le
verbe
simple mettre. Au moyen de cette table, et des rè
que nous avons données sur la formation des temps, il n’y a point de
verbe
qu’on ne puisse conjuguer. Accord des verbes
ps, il n’y a point de verbe qu’on ne puisse conjuguer. Accord des
verbes
avec leur nominatif ou sujet. 64. — On appelle
leur nominatif ou sujet. 64. — On appelle sujet ou nominatif d’un
verbe
ce qui est, ou ce qui fait la chose qu’exprime le
ominatif d’un verbe ce qui est, ou ce qui fait la chose qu’exprime le
verbe
. On trouve le sujet en mettant qui est-ce qui ? d
me le verbe. On trouve le sujet en mettant qui est-ce qui ? devant le
verbe
. La réponse à cette question indique le sujet ; q
age ; qui est-ce qui est sage ? Réponse, l’enfant : voilà le sujet du
verbe
est. Le lièvre court ; qui est-ce qui court ? Rép
vre court ; qui est-ce qui court ? Rép. le lièvre : voilà le sujet du
verbe
court. 65. — Règle. Tout verbe doit être au mêm
? Rép. le lièvre : voilà le sujet du verbe court. 65. — Règle. Tout
verbe
doit être au même nombre et à la même personne qu
pluriel et à la seconde personne. 66. — Première remarque. Quand un
verbe
a deux sujets singuliers, on met ce verbe au plur
Première remarque. Quand un verbe a deux sujets singuliers, on met ce
verbe
au pluriel. Exemple. Mon frère et ma sœur lisent
arque. Quand les deux sujets sont de différentes personnes, on met le
verbe
à la plus noble personne : la première est plus n
abord la personne à qui l’on parle, et qu’on se nomme le dernier.)
Verbe
actif. Régime des verbes actifs. 68. — On
parle, et qu’on se nomme le dernier.) Verbe actif. Régime des
verbes
actifs. 68. — On appelle verbe actif 1 celui a
r.) Verbe actif. Régime des verbes actifs. 68. — On appelle
verbe
actif 1 celui après lequel on peut mettre quelqu’
ui après lequel on peut mettre quelqu’un, quelque chose. Aimer est un
verbe
actif, parce qu’on peut dire aimer quelqu’un : pa
t dire aimer quelqu’un : par exemple, j’aime Dieu. Ce mot qui suit le
verbe
actif s’appelle le régime de ce verbe. On connaît
j’aime Dieu. Ce mot qui suit le verbe actif s’appelle le régime de ce
verbe
. On connaît le régime, en faisant la question qu’
Exemple : qu’est-ce que j’aime ? Réponse, Dieu. Dieu est le régime du
verbe
j’aime. 69. — Règle. Le régime d’un verbe actif
eu. Dieu est le régime du verbe j’aime. 69. — Règle. Le régime d’un
verbe
actif se place ordinairement après le verbe (quan
. — Règle. Le régime d’un verbe actif se place ordinairement après le
verbe
(quand ce n’est pas un pronom). Exemple. J’aime
e. J’aime Dieu. Le chat mange la souris : la souris est le régime du
verbe
mange. Mais quand le régime est un pronom, il se
verbe mange. Mais quand le régime est un pronom, il se met devant le
verbe
. Exemples. Je vous aime, pour j’aime vous ; il m
. — Remarque. Outre ce premier régime, qu’on appelle direct, certains
verbes
actifs peuvent avoir un second régime, qu’on appe
écrire une lettre à son ami : à l’enfant, est le régime indirect des
verbes
donner, enseigner ; à son ami, est le régime indi
t des verbes donner, enseigner ; à son ami, est le régime indirect du
verbe
écrire. Accuser quelqu’un de mensonge ; avertir q
délivrer quelqu’un du danger : de mensonge, est le régime indirect du
verbe
accuser, etc. Verbe passif. 71. — Tout verb
anger : de mensonge, est le régime indirect du verbe accuser, etc.
Verbe
passif. 71. — Tout verbe actif a un passif : c
régime indirect du verbe accuser, etc. Verbe passif. 71. — Tout
verbe
actif a un passif : ce passif se forme en prenant
orme en prenant le régime direct de l’actif pour en faire le sujet du
verbe
passif ; et en ajoutant le mot par ou de. Ainsi,
ement, dites : mon père est tendrement aimé de moi. Conjugaison des
verbes
passifs. 72. — Il n’y a qu’une seule conjugais
bes passifs. 72. — Il n’y a qu’une seule conjugaison pour tous les
verbes
passifs ; elle se fait avec l’auxiliaire être dan
avec l’auxiliaire être dans tous ses temps, et le participe passé du
verbe
qu’on veut conjuguer. INDICATIF. présent. Je sui
guent être fini, être reçu, être rendu, etc, etc, etc. Régime des
verbes
passifs. 73. — Règle. On met de ou par devant
73. — Règle. On met de ou par devant le nom ou pronom qui suit le
verbe
passif. Exemples. La souris est mangée par le ch
s méchants seront punis de Dieu et non pas seront punis par Dieu.
Verbes
neutres. 74. — On appelle neutres 1, les verbe
unis par Dieu. Verbes neutres. 74. — On appelle neutres 1, les
verbes
après lesquels on ne peut pas mettre quelqu’un ni
peut pas mettre quelqu’un ni quelque chose : languir, dormir sont des
verbes
neutres, parce qu’on ne peut dire : languir quelq
s, parce qu’ils ne sont ni actifs ni passifs.) 75. — La plupart des
verbes
neutres se conjuguent comme les verbes actifs, av
ssifs.) 75. — La plupart des verbes neutres se conjuguent comme les
verbes
actifs, avec l’auxiliaire avoir : je dors, j’ai d
dors, j’ai dormi, j’avais dormi, j’aurais dormi, etc. Mais il y a des
verbes
neutres qui se conjuguent dans leurs temps compos
aire être, comme venir, arriver, tomber, etc. 76. — Conjugaison des
verbes
neutres. INDICATIF. présent. Je tombe. Tu tom
tant tombé, ou tombée. futur. Devant tomber. Conjuguez de même les
verbes
aller, arriver, déchoir, décéder, entrer, sortir,
osés, devenir, survenir, revenir, parvenir, etc., etc. Régime des
verbes
neutres. 77. — Il y a des verbes neutres qui
venir, etc., etc. Régime des verbes neutres. 77. — Il y a des
verbes
neutres qui ont un régime. Règle. On met à ou de
régime. Règle. On met à ou de devant le nom ou le pronom qui suit le
verbe
neutre. EXEMPLES. À. DE. Nuire à la santé.
ofiter des leçons. Convenir à quelqu’un. Jouir de la liberté.
Verbes
réfléchis. 78. — On appelle verbes réfléchis 1
’un. Jouir de la liberté. Verbes réfléchis. 78. — On appelle
verbes
réfléchis 1 ceux dont le sujet et le régime sont
onne, comme je me flatte, tu te loues, il se blesse, etc. 79. — Les
verbes
réfléchis se conjuguent comme le verbe tomber, c’
l se blesse, etc. 79. — Les verbes réfléchis se conjuguent comme le
verbe
tomber, c’est-à-dire qu’ils prennent l’auxiliaire
. Nous ne mettrons ici que les premières personnes. Conjugaison des
verbes
réfléchis. INDICATIF. présent. Je me repens.
tir. 80. — Remarque. Me, te, se, nous, vous, qui sont le régime des
verbes
réfléchis, sont quelquefois régime direct, comme
il s’est fait honneur, c’est-à-dire il a fait honneur à soi, etc.
Verbes
impersonnels. 81. — On appelle verbe impersonn
fait honneur à soi, etc. Verbes impersonnels. 81. — On appelle
verbe
impersonnel celui qui ne s’emploie dans tous les
leut, etc. Il se conjugue à cette troisième personne comme les autres
verbes
. 82. — Conjugaison des verbes impersonnels.
e troisième personne comme les autres verbes. 82. — Conjugaison des
verbes
impersonnels. INDICATIF. présent. Il faut. i
TICIPE. passé. Ayant fallu. 83. — Remarque. Le mot il ne marque un
verbe
impersonnel que lorsqu’on ne peut pas mettre un n
l’auxiliaire avoir ou l’auxiliaire être. 2. Les véritables et seuls
verbes
irréguliers sont ceux qui ne suivent pas toujours
les règles de la formation des temps. 3. La plupart des temps de ce
verbe
sont peu usités. 1. Bruyant est un adjectif et
usités. 1. Bruyant est un adjectif et non un participe présent. 1.
Verbe
actif ou transitif disent les grammairieus modern
mme je l’ai dit ailleurs, est le principe de l’action exprimée par le
verbe
. Il est employé en régime, lorsqu’il désigne l’ob
régissants. Il en est de même des noms adjectifs, des pronoms et des
verbes
. En voici des exemples : = À la lecture de ce dis
e plus éloquent de nos orateurs. Voilà l’adjectif éloquent, régime du
verbe
reconnaît, et en même temps régissant du substant
lis en ce moment celui de votre ami. Voilà le pronom celui, régime du
verbe
lis, et en même temps régissant du substantif ami
mi : = Votre frère veut un peu trop tard apprendre à danser. Voilà le
verbe
apprendre, régime du verbe veut, et en même temps
peu trop tard apprendre à danser. Voilà le verbe apprendre, régime du
verbe
veut, et en même temps régissant du verbe danser.
verbe apprendre, régime du verbe veut, et en même temps régissant du
verbe
danser. Les prépositions sont toujours, et de leu
ux arts et aux beaux ouvrages. Ainsi ce régime ne peut convenir qu’au
verbe
actif. Le régime est composé, quand il n’y a qu’u
int n’influe pas sur le substantif reproches : il ne tombe que sur le
verbe
ferai. La même remarque doit avoir lieu sur ce ve
ssion ou l’emploi de l’article, avant un nom substantif, précédé d’un
verbe
, change entièrement le sens de l’expression. Par
ité absolus. L’adjectif qui se rapporte au pronom vous, et joint à un
verbe
qui est au pluriel, se met au singulier, quand on
au mot un, et qu’alors étant au singulier, il veut au même nombre le
verbe
dont il est le sujet. En voici des exemples : = c
ifiées On sait que les pronoms, me, te, se, doivent être mis avant le
verbe
; mais que quand le verbe est à l’impératif, et q
noms, me, te, se, doivent être mis avant le verbe ; mais que quand le
verbe
est à l’impératif, et qu’il marque affirmation, m
r, en parlant de choses inanimées, quand ces pronoms sont joints à un
verbe
, qui ne convient proprement qu’aux personnes. On
inction qu’on doit faire. Lorsque chacun est placé avant le régime du
verbe
, on met leur après chacun : = ces braves officier
ur a dicté à chacun leur thème. Lorsque chacun est après le régime du
verbe
, on emploie son, sa, ses : = ces soldats ont fait
vrage, en adoptant le sentiment de plusieurs grammairiens, que, si le
verbe
n’a point de régime, on met son, sa, ses, ou leur
xamen, je pense qu’on ne peut employer que son, sa, ses, parce que le
verbe
est sous-entendu après chacun. C’est comme si l’o
on ses forces. On ne dit plus un chacun. Le pronom ce, placé avant le
verbe
être, veut ce verbe à la troisième personne du si
dit plus un chacun. Le pronom ce, placé avant le verbe être, veut ce
verbe
à la troisième personne du singulier, quand il es
ous, ou d’un régime composé, de quelque nombre qu’il soit. Mais si le
verbe
être est suivi du pronom, eux, elles, ou d’un sub
pronom, eux, elles, ou d’un substantif pluriel, sans préposition, le
verbe
doit être mis au pluriel. Ainsi l’on dira : c’est
ruit. 2°. Lorsque le substantif de ce pronom, est le régime simple du
verbe
qui a pour sujet, ou le substantif auquel se rapp
ducation. Quand le substantif, n’ayant point d’adjectif, est après le
verbe
, il faut se servir de quel, que ; quelle, que, qu
dire, à quelque prix, etc. Article IV. Observations sur le
Verbe
. Accord du verbe et de son sujet. Le verb
etc. Article IV. Observations sur le Verbe. Accord du
verbe
et de son sujet. Le verbe se met au même nombr
bservations sur le Verbe. Accord du verbe et de son sujet. Le
verbe
se met au même nombre et à la même personne que s
de ce que vous étudiez, tandis que vos compagnons se divertissent. Le
verbe
, dont le relatif qui est le sujet, se met au même
is je pardonne à ta fureur. Il aurait fallu, qui me tues. Lorsque le
verbe
a pour sujet un nom collectif partitif, ou un adv
t prétendu. La plupart, quoiqu’il ne soit suivi d’aucun nom, veut le
verbe
, et l’adjectif ou le participe qui le suit, au pl
= la plupart sont aveugles sur leurs défauts. Règle concernant le
verbe
qui a plusieurs sujets. Si le verbe a plusieur
éfauts. Règle concernant le verbe qui a plusieurs sujets. Si le
verbe
a plusieurs sujets de différentes personnes, on l
s censurons dans les autres les défauts que nous avons nous-mêmes. Le
verbe
qui a pour sujets plusieurs noms singuliers, qui
u le gâter. Mais si ces noms sont liés par une conjonction, on met le
verbe
au pluriel : = une entreprise mal concertée, une
1°. Quand ces substantifs sujets sont liés par la conjonction ou, le
verbe
se met au singulier : = la raison ou la nécessité
prendre son parti. Mais si ces sujets sont des pronoms personnels, le
verbe
, suivant l’Académie, doit suivre la règle général
Plusieurs substantifs liés par la conjonction ni répétée, veulent le
verbe
au singulier, si un seul de ces substantifs fait
ni l’un ni l’autre ne sont bons. Mais si l’on place ces mots après le
verbe
, celui-ci doit toujours être mis au pluriel : = i
njonction mais, et dont le dernier soit au singulier, on met alors le
verbe
au singulier : = non seulement ses titres, ses ho
t rien, placés après plusieurs substantifs, même pluriels, veulent le
verbe
au singulier : = les meubles les plus précieux, l
s femmes, rien ne put arrêter sa barbare furie. Dans ces exemples, le
verbe
est sous-entendu après chaque substantif. Régi
ntendu après chaque substantif. Régimes des différentes espèces de
verbes
. Tous les verbes actifs ont un régime simple ;
substantif. Régimes des différentes espèces de verbes. Tous les
verbes
actifs ont un régime simple ; et la plupart ont d
maître vous dispense de ce travail : = je vous donnerai un livre. Le
verbe
passif a un régime composé, marqué par la préposi
é, marqué par la préposition de ou par. Il faut employer de, quand le
verbe
exprime une action de l’âme : = l’honnête homme e
r les barbares du nord : = ce peuple est gouverné par un bon roi. Les
verbes
neutres n’ont jamais de régime simple. Il y en a
n’en ont pas du tout ; comme exister, souper, dormir, etc. Il y a des
verbes
réciproques qui ont un régime simple ; et alors l
rs défendus ; c’est une vertu de se priver des plaisirs permis. Aucun
verbe
, de quelque espèce qu’il soit, ne peut avoir deux
arce que vous, et ce, qui signifie la chose, sont en régime simple du
verbe
informer. Il aurait fallu dire : ne vous informez
je veux parler. parce que à vous et à qui sont en régime composé du
verbe
parler. Il aurait fallu ; c’est à vous, mon espri
je parle. » Dans ces deux exemples, que est seulement conjonction.
Verbes
qui ont différents régimes. Il y a des verbes
ment conjonction. Verbes qui ont différents régimes. Il y a des
verbes
qui ont différents régimes, ou qui veulent être s
re réussir quelque chose : = il a aidé au succès de cette affaire. Ce
verbe
est aussi réciproque ; et il prend alors de : = i
x fidèles l’observation des fêtes. Dans toute autre signification, ce
verbe
n’a qu’un régime. Ce régime est simple, lorsque c
t puissance, avoir autorité, empire sur quelqu’un ; et en ce sens, ce
verbe
est neutre : = le souverain commande à ses sujets
es ; le capitaine à ses soldats. Croître, suivant l’Académie, est un
verbe
neutre, qui prend tantôt en, tantôt à: = croître
sage le plus ordinaire est de mettre de avant l’infinitif qui suit le
verbe
désirer. Échapper, signifiant se sauver des main
ltez pas à la misère de cet homme. Il ne faut pas mettre que entre le
verbe
ne pas laisser, et la préposition de placée avant
nner quelqu’un. Il faut dire pardonner à quelqu’un ; et en ce sens ce
verbe
est neutre : = le roi lui a pardonné et l’a remis
u défaut de sa naissance. Répétition d’un nom en régime après deux
verbes
. Quand deux verbes, qui ont de leur nature dif
ce. Répétition d’un nom en régime après deux verbes. Quand deux
verbes
, qui ont de leur nature différents régimes, sont
n nom, il faut que le nom en régime soit mis après chacun de ces deux
verbes
, et par conséquent, qu’il soit répété ou par lui-
et le règle avec une sagesse infinie. Il en est de même, lorsque deux
verbes
sont suivis d’un autre verbe, qui doit être emplo
nfinie. Il en est de même, lorsque deux verbes sont suivis d’un autre
verbe
, qui doit être employé dans différents temps ou d
s temps ou dans différents modes : il faut alors répéter ce troisième
verbe
. Ainsi au lieu de dire : je désire et j’espère qu
sse, et qui devraient toujours en être inséparables. Répétition du
verbe
. Le verbe doit être répété dans une phrase qui
evraient toujours en être inséparables. Répétition du verbe. Le
verbe
doit être répété dans une phrase qui a deux parti
mportant d’observer cette règle, parce que le défaut de répétition du
verbe
rend souvent le sens d’une phrase, louche et obsc
illeurs, il aurait dû, dans le premier membre de la phrase, mettre le
verbe
être au pluriel, et, suivant la règle dont il s’a
qui ont le plus de crédit auprès du Prince. Il faut encore répéter le
verbe
, quand il est actif dans le premier membre de la
mbre de la phrase, et que dans le second il doit être employé avec le
verbe
être. On dira, par exemple : les lois qu’on n’a p
, ou prendre ce tour, et l’autel fut placé comme il devait l’être. Le
verbe
avoir, employé d’abord seul comme verbe actif, do
cé comme il devait l’être. Le verbe avoir, employé d’abord seul comme
verbe
actif, doit être répété avant un participe qui se
ssances. Il faudrait dire : et avait acquis plus de connaissances. Le
verbe
faire peut être mis à la place d’un verbe qu’on n
s plus de connaissances. Le verbe faire peut être mis à la place d’un
verbe
qu’on ne veut point répéter. Mais il doit être al
t déjà fait ceux de ses prédécesseurs . L’auteur aurait dû répéter le
verbe
, et dire, comme ils avaient déjà méconnu ceux de
éclinable, c’est-à-dire, ne prend jamais ni genre ni nombre, dans les
verbes
actifs suivis de leur régime simple, ni dans les
bre, dans les verbes actifs suivis de leur régime simple, ni dans les
verbes
neutres qui se conjuguent avec l’auxiliaire avoir
ni dans les verbes neutres qui se conjuguent avec l’auxiliaire avoir.
