/ 103
1 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre V. Cinquième espèce de mots.  » pp. 16-37
Chapitre V. Cinquième espèce de mots. Le verbe . 47. — Le Verbe est un mot dont on se sert pour
Chapitre V. Cinquième espèce de mots. Le verbe. 47. — Le Verbe est un mot dont on se sert pour exprimer que l’on
ou que l’on fait quelque chose : ainsi, le mot être, je suis, est un verbe  ; le mot lire, je lis, est un verbe. On connaît u
nsi, le mot être, je suis, est un verbe ; le mot lire, je lis, est un verbe . On connaît un verbe, en français, quand on peut
suis, est un verbe ; le mot lire, je lis, est un verbe. On connaît un verbe , en français, quand on peut y ajouter ces pronoms
à qui l’on parle ; il, elle, ils, elles, et tout nom placé devant un verbe , marquent la troisième personne, celle de qui l’o
troisième personne, celle de qui l’on parle.   49. — Il y a dans les verbes deux nombres ; le singulier, quand on parle d’une
aurai lu.   51. — Il y a cinq modes ou manières de signifier dans les verbes français. 1° L’indicatif, quand on affirme que la
comme lire, être.   52. — Réciter de suite les différents modes d’un verbe avec tous leurs temps, leurs nombres et leurs per
trième a l’infinitif terminé en re, comme rendre.   54. — Il y a deux verbes que l’on nomme auxiliaires, parce qu’ils aident à
s aident à conjuguer tous les autres : nous commencerons par ces deux verbes . 55. — Verbe auxiliaire avoir. INDICATIF. p
guer tous les autres : nous commencerons par ces deux verbes. 55. —  Verbe auxiliaire avoir. INDICATIF. présent. Sing.
sent. Ayant. passé. Eu, eue, ayant eu. futur. Devant avoir. 56. —  Verbe auxiliaire Être. Indicatif. présent. Je suis. T
é, aimée, ayant aimé. futur. Devant aimer.   Ainsi se conjuguent les verbes chanter, danser, manger, appeler, et tous ceux do
es prières des prêtres ; béni, bénie, partout ailleurs. Haïr, mais ce verbe fait, au présent de l’indicatif, je hais, tu hais
re. Des temps primitifs. 61. — On appelle temps primitifs d’un verbe , ceux qui servent à former les autres temps dans
finis ; je reçois, imp. reçois ; je rends, imp. rends. Excepté quatre verbes  : je suis, impératif, sois ; j’ai, impératif aie 
tous les temps composés (de deux mots)1, en y joignant les temps des verbes auxiliaires avoir, être ; comme j’ai aimé, j’ai f
aimé, que j’eusse fini, que j’eusse reçu, que j’eusse rendu, etc. Verbes irréguliers. 63. — On appelle irréguliers les
du, etc. Verbes irréguliers. 63. — On appelle irréguliers les verbes qui ne suivent pas toujours la règle générale des
nt pas toujours la règle générale des conjugaisons2. Plusieurs de ces verbes ne sont pas usités à certains temps et à certaine
usités à certains temps et à certaines personnes. TEMPS PRIMITIFS des verbes irréguliers. présent de l’infinitif. particip
Vivre. Vivant. Vécu. Je vis. Je vécus.   Nous ne marquons pas les verbes composés, parce qu’ils suivent la conjugaison de
xemple, les composés promettre, admettre, etc. se conjuguent comme le verbe simple mettre. Au moyen de cette table, et des rè
que nous avons données sur la formation des temps, il n’y a point de verbe qu’on ne puisse conjuguer. Accord des verbes
ps, il n’y a point de verbe qu’on ne puisse conjuguer. Accord des verbes avec leur nominatif ou sujet. 64. — On appelle
leur nominatif ou sujet. 64. — On appelle sujet ou nominatif d’un verbe ce qui est, ou ce qui fait la chose qu’exprime le
ominatif d’un verbe ce qui est, ou ce qui fait la chose qu’exprime le verbe . On trouve le sujet en mettant qui est-ce qui ? d
me le verbe. On trouve le sujet en mettant qui est-ce qui ? devant le verbe . La réponse à cette question indique le sujet ; q
age ; qui est-ce qui est sage ? Réponse, l’enfant : voilà le sujet du verbe est. Le lièvre court ; qui est-ce qui court ? Rép
vre court ; qui est-ce qui court ? Rép. le lièvre : voilà le sujet du verbe court.   65. — Règle. Tout verbe doit être au mêm
? Rép. le lièvre : voilà le sujet du verbe court.   65. — Règle. Tout verbe doit être au même nombre et à la même personne qu
pluriel et à la seconde personne.   66. — Première remarque. Quand un verbe a deux sujets singuliers, on met ce verbe au plur
Première remarque. Quand un verbe a deux sujets singuliers, on met ce verbe au pluriel. Exemple. Mon frère et ma sœur lisent
arque. Quand les deux sujets sont de différentes personnes, on met le verbe à la plus noble personne : la première est plus n
abord la personne à qui l’on parle, et qu’on se nomme le dernier.) Verbe actif. Régime des verbes actifs. 68. — On
parle, et qu’on se nomme le dernier.) Verbe actif. Régime des verbes actifs. 68. — On appelle verbe actif 1 celui a
r.) Verbe actif. Régime des verbes actifs. 68. — On appelle verbe actif 1 celui après lequel on peut mettre quelqu’
ui après lequel on peut mettre quelqu’un, quelque chose. Aimer est un verbe actif, parce qu’on peut dire aimer quelqu’un : pa
t dire aimer quelqu’un : par exemple, j’aime Dieu. Ce mot qui suit le verbe actif s’appelle le régime de ce verbe. On connaît
j’aime Dieu. Ce mot qui suit le verbe actif s’appelle le régime de ce verbe . On connaît le régime, en faisant la question qu’
Exemple : qu’est-ce que j’aime ? Réponse, Dieu. Dieu est le régime du verbe j’aime.   69. — Règle. Le régime d’un verbe actif
eu. Dieu est le régime du verbe j’aime.   69. — Règle. Le régime d’un verbe actif se place ordinairement après le verbe (quan
. — Règle. Le régime d’un verbe actif se place ordinairement après le verbe (quand ce n’est pas un pronom). Exemple. J’aime
e. J’aime Dieu. Le chat mange la souris : la souris est le régime du verbe mange. Mais quand le régime est un pronom, il se
verbe mange. Mais quand le régime est un pronom, il se met devant le verbe . Exemples. Je vous aime, pour j’aime vous ; il m
. — Remarque. Outre ce premier régime, qu’on appelle direct, certains verbes actifs peuvent avoir un second régime, qu’on appe
écrire une lettre à son ami : à l’enfant, est le régime indirect des verbes donner, enseigner ; à son ami, est le régime indi
t des verbes donner, enseigner ; à son ami, est le régime indirect du verbe écrire. Accuser quelqu’un de mensonge ; avertir q
délivrer quelqu’un du danger : de mensonge, est le régime indirect du verbe accuser, etc. Verbe passif. 71. — Tout verb
anger : de mensonge, est le régime indirect du verbe accuser, etc. Verbe passif. 71. — Tout verbe actif a un passif : c
régime indirect du verbe accuser, etc. Verbe passif. 71. — Tout verbe actif a un passif : ce passif se forme en prenant
orme en prenant le régime direct de l’actif pour en faire le sujet du verbe passif ; et en ajoutant le mot par ou de. Ainsi,
ement, dites : mon père est tendrement aimé de moi. Conjugaison des verbes passifs. 72. — Il n’y a qu’une seule conjugais
bes passifs. 72. — Il n’y a qu’une seule conjugaison pour tous les verbes passifs ; elle se fait avec l’auxiliaire être dan
avec l’auxiliaire être dans tous ses temps, et le participe passé du verbe qu’on veut conjuguer. INDICATIF. présent. Je sui
guent être fini, être reçu, être rendu, etc, etc, etc. Régime des verbes passifs. 73. — Règle. On met de ou par devant
73. — Règle. On met de ou par devant le nom ou pronom qui suit le verbe passif. Exemples. La souris est mangée par le ch
s méchants seront punis de Dieu et non pas seront punis par Dieu. Verbes neutres. 74. — On appelle neutres 1, les verbe
unis par Dieu. Verbes neutres. 74. — On appelle neutres 1, les verbes après lesquels on ne peut pas mettre quelqu’un ni
peut pas mettre quelqu’un ni quelque chose : languir, dormir sont des verbes neutres, parce qu’on ne peut dire : languir quelq
s, parce qu’ils ne sont ni actifs ni passifs.)   75. — La plupart des verbes neutres se conjuguent comme les verbes actifs, av
ssifs.)   75. — La plupart des verbes neutres se conjuguent comme les verbes actifs, avec l’auxiliaire avoir : je dors, j’ai d
dors, j’ai dormi, j’avais dormi, j’aurais dormi, etc. Mais il y a des verbes neutres qui se conjuguent dans leurs temps compos
aire être, comme venir, arriver, tomber, etc. 76. — Conjugaison des verbes neutres. INDICATIF. présent. Je tombe. Tu tom
tant tombé, ou tombée. futur. Devant tomber.   Conjuguez de même les verbes aller, arriver, déchoir, décéder, entrer, sortir,
osés, devenir, survenir, revenir, parvenir, etc., etc. Régime des verbes neutres. 77. — Il y a des verbes neutres qui
venir, etc., etc. Régime des verbes neutres. 77. — Il y a des verbes neutres qui ont un régime. Règle. On met à ou de
régime. Règle. On met à ou de devant le nom ou le pronom qui suit le verbe neutre. EXEMPLES. À. DE. Nuire à la santé.
ofiter des leçons. Convenir à quelqu’un. Jouir de la liberté. Verbes réfléchis. 78. — On appelle verbes réfléchis 1
’un. Jouir de la liberté. Verbes réfléchis. 78. — On appelle verbes réfléchis 1 ceux dont le sujet et le régime sont
onne, comme je me flatte, tu te loues, il se blesse, etc.   79. — Les verbes réfléchis se conjuguent comme le verbe tomber, c’
l se blesse, etc.   79. — Les verbes réfléchis se conjuguent comme le verbe tomber, c’est-à-dire qu’ils prennent l’auxiliaire
. Nous ne mettrons ici que les premières personnes. Conjugaison des verbes réfléchis. INDICATIF. présent. Je me repens.
tir.   80. — Remarque. Me, te, se, nous, vous, qui sont le régime des verbes réfléchis, sont quelquefois régime direct, comme
il s’est fait honneur, c’est-à-dire il a fait honneur à soi, etc. Verbes impersonnels. 81. — On appelle verbe impersonn
fait honneur à soi, etc. Verbes impersonnels. 81. — On appelle verbe impersonnel celui qui ne s’emploie dans tous les
leut, etc. Il se conjugue à cette troisième personne comme les autres verbes . 82. — Conjugaison des verbes impersonnels.
e troisième personne comme les autres verbes. 82. — Conjugaison des verbes impersonnels. INDICATIF. présent. Il faut. i
TICIPE. passé. Ayant fallu.   83. — Remarque. Le mot il ne marque un verbe impersonnel que lorsqu’on ne peut pas mettre un n
l’auxiliaire avoir ou l’auxiliaire être. 2. Les véritables et seuls verbes irréguliers sont ceux qui ne suivent pas toujours
les règles de la formation des temps. 3. La plupart des temps de ce verbe sont peu usités. 1. Bruyant est un adjectif et
usités. 1. Bruyant est un adjectif et non un participe présent. 1. Verbe actif ou transitif disent les grammairieus modern
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
mme je l’ai dit ailleurs, est le principe de l’action exprimée par le verbe . Il est employé en régime, lorsqu’il désigne l’ob
régissants. Il en est de même des noms adjectifs, des pronoms et des verbes . En voici des exemples : = À la lecture de ce dis
e plus éloquent de nos orateurs. Voilà l’adjectif éloquent, régime du verbe reconnaît, et en même temps régissant du substant
lis en ce moment celui de votre ami. Voilà le pronom celui, régime du verbe lis, et en même temps régissant du substantif ami
mi : = Votre frère veut un peu trop tard apprendre à danser. Voilà le verbe apprendre, régime du verbe veut, et en même temps
peu trop tard apprendre à danser. Voilà le verbe apprendre, régime du verbe veut, et en même temps régissant du verbe danser.
verbe apprendre, régime du verbe veut, et en même temps régissant du verbe danser. Les prépositions sont toujours, et de leu
ux arts et aux beaux ouvrages. Ainsi ce régime ne peut convenir qu’au verbe actif. Le régime est composé, quand il n’y a qu’u
int n’influe pas sur le substantif reproches : il ne tombe que sur le verbe ferai. La même remarque doit avoir lieu sur ce ve
ssion ou l’emploi de l’article, avant un nom substantif, précédé d’un verbe , change entièrement le sens de l’expression. Par
ité absolus. L’adjectif qui se rapporte au pronom vous, et joint à un verbe qui est au pluriel, se met au singulier, quand on
au mot un, et qu’alors étant au singulier, il veut au même nombre le verbe dont il est le sujet. En voici des exemples : = c
ifiées On sait que les pronoms, me, te, se, doivent être mis avant le verbe  ; mais que quand le verbe est à l’impératif, et q
noms, me, te, se, doivent être mis avant le verbe ; mais que quand le verbe est à l’impératif, et qu’il marque affirmation, m
r, en parlant de choses inanimées, quand ces pronoms sont joints à un verbe , qui ne convient proprement qu’aux personnes. On
inction qu’on doit faire. Lorsque chacun est placé avant le régime du verbe , on met leur après chacun : = ces braves officier
ur a dicté à chacun leur thème. Lorsque chacun est après le régime du verbe , on emploie son, sa, ses : = ces soldats ont fait
vrage, en adoptant le sentiment de plusieurs grammairiens, que, si le verbe n’a point de régime, on met son, sa, ses, ou leur
xamen, je pense qu’on ne peut employer que son, sa, ses, parce que le verbe est sous-entendu après chacun. C’est comme si l’o
on ses forces. On ne dit plus un chacun. Le pronom ce, placé avant le verbe être, veut ce verbe à la troisième personne du si
dit plus un chacun. Le pronom ce, placé avant le verbe être, veut ce verbe à la troisième personne du singulier, quand il es
ous, ou d’un régime composé, de quelque nombre qu’il soit. Mais si le verbe être est suivi du pronom, eux, elles, ou d’un sub
pronom, eux, elles, ou d’un substantif pluriel, sans préposition, le verbe doit être mis au pluriel. Ainsi l’on dira : c’est
ruit. 2°. Lorsque le substantif de ce pronom, est le régime simple du verbe qui a pour sujet, ou le substantif auquel se rapp
ducation. Quand le substantif, n’ayant point d’adjectif, est après le verbe , il faut se servir de quel, que ; quelle, que, qu
dire, à quelque prix, etc. Article IV. Observations sur le Verbe . Accord du verbe et de son sujet. Le verb
etc. Article IV. Observations sur le Verbe. Accord du verbe et de son sujet. Le verbe se met au même nombr
bservations sur le Verbe. Accord du verbe et de son sujet. Le verbe se met au même nombre et à la même personne que s
de ce que vous étudiez, tandis que vos compagnons se divertissent. Le verbe , dont le relatif qui est le sujet, se met au même
is je pardonne à ta fureur. Il aurait fallu, qui me tues. Lorsque le verbe a pour sujet un nom collectif partitif, ou un adv
t prétendu. La plupart, quoiqu’il ne soit suivi d’aucun nom, veut le verbe , et l’adjectif ou le participe qui le suit, au pl
= la plupart sont aveugles sur leurs défauts. Règle concernant le verbe qui a plusieurs sujets. Si le verbe a plusieur
éfauts. Règle concernant le verbe qui a plusieurs sujets. Si le verbe a plusieurs sujets de différentes personnes, on l
s censurons dans les autres les défauts que nous avons nous-mêmes. Le verbe qui a pour sujets plusieurs noms singuliers, qui
u le gâter. Mais si ces noms sont liés par une conjonction, on met le verbe au pluriel : = une entreprise mal concertée, une
1°. Quand ces substantifs sujets sont liés par la conjonction ou, le verbe se met au singulier : = la raison ou la nécessité
prendre son parti. Mais si ces sujets sont des pronoms personnels, le verbe , suivant l’Académie, doit suivre la règle général
Plusieurs substantifs liés par la conjonction ni répétée, veulent le verbe au singulier, si un seul de ces substantifs fait
ni l’un ni l’autre ne sont bons. Mais si l’on place ces mots après le verbe , celui-ci doit toujours être mis au pluriel : = i
njonction mais, et dont le dernier soit au singulier, on met alors le verbe au singulier : = non seulement ses titres, ses ho
t rien, placés après plusieurs substantifs, même pluriels, veulent le verbe au singulier : = les meubles les plus précieux, l
s femmes, rien ne put arrêter sa barbare furie. Dans ces exemples, le verbe est sous-entendu après chaque substantif. Régi
ntendu après chaque substantif. Régimes des différentes espèces de verbes . Tous les verbes actifs ont un régime simple ;
substantif. Régimes des différentes espèces de verbes. Tous les verbes actifs ont un régime simple ; et la plupart ont d
maître vous dispense de ce travail : = je vous donnerai un livre. Le verbe passif a un régime composé, marqué par la préposi
é, marqué par la préposition de ou par. Il faut employer de, quand le verbe exprime une action de l’âme : = l’honnête homme e
r les barbares du nord : = ce peuple est gouverné par un bon roi. Les verbes neutres n’ont jamais de régime simple. Il y en a
n’en ont pas du tout ; comme exister, souper, dormir, etc. Il y a des verbes réciproques qui ont un régime simple ; et alors l
rs défendus ; c’est une vertu de se priver des plaisirs permis. Aucun verbe , de quelque espèce qu’il soit, ne peut avoir deux
arce que vous, et ce, qui signifie la chose, sont en régime simple du verbe informer. Il aurait fallu dire : ne vous informez
je veux parler. parce que à vous et à qui sont en régime composé du verbe parler. Il aurait fallu ; c’est à vous, mon espri
je parle. » Dans ces deux exemples, que est seulement conjonction. Verbes qui ont différents régimes. Il y a des verbes
ment conjonction. Verbes qui ont différents régimes. Il y a des verbes qui ont différents régimes, ou qui veulent être s
re réussir quelque chose : = il a aidé au succès de cette affaire. Ce verbe est aussi réciproque ; et il prend alors de : = i
x fidèles l’observation des fêtes. Dans toute autre signification, ce verbe n’a qu’un régime. Ce régime est simple, lorsque c
t puissance, avoir autorité, empire sur quelqu’un ; et en ce sens, ce verbe est neutre : = le souverain commande à ses sujets
es ; le capitaine à ses soldats. Croître, suivant l’Académie, est un verbe neutre, qui prend tantôt en, tantôt à: = croître
sage le plus ordinaire est de mettre de avant l’infinitif qui suit le verbe désirer. Échapper, signifiant se sauver des main
ltez pas à la misère de cet homme. Il ne faut pas mettre que entre le verbe ne pas laisser, et la préposition de placée avant
nner quelqu’un. Il faut dire pardonner à quelqu’un ; et en ce sens ce verbe est neutre : = le roi lui a pardonné et l’a remis
u défaut de sa naissance. Répétition d’un nom en régime après deux verbes . Quand deux verbes, qui ont de leur nature dif
ce. Répétition d’un nom en régime après deux verbes. Quand deux verbes , qui ont de leur nature différents régimes, sont
n nom, il faut que le nom en régime soit mis après chacun de ces deux verbes , et par conséquent, qu’il soit répété ou par lui-
et le règle avec une sagesse infinie. Il en est de même, lorsque deux verbes sont suivis d’un autre verbe, qui doit être emplo
nfinie. Il en est de même, lorsque deux verbes sont suivis d’un autre verbe , qui doit être employé dans différents temps ou d
s temps ou dans différents modes : il faut alors répéter ce troisième verbe . Ainsi au lieu de dire : je désire et j’espère qu
sse, et qui devraient toujours en être inséparables. Répétition du verbe . Le verbe doit être répété dans une phrase qui
evraient toujours en être inséparables. Répétition du verbe. Le verbe doit être répété dans une phrase qui a deux parti
mportant d’observer cette règle, parce que le défaut de répétition du verbe rend souvent le sens d’une phrase, louche et obsc
illeurs, il aurait dû, dans le premier membre de la phrase, mettre le verbe être au pluriel, et, suivant la règle dont il s’a
qui ont le plus de crédit auprès du Prince. Il faut encore répéter le verbe , quand il est actif dans le premier membre de la
mbre de la phrase, et que dans le second il doit être employé avec le verbe être. On dira, par exemple : les lois qu’on n’a p
, ou prendre ce tour, et l’autel fut placé comme il devait l’être. Le verbe avoir, employé d’abord seul comme verbe actif, do
cé comme il devait l’être. Le verbe avoir, employé d’abord seul comme verbe actif, doit être répété avant un participe qui se
ssances. Il faudrait dire : et avait acquis plus de connaissances. Le verbe faire peut être mis à la place d’un verbe qu’on n
s plus de connaissances. Le verbe faire peut être mis à la place d’un verbe qu’on ne veut point répéter. Mais il doit être al
t déjà fait ceux de ses prédécesseurs . L’auteur aurait dû répéter le verbe , et dire, comme ils avaient déjà méconnu ceux de
éclinable, c’est-à-dire, ne prend jamais ni genre ni nombre, dans les verbes actifs suivis de leur régime simple, ni dans les
bre, dans les verbes actifs suivis de leur régime simple, ni dans les verbes neutres qui se conjuguent avec l’auxiliaire avoir
ni dans les verbes neutres qui se conjuguent avec l’auxiliaire avoir. Verbes actifs : = une grêle affreuse a dévasté nos campa
éditieux, et nous avons bravé la fureur de ces monstres sanguinaires. Verbes neutres : = dans cette douce espérance, tous les
participe prend toujours le genre et le nombre de son sujet dans les verbes passifs ; dans les verbes neutres, qui se conjugu
le genre et le nombre de son sujet dans les verbes passifs ; dans les verbes neutres, qui se conjuguent avec l’auxiliaire être
verbes neutres, qui se conjuguent avec l’auxiliaire être, et dans les verbes réciproques, qui n’ayant point de régime simple,
e simple, ne pourraient jamais se construire avec l’auxiliaire avoir. Verbes passifs : = quand le vrai mérite seul est récompe
pprochent ; toutes les lois sont constamment observées par le peuple. Verbes neutres : = cette grande armée était déjà partie,
tis plus tard, nous serions infailliblement tombés dans ce précipice. Verbes réciproques : = bien des gens se sont repentis d’
ce sujet. On voit que ce second pronom, avec lequel se conjuguent ces verbes réciproques, n’est pas en régime simple, puisqu’o
ourquoi l’usage les mettant ici, en quelque façon, dans la classe des verbes passifs, veut que leur participe s’accorde avec l
que leur participe s’accorde avec le sujet. Au reste, il y a quelques verbes de cette espèce, mais en très petit nombre, dont
ègle du participe, considérée sous son troisième rapport. Dans les verbes actifs, et dans les verbes réciproques, le partic
ée sous son troisième rapport. Dans les verbes actifs, et dans les verbes réciproques, le participe, précédé de son régime
ce pronom soit en régime simple. Voici d’abord des exemples pour les verbes actifs. Exemples pour les verbes actifs. Q
ici d’abord des exemples pour les verbes actifs. Exemples pour les verbes actifs. Quel livre avez-vous lu ? = quelle be
son régime simple qui le précède, quoique le sujet soit mis après le verbe  : c’est aujourd’hui le sentiment de tous les bons
Les exceptions qu’on a voulu faire au sujet du participe, suivi d’un verbe à l’infinitif, sont, suivant Duclos, de pures chi
ire joint au participe : peu importe que ce participe soit suivi d’un verbe à l’infinitif, ou qu’il ne le soit pas. Racine a
é, parce que le pronom la, qui précède ce participe, est le régime du verbe battre, puisque c’est comme si l’on disait : on a
ée, ne pouvant être celui des infinitifs tomber, mourir, qui sont des verbes neutres : c’est-à-dire, on a laissé elle tomber,
e : on a fait tomber, mourir elle. Le pronom la est régi par les deux verbes fait et mourir, qui étant ici mots inséparables,
les soins qu’il a dû : = il a employé tous les moyens qu’il a pu. Les verbes obtenir, donner, employer, sont sous-entendus apr
ont sous-entendus après les participes voulu, dû, pu ; et c’est à ces verbes que le pronom en régime doit se rapporter. Il fau
observer encore qu’il y a quelques participes, entre autres ceux des verbes plaindre, craindre, fuir, qu’il est bon d’éviter
tuer d’autres expressions. Cette règle, concernant les participes des verbes actifs, ne souffre point d’exceptions, ou en souf
u plus une seule. C’est quand le participe et l’auxiliaire forment un verbe impersonnel. Alors le participe ne prend ni genre
grande inondation qu’il y a eu, et non pas eue. Exemples pour les verbes réciproques. Quant aux verbes réciproques, la
et non pas eue. Exemples pour les verbes réciproques. Quant aux verbes réciproques, la règle est, comme je l’ai déjà dit
ciproques, la règle est, comme je l’ai déjà dit, la même que dans les verbes actifs. Quelques exemples suffiront pour la confi
ans l’esprit, c’est-à-dire aura mis à elle. Quand le participe de ces verbes réciproques est immédiatement suivi ou d’un subst
adjectif, ou d’un autre participe, il s’accorde aussi, comme dans les verbes actifs, avec le régime simple qui le précède. En
traintes à faire cet aveu. Peu importe que le sujet soit mis après le verbe . La règle est encore ici la même que dans les ver
soit mis après le verbe. La règle est encore ici la même que dans les verbes actifs ; et le participe doit prendre le genre et
rait été au-dessus de tous les éloges. Enfin, quand le participe d’un verbe réciproque est suivi d’un infinitif, il faut voir
rbe réciproque est suivi d’un infinitif, il faut voir, comme dans les verbes actifs, si le régime simple qui précède, dépend d
s actifs, si le régime simple qui précède, dépend du participe, ou du verbe qui est à l’infinitif. = La science que nous nous
nt fait peindre ; je dis fait, parce que le pronom se est régi par le verbe peindre, ou plutôt, comme je l’ai déjà remarqué,
sée, parce que le pronom se est régi par ce participe, et non par les verbes aller, tomber, mourir, qui sont des verbes neutre
participe, et non par les verbes aller, tomber, mourir, qui sont des verbes neutres ; c’est-à-dire, elle a laissé elle aller,
rce que le pronom se est le régime, non pas de ce participe, mais des verbes séduire, mener, battre, qui sont des verbes actif
de ce participe, mais des verbes séduire, mener, battre, qui sont des verbes actifs ; c’est-à-dire, elle a laissé séduire, men
e je viens d’avancer, se trouve dans la propre signification des deux verbes laisser et faire, joints à un infinitif. Le verbe
ification des deux verbes laisser et faire, joints à un infinitif. Le verbe laisser, signifie permettre, souffrir, ne pas emp
sser, signifie permettre, souffrir, ne pas empêcher une chose ; et le verbe faire, signifie être la cause prochaine ou éloign
quoi, d’un côté, le participe laissé, pouvant toujours être séparé du verbe neutre auquel il est joint, régit lui-même le nom
it prendre le genre et le nombre. Voilà pourquoi, d’un autre côté, le verbe faire ne pouvant jamais être séparé du verbe dont
uoi, d’un autre côté, le verbe faire ne pouvant jamais être séparé du verbe dont il est suivi, de quelque espèce qu’il soit,
uniquement au participe fait, et ne peut pas non plus se rapporter au verbe neutre qui le suit. Mais il se rapporte à tous le
e genre et le nombre du pronom se qui le précède, et qu’il régit ; le verbe neutre aller ne pouvant le régir lui-même. Voilà
laissé au masculin, parce que ce même pronom se n’est régi que par le verbe actif séduire. N’est-ce pas là une preuve bien cl
un régime simple : ils peuvent alors se tourner par un autre temps du verbe , précédé du relatif qui. = J’ai rencontré votre a
ec les adjectifs verbaux, ainsi appelés, parce qu’ils sont formés des verbes . Les premiers expriment toujours une action ; les
adjectif verbal. III. Remarques sur les modes et les temps du Verbe . L’emploi des modes et des temps du verbe étan
es modes et les temps du Verbe. L’emploi des modes et des temps du verbe étant assez connu par l’usage, je ne m’attacherai
us d’énergie et de vivacité au récit. Mais il faut alors que tous les verbes de la même phrase soient mis au présent. Celle-ci
et du subjonctif. Il est essentiel de ne pas oublier qu’on met le verbe à l’indicatif, quand on veut affirmer une chose ;
ien dit autre chose, si ce n’est que vous êtes studieux et docile. Le verbe est ici à l’indicatif, parce que l’on affirme : =
e rien autre chose, si ce n’est que vous soyez studieux et docile. Le verbe est ici au subjonctif, parce qu’on exprime un sou
parce qu’on exprime un souhait. La conjonction que, placée entre deux verbes , est principalement assujettie à cette règle. Si
n marque une affirmation ou une espèce de certitude, on met le second verbe à l’indicatif, comme dans ces phrases : = je vous
mot si l’on n’exprime pas quelque chose de positif, on met le second verbe au subjonctif, comme dans ces phrases : = je dout
ous fassiez cette démarche pour lui. Il en est de même, si le premier verbe est accompagné d’une négation ; comme : je n’espè
rès les relatifs qui, que, dont, précédés d’un superlatif relatif, le verbe doit être mis au subjonctif : = Racine est le poè
lieu pour les prépositions. On doit les répéter avant des noms ou des verbes qui signifient des choses opposées, ou tout à fai
fallait dire, et pour élever sa puissance, etc. Cependant si les deux verbes ne sont suivis d’aucun régime, on peut se dispens
les adjectifs, meilleur, moindre, pire, sont suivis d’un que, et d’un verbe à l’indicatif, on met ne avant ce verbe. Il en es
sont suivis d’un que, et d’un verbe à l’indicatif, on met ne avant ce verbe . Il en est de même de l’adverbe autrement, et de
, suivant l’Académie, a quelquefois deux acceptions opposées. Avec le verbe être, rien moins signifie le contraire de l’adjec
tte nouvelle, veut dire, cette nouvelle n’est pas vraie. Mais avec un verbe actif, réciproque ou neutre, le sens serait équiv
e, lorsque la conjonction et y est placée entre le régime simple d’un verbe , et le sujet d’un autre verbe ; comme dans celle-
est placée entre le régime simple d’un verbe, et le sujet d’un autre verbe  ; comme dans celle-ci : Germanicus a égalé sa ver
d’abord, disent-ils, que bonheur soit, ainsi que vertu, le régime du verbe égalé, tandis qu’il est le sujet du verbe a eu. C
nsi que vertu, le régime du verbe égalé, tandis qu’il est le sujet du verbe a eu. Ces grammairiens pourraient bien paraître u
. Quoi qu’il en soit, je pense avec eux que, quand le sujet du second verbe est séparé de ce verbe par plusieurs mots, la phr
e pense avec eux que, quand le sujet du second verbe est séparé de ce verbe par plusieurs mots, la phrase n’est réellement pa
e vous ne veniez me prendre. On la met aussi avec le que qui suit les verbes douter et nier, lorsque ces verbes sont précédés
met aussi avec le que qui suit les verbes douter et nier, lorsque ces verbes sont précédés d’une négation = Je ne doute pas, j
ujours ne. = Peu s’en faut que son ouvrage ne soit achevé. Mais si ce verbe est accompagné d’un autre adverbe que peu, on est
. = Prenez garde que l’auteur ne dit pas ce que vous pensez. Quand le verbe empêcher n’a point de négation, il faut joindre n
le verbe empêcher n’a point de négation, il faut joindre ne au second verbe . = Empêchez qu’on ne chante. Quand il est accompa
l est accompagné d’une négation, il faut supprimer ne avant le second verbe . = N’empêchez pas qu’on chante. Il en est de même
le second verbe. = N’empêchez pas qu’on chante. Il en est de même des verbes craindre, avoir peur, appréhender. Les deux exemp
suyât les larmes de sa mère. Il faut cependant observer qu’après ces verbes suivis de la conjonction que, on met seulement ne
Il faudrait supprimer point, et dire : il ne mange ni ne boit. Si ces verbes étaient employés dans des temps composés, il faud
omposés, il faudrait, de plus, répéter la conjonction ni avant chaque verbe , et dire : il n’a ni mangé ni bu. Toutes les fois
n supprime encore paset point, après, depuis que ; il y a… que, si le verbe qui suit ces expressions adverbiales, est au pass
le vois point. Pas et point ne doivent jamais être employés après le verbe savoirpris dans le sens de pouvoir : = je ne saur
, je ne puis en venir à bout. On les supprime avec élégance après les verbes cesser, oser, et pouvoir : = il n’a cessé de gron
s expressions qui sont des gallicismes. La conjonction que, jointe au verbe être, forme aussi un gallicisme : = c’est à vous
’est qu’elle sort d’un sang qu’il brûle de répandre. Ce qui, dont le verbe ne paraît point, est un gallicisme. Je ne sai q
ste ? Les substantifs sujets, soldats, rangs, cris, horreur, dont le verbe est sous-entendu, forment autant d’ellipses. P
aussi dans la réduplication (ou répétition) du régime ou du sujet du verbe . Racine nous en fournit ces exemples : Et que m’
Aussi emploie-t-on souvent cette figure, en plaçant le sujet après le verbe , ou le régime avant le sujet et le verbe. Hypa
en plaçant le sujet après le verbe, ou le régime avant le sujet et le verbe . Hypallage. L’Hypallage est une figure par
3 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
pensées. Il y en a de huit sortes : le nom, l’article, le pronom, le verbe , la préposition, l’adverbe, la conjonction, et la
appartient à cette troisième personne. Le, la, les, placés avant un verbe , sont des pronoms qu’on nomme relatifs, parce qu’
ra si un pronom est substantif, ou adjectif. Article II. Du Verbe . Le verbe est en général un mot qui exprime u
m est substantif, ou adjectif. Article II. Du Verbe. Le verbe est en général un mot qui exprime une action, soi
ns, puisque c’est à eux qu’elles se terminent. L’action qu’exprime le verbe , peut être considérée sous quatre points de vue.
considérée sous quatre points de vue. De là naissent quatre sortes de verbes  ; l’actif, le passif, le réciproque, et le neutre
tif, le passif, le réciproque, et le neutre. Différentes espèces de verbes . Le verbe actif exprime une action que le suje
, le réciproque, et le neutre. Différentes espèces de verbes. Le verbe actif exprime une action que le sujet produit, et
t secourt les pauvres : = le tonnerre a renversé un grand édifice. Le verbe passif exprime une action, dont l’impression est
compatissant : = un grand édifice a été renversé par le tonnerre. Le verbe réciproque exprime une action, dont le sujet qui
chemin sabloneux : = ce jeune fat se vante toujours. On voit que les verbes de cette espèce sont accompagnés de deux pronoms
pronoms de la même personne, tandis que les autres n’en ont qu’un. Le verbe neutre exprime une action produite par le sujet,
emples qui feront sentir la différence essentielle qu’il y a entre un verbe actif et un verbe neutre. Quand je dis, le père c
sentir la différence essentielle qu’il y a entre un verbe actif et un verbe neutre. Quand je dis, le père corrige l’enfant, j
erbe neutre. Quand je dis, le père corrige l’enfant, j’exprime par ce verbe une action que fait le père, et dont l’enfant peu
ssion de cette action serait reçue ou soufferte par l’enfant. Donc ce verbe corriger est un verbe actif. Mais si je dis, le m
serait reçue ou soufferte par l’enfant. Donc ce verbe corriger est un verbe actif. Mais si je dis, le méchant médit de tout l
e ; le maître a parlé aux disciples ; quoique j’exprime, par ces deux verbes , des actions qui passent hors des sujets qui en s
par le méchant ; les disciples ont été parlés par le maître. Donc ces verbes médire, parler, expriment des actions, dont l’imp
ression ne peut être reçue ou soufferte ; par conséquent ils sont des verbes neutres, et non des verbes actifs. Ainsi le verbe
ou soufferte ; par conséquent ils sont des verbes neutres, et non des verbes actifs. Ainsi le verbe neutre est immuable de sa
quent ils sont des verbes neutres, et non des verbes actifs. Ainsi le verbe neutre est immuable de sa nature ; et le verbe ac
erbes actifs. Ainsi le verbe neutre est immuable de sa nature ; et le verbe actif peut être changé en passif, sans que, pour
rammairiens, empruntant le langage de la philosophie, ont dit que les verbes proprement actifs signifient une action, à laquel
ce qui peut empêcher les jeunes gens de confondre ces deux espèces de verbes , voici un moyen facile et sûr de les distinguer.
s de verbes, voici un moyen facile et sûr de les distinguer. Quand un verbe peut recevoir après lui les mots quelqu’un, quelq
r quelque chose. En expliquant ainsi la différence qu’il y a entre un verbe actif et un verbe neutre, je n’ai fait que suivre
n expliquant ainsi la différence qu’il y a entre un verbe actif et un verbe neutre, je n’ai fait que suivre le sentiment de t
ux et inadmissible le principe, d’après lequel Wailly prétend que les verbes nuire, médire, parler, danser, jouer, partir, ven
verbes nuire, médire, parler, danser, jouer, partir, venir, sont des verbes actifs. Je dois dire également ici que la définit
On y parle des justes comme de Dieu, et du fer comme de l’aimant. Les verbes qui ne peuvent être accompagnés que du pronom il,
impersonnels : = il faut : il importe : il pleut : il neige, etc. Verbes être et avoir. Nous avons dans notre Langue de
e, etc. Verbes être et avoir. Nous avons dans notre Langue deux verbes qui méritent ici une observation particulière : c
ux verbes qui méritent ici une observation particulière : ce sont les verbes être et avoir. Le premier signifie en lui-même ex
i sont, et qui seront. Mais dans sa signification la plus étendue, ce verbe n’exprime point d’action ; et les Grammairiens l’
, ce verbe n’exprime point d’action ; et les Grammairiens l’appellent verbe substantif. Un de ses principaux usages est de si
eux de pouvoir être les pères des pauvres. Je remarquerai ici que les verbes devenir, paraître, sembler, etc., servant à ce mê
rbes devenir, paraître, sembler, etc., servant à ce même usage que le verbe être, sont aussi regardés comme des verbes substa
vant à ce même usage que le verbe être, sont aussi regardés comme des verbes substantifs. Le verbe avoir signifie en lui-même
e le verbe être, sont aussi regardés comme des verbes substantifs. Le verbe avoir signifie en lui-même posséder ; et en ce se
eur a de grandes terres : = vous avez une belle bibliothèque. Mais ce verbe est plus généralement employé à un autre usage. I
est plus généralement employé à un autre usage. Il sert ainsi que le verbe être, à conjuguer en grande partie tous les autre
ous les autres ; et c’est pour cette raison que l’on appelle ces deux verbes , auxiliaires. Modes et temps du verbe. Tous
n que l’on appelle ces deux verbes, auxiliaires. Modes et temps du verbe . Tous les verbes ont différentes terminaisons
ces deux verbes, auxiliaires. Modes et temps du verbe. Tous les verbes ont différentes terminaisons ou variations finale
pensâtes ; ils pensèrent, etc. Assembler toutes les terminaisons d’un verbe , c’est le conjuguer. En le conjuguant, on exprime
t les personnes. J’ai déjà parlé des personnes : les nombres dans les verbes sont les mêmes que ceux des noms. Il n’y a propre
connaître ces divers temps, ainsi que les modes, je vais conjuguer un verbe , en plaçant la définition de chaque temps, à côté
n de chaque temps, à côté de ce même temps conjugué. Je joindrai à ce verbe les deux auxiliaires avoir, être. PREMIER MODE.
s ni personnes. En l’employant on fait entendre la signification d’un verbe d’une manière seulement générale. Présent. Le pr
re seulement générale. Présent. Le présent est toujours précédé d’un verbe , et se rapporte au temps marqué par ce verbe : =
st toujours précédé d’un verbe, et se rapporte au temps marqué par ce verbe  : = j’entends, j’ai entendu, j’entendrai votre fr
i votre frère chanter. Participe. Le participe a la signification du verbe , et de plus est souvent employé comme adjectif :
bien émondés. Parfait. Le parfait désigne un temps passé, relatif au verbe qui le précède : = vous paraissez avoir étudié vo
érondif présent se rapporte, comme le présent, au temps marqué par le verbe dont il est précédé : = il va, il est allé, il ir
our l’un que pour l’autre : = croyez-vous que votre frère vienne ? Le verbe vienne marque un présent, si l’on veut dire que v
ue vous eussiez blâmé. eu. été. qu’ils eussent blâmé. eu. été. Ce verbe , que je viens de conjuguer, est actif. Pour en av
r le passif, il ne faudrait que mettre son participe (blâmé) après le verbe être dans tous ses temps : = je suis blâmé ; j’ét
emps : = je suis blâmé ; j’étois blâmé ; je serai blâmé, etc. Ce même verbe serait réciproque, si on le conjuguoit avec deux
blâmerai, etc. Alors plusieurs de ses temps se conjugueraient avec le verbe être. Ainsi, dans l’infinitif, le parfait serait,
plus-que-parfait, que je me fusse blâmé. Diverses conjugaisons des verbes . Tous les verbes ne se conjuguent pas de la mê
e je me fusse blâmé. Diverses conjugaisons des verbes. Tous les verbes ne se conjuguent pas de la même manière. Cette di
férence qui se trouve dans les terminaisons de toutes les parties des verbes , et principalement dans celle de l’infinitif. Les
de l’infinitif. Les différentes terminaisons de l’infinitif dans les verbes , se réduisent à quatre, qui forment autant de con
quatre, qui forment autant de conjugaisons. La première comprend les verbes , dont l’infinitif est terminé en er, = aimer. La
me, ceux dont l’infinitif est terminé en re, = rendre. On voit que le verbe que j’ai conjugué, est de la première conjugaison
parfait de l’indicatif, du futur simple, et des temps qui prennent le verbe avoir, parce que tous ces temps se conjuguent de
différences dans cette même conjugaison ; c’est-à dire, qu’outre les verbes en ir, qui sont entièrement semblables à celui qu
ons différentes aux mêmes temps et aux mêmes personnes. Tels sont les verbes suivants. INFINITIF Présent. sentir. tenir. co
distinguer, et qu’on distingue en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’on appelle verbes simples, d’autres qu’on appe
distingue en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’on appelle verbes simples, d’autres qu’on appelle verbes composés.
l y a des verbes qu’on appelle verbes simples, d’autres qu’on appelle verbes composés. Les verbes simples sont ceux qui serven
n appelle verbes simples, d’autres qu’on appelle verbes composés. Les verbes simples sont ceux qui servent à en former d’autre
s. Les verbes simples sont ceux qui servent à en former d’autres. Les verbes composés sont ceux qu’on forme d’un verbe simple,
à en former d’autres. Les verbes composés sont ceux qu’on forme d’un verbe simple, en y ajoutant une ou plusieurs syllabes.
labes. Ainsi, permettre, promettre, commettre, compromettre, sont des verbes composés du verbe mettre. Formation des temps
ttre, promettre, commettre, compromettre, sont des verbes composés du verbe mettre. Formation des temps et leurs terminais
. Formation des temps et leurs terminaisons. Les temps dans les verbes sont également simples ou composés. Les temps sim
sés. Les temps simples sont ceux qui n’empruntent aucun des temps des verbes auxiliaires, avoir, être ; = je finissais ; = il
emps composés sont, au contraire, formés de quelque temps de ces deux verbes auxiliaires et du participe : = j’avais fini ; =
ître. Paru. Paraissant. Je parais. Je parus. Pour savoir conjuguer un verbe régulier, il suffit d’en connaître les cinq temps
aisons propres aux temps simples : elles sont les mêmes dans tous les verbes . Du présent de l’infinitif on forme le futur en c
rait ; nous finirions ; vous finiriez ; ils finiraient. Cependant les verbes dont l’infinitif est en enir et en voir, font au
rticipe on forme tous les temps composés, en y joignant les temps des verbes avoir ou être ; = j’ai aimé ; = je suis tombé. Le
ermine par une voyelle, on ajoute un t avec un trait d’union entre le verbe et le pronom ; = aime-t-il l’étude ? viendra-t-on
il devînt ; nous devinssions ; vous devinssiez ; ils devinssent. Verbes irréguliers, et verbes défectueux. Un verbe, d
sions ; vous devinssiez ; ils devinssent. Verbes irréguliers, et verbes défectueux. Un verbe, dont les cinq temps prim
ils devinssent. Verbes irréguliers, et verbes défectueux. Un verbe , dont les cinq temps primitifs se terminent de la
t suivant les règles que je viens d’exposer succinctement, est appelé verbe régulier. Un verbe au contraire, dont les temps p
s que je viens d’exposer succinctement, est appelé verbe régulier. Un verbe au contraire, dont les temps primitifs ne se term
utres temps ne se forment pas suivant les règles communes, est appelé verbe irrégulier. Celui auquel il manque certains temps
ins temps, ou certaines personnes que l’usage n’admet pas, est appelé verbe défectueux. Je crois qu’il serait superflu de con
défectueux. Je crois qu’il serait superflu de conjuguer ici tous les verbes de ces deux dernières espèces. Il suffira de dire
u’il est suivi de en ; va-t-en. Les temps composés se forment avec le verbe être et le participe allé, lorsqu’ils marquent qu
ls marquent qu’on n’est plus dans cet endroit, ils se forment avec le verbe avoir et le participe été. Alors il fait au parfa
gne, signifie qu’il en est revenu. Je dois observer ici que, quand ce verbe se conjugue avec un second pronom personnel et la
nom personnel et la particule en, cette particule précède toujours le verbe être dans les temps composés : s’en être allé : s
sont pas usités. Quérir, n’a que le présent de l’infinitif avec les verbes aller, venir, envoyer : = aller quérir quelqu’un.
érons, ils acquièrent. Futur, j’acquerrai, etc. Mais conquérir, autre verbe composé, ne s’emploie bien qu’au présent de l’inf
u croi. Accroire, son composé, ne s’emploie qu’à l’infinitif, avec le verbe faire : = vous voudriez m’en faire accroire. Dir
d, nous moulons, etc. Paître, se conjugue comme repaître, qui est un verbe régulier. Mais il n’a ni participe (par conséquen
, absous, qu’il absolve, et au subjonctif présent, que j’absolve. Ces verbes n’ont ni parfait défini, ni imparfait du subjonct
is, je survéquis. Il faut dire, je vécus, je survécus. Emploi des verbes avoir et être. J’ai déjà dit que les verbes av
rvécus. Emploi des verbes avoir et être. J’ai déjà dit que les verbes avoir et être servent à conjuguer, en grande part
ieu de dire quel est l’emploi de ces deux auxiliaires. On a vu que le verbe avoir est employé dans ses propres temps composés
dans ses propres temps composés ; j’ai eu, j’avais eu ; dans ceux du verbe être ; j’eus été, j’aurais été, et dans ceux de t
eux du verbe être ; j’eus été, j’aurais été, et dans ceux de tous les verbes actifs. Il est aussi employé dans les temps compo
ctifs. Il est aussi employé dans les temps composés de la plupart des verbes neutres : = il a dormi ; ils avaient soupé ; nous
i ; ils avaient soupé ; nous aurions parlé ; vous avez couru, etc. Le verbe être sert, comme je l’ai déjà dit, à conjuguer le
uru, etc. Le verbe être sert, comme je l’ai déjà dit, à conjuguer les verbes passifs dans tous les temps. Il sert aussi à conj
s les temps. Il sert aussi à conjuguer les temps composés de quelques verbes neutres, tels que aller, arriver, choir, déchoir,
’avoir point contrevenu, n’être point contrevenu à la loi. Il y a des verbes neutres, qui, comme ces derniers, se conjuguent i
ouché plusieurs dames. Accroître, cesser, descendre, monter, sortir, verbes neutres, sont quelquefois employés comme verbes a
ndre, monter, sortir, verbes neutres, sont quelquefois employés comme verbes actifs ; et alors ils doivent se conjuguer avec a
sorti votre ami d’une affaire bien désagréable. Il en est de même du verbe échapper, lorsqu’il signifie éviter : = nous avon
ssé parmi de nouveaux factieux. Il fallait dire avait passé. Quand ce verbe n’est pas suivi d’un nom, il prend être : = l’arm
ou il est passé. Rester, prend toujours, comme je l’ai déjà dit, le verbe être. Ne dites donc pas, avec deux écrivains mode
it dire : est resté : être restés. Voici une règle pour connaître les verbes neutres qui prennent, dans leurs temps composés,
, l’auxiliaire être, et ceux qui prennent avoir. Si le participe d’un verbe neutre peut être joint à un substantif, ce verbe
Si le participe d’un verbe neutre peut être joint à un substantif, ce verbe se conjugue avec l’auxiliaire être. On dit, je su
e participe, au contraire, ne peut pas être joint à un substantif, le verbe se conjugue avec l’auxiliaire avoir. On dit, j’ai
Mais si l’on dit, il faut s’occuper utilement, la signification de ce verbe sera modifiée, ou déterminée, par l’adverbe utile
rbe : = Vous êtes mis trop richement. Mais il modifie plus souvent le verbe que les autres mots ; et c’est pour cette raison
ace d’un nom, en rappelle l’idée, et en fait éviter la répétition. Le verbe exprime une action produite par un principe spiri
4 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Analyse grammaticale » p. 61
ocatif. quel. Adj. indéfini, m. sing., se rapportant à empire. est. Verbe être, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif ;
v., formant avec les mots de vertus le complément ou régime direct du verbe doivent. de. Préposition. vertus. Nom com. f. p
du sing., désignant la religion, et complément ou régime indirect du verbe doivent. doivent. Verbe actif, 3e pers. du plur.
eligion, et complément ou régime indirect du verbe doivent. doivent. Verbe actif, 3e pers. du plur. du prés de l’indicat. du
nt. doivent. Verbe actif, 3e pers. du plur. du prés de l’indicat. du verbe devoir, 3e conjugaison. les. Article m. plur. se
plur. se rapportant a humains. humains. Nom com. m. plur., sujet du verbe doivent. Oh ! Interjection. qu’il. Pour que il.
ux. il. Pron. pers 3e pers. du sing. désignant le mortel et sujet du verbe est. est. Verbe être 3e pers. du sing. du prés.
rs 3e pers. du sing. désignant le mortel et sujet du verbe est. est. Verbe être 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif ;
mortel. Adj. pris substantivement, m. sing. ; répétition du sujet du verbe est. qui. Pron. relatif m. sing., ayant pour ant
Pron. relatif m. sing., ayant pour antécédent le mortel, et sujet du verbe trouve. pénétré. Participe adj., venant du verbe
mortel, et sujet du verbe trouve. pénétré. Participe adj., venant du verbe pénétrer, et au m. sing. parce qu’il se rapporte
limes. Adj. qualificatif, f. plur., se rapportant à vérités. trouve. Verbe actif, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif
s. trouve. Verbe actif, 3e pers. du sing. du prés. de l’indicatif du verbe trouver, 1re conjugaison. sans cesse. Locution a
e conjugaison. sans cesse. Locution adverbiale, modifiant le sens du verbe trouve. dans. Préposition. ton. Adj. possessif
formant, à l’aide de la prépos. de, un complém. ou régime indirect du verbe trouve. un. Adj. numéral card. m. sing., détermi
nant asile. asile. Nom com. m. sing., complément ou régime direct du verbe trouve. contre. Préposition. le. Art. m. sing.,
t, à l’aide de la prépos. contre, un complément ou régime indirect du verbe trouve. et. Conjonction, liant le complément ou
nt refuge. refuge. Nom com. m. sing., complément ou régime direct du verbe trouve. contre. Préposition. le. Art. m. sing.,
l’aide de la préposition contre, un complément ou régime indirect du verbe trouve.
5 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
arcs-en-ciel.   117. — Quand il est composé d’une préposition ou d’un verbe et d’un nom, le nom seul prend la marque du pluri
peu de, etc. Les noms partitifs, suivis d’un nom pluriel, veulent le verbe et l’adjectif au pluriel. Exemples : La plupart
belles maisons. Pronoms. 124. — Vous, employé pour tu, veut le verbe au pluriel, mais l’adjectif suivant reste au sing
, la sœur, les hommes : au lieu que le pronom est toujours joint à un verbe , comme je le connais, je la respecte, je les esti
end ni genre ni nombre, quand il tient la place d’un adjectif ou d’un verbe . Par exemple : si l’on disait à une dame, Madame,
autres autant qu’on le peut ; je mets le, parce qu’il se rapporte au verbe accommoder.   127. — N’employez le pronom soi qu’
je m’applique, mais auxquelles je m’applique.   132. — Ce, devant le verbe être, veut ce verbe au singulier, excepté quand i
auxquelles je m’applique.   132. — Ce, devant le verbe être, veut ce verbe au singulier, excepté quand il est suivi de la tr
z pas vous enorgueillir. Si le nom n’est placé qu’après le que et le verbe , alors il faut écrire en deux mots séparés quel o
euse. On ne dit plus : un chacun, un quelqu’un. Remarques sur les verbes . 137. — Le sujet, soit nom, soit pronom, se pl
verbes. 137. — Le sujet, soit nom, soit pronom, se place après le verbe , 1° quand on interroge. Exemples : Que penseront
pas sage ? Irai-je ? Viendras-tu ? Est-il arrivé ?   138. — Quand le verbe qui précède il, elle, on, finit par une voyelle,
mens ? Est-ce que je dors ?   139. — Le sujet se met encore après le verbe , 1° quand on rapporte les paroles de quelqu’un. E
xemples : tel était son avis ; ainsi mourut cet homme. 3° — Après les verbes impersonnels. Exemple : Il est arrivé un grand ma
ne passée, etc.   142. — A quel temps du subjonctif faut-il mettre le verbe qui suit la conjonction que ? (Quand elle régit c
n que ? (Quand elle régit ce mode.) Première règle. Quand le premier verbe est au présent ou au futur, mettez au présent du
est au présent ou au futur, mettez au présent du subjonctif le second verbe qui est après que. Exemples : Il faut, Il faudra
a……… que vous soyez plus attentif. Deuxième règle. Quand le premier verbe est à l’un des passés, mettez le second verbe à l
règle. Quand le premier verbe est à l’un des passés, mettez le second verbe à l’imparfait du subjonctif. Exemples : Il falla
149. — Règle. Un nom peut être régi par deux adjectifs, ou par deux verbes à la fois, pourvu que ces adjectifs et ces verbes
ectifs, ou par deux verbes à la fois, pourvu que ces adjectifs et ces verbes ne veuillent pas un régime différent. Exemples :
 : cet officier attaqua et se rendit maître de la ville, parce que le verbe attaquer ne peut régir de la ville. 1. Excepté
6 (1853) Éléments de la grammaire française « Table des matières. »
Lettre k 4 Lettre y 3 Lettres 3 Locutions vicieuses 65 Modes des verbes 16 Mots 3 Mots dans lesquels la lettre k est as
— propre 5 — formation du pluriel 5 Nombre 5 Nominatif ou sujet du verbe 30 Noms et adjectifs de nombre 10 Orthographe 5
ographe 52 — des adverbes 54 — des noms 52 — des pronoms 56 — des verbes 54 Parenthèse 58 Participe 38 Participe passé
nis 45 — interrogatifs 14 — personnels 11 — relatifs 14 Régime du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres
ogatifs 14 — personnels 11 — relatifs 14 Régime du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes
11 — relatifs 14 Régime du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes passifs 33 — des verbes
e du verbe 30 — des verbes actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes passifs 33 — des verbes réfléchis 37 Remarques
es actifs 30 — des verbes neutres 35 — des verbes passifs 33 — des verbes réfléchis 37 Remarques particulières sur chaque
prépositions 54 — sur les pronoms 47 — sur le régime 52 — sur les verbes 50 Subjonctif 16 Sujet ou nominatif du verbe 30
régime 52 — sur les verbes 50 Subjonctif 16 Sujet ou nominatif du verbe 30 Système métrique 69 Tables de multiplication
n 72 Tableau des temps primitifs 96 Tableau des temps primitifs des verbes irréguliers 98 Temps des verbes 16 Temps dérivé
96 Tableau des temps primitifs des verbes irréguliers 98 Temps des verbes 16 Temps dérivés 32 — primitifs 25 Trait d’uni
bes 16 Temps dérivés 32 — primitifs 25 Trait d’union 58 Tréma 58 Verbe 15 — accord avec le sujet ou nominatif 30 — aux
be 15 — accord avec le sujet ou nominatif 30 — auxiliaire Avoir 17 Verbe auxiliaire Être 18 — première conjugaison 20 — 
7 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
ifice, Bâtit de ses cheveux l’élégant édifice. » Uti, se servir. Ce verbe , dans le sens ordinaire, n’a rien de remarquable.
s la Colchide. VIII Le nominatif s’emploie communément après le verbe esse et d’autres de signification analogue, comme
e, fieri, apparere, ainsi qu’après les infinitifs passifs de certains verbes , comme dici, appellari, haberi, existimari, vider
ri, existimari, videri, etc., surtout si ces infinitifs dépendent des verbes volo, nolo, malo, possum, debeo, cupio, soleo, st
tel que vous avez voulu que je sois. Cependant, si le sujet des deux verbes n’était pas le même, ou s’il y avait dans la seco
dix vaisseaux. XII Le génitif est d’un usage habituel après les verbes qui expriment le souvenir ou l’oubli, quand le ré
tiques. XIII Le génitif s’emploie mieux que l’ablatif après les verbes qui signifient accuser, condamner, absoudre, conv
légamment après les interjections o, heu, eheu, comme complément d’un verbe sous-entendu. Ex. : Heu me miserum ! (sous-ent. s
mmes ! XVII L'accusatif a une grâce particulière après certains verbes neutres employés dans un sens actif. Tels sont :
ue. Les bons auteurs ont donné quelquefois pour complément à certains verbes intransitifs le substantif formé de la même racin
ains verbes intransitifs le substantif formé de la même racine que le verbe , ou quelque autre de signification analogue, par
pauca, multa, etc., se construisent élégamment avec un bon nombre de verbes intransitifs (on sous-entend ad ou secundùm). Ex.
satif le nom qui désigne la partie à laquelle se rapporte l’action du verbe . Ainsi ils disent : Fractus membra labore, ayant
ée d’iambes. XX Nous avons vu dans la grammaire que beaucoup de verbes intransitifs deviennent transitifs en composition
admettre généralement que l’accusatif ne s’emploie guère qu’avec les verbes composés des cinq prépositions circum, per, præte
itifs, comme adire, subire, aggredi, convenire, etc. Quant aux autres verbes , ils se construisent communément avec le datif ou
son complément (le plus souvent c’est la préposition comprise dans le verbe ). Ex. : Succurritis urbi incensæ, vous secourez u
ieds de César. (Voir notre grammaire, page 227.) Remarque. Après les verbes qui expriment une idée de séparation, d’éloigneme
itions a ou ab, è ou ex et de, quand elles sont déjà énoncées dans le verbe . Ainsi l’on dit : abire oppido, s’éloigner de la
r, l’amitié n’est exclue d’aucun lieu. Il faut excepter cependant les verbes avertere, alienare, deterrere, éloigner, détourne
ois on peut établir comme principe que les adjectifs qui viennent des verbes et qui expriment une disposition habituelle de l’
XXIX Ipse, ipsa, ipsum, construit avec un pronom complément du verbe , s’accorde avec le sujet, quand c’est l’idée expr
ent. XLI Le relatif qui, quœ, quod, suivi d’un substantif et du verbe esse, ou des verbes qui signifient nommer, appele
elatif qui, quœ, quod, suivi d’un substantif et du verbe esse, ou des verbes qui signifient nommer, appeler, tenir pour, s’acc
ifs tanti, quanti, pluris, minoris se construisent élégamment avec le verbe esse pris dans le sens de valoir. Ex. : Mea consc
discours des hommes. ARTICLE III. du choix et de l’élégance des verbes . I Le verbe sum se construit très-élégamm
ARTICLE III. du choix et de l’élégance des verbes. I Le verbe sum se construit très-élégamment au lieu du verbe
erbes. I Le verbe sum se construit très-élégamment au lieu du verbe habere, avoir, et des impersonnels il y a, il y a
nihil mihi longiùs est, fuit eâ mente, eâ sapientiâ, etc. II Le verbe sum construit avec deux datifs a une grâce partic
iens. Cette tournure élégante est aussi d’un usage fréquent avec les verbes dare, vertere, tribuere, habere, ducere, etc. Ex.
tellus et ce qui fait aujourd’hui sa plus grande gloire. III Le verbe sum construit avec le participe futur en dus, da,
up plus élégant et plus conforme au génie de la langue latine que les verbes debere, oportere ; à moins toutefois que ces verb
ue latine que les verbes debere, oportere ; à moins toutefois que ces verbes ne soient employés impersonnellement et suivis d’
Catilina, que le consul aurait dû te livrer au supplice. IV Le verbe soleo suivi d’un infinitif se construit élégammen
que l’on ne peut vivre heureux, si l’on ne vit vertueux. VII Le verbe aimer ayant pour complément le nom d’une chose qu
Je n’aime pas du tout l’état actuel de notre république. De même, les verbes fugere, fuir ; fallere, tromper ; præterire, pass
mieux mourir, s’écria-t-il, que de vivre plus longtemps. IX Le verbe pouvoir et d’autres de signification analogue se
agitur, paries quùm proximus ardet. Virg. XI Dans le choix des verbes , il faut préférer ceux qui font image, surtout qu
s usitée et plus conforme au génie de cette langue, surtout après les verbes qui expriment une idée de volonté, de commandemen
ans les fers et condamner au dernier supplice ? XIII Au lieu du verbe impersonnel videtur, il semble, il paraît, suivi
sur vous un pareil language. Il en est ainsi généralement des autres verbes transitifs qui se traduisent en français par le p
phe Platon vécut dans une très-grande médiocrité. XIV Plusieurs verbes intransitifs s’emploient élégamment à la voix pas
nt à l’imparfait, au parfait et au plus-que-parfait de l’indicatif le verbe qui devrait se mettre au conditionnel en français
uction, qui donne plus d’énergie à la pensée, a lieu surtout avec les verbes debeo, oportet, necesse est, fas est, æquum est,
à nos pères une telle pensée. Cette construction a lieu aussi avec le verbe esse suivi du participe futur actif ou passif. Ex
ntre les temps du subjonctif, dans les phrases conditionnelles. Si le verbe énonce une idée qui puisse ou qui doive se réalis
verbe énonce une idée qui puisse ou qui doive se réaliser, on met ce verbe au présent ou au parfait du subjonctif. Ainsi, qu
ait ne pouvait se réaliser, s’il n’était pas possible, on mettrait le verbe à l’imparfait ou au plus-que-parfait. Si donc je
 ! XX Quand, dans une proposition incidente, on doit répéter le verbe qui est à l’infinitif, il est quelquefois plus él
avec le subjonctif ; on doit même suivre cette construction quand le verbe latin n’a pas de supin, ou qu’il est peu usité à
’emploient élégamment : 1° Au lieu de l’infinitif français, après les verbes videre, audire, sentire, et autres de significati
ngeant. III Le participe passé se construit élégamment avec les verbes volo, nolo, malo, cupio, oportet, etc., pour trad
beratum cupio. Je désire vous délivrer de ce soin. IV Après les verbes habeo, teneo, possideo, et d’autres que l’usage a
itions en une seule, ou le participe passé français avec le régime du verbe . Ex. : Intereà legati (Germanicum) regressum jam
ient se commettre les plus grands crimes. Il s’emploie aussi avec les verbes de mouvement pour exprimer le but, l’intention, l
s d’après leurs actions et non d’après leurs paroles. XII Si le verbe français n’avait pas de régime dont on pût faire
le verbe français n’avait pas de régime dont on pût faire le sujet du verbe latin, il faudrait se servir du mode impersonnel
Ce participe futur, au genre neutre, est fort élégant, même dans les verbes intransitifs. Ex. : Utendum est exercitationibus
lâ benefaciendi licentiâ ? Tac. La même construction a lieu après les verbes curare, avoir soin, dare, donner, et d’autres que
t fort rare ; on y supplée par le participe en dus, da, dum, quand le verbe a un complément. Ex. : Sunt nonnulli acuendis pue
Il y a des jeux propres à exercer l’esprit des enfants. 2° Après les verbes , pour exprimer l’intention (c’est alors un datif
le jeu. Remarque. La préposition inter se construit surtout avec les verbes neutres : inter eundum, inter bibendum. XVII
ou même le subjonctif avec ut, ou un pronom relatif, surtout quand le verbe qui devrait se mettre au supin ne suit pas immédi
e qui devrait se mettre au supin ne suit pas immédiatement le premier verbe . Ainsi, au lieu de dire : Scipio et Lælius ex urb
entu, memoratu, que l’on met bien après les mots fas, nefas, opus, le verbe pudet et les adjectifs qui signifient bon ou mauv
c. Veuillez, je vous prie, m’oublier un instant. VIII Après les verbes dicere, scribere, memorare, etc., il faut se serv
o quidem) se met bien au commencement d’une phrase, surtout devant un verbe à la première personne. Ex. : Equidem doleo te hi
ontinuò, perpetuò, etc., il est souvent plus élégant de se servir des verbes soleo, non cesso, non desino. Ex. : Aut nugari, a
, signifie devant, et se construit ordinairement avec un pronom et un verbe de mouvement. Ex. : Singulos præ se inermes mitte
fie devant, à côté de, le long de, et s’emploie ordinairement avec un verbe de mouvement. Ex. : Amnis præter ipsa urbis mœnia
ie, ou qui jouent le même rôle dans une phrase, comme les sujets, les verbes et les attributs multiples. Ex. : Vir bonus hones
duite. XVIII Quand deux propositions négatives n’ont qu’un seul verbe , on supprime élégamment la seconde négation dans
s les adjectifs démonstratifs hoc, id, illud, qui se placent avant le verbe principal. Ex. : Hoc natura non patitur, ut alior
afin que, se sous-entend quelquefois d’une manière élégante après les verbes qui expriment un souhait, un désir. Ex. : Sic vel
rs à commettre la faute ? X Quin employé seul, avec ellipse du verbe , et signifiant même, plutôt, bien plus, a une grâ
on se sert plus fréquemment de quominùs (pour ut eo minùs) après les verbes qui expriment une idée d’opposition, d’obstacle,
grammaire que le si conditionnel se construit avec le futur, quand le verbe de la proposition principale est au futur. A cet
futur. A cet égard, deux choses sont à remarquer : 1° Si l’action du verbe construit avec si est antérieure à celle du verbe
: 1° Si l’action du verbe construit avec si est antérieure à celle du verbe principal, on mettra ce verbe au futur antérieur.
truit avec si est antérieure à celle du verbe principal, on mettra ce verbe au futur antérieur. Ex. : Id si feceris, gratissi
vent être simultanées, il sera plus élégant de mettre l’un et l’autre verbe au futur antérieur. Ex. : Si mihi confestim rescr
vous ne craignez pas les hommes, au moins craignez Dieu. XV Les verbes de doute, comme dubito, nescio, haud scio, se con
était simplement ajoutée pour exprimer le sentiment de l’écrivain, le verbe se mettrait alors au mode indicatif. Ainsi l’on d
8 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE III. Règles particulières de la quantité. » pp. 274-294
roissement de syllabes qui a lieu dans les noms, les adjectifs et les verbes . Iter, itineris ; miser, miserorum ; lego, legeba
tem ruptis fornacĭbus Ætnam. PARAGRAPHE II. créments dans les verbes . Pour connaître les créments dans les verbes,
créments dans les verbes. Pour connaître les créments dans les verbes , il faut comparer le nombre des syllabes de la se
’indicatif présent avec le nombre de syllabes des autres personnes du verbe . Autant il y aura de syllabes de plus, autant il
donc trois créments, ge, re et mi. Pour trouver le crément dans les verbes déponents, on leur suppose une seconde personne d
nq ; il y a donc deux créments : ta et ba. 1re règle. A crément des verbes est long : amāmus, audiebātis, monebātur, etc. E
escentem ornāte poetam. Exception. A est bref au premier crément du verbe dare et de ses composés : dămus, circumdăbant, et
long au second crément : dăbāmus, dăbātur. 2e règle. E crément des verbes est long : legēbam, monērem, docērëmur, scripsēru
e omnes, intentique ora tenēbant. Exceptions. E crément des verbes est bref : 1° dans les temps en ĕram, ĕro, ĕro,
e, à la troisième personne du pluriel des parfaits en ērunt, dans les verbes dederunt, steterunt, miscuerunt, et dans quelques
ans un vers, comme contŭlĕrunt, profŭĕrunt. 3e règle. I crément des verbes est bref, comme dans legĭmus,amabĭtis, etc. Exem
divos. Exceptions. I est long : 1° au premier crément des verbes de la quatrième conjugaison : audīmus, venītis 39
ce soit le premier ou le second crément. 3° au subjonctif présent des verbes volo, nolo, malo, sum et ses composés : velīmus,
fois, pour la facilité du vers, dans les finales en rimus, ritis, des verbes attributifs. Exemple : Accepisse, simul vitam dĕ
episse, simul vitam dĕdĕrītis in unda. Ov. 4e règle. O crément des verbes est long : estōte, legitōte, etc. Exemple : Ve
e senectæ. Ov. Il faut excepter la forme irrégulière fŏre, fŏrem, du verbe sum et de ses composés. 5e règle. U crément des
ŏre, fŏrem, du verbe sum et de ses composés. 5e règle. U crément des verbes est bref : sŭmus, volŭmus, etc. Exemple : Sic
suivi de deux consonnes, comme fĕfēlli, cŭcūrri, tĕtēndi. Les autres verbes conservent au parfait la quantité du présent : hă
3 e règle. Les supins en itum ont la pénultième longue dans les verbes qui ont le parfait en ivi, comme audītum, petītum
nt a final au vocatif : Orestes, vocat. Orestă.) 3° à l’impératif des verbes en āre : amāre, amā, laudāre, laudā 40. 4° dans l
les noms qui ont en grec un η, comme cetē, tempē. 3° à l’impér. des verbes en ēre, eo : monē, timē. Il est commun dans cav[A
[ATTcaractere], le[ATTcaractere], car[ATTcaractere], etc. 2° dans les verbes , aux personnes qui finissent en o : habe[ATTcarac
grec une finale longue. 3° à la deuxième personne du sing. indic. des verbes de la quatrième conjugaison, comme audīs, dormīs,
ans pr[ATTcaractere]curo, pr[ATTcaractere]pino, pr[ATTcaractere]pago ( verbe ) et Pr[ATTcaractere]serpina. 2° Des mots déri
. O final est bref dans egŏ et long dans εγώ ; il est commun dans les verbes latins, bien que, dans le grec, il y ait un oméga
ent même ils la supprimaient, comme il est facile de le voir dans les verbes contractes. Voilà pourquoi cette voyelle est le p
9 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
blies au début de la syntaxe. Ainsi, le sujet doit se mettre avant le verbe , celui-ci avant l’attribut. Si le sujet et l’attr
et de la domination, complément de troisième degré. Vient ensuite le verbe subegit, soumit ; verbe transitif, et par conséqu
mplément de troisième degré. Vient ensuite le verbe subegit, soumit ; verbe transitif, et par conséquent ayant ou pouvant avo
oumit quoi ? Romam, Rome, complément direct qui suit immédiatement le verbe . — A quoi ? — imperio suo, à son empire, compléme
q éléments principaux : un sujet qui fait ou qui souffre l’action, un verbe qui exprime cette action, un complément direct, u
e sentir davantage. Si l’objet principal est l’action exprimée par le verbe , il faudra que celui-ci occupe le premier rang. C
rdinairement plus que la cause, ce complément doit se placer avant le verbe , comme nous le voyons dans les exemples suivants 
rce que le complément circonstanciel rarissimâ moderatione modifie le verbe invenisse, tandis qu’il doit modifier le verbe ma
moderatione modifie le verbe invenisse, tandis qu’il doit modifier le verbe maluit. Il faut dire avec Tacite, en commençant p
le plus les oreilles de ceux qui écoutent. C'était le plus souvent le verbe , ou d’autres mots agréables à entendre et nécessa
frappé tout d’abord par la mise en scène de l’objet principal, si le verbe , ou d’autres mots essentiels sont renvoyés à la f
syllabes, les comparatifs et les superlatifs, mais principalement les verbes , à raison de leur nombre et de leur finale sonore
idées qu’ils renferment excitent plus vivement l’attention. Quant aux verbes , nous voyons le premier, contineat, mis à la fin
’intérêt ou l’harmonie n’exigent pas une autre disposition. Le second verbe , præstat, est placé avant son complément indirect
e disposition est due surtout à l’harmonie, afin qu’il n’y ait pas un verbe à la fin de chaque proposition ; ce qui serait mo
ésagréable à entendre. Dans la quatrième et dernière proposition, le verbe patitur est mis en dernier lieu ; il est précédé
cond par le sujet animos, pour éviter la suite immédiate de plusieurs verbes . Soit cette autre phrase : Ut igitur ii qui sunt
ermine le sens : qui sunt in, etc. Dans cette seconde proposition, le verbe suit immédiatement le sujet, tandis que l’attribu
rime une idée principale, ressort bien à la fin de la proposition. Le verbe exæquare, qui fait suite à la proposition princip
rme ; il est suivi de ses compléments direct et indirect, et enfin du verbe debent, qui termine agréablement la première part
est disposée d’une manière analogue. Dans la première proposition, le verbe debent est sous-entendu, parce qu’il vient d’être
compléments indirect et circonstanciels viennent ensuite, et enfin le verbe supérari, qui finit la phrase d’une manière très-
ussi le plus souvent avant le mot qui les régit, entre le sujet et le verbe , quand la phrase n’a pas trop d’étendue et qu’il
Le relatif qui, quæ, quod, étant au nominatif, se met bien avant le verbe , à la suite de son antécédent exprimé ou sous-ent
approuvées de tout le monde. ARTICLE IV. de la disposition des verbes . I L'usage ordinaire des bons écrivains,
est de mettre le sujet au commencement de la phrase et de renvoyer le verbe à la fin, en plaçant entre les deux tous les mots
crédit et de ses largesses. Remarque. Cette disposition du sujet, du verbe et de leurs compléments, — le premier au commence
e l’esprit du lecteur, et l’oblige de soutenir son attention jusqu’au verbe , qui est l’un des termes essentiels de la phrase.
dant la phrase était d’une grande longueur, ou s’il y avait plusieurs verbes à la suite les uns des autres, il faudrait éviter
rbes à la suite les uns des autres, il faudrait éviter de renvoyer le verbe principal à la fin, pour ne pas embrouiller le se
ntérêt ou l’harmonie du style exigent un ordre différent. II Le verbe sum a une grâce particulière au commencement de l
semble nous menacer tous, dans un désordre si universel. III Le verbe sum se met élégamment soit au commencement, soit
ux passés nous est agréable. IV Dans le milieu de la phrase, le verbe sum est plus élégant après les mots négatifs, apr
es maux à venir que les connaître. V Dans les temps composés du verbe sum et d’un participe, il est plus élégant de pla
osés du verbe sum et d’un participe, il est plus élégant de placer le verbe substantif le premier, et de le séparer par un ou
ant de mettre entre deux virgules, et dans le corps de la phrase, les verbes quœso, rogo, credo, fateor, et autres semblables.
es de quelqu’un, se met toujours après un ou plusieurs mots, et si ce verbes a un sujet, ce qui est très-rare, ce sujet se pla
ce, dit l’empereur Marc-Aurèle. VIII Les secondes personnes des verbes passifs ou déponents terminées en re sont quelque
adverbes. I Les adverbes se placent ordinairement auprès des verbes ou des adjectifs qu’ils modifient. exemple : Omn
adverbes qui ont une signification analogue, et qui modifient le même verbe , se placent bien à la suite l’un de l’autre. exem
a phrase, et se construit ordinairement avec la première personne des verbes . exemple : Equidem non video cur tam facilè iras
superari. Cic. (Ici la conjonction ut et le sujet ii sont séparés du verbe et de l’attribut par la proposition incidente qui
placent élégamment dans le corps de la phrase, immédiatement avant le verbe , quand la disposition des mots et l’euphonie le p
infinitifs negare et efficere ; l’esprit les demande. Aussi ces deux verbes figurent-ils à la tête des deux propositions suiv
chose glorieuse, cela me semblait trop pénible. Nam negare, voilà le verbe qui, renfermant l’idée principale, au point de vu
ion principale, sont groupées dans le centre de la phrase et avant le verbe videbatur, qui, étant mis à la fin, après ses mod
i affreux, la frayeur doit vous saisir. Il faut remarquer la force du verbe horresco. Ce n’est point une crainte ordinaire ;
10 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre XI. De l’orthographe. » pp. 53-58
ecture et le dictionnaire doivent en tenir lieu. Orthographe des verbes . Présent de l’indicatif. 157. — Singulie
nit ordinairement en t : je finis, tu finis, il finit. (Dans quelques verbes , la troisième personne se termine en d : il rend,
, ils devinssent. Remarquez que les secondes personnes plurielles des verbes ont ordinairement un z à la fin. Remarques su
s. 164. — Leur ne prend jamais s à la fin, quand il est joint à un verbe  ; alors il signifie à eux, à elles : ces enfants
ion : je vais à Paris ; on n’en met point sur a troisième personne du verbe avoir : il a de l’esprit.   169. — On met un acce
l’esprit.   169. — On met un accent circonflexe sur dû, participe du verbe devoir : rendez à chacun ce qui lui est, dû ; on
Du trait d’union. 171. —  Le trait d’union (-) se met entre le verbe etje, me, moi, toi, tu, nous, vous, il, ils, elle
, les, lui, leur, y, en, ce, on, quand ces mots sont placés après le verbe . Exemples :Irai-je ? ; viens-tu ? ; donnez-lui ;
11 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VI. Sixième espèce de mots.  » pp. 38-40
mots. Le participe. 84. — Le Participe est un mot qui tient du verbe et de l’adjectif, comme aimant, aimé : il tient d
qui tient du verbe et de l’adjectif, comme aimant, aimé : il tient du verbe , en ce qu’il en a la signification et le régime :
86. — Première règle. Le participe passé, quand il est accompagné du verbe auxiliaire être, s’accorde en genre et en nombre
sont tombées.   87. — Exception unique. Dans les temps composés des verbes réfléchis, le participe ne s’accorde pas avec son
88. — Deuxième règle. Mais quand le participe passé est accompagné du verbe auxiliaire avoir, il ne s’accorde jamais avec son
pe présent, certains adjectifs verbaux (c’est-à-dire qui viennent des verbes ). On dit : un homme obligeant, une femme obligean
12 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE I. De la propriété des mots. » pp. 2-8
, monument ; ornamentum (quod ornat), ce qui orne, ornement. Dans les verbes , la désinence llo marque un diminutif de l’action
du mot caput, première tête, ou le premier, le chef, le prince. — Le verbe fero, je porte, a formé plusieurs composés en se
rte-laine, brebis, est composé de gerere, porter, et lanam, laine. Le verbe eo, je vais, est un mot simple ; joignez-y différ
viennent à chacun d’eux et qu’il importe de bien remarquer. Ainsi les verbes amare et diligere expriment tous deux l’action d’
inables, et les temps, les nombres, les personnes, les modes dans les verbes  ; les autres spécificatives, servant à spécifier
t à former des dérivés de toute espèce : des noms, des adjectifs, des verbes , des adverbes, etc. Ainsi, pour revenir aux dériv
13 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « [6] » p. 
religieux délire.] Les lexiques ne citent pas un second exemple de ce verbe ἐξοργιάζω, et beaucoup d’interprètes l’entendent
p d’interprètes l’entendent dans le sens de calmer le délire. Mais le verbe ἐξοργίζω, qu’on trouve plus souvent, et, entre au
1848), s’accorde d’ailleurs et avec l’analogie grammaticale dans les verbes tels que ἐξαλλάττω, ἐξαϰολουθέω, ἐϰπίνω, έϰπίμπλη
14 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
ers hexamètre se termine quelquefois par deux monosyllabes, ou par le verbe est précédé d’une élision. Par exemple : Quōd sī
yllabe de ce dactyle deviendrait longue par position. Ainsi, après le verbe cōndĕrĕt, si l’on mettait muros au lieu de urbem,
un autre monosyllabe, comme ĕt vŏlŭīssĕ săt ēst, Ov. ; ou même par le verbe est précédé d’une élision : prōxĭmă s[ATTcaracter
tela, scandite muros. (Citi pour citò.) 3. Substitution des verbes . Dans un récit, les poëtes emploient souvent
sus cognoscere nostros. Ils construisent aussi avec l’infinitif des verbes qui devraient être au supin ou au gérondif en dum
t à l’imparfait, au parfait et au plus-que-parfait de l’indicatif des verbes qui devraient être au conditionnel en français.
; periculum pour periculum, vincla pour vincula, etc. ; soit dans les verbes , comme amârat pour amaverat, lenîbant pour lenieb
ots fluctus dividere, fendre les flots, il sera facile de voir que le verbe dīvĭdĕrĕ ne convient ni au sens, ni à la mesure.
re, qui ne conviennent pas mieux. Mais on n’aura qu’à se rappeler les verbes qui se combinent bien avec fluctus, et l’on trouv
, et l’on trouvera secare, scindere, findere, sulcare, verrere, etc., verbes qui expriment la même idée sous des images plus p
15 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IX. Neuvième espèce de mots.  » p. 44
plus petite proposition doit avoir au moins deux mots, le sujet et le verbe , comme je chante, vous lisez, l’homme meurt : sou
et le verbe, comme je chante, vous lisez, l’homme meurt : souvent le verbe a un régime, comme je chante un air, vous lisez u
s conjonctions. 106. — Parmi les conjonctions, les unes veulent le verbe suivant au subjonctif, les autres à l’indicatif.
16 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
na la pratique, alors très-générale, qui consistait à placer avant le verbe , comme régime direct ou indirect, les pronoms moi
xviie  siècle1 Quant à la suppression du pronom personnel, sujet du verbe , elle était universelle. Riche ne suys, certes j
a d’ouvrir notre recueil au hasard pour s’en assurer. — Même dans les verbes impersonnels, le neutre il s’effaçait d’ordinaire
ul et autre : « En ce livre n’avait seul grain de bon sens. » 7° Les verbes nous révèlent aussi le sentiment prolongé de leur
avec vitesse) parlait à l’imagination, et n’a pas laissé sa vertu au verbe sortir (sortiri). — Rober (voler) s’applique à un
r éloigné, dont le vague rappel chercherait aujourd’hui vainement son verbe définitif. — Enfin souloir (solere) a droit au mo
casion l’idiome du bon vieux temps, par exemple dans la formation des verbes , nous ne serons pourtant pas tentés de retrancher
poser, En retour, nous n’accolerons aucun préfixe parasite à d’autres verbes qui s’en décoraient jadis : engraver (graver), en
n vigueur l’usage qui donnait un sens réfléchi à toute une famille de verbes dépourvus de la forme pronominale : affaiblir, es
ner.  — D’autre part, il n’est point urgent de rendre pronominaux des verbes qui ont cessé de l’être, tels que : se sourire et
adjectifs ne nous dépaysent pas moins, soit que les uns se forment du verbe , comme le plonge (de plonger), le réclame (de réc
17 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
Romaine ? Ma reine, il faut partir. Les imparfaits du subjonctif des verbes de la première conjugaison offrant un son désagré
nom chacun employé avec un adjectif possessif veut cet adjectif et le verbe au singulier ; mais le poëte peut dire avec l'aca
atière d'écaille à cercles d'or, qui m'a coûté dix piastres. Quand le verbe a pour sujets des pronoms de différentes personne
rances s'évanouirent, mais encore sa fortune. Lorsque les sujets d'un verbe sont tous du singulier et qu'ils ne sont point li
ix, la liberté m'inspire. (Delille.) Dans la prose, le participe du verbe pronominal se plaire est invariable, parce que ce
participe du verbe pronominal se plaire est invariable, parce que ce verbe est formé d'un verbe neutre simple dont le partic
ronominal se plaire est invariable, parce que ce verbe est formé d'un verbe neutre simple dont le participe se construit avec
ticipe se construit avec l'auxiliaire avoir ; mais les participes des verbe se douter, se prévaloir et s'échapper, qui sont s
per, qui sont soumis aux lois de l'accord, étant également formés des verbes neutres simples, quelques grammairiens rendent au
simples, quelques grammairiens rendent aussi variable le participe du verbe se plaire quand ce verbe est réfléchi ; ils écriv
riens rendent aussi variable le participe du verbe se plaire quand ce verbe est réfléchi ; ils écrivent : la vigne s'est plue
est invariable, parce que le régime qui précède appartient au second verbe . » Oui, si le second verbe est actif, mais si le
le régime qui précède appartient au second verbe. » Oui, si le second verbe est actif, mais si le second verbe est neutre, le
second verbe. » Oui, si le second verbe est actif, mais si le second verbe est neutre, le poëte lui-même ne peut suivre cett
t neutre, le poëte lui-même ne peut suivre cette règle, parce que les verbes neutres n'ont pas de régime direct. Dans ce derni
tre vomi sur le rivage. 1. Expiré, dans le sens propre, se joint au verbe avoir, et la grammaire veut qu'on exprime ce verb
ropre, se joint au verbe avoir, et la grammaire veut qu'on exprime ce verbe avant le participe. 1. L'hyperbole peut aussi êt
18 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
amis ont déploré mes malheurs et mon affliction. III ellipse des verbes . Toute proposition se compose essentiellement
s. Toute proposition se compose essentiellement d’un sujet et d’un verbe . Si donc le verbe n’est pas exprimé, il faut en c
ition se compose essentiellement d’un sujet et d’un verbe. Si donc le verbe n’est pas exprimé, il faut en conclure qu’il est
be n’est pas exprimé, il faut en conclure qu’il est sous-entendu. Les verbes qui se sous-entendent le plus souvent sont : 1° L
ntendu. Les verbes qui se sous-entendent le plus souvent sont : 1° Le verbe esse entre le sujet et l’attribut, surtout dans l
omisi ultorem (sous-ent. me fore). J'ai promis d’être son vengeur. Le verbe esse se sous-entend aussi fréquemment après les p
Gardez-vous de dire que cela a été omis et passé sous silence. 2° Les verbes dicere, censere. Ex. : Quid multa ? quid plura ?
que disent les ignorants ; vous, philosophes, que dites-vous ? 3° Les verbes pertinet, refert, prodest, oportet. Ex. : Quid ad
habere). Mene incœpto desistere victam ? (Sous-ent. oportet). 4° Les verbes agere ou facere. Ex. : Quid aliud, quàm monemus c
actum est). Cette nuit on s’est contenté de faire bonne garde. 5° Les verbes orare, rogare, precari. Ex. : Per ego vos deos pa
Je vous en conjure, par la bonne foi des dieux et des hommes. 6° Les verbes ait, inquit, quand on cite les paroles d’un autre
Quand on sous-entend dans une ou plusieurs propositions le sujet, le verbe ou le complément de la même manière qu’ils ont dé
lucrum linguas, et prœpetis omina pennœ. Virg. Dans cette phrase, le verbe sentis est sous-entendu cinq fois. 2° Quand on so
ntis est sous-entendu cinq fois. 2° Quand on sous-entend le sujet, le verbe ou le complément, avec quelque changement soit da
tu sois d’une grande blancheur. Remarques. 1° Au lieu de répéter un verbe déjà exprimé, on le sous-entend le plus souvent d
par l’exemple de leurs vertus. 2° On sous-entend même quelquefois un verbe ayant un sens positif, après un verbe négatif. Ai
sous-entend même quelquefois un verbe ayant un sens positif, après un verbe négatif. Ainsi, dicere est quelquefois sous-enten
her nos préparatifs de guerre. 3° On sous-entend aussi l’infinitif du verbe principal, dans une proposition relative. Ex. : N
c. (Le nom propre Posthumius et le pronom is sont tous deux sujets du verbe negavit.) Erant omninò itinera duo, quibus itiner
ée. 2° Syllepse dans le nombre, quand le sujet est au singulier et le verbe au pluriel, et réciproquement. Ex. : Turba ruunt.
nombreuses. De même, quand on dit en grec : Τα ζῶα τρεχει, on met le verbe au singulier, parce que l’esprit perçoit une géné
parler, que plusieurs grammairiens ont cru qu’il y avait quantité de verbes ou d’adjectifs latins qui par eux-mêmes gouvernai
gures sont appelées tropes (du grec τρόπος, tour, changement, tiré du verbe τρἐπω, je tourne,) parce qu’elles consistent à ch
’avons point d’autre mot par lequel nous puissions exprimer l’idée du verbe ferrer. Quand Horace a dit : equitare in arundin
re, condere, abscondere, recondere, occulere, occultare. Tous ces verbes expriment une idée générale, celle de cacher ; ma
quis, qui que ce soit, diffère de quicumque en ce qu’il a toujours un verbe après lui. Quisquis est ille, si modò est aliquis
19 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
onséquent, ne faudra-t-il pas mettre nécessairement le sujet avant le verbe , le verbe avant son régime, l’antécédent avant so
ne faudra-t-il pas mettre nécessairement le sujet avant le verbe, le verbe avant son régime, l’antécédent avant son conséque
ançais, ce mot se décline, l’esprit le replace naturellement après le verbe qui exprime cette action. Il en est de même pour
uet déjà citée, qui reproduit si bien, par la hardie transposition du verbe et par le poids de toute la phrase la formidable
, le scrupule de ceux qui veulent que le nom marche toujours avant le verbe , le verbe avant l’adverbe, le substantif avant l’
ule de ceux qui veulent que le nom marche toujours avant le verbe, le verbe avant l’adverbe, le substantif avant l’adjectif e
20 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
ans, vieux cerf et de dix cors… 2. Arrêter se prenait alors comme verbe neutre pour s’arrêter ; et c’était assez, ce semb
nos aïeux que d’exprimer ou de supprimer arbitrairement le pronom des verbes réfléchis. On retrouve encore arrêter ainsi emplo
terme de vénerie. 2. Nom d’un excellent chien. 3. Ancienne forme du verbe courir, retenue dans la langue de la vénerie. — A
21 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
rononçait coulé pour côté. 2. Il ne savait que. 3. Assavoir est un verbe composé d’a et de savoir. L’s redoublé est euphon
es épithètes qu’il pourrait donner à sa femme. 15. Retrouverai ; du verbe recouvrer (recuperare). 16. Premier est adverbi
e de. 18. Averti. 1. Estez est peut-être la 2e pers. du pluriel du verbe ester (stare) et non celle d’être (esse). Du rest
du verbe ester (stare) et non celle d’être (esse). Du reste, les deux verbes sont souvent confondus. 2. Ce mot, qui se prend
22 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE I. Des différentes sortes de vers. » pp. 267-270
tō. Il se termine aussi quelquefois par deux monosyllabes, ou par le verbe est précédé d’une élision. Par exemple : Grāmmă
abe, par un mot de quatre, de cinq et même de six syllabes, ou par le verbe est précédé d’une élision. Mais il faut éviter av
23 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
reste. 7. Il avait la main prompte. 8. Au moment où. 9. Pensa. Le verbe cuider vient de cogitare. On dit encore outrecuid
p dont il lui creva… 11. Fléchir signifie plier. Comme beaucoup de verbes , il prend le sens neutre, parce que se est sous-e
ent. 5. Il ne lui fit aucun mal, ne lui fit aucun reproche. Ces deux verbes contiennent le préfixe mes, qui vient de minus. L
24 (1875) Poétique
istingue l’élément, la syllabe, la conjonction, l’article, le nom, le verbe , le cas, enfin l’oraison. L’élément est un son in
ans leur sens particulier : dans Θεόδωρον, δῶρον ne signifie rien. Le verbe est un mot significatif qui marque les temps, et
nt, l’un le présent, l’autre le passé. Le cas appartient au nom et au verbe  : il marque les rapports, de, à, etc., les nombre
rogation, le commandement, etc. Il est parti, partez, sont des cas du verbe . Le discours est une suite de sons significatifs1
êmes quelque chose. Car tout discours n’est pas composé de noms et de verbes , comme la définition de l’homme : le discours peu
e verbes, comme la définition de l’homme : le discours peut être sans verbes  ; mais chacune de ses parties a toujours sa signi
andre du grain sur la terre, c’est semer ; quoiqu’il n’y ait point de verbe pour exprimer l’action du soleil répandant sa lum
25 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
rec et le latin, distinguent les cas des substantifs et les temps des verbes , et indiquent le rapport mutuel des mots d’une pr
de la ligne, et fait voir encore que tous deux sont gouvernés par le verbe actif flebant, à qui il est évident que nymphæ se
d’indiquer la corrélation des mots par la terminaison des noms et des verbes , qu’elles devaient cette grande liberté de transp
s. Les cas des noms et les terminaisons qui indiquaient les temps des verbes disparurent, parce que ces peuples ne mettaient a
rs entre eux : aussi les substantifs, les pronoms, les adjectifs, les verbes , les prépositions et les conjonctions, appartienn
us ordinaire en huit parties du discours, savoir : les noms, pronoms, verbes , participes, adverbes, prépositions, interjection
es cas, c’est que, par un changement analogue dans la conjugaison des verbes , dont je parlerai dans la Lecture prochaine, nous
s terminaisons qui indiquaient clairement les régimes des noms et des verbes , présentait au lecteur le sens entremêlé dans tou
dépendamment de ses qualités ; ils ont bien plus de rapports avec les verbes , puisque, comme eux, ils rappellent les attributs
a donné le nom d’attributifs, les plus complexes sont assurément les verbes . C’est dans cette partie du discours que la métap
langage se fait le mieux apercevoir ; aussi l’examen de la nature des verbes et de leurs différentes variations peut-il être l
sur ce sujet plus longtemps qu’il ne sera strictement nécessaire. Le verbe a quelques rapports avec l’adjectif, en ce que, c
rsonne ou d’une chose ; mais ces rapports se bornent là, car tous les verbes de toutes les langues renferment trois objets à l
sans emporter le temps. L’infinitif briller peut s’appeler le nom du verbe , et n’indique ni temps ni affirmation ; il exprim
it, etc. L’affirmation semble être ce qui distingue principalement le verbe des autres parties du discours ; elle lui donne t
parties du discours ; elle lui donne toute sa force ; aussi, sans un verbe quelconque, une phrase ou une proposition n’est j
u n’est pas, et le mot qui emporte avec lui cette assertion, c’est le verbe . C’est à son importance qu’il doit son nom : verb
ssertion, c’est le verbe. C’est à son importance qu’il doit son nom : verbe vient du latin verbum, qui signifie mot, c’est-à-
ifie mot, c’est-à-dire qu’il est le mot par excellence. L’origine des verbes , à cause de leur importance et de leur utilité da
urd’hui. Il paraît probable, selon l’opinion du docteur Smith, que le verbe radical, ou la forme première qu’il prit dans tou
ou la forme première qu’il prit dans toutes les langues, fut celle du verbe que nous appelons impersonnel. It rains [il pleut
une situation de choses. À mesure qu’on inventa les pronoms, quelques verbes devinrent personnels, et passèrent successivement
successivement par les temps et les modes divers. Les temps, dans les verbes , ont pour objet de marquer les différences qui ex
assé, le présent et l’avenir, et l’on imagine qu’il suffirait que les verbes exprimassent ces trois grandes divisions. Mais le
en anglais, comme en français, s’exprime toujours avec le secours du verbe auxiliaire : I have written [j’ai écrit] ; 3º l’a
l arrive]26. Outre les temps, qui expriment les diverses époques, les verbes ont encore ce que grammaticalement on appelle les
j’ai avancé tout à l’heure, que de toutes les parties du discours le verbe était la plus complexe, et celle où l’art se lais
s conjugaisons, ou la manière d’exprimer toutes les modifications des verbes , a dans chaque langue des différences très marqué
me la plus exacte des conjugaisons est celle qui, sans le secours des verbes auxiliaires, indique le plus grand nombre de temp
ernière syllabe du mot. On assure que dans les langues orientales les verbes n’ont que cinq temps ou cinq expressions de temps
gulier, surtout au passif, où les temps ne s’indiquent qu’au moyen du verbe auxiliaire sum. Les conjugaisons sont très défect
sont très défectueuses dans toutes les langues modernes. Outre que le verbe par lui-même est fort peu variable dans ses termi
acées en avant des noms, ont remplacé les cas, de même aussi les deux verbes , to have [avoir], et to be [être], placés en avan
ssant sur les observations que nous avons déjà faites à ce sujet. Les verbes auxiliaires sont, ainsi que les prépositions, des
du langage, leur sens devait, pour ainsi dire, être incorporé avec le verbe pris dans tous ses temps et dans tous ses modes,
eulement l’existence. Mais lorsque, avec les progrès des langues, les verbes auxiliaires, déjà inventés et connus, eurent des
jà inventés et connus, eurent des temps et des modes comme les autres verbes , on trouva qu’attendu qu’ils portaient avec eux c
qu’ils portaient avec eux cette force d’affirmation qui distingue les verbes , on pourrait, en les joignant au participe qui in
ois familiers, il sembla bien plus facile de les appliquer à tous les verbes , comme I am loved [je suis aimé], I was loved [j’
peler cette variété de terminaisons indispensables pour conjuguer les verbes dans les langues anciennes : amor, amabar, amavi.
ent les observations les plus importantes que j’avais à faire sur les verbes . Nous ne nous arrêterons pas longtemps sur les au
e : la faute en est à cette quantité considérable de particules et de verbes auxiliaires dont nous sommes obligés de nous serv
n. Nous exprimons bien moins que les langues grecque et latine par un verbe ou par un nom substantif. Notre style est moins s
ectifs ne varient que pour exprimer les degrés de comparaison, et ses verbes , au lieu de subir tous les changements des ancien
ou cinq terminaisons diverses ; un petit nombre de prépositions et de verbes auxiliaires indiquent clairement tous les sens qu
plupart tiennent à la forme particulière d’un idiome dans lequel des verbes et des prépositions gouvernent le génitif, le dat
parties essentielles du discours, les substantifs, les adjectifs, les verbes et les particules connectives sont toujours les m
doit, par sa position, indiquer son rapport avec le substantif, et le verbe s’accorder en personne et en nombre avec le nomin
fs liés par une conjonction copulative exigent que les pronoms ou les verbes auxquels ils se rapportent soient mis au pluriel 
riel ; autrement le rapport commun qu’ils ont avec ces pronoms et ces verbes ne serait point marqué. Dans toutes les langues,
oms et ces verbes ne serait point marqué. Dans toutes les langues, un verbe actif gouverne l’accusatif, il indique clairement
t plus sonores, la faculté de varier les terminaisons des noms et des verbes procurait la double facilité d’introduire dans le
pelée vision, lorsqu’au lieu de rapporter une chose passée, on met le verbe au présent et on la décrit comme si elle se passa
qu’UN. 25. Les différentes terminaisons d’un mot, d’un nom ou d’un verbe , paraissent toujours plus intimement liées avec c
un article ou une préposition qui se rapporte à un substantif ou à un verbe placés dans le cours de cette phrase. (Note du Tr
26 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
re après l’ouragan, etc., etc. La pureté bannit de cette citation le verbe avoir qui rend faiblement la pensée ; les objets
notre langage, en nous montrant difficiles envers centaures formes de verbes surtout qui manquent de grâce et d’élégance, et q
er, l’emploi du Passé défini et de l’Imparfait du subjonctif dans les verbes de notre langue. Quoi de plus disgracieux que ces
ois mille en arrivant au port. Mais qui aimerait cette succession de verbes de la même désinence ? « Bientôt nous nous trouvâ
27 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
à-dire : laissons échapper, ou plutôt, dissipons. Cet emploi actif du verbe échapper, et le sens métaphorique qu’il présente
nsi ce vers : Nous ne vivons jamais, nous attendons la vie. 1. Ce verbe fort goûté de Montaigne et de Pascal a, peu après
28 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
eul qui ne soit dans la nature et la vérité ? » 2. Pour accroître : verbe qui ne se prend plus régulièrement que dans le se
ptez sur moi, sur mon dévouement. 3. C’était l’indicatif présent du verbe ouïr, synonyme d’entendre, dont le futur était j’
’entendre, dont le futur était j’orrai : presque tous les temps de ce verbe sont tombés en désuétude. 1. Pour captiver l’att
se ; ou, pour mieux parler, consentir n’est plus guère d’usage, comme verbe actif, qu’au palais et dans le langage diplomatiq
29 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
ase, nous rappellerons que la plus simple est formée d’un sujet, d’un verbe et d’un attribut, telle que celle-ci : Dieu est é
l’indigent, l’imprudent et le sage, Subissent même sort ; plusieurs verbes , ex. : Chantons, publions ses bienfaits ; plus
30 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
tête de la phrase la personne ou la chose qui parle ou agit ; puis le verbe qui détermine l’action, enfin l’objet de l’action
ns, d’où résulte que les substantifs, les pronoms, les adjectifs, les verbes , les prépositions, doivent former nécessairement
st celle qui attribue huit parties au discours, le nom, le pronom, le verbe , le participe, l’adverbe, la préposition, l’inter
tte division ne soit pas rigoureusement exacte, puisqu’elle sépare du verbe le participe, qui n’est qu’un mode de cette parti
désignent un attribut, la plus complexe est sans contredit celle des verbes . C’est surtout là qu’on aperçoit la profonde subt
t là qu’on aperçoit la profonde subtilité métaphysique du langage. Le verbe a une ressemblance intime avec l’adjectif. Il exp
s fonctions s’étendent encore plus loin ; dans toutes les langues, le verbe n’exerce pas moins qu’un triple ministère. Il est
ne le temps de l’action. Ainsi, lorsque je dis : le soleil brille, le verbe briller qualifie le substantif soleil, il détermi
pas affirmation. Le mode infinitif briller peut être appelé le nom du verbe  ; il n’indique ni temps, ni affirmation, mais exp
ais tous les autres modes sont affirmatifs. C’est ce qui distingue le verbe des autres parties du discours. Il ne peut existe
des autres parties du discours. Il ne peut exister de phrase sans un verbe exprimé ou sous-entendu. Cette circonstance démon
la perfection où il est parvenu. Smith pense que la première forme du verbe fut l’impersonnel, il pleut, il tonne, etc., ce f
à l’invention des pronoms, qui servirent à le modifier. Les temps des verbes sont destinés à distinguer les diverses époques d
s sont destinés à distinguer les diverses époques de l’action ; si le verbe avait été divisé en trois parties seulement, le p
iii.) Outre les temps ou manière d’exprimer l’époque de l’action, les verbes admettent encore la distinction des voix, comme o
onoms je, tu, il, il en résulte ce que l’on appelle la conjugaison du verbe , cette partie si importante de la grammaire de to
. J’ai suffisamment prouvé que, de toutes les parties du discours, le verbe est ce qu’il y a de plus complexe et de plus ingé
n variant seulement, soit la terminaison, soit la syllabe initiale du verbe , sans avoir recours aux auxiliaires : les langues
gard. Dans toutes les langues modernes de l’Europe, la conjugaison du verbe est très défectueuse ; elles admettent peu de var
de variété dans les terminaisons ; on fait usage presque toujours des verbes auxiliaires dans tous les temps et modes actifs e
altérations furent le résultat de la même cause. On remarqua que ces verbes joints au participe lui donnaient la force affirm
s fixe et plus déterminé, leurs terminaisons plus variées, l’usage du verbe auxiliaire moins fréquent. En second lieu, le gén
31 (1854) Éléments de rhétorique française
a brillant, pour exprimer l’espérance d’un nouveau jour. Dès lors, le verbe fut trouvé. Les temps des verbes sont plus ou moi
rance d’un nouveau jour. Dès lors, le verbe fut trouvé. Les temps des verbes sont plus ou moins nombreux dans les différentes
ans les trois principaux, le présent, le passé et le futur. Quant aux verbes en eux-mêmes, ils sont tous formés du verbe être,
é et le futur. Quant aux verbes en eux-mêmes, ils sont tous formés du verbe être, accompagné d’un attribut : aimer, c’est êtr
st être tombant. Il suffit donc d’expliquer l’origine et la valeur du verbe être et de ses temps fondamentaux, pour rendre co
rbe être et de ses temps fondamentaux, pour rendre compte de tous les verbes et de leurs temps dérivés. Le verbe, comme nous l
, pour rendre compte de tous les verbes et de leurs temps dérivés. Le verbe , comme nous l’avons vu précédemment, a quelque ra
chose ; mais le rapport finit là : car, dans toutes les langues, les verbes renferment trois choses à la fois, savoir l’attri
où la chose se passe. L’affirmation semble être ce qui caractérise le verbe , et ce qui le distingue principalement des autres
u n’est pas, et le mot qui emporte avec lui cette assertion, c’est le verbe  ; c’est à son importance qu’il doit son nom : ver
sertion, c’est le verbe ; c’est à son importance qu’il doit son nom : verbe vient du latin verbum qui signifie mot, c’est-à-d
st le mot par excellence. Avec des substantifs et des attributifs (le verbe étant compris dans ces derniers), on pourrait fai
m et le pronom ; 2° les attributifs, qui comprennent l’adjectif et le verbe  ; 3° les connectifs, c’est-à-dire, les prépositio
ue assez leur nature mixte, participant à la fois de l’adjectif et du verbe . Ils rentrent donc dans la classe déjà si nombreu
antifs ont reçu la modification des genres et des nombres, et que les verbes sont divisés en différents temps, différents nomb
en différents temps, différents nombres et différentes personnes, le verbe doit toujours s’accorder en personne et en nombre
français n’ont aucun caractère qui leur soit particulier. Quant à nos verbes , ils sont divisés à peu près en autant de temps q
à nos verbes, ils sont divisés à peu près en autant de temps que les verbes latins. Nous remarquerons cependant que notre lan
t dans le latin, distinguent les cas des substantifs et les temps des verbes , et indiquent le rapport mutuel des mots d’une pr
me barbare, ils supprimèrent les cas des noms et les terminaisons des verbes , parce qu’ils n’attachaient aucun prix aux avanta
puisse saisir rapidement les rapports qu’ils ont entre eux. Ainsi, le verbe doit être placé de manière que l’on voie nettemen
32 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VIII. Huitième espèce de mots.  » p. 43
’adverbe. 100. — L’adverbe est un mot qui se joint ordinairement au verbe ou à l’adjectif, pour en déterminer la significat
33 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — De la ponctuation. »
êter.   177. — La virgule (,) se met après les noms, le adjectifs les verbes qui se suivent. Exemples : La candeur, la docili
34 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
Chapitre VII. Nous avons établi.] Κεῖται ñµῖν. Le même verbe se retrouve dans le même sens : Métaphysique, VII
35 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »
tre, quoique rarement, de retrancher l’s final au présent de certains verbes  ; je voi, je croi, je reçoi, je sai, j’averti, je
C’est là l’unique étude où je veux m’attacher. Boileau. On met un verbe au singulier avec plusieurs sujets : Âne, cheval
36 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
èbre. § 121. Accord de l’adjectif avec le nom. — § 122. Accord du verbe avec le sujet. version 2. 1. Homo morit
n ample recueil de bons mots. § 124. Observations sur l’accord du verbe et de l’attribut avec le sujet. version 7.
, où il mourut encore fort jeune. Chapitre III. Complément des verbes . § 135. Complément direct à l’accusatif.
peuples immolaient à leurs dieux des victimes humaines. § 137. Verbes qui gouvernent deux accusatifs. version 36
très-célèbre, enseigna les lettres latines à Marc-Aurèle. § 138. Verbes qui gouvernent l’accusatif avec AD. versio
uis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. » § 139. Complément indirect des verbes passifs à l’ablatif avec ou sans A, AB. ve
portant un trident. Les enfers furent le lot de Pluton. § 140. Verbes qui gouvernent l’ablatif. version 41. 1
t le feu furent interdits à Cicéron, sauveur de sa patrie. § 141. Verbes qui gouvernent l’ablatif avec ou sans A, AB, E, E
les vaines inquiétudes, elle nous affranchit des passions. § 142. Verbes qui gouvernent le génitif. version 45.
il ne tarda pas à se repentir de son vœu. § 144. Génitif après le verbe ESSE. version 48. 1. Major pars Europæ
s, et les captifs vendus à l’encan. § 146. Observations sur les verbes dont le complément se construit de différentes ma
un Caton ou un Catilina ? § 203. Si interrogatif placé entre deux verbes . version 178. 1. Puer nescit an peccet.
u non. § 204. Pronoms et adverbes interrogatifs placés entre deux verbes . version 180. 1. Archimedes, intentus f
coupé]lus vils histrions. § 224. Adverbes de quantité joints à un verbe . version 230. 1. Nero, quum supplicio c
le feu qui l’épouvante. Chapitre VII. Gallicismes. § 241. Verbes français rendus par un adverbe latin. — § 242. Ve
es. § 241. Verbes français rendus par un adverbe latin. — § 242. Verbes français qui ne s’expriment pas en latin.
rgie de l’âme qui contribue le plus aux succès militaires. § 243. Verbes devoir, aller. version 262. 1. Non est i
vante les paroles de celui-ci, et les actions du premier. § 244. Verbe falloir. version 263. 1. Quum Æqui ac Vo
, que, voyant fuir les siens, il voulut se donner la mort. § 245. Verbe faire. version 264. 1. Non terret sapien
ur, répondit non sans à-propos : « Pas même une mouche. » § 246. Verbe AVOIR. version 265. 1. Ægrè vetitis abst
ime aussi bien que Diane à errer sur les montagnes. Adieu. § 247. Verbe DIRE. version 270. 1. Proavi nostri, inq
euillage de cet arbuste n’est jamais frappé par la foudre. § 248. Verbe LAISSER devant un infinitif. version 271.
connaissaient pas un aussi grand nombre que les modernes. (2). D’un verbe grec qui signifie errer. (1). Les anciens ne con
enuit. (1). Sous-entendu filius. (1). On traduira par le passif les verbes qui n’ont pas de passif en latin. (1). On appela
dre. (1). Sous-entendu vos devant qui. (1). Comme nonne. (1). D’un verbe grec qui signifie se promener. (1). Pour aliquid
37 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVII. » p. 114
hétorique, III, 10, 11. — Dans le même ouvrage, II, 8, on retrouve le verbe συναπεργάζεσθαι, construit avec σχήμασι ϰαὶ φωναῖ
38 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
eut-être en ce sens  je ne trouve ailleurs que la forme moyenne de ce verbe  : Hérodote, I, 111  III, 63  Athénée, IX, p. 465
39 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42
and je dis : j’ai reçu de mon père ; de sert à joindre le nom père au verbe reçu, etc. ; de, à, sont des prépositions ; le mo
40 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXI. » pp. 120-121
ailleurs être tiré de la leçon des mss., μεγαλειωτῶν, en supposant un verbe μεγαλειόω, dérivé de μεγαλεῖος comme τελειόω déri
41 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Introduction. » p. 4
s du discours ; savoir : le Nom, l’Article, l’Adjectif, le Pronom, le Verbe , le Participe, la Préposition, l’Adverbe, la Conj
42 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
ici amorce. 4. S’en allait. Nos pères composaient avec en tous les verbes qui exprimaient une idée de mouvement, de progrès
disait des choses, et signifiait comme ici être un objet de souci. Ce verbe ne s’emploie plus qu’avec le pronom personnel. 4
t, était fréquent au dix-septième siècle. 3. C’était merveilles. Ce verbe au singulier avec un sujet pluriel ressemble à un
’en courut. En, particule séparable qui se mettait devant beaucoup de verbes neutres, tels que aller, courir, etc., et qui est
43 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Locutions vicieuses. » pp. 66-67
ser. 6. Pire signifie plus mauvais. 1. L’Académie n’admet point le verbe se suicider ; et nous espérons que le mot, formé
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256
e le fait. Une hyperbate aussi hardie qu’heureuse présente d’abord le verbe , à la suite duquel, d’une marche pesante, inébran
ar la forme adverbiale, l’apostrophe interrogative a succédé, puis le verbe , pour ainsi dire, en vedette ; maintenant vient l
45 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE II. Règles générales de la quantité. » pp. 271-273
, etc. Il est bref dans alterĭus. I est long 2° dans les temps du verbe fio où r ne se trouve pas : fīam, fīent. Il est b
46 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
s. 16. L’e muet ne s’élide ni à la fin des deux que. ni à la fin du verbe voie. 17. Queu-e, deux syllabes. 18. Le cont
oisième. 52. Luyant est le participe présent formé régulièrement du verbe luire. L’adjectif luisant a fini par le remplacer
hargés de préparer le fourrage, la subsistance, l’habitation. 58. Du verbe tistre, inusité depuis le début du xviie siècle.
uand bien même] les matières eussent été. 263. Nous n’avons plus le verbe , mais nous avons encore le substantif bateleur, f
. 335. Se crevèrent, crevèrent, éclatèrent. Un très grand nombre de verbes intransitifs pouvaient également se construire av
bavards. 470. Que nous faisons = que nous le voyons. Cet emploi du verbe faire pour remplacer un verbe quelconque précédem
ons = que nous le voyons. Cet emploi du verbe faire pour remplacer un verbe quelconque précédemment exprimé est très fréquent
lus guère employé dans ce sens. 482. L’emploi de faire remplaçant un verbe déjà exprimé dans la phrase est très fréquent au
note 7 de la page 20. 504. Qui. Ce relatif n’amène après lui aucun verbe  ; la construction est brusquement interrompue, et
ou francs. 555. Guinder. On voit ici, pris dans le sens propre, un verbe qu’on emploie le plus souvent comme pronominal, o
585. Vous ressouvenez. Le xviie siècle mettait le pronom régime du verbe actif ou réfléchi avant ce verbe, â l’impératif c
siècle mettait le pronom régime du verbe actif ou réfléchi avant ce verbe , â l’impératif comme aux autres modes. 586. Siq
ases que quand l’action qu’ils marquent a pour sujet le sujet même du verbe à un mode personnel. Mais voir p. 512, n. 4. 631
Tout son train, toute la maison de Turenne. 719. On conjugue fondre ( verbe neutre) « avec l’auxiliaire avoir quand on veut m
e, le mot venant du bas-latin vivenda, qui, se rattachant lui-même au verbe vivere, désigne ce qui sert à vivre. 828. N’ajo
voir maudit. Le sujet de cet infinitif n’est pas le même que celui du verbe à un mode personnel auquel il se rattache (il n’y
étymologique : comme le mot simple source, il se rattache en effet au verbe sourdre (jaillir), qui vient du latin surgere (se
ographe, ce mot se rattache, comme un véritable participe présent, au verbe frire, qui a eu, dans l’ancien français, le sens
ubliquement. 1075. Représenter est employé assez fréquemment, comme verbe neutre, avec le sens de : avoir belle apparence,
il faudrait que le sujet de l’action de compter fût aussi le sujet du verbe passerait. Mais nous rappelons que la grammaire d
1751 à 1789 elles n’eurent plus lieu que tous les deux ans. 1213. Ce verbe mannequiner, dont le sens ici est bien clair, ne
s d’inspecteur général des manufactures. 1338. L’ânesse. – J’iasine, verbe plaisamment forgé pour dire : je vis en véritable
vivacité de son interlocutrice. 1359. Héberger est pris ici comme verbe intransitif : c’est un emploi très rare. 1360.
albash et Tennessee. 1389. Échouer, plus fréquemment employé comme verbe neutre, dans le sens de « être jeté sur un rivage
sens de « être jeté sur un rivage, un écueil », se trouve aussi comme verbe actif avec celui de « conduire, jeter vers un riv
de paysan. 1466. Allit, mangit, formes patoises du passé défini des verbes aller, manger. 1467. Contes de la veillée. Tit
épide des généraux de l’Empire. 1473. Traque, action de traquer. Le verbe lui-même se rattache an mot trac (piste, trace d’
out l’intérêt et toute la gravité de l’histoire. » 1478. Fatiguer, verbe neutre, semble donner un sens plus énergique, mar
qui n’est pas français, mais qui est formé du radical de geindre (du verbe latin qui a également donné gémir) et du suffixe
la rue Bonaparte (n° 14). 1786. Bouquiner, manier des bouquins. Ce verbe et ce substantif, familiers tous deux, remontent
ec lesquels les maîtres donnent des ordres. 1821. Recramponnait. Ce verbe n’est pas français : mais le mot est formé réguli
u’on recourut. — On peut distinguer, dans notre ancienne langue, deux verbes recourre : l’un est une autre forme de recourir e
st dans ce second sens que le passé recourut, qui est commun aux deux verbes , est ainsi employé. Toutefois la distinction des
aux deux verbes, est ainsi employé. Toutefois la distinction des deux verbes n’est déjà plus usuelle ni connue au temps de Mar
e à lui faire honneur. 1973. Fréquent jusque dans le xviie s. comme verbe transitif et avec le sens de jeter. 1974. Forme
n repos. Après l’expression le seul qui, on mettait également bien le verbe à l’indicatif ou au subjonctif. Le subjonctif pré
semble préférable. — Orra est la 3e personne du singulier du futur du verbe ouïr, qui veut dire entendre. Ce verbe, qui n’est
sonne du singulier du futur du verbe ouïr, qui veut dire entendre. Ce verbe , qui n’est plus guère usité qu’à l’infinitif et a
moissonné ; il n’a point d’autre calendrier. 2085. Vieillir est ici verbe transitif. Entendez : il voit les courses des ann
tout conter. C’est une habitude constante, au xviie siècle, quand un verbe est suivi d’un infinitif, de mettre avant ce verb
siècle, quand un verbe est suivi d’un infinitif, de mettre avant ce verbe , et non entre les deux, le pronom personnel régim
s précédent) sont dits à part. 2140. Croi. La première personne des verbes latins ne prenant point d’s, la première personne
onne des verbes latins ne prenant point d’s, la première personne des verbes français n’en prenait point non plus dans l’ancie
onner à l’épitaphe un tour plus naïf. — Même remarque pour le premier verbe du vers suivant. 2217. Soûlait, imparfait du ve
pour le premier verbe du vers suivant. 2217. Soûlait, imparfait du verbe souloirs qu’on n’emploie plus et qui signifiait a
e plus et qui signifiait avoir coutume : il est tiré directement d’un verbe latin qui a le même sens. 2218. Un fâcheux, un
s relatifs comme où ne peuvent régulièrement se construire qu’avec un verbe à un mode personnel, et non avec un participe com
ttait la prononciation s’accrait : c’est pourquoi ce mot rime avec le verbe est. 2255. Ami de tout le monde : exclamation
estes. 2295. Voi. Voir la note 5 de la page 512. 2296. Etonne. Ce verbe , qui signifie proprement mettre quelqu’un hors de
’une forme dialectale (voir page 104, note 2) du participe présent du verbe croire : un mécréant, c’est donc littéralement un
oir page 606, note 1. 2753. Laissant ne se rapporte pas au sujet du verbe de la proposition. Il serait donc plus correct d’
la bonne, demandai à la bonne. 2771. S’en fui. Les temps passés du verbe être pouvant signifier qu’on s’est trouvé dans un
lui qui s’attache à la secte, c’est-à-dire à la suite d’un maître. Le verbe latin auquel ce mot se rattache (sectari) est un
47 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
tre une lame de fer sous le pied d’un cheval ; voici ce qui motive le verbe ferrer ; mais si le fer est remplacé par l’argent
motive le verbe ferrer ; mais si le fer est remplacé par l’argent, le verbe ferrer doit être remplacé par un autre mot qui po
er doit être remplacé par un autre mot qui pourrait être semblable au verbe argenter ; il n’existe point dans notre langue d’
s avoir sous les yeux. Il est à remarquer que le plus communément les verbes de la narration sont au présent : ce qui rend le
48 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de L’Hospital, 1505-1573 » pp. -
3. L’expression qui a prévalu est front d’airain. 4. Entendrez. Du verbe ouïr (au-dire). 5. Suivant le désir d’un client
49 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
μένων δνομάτων. Ma traduction dissimule un peu malgré moi cet abus du verbe γίνƐσθαι, que les anciens reprochaient déjà aux p
50 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
un autre, pour donner plus de valeur au discours. L’étymologie est le verbe grec, τρίπω, je tourne. Est-ce parce que l’idée t
ertains égards. Toutes les parties du discours, substantif, adjectif, verbe , participe, adverbe même, peuvent être prises dan
51 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
n coup de canon, au siége d’Epernay, en 1592. 1. Cet emploi actif du verbe fier a vieilli. On ne se sert plus guère aujourd’
52 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
jouer ?] Αὐλοῦνται. Je n’ai pas encore trouvé un second exemple de ce verbe ainsi employé à la voix moyenne. Chap. xliii. — D
53 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
l mourut subitement en 454 à la suite d’une orgie. 2. La force de ce verbe s’est singulièrement affaiblie de nos jours ; il
54 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
imes étaient également bonnes pour les yeux et pour l’oreille. 1. Le verbe est ici accompagné de deux sujets, lui et il : c’
55 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
andes villes. On y est la goutte d’eau dans un océan. 1. Ferait. Ce verbe explétif est d’un emploi très-fréquent au xvii e 
56 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
1. De ma foi chrétienne. 2. Des exhortations me confirment dans. 3. Verbe qui fait onomatopée ; il est formé de l’interject
57 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
                            Quelle âme villageoise ! La grammaire, du verbe et du nominatif, Comme de l’adjectif avec le subs
moi, qu’en épluchant ses herbes Elle accommode mal les noms avec les verbes , Et redise cent fois un bas ou méchant mot, Que d
avons pris chacune une haine mortelle Pour un nombre de mots, soit ou verbes ou noms, Que mutuellement nous nous abandonnons ;
ier 1690. 53. Les Provinciales parurent en 1656 et 1657. 54. Ici ce verbe est pris dans son acception étymologique ; c’est
129. 61. C’est-à-dire qui tiennent à l’essence de sa nature. 62. Ce verbe fort goûté de Montaigne et de Pascal a, peu après
nt bien aussi d’être conservés. 63. Nous est sous-entendu devant ce verbe . — Ces pensées ont été rappelées par Nicole, dans
Locution vieillie mais expressive ; on tournerait aujourd’hui par le verbe  : voici comment Dieu la toucha, agit sur elle… 1
d’un enchantement magique. 131. À cause que, locution vieillie. Le verbe expérimenter ne serait plus employé aujourd’hui p
Revue des deux Mondes, nº du 1er novembre 1853. 236. Parvenir à… Le verbe atteindre ne se construirait plus aujourd’hui ave
Leçons et modèles d’éloquence judiciaire. 313. Montesquieu rend à ce verbe sa signification primitive et toute latine : abat
chyle. 370. On dirait aujourd’hui consumées dans cette acception. Le verbe consommer ne s’applique qu’aux choses usées et dé
res sur la botanique. 405. C’est-à-dire que je faisais descendre. Ce verbe dévaler est le plus souvent employé par nos vieux
nière la plus franche et la plus heureuse. » 457. Ancienne forme du verbe courir conservée dans la langue de la vénerie ; M
l, chez les Romains, un caractère particulier de dignité. » 489. Ce verbe est employé ici, comme neutre, dans le sens du la
articipe, en le laissant invariable quand le sujet est placé après te verbe . Voltaire approuve cette licence qu’il s’est perm
 : ce morceau est digne du grand Corneille ». 504. Pour confie : le verbe fier n’est plus employé que comme réfléchi. 505
uste, Catilina, c. 13 et 14. 517. Pour former cette entreprise : ce verbe ne s’emploierait plus ainsi d’une manière absolue
e, Vendôme, dans Adélaïde du Guesclin. 530. Écoutons, entendons : du verbe ouïr, qui n’est guère employé aujourd’hui qu’à l’
tismes n’a pas manqué la consécration de l’usage. Cette alliance d’un verbe au pluriel avec un pronom personnel au singulier
adressé à notre auteur. 785. Il faudrait : on ne se familiarise. Le verbe familiariser est, d’ailleurs, très peu susceptibl
nctive et se trouve entre deux substantifs, ils exigent le pluriel du verbe dont ils sont le nominatif, à moins qu’il n’y ait
58 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
e et de la Seine. 4. Bonheur. 5. De ce qu’il vous est. En latin, le verbe esse a ce sens. 6. Il s’agit de Dieu. 7. Recouv
59 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
rsonne de la plus haute distinction, d’éviter la seconde personne des verbes , et de se servir d’une périphrase en disant, selo
60 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
t grammatical, par exemple : les ent qui terminent certains temps des verbes comme parlent agissent le t, le s le r. dans un t
it, dirait, abstrait, agis, permis, le souper, le dîner ; et tous les verbes en er devant une consonne, etc. Lorsqu’on récite
e pas davantage. C’est par la même raison que dans certains temps des verbes , ent est fondu avec la consonnance précédente et
61 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
; les modes, les temps, les personnes, le singulier et le pluriel des verbes ), on ne compte que 5, 900 rimes différentes dans
e espèces poétiques : 1°. les substantifs, 2°. les adjectifs, 3°. les verbes . Des vers chargés de pareils monosyllabes ne saur
62 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
3. Il se surpassa lui-même, dirions-nous plutôt aujourd’hui. 4. Ce verbe , dérivé du latin insequi, est aujourd’hui de peu
63 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
la Comtesse d’Escarbagnas. 1. Harassée… Ce vieux mot paraît venir du verbe latin recrudescere dans le sens d’empirer. Ménage
64 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
rononciation avec ai. Il en est de même du présent de l’indicatif des verbes en enir, il tient, il vient, etc. Ces sortes de m
Anal à la première per· sonne singulière du présent et du parfait des verbes , comme je doi, je voi, je frémi, j’averti, pour j
65 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
ptibles de divers rapports, puisqu’on pourrait les faire rapporter au verbe persuader, quoiqu’en effet ils se rapportent aux
mena avec lui son captif . Le rapport de ce pronom il, placé avant le verbe nommer, est-il bien sensible au premier coup-d’œi
66 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
, de l’Épigramme. 73. Domairon, Poét., de l’Épigramme. 74. Du vieux verbe souloir, être accoutumé à. 75. Batteux, de l’Épi
67 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
s de l’homme les vérités de la religion. (B. de St.-P.) Ellipse d’un verbe et de son régime indirect. Nous attestent, répété
vie nous paraît courte et les heures longues. (Adiss.) Ellipse d’un verbe en le sous-entendant au pluriel après l’avoir mis
Seigneur, vous seriez imposteur ! Le poète fait une proposition sans verbe , et chacun le comprend. Dans tous ces cas, l’espr
19. L’hypotypose n’est un trope que parce qu’il met au présent un verbe qui devrait être au passé. Par cet artifice de di
68 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
t hic surdus, aut hæc muta facta sil. Deux substantifs gouvernent un verbe qui, grammaticalement, ne se rapporte qu’au derni
69 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
Elles ne donnent pas ce qu’elles ont promis. (Aux paysans.) 2. Le verbe pris substantivement. Héllenisme. 3. S’y exerce
70 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
t au profit ni de l’élévation ni de la rectitude de l’esprit. 51. Ce verbe , fort goûté de Montaigne et de Pascal, a, peu apr
rait-on aujourd’hui. 80. Instruire, éclairer, seraient à présent des verbes plus usités dans cette acception. 81. Ou plutôt,
sujet de la phrase, comme on le voit, ne tombe directement sur aucun verbe . 98. Cf. Montaigne : « Qu’on jette une poutre en
a vieillesse. On peut lui appliquer ce que Vaugelas a dit au sujet du verbe magnifier : « J’ai une certaine tendresse pour to
es termes qui donne un effet si saisissant à la pensée de Bossuet. Le verbe gauchir, peu usité aujourd’hui, est à regretter.
ox, farouche, indomptable. 282. Se rassasier. On évitera l’emploi du verbe assouvir comme réfléchi ; on dira mieux assouvir
eçons et modèles d’éloquence judiciaire. 313. Équilibre, mesure, du verbe latin temperare, qui signifie primitivement mélan
dont la racine est cil, c’est mettre les yeux en état de s’ouvrir. Le verbe suivant marque donc une gradation, et il n’y a pa
Voltaire ne savait pas où avait oublié, lorsqu’il disait à propos du verbe gêner employé par Corneille (Rodog., I, 1) : « Ce
st-à-dire d’années qui viennent l’une après l’autre, se succèdent. Ce verbe n’est plus employé aujourd’hui que sous sa forme
qu’un retour à l’ancienne règle. Pour distinguer, en effet, dans les verbes , la première personne de la seconde, on avait aut
ynonymie de consommer et consumer. Il faut voir, au sujet de ces deux verbes , les Remarques de Vaugelas sur la langue français
i Lycus ne reconnaît pas encore Cléotas. 785. Cette construction du verbe avoir honte se retrouve dans Molière (Dépit amour
71 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
l’apparence ; car c’est la terre qui tourne autour du soleil. 2. Ce verbe , rejeté à la fin de la phrase, produit un effet g
72 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
toute élocution : l’élément97, la syllabe, la conjonction, le nom, le verbe , l’article, le cas, le discours98. IV. L’élément
odore), la partie correspondant à δῶρον (don) n’a pas de sens. XI. Le verbe est un son composé significatif, comportant une i
celle du temps passé. XII. Le cas est ce qui, dans un nom ou dans un verbe , marque tantôt le rapport de possession ou de des
e expression : a-t-il marché ? ou celle-ci : marche, voilà des cas de verbe qui rentrent dans ces variétés. XIII. Le discours
r elles-mêmes ; car toute proposition ne se compose pas de noms et de verbes , comme, par exemple, la définition de l’homme ; m
on de l’homme ; mais une proposition peut exister sans qu’il y ait de verbe , et pourtant elle contiendra toujours une partie
ulant dire : L’ulcère qui mange (ἐσθίει) les chairs de mon pied, au verbe (ἐσθίει) a substitué le mot θοινᾶται (se repaît).
elle ne convient pas au discours en prose. II. Parmi les noms et les verbes , ceux-là rendent l’élocution claire qui sont des
premier, a donné l’exemple. Comme le discours est formé de noms et de verbes et qu’il y a autant d’espèces de noms qu’on l’a e
73 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
ules César de Padoue ; le consciencieux Lambin dont le nom a donné un verbe à notre langue ; Robert Estienne, le latiniste, s
pour terminer Je ne veux que celui de vaincre et pardonner. III. verbes Il suffira de signaler : 1° La terminaison ort
uvent en oie, oy, oys ; — du futur : oy ; — de l’indicatif présent du verbe être : je suy, ou sui, ou suys ; 2° Certains verb
dicatif présent du verbe être : je suy, ou sui, ou suys ; 2° Certains verbes qui, ou aujourd’hui neutres, sont actifs : jouir
pas : écrier ; 3° L’accord du participe présent ; 4° La pluralité du verbe après un sujet collectif : une foule vinrent ; 5°
après un sujet collectif : une foule vinrent ; 5° La substitution du verbe faire à un verbe dont il évite la répétition. Cf.
ollectif : une foule vinrent ; 5° La substitution du verbe faire à un verbe dont il évite la répétition. Cf. Bossuet : Il fal
 ; 6° L’emploi logique de fût que (où nous mettons soit que) quand le verbe principal est au passé ; 7° L’emploi, imité du la
l’interjection (viendra Pierre ? pour : Pierre viendra-t-il ?). — Du verbe dire devant que suivi d’une proposition, quand l’
if possessif après le substantif (un livre mien) ; L’adverbe avant le verbe (plus est blâmable celui qui…) ; Le complément du
if (du monde la dixième partie) ; Le complément direct ou indirect du verbe avant le verbe (Dieu les hommes a sauvé ; courir
dixième partie) ; Le complément direct ou indirect du verbe avant le verbe (Dieu les hommes a sauvé ; courir je veux ; prene
veux ; prenez votre livre et me laissez le mien ; pour ce faire) ; Le verbe avant son sujet (dirent alors les soldats que…) ;
aire) ; Le verbe avant son sujet (dirent alors les soldats que…) ; Le verbe avant la proposition relative qui détermine son s
ermine son sujet (celui ment qui dit…) ; Le pronom régime d’un second verbe avant le verbe qui précède immédiatement celui-ci
t (celui ment qui dit…) ; Le pronom régime d’un second verbe avant le verbe qui précède immédiatement celui-ci (je le veux cr
lles ; il se le fit expliquer, et on lui apprit que ce mot, dérivé du verbe germanique let ou lât, permettre ou laisser, sign
. 249. On eut soin de. Construction perdue, comme cet emploi du même verbe procurer le bien du peuple. (Bossuet.) 250. Le c
ents de l’homme qui grelotte est comparé au bruit du grelot. De là le verbe . 257. L’auteur parle de lui-même à la troisième
uses rencontres. 290. Troubler, ébranler. Le sens étymologique de ce verbe ressort de la place que lui donne Bossuet à côté
isait suivre de l’infinitif, précédé ou non de la préposition de, les verbes aimer, désirer, souhaiter, espérer (voy. le morce
ilippe IV. 503. Aujourd’hui ne subjonctif ne s’emploierait que si le verbe croire était accompagné d’une négation. 504. Auj
erez peut-être trop poétique, ce que fut aux éléments de l’univers le Verbe qui les éclaira et les ordonna. En écoutant tout
74 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
vaut infiniment mieux que τέθνηκε Πάτροκλος. On admire avec raison ce verbe κεῖται, qui doit tout son prix à la circonstance.
75 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
sujet, attribut, copule, répondent au substantif, à l’adjectif et au verbe de la grammaire. Une proposition peut être formée
se l’ordre de la syntaxe ordinaire. Tantôt elle met le sujet après le verbe , tantôt elle place les régimes avant le sujet et
et après le verbe, tantôt elle place les régimes avant le sujet et le verbe . Exemple : « Déjà, pour l’honneur de la France,
at., de Art. poët.) Les changemens de temps et de personnes dans les verbes sont de vraies synecdoques. Changement de temps
les verbes sont de vraies synecdoques. Changement de temps dans les verbes . Les poëtes et les orateurs emploient souvent le
de la Grèce, Chatouillaient de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Le verbe chatouiller est ennobli et rendu digne de la trag
. Définition de l’idée. 2. C’est ce que désigne l’étymologie, car le verbe εἴδω, veut dire je vois, je sais. De là εἴδεα ou
it affranchi ceux de ses esclaves qui avaient défendu sa vie. 1. Du verbe inducere, introduire, amener, parce qu’on amène p
qu’elles soient autorisées par l’usage. Changement de temps dans les verbes . Changement de personnes. Antonomase. (1). Sauma
76 (1873) Principes de rhétorique française
Ainsi, quand Boileau a dit : Un guerrier que la colère enflamme, ce verbe ne pourrait être remplacé par ses synonymes habit
ites-moi vos souffrances ou dites-moi ce que vous souffrez. Dans les verbes , les temps et les modes peuvent souvent permuter.
. Je vais faire la guerre aux habitants de l’air Le pluriel dans les verbes peut se substituer au singulier : Thésée rendant
ts. L’ordre logique consiste donc à énoncer d’abord le sujet, puis le verbe , ensuite l’attribut, enfin les divers compléments
erie de l’armée d’Espagne, et cette inversion plaçant bien, en vue le verbe restait présente l’image de l’héroïque immobilité
umer. I. La construction logique consiste à énoncer le sujet, puis le verbe , ensuite l’attribut, enfin tes divers compléments
ment les trois premiers    de    la période, et à redoubler l’idée du verbe par un dernier membre dont l’ampleur couronne adm
ngtemps défendus des intérêts partout abandonnés.... La répétition du verbe est la plus commune : Guillot dormait alors profo
77 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
nous avons reproduit toute la pensée d’Homère, en ajoutant l’idée du verbe ἔγνω : Πολλῷν δ’ἀνθρώπων ἴὸευ ἄστεα καὶ νόον ἔγν
a ici une négation sous-entendue : c’est la négation incluse dans le verbe nolit du vers suivant (atque servari nolit), qui
78 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
e même de la pensée, c’est-à-dire qu’elle procède toujours par sujet, verbe , attribut et complément. L’auteur le plus clair e
79 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
es grandes ressources. Phrases coupées, expressions vives et courtes, verbes au temps présent, images entassées, tout dans le
80 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
, et que Mme de Sévigné avait hâte de rassurer sa fille. L’ellipse de verbe (était), dans tous les adieux faits , le bardot
 : car on remarque que tous ces nominatifs sont seuls et n’ont pas de verbe pour exprimer leur état, de sorte que pour rendre
’auteur obtient un plus grand effet : sa phrase est plus vive, et ces verbes tutoie, protège, méprise, pris dans une acception
gent la mort d’un coupable. Et flatteurs d’applaudir  ; ellipse d‘un verbe s’empressèrent, qui rend l’expression concise san
e du commencement jusqu’à la fin une très belle hypotypose. Outre les verbes au présent, cette figure affectionne un rythme co
e pousse les mots les uns sur les autres ; elle voudrait se passer de verbes , elle appelle les substantifs qui peignent plus v
très-sacrée incarnation, et où se fict la très-adorable conception du Verbe éternel : et là ce digne pèlerin se mit à contemp
trictement conforme aux règles de l’exposition. Bientôt les temps des verbes changent, et nous voyons à la première hypotypose
81 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
izon, Mais triste comme un roi que l’on sort de prison, parce que le verbe sortir n’est pas actif. 102. Quand la phrase est-
82 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
au citron, etc. C’est de même par catachrèse qu’on a fait dériver du verbe latin succurrere le sens d’aider ou secourir, du
ait dériver du verbe latin succurrere le sens d’aider ou secourir, du verbe petere le sens d’attaquer, du verbe animadvertere
e le sens d’aider ou secourir, du verbe petere le sens d’attaquer, du verbe animadvertere le sens de punir. Allégorie.
83 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
ir vraiment chrétien et vraiment royal ! » 4. « Abimer l’État. » Le verbe abîmer est pris dans son sens étymologique : « Je
84 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
Concours de 1884. Ordre des lettres Langue française. Du verbe dans la langue française. Littérature. La poésie
position de langue française et de grammaire. – Le sujet était : « Du verbe dans la langue française. » « Pour un examen d’u
iât dans les concours auxquels nous présidons. Pour ce travail sur le verbe , après avoir rappelé, sans s’attarder aux détails
qui est le propre des langues modernes, agissant sur les éléments du verbe fournis par le latin, avait augmenté le nombre de
le nombre des temps composés, au point de ne laisser, en français, au verbe passif, par exemple, que sa signification fondame
uxiliaire et du participe passif. Il fallait signaler aussi, dans les verbes romans, la formation singulière du futur et du co
on singulière du futur et du conditionnel, empruntés à l’infinitif du verbe et au présent ou à l’imparfait de l’auxiliaire av
it de l’auxiliaire avoir. Ces éléments historiques de la formation du verbe français devaient servir de point de départ à tou
à toute la composition, pour expliquer logiquement la constitution du verbe français tel qu’il est aujourd’hui, sa conjugaiso
85 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
ure, ou comptant pour une syllabe après une voyelle, surtout dans les verbes . Non moins que les versificateurs du seizième siè
glais. 57. Troisième personne du présent de l’indicatif de l’ancien verbe remordre, de remordere, d’où le substantif remord
uée, et la répétition de voir n’apparaît que comme une négligence. Ce verbe est d’ailleurs beaucoup trop employé dans la pièc
gnora des poètes latins. 91. Les agneaux. Le croît d’un troupeau (du verbe croître) est son augmentation par la naissance de
ectif, un qualificatif soit rejeté à l’autre vers ; c’est toujours un verbe terminant la pensée. 166. Cette élégie fut compo
scalata, de salare. Le français avait, depuis le douzième siècle, le  verbe escheler, escheller, écheler. 281. Vieux mot qui
86 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ire à manières de faire, et manières d’agir à façons d’agir… dans les verbes , travailler à ouvrer, être accoutumé à souloir co
cours élégant ; des terminaisons rudes, des consonnes fréquentes, des verbes auxiliaires nécessairement redoublés dans une mêm
hrase : nul style, nul goût dans la plupart, sans y daigner mettre un verbe . Cette licence n’est pardonnable que dans la rapi
erté des inversions ; il s’est donné celle d’employer l’infinitif des verbes en guise de nom substantif, un bel pensier, un do
ge noble. Il s’est fait quelques noms abstraits de l’infinitif de ses verbes , comme penser, parler, sourire, souvenir ; et ces
87 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
fut fait prisonnier. 63. Toi, ma consolation. Il n’est resté que le verbe réconforter. 64. Personnification qui est un sou
. — Gentil, noble, généreux, de rare (gens, gentis, generosus). 232. Verbe formé comme pindariser, ronsardiser. 233. Ce que
emps. Le p est supprimé aussi dans cors pour corps. 362. Verbum, le verbe . 363. On trouvera infra de beaux vers de Saint-A
e l’emploie encore. 554. Aux anciens. 555. Inusité aujourd’hui. Le verbe est resté. Morguant la destinée et gourmandant l
ent, en lui tendant un piège (aguet, embuscade, de guetter, tiré d’un verbe du haut-allemand qui signifie veiller, garder). —
t Gille, qui s’enfuit de son pays pour ne pas être fait roi ? ou d’un verbe du haut-allemand qui signifie se hâter ? 637.
de la vie rustique. 648. Revenue. 649. Participe passé de l’ancien verbe pourprendre ; employé substantivement dans le sen
31. Put est la troisième personne de l’indicatif présent de l’ancien verbe puir, aujourd’hui puer. 732. Sous ta merci, sou
struimus magnæ per vota ruinæ. On a remarqué l’emploi figuré de deux verbes dans ce vers de Racine (Andromaque, I, 2) : Hec
ançais avait sigle, voile), faire voile dans une direction. — L’autre verbe cingler vient, comme sangle, de cingulum. 1384.
88 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
rammatical qui veut le substantif avant l’adjectif, le sujet avant le verbe , n’est pas observé ; mais outre que la suspension
89 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
. Un des caractères qui la constituent, c’est que le plus souvent les verbes employés dans la narration sont au présent, tour
90 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
de la Grèce Chatouillaient de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Le verbe chatouiller est ennobli et rendu digne de la trag
t fixé : le substantif passe avant l’adjectif, le nominatif avant son verbe , et ainsi du reste. Cet ordre est favorable à la
qui changent la signification des mots, et on les nomme tropes, d’un verbe grec (τρέπω, τέτροπα) qui signifie changer. C’est
91 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
La première est le flatteur dissimulé. Il faudra étendre, au moyen de verbes exprimant les idées convenables, les six choses q
nez chaque mot et construisez une proposition distincte, ayant sujet, verbe et attribut, et voyez quel serait l’effet d’un st
92 (1852) Précis de rhétorique
pas davantage. C’est par la même raison que, dans certains temps des verbes , ent est fondu avec la consonance précédente et n
93 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
s cessent de prendre,     Les bras d’agir, les jambes de marcher. Le verbe cessent est sous-entendu dans les deux derniers m
ccent circonflexe : dévoûment. Il en est de même au futur de certains verbes , comme je prierai ; nous saluerons, qu’on écrit e
94 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
e sérénité du ciel même : Celui que la terre attendait est venu, « Le Verbe s’est fait chair, et il a habité parmi nous : et
dans une crèche. » (Saint Luc, ii.) Pour nous élever jusqu’à lui, le Verbe divin descend jusqu’à nous. Ce qu’il y a de plus
nt clair. Le français nomme d’abord le sujet de la phrase, ensuite le verbe , qui est l’action, et enfin l’objet de cette acti
95 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
cité de forme, ce rapport presque invariable des trois termes, sujet, verbe , attribut, dans une construction uniforme, seraie
96 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
ent clair. Le français nomme d’abord le sujet du discours, ensuite le verbe , qui est l’action, et enfin l’objet de cette acti
s son naturel. » 67. Prov., chap.xvi, v.15 68. Et non mépriser. Le verbe dépriser signifie « ne pas donner à une chose tou
loyé à retenir à l’ancre le navire. 303. En terme de mer, briser est verbe neutre. 304. Filet qu’on tend dans les anses. 3
un nominatif substantif qui mène son adjectif comme par la main ; son verbe ne manque pas de marcher derrière, suivi d’un adv
es étaient également bonnes pour les yeux et pour l’oreille. 647. Le verbe est ici accompagné de deux sujets, lui et il : c’
97 (1881) Rhétorique et genres littéraires
tion et la péroraison. 1° Exorde L’exorde (en latin exordium, du verbe exordiri, commencer) est la partie du discours pa
98 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
t dire je ferais, j’irais etc. Il faut alors qu’il mette au-devant du verbe un signe qui réponde à l’un de ces quatre mots je
la fréquence de ses voyelles ou de ses consonnes, ses inversions, ses verbes auxiliaires, etc. Le génie de notre langue est la
99 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
ne vous crains pas. En effet, ils ont l’œil ferme, le front haut, le verbe arrogant, et un ensemble si peu modeste et si peu
100 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
a ne me fait rien. Belise. Quelle âme villageoise ! La grammaire, du verbe et du nominatif, Comme de l’adjectif avec le subs
/ 103