or !Monsieur. Valère. Hector ! Monsieur.Hé bien ! bourreau, veux-tu
venir
? (Hector entre à moitié déshabillé.) N’es-tu p
Tu dormiras demain.>Il a le diable au corps. Valère. >Est-il
venu
quelqu’un ? Hector. >Est-il venu quelqu’un ?
e au corps. Valère. >Est-il venu quelqu’un ? Hector. >Est-il
venu
quelqu’un ?>Il est, selon l’usage, Venu maint
’un ? Hector. >Est-il venu quelqu’un ?>Il est, selon l’usage,
Venu
maint créancier ; de plus, un gros visage, Un maî
e de trictrac qui ne m’est pas connu. Le maître de musique est encore
venu
. >Ils reviendront bientôt. Valère. >Ils r
s mille écus ! ô ciel ! quel coup de grâce ! Hector, mon cher Hector,
viens
çà, que je t’embrasse. Hector. >Comme l’argen
re. Mais quel gage, dis-moi, veux-tu que je lui donne ? Hector. Elle
viendra
bientôt elle-même en personne ; Vous vous ajuster
ue me dis-tu là ? Hector. >Dieu, que me dis-tu là ?>Ce que je
viens
d’entendre. Valère. Bon ! cela ne se peut, on t’
n chapeau.) Hector, à part, en voyant son maître. Mais le voici qui
vient
, poussé d’un heureux vent : Il a les yeux sereins
4. Valère. Va, j’examinerai ton compte une autre fois. >J’entends
venir
quelqu’un. Hector. >J’entends venir quelqu’u
ne autre fois. >J’entends venir quelqu’un. Hector. >J’entends
venir
quelqu’un.>Je vois votre sellière : >Elle a
r ! c’est du plus loin, parbleu, qu’il me souvienne. Madame Adam. Je
viens
pourtant ici souvent faire ma cour ; Mais vous jo
t.) Vous, monsieur Galonier, quel sujet vous amène ? M. Galonier. Je
viens
vous demander… Hector, à M. Galonier. Je viens
e ? M. Galonier. Je viens vous demander… Hector, à M. Galonier. Je
viens
vous demander…Vous prenez trop de peine. M. Galo
Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celui qui te
viendra
le premier sous la main : Il m’importe peu, prend
respecte sa muse, il a des accents qui vont à l’âme, parce qu’ils en
viennent
. Vif, net, ferme, sobre et léger, son vers porte,
rocher du désert de la vie, D’où les flots d’harmonie, Quand Moïse
viendra
, jailliront quelque jour4. Le passé. — L’ave
restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table
vint
s’asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me r
triste et beau ; A la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il
vint
lire. Il pencha son front sur sa main, Et resta j
jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d’un arbre
vint
s’asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me res
à genoux près du lit Où venait de mourir mon père3, Au chevet du lit
vint
s’asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressem
’ai voulu mourir4, Partout où j’ai touché la terre, Sur ma route est
venu
s’asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ress
au milieu d’un désert. Ses enfants demi-nus sortent de la bruyère, Et
viennent
lui conter comme leur pauvre mère Est morte sous
la poussière De ce pauvre réduit que tu crois oublier ? De quel front
viendras
-tu, dans ta propre demeure, Chercher un peu de ca
e Napoléon ? Nous faut-il perdre encor nos têtes les plus chères3, Et
venir
en pleurant leur fermer les paupières, Dès qu’un
our eux ? Quelques bouquets de fleurs te rendaient-ils si vaine, Pour
venir
nous verser de vrais pleurs sur la scène, Lorsque
éduits en poussière, J’irai m’agenouiller pour vous sur vos tombeaux.