Verbes
actifs : = une grêle affreuse a dévasté nos campa
éditieux, et nous avons bravé la fureur de ces monstres sanguinaires.
Verbes
neutres : = dans cette douce espérance, tous les
participe prend toujours le genre et le nombre de son sujet dans les
verbes
passifs ; dans les verbes neutres, qui se conjugu
le genre et le nombre de son sujet dans les verbes passifs ; dans les
verbes
neutres, qui se conjuguent avec l’auxiliaire être
verbes neutres, qui se conjuguent avec l’auxiliaire être, et dans les
verbes
réciproques, qui n’ayant point de régime simple,
e simple, ne pourraient jamais se construire avec l’auxiliaire avoir.
Verbes
passifs : = quand le vrai mérite seul est récompe
pprochent ; toutes les lois sont constamment observées par le peuple.
Verbes
neutres : = cette grande armée était déjà partie,
tis plus tard, nous serions infailliblement tombés dans ce précipice.
Verbes
réciproques : = bien des gens se sont repentis d’
ce sujet. On voit que ce second pronom, avec lequel se conjuguent ces
verbes
réciproques, n’est pas en régime simple, puisqu’o
ourquoi l’usage les mettant ici, en quelque façon, dans la classe des
verbes
passifs, veut que leur participe s’accorde avec l
que leur participe s’accorde avec le sujet. Au reste, il y a quelques
verbes
de cette espèce, mais en très petit nombre, dont
ègle du participe, considérée sous son troisième rapport. Dans les
verbes
actifs, et dans les verbes réciproques, le partic
ée sous son troisième rapport. Dans les verbes actifs, et dans les
verbes
réciproques, le participe, précédé de son régime
ce pronom soit en régime simple. Voici d’abord des exemples pour les
verbes
actifs. Exemples pour les verbes actifs. Q
ici d’abord des exemples pour les verbes actifs. Exemples pour les
verbes
actifs. Quel livre avez-vous lu ? = quelle be
son régime simple qui le précède, quoique le sujet soit mis après le
verbe
: c’est aujourd’hui le sentiment de tous les bons
Les exceptions qu’on a voulu faire au sujet du participe, suivi d’un
verbe
à l’infinitif, sont, suivant Duclos, de pures chi
ire joint au participe : peu importe que ce participe soit suivi d’un
verbe
à l’infinitif, ou qu’il ne le soit pas. Racine a
é, parce que le pronom la, qui précède ce participe, est le régime du
verbe
battre, puisque c’est comme si l’on disait : on a
ée, ne pouvant être celui des infinitifs tomber, mourir, qui sont des
verbes
neutres : c’est-à-dire, on a laissé elle tomber,
e : on a fait tomber, mourir elle. Le pronom la est régi par les deux
verbes
fait et mourir, qui étant ici mots inséparables,
les soins qu’il a dû : = il a employé tous les moyens qu’il a pu. Les
verbes
obtenir, donner, employer, sont sous-entendus apr
ont sous-entendus après les participes voulu, dû, pu ; et c’est à ces
verbes
que le pronom en régime doit se rapporter. Il fau
observer encore qu’il y a quelques participes, entre autres ceux des
verbes
plaindre, craindre, fuir, qu’il est bon d’éviter
tuer d’autres expressions. Cette règle, concernant les participes des
verbes
actifs, ne souffre point d’exceptions, ou en souf
u plus une seule. C’est quand le participe et l’auxiliaire forment un
verbe
impersonnel. Alors le participe ne prend ni genre
grande inondation qu’il y a eu, et non pas eue. Exemples pour les
verbes
réciproques. Quant aux verbes réciproques, la
et non pas eue. Exemples pour les verbes réciproques. Quant aux
verbes
réciproques, la règle est, comme je l’ai déjà dit
ciproques, la règle est, comme je l’ai déjà dit, la même que dans les
verbes
actifs. Quelques exemples suffiront pour la confi
ans l’esprit, c’est-à-dire aura mis à elle. Quand le participe de ces
verbes
réciproques est immédiatement suivi ou d’un subst
adjectif, ou d’un autre participe, il s’accorde aussi, comme dans les
verbes
actifs, avec le régime simple qui le précède. En
traintes à faire cet aveu. Peu importe que le sujet soit mis après le
verbe
. La règle est encore ici la même que dans les ver
soit mis après le verbe. La règle est encore ici la même que dans les
verbes
actifs ; et le participe doit prendre le genre et
rait été au-dessus de tous les éloges. Enfin, quand le participe d’un
verbe
réciproque est suivi d’un infinitif, il faut voir
rbe réciproque est suivi d’un infinitif, il faut voir, comme dans les
verbes
actifs, si le régime simple qui précède, dépend d
s actifs, si le régime simple qui précède, dépend du participe, ou du
verbe
qui est à l’infinitif. = La science que nous nous
nt fait peindre ; je dis fait, parce que le pronom se est régi par le
verbe
peindre, ou plutôt, comme je l’ai déjà remarqué,
sée, parce que le pronom se est régi par ce participe, et non par les
verbes
aller, tomber, mourir, qui sont des verbes neutre
participe, et non par les verbes aller, tomber, mourir, qui sont des
verbes
neutres ; c’est-à-dire, elle a laissé elle aller,
rce que le pronom se est le régime, non pas de ce participe, mais des
verbes
séduire, mener, battre, qui sont des verbes actif
de ce participe, mais des verbes séduire, mener, battre, qui sont des
verbes
actifs ; c’est-à-dire, elle a laissé séduire, men
e je viens d’avancer, se trouve dans la propre signification des deux
verbes
laisser et faire, joints à un infinitif. Le verbe
ification des deux verbes laisser et faire, joints à un infinitif. Le
verbe
laisser, signifie permettre, souffrir, ne pas emp
sser, signifie permettre, souffrir, ne pas empêcher une chose ; et le
verbe
faire, signifie être la cause prochaine ou éloign
quoi, d’un côté, le participe laissé, pouvant toujours être séparé du
verbe
neutre auquel il est joint, régit lui-même le nom
it prendre le genre et le nombre. Voilà pourquoi, d’un autre côté, le
verbe
faire ne pouvant jamais être séparé du verbe dont
uoi, d’un autre côté, le verbe faire ne pouvant jamais être séparé du
verbe
dont il est suivi, de quelque espèce qu’il soit,
uniquement au participe fait, et ne peut pas non plus se rapporter au
verbe
neutre qui le suit. Mais il se rapporte à tous le
e genre et le nombre du pronom se qui le précède, et qu’il régit ; le
verbe
neutre aller ne pouvant le régir lui-même. Voilà
laissé au masculin, parce que ce même pronom se n’est régi que par le
verbe
actif séduire. N’est-ce pas là une preuve bien cl
un régime simple : ils peuvent alors se tourner par un autre temps du
verbe
, précédé du relatif qui. = J’ai rencontré votre a
ec les adjectifs verbaux, ainsi appelés, parce qu’ils sont formés des
verbes
. Les premiers expriment toujours une action ; les
adjectif verbal. III. Remarques sur les modes et les temps du
Verbe
. L’emploi des modes et des temps du verbe étan
es modes et les temps du Verbe. L’emploi des modes et des temps du
verbe
étant assez connu par l’usage, je ne m’attacherai
us d’énergie et de vivacité au récit. Mais il faut alors que tous les
verbes
de la même phrase soient mis au présent. Celle-ci
et du subjonctif. Il est essentiel de ne pas oublier qu’on met le
verbe
à l’indicatif, quand on veut affirmer une chose ;
ien dit autre chose, si ce n’est que vous êtes studieux et docile. Le
verbe
est ici à l’indicatif, parce que l’on affirme : =
e rien autre chose, si ce n’est que vous soyez studieux et docile. Le
verbe
est ici au subjonctif, parce qu’on exprime un sou
parce qu’on exprime un souhait. La conjonction que, placée entre deux
verbes
, est principalement assujettie à cette règle. Si
n marque une affirmation ou une espèce de certitude, on met le second
verbe
à l’indicatif, comme dans ces phrases : = je vous
mot si l’on n’exprime pas quelque chose de positif, on met le second
verbe
au subjonctif, comme dans ces phrases : = je dout
ous fassiez cette démarche pour lui. Il en est de même, si le premier
verbe
est accompagné d’une négation ; comme : je n’espè
rès les relatifs qui, que, dont, précédés d’un superlatif relatif, le
verbe
doit être mis au subjonctif : = Racine est le poè
lieu pour les prépositions. On doit les répéter avant des noms ou des
verbes
qui signifient des choses opposées, ou tout à fai
fallait dire, et pour élever sa puissance, etc. Cependant si les deux
verbes
ne sont suivis d’aucun régime, on peut se dispens
les adjectifs, meilleur, moindre, pire, sont suivis d’un que, et d’un
verbe
à l’indicatif, on met ne avant ce verbe. Il en es
sont suivis d’un que, et d’un verbe à l’indicatif, on met ne avant ce
verbe
. Il en est de même de l’adverbe autrement, et de
, suivant l’Académie, a quelquefois deux acceptions opposées. Avec le
verbe
être, rien moins signifie le contraire de l’adjec
tte nouvelle, veut dire, cette nouvelle n’est pas vraie. Mais avec un
verbe
actif, réciproque ou neutre, le sens serait équiv
e, lorsque la conjonction et y est placée entre le régime simple d’un
verbe
, et le sujet d’un autre verbe ; comme dans celle-
est placée entre le régime simple d’un verbe, et le sujet d’un autre
verbe
; comme dans celle-ci : Germanicus a égalé sa ver
d’abord, disent-ils, que bonheur soit, ainsi que vertu, le régime du
verbe
égalé, tandis qu’il est le sujet du verbe a eu. C
nsi que vertu, le régime du verbe égalé, tandis qu’il est le sujet du
verbe
a eu. Ces grammairiens pourraient bien paraître u
. Quoi qu’il en soit, je pense avec eux que, quand le sujet du second
verbe
est séparé de ce verbe par plusieurs mots, la phr
e pense avec eux que, quand le sujet du second verbe est séparé de ce
verbe
par plusieurs mots, la phrase n’est réellement pa
e vous ne veniez me prendre. On la met aussi avec le que qui suit les
verbes
douter et nier, lorsque ces verbes sont précédés
met aussi avec le que qui suit les verbes douter et nier, lorsque ces
verbes
sont précédés d’une négation = Je ne doute pas, j
ujours ne. = Peu s’en faut que son ouvrage ne soit achevé. Mais si ce
verbe
est accompagné d’un autre adverbe que peu, on est
. = Prenez garde que l’auteur ne dit pas ce que vous pensez. Quand le
verbe
empêcher n’a point de négation, il faut joindre n
le verbe empêcher n’a point de négation, il faut joindre ne au second
verbe
. = Empêchez qu’on ne chante. Quand il est accompa
l est accompagné d’une négation, il faut supprimer ne avant le second
verbe
. = N’empêchez pas qu’on chante. Il en est de même
le second verbe. = N’empêchez pas qu’on chante. Il en est de même des
verbes
craindre, avoir peur, appréhender. Les deux exemp
suyât les larmes de sa mère. Il faut cependant observer qu’après ces
verbes
suivis de la conjonction que, on met seulement ne
Il faudrait supprimer point, et dire : il ne mange ni ne boit. Si ces
verbes
étaient employés dans des temps composés, il faud
omposés, il faudrait, de plus, répéter la conjonction ni avant chaque
verbe
, et dire : il n’a ni mangé ni bu. Toutes les fois
n supprime encore paset point, après, depuis que ; il y a… que, si le
verbe
qui suit ces expressions adverbiales, est au pass
le vois point. Pas et point ne doivent jamais être employés après le
verbe
savoirpris dans le sens de pouvoir : = je ne saur
, je ne puis en venir à bout. On les supprime avec élégance après les
verbes
cesser, oser, et pouvoir : = il n’a cessé de gron
s expressions qui sont des gallicismes. La conjonction que, jointe au
verbe
être, forme aussi un gallicisme : = c’est à vous
’est qu’elle sort d’un sang qu’il brûle de répandre. Ce qui, dont le
verbe
ne paraît point, est un gallicisme. Je ne sai q
ste ? Les substantifs sujets, soldats, rangs, cris, horreur, dont le
verbe
est sous-entendu, forment autant d’ellipses. P
aussi dans la réduplication (ou répétition) du régime ou du sujet du
verbe
. Racine nous en fournit ces exemples : Et que m’
Aussi emploie-t-on souvent cette figure, en plaçant le sujet après le
verbe
, ou le régime avant le sujet et le verbe. Hypa
en plaçant le sujet après le verbe, ou le régime avant le sujet et le
verbe
. Hypallage. L’Hypallage est une figure par
pensées. Il y en a de huit sortes : le nom, l’article, le pronom, le
verbe
, la préposition, l’adverbe, la conjonction, et la
appartient à cette troisième personne. Le, la, les, placés avant un
verbe
, sont des pronoms qu’on nomme relatifs, parce qu’
ra si un pronom est substantif, ou adjectif. Article II. Du
Verbe
. Le verbe est en général un mot qui exprime u
m est substantif, ou adjectif. Article II. Du Verbe. Le
verbe
est en général un mot qui exprime une action, soi
ns, puisque c’est à eux qu’elles se terminent. L’action qu’exprime le
verbe
, peut être considérée sous quatre points de vue.
considérée sous quatre points de vue. De là naissent quatre sortes de
verbes
; l’actif, le passif, le réciproque, et le neutre
tif, le passif, le réciproque, et le neutre. Différentes espèces de
verbes
. Le verbe actif exprime une action que le suje
, le réciproque, et le neutre. Différentes espèces de verbes. Le
verbe
actif exprime une action que le sujet produit, et
t secourt les pauvres : = le tonnerre a renversé un grand édifice. Le
verbe
passif exprime une action, dont l’impression est
compatissant : = un grand édifice a été renversé par le tonnerre. Le
verbe
réciproque exprime une action, dont le sujet qui
chemin sabloneux : = ce jeune fat se vante toujours. On voit que les
verbes
de cette espèce sont accompagnés de deux pronoms
pronoms de la même personne, tandis que les autres n’en ont qu’un. Le
verbe
neutre exprime une action produite par le sujet,
emples qui feront sentir la différence essentielle qu’il y a entre un
verbe
actif et un verbe neutre. Quand je dis, le père c
sentir la différence essentielle qu’il y a entre un verbe actif et un
verbe
neutre. Quand je dis, le père corrige l’enfant, j
erbe neutre. Quand je dis, le père corrige l’enfant, j’exprime par ce
verbe
une action que fait le père, et dont l’enfant peu
ssion de cette action serait reçue ou soufferte par l’enfant. Donc ce
verbe
corriger est un verbe actif. Mais si je dis, le m
serait reçue ou soufferte par l’enfant. Donc ce verbe corriger est un
verbe
actif. Mais si je dis, le méchant médit de tout l
e ; le maître a parlé aux disciples ; quoique j’exprime, par ces deux
verbes
, des actions qui passent hors des sujets qui en s
par le méchant ; les disciples ont été parlés par le maître. Donc ces
verbes
médire, parler, expriment des actions, dont l’imp
ression ne peut être reçue ou soufferte ; par conséquent ils sont des
verbes
neutres, et non des verbes actifs. Ainsi le verbe
ou soufferte ; par conséquent ils sont des verbes neutres, et non des
verbes
actifs. Ainsi le verbe neutre est immuable de sa
quent ils sont des verbes neutres, et non des verbes actifs. Ainsi le
verbe
neutre est immuable de sa nature ; et le verbe ac
erbes actifs. Ainsi le verbe neutre est immuable de sa nature ; et le
verbe
actif peut être changé en passif, sans que, pour
rammairiens, empruntant le langage de la philosophie, ont dit que les
verbes
proprement actifs signifient une action, à laquel
ce qui peut empêcher les jeunes gens de confondre ces deux espèces de
verbes
, voici un moyen facile et sûr de les distinguer.
s de verbes, voici un moyen facile et sûr de les distinguer. Quand un
verbe
peut recevoir après lui les mots quelqu’un, quelq
r quelque chose. En expliquant ainsi la différence qu’il y a entre un
verbe
actif et un verbe neutre, je n’ai fait que suivre
n expliquant ainsi la différence qu’il y a entre un verbe actif et un
verbe
neutre, je n’ai fait que suivre le sentiment de t
ux et inadmissible le principe, d’après lequel Wailly prétend que les
verbes
nuire, médire, parler, danser, jouer, partir, ven
verbes nuire, médire, parler, danser, jouer, partir, venir, sont des
verbes
actifs. Je dois dire également ici que la définit
On y parle des justes comme de Dieu, et du fer comme de l’aimant. Les
verbes
qui ne peuvent être accompagnés que du pronom il,
impersonnels : = il faut : il importe : il pleut : il neige, etc.
Verbes
être et avoir. Nous avons dans notre Langue de
e, etc. Verbes être et avoir. Nous avons dans notre Langue deux
verbes
qui méritent ici une observation particulière : c
ux verbes qui méritent ici une observation particulière : ce sont les
verbes
être et avoir. Le premier signifie en lui-même ex
i sont, et qui seront. Mais dans sa signification la plus étendue, ce
verbe
n’exprime point d’action ; et les Grammairiens l’
, ce verbe n’exprime point d’action ; et les Grammairiens l’appellent
verbe
substantif. Un de ses principaux usages est de si
eux de pouvoir être les pères des pauvres. Je remarquerai ici que les
verbes
devenir, paraître, sembler, etc., servant à ce mê
rbes devenir, paraître, sembler, etc., servant à ce même usage que le
verbe
être, sont aussi regardés comme des verbes substa
vant à ce même usage que le verbe être, sont aussi regardés comme des
verbes
substantifs. Le verbe avoir signifie en lui-même
e le verbe être, sont aussi regardés comme des verbes substantifs. Le
verbe
avoir signifie en lui-même posséder ; et en ce se
eur a de grandes terres : = vous avez une belle bibliothèque. Mais ce
verbe
est plus généralement employé à un autre usage. I
est plus généralement employé à un autre usage. Il sert ainsi que le
verbe
être, à conjuguer en grande partie tous les autre
ous les autres ; et c’est pour cette raison que l’on appelle ces deux
verbes
, auxiliaires. Modes et temps du verbe. Tous
n que l’on appelle ces deux verbes, auxiliaires. Modes et temps du
verbe
. Tous les verbes ont différentes terminaisons
ces deux verbes, auxiliaires. Modes et temps du verbe. Tous les
verbes
ont différentes terminaisons ou variations finale
pensâtes ; ils pensèrent, etc. Assembler toutes les terminaisons d’un
verbe
, c’est le conjuguer. En le conjuguant, on exprime
t les personnes. J’ai déjà parlé des personnes : les nombres dans les
verbes
sont les mêmes que ceux des noms. Il n’y a propre
connaître ces divers temps, ainsi que les modes, je vais conjuguer un
verbe
, en plaçant la définition de chaque temps, à côté
n de chaque temps, à côté de ce même temps conjugué. Je joindrai à ce
verbe
les deux auxiliaires avoir, être. PREMIER MODE.
s ni personnes. En l’employant on fait entendre la signification d’un
verbe
d’une manière seulement générale. Présent. Le pr
re seulement générale. Présent. Le présent est toujours précédé d’un
verbe
, et se rapporte au temps marqué par ce verbe : =
st toujours précédé d’un verbe, et se rapporte au temps marqué par ce
verbe
: = j’entends, j’ai entendu, j’entendrai votre fr
i votre frère chanter. Participe. Le participe a la signification du
verbe
, et de plus est souvent employé comme adjectif :
bien émondés. Parfait. Le parfait désigne un temps passé, relatif au
verbe
qui le précède : = vous paraissez avoir étudié vo
érondif présent se rapporte, comme le présent, au temps marqué par le
verbe
dont il est précédé : = il va, il est allé, il ir
our l’un que pour l’autre : = croyez-vous que votre frère vienne ? Le
verbe
vienne marque un présent, si l’on veut dire que v
ue vous eussiez blâmé. eu. été. qu’ils eussent blâmé. eu. été. Ce
verbe
, que je viens de conjuguer, est actif. Pour en av
r le passif, il ne faudrait que mettre son participe (blâmé) après le
verbe
être dans tous ses temps : = je suis blâmé ; j’ét
emps : = je suis blâmé ; j’étois blâmé ; je serai blâmé, etc. Ce même
verbe
serait réciproque, si on le conjuguoit avec deux
blâmerai, etc. Alors plusieurs de ses temps se conjugueraient avec le
verbe
être. Ainsi, dans l’infinitif, le parfait serait,
plus-que-parfait, que je me fusse blâmé. Diverses conjugaisons des
verbes
. Tous les verbes ne se conjuguent pas de la mê
e je me fusse blâmé. Diverses conjugaisons des verbes. Tous les
verbes
ne se conjuguent pas de la même manière. Cette di
férence qui se trouve dans les terminaisons de toutes les parties des
verbes
, et principalement dans celle de l’infinitif. Les
de l’infinitif. Les différentes terminaisons de l’infinitif dans les
verbes
, se réduisent à quatre, qui forment autant de con
quatre, qui forment autant de conjugaisons. La première comprend les
verbes
, dont l’infinitif est terminé en er, = aimer. La
me, ceux dont l’infinitif est terminé en re, = rendre. On voit que le
verbe
que j’ai conjugué, est de la première conjugaison
parfait de l’indicatif, du futur simple, et des temps qui prennent le
verbe
avoir, parce que tous ces temps se conjuguent de
différences dans cette même conjugaison ; c’est-à dire, qu’outre les
verbes
en ir, qui sont entièrement semblables à celui qu
ons différentes aux mêmes temps et aux mêmes personnes. Tels sont les
verbes
suivants. INFINITIF Présent. sentir. tenir. co
distinguer, et qu’on distingue en effet dans notre langue. Il y a des
verbes
qu’on appelle verbes simples, d’autres qu’on appe
distingue en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’on appelle
verbes
simples, d’autres qu’on appelle verbes composés.
l y a des verbes qu’on appelle verbes simples, d’autres qu’on appelle
verbes
composés. Les verbes simples sont ceux qui serven
n appelle verbes simples, d’autres qu’on appelle verbes composés. Les
verbes
simples sont ceux qui servent à en former d’autre
s. Les verbes simples sont ceux qui servent à en former d’autres. Les
verbes
composés sont ceux qu’on forme d’un verbe simple,
à en former d’autres. Les verbes composés sont ceux qu’on forme d’un
verbe
simple, en y ajoutant une ou plusieurs syllabes.
labes. Ainsi, permettre, promettre, commettre, compromettre, sont des
verbes
composés du verbe mettre. Formation des temps
ttre, promettre, commettre, compromettre, sont des verbes composés du
verbe
mettre. Formation des temps et leurs terminais
. Formation des temps et leurs terminaisons. Les temps dans les
verbes
sont également simples ou composés. Les temps sim
sés. Les temps simples sont ceux qui n’empruntent aucun des temps des
verbes
auxiliaires, avoir, être ; = je finissais ; = il
emps composés sont, au contraire, formés de quelque temps de ces deux
verbes
auxiliaires et du participe : = j’avais fini ; =
ître. Paru. Paraissant. Je parais. Je parus. Pour savoir conjuguer un
verbe
régulier, il suffit d’en connaître les cinq temps
aisons propres aux temps simples : elles sont les mêmes dans tous les
verbes
. Du présent de l’infinitif on forme le futur en c
rait ; nous finirions ; vous finiriez ; ils finiraient. Cependant les
verbes
dont l’infinitif est en enir et en voir, font au
rticipe on forme tous les temps composés, en y joignant les temps des
verbes
avoir ou être ; = j’ai aimé ; = je suis tombé. Le
ermine par une voyelle, on ajoute un t avec un trait d’union entre le
verbe
et le pronom ; = aime-t-il l’étude ? viendra-t-on
il devînt ; nous devinssions ; vous devinssiez ; ils devinssent.
Verbes
irréguliers, et verbes défectueux. Un verbe, d
sions ; vous devinssiez ; ils devinssent. Verbes irréguliers, et
verbes
défectueux. Un verbe, dont les cinq temps prim
ils devinssent. Verbes irréguliers, et verbes défectueux. Un
verbe
, dont les cinq temps primitifs se terminent de la
t suivant les règles que je viens d’exposer succinctement, est appelé
verbe
régulier. Un verbe au contraire, dont les temps p
s que je viens d’exposer succinctement, est appelé verbe régulier. Un
verbe
au contraire, dont les temps primitifs ne se term
utres temps ne se forment pas suivant les règles communes, est appelé
verbe
irrégulier. Celui auquel il manque certains temps
ins temps, ou certaines personnes que l’usage n’admet pas, est appelé
verbe
défectueux. Je crois qu’il serait superflu de con
défectueux. Je crois qu’il serait superflu de conjuguer ici tous les
verbes
de ces deux dernières espèces. Il suffira de dire
u’il est suivi de en ; va-t-en. Les temps composés se forment avec le
verbe
être et le participe allé, lorsqu’ils marquent qu
ls marquent qu’on n’est plus dans cet endroit, ils se forment avec le
verbe
avoir et le participe été. Alors il fait au parfa
gne, signifie qu’il en est revenu. Je dois observer ici que, quand ce
verbe
se conjugue avec un second pronom personnel et la
nom personnel et la particule en, cette particule précède toujours le
verbe
être dans les temps composés : s’en être allé : s
sont pas usités. Quérir, n’a que le présent de l’infinitif avec les
verbes
aller, venir, envoyer : = aller quérir quelqu’un.
érons, ils acquièrent. Futur, j’acquerrai, etc. Mais conquérir, autre
verbe
composé, ne s’emploie bien qu’au présent de l’inf
u croi. Accroire, son composé, ne s’emploie qu’à l’infinitif, avec le
verbe
faire : = vous voudriez m’en faire accroire. Dir
d, nous moulons, etc. Paître, se conjugue comme repaître, qui est un
verbe
régulier. Mais il n’a ni participe (par conséquen
, absous, qu’il absolve, et au subjonctif présent, que j’absolve. Ces
verbes
n’ont ni parfait défini, ni imparfait du subjonct
is, je survéquis. Il faut dire, je vécus, je survécus. Emploi des
verbes
avoir et être. J’ai déjà dit que les verbes av
rvécus. Emploi des verbes avoir et être. J’ai déjà dit que les
verbes
avoir et être servent à conjuguer, en grande part
ieu de dire quel est l’emploi de ces deux auxiliaires. On a vu que le
verbe
avoir est employé dans ses propres temps composés
dans ses propres temps composés ; j’ai eu, j’avais eu ; dans ceux du
verbe
être ; j’eus été, j’aurais été, et dans ceux de t
eux du verbe être ; j’eus été, j’aurais été, et dans ceux de tous les
verbes
actifs. Il est aussi employé dans les temps compo
ctifs. Il est aussi employé dans les temps composés de la plupart des
verbes
neutres : = il a dormi ; ils avaient soupé ; nous
i ; ils avaient soupé ; nous aurions parlé ; vous avez couru, etc. Le
verbe
être sert, comme je l’ai déjà dit, à conjuguer le
uru, etc. Le verbe être sert, comme je l’ai déjà dit, à conjuguer les
verbes
passifs dans tous les temps. Il sert aussi à conj
s les temps. Il sert aussi à conjuguer les temps composés de quelques
verbes
neutres, tels que aller, arriver, choir, déchoir,
’avoir point contrevenu, n’être point contrevenu à la loi. Il y a des
verbes
neutres, qui, comme ces derniers, se conjuguent i
ouché plusieurs dames. Accroître, cesser, descendre, monter, sortir,
verbes
neutres, sont quelquefois employés comme verbes a
ndre, monter, sortir, verbes neutres, sont quelquefois employés comme
verbes
actifs ; et alors ils doivent se conjuguer avec a
sorti votre ami d’une affaire bien désagréable. Il en est de même du
verbe
échapper, lorsqu’il signifie éviter : = nous avon
ssé parmi de nouveaux factieux. Il fallait dire avait passé. Quand ce
verbe
n’est pas suivi d’un nom, il prend être : = l’arm
ou il est passé. Rester, prend toujours, comme je l’ai déjà dit, le
verbe
être. Ne dites donc pas, avec deux écrivains mode
it dire : est resté : être restés. Voici une règle pour connaître les
verbes
neutres qui prennent, dans leurs temps composés,
, l’auxiliaire être, et ceux qui prennent avoir. Si le participe d’un
verbe
neutre peut être joint à un substantif, ce verbe
Si le participe d’un verbe neutre peut être joint à un substantif, ce
verbe
se conjugue avec l’auxiliaire être. On dit, je su
e participe, au contraire, ne peut pas être joint à un substantif, le
verbe
se conjugue avec l’auxiliaire avoir. On dit, j’ai
Mais si l’on dit, il faut s’occuper utilement, la signification de ce
verbe
sera modifiée, ou déterminée, par l’adverbe utile
rbe : = Vous êtes mis trop richement. Mais il modifie plus souvent le
verbe
que les autres mots ; et c’est pour cette raison
ace d’un nom, en rappelle l’idée, et en fait éviter la répétition. Le
verbe
exprime une action produite par un principe spiri
ocatif. quel. Adj. indéfini, m. sing., se rapportant à empire. est.
Verbe
être, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif ;
v., formant avec les mots de vertus le complément ou régime direct du
verbe
doivent. de. Préposition. vertus. Nom com. f. p
du sing., désignant la religion, et complément ou régime indirect du
verbe
doivent. doivent. Verbe actif, 3e pers. du plur.
eligion, et complément ou régime indirect du verbe doivent. doivent.
Verbe
actif, 3e pers. du plur. du prés de l’indicat. du
nt. doivent. Verbe actif, 3e pers. du plur. du prés de l’indicat. du
verbe
devoir, 3e conjugaison. les. Article m. plur. se
plur. se rapportant a humains. humains. Nom com. m. plur., sujet du
verbe
doivent. Oh ! Interjection. qu’il. Pour que il.
ux. il. Pron. pers 3e pers. du sing. désignant le mortel et sujet du
verbe
est. est. Verbe être 3e pers. du sing. du prés.
rs 3e pers. du sing. désignant le mortel et sujet du verbe est. est.
Verbe
être 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif ;
mortel. Adj. pris substantivement, m. sing. ; répétition du sujet du
verbe
est. qui. Pron. relatif m. sing., ayant pour ant
Pron. relatif m. sing., ayant pour antécédent le mortel, et sujet du
verbe
trouve. pénétré. Participe adj., venant du verbe
mortel, et sujet du verbe trouve. pénétré. Participe adj., venant du
verbe
pénétrer, et au m. sing. parce qu’il se rapporte
limes. Adj. qualificatif, f. plur., se rapportant à vérités. trouve.
Verbe
actif, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif
s. trouve. Verbe actif, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif du
verbe
trouver, 1re conjugaison. sans cesse. Locution a
e conjugaison. sans cesse. Locution adverbiale, modifiant le sens du
verbe
trouve. dans. Préposition. ton. Adj. possessif
formant, à l’aide de la prépos. de, un complém. ou régime indirect du
verbe
trouve. un. Adj. numéral card. m. sing., détermi
nant asile. asile. Nom com. m. sing., complément ou régime direct du
verbe
trouve. contre. Préposition. le. Art. m. sing.,
t, à l’aide de la prépos. contre, un complément ou régime indirect du
verbe
trouve. et. Conjonction, liant le complément ou
nt refuge. refuge. Nom com. m. sing., complément ou régime direct du
verbe
trouve. contre. Préposition. le. Art. m. sing.,
l’aide de la préposition contre, un complément ou régime indirect du
verbe
trouve.
arcs-en-ciel. 117. — Quand il est composé d’une préposition ou d’un
verbe
et d’un nom, le nom seul prend la marque du pluri
peu de, etc. Les noms partitifs, suivis d’un nom pluriel, veulent le
verbe
et l’adjectif au pluriel. Exemples : La plupart
belles maisons. Pronoms. 124. — Vous, employé pour tu, veut le
verbe
au pluriel, mais l’adjectif suivant reste au sing
, la sœur, les hommes : au lieu que le pronom est toujours joint à un
verbe
, comme je le connais, je la respecte, je les esti
end ni genre ni nombre, quand il tient la place d’un adjectif ou d’un
verbe
. Par exemple : si l’on disait à une dame, Madame,
autres autant qu’on le peut ; je mets le, parce qu’il se rapporte au
verbe
accommoder. 127. — N’employez le pronom soi qu’
je m’applique, mais auxquelles je m’applique. 132. — Ce, devant le
verbe
être, veut ce verbe au singulier, excepté quand i
auxquelles je m’applique. 132. — Ce, devant le verbe être, veut ce
verbe
au singulier, excepté quand il est suivi de la tr
z pas vous enorgueillir. Si le nom n’est placé qu’après le que et le
verbe
, alors il faut écrire en deux mots séparés quel o
euse. On ne dit plus : un chacun, un quelqu’un. Remarques sur les
verbes
. 137. — Le sujet, soit nom, soit pronom, se pl
verbes. 137. — Le sujet, soit nom, soit pronom, se place après le
verbe
, 1° quand on interroge. Exemples : Que penseront
pas sage ? Irai-je ? Viendras-tu ? Est-il arrivé ? 138. — Quand le
verbe
qui précède il, elle, on, finit par une voyelle,
mens ? Est-ce que je dors ? 139. — Le sujet se met encore après le
verbe
, 1° quand on rapporte les paroles de quelqu’un. E
xemples : tel était son avis ; ainsi mourut cet homme. 3° — Après les
verbes
impersonnels. Exemple : Il est arrivé un grand ma
ne passée, etc. 142. — A quel temps du subjonctif faut-il mettre le
verbe
qui suit la conjonction que ? (Quand elle régit c
n que ? (Quand elle régit ce mode.) Première règle. Quand le premier
verbe
est au présent ou au futur, mettez au présent du
est au présent ou au futur, mettez au présent du subjonctif le second
verbe
qui est après que. Exemples : Il faut, Il faudra
a……… que vous soyez plus attentif. Deuxième règle. Quand le premier
verbe
est à l’un des passés, mettez le second verbe à l
règle. Quand le premier verbe est à l’un des passés, mettez le second
verbe
à l’imparfait du subjonctif. Exemples : Il falla
149. — Règle. Un nom peut être régi par deux adjectifs, ou par deux
verbes
à la fois, pourvu que ces adjectifs et ces verbes
ectifs, ou par deux verbes à la fois, pourvu que ces adjectifs et ces
verbes
ne veuillent pas un régime différent. Exemples :
: cet officier attaqua et se rendit maître de la ville, parce que le
verbe
attaquer ne peut régir de la ville. 1. Excepté
Lettre k 4 Lettre y 3 Lettres 3 Locutions vicieuses 65 Modes des
verbes
16 Mots 3 Mots dans lesquels la lettre k est as
— propre 5 — formation du pluriel 5 Nombre 5 Nominatif ou sujet du
verbe
30 Noms et adjectifs de nombre 10 Orthographe 5
ographe 52 — des adverbes 54 — des noms 52 — des pronoms 56 — des
verbes
54 Parenthèse 58 Participe 38 Participe passé
nis 45 — interrogatifs 14 — personnels 11 — relatifs 14 Régime du
verbe
30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres
ogatifs 14 — personnels 11 — relatifs 14 Régime du verbe 30 — des
verbes
actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes
11 — relatifs 14 Régime du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des
verbes
neutres 35 — des verbes passifs 33 — des verbes
e du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres 35 — des
verbes
passifs 33 — des verbes réfléchis 37 Remarques
es actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes passifs 33 — des
verbes
réfléchis 37 Remarques particulières sur chaque
prépositions 54 — sur les pronoms 47 — sur le régime 52 — sur les
verbes
50 Subjonctif 16 Sujet ou nominatif du verbe 30
régime 52 — sur les verbes 50 Subjonctif 16 Sujet ou nominatif du
verbe
30 Système métrique 69 Tables de multiplication
n 72 Tableau des temps primitifs 96 Tableau des temps primitifs des
verbes
irréguliers 98 Temps des verbes 16 Temps dérivé
96 Tableau des temps primitifs des verbes irréguliers 98 Temps des
verbes
16 Temps dérivés 32 — primitifs 25 Trait d’uni
bes 16 Temps dérivés 32 — primitifs 25 Trait d’union 58 Tréma 58
Verbe
15 — accord avec le sujet ou nominatif 30 — aux
be 15 — accord avec le sujet ou nominatif 30 — auxiliaire Avoir 17
Verbe
auxiliaire Être 18 — première conjugaison 20 —
ifice, Bâtit de ses cheveux l’élégant édifice. » Uti, se servir. Ce
verbe
, dans le sens ordinaire, n’a rien de remarquable.
s la Colchide. VIII Le nominatif s’emploie communément après le
verbe
esse et d’autres de signification analogue, comme
e, fieri, apparere, ainsi qu’après les infinitifs passifs de certains
verbes
, comme dici, appellari, haberi, existimari, vider
ri, existimari, videri, etc., surtout si ces infinitifs dépendent des
verbes
volo, nolo, malo, possum, debeo, cupio, soleo, st
tel que vous avez voulu que je sois. Cependant, si le sujet des deux
verbes
n’était pas le même, ou s’il y avait dans la seco
dix vaisseaux. XII Le génitif est d’un usage habituel après les
verbes
qui expriment le souvenir ou l’oubli, quand le ré
tiques. XIII Le génitif s’emploie mieux que l’ablatif après les
verbes
qui signifient accuser, condamner, absoudre, conv
légamment après les interjections o, heu, eheu, comme complément d’un
verbe
sous-entendu. Ex. : Heu me miserum ! (sous-ent. s
mmes ! XVII L'accusatif a une grâce particulière après certains
verbes
neutres employés dans un sens actif. Tels sont :
ue. Les bons auteurs ont donné quelquefois pour complément à certains
verbes
intransitifs le substantif formé de la même racin
ains verbes intransitifs le substantif formé de la même racine que le
verbe
, ou quelque autre de signification analogue, par
pauca, multa, etc., se construisent élégamment avec un bon nombre de
verbes
intransitifs (on sous-entend ad ou secundùm). Ex.
satif le nom qui désigne la partie à laquelle se rapporte l’action du
verbe
. Ainsi ils disent : Fractus membra labore, ayant
ée d’iambes. XX Nous avons vu dans la grammaire que beaucoup de
verbes
intransitifs deviennent transitifs en composition
admettre généralement que l’accusatif ne s’emploie guère qu’avec les
verbes
composés des cinq prépositions circum, per, præte
itifs, comme adire, subire, aggredi, convenire, etc. Quant aux autres
verbes
, ils se construisent communément avec le datif ou
son complément (le plus souvent c’est la préposition comprise dans le
verbe
). Ex. : Succurritis urbi incensæ, vous secourez u
ieds de César. (Voir notre grammaire, page 227.) Remarque. Après les
verbes
qui expriment une idée de séparation, d’éloigneme
itions a ou ab, è ou ex et de, quand elles sont déjà énoncées dans le
verbe
. Ainsi l’on dit : abire oppido, s’éloigner de la
r, l’amitié n’est exclue d’aucun lieu. Il faut excepter cependant les
verbes
avertere, alienare, deterrere, éloigner, détourne
ois on peut établir comme principe que les adjectifs qui viennent des
verbes
et qui expriment une disposition habituelle de l’
XXIX Ipse, ipsa, ipsum, construit avec un pronom complément du
verbe
, s’accorde avec le sujet, quand c’est l’idée expr
ent. XLI Le relatif qui, quœ, quod, suivi d’un substantif et du
verbe
esse, ou des verbes qui signifient nommer, appele
elatif qui, quœ, quod, suivi d’un substantif et du verbe esse, ou des
verbes
qui signifient nommer, appeler, tenir pour, s’acc
ifs tanti, quanti, pluris, minoris se construisent élégamment avec le
verbe
esse pris dans le sens de valoir. Ex. : Mea consc
discours des hommes. ARTICLE III. du choix et de l’élégance des
verbes
. I Le verbe sum se construit très-élégamm
ARTICLE III. du choix et de l’élégance des verbes. I Le
verbe
sum se construit très-élégamment au lieu du verbe
erbes. I Le verbe sum se construit très-élégamment au lieu du
verbe
habere, avoir, et des impersonnels il y a, il y a
nihil mihi longiùs est, fuit eâ mente, eâ sapientiâ, etc. II Le
verbe
sum construit avec deux datifs a une grâce partic
iens. Cette tournure élégante est aussi d’un usage fréquent avec les
verbes
dare, vertere, tribuere, habere, ducere, etc. Ex.
tellus et ce qui fait aujourd’hui sa plus grande gloire. III Le
verbe
sum construit avec le participe futur en dus, da,
up plus élégant et plus conforme au génie de la langue latine que les
verbes
debere, oportere ; à moins toutefois que ces verb
ue latine que les verbes debere, oportere ; à moins toutefois que ces
verbes
ne soient employés impersonnellement et suivis d’
Catilina, que le consul aurait dû te livrer au supplice. IV Le
verbe
soleo suivi d’un infinitif se construit élégammen
que l’on ne peut vivre heureux, si l’on ne vit vertueux. VII Le
verbe
aimer ayant pour complément le nom d’une chose qu
Je n’aime pas du tout l’état actuel de notre république. De même, les
verbes
fugere, fuir ; fallere, tromper ; præterire, pass
mieux mourir, s’écria-t-il, que de vivre plus longtemps. IX Le
verbe
pouvoir et d’autres de signification analogue se
agitur, paries quùm proximus ardet. Virg. XI Dans le choix des
verbes
, il faut préférer ceux qui font image, surtout qu
s usitée et plus conforme au génie de cette langue, surtout après les
verbes
qui expriment une idée de volonté, de commandemen
ans les fers et condamner au dernier supplice ? XIII Au lieu du
verbe
impersonnel videtur, il semble, il paraît, suivi
sur vous un pareil language. Il en est ainsi généralement des autres
verbes
transitifs qui se traduisent en français par le p
phe Platon vécut dans une très-grande médiocrité. XIV Plusieurs
verbes
intransitifs s’emploient élégamment à la voix pas
nt à l’imparfait, au parfait et au plus-que-parfait de l’indicatif le
verbe
qui devrait se mettre au conditionnel en français
uction, qui donne plus d’énergie à la pensée, a lieu surtout avec les
verbes
debeo, oportet, necesse est, fas est, æquum est,
à nos pères une telle pensée. Cette construction a lieu aussi avec le
verbe
esse suivi du participe futur actif ou passif. Ex
ntre les temps du subjonctif, dans les phrases conditionnelles. Si le
verbe
énonce une idée qui puisse ou qui doive se réalis
verbe énonce une idée qui puisse ou qui doive se réaliser, on met ce
verbe
au présent ou au parfait du subjonctif. Ainsi, qu
ait ne pouvait se réaliser, s’il n’était pas possible, on mettrait le
verbe
à l’imparfait ou au plus-que-parfait. Si donc je
! XX Quand, dans une proposition incidente, on doit répéter le
verbe
qui est à l’infinitif, il est quelquefois plus él
avec le subjonctif ; on doit même suivre cette construction quand le
verbe
latin n’a pas de supin, ou qu’il est peu usité à
’emploient élégamment : 1° Au lieu de l’infinitif français, après les
verbes
videre, audire, sentire, et autres de significati
ngeant. III Le participe passé se construit élégamment avec les
verbes
volo, nolo, malo, cupio, oportet, etc., pour trad
beratum cupio. Je désire vous délivrer de ce soin. IV Après les
verbes
habeo, teneo, possideo, et d’autres que l’usage a
itions en une seule, ou le participe passé français avec le régime du
verbe
. Ex. : Intereà legati (Germanicum) regressum jam
ient se commettre les plus grands crimes. Il s’emploie aussi avec les
verbes
de mouvement pour exprimer le but, l’intention, l
s d’après leurs actions et non d’après leurs paroles. XII Si le
verbe
français n’avait pas de régime dont on pût faire
le verbe français n’avait pas de régime dont on pût faire le sujet du
verbe
latin, il faudrait se servir du mode impersonnel
Ce participe futur, au genre neutre, est fort élégant, même dans les
verbes
intransitifs. Ex. : Utendum est exercitationibus
lâ benefaciendi licentiâ ? Tac. La même construction a lieu après les
verbes
curare, avoir soin, dare, donner, et d’autres que
t fort rare ; on y supplée par le participe en dus, da, dum, quand le
verbe
a un complément. Ex. : Sunt nonnulli acuendis pue
Il y a des jeux propres à exercer l’esprit des enfants. 2° Après les
verbes
, pour exprimer l’intention (c’est alors un datif
le jeu. Remarque. La préposition inter se construit surtout avec les
verbes
neutres : inter eundum, inter bibendum. XVII
ou même le subjonctif avec ut, ou un pronom relatif, surtout quand le
verbe
qui devrait se mettre au supin ne suit pas immédi
e qui devrait se mettre au supin ne suit pas immédiatement le premier
verbe
. Ainsi, au lieu de dire : Scipio et Lælius ex urb
entu, memoratu, que l’on met bien après les mots fas, nefas, opus, le
verbe
pudet et les adjectifs qui signifient bon ou mauv
c. Veuillez, je vous prie, m’oublier un instant. VIII Après les
verbes
dicere, scribere, memorare, etc., il faut se serv
o quidem) se met bien au commencement d’une phrase, surtout devant un
verbe
à la première personne. Ex. : Equidem doleo te hi
ontinuò, perpetuò, etc., il est souvent plus élégant de se servir des
verbes
soleo, non cesso, non desino. Ex. : Aut nugari, a
, signifie devant, et se construit ordinairement avec un pronom et un
verbe
de mouvement. Ex. : Singulos præ se inermes mitte
fie devant, à côté de, le long de, et s’emploie ordinairement avec un
verbe
de mouvement. Ex. : Amnis præter ipsa urbis mœnia
ie, ou qui jouent le même rôle dans une phrase, comme les sujets, les
verbes
et les attributs multiples. Ex. : Vir bonus hones
duite. XVIII Quand deux propositions négatives n’ont qu’un seul
verbe
, on supprime élégamment la seconde négation dans
s les adjectifs démonstratifs hoc, id, illud, qui se placent avant le
verbe
principal. Ex. : Hoc natura non patitur, ut alior
afin que, se sous-entend quelquefois d’une manière élégante après les
verbes
qui expriment un souhait, un désir. Ex. : Sic vel
rs à commettre la faute ? X Quin employé seul, avec ellipse du
verbe
, et signifiant même, plutôt, bien plus, a une grâ
on se sert plus fréquemment de quominùs (pour ut eo minùs) après les
verbes
qui expriment une idée d’opposition, d’obstacle,
grammaire que le si conditionnel se construit avec le futur, quand le
verbe
de la proposition principale est au futur. A cet
futur. A cet égard, deux choses sont à remarquer : 1° Si l’action du
verbe
construit avec si est antérieure à celle du verbe
: 1° Si l’action du verbe construit avec si est antérieure à celle du
verbe
principal, on mettra ce verbe au futur antérieur.
truit avec si est antérieure à celle du verbe principal, on mettra ce
verbe
au futur antérieur. Ex. : Id si feceris, gratissi
vent être simultanées, il sera plus élégant de mettre l’un et l’autre
verbe
au futur antérieur. Ex. : Si mihi confestim rescr
vous ne craignez pas les hommes, au moins craignez Dieu. XV Les
verbes
de doute, comme dubito, nescio, haud scio, se con
était simplement ajoutée pour exprimer le sentiment de l’écrivain, le
verbe
se mettrait alors au mode indicatif. Ainsi l’on d
roissement de syllabes qui a lieu dans les noms, les adjectifs et les
verbes
. Iter, itineris ; miser, miserorum ; lego, legeba
tem ruptis fornacĭbus Ætnam. PARAGRAPHE II. créments dans les
verbes
. Pour connaître les créments dans les verbes,
créments dans les verbes. Pour connaître les créments dans les
verbes
, il faut comparer le nombre des syllabes de la se
’indicatif présent avec le nombre de syllabes des autres personnes du
verbe
. Autant il y aura de syllabes de plus, autant il
donc trois créments, ge, re et mi. Pour trouver le crément dans les
verbes
déponents, on leur suppose une seconde personne d
nq ; il y a donc deux créments : ta et ba. 1re règle. A crément des
verbes
est long : amāmus, audiebātis, monebātur, etc. E
escentem ornāte poetam. Exception. A est bref au premier crément du
verbe
dare et de ses composés : dămus, circumdăbant, et
long au second crément : dăbāmus, dăbātur. 2e règle. E crément des
verbes
est long : legēbam, monērem, docērëmur, scripsēru
e omnes, intentique ora tenēbant. Exceptions. E crément des
verbes
est bref : 1° dans les temps en ĕram, ĕro, ĕro,
e, à la troisième personne du pluriel des parfaits en ērunt, dans les
verbes
dederunt, steterunt, miscuerunt, et dans quelques
ans un vers, comme contŭlĕrunt, profŭĕrunt. 3e règle. I crément des
verbes
est bref, comme dans legĭmus,amabĭtis, etc. Exem
divos. Exceptions. I est long : 1° au premier crément des
verbes
de la quatrième conjugaison : audīmus, venītis 39
ce soit le premier ou le second crément. 3° au subjonctif présent des
verbes
volo, nolo, malo, sum et ses composés : velīmus,
fois, pour la facilité du vers, dans les finales en rimus, ritis, des
verbes
attributifs. Exemple : Accepisse, simul vitam dĕ
episse, simul vitam dĕdĕrītis in unda. Ov. 4e règle. O crément des
verbes
est long : estōte, legitōte, etc. Exemple : Ve
e senectæ. Ov. Il faut excepter la forme irrégulière fŏre, fŏrem, du
verbe
sum et de ses composés. 5e règle. U crément des
ŏre, fŏrem, du verbe sum et de ses composés. 5e règle. U crément des
verbes
est bref : sŭmus, volŭmus, etc. Exemple : Sic
suivi de deux consonnes, comme fĕfēlli, cŭcūrri, tĕtēndi. Les autres
verbes
conservent au parfait la quantité du présent : hă
3 e règle. Les supins en itum ont la pénultième longue dans les
verbes
qui ont le parfait en ivi, comme audītum, petītum
nt a final au vocatif : Orestes, vocat. Orestă.) 3° à l’impératif des
verbes
en āre : amāre, amā, laudāre, laudā 40. 4° dans l
les noms qui ont en grec un η, comme cetē, tempē. 3° à l’impér. des
verbes
en ēre, eo : monē, timē. Il est commun dans cav[A
[ATTcaractere], le[ATTcaractere], car[ATTcaractere], etc. 2° dans les
verbes
, aux personnes qui finissent en o : habe[ATTcarac
grec une finale longue. 3° à la deuxième personne du sing. indic. des
verbes
de la quatrième conjugaison, comme audīs, dormīs,
ans pr[ATTcaractere]curo, pr[ATTcaractere]pino, pr[ATTcaractere]pago (
verbe
) et Pr[ATTcaractere]serpina. 2° Des mots déri
. O final est bref dans egŏ et long dans εγώ ; il est commun dans les
verbes
latins, bien que, dans le grec, il y ait un oméga
ent même ils la supprimaient, comme il est facile de le voir dans les
verbes
contractes. Voilà pourquoi cette voyelle est le p
blies au début de la syntaxe. Ainsi, le sujet doit se mettre avant le
verbe
, celui-ci avant l’attribut. Si le sujet et l’attr
et de la domination, complément de troisième degré. Vient ensuite le
verbe
subegit, soumit ; verbe transitif, et par conséqu
mplément de troisième degré. Vient ensuite le verbe subegit, soumit ;
verbe
transitif, et par conséquent ayant ou pouvant avo
oumit quoi ? Romam, Rome, complément direct qui suit immédiatement le
verbe
. — A quoi ? — imperio suo, à son empire, compléme
q éléments principaux : un sujet qui fait ou qui souffre l’action, un
verbe
qui exprime cette action, un complément direct, u
e sentir davantage. Si l’objet principal est l’action exprimée par le
verbe
, il faudra que celui-ci occupe le premier rang. C
rdinairement plus que la cause, ce complément doit se placer avant le
verbe
, comme nous le voyons dans les exemples suivants
rce que le complément circonstanciel rarissimâ moderatione modifie le
verbe
invenisse, tandis qu’il doit modifier le verbe ma
moderatione modifie le verbe invenisse, tandis qu’il doit modifier le
verbe
maluit. Il faut dire avec Tacite, en commençant p
le plus les oreilles de ceux qui écoutent. C'était le plus souvent le
verbe
, ou d’autres mots agréables à entendre et nécessa
frappé tout d’abord par la mise en scène de l’objet principal, si le
verbe
, ou d’autres mots essentiels sont renvoyés à la f
syllabes, les comparatifs et les superlatifs, mais principalement les
verbes
, à raison de leur nombre et de leur finale sonore
idées qu’ils renferment excitent plus vivement l’attention. Quant aux
verbes
, nous voyons le premier, contineat, mis à la fin
’intérêt ou l’harmonie n’exigent pas une autre disposition. Le second
verbe
, præstat, est placé avant son complément indirect
e disposition est due surtout à l’harmonie, afin qu’il n’y ait pas un
verbe
à la fin de chaque proposition ; ce qui serait mo
ésagréable à entendre. Dans la quatrième et dernière proposition, le
verbe
patitur est mis en dernier lieu ; il est précédé
cond par le sujet animos, pour éviter la suite immédiate de plusieurs
verbes
. Soit cette autre phrase : Ut igitur ii qui sunt
ermine le sens : qui sunt in, etc. Dans cette seconde proposition, le
verbe
suit immédiatement le sujet, tandis que l’attribu
rime une idée principale, ressort bien à la fin de la proposition. Le
verbe
exæquare, qui fait suite à la proposition princip
rme ; il est suivi de ses compléments direct et indirect, et enfin du
verbe
debent, qui termine agréablement la première part
est disposée d’une manière analogue. Dans la première proposition, le
verbe
debent est sous-entendu, parce qu’il vient d’être
compléments indirect et circonstanciels viennent ensuite, et enfin le
verbe
supérari, qui finit la phrase d’une manière très-
ussi le plus souvent avant le mot qui les régit, entre le sujet et le
verbe
, quand la phrase n’a pas trop d’étendue et qu’il
Le relatif qui, quæ, quod, étant au nominatif, se met bien avant le
verbe
, à la suite de son antécédent exprimé ou sous-ent
approuvées de tout le monde. ARTICLE IV. de la disposition des
verbes
. I L'usage ordinaire des bons écrivains,
est de mettre le sujet au commencement de la phrase et de renvoyer le
verbe
à la fin, en plaçant entre les deux tous les mots
crédit et de ses largesses. Remarque. Cette disposition du sujet, du
verbe
et de leurs compléments, — le premier au commence
e l’esprit du lecteur, et l’oblige de soutenir son attention jusqu’au
verbe
, qui est l’un des termes essentiels de la phrase.
dant la phrase était d’une grande longueur, ou s’il y avait plusieurs
verbes
à la suite les uns des autres, il faudrait éviter
rbes à la suite les uns des autres, il faudrait éviter de renvoyer le
verbe
principal à la fin, pour ne pas embrouiller le se
ntérêt ou l’harmonie du style exigent un ordre différent. II Le
verbe
sum a une grâce particulière au commencement de l
semble nous menacer tous, dans un désordre si universel. III Le
verbe
sum se met élégamment soit au commencement, soit
ux passés nous est agréable. IV Dans le milieu de la phrase, le
verbe
sum est plus élégant après les mots négatifs, apr
es maux à venir que les connaître. V Dans les temps composés du
verbe
sum et d’un participe, il est plus élégant de pla
osés du verbe sum et d’un participe, il est plus élégant de placer le
verbe
substantif le premier, et de le séparer par un ou
ant de mettre entre deux virgules, et dans le corps de la phrase, les
verbes
quœso, rogo, credo, fateor, et autres semblables.
es de quelqu’un, se met toujours après un ou plusieurs mots, et si ce
verbes
a un sujet, ce qui est très-rare, ce sujet se pla
ce, dit l’empereur Marc-Aurèle. VIII Les secondes personnes des
verbes
passifs ou déponents terminées en re sont quelque
adverbes. I Les adverbes se placent ordinairement auprès des
verbes
ou des adjectifs qu’ils modifient. exemple : Omn
adverbes qui ont une signification analogue, et qui modifient le même
verbe
, se placent bien à la suite l’un de l’autre. exem
a phrase, et se construit ordinairement avec la première personne des
verbes
. exemple : Equidem non video cur tam facilè iras
superari. Cic. (Ici la conjonction ut et le sujet ii sont séparés du
verbe
et de l’attribut par la proposition incidente qui
placent élégamment dans le corps de la phrase, immédiatement avant le
verbe
, quand la disposition des mots et l’euphonie le p
infinitifs negare et efficere ; l’esprit les demande. Aussi ces deux
verbes
figurent-ils à la tête des deux propositions suiv
chose glorieuse, cela me semblait trop pénible. Nam negare, voilà le
verbe
qui, renfermant l’idée principale, au point de vu
ion principale, sont groupées dans le centre de la phrase et avant le
verbe
videbatur, qui, étant mis à la fin, après ses mod
i affreux, la frayeur doit vous saisir. Il faut remarquer la force du
verbe
horresco. Ce n’est point une crainte ordinaire ;
ecture et le dictionnaire doivent en tenir lieu. Orthographe des
verbes
. Présent de l’indicatif. 157. — Singulie
nit ordinairement en t : je finis, tu finis, il finit. (Dans quelques
verbes
, la troisième personne se termine en d : il rend,
, ils devinssent. Remarquez que les secondes personnes plurielles des
verbes
ont ordinairement un z à la fin. Remarques su
s. 164. — Leur ne prend jamais s à la fin, quand il est joint à un
verbe
; alors il signifie à eux, à elles : ces enfants
ion : je vais à Paris ; on n’en met point sur a troisième personne du
verbe
avoir : il a de l’esprit. 169. — On met un acce
l’esprit. 169. — On met un accent circonflexe sur dû, participe du
verbe
devoir : rendez à chacun ce qui lui est, dû ; on
Du trait d’union. 171. — Le trait d’union (-) se met entre le
verbe
etje, me, moi, toi, tu, nous, vous, il, ils, elle
, les, lui, leur, y, en, ce, on, quand ces mots sont placés après le
verbe
. Exemples :Irai-je ? ; viens-tu ? ; donnez-lui ;
mots. Le participe. 84. — Le Participe est un mot qui tient du
verbe
et de l’adjectif, comme aimant, aimé : il tient d
qui tient du verbe et de l’adjectif, comme aimant, aimé : il tient du
verbe
, en ce qu’il en a la signification et le régime :
86. — Première règle. Le participe passé, quand il est accompagné du
verbe
auxiliaire être, s’accorde en genre et en nombre
sont tombées. 87. — Exception unique. Dans les temps composés des
verbes
réfléchis, le participe ne s’accorde pas avec son
88. — Deuxième règle. Mais quand le participe passé est accompagné du
verbe
auxiliaire avoir, il ne s’accorde jamais avec son
pe présent, certains adjectifs verbaux (c’est-à-dire qui viennent des
verbes
). On dit : un homme obligeant, une femme obligean
, monument ; ornamentum (quod ornat), ce qui orne, ornement. Dans les
verbes
, la désinence llo marque un diminutif de l’action
du mot caput, première tête, ou le premier, le chef, le prince. — Le
verbe
fero, je porte, a formé plusieurs composés en se
rte-laine, brebis, est composé de gerere, porter, et lanam, laine. Le
verbe
eo, je vais, est un mot simple ; joignez-y différ
viennent à chacun d’eux et qu’il importe de bien remarquer. Ainsi les
verbes
amare et diligere expriment tous deux l’action d’
inables, et les temps, les nombres, les personnes, les modes dans les
verbes
; les autres spécificatives, servant à spécifier
t à former des dérivés de toute espèce : des noms, des adjectifs, des
verbes
, des adverbes, etc. Ainsi, pour revenir aux dériv
religieux délire.] Les lexiques ne citent pas un second exemple de ce
verbe
ἐξοργιάζω, et beaucoup d’interprètes l’entendent
p d’interprètes l’entendent dans le sens de calmer le délire. Mais le
verbe
ἐξοργίζω, qu’on trouve plus souvent, et, entre au
1848), s’accorde d’ailleurs et avec l’analogie grammaticale dans les
verbes
tels que ἐξαλλάττω, ἐξαϰολουθέω, ἐϰπίνω, έϰπίμπλη
ers hexamètre se termine quelquefois par deux monosyllabes, ou par le
verbe
est précédé d’une élision. Par exemple : Quōd sī
yllabe de ce dactyle deviendrait longue par position. Ainsi, après le
verbe
cōndĕrĕt, si l’on mettait muros au lieu de urbem,
un autre monosyllabe, comme ĕt vŏlŭīssĕ săt ēst, Ov. ; ou même par le
verbe
est précédé d’une élision : prōxĭmă s[ATTcaracter
tela, scandite muros. (Citi pour citò.) 3. Substitution des
verbes
. Dans un récit, les poëtes emploient souvent
sus cognoscere nostros. Ils construisent aussi avec l’infinitif des
verbes
qui devraient être au supin ou au gérondif en dum
t à l’imparfait, au parfait et au plus-que-parfait de l’indicatif des
verbes
qui devraient être au conditionnel en français.
; periculum pour periculum, vincla pour vincula, etc. ; soit dans les
verbes
, comme amârat pour amaverat, lenîbant pour lenieb
ots fluctus dividere, fendre les flots, il sera facile de voir que le
verbe
dīvĭdĕrĕ ne convient ni au sens, ni à la mesure.
re, qui ne conviennent pas mieux. Mais on n’aura qu’à se rappeler les
verbes
qui se combinent bien avec fluctus, et l’on trouv
, et l’on trouvera secare, scindere, findere, sulcare, verrere, etc.,
verbes
qui expriment la même idée sous des images plus p
plus petite proposition doit avoir au moins deux mots, le sujet et le
verbe
, comme je chante, vous lisez, l’homme meurt : sou
et le verbe, comme je chante, vous lisez, l’homme meurt : souvent le
verbe
a un régime, comme je chante un air, vous lisez u
s conjonctions. 106. — Parmi les conjonctions, les unes veulent le
verbe
suivant au subjonctif, les autres à l’indicatif.
na la pratique, alors très-générale, qui consistait à placer avant le
verbe
, comme régime direct ou indirect, les pronoms moi
xviie siècle1 Quant à la suppression du pronom personnel, sujet du
verbe
, elle était universelle. Riche ne suys, certes j
a d’ouvrir notre recueil au hasard pour s’en assurer. — Même dans les
verbes
impersonnels, le neutre il s’effaçait d’ordinaire
ul et autre : « En ce livre n’avait seul grain de bon sens. » 7° Les
verbes
nous révèlent aussi le sentiment prolongé de leur
avec vitesse) parlait à l’imagination, et n’a pas laissé sa vertu au
verbe
sortir (sortiri). — Rober (voler) s’applique à un
r éloigné, dont le vague rappel chercherait aujourd’hui vainement son
verbe
définitif. — Enfin souloir (solere) a droit au mo
casion l’idiome du bon vieux temps, par exemple dans la formation des
verbes
, nous ne serons pourtant pas tentés de retrancher
poser, En retour, nous n’accolerons aucun préfixe parasite à d’autres
verbes
qui s’en décoraient jadis : engraver (graver), en
n vigueur l’usage qui donnait un sens réfléchi à toute une famille de
verbes
dépourvus de la forme pronominale : affaiblir, es
ner. — D’autre part, il n’est point urgent de rendre pronominaux des
verbes
qui ont cessé de l’être, tels que : se sourire et
adjectifs ne nous dépaysent pas moins, soit que les uns se forment du
verbe
, comme le plonge (de plonger), le réclame (de réc
Romaine ? Ma reine, il faut partir. Les imparfaits du subjonctif des
verbes
de la première conjugaison offrant un son désagré
nom chacun employé avec un adjectif possessif veut cet adjectif et le
verbe
au singulier ; mais le poëte peut dire avec l'aca
atière d'écaille à cercles d'or, qui m'a coûté dix piastres. Quand le
verbe
a pour sujets des pronoms de différentes personne
rances s'évanouirent, mais encore sa fortune. Lorsque les sujets d'un
verbe
sont tous du singulier et qu'ils ne sont point li
ix, la liberté m'inspire. (Delille.) Dans la prose, le participe du
verbe
pronominal se plaire est invariable, parce que ce
participe du verbe pronominal se plaire est invariable, parce que ce
verbe
est formé d'un verbe neutre simple dont le partic
ronominal se plaire est invariable, parce que ce verbe est formé d'un
verbe
neutre simple dont le participe se construit avec
ticipe se construit avec l'auxiliaire avoir ; mais les participes des
verbe
se douter, se prévaloir et s'échapper, qui sont s
per, qui sont soumis aux lois de l'accord, étant également formés des
verbes
neutres simples, quelques grammairiens rendent au
simples, quelques grammairiens rendent aussi variable le participe du
verbe
se plaire quand ce verbe est réfléchi ; ils écriv
riens rendent aussi variable le participe du verbe se plaire quand ce
verbe
est réfléchi ; ils écrivent : la vigne s'est plue
est invariable, parce que le régime qui précède appartient au second
verbe
. » Oui, si le second verbe est actif, mais si le
le régime qui précède appartient au second verbe. » Oui, si le second
verbe
est actif, mais si le second verbe est neutre, le
second verbe. » Oui, si le second verbe est actif, mais si le second
verbe
est neutre, le poëte lui-même ne peut suivre cett
t neutre, le poëte lui-même ne peut suivre cette règle, parce que les
verbes
neutres n'ont pas de régime direct. Dans ce derni
tre vomi sur le rivage. 1. Expiré, dans le sens propre, se joint au
verbe
avoir, et la grammaire veut qu'on exprime ce verb
ropre, se joint au verbe avoir, et la grammaire veut qu'on exprime ce
verbe
avant le participe. 1. L'hyperbole peut aussi êt
amis ont déploré mes malheurs et mon affliction. III ellipse des
verbes
. Toute proposition se compose essentiellement
s. Toute proposition se compose essentiellement d’un sujet et d’un
verbe
. Si donc le verbe n’est pas exprimé, il faut en c
ition se compose essentiellement d’un sujet et d’un verbe. Si donc le
verbe
n’est pas exprimé, il faut en conclure qu’il est
be n’est pas exprimé, il faut en conclure qu’il est sous-entendu. Les
verbes
qui se sous-entendent le plus souvent sont : 1° L
ntendu. Les verbes qui se sous-entendent le plus souvent sont : 1° Le
verbe
esse entre le sujet et l’attribut, surtout dans l
omisi ultorem (sous-ent. me fore). J'ai promis d’être son vengeur. Le
verbe
esse se sous-entend aussi fréquemment après les p
Gardez-vous de dire que cela a été omis et passé sous silence. 2° Les
verbes
dicere, censere. Ex. : Quid multa ? quid plura ?
que disent les ignorants ; vous, philosophes, que dites-vous ? 3° Les
verbes
pertinet, refert, prodest, oportet. Ex. : Quid ad
habere). Mene incœpto desistere victam ? (Sous-ent. oportet). 4° Les
verbes
agere ou facere. Ex. : Quid aliud, quàm monemus c
actum est). Cette nuit on s’est contenté de faire bonne garde. 5° Les
verbes
orare, rogare, precari. Ex. : Per ego vos deos pa
Je vous en conjure, par la bonne foi des dieux et des hommes. 6° Les
verbes
ait, inquit, quand on cite les paroles d’un autre
Quand on sous-entend dans une ou plusieurs propositions le sujet, le
verbe
ou le complément de la même manière qu’ils ont dé
lucrum linguas, et prœpetis omina pennœ. Virg. Dans cette phrase, le
verbe
sentis est sous-entendu cinq fois. 2° Quand on so
ntis est sous-entendu cinq fois. 2° Quand on sous-entend le sujet, le
verbe
ou le complément, avec quelque changement soit da
tu sois d’une grande blancheur. Remarques. 1° Au lieu de répéter un
verbe
déjà exprimé, on le sous-entend le plus souvent d
par l’exemple de leurs vertus. 2° On sous-entend même quelquefois un
verbe
ayant un sens positif, après un verbe négatif. Ai
sous-entend même quelquefois un verbe ayant un sens positif, après un
verbe
négatif. Ainsi, dicere est quelquefois sous-enten
her nos préparatifs de guerre. 3° On sous-entend aussi l’infinitif du
verbe
principal, dans une proposition relative. Ex. : N
c. (Le nom propre Posthumius et le pronom is sont tous deux sujets du
verbe
negavit.) Erant omninò itinera duo, quibus itiner
ée. 2° Syllepse dans le nombre, quand le sujet est au singulier et le
verbe
au pluriel, et réciproquement. Ex. : Turba ruunt.
nombreuses. De même, quand on dit en grec : Τα ζῶα τρεχει, on met le
verbe
au singulier, parce que l’esprit perçoit une géné
parler, que plusieurs grammairiens ont cru qu’il y avait quantité de
verbes
ou d’adjectifs latins qui par eux-mêmes gouvernai
gures sont appelées tropes (du grec τρόπος, tour, changement, tiré du
verbe
τρἐπω, je tourne,) parce qu’elles consistent à ch
’avons point d’autre mot par lequel nous puissions exprimer l’idée du
verbe
ferrer. Quand Horace a dit : equitare in arundin
re, condere, abscondere, recondere, occulere, occultare. Tous ces
verbes
expriment une idée générale, celle de cacher ; ma
quis, qui que ce soit, diffère de quicumque en ce qu’il a toujours un
verbe
après lui. Quisquis est ille, si modò est aliquis
onséquent, ne faudra-t-il pas mettre nécessairement le sujet avant le
verbe
, le verbe avant son régime, l’antécédent avant so
ne faudra-t-il pas mettre nécessairement le sujet avant le verbe, le
verbe
avant son régime, l’antécédent avant son conséque
ançais, ce mot se décline, l’esprit le replace naturellement après le
verbe
qui exprime cette action. Il en est de même pour
uet déjà citée, qui reproduit si bien, par la hardie transposition du
verbe
et par le poids de toute la phrase la formidable
, le scrupule de ceux qui veulent que le nom marche toujours avant le
verbe
, le verbe avant l’adverbe, le substantif avant l’
ule de ceux qui veulent que le nom marche toujours avant le verbe, le
verbe
avant l’adverbe, le substantif avant l’adjectif e
ans, vieux cerf et de dix cors… 2. Arrêter se prenait alors comme
verbe
neutre pour s’arrêter ; et c’était assez, ce semb
nos aïeux que d’exprimer ou de supprimer arbitrairement le pronom des
verbes
réfléchis. On retrouve encore arrêter ainsi emplo
terme de vénerie. 2. Nom d’un excellent chien. 3. Ancienne forme du
verbe
courir, retenue dans la langue de la vénerie. — A
rononçait coulé pour côté. 2. Il ne savait que. 3. Assavoir est un
verbe
composé d’a et de savoir. L’s redoublé est euphon
es épithètes qu’il pourrait donner à sa femme. 15. Retrouverai ; du
verbe
recouvrer (recuperare). 16. Premier est adverbi
e de. 18. Averti. 1. Estez est peut-être la 2e pers. du pluriel du
verbe
ester (stare) et non celle d’être (esse). Du rest
du verbe ester (stare) et non celle d’être (esse). Du reste, les deux
verbes
sont souvent confondus. 2. Ce mot, qui se prend
tō. Il se termine aussi quelquefois par deux monosyllabes, ou par le
verbe
est précédé d’une élision. Par exemple : Grāmmă
abe, par un mot de quatre, de cinq et même de six syllabes, ou par le
verbe
est précédé d’une élision. Mais il faut éviter av
reste. 7. Il avait la main prompte. 8. Au moment où. 9. Pensa. Le
verbe
cuider vient de cogitare. On dit encore outrecuid
p dont il lui creva… 11. Fléchir signifie plier. Comme beaucoup de
verbes
, il prend le sens neutre, parce que se est sous-e
ent. 5. Il ne lui fit aucun mal, ne lui fit aucun reproche. Ces deux
verbes
contiennent le préfixe mes, qui vient de minus. L
istingue l’élément, la syllabe, la conjonction, l’article, le nom, le
verbe
, le cas, enfin l’oraison. L’élément est un son in
ans leur sens particulier : dans Θεόδωρον, δῶρον ne signifie rien. Le
verbe
est un mot significatif qui marque les temps, et
nt, l’un le présent, l’autre le passé. Le cas appartient au nom et au
verbe
: il marque les rapports, de, à, etc., les nombre
rogation, le commandement, etc. Il est parti, partez, sont des cas du
verbe
. Le discours est une suite de sons significatifs1
êmes quelque chose. Car tout discours n’est pas composé de noms et de
verbes
, comme la définition de l’homme : le discours peu
e verbes, comme la définition de l’homme : le discours peut être sans
verbes
; mais chacune de ses parties a toujours sa signi
andre du grain sur la terre, c’est semer ; quoiqu’il n’y ait point de
verbe
pour exprimer l’action du soleil répandant sa lum
rec et le latin, distinguent les cas des substantifs et les temps des
verbes
, et indiquent le rapport mutuel des mots d’une pr
de la ligne, et fait voir encore que tous deux sont gouvernés par le
verbe
actif flebant, à qui il est évident que nymphæ se
d’indiquer la corrélation des mots par la terminaison des noms et des
verbes
, qu’elles devaient cette grande liberté de transp
s. Les cas des noms et les terminaisons qui indiquaient les temps des
verbes
disparurent, parce que ces peuples ne mettaient a
rs entre eux : aussi les substantifs, les pronoms, les adjectifs, les
verbes
, les prépositions et les conjonctions, appartienn
us ordinaire en huit parties du discours, savoir : les noms, pronoms,
verbes
, participes, adverbes, prépositions, interjection
es cas, c’est que, par un changement analogue dans la conjugaison des
verbes
, dont je parlerai dans la Lecture prochaine, nous
s terminaisons qui indiquaient clairement les régimes des noms et des
verbes
, présentait au lecteur le sens entremêlé dans tou
dépendamment de ses qualités ; ils ont bien plus de rapports avec les
verbes
, puisque, comme eux, ils rappellent les attributs
a donné le nom d’attributifs, les plus complexes sont assurément les
verbes
. C’est dans cette partie du discours que la métap
langage se fait le mieux apercevoir ; aussi l’examen de la nature des
verbes
et de leurs différentes variations peut-il être l
sur ce sujet plus longtemps qu’il ne sera strictement nécessaire. Le
verbe
a quelques rapports avec l’adjectif, en ce que, c
rsonne ou d’une chose ; mais ces rapports se bornent là, car tous les
verbes
de toutes les langues renferment trois objets à l
sans emporter le temps. L’infinitif briller peut s’appeler le nom du
verbe
, et n’indique ni temps ni affirmation ; il exprim
it, etc. L’affirmation semble être ce qui distingue principalement le
verbe
des autres parties du discours ; elle lui donne t
parties du discours ; elle lui donne toute sa force ; aussi, sans un
verbe
quelconque, une phrase ou une proposition n’est j
u n’est pas, et le mot qui emporte avec lui cette assertion, c’est le
verbe
. C’est à son importance qu’il doit son nom : verb
ssertion, c’est le verbe. C’est à son importance qu’il doit son nom :
verbe
vient du latin verbum, qui signifie mot, c’est-à-
ifie mot, c’est-à-dire qu’il est le mot par excellence. L’origine des
verbes
, à cause de leur importance et de leur utilité da
urd’hui. Il paraît probable, selon l’opinion du docteur Smith, que le
verbe
radical, ou la forme première qu’il prit dans tou
ou la forme première qu’il prit dans toutes les langues, fut celle du
verbe
que nous appelons impersonnel. It rains [il pleut
une situation de choses. À mesure qu’on inventa les pronoms, quelques
verbes
devinrent personnels, et passèrent successivement
successivement par les temps et les modes divers. Les temps, dans les
verbes
, ont pour objet de marquer les différences qui ex
assé, le présent et l’avenir, et l’on imagine qu’il suffirait que les
verbes
exprimassent ces trois grandes divisions. Mais le
en anglais, comme en français, s’exprime toujours avec le secours du
verbe
auxiliaire : I have written [j’ai écrit] ; 3º l’a
l arrive]26. Outre les temps, qui expriment les diverses époques, les
verbes
ont encore ce que grammaticalement on appelle les
j’ai avancé tout à l’heure, que de toutes les parties du discours le
verbe
était la plus complexe, et celle où l’art se lais
s conjugaisons, ou la manière d’exprimer toutes les modifications des
verbes
, a dans chaque langue des différences très marqué
me la plus exacte des conjugaisons est celle qui, sans le secours des
verbes
auxiliaires, indique le plus grand nombre de temp
ernière syllabe du mot. On assure que dans les langues orientales les
verbes
n’ont que cinq temps ou cinq expressions de temps
gulier, surtout au passif, où les temps ne s’indiquent qu’au moyen du
verbe
auxiliaire sum. Les conjugaisons sont très défect
sont très défectueuses dans toutes les langues modernes. Outre que le
verbe
par lui-même est fort peu variable dans ses termi
acées en avant des noms, ont remplacé les cas, de même aussi les deux
verbes
, to have [avoir], et to be [être], placés en avan
ssant sur les observations que nous avons déjà faites à ce sujet. Les
verbes
auxiliaires sont, ainsi que les prépositions, des
du langage, leur sens devait, pour ainsi dire, être incorporé avec le
verbe
pris dans tous ses temps et dans tous ses modes,
eulement l’existence. Mais lorsque, avec les progrès des langues, les
verbes
auxiliaires, déjà inventés et connus, eurent des
jà inventés et connus, eurent des temps et des modes comme les autres
verbes
, on trouva qu’attendu qu’ils portaient avec eux c
qu’ils portaient avec eux cette force d’affirmation qui distingue les
verbes
, on pourrait, en les joignant au participe qui in
ois familiers, il sembla bien plus facile de les appliquer à tous les
verbes
, comme I am loved [je suis aimé], I was loved [j’
peler cette variété de terminaisons indispensables pour conjuguer les
verbes
dans les langues anciennes : amor, amabar, amavi.
ent les observations les plus importantes que j’avais à faire sur les
verbes
. Nous ne nous arrêterons pas longtemps sur les au
e : la faute en est à cette quantité considérable de particules et de
verbes
auxiliaires dont nous sommes obligés de nous serv
n. Nous exprimons bien moins que les langues grecque et latine par un
verbe
ou par un nom substantif. Notre style est moins s
ectifs ne varient que pour exprimer les degrés de comparaison, et ses
verbes
, au lieu de subir tous les changements des ancien
ou cinq terminaisons diverses ; un petit nombre de prépositions et de
verbes
auxiliaires indiquent clairement tous les sens qu
plupart tiennent à la forme particulière d’un idiome dans lequel des
verbes
et des prépositions gouvernent le génitif, le dat
parties essentielles du discours, les substantifs, les adjectifs, les
verbes
et les particules connectives sont toujours les m
doit, par sa position, indiquer son rapport avec le substantif, et le
verbe
s’accorder en personne et en nombre avec le nomin
fs liés par une conjonction copulative exigent que les pronoms ou les
verbes
auxquels ils se rapportent soient mis au pluriel
riel ; autrement le rapport commun qu’ils ont avec ces pronoms et ces
verbes
ne serait point marqué. Dans toutes les langues,
oms et ces verbes ne serait point marqué. Dans toutes les langues, un
verbe
actif gouverne l’accusatif, il indique clairement
t plus sonores, la faculté de varier les terminaisons des noms et des
verbes
procurait la double facilité d’introduire dans le
pelée vision, lorsqu’au lieu de rapporter une chose passée, on met le
verbe
au présent et on la décrit comme si elle se passa
qu’UN. 25. Les différentes terminaisons d’un mot, d’un nom ou d’un
verbe
, paraissent toujours plus intimement liées avec c
un article ou une préposition qui se rapporte à un substantif ou à un
verbe
placés dans le cours de cette phrase. (Note du Tr
re après l’ouragan, etc., etc. La pureté bannit de cette citation le
verbe
avoir qui rend faiblement la pensée ; les objets
notre langage, en nous montrant difficiles envers centaures formes de
verbes
surtout qui manquent de grâce et d’élégance, et q
er, l’emploi du Passé défini et de l’Imparfait du subjonctif dans les
verbes
de notre langue. Quoi de plus disgracieux que ces
ois mille en arrivant au port. Mais qui aimerait cette succession de
verbes
de la même désinence ? « Bientôt nous nous trouvâ
à-dire : laissons échapper, ou plutôt, dissipons. Cet emploi actif du
verbe
échapper, et le sens métaphorique qu’il présente
nsi ce vers : Nous ne vivons jamais, nous attendons la vie. 1. Ce
verbe
fort goûté de Montaigne et de Pascal a, peu après
eul qui ne soit dans la nature et la vérité ? » 2. Pour accroître :
verbe
qui ne se prend plus régulièrement que dans le se
ptez sur moi, sur mon dévouement. 3. C’était l’indicatif présent du
verbe
ouïr, synonyme d’entendre, dont le futur était j’
’entendre, dont le futur était j’orrai : presque tous les temps de ce
verbe
sont tombés en désuétude. 1. Pour captiver l’att
se ; ou, pour mieux parler, consentir n’est plus guère d’usage, comme
verbe
actif, qu’au palais et dans le langage diplomatiq
ase, nous rappellerons que la plus simple est formée d’un sujet, d’un
verbe
et d’un attribut, telle que celle-ci : Dieu est é
l’indigent, l’imprudent et le sage, Subissent même sort ; plusieurs
verbes
, ex. : Chantons, publions ses bienfaits ; plus
tête de la phrase la personne ou la chose qui parle ou agit ; puis le
verbe
qui détermine l’action, enfin l’objet de l’action
ns, d’où résulte que les substantifs, les pronoms, les adjectifs, les
verbes
, les prépositions, doivent former nécessairement
st celle qui attribue huit parties au discours, le nom, le pronom, le
verbe
, le participe, l’adverbe, la préposition, l’inter
tte division ne soit pas rigoureusement exacte, puisqu’elle sépare du
verbe
le participe, qui n’est qu’un mode de cette parti
désignent un attribut, la plus complexe est sans contredit celle des
verbes
. C’est surtout là qu’on aperçoit la profonde subt
t là qu’on aperçoit la profonde subtilité métaphysique du langage. Le
verbe
a une ressemblance intime avec l’adjectif. Il exp
s fonctions s’étendent encore plus loin ; dans toutes les langues, le
verbe
n’exerce pas moins qu’un triple ministère. Il est
ne le temps de l’action. Ainsi, lorsque je dis : le soleil brille, le
verbe
briller qualifie le substantif soleil, il détermi
pas affirmation. Le mode infinitif briller peut être appelé le nom du
verbe
; il n’indique ni temps, ni affirmation, mais exp
ais tous les autres modes sont affirmatifs. C’est ce qui distingue le
verbe
des autres parties du discours. Il ne peut existe
des autres parties du discours. Il ne peut exister de phrase sans un
verbe
exprimé ou sous-entendu. Cette circonstance démon
la perfection où il est parvenu. Smith pense que la première forme du
verbe
fut l’impersonnel, il pleut, il tonne, etc., ce f
à l’invention des pronoms, qui servirent à le modifier. Les temps des
verbes
sont destinés à distinguer les diverses époques d
s sont destinés à distinguer les diverses époques de l’action ; si le
verbe
avait été divisé en trois parties seulement, le p
iii.) Outre les temps ou manière d’exprimer l’époque de l’action, les
verbes
admettent encore la distinction des voix, comme o
onoms je, tu, il, il en résulte ce que l’on appelle la conjugaison du
verbe
, cette partie si importante de la grammaire de to
. J’ai suffisamment prouvé que, de toutes les parties du discours, le
verbe
est ce qu’il y a de plus complexe et de plus ingé
n variant seulement, soit la terminaison, soit la syllabe initiale du
verbe
, sans avoir recours aux auxiliaires : les langues
gard. Dans toutes les langues modernes de l’Europe, la conjugaison du
verbe
est très défectueuse ; elles admettent peu de var
de variété dans les terminaisons ; on fait usage presque toujours des
verbes
auxiliaires dans tous les temps et modes actifs e
altérations furent le résultat de la même cause. On remarqua que ces
verbes
joints au participe lui donnaient la force affirm
s fixe et plus déterminé, leurs terminaisons plus variées, l’usage du
verbe
auxiliaire moins fréquent. En second lieu, le gén
a brillant, pour exprimer l’espérance d’un nouveau jour. Dès lors, le
verbe
fut trouvé. Les temps des verbes sont plus ou moi
rance d’un nouveau jour. Dès lors, le verbe fut trouvé. Les temps des
verbes
sont plus ou moins nombreux dans les différentes
ans les trois principaux, le présent, le passé et le futur. Quant aux
verbes
en eux-mêmes, ils sont tous formés du verbe être,
é et le futur. Quant aux verbes en eux-mêmes, ils sont tous formés du
verbe
être, accompagné d’un attribut : aimer, c’est êtr
st être tombant. Il suffit donc d’expliquer l’origine et la valeur du
verbe
être et de ses temps fondamentaux, pour rendre co
rbe être et de ses temps fondamentaux, pour rendre compte de tous les
verbes
et de leurs temps dérivés. Le verbe, comme nous l
, pour rendre compte de tous les verbes et de leurs temps dérivés. Le
verbe
, comme nous l’avons vu précédemment, a quelque ra
chose ; mais le rapport finit là : car, dans toutes les langues, les
verbes
renferment trois choses à la fois, savoir l’attri
où la chose se passe. L’affirmation semble être ce qui caractérise le
verbe
, et ce qui le distingue principalement des autres
u n’est pas, et le mot qui emporte avec lui cette assertion, c’est le
verbe
; c’est à son importance qu’il doit son nom : ver
sertion, c’est le verbe ; c’est à son importance qu’il doit son nom :
verbe
vient du latin verbum qui signifie mot, c’est-à-d
st le mot par excellence. Avec des substantifs et des attributifs (le
verbe
étant compris dans ces derniers), on pourrait fai
m et le pronom ; 2° les attributifs, qui comprennent l’adjectif et le
verbe
; 3° les connectifs, c’est-à-dire, les prépositio
ue assez leur nature mixte, participant à la fois de l’adjectif et du
verbe
. Ils rentrent donc dans la classe déjà si nombreu
antifs ont reçu la modification des genres et des nombres, et que les
verbes
sont divisés en différents temps, différents nomb
en différents temps, différents nombres et différentes personnes, le
verbe
doit toujours s’accorder en personne et en nombre
français n’ont aucun caractère qui leur soit particulier. Quant à nos
verbes
, ils sont divisés à peu près en autant de temps q
à nos verbes, ils sont divisés à peu près en autant de temps que les
verbes
latins. Nous remarquerons cependant que notre lan
t dans le latin, distinguent les cas des substantifs et les temps des
verbes
, et indiquent le rapport mutuel des mots d’une pr
me barbare, ils supprimèrent les cas des noms et les terminaisons des
verbes
, parce qu’ils n’attachaient aucun prix aux avanta
puisse saisir rapidement les rapports qu’ils ont entre eux. Ainsi, le
verbe
doit être placé de manière que l’on voie nettemen
’adverbe. 100. — L’adverbe est un mot qui se joint ordinairement au
verbe
ou à l’adjectif, pour en déterminer la significat
êter. 177. — La virgule (,) se met après les noms, le adjectifs les
verbes
qui se suivent. Exemples : La candeur, la docili
Chapitre VII. Nous avons établi.] Κεῖται ñµῖν. Le même
verbe
se retrouve dans le même sens : Métaphysique, VII
tre, quoique rarement, de retrancher l’s final au présent de certains
verbes
; je voi, je croi, je reçoi, je sai, j’averti, je
C’est là l’unique étude où je veux m’attacher. Boileau. On met un
verbe
au singulier avec plusieurs sujets : Âne, cheval
èbre. § 121. Accord de l’adjectif avec le nom. — § 122. Accord du
verbe
avec le sujet. version 2. 1. Homo morit
n ample recueil de bons mots. § 124. Observations sur l’accord du
verbe
et de l’attribut avec le sujet. version 7.
, où il mourut encore fort jeune. Chapitre III. Complément des
verbes
. § 135. Complément direct à l’accusatif.
peuples immolaient à leurs dieux des victimes humaines. § 137.
Verbes
qui gouvernent deux accusatifs. version 36
très-célèbre, enseigna les lettres latines à Marc-Aurèle. § 138.
Verbes
qui gouvernent l’accusatif avec AD. versio
uis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. » § 139. Complément indirect des
verbes
passifs à l’ablatif avec ou sans A, AB. ve
portant un trident. Les enfers furent le lot de Pluton. § 140.
Verbes
qui gouvernent l’ablatif. version 41. 1
t le feu furent interdits à Cicéron, sauveur de sa patrie. § 141.
Verbes
qui gouvernent l’ablatif avec ou sans A, AB, E, E
les vaines inquiétudes, elle nous affranchit des passions. § 142.
Verbes
qui gouvernent le génitif. version 45.
il ne tarda pas à se repentir de son vœu. § 144. Génitif après le
verbe
ESSE. version 48. 1. Major pars Europæ
s, et les captifs vendus à l’encan. § 146. Observations sur les
verbes
dont le complément se construit de différentes ma
un Caton ou un Catilina ? § 203. Si interrogatif placé entre deux
verbes
. version 178. 1. Puer nescit an peccet.
u non. § 204. Pronoms et adverbes interrogatifs placés entre deux
verbes
. version 180. 1. Archimedes, intentus f
coupé]lus vils histrions. § 224. Adverbes de quantité joints à un
verbe
. version 230. 1. Nero, quum supplicio c
le feu qui l’épouvante. Chapitre VII. Gallicismes. § 241.
Verbes
français rendus par un adverbe latin. — § 242. Ve
es. § 241. Verbes français rendus par un adverbe latin. — § 242.
Verbes
français qui ne s’expriment pas en latin.
rgie de l’âme qui contribue le plus aux succès militaires. § 243.
Verbes
devoir, aller. version 262. 1. Non est i
vante les paroles de celui-ci, et les actions du premier. § 244.
Verbe
falloir. version 263. 1. Quum Æqui ac Vo
, que, voyant fuir les siens, il voulut se donner la mort. § 245.
Verbe
faire. version 264. 1. Non terret sapien
ur, répondit non sans à-propos : « Pas même une mouche. » § 246.
Verbe
AVOIR. version 265. 1. Ægrè vetitis abst
ime aussi bien que Diane à errer sur les montagnes. Adieu. § 247.
Verbe
DIRE. version 270. 1. Proavi nostri, inq
euillage de cet arbuste n’est jamais frappé par la foudre. § 248.
Verbe
LAISSER devant un infinitif. version 271.
connaissaient pas un aussi grand nombre que les modernes. (2). D’un
verbe
grec qui signifie errer. (1). Les anciens ne con
enuit. (1). Sous-entendu filius. (1). On traduira par le passif les
verbes
qui n’ont pas de passif en latin. (1). On appela
dre. (1). Sous-entendu vos devant qui. (1). Comme nonne. (1). D’un
verbe
grec qui signifie se promener. (1). Pour aliquid
hétorique, III, 10, 11. — Dans le même ouvrage, II, 8, on retrouve le
verbe
συναπεργάζεσθαι, construit avec σχήμασι ϰαὶ φωναῖ
eut-être en ce sens je ne trouve ailleurs que la forme moyenne de ce
verbe
: Hérodote, I, 111 III, 63 Athénée, IX, p. 465
and je dis : j’ai reçu de mon père ; de sert à joindre le nom père au
verbe
reçu, etc. ; de, à, sont des prépositions ; le mo
ailleurs être tiré de la leçon des mss., μεγαλειωτῶν, en supposant un
verbe
μεγαλειόω, dérivé de μεγαλεῖος comme τελειόω déri
s du discours ; savoir : le Nom, l’Article, l’Adjectif, le Pronom, le
Verbe
, le Participe, la Préposition, l’Adverbe, la Conj
ici amorce. 4. S’en allait. Nos pères composaient avec en tous les
verbes
qui exprimaient une idée de mouvement, de progrès
disait des choses, et signifiait comme ici être un objet de souci. Ce
verbe
ne s’emploie plus qu’avec le pronom personnel. 4
t, était fréquent au dix-septième siècle. 3. C’était merveilles. Ce
verbe
au singulier avec un sujet pluriel ressemble à un
’en courut. En, particule séparable qui se mettait devant beaucoup de
verbes
neutres, tels que aller, courir, etc., et qui est
ser. 6. Pire signifie plus mauvais. 1. L’Académie n’admet point le
verbe
se suicider ; et nous espérons que le mot, formé
e le fait. Une hyperbate aussi hardie qu’heureuse présente d’abord le
verbe
, à la suite duquel, d’une marche pesante, inébran
ar la forme adverbiale, l’apostrophe interrogative a succédé, puis le
verbe
, pour ainsi dire, en vedette ; maintenant vient l
, etc. Il est bref dans alterĭus. I est long 2° dans les temps du
verbe
fio où r ne se trouve pas : fīam, fīent. Il est b
s. 16. L’e muet ne s’élide ni à la fin des deux que. ni à la fin du
verbe
voie. 17. Queu-e, deux syllabes. 18. Le cont
oisième. 52. Luyant est le participe présent formé régulièrement du
verbe
luire. L’adjectif luisant a fini par le remplacer
hargés de préparer le fourrage, la subsistance, l’habitation. 58. Du
verbe
tistre, inusité depuis le début du xviie siècle.
uand bien même] les matières eussent été. 263. Nous n’avons plus le
verbe
, mais nous avons encore le substantif bateleur, f
. 335. Se crevèrent, crevèrent, éclatèrent. Un très grand nombre de
verbes
intransitifs pouvaient également se construire av
bavards. 470. Que nous faisons = que nous le voyons. Cet emploi du
verbe
faire pour remplacer un verbe quelconque précédem
ons = que nous le voyons. Cet emploi du verbe faire pour remplacer un
verbe
quelconque précédemment exprimé est très fréquent
lus guère employé dans ce sens. 482. L’emploi de faire remplaçant un
verbe
déjà exprimé dans la phrase est très fréquent au
note 7 de la page 20. 504. Qui. Ce relatif n’amène après lui aucun
verbe
; la construction est brusquement interrompue, et
ou francs. 555. Guinder. On voit ici, pris dans le sens propre, un
verbe
qu’on emploie le plus souvent comme pronominal, o
585. Vous ressouvenez. Le xviie siècle mettait le pronom régime du
verbe
actif ou réfléchi avant ce verbe, â l’impératif c
siècle mettait le pronom régime du verbe actif ou réfléchi avant ce
verbe
, â l’impératif comme aux autres modes. 586. Siq
ases que quand l’action qu’ils marquent a pour sujet le sujet même du
verbe
à un mode personnel. Mais voir p. 512, n. 4. 631
Tout son train, toute la maison de Turenne. 719. On conjugue fondre (
verbe
neutre) « avec l’auxiliaire avoir quand on veut m
e, le mot venant du bas-latin vivenda, qui, se rattachant lui-même au
verbe
vivere, désigne ce qui sert à vivre. 828. N’ajo
voir maudit. Le sujet de cet infinitif n’est pas le même que celui du
verbe
à un mode personnel auquel il se rattache (il n’y
étymologique : comme le mot simple source, il se rattache en effet au
verbe
sourdre (jaillir), qui vient du latin surgere (se
ographe, ce mot se rattache, comme un véritable participe présent, au
verbe
frire, qui a eu, dans l’ancien français, le sens
ubliquement. 1075. Représenter est employé assez fréquemment, comme
verbe
neutre, avec le sens de : avoir belle apparence,
il faudrait que le sujet de l’action de compter fût aussi le sujet du
verbe
passerait. Mais nous rappelons que la grammaire d
1751 à 1789 elles n’eurent plus lieu que tous les deux ans. 1213. Ce
verbe
mannequiner, dont le sens ici est bien clair, ne
s d’inspecteur général des manufactures. 1338. L’ânesse. – J’iasine,
verbe
plaisamment forgé pour dire : je vis en véritable
vivacité de son interlocutrice. 1359. Héberger est pris ici comme
verbe
intransitif : c’est un emploi très rare. 1360.
albash et Tennessee. 1389. Échouer, plus fréquemment employé comme
verbe
neutre, dans le sens de « être jeté sur un rivage
sens de « être jeté sur un rivage, un écueil », se trouve aussi comme
verbe
actif avec celui de « conduire, jeter vers un riv
de paysan. 1466. Allit, mangit, formes patoises du passé défini des
verbes
aller, manger. 1467. Contes de la veillée. Tit
épide des généraux de l’Empire. 1473. Traque, action de traquer. Le
verbe
lui-même se rattache an mot trac (piste, trace d’
out l’intérêt et toute la gravité de l’histoire. » 1478. Fatiguer,
verbe
neutre, semble donner un sens plus énergique, mar
qui n’est pas français, mais qui est formé du radical de geindre (du
verbe
latin qui a également donné gémir) et du suffixe
la rue Bonaparte (n° 14). 1786. Bouquiner, manier des bouquins. Ce
verbe
et ce substantif, familiers tous deux, remontent
ec lesquels les maîtres donnent des ordres. 1821. Recramponnait. Ce
verbe
n’est pas français : mais le mot est formé réguli
u’on recourut. — On peut distinguer, dans notre ancienne langue, deux
verbes
recourre : l’un est une autre forme de recourir e
st dans ce second sens que le passé recourut, qui est commun aux deux
verbes
, est ainsi employé. Toutefois la distinction des
aux deux verbes, est ainsi employé. Toutefois la distinction des deux
verbes
n’est déjà plus usuelle ni connue au temps de Mar
e à lui faire honneur. 1973. Fréquent jusque dans le xviie s. comme
verbe
transitif et avec le sens de jeter. 1974. Forme
n repos. Après l’expression le seul qui, on mettait également bien le
verbe
à l’indicatif ou au subjonctif. Le subjonctif pré
semble préférable. — Orra est la 3e personne du singulier du futur du
verbe
ouïr, qui veut dire entendre. Ce verbe, qui n’est
sonne du singulier du futur du verbe ouïr, qui veut dire entendre. Ce
verbe
, qui n’est plus guère usité qu’à l’infinitif et a
moissonné ; il n’a point d’autre calendrier. 2085. Vieillir est ici
verbe
transitif. Entendez : il voit les courses des ann
tout conter. C’est une habitude constante, au xviie siècle, quand un
verbe
est suivi d’un infinitif, de mettre avant ce verb
siècle, quand un verbe est suivi d’un infinitif, de mettre avant ce
verbe
, et non entre les deux, le pronom personnel régim
s précédent) sont dits à part. 2140. Croi. La première personne des
verbes
latins ne prenant point d’s, la première personne
onne des verbes latins ne prenant point d’s, la première personne des
verbes
français n’en prenait point non plus dans l’ancie
onner à l’épitaphe un tour plus naïf. — Même remarque pour le premier
verbe
du vers suivant. 2217. Soûlait, imparfait du ve
pour le premier verbe du vers suivant. 2217. Soûlait, imparfait du
verbe
souloirs qu’on n’emploie plus et qui signifiait a
e plus et qui signifiait avoir coutume : il est tiré directement d’un
verbe
latin qui a le même sens. 2218. Un fâcheux, un
s relatifs comme où ne peuvent régulièrement se construire qu’avec un
verbe
à un mode personnel, et non avec un participe com
ttait la prononciation s’accrait : c’est pourquoi ce mot rime avec le
verbe
est. 2255. Ami de tout le monde : exclamation
estes. 2295. Voi. Voir la note 5 de la page 512. 2296. Etonne. Ce
verbe
, qui signifie proprement mettre quelqu’un hors de
’une forme dialectale (voir page 104, note 2) du participe présent du
verbe
croire : un mécréant, c’est donc littéralement un
oir page 606, note 1. 2753. Laissant ne se rapporte pas au sujet du
verbe
de la proposition. Il serait donc plus correct d’
la bonne, demandai à la bonne. 2771. S’en fui. Les temps passés du
verbe
être pouvant signifier qu’on s’est trouvé dans un
lui qui s’attache à la secte, c’est-à-dire à la suite d’un maître. Le
verbe
latin auquel ce mot se rattache (sectari) est un
tre une lame de fer sous le pied d’un cheval ; voici ce qui motive le
verbe
ferrer ; mais si le fer est remplacé par l’argent
motive le verbe ferrer ; mais si le fer est remplacé par l’argent, le
verbe
ferrer doit être remplacé par un autre mot qui po
er doit être remplacé par un autre mot qui pourrait être semblable au
verbe
argenter ; il n’existe point dans notre langue d’
s avoir sous les yeux. Il est à remarquer que le plus communément les
verbes
de la narration sont au présent : ce qui rend le
3. L’expression qui a prévalu est front d’airain. 4. Entendrez. Du
verbe
ouïr (au-dire). 5. Suivant le désir d’un client
μένων δνομάτων. Ma traduction dissimule un peu malgré moi cet abus du
verbe
γίνƐσθαι, que les anciens reprochaient déjà aux p
un autre, pour donner plus de valeur au discours. L’étymologie est le
verbe
grec, τρίπω, je tourne. Est-ce parce que l’idée t
ertains égards. Toutes les parties du discours, substantif, adjectif,
verbe
, participe, adverbe même, peuvent être prises dan
n coup de canon, au siége d’Epernay, en 1592. 1. Cet emploi actif du
verbe
fier a vieilli. On ne se sert plus guère aujourd’
jouer ?] Αὐλοῦνται. Je n’ai pas encore trouvé un second exemple de ce
verbe
ainsi employé à la voix moyenne. Chap. xliii. — D
l mourut subitement en 454 à la suite d’une orgie. 2. La force de ce
verbe
s’est singulièrement affaiblie de nos jours ; il
imes étaient également bonnes pour les yeux et pour l’oreille. 1. Le
verbe
est ici accompagné de deux sujets, lui et il : c’
andes villes. On y est la goutte d’eau dans un océan. 1. Ferait. Ce
verbe
explétif est d’un emploi très-fréquent au xvii e
1. De ma foi chrétienne. 2. Des exhortations me confirment dans. 3.
Verbe
qui fait onomatopée ; il est formé de l’interject
Quelle âme villageoise ! La grammaire, du
verbe
et du nominatif, Comme de l’adjectif avec le subs
moi, qu’en épluchant ses herbes Elle accommode mal les noms avec les
verbes
, Et redise cent fois un bas ou méchant mot, Que d
avons pris chacune une haine mortelle Pour un nombre de mots, soit ou
verbes
ou noms, Que mutuellement nous nous abandonnons ;
ier 1690. 53. Les Provinciales parurent en 1656 et 1657. 54. Ici ce
verbe
est pris dans son acception étymologique ; c’est
129. 61. C’est-à-dire qui tiennent à l’essence de sa nature. 62. Ce
verbe
fort goûté de Montaigne et de Pascal a, peu après
nt bien aussi d’être conservés. 63. Nous est sous-entendu devant ce
verbe
. — Ces pensées ont été rappelées par Nicole, dans
Locution vieillie mais expressive ; on tournerait aujourd’hui par le
verbe
: voici comment Dieu la toucha, agit sur elle… 1
d’un enchantement magique. 131. À cause que, locution vieillie. Le
verbe
expérimenter ne serait plus employé aujourd’hui p
Revue des deux Mondes, nº du 1er novembre 1853. 236. Parvenir à… Le
verbe
atteindre ne se construirait plus aujourd’hui ave
Leçons et modèles d’éloquence judiciaire. 313. Montesquieu rend à ce
verbe
sa signification primitive et toute latine : abat
chyle. 370. On dirait aujourd’hui consumées dans cette acception. Le
verbe
consommer ne s’applique qu’aux choses usées et dé
res sur la botanique. 405. C’est-à-dire que je faisais descendre. Ce
verbe
dévaler est le plus souvent employé par nos vieux
nière la plus franche et la plus heureuse. » 457. Ancienne forme du
verbe
courir conservée dans la langue de la vénerie ; M
l, chez les Romains, un caractère particulier de dignité. » 489. Ce
verbe
est employé ici, comme neutre, dans le sens du la
articipe, en le laissant invariable quand le sujet est placé après te
verbe
. Voltaire approuve cette licence qu’il s’est perm
: ce morceau est digne du grand Corneille ». 504. Pour confie : le
verbe
fier n’est plus employé que comme réfléchi. 505
uste, Catilina, c. 13 et 14. 517. Pour former cette entreprise : ce
verbe
ne s’emploierait plus ainsi d’une manière absolue
e, Vendôme, dans Adélaïde du Guesclin. 530. Écoutons, entendons : du
verbe
ouïr, qui n’est guère employé aujourd’hui qu’à l’
tismes n’a pas manqué la consécration de l’usage. Cette alliance d’un
verbe
au pluriel avec un pronom personnel au singulier
adressé à notre auteur. 785. Il faudrait : on ne se familiarise. Le
verbe
familiariser est, d’ailleurs, très peu susceptibl
nctive et se trouve entre deux substantifs, ils exigent le pluriel du
verbe
dont ils sont le nominatif, à moins qu’il n’y ait
e et de la Seine. 4. Bonheur. 5. De ce qu’il vous est. En latin, le
verbe
esse a ce sens. 6. Il s’agit de Dieu. 7. Recouv
rsonne de la plus haute distinction, d’éviter la seconde personne des
verbes
, et de se servir d’une périphrase en disant, selo
t grammatical, par exemple : les ent qui terminent certains temps des
verbes
comme parlent agissent le t, le s le r. dans un t
it, dirait, abstrait, agis, permis, le souper, le dîner ; et tous les
verbes
en er devant une consonne, etc. Lorsqu’on récite
e pas davantage. C’est par la même raison que dans certains temps des
verbes
, ent est fondu avec la consonnance précédente et
; les modes, les temps, les personnes, le singulier et le pluriel des
verbes
), on ne compte que 5, 900 rimes différentes dans
e espèces poétiques : 1°. les substantifs, 2°. les adjectifs, 3°. les
verbes
. Des vers chargés de pareils monosyllabes ne saur
3. Il se surpassa lui-même, dirions-nous plutôt aujourd’hui. 4. Ce
verbe
, dérivé du latin insequi, est aujourd’hui de peu
la Comtesse d’Escarbagnas. 1. Harassée… Ce vieux mot paraît venir du
verbe
latin recrudescere dans le sens d’empirer. Ménage
rononciation avec ai. Il en est de même du présent de l’indicatif des
verbes
en enir, il tient, il vient, etc. Ces sortes de m
Anal à la première per· sonne singulière du présent et du parfait des
verbes
, comme je doi, je voi, je frémi, j’averti, pour j
ptibles de divers rapports, puisqu’on pourrait les faire rapporter au
verbe
persuader, quoiqu’en effet ils se rapportent aux
mena avec lui son captif . Le rapport de ce pronom il, placé avant le
verbe
nommer, est-il bien sensible au premier coup-d’œi
, de l’Épigramme. 73. Domairon, Poét., de l’Épigramme. 74. Du vieux
verbe
souloir, être accoutumé à. 75. Batteux, de l’Épi
s de l’homme les vérités de la religion. (B. de St.-P.) Ellipse d’un
verbe
et de son régime indirect. Nous attestent, répété
vie nous paraît courte et les heures longues. (Adiss.) Ellipse d’un
verbe
en le sous-entendant au pluriel après l’avoir mis
Seigneur, vous seriez imposteur ! Le poète fait une proposition sans
verbe
, et chacun le comprend. Dans tous ces cas, l’espr
19. L’hypotypose n’est un trope que parce qu’il met au présent un
verbe
qui devrait être au passé. Par cet artifice de di
t hic surdus, aut hæc muta facta sil. Deux substantifs gouvernent un
verbe
qui, grammaticalement, ne se rapporte qu’au derni
Elles ne donnent pas ce qu’elles ont promis. (Aux paysans.) 2. Le
verbe
pris substantivement. Héllenisme. 3. S’y exerce
t au profit ni de l’élévation ni de la rectitude de l’esprit. 51. Ce
verbe
, fort goûté de Montaigne et de Pascal, a, peu apr
rait-on aujourd’hui. 80. Instruire, éclairer, seraient à présent des
verbes
plus usités dans cette acception. 81. Ou plutôt,
sujet de la phrase, comme on le voit, ne tombe directement sur aucun
verbe
. 98. Cf. Montaigne : « Qu’on jette une poutre en
a vieillesse. On peut lui appliquer ce que Vaugelas a dit au sujet du
verbe
magnifier : « J’ai une certaine tendresse pour to
es termes qui donne un effet si saisissant à la pensée de Bossuet. Le
verbe
gauchir, peu usité aujourd’hui, est à regretter.
ox, farouche, indomptable. 282. Se rassasier. On évitera l’emploi du
verbe
assouvir comme réfléchi ; on dira mieux assouvir
eçons et modèles d’éloquence judiciaire. 313. Équilibre, mesure, du
verbe
latin temperare, qui signifie primitivement mélan
dont la racine est cil, c’est mettre les yeux en état de s’ouvrir. Le
verbe
suivant marque donc une gradation, et il n’y a pa
Voltaire ne savait pas où avait oublié, lorsqu’il disait à propos du
verbe
gêner employé par Corneille (Rodog., I, 1) : « Ce
st-à-dire d’années qui viennent l’une après l’autre, se succèdent. Ce
verbe
n’est plus employé aujourd’hui que sous sa forme
qu’un retour à l’ancienne règle. Pour distinguer, en effet, dans les
verbes
, la première personne de la seconde, on avait aut
ynonymie de consommer et consumer. Il faut voir, au sujet de ces deux
verbes
, les Remarques de Vaugelas sur la langue français
i Lycus ne reconnaît pas encore Cléotas. 785. Cette construction du
verbe
avoir honte se retrouve dans Molière (Dépit amour
l’apparence ; car c’est la terre qui tourne autour du soleil. 2. Ce
verbe
, rejeté à la fin de la phrase, produit un effet g
toute élocution : l’élément97, la syllabe, la conjonction, le nom, le
verbe
, l’article, le cas, le discours98. IV. L’élément
odore), la partie correspondant à δῶρον (don) n’a pas de sens. XI. Le
verbe
est un son composé significatif, comportant une i
celle du temps passé. XII. Le cas est ce qui, dans un nom ou dans un
verbe
, marque tantôt le rapport de possession ou de des
e expression : a-t-il marché ? ou celle-ci : marche, voilà des cas de
verbe
qui rentrent dans ces variétés. XIII. Le discours
r elles-mêmes ; car toute proposition ne se compose pas de noms et de
verbes
, comme, par exemple, la définition de l’homme ; m
on de l’homme ; mais une proposition peut exister sans qu’il y ait de
verbe
, et pourtant elle contiendra toujours une partie
ulant dire : L’ulcère qui mange (ἐσθίει) les chairs de mon pied, au
verbe
(ἐσθίει) a substitué le mot θοινᾶται (se repaît).
elle ne convient pas au discours en prose. II. Parmi les noms et les
verbes
, ceux-là rendent l’élocution claire qui sont des
premier, a donné l’exemple. Comme le discours est formé de noms et de
verbes
et qu’il y a autant d’espèces de noms qu’on l’a e
ules César de Padoue ; le consciencieux Lambin dont le nom a donné un
verbe
à notre langue ; Robert Estienne, le latiniste, s
pour terminer Je ne veux que celui de vaincre et pardonner. III.
verbes
Il suffira de signaler : 1° La terminaison ort
uvent en oie, oy, oys ; — du futur : oy ; — de l’indicatif présent du
verbe
être : je suy, ou sui, ou suys ; 2° Certains verb
dicatif présent du verbe être : je suy, ou sui, ou suys ; 2° Certains
verbes
qui, ou aujourd’hui neutres, sont actifs : jouir
pas : écrier ; 3° L’accord du participe présent ; 4° La pluralité du
verbe
après un sujet collectif : une foule vinrent ; 5°
après un sujet collectif : une foule vinrent ; 5° La substitution du
verbe
faire à un verbe dont il évite la répétition. Cf.
ollectif : une foule vinrent ; 5° La substitution du verbe faire à un
verbe
dont il évite la répétition. Cf. Bossuet : Il fal
; 6° L’emploi logique de fût que (où nous mettons soit que) quand le
verbe
principal est au passé ; 7° L’emploi, imité du la
l’interjection (viendra Pierre ? pour : Pierre viendra-t-il ?). — Du
verbe
dire devant que suivi d’une proposition, quand l’
if possessif après le substantif (un livre mien) ; L’adverbe avant le
verbe
(plus est blâmable celui qui…) ; Le complément du
if (du monde la dixième partie) ; Le complément direct ou indirect du
verbe
avant le verbe (Dieu les hommes a sauvé ; courir
dixième partie) ; Le complément direct ou indirect du verbe avant le
verbe
(Dieu les hommes a sauvé ; courir je veux ; prene
veux ; prenez votre livre et me laissez le mien ; pour ce faire) ; Le
verbe
avant son sujet (dirent alors les soldats que…) ;
aire) ; Le verbe avant son sujet (dirent alors les soldats que…) ; Le
verbe
avant la proposition relative qui détermine son s
ermine son sujet (celui ment qui dit…) ; Le pronom régime d’un second
verbe
avant le verbe qui précède immédiatement celui-ci
t (celui ment qui dit…) ; Le pronom régime d’un second verbe avant le
verbe
qui précède immédiatement celui-ci (je le veux cr
lles ; il se le fit expliquer, et on lui apprit que ce mot, dérivé du
verbe
germanique let ou lât, permettre ou laisser, sign
. 249. On eut soin de. Construction perdue, comme cet emploi du même
verbe
procurer le bien du peuple. (Bossuet.) 250. Le c
ents de l’homme qui grelotte est comparé au bruit du grelot. De là le
verbe
. 257. L’auteur parle de lui-même à la troisième
uses rencontres. 290. Troubler, ébranler. Le sens étymologique de ce
verbe
ressort de la place que lui donne Bossuet à côté
isait suivre de l’infinitif, précédé ou non de la préposition de, les
verbes
aimer, désirer, souhaiter, espérer (voy. le morce
ilippe IV. 503. Aujourd’hui ne subjonctif ne s’emploierait que si le
verbe
croire était accompagné d’une négation. 504. Auj
erez peut-être trop poétique, ce que fut aux éléments de l’univers le
Verbe
qui les éclaira et les ordonna. En écoutant tout
vaut infiniment mieux que τέθνηκε Πάτροκλος. On admire avec raison ce
verbe
κεῖται, qui doit tout son prix à la circonstance.
sujet, attribut, copule, répondent au substantif, à l’adjectif et au
verbe
de la grammaire. Une proposition peut être formée
se l’ordre de la syntaxe ordinaire. Tantôt elle met le sujet après le
verbe
, tantôt elle place les régimes avant le sujet et
et après le verbe, tantôt elle place les régimes avant le sujet et le
verbe
. Exemple : « Déjà, pour l’honneur de la France,
at., de Art. poët.) Les changemens de temps et de personnes dans les
verbes
sont de vraies synecdoques. Changement de temps
les verbes sont de vraies synecdoques. Changement de temps dans les
verbes
. Les poëtes et les orateurs emploient souvent le
de la Grèce, Chatouillaient de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Le
verbe
chatouiller est ennobli et rendu digne de la trag
. Définition de l’idée. 2. C’est ce que désigne l’étymologie, car le
verbe
εἴδω, veut dire je vois, je sais. De là εἴδεα ou
it affranchi ceux de ses esclaves qui avaient défendu sa vie. 1. Du
verbe
inducere, introduire, amener, parce qu’on amène p
qu’elles soient autorisées par l’usage. Changement de temps dans les
verbes
. Changement de personnes. Antonomase. (1). Sauma
Ainsi, quand Boileau a dit : Un guerrier que la colère enflamme, ce
verbe
ne pourrait être remplacé par ses synonymes habit
ites-moi vos souffrances ou dites-moi ce que vous souffrez. Dans les
verbes
, les temps et les modes peuvent souvent permuter.
. Je vais faire la guerre aux habitants de l’air Le pluriel dans les
verbes
peut se substituer au singulier : Thésée rendant
ts. L’ordre logique consiste donc à énoncer d’abord le sujet, puis le
verbe
, ensuite l’attribut, enfin les divers compléments
erie de l’armée d’Espagne, et cette inversion plaçant bien, en vue le
verbe
restait présente l’image de l’héroïque immobilité
umer. I. La construction logique consiste à énoncer le sujet, puis le
verbe
, ensuite l’attribut, enfin tes divers compléments
ment les trois premiers de la période, et à redoubler l’idée du
verbe
par un dernier membre dont l’ampleur couronne adm
ngtemps défendus des intérêts partout abandonnés.... La répétition du
verbe
est la plus commune : Guillot dormait alors profo
nous avons reproduit toute la pensée d’Homère, en ajoutant l’idée du
verbe
ἔγνω : Πολλῷν δ’ἀνθρώπων ἴὸευ ἄστεα καὶ νόον ἔγν
a ici une négation sous-entendue : c’est la négation incluse dans le
verbe
nolit du vers suivant (atque servari nolit), qui
e même de la pensée, c’est-à-dire qu’elle procède toujours par sujet,
verbe
, attribut et complément. L’auteur le plus clair e
es grandes ressources. Phrases coupées, expressions vives et courtes,
verbes
au temps présent, images entassées, tout dans le
, et que Mme de Sévigné avait hâte de rassurer sa fille. L’ellipse de
verbe
(était), dans tous les adieux faits , le bardot
: car on remarque que tous ces nominatifs sont seuls et n’ont pas de
verbe
pour exprimer leur état, de sorte que pour rendre
’auteur obtient un plus grand effet : sa phrase est plus vive, et ces
verbes
tutoie, protège, méprise, pris dans une acception
gent la mort d’un coupable. Et flatteurs d’applaudir ; ellipse d‘un
verbe
s’empressèrent, qui rend l’expression concise san
e du commencement jusqu’à la fin une très belle hypotypose. Outre les
verbes
au présent, cette figure affectionne un rythme co
e pousse les mots les uns sur les autres ; elle voudrait se passer de
verbes
, elle appelle les substantifs qui peignent plus v
très-sacrée incarnation, et où se fict la très-adorable conception du
Verbe
éternel : et là ce digne pèlerin se mit à contemp
trictement conforme aux règles de l’exposition. Bientôt les temps des
verbes
changent, et nous voyons à la première hypotypose
izon, Mais triste comme un roi que l’on sort de prison, parce que le
verbe
sortir n’est pas actif. 102. Quand la phrase est-
au citron, etc. C’est de même par catachrèse qu’on a fait dériver du
verbe
latin succurrere le sens d’aider ou secourir, du
ait dériver du verbe latin succurrere le sens d’aider ou secourir, du
verbe
petere le sens d’attaquer, du verbe animadvertere
e le sens d’aider ou secourir, du verbe petere le sens d’attaquer, du
verbe
animadvertere le sens de punir. Allégorie.
ir vraiment chrétien et vraiment royal ! » 4. « Abimer l’État. » Le
verbe
abîmer est pris dans son sens étymologique : « Je
Concours de 1884. Ordre des lettres Langue française. Du
verbe
dans la langue française. Littérature. La poésie
position de langue française et de grammaire. – Le sujet était : « Du
verbe
dans la langue française. » « Pour un examen d’u
iât dans les concours auxquels nous présidons. Pour ce travail sur le
verbe
, après avoir rappelé, sans s’attarder aux détails
qui est le propre des langues modernes, agissant sur les éléments du
verbe
fournis par le latin, avait augmenté le nombre de
le nombre des temps composés, au point de ne laisser, en français, au
verbe
passif, par exemple, que sa signification fondame
uxiliaire et du participe passif. Il fallait signaler aussi, dans les
verbes
romans, la formation singulière du futur et du co
on singulière du futur et du conditionnel, empruntés à l’infinitif du
verbe
et au présent ou à l’imparfait de l’auxiliaire av
it de l’auxiliaire avoir. Ces éléments historiques de la formation du
verbe
français devaient servir de point de départ à tou
à toute la composition, pour expliquer logiquement la constitution du
verbe
français tel qu’il est aujourd’hui, sa conjugaiso
ure, ou comptant pour une syllabe après une voyelle, surtout dans les
verbes
. Non moins que les versificateurs du seizième siè
glais. 57. Troisième personne du présent de l’indicatif de l’ancien
verbe
remordre, de remordere, d’où le substantif remord
uée, et la répétition de voir n’apparaît que comme une négligence. Ce
verbe
est d’ailleurs beaucoup trop employé dans la pièc
gnora des poètes latins. 91. Les agneaux. Le croît d’un troupeau (du
verbe
croître) est son augmentation par la naissance de
ectif, un qualificatif soit rejeté à l’autre vers ; c’est toujours un
verbe
terminant la pensée. 166. Cette élégie fut compo
scalata, de salare. Le français avait, depuis le douzième siècle, le
verbe
escheler, escheller, écheler. 281. Vieux mot qui
ire à manières de faire, et manières d’agir à façons d’agir… dans les
verbes
, travailler à ouvrer, être accoutumé à souloir co
cours élégant ; des terminaisons rudes, des consonnes fréquentes, des
verbes
auxiliaires nécessairement redoublés dans une mêm
hrase : nul style, nul goût dans la plupart, sans y daigner mettre un
verbe
. Cette licence n’est pardonnable que dans la rapi
erté des inversions ; il s’est donné celle d’employer l’infinitif des
verbes
en guise de nom substantif, un bel pensier, un do
ge noble. Il s’est fait quelques noms abstraits de l’infinitif de ses
verbes
, comme penser, parler, sourire, souvenir ; et ces
fut fait prisonnier. 63. Toi, ma consolation. Il n’est resté que le
verbe
réconforter. 64. Personnification qui est un sou
. — Gentil, noble, généreux, de rare (gens, gentis, generosus). 232.
Verbe
formé comme pindariser, ronsardiser. 233. Ce que
emps. Le p est supprimé aussi dans cors pour corps. 362. Verbum, le
verbe
. 363. On trouvera infra de beaux vers de Saint-A
e l’emploie encore. 554. Aux anciens. 555. Inusité aujourd’hui. Le
verbe
est resté. Morguant la destinée et gourmandant l
ent, en lui tendant un piège (aguet, embuscade, de guetter, tiré d’un
verbe
du haut-allemand qui signifie veiller, garder). —
t Gille, qui s’enfuit de son pays pour ne pas être fait roi ? ou d’un
verbe
du haut-allemand qui signifie se hâter ? 637.
de la vie rustique. 648. Revenue. 649. Participe passé de l’ancien
verbe
pourprendre ; employé substantivement dans le sen
31. Put est la troisième personne de l’indicatif présent de l’ancien
verbe
puir, aujourd’hui puer. 732. Sous ta merci, sou
struimus magnæ per vota ruinæ. On a remarqué l’emploi figuré de deux
verbes
dans ce vers de Racine (Andromaque, I, 2) : Hec
ançais avait sigle, voile), faire voile dans une direction. — L’autre
verbe
cingler vient, comme sangle, de cingulum. 1384.
rammatical qui veut le substantif avant l’adjectif, le sujet avant le
verbe
, n’est pas observé ; mais outre que la suspension
. Un des caractères qui la constituent, c’est que le plus souvent les
verbes
employés dans la narration sont au présent, tour
de la Grèce Chatouillaient de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Le
verbe
chatouiller est ennobli et rendu digne de la trag
t fixé : le substantif passe avant l’adjectif, le nominatif avant son
verbe
, et ainsi du reste. Cet ordre est favorable à la
qui changent la signification des mots, et on les nomme tropes, d’un
verbe
grec (τρέπω, τέτροπα) qui signifie changer. C’est
La première est le flatteur dissimulé. Il faudra étendre, au moyen de
verbes
exprimant les idées convenables, les six choses q
nez chaque mot et construisez une proposition distincte, ayant sujet,
verbe
et attribut, et voyez quel serait l’effet d’un st
pas davantage. C’est par la même raison que, dans certains temps des
verbes
, ent est fondu avec la consonance précédente et n
s cessent de prendre, Les bras d’agir, les jambes de marcher. Le
verbe
cessent est sous-entendu dans les deux derniers m
ccent circonflexe : dévoûment. Il en est de même au futur de certains
verbes
, comme je prierai ; nous saluerons, qu’on écrit e
e sérénité du ciel même : Celui que la terre attendait est venu, « Le
Verbe
s’est fait chair, et il a habité parmi nous : et
dans une crèche. » (Saint Luc, ii.) Pour nous élever jusqu’à lui, le
Verbe
divin descend jusqu’à nous. Ce qu’il y a de plus
nt clair. Le français nomme d’abord le sujet de la phrase, ensuite le
verbe
, qui est l’action, et enfin l’objet de cette acti
cité de forme, ce rapport presque invariable des trois termes, sujet,
verbe
, attribut, dans une construction uniforme, seraie
ent clair. Le français nomme d’abord le sujet du discours, ensuite le
verbe
, qui est l’action, et enfin l’objet de cette acti
s son naturel. » 67. Prov., chap.xvi, v.15 68. Et non mépriser. Le
verbe
dépriser signifie « ne pas donner à une chose tou
loyé à retenir à l’ancre le navire. 303. En terme de mer, briser est
verbe
neutre. 304. Filet qu’on tend dans les anses. 3
un nominatif substantif qui mène son adjectif comme par la main ; son
verbe
ne manque pas de marcher derrière, suivi d’un adv
es étaient également bonnes pour les yeux et pour l’oreille. 647. Le
verbe
est ici accompagné de deux sujets, lui et il : c’
tion et la péroraison. 1° Exorde L’exorde (en latin exordium, du
verbe
exordiri, commencer) est la partie du discours pa
t dire je ferais, j’irais etc. Il faut alors qu’il mette au-devant du
verbe
un signe qui réponde à l’un de ces quatre mots je
la fréquence de ses voyelles ou de ses consonnes, ses inversions, ses
verbes
auxiliaires, etc. Le génie de notre langue est la
ne vous crains pas. En effet, ils ont l’œil ferme, le front haut, le
verbe
arrogant, et un ensemble si peu modeste et si peu
a ne me fait rien. Belise. Quelle âme villageoise ! La grammaire, du
verbe
et du nominatif, Comme de l’adjectif avec le subs
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