Venez
, rhéteurs païens, maîtres de la science, Chrétie
et frémir. Où leurs yeux dans les fleurs me regardaient dormir. Elles
viennent
! leur voix, leur aspect me rassure : Leur chant
prendre, et pourtant de le voir. Qu’est-ce donc que ce monde, et qu’y
venons
-nous faire, Si, pour qu’on vive en paix, il faut
us est facile d’écrire : La faim, cet ennemi plus terrible que l’eau,
vint
tourmenter les hommes ; les uns arrachaient l’her
n de la nouvelle année ; elle n’était que de quelques lignes, et vous
venait
d’une personne estimable et digne d’amitié. Vous
C’est une belle mère qui parle à son gendre. Elle lui annonce qu’il
vient
d’obtenir le cordon bleu, à la deuxième séance du
t de félicitation sur la dignité d’évêque à laquelle l’ecclésiastique
vient
d’être élevé. Le bon évêque lui répond modestemen
Avis. Jouez d’abord la surprise, comme si vous ne saviez de qui vous
vient
ce chapelet ; on vous l’envoie sans doute à cause
er une explication, puis, découvrez-vous tout-à-fait. Pourquoi est-il
venu
tout seul à Paris, sans cire accompagne par sa ma
écemment mais vivement l’ironie. Vous êtes inconnu au comte mais vous
venez
lui offrir des excuses et de l’argent ; il sera r
lui offrir des excuses et de l’argent ; il sera ravi de votre lettre.
Viendra
l’exposé du fait. Vous avez tâché de consoler la
écrit l’humble fleur, vous lui adresserez la parole, et l’inviterez à
venir
dans nos jardins, mais vous corrigerez ce mouveme
ligion. — Il recevait à sa table les officiers de tous les partis qui
venaient
le voir. — L’épiscopat ne l’empêchait point de le
et de la conversation la plus sérieuse. Il dit à l’homme vertueux de
venir
le voir, et lui indique l’heure du brodeur et du
onnaître la trace ; Gardant du bienfait seul le doux ressentiment. Il
vient
lécher ma main après le châtiment ; Souvent il me
e de tendresse. Son œil affectueux implore une caresse. J’ordonne, il
vient
à moi ; je menace, il me fait ; Je l’appelle, il
quelque chose d’extraordinaire, mais toutefois s’avance par ordre, et
vient
, comme par degrés, aux prodiges qui ont fini le c
e et en demander vengeance. Hamlet. Exclamations à la vue du spectre,
vient
-il du ciel ou de l’enfer ? Il l’interroge. Le spe
lera de parricide ; Hamlet n’interrompra que par exclamations. Enfin,
viendra
le récit du crime de Claudius, pendant que le roi
ue nouveau compliment et ouvre la bouche pour réclamer son argent. Je
venais
… Je suis venu… J’étais Je voudrais bien Je… Vous…
iment et ouvre la bouche pour réclamer son argent. Je venais… Je suis
venu
… J’étais Je voudrais bien Je… Vous… etc. Mais il
Ne m’emportes-tu rien ? LAFLÈCHE. Que vous emporterais-je ? HARPAGON.
Viens
ça, que je voie ; montre-moi tes mains. LAFLÈCHE.
ppartenait point à nos climats ; le temps de sa floraison n’était pas
venu
; mais, malgré ses brillantes promesses, à peine
r un arbre — … Une source qui coulait au pied de l’arbre lui cria : «
Viens
dans mon sein » — … La goutte d’eau refusa, préfé
ant à aller prier la fourmi de lui donner quelques provisions ; puis,
viendra
la conversation qui amènera l’épiphonême. N° 8
’aux simples malins Au dire de chacun étaient de petits saints. L’âne
vint
à son tour, et dit : J’ai souvenance, Qu’en un pr
gue, Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où
venait
tout le mal. Sa peccadille fut jugée un cas penda
nt30… L’océan bouillonnant entraîne les forêts31… Les animaux du nord
viennent
heurter ceux du midi32 — …Tous oublient leur féro
orizon et disparaître comme par enchantement tout le tableau. La lune
viendra
avec son cortège d’étoiles couronner gracieusemen
mes48…, il regarde la nature49 — Tandis qu’il croît — un vieil oiseau
vient
mourir sur les bords du fleuve — … Avis. Dans l’
mi détachée des rocs par la tiédeur de l’atmosphère. Si quelque bruit
vient
alors à agiter l’air, l’avalanche se détache avec
ons, on est obligé de vider certains vases à la rue56 — Si la peste y
vient
, c’est malgré la douane. — Les galériens y or-men
il a besoin d’une mère59 — Seul, l’enfant se perd60 — …Mais, comment
venir
au secours de cette pauvre mère — … La bienfaisa
ées, couronnées d’ifs. Enfin, on arrive à la solitude, ou saint Bruno
vint
s’établir il y a plus de 700 ans. Là est encore s
seuls jusqu’à l’hospice. La neige tombe — … Plus de roule — … La nuit
vient
— … Le voyageur ne peut plus avancer — … Vaincu p
ns qui vont suivre. N° 133. — L’Eté Le fils brillant du soleil…
vient
régner à son tour… Ses cheveux sont des flammes.
’Automne L’automne est personnifié sous les traits d’une déité, il
vient
accomplir les promesses du printemps. La déesse s
ur sa trace fumante, Sur les rangs écrasés forment de nouveaux rangs,
Viennent
braver la mort sur les corps des mourants. Cepend
écipitent leurs ondes Dans le lit trop étroit qu’ils vont se disputer
Viennent
au même instant tomber et se heurter Le flot choq
rête et tous les sens frémissent. Et dans les airs pesants que le son
vient
froisser, Un dirait qu’on entend l’âme des morts
le gauche du roi. — Les deux infanteries, qui formaient le centre, en
vinrent
aux mains. L’infanterie de Cromwell était command
de le laisser faire99 — Les royalistes plient, et voilà Cromwell qui
vient
pour les achever ; — à cette vue, Charles 1er se
ses bras en croix, pour rappeler le souvenir du Sauveur — … Les bêtes
vinrent
et ne la touchèrent point — … On la reconduisit e
derrière lui — … Trois lois cette manœuvre est exécutée — … Le tigre
vient
lentement et à pas comptés… mais cette fois c’est
pleurai ni ne répondis point jusqu’au lendemain — … Quand le jour fut
venu
, voyant la faim peinte sur ces quatre visages, je
ncieux. — Le quatrième jour, Gaddo égaré, me dit : — Mon père, que ne
viens
-tu me secourir ? et il mourut. Ainsi firent les t
porter deux sanglantes défaites, ils poursuivirent leurs triomphes et
vinrent
les attaquer jusque dans l’Impériale, leur capita
des ténèbres, voulant contrarier les projets du Dieu des chrétiens, —
vint
ranimer le courage des barbares — … il quitte les
tour pour escalader Jérusalem au premier assaut ; Argant et Clorinde
viennent
l’embraser pendant la nuit. Tancrède accourt à ch
nlever les morts à domicile pour les déposer sur le char funèbre (1),
vient
pour prendre la jeune fille — … Mais la mère lui
Cécile — … et lui fait ses adieux — … Puis elle dit à l’appariteur de
venir
la prendre elle-même ce soir, et qu’elle sera peu
e il buvait du lait — … Une feuille de chêne, détachée par les vents,
vint
tomber dans sa coupe — … il se trouble — … Dénou
e plus subtil des poisons. Tableau de la frayeur de Molina. — Le jour
vient
— … Cet infortuné voit toute l’horreur de sa posi
s — … Le père sème le blé — … Un druide, jaloux de voir les moissons,
vient
près de Loïs, lui demande à voir le lieu où il a
a racine pour la détacher — … Il rit épouvantablement, en me disant :
Viens
— … Mon bras enlaçait l’arbre — … J’avais un geno
, suivi de son maître — … Bug-Jargal m’encourage et ordonne à Rask de
venir
près de moi — …Le chien accourt et me saisit par
et sur le parquet — … Grande frayeur de la pauvre enfant — … Son père
vient
à ses cris — … Il réussit à s’emparer du chapeau
— … (Petite allégorie.) Nœud. Le génie les rassure et dit qu’il est
venu
pour exaucer leurs vœux ; il leur ordonne de parl
dit gracieusement la bourse — … Dénouement. Cependant, la nuit était
venue
et aucun esclave n’avait apporté les trésors du c
i lui fut volé par un officier du sultan Masud — … Le pauvre homme me
vînt
se plaindre au sultan, qui en ce moment était à l
clave s’acquitte de sa commission et trouve l’officier qui, enchanté,
vient
offrir le melon au sultan — … Masud dit alors au
é, mais bientôt il lui rend la libellé pour cinq cents sequins — … Il
vient
alors annoncer son marché au sultan — … Dénoueme
; Honain est jeté en prison — … Quelque temps après le calife le fait
venir
, et lui présente devant toute sa cour, d’un côté
on l’attachât à un arbre au milieu d’un bois — … Deux jours après, on
vint
voir ce qu’elle était devenue ; on la trouva ento
° 183. — Le Palmier bleu (Forme épistolaire) Exposition. La nuit
venait
— … J’étais dans un désert — … Je m’étais assis s
dit qu’elle était la fée Gorek, la protectrice des sages, et qu’elle
venait
pour combler mes vœux — … que je suivrais la vall
eilleux — … Mais les lions m’aperçurent — … En ce moment la fée bleue
vint
me défendre, elle me reprocha ma faiblesse, puisq
ne. N° 185. — Les deux Nègres Fait. La goélette les Six Sueurs
venait
d’être incendiée en pleine mer. Les passagers et
s projets, Celui-ci les devine. François trouve la trace de l’ours et
vient
en prévenir Guillaume, qui refuse toujours de s’a
et l’ours est blessé mortellement, mais il s’enfuit, sort du verger,
vient
prendre le vent, et rentre dans le verger pour co
c mépris. Il s’agenouille, la hache se lève, et la tête du prisonnier
vient
frapper la pantoufle de Charles XI. Le roi, resté
sans accident. N° 200. — Kenneth et Conrad Les prêtres étaient
venus
prier dans l’arêne. Les trompettes d’Angleterre a
acontent à leurs enfants les hauts faits de l’héroïne ; les voyageurs
viennent
voir cette maison et s’inclinent. Aussi Girardin
vait résolu de la détruire ; les malheureux habitants de cette ville,
venaient
d’apprendre la détermination du vainqueur. Tablea
oire de Lacédémone. On veut terminer le repas par des chants, on fait
venir
un poète. Il prélude sur sa lyre, et ses vers rep
fille d’un roi ! Et la mort ne termine pas mes douleurs. Ô mon père !
Viens
me défendre ; Dieux puissants, vengez-moi. Oreste
du lit, et coupe… Dénouement. Un des jambons du plancher — … Le jour
vient
; on nous appelle — … On nous sert un excellent d
rerait du côté où il allait et l’entraîna ailleurs — M. de St-Hilaire
vint
le prier de visiter une batterie — Turenne se ret
es qui recevaient l’âme du chancelier — … Un jeune père de l’Oratoire
vient
pour prononcer l’oraison funèbre — … Tout le mond
monde fut retiré, une servante, alléchée par la récompense du louis,
vint
me proposer un lit, et me conduisit dans une bell
porte est fermée, la fenêtre barricadée — … Je prie Dieu — … Le jour
vient
, et apercevant ma clef sur un meuble, je sors, j’
rrivés à la ville voisine, nous ai sons une déclaration, et la police
vient
avec nous sur le théâtre du crime — … On arrête t
te tout le monde, la servante s’était cachée dans un grenier — … Elle
vient
et veut me rendre mon louis. — … Petit dialogue
11. — Le Soldat obéissant Un fusilier travaillait à la tranchée et
venait
d’y déposer un gabion — … Le gabion est emporté p
n quatrième gabion — … Le fusilier répond qu’il sera tué et obéit — …
Vient
un boulet qui lui fracasse le bras — … il regarde
autel — … plein d’innocence, de joie et de céleste amour — … Un jour
vint
où il fallut quitter la ma « son maternelle pour
is-Guilbert, mais elle pourrait échapper au supplice, si un chevalier
venait
combattre pour sa cause — … Personne ne se présen
ous ? demande le héraut d’armes — … Je suis noble et chevalier, et je
viens
combattre pour Rébecca à outrance avec l’aide de
mère alarmée voit un corbeau, et ses craintes en augmentent — La nuit
vient
— … Le chasseur ne paraît pas — … et la pauvre mè
t par le nœud, c’est-à-dire par l’allocution de la mère. L’exposition
viendra
immédiatement après, et vous achèverez le nœud, c
Vautre, dans l’âge mûr, homme vaillant, se nommait Pierre de Kœpf — …
Vint
un moment où l’on crut que leur haine allait fini
t un vacarme horrible et tuaient tous les passants —. Enfin, un moine
vint
à la montagne et l’exorcisa — … Pilate trembla et
ira seul dans une montagne — … Le monde l’y suivit, riches et pauvres
venaient
le consulter — … Meinrad, trop interrompu dans se
ns — … Deux misérables, croyant trouver sa cellule pleine de trésors,
vinrent
pour l’assassiner — … Il devina leur projet, et l
’assassiner — … Il devina leur projet, et leur dit qu’ils auraient dû
venir
plus tôt pour assister à sa messe, leur donna sa
ntigone. Elle est innocente et elle implore mon pardon. Mon Antigone,
viens
sur mon sein, entoure-moi de tes bras, fille chér
OMPOSITIONS N° 224. — Fénelon au Duc de Bourgogne Note. Fénelon
vient
d’être disgracié ; on lui a ordonné de quitter la
igneurs sont assemblés, elle paraît devant eux. Elle leur dit qu’elle
vient
se jeter dans leurs bras avec son fils qui n’a qu
oyen de conserver votre royaume ? Vous êtes en France, où il faudrait
venir
si vous n’y étiez pas, et vous voulez en sortir !
les murs de Rome. Il assiégeait cette ville lorsque sa mère Véturie
vint
dans son camp pour le conjurer d’accorder la paix
au contraire, que deviendra-t-elle ? Comment a-t-il eu le courage de
venir
dévaster les lieux qui font nourri ? S’il continu
e l’univers, et c’est, le peuple, qui portait autrefois ce titre, qui
vient
implorer la clémence du vainqueur ; ce sera là le
es-mêmes à cet horrible festin. Il les prie de le délivrer. Celui qui
viendrait
déchirer dans leurs bras leurs enfants et leurs é
vous auriez aujourd’hui à rendre, et sur ce que vous seriez, si l’on
venait
vous juger en ce moment, vous pouvez presque déci
ef de La famille meurt, on se console assez vite ; mais si l’héritier
vient
à mourir, la désolation n’a plus de bornes. Eh bi
t un Dieu qui vit en elle, un Dieu qui lui parle. Eh ! Sans lui, d’où
viendrait
ce dégoût des faux biens, ce grand pressentiment,
age comme dans les eaux d’un lac. Bel enfant qui me ressembles, oh !
Viens
avec moi, disait-il, viens, ensemble nous se-sero
n lac. Bel enfant qui me ressembles, oh ! Viens avec moi, disait-il,
viens
, ensemble nous se-serons heureux ; de toi la terr
in du choc affreux des orages. Hé quoi ! Les chagrins, les tristesses
viendraient
troubler ce front si beau, et ces yeux « d’azur s
l’amertume des pleurs. Non, non, dans les plaines de l’infini, tu vas
venir
avec moi, Dieu te fait grâce des jours que tu dev
e l’on inhume, passent devant ses yeux, avec leur linceul blanc ; là,
vient
la jeune personne, et puis la pauvre mère, avec l
Le monde cruel et insensible la dédaigne et la repousse, personne ne
vient
lui tenir compagnie ; mais, pour se consoler, ell
l’autre fait des bulles de savon, etc. 19. La Reine de ce palais va,
vient
, se regarde dans les glaces, etc. 20. Signalez l
nimaux : La chèvre broute, les poules grattent la terre, les moineaux
viennent
becqueter les miettes de pain, les hirondelles ch
Ce choix de morceaux destinés à être lus, médités et appris par cœur
vient
après mille autres excellents recueils qui l’ont
e la nuit ténébreuse, Te montres la dernière et la plus radieuse, Qui
viens
fermer leur marche, et places ton retour Entre la
étendard Qui traversait les airs aussi vite qu’un dard ; Et derrière
venait
une si grande foule Sur cette triste plage où le
puis je m’avançai vers le fleuve en tremblant. Voici, sur un esquif,
venir
un vieillard blanc, Criant : « Malheur à vous, ma
ieu, Dans l’éternel enfer et de glace et de feu ! Et toi, vivant, qui
viens
sur ces rivages sombres, Éloigne-toi des morts et
s et le lieu de leur enfantement ; Puis, en pleurant bien fort, elles
vinrent
ensemble À la rive maudite où leur destin rassemb
ment, qu’à ce seul souvenir Je sens un froid de mort jusqu’à mon cœur
venir
, Et mon sang s’arrêter comme en ce jour d’alarmes
joie ; Tels que des loups errants par des sentiers obscurs, Les Grecs
viennent
saisir leur proie. Hélas ! demain, à son retour
luira plus pour Troie. Ô détestable nuit ! ô perfide sommeil ! D’où
vient
qu’autour de moi brille une clarté sombre ? Quels
Jupiter ; Heureux sont les parents qui tels vous firent naître ! Mais
venez
, que mes mains cherchent à vous connaître ; Je cr
. Prends soin du vieil aveugle. — Ô sage magnanime ! Comment, et d’où
viens
-tu ? car l’onde maritime Mugit de toutes parts, s
u d’hospitalité, Lorsque d’énormes chiens, à la voix formidable, Sont
venus
m’assaillir ; et j’étais misérable, Si vous (car
, Les tigres et les loups, vaincus, humiliés, D’un chanteur comme toi
vinrent
baiser les pieds. — Les barbares ! j’étais assis
teignent dans l’oubli ; Que ton nom dans la nuit demeure enseveli ! —
Viens
, suis-nous à la ville, elle est toute voisine, Et
icos, deux fois hospitalière ! Car sur tes bords heureux je suis déjà
venu
; Amis, je la connais. Vos pères m’ont connu : Il
r, Fleuves, terre, et noirs dieux des vengeances trop lentes, Salut !
Venez
à moi, de l’Olympe habitantes, Muses ! Vous savez
populaire à force de génie, Et que ses actions n’ont jamais démentiel
Venez
donc, offrez-lui vos vœux reconnaissants ; Offrez
; c’est lui que tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois.
Venez
, généreux fils, en qui l’affront d’un père Ferait
i trouvez des appas Dans ce bruit glorieux que laisse un beau trépas,
Venez
au vieil Horace apporter votre offrande. Venez, j
laisse un beau trépas, Venez au vieil Horace apporter votre offrande.
Venez
, jeunes beautés, Chimène la demande. Accourez tou
x de les entendre, Pour jouir de sa gloire, il descend parmi nous. Il
vient
, honneur à lui ! levez-vous, levez-vous !… Aux ac
donnée, Qui n’a pas dû rester pour voir mourir son fils ; Dieu jeune,
viens
aider sa jeunesse. Assoupis, Assoupis dans son se
e bien-aimée. Oh ! que tes yeux sont doux ! que ton visage est beau !
Viendras
-tu point aussi pleurer sur mon tombeau ? Viendras
n visage est beau ! Viendras-tu point aussi pleurer sur mon tombeau ?
Viendras
-tu point aussi, la plus belle des belles, Dire su
Tu vois dans quels ennuis dépérissent mes jours. Écoute ma prière et
viens
à mon secours : Je meurs ; va la trouver : que te
s, Haletante, de loin : « Mon cher fils, tu vivras, Tu vivras. » Elle
vient
s’asseoir près de la couche ; Le vieillard la sui
sourire à la bouche. La jeune belle aussi, rouge et le front baissé,
Vient
, jette sur le lit un coup d’œil. L’insensé Trembl
ui, certes, et d’une étrange sorte. Des extrémités de l’Orient il lui
vient
une grande lettre, qui délivre la vérité opprimée
nds frais dans cette voie qu’elle n’avait point choisie : un jour est
venu
où elle n’a pas voulu l’y suivre plus loin ; l’em
es misères attachées à la condition humaine, n’avait pas même songé à
venir
au secours de ses frères souffrants. On ne trouve
ra pas, car il frappe tous les yeux, s’il n’émeut pas tous les cœurs.
Venez
, suivez les pas de la religion d’amour, comptez,
t, il roula jusqu’au fond de l’abîme, Et de ses pins, dans l’onde, il
vint
briser la cime. — « Merci ! cria Roland, tu m’as
Les Grecs et les Italiens L’Italie, où la littérature grecque
venait
d’être transportée par les soins de Boccace et de
mort, Plusieurs voix dans mon cœur ont jeté l’épouvante Sur ma vie à
venir
, encor que je me vante D’être bien équarri contre
quiète De savoir quels revers la fortune m’apprête ; Quand on le voit
venir
, moins perçant est le trait. » Ainsi dis-je, par
s’entassèrent dans ce qui se trouva de carrosses et dans ce qu’il en
vint
aussitôt après. En un instant Meudon se trouva vi
l eut peine à trouver quelqu’un pour aller chercher des capucins pour
venir
prier Dieu auprès du corps. Saint-Simon.
iberté du commerce les jurandes et les maîtrises ; vite l’abus frappé
venait
se réfugier sous la protection du parlement, qui
mes de fer, il faut avoir présents à l’esprit les périls auxquels ils
viennent
arracher la civilisation, il faut toujours se rap
et son argent ; il apportait les sympathies de la vieille Europe, il
venait
dire aux Américains : « La France est avec vous.
uses, ses paroles entrecoupées, ses chairs palpitantes ; mais bientôt
venait
la lumière : alors son esprit faisait en un insta
mère tremblante, appelant du regard L’enfant qu’il faut bénir, et qui
viendra
trop tard ! Combien d’autres, perdus dans un rêve
ue et n’eût pesé que sur les esprits ! Mais, par deux fois, la France
venait
d’en faire la triste expérience, il en était sort
es jeunes cœurs ; une ère nouvelle commençait. Nos titres de noblesse
venaient
d’être retrouvés, chacun redressa la tête, et ce
use sans nul empêchement, et qu’une fausseté, de quelque part qu’elle
vienne
, est bientôt démentie par les intéressés que rien
de tonnerres, Comme un mont Sinaï ! Courbés comme un cheval qui sent
venir
son maître, Ils se disaient entre eux : « Quelqu’
arrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je
viens
seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’as
es monts, la liberté sacrée. C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit
venir
, Ou, s’il l’a dans le cœur, qu’il l’y sent tressa
égout sordide et boueux, Où mille noirs courants de limon et d’ordure
Viennent
traîner leurs flots honteux ; Un taudis regorgean
à déchirer Un misérable coin des guenilles sanglantes Du pouvoir qui
vient
d’expirer. VI Ainsi, quand désertant sa b
e joie, et prépare d’avance Ses larges crocs pour le festin ; Et puis
vient
la cohue, et les abois féroces Roulent de vallons
et consoles la terre. Hélas ! depuis longtemps tes rayons glorieux Ne
viennent
plus frapper ma débile paupière ! Je ne te verrai
ir, Mêlez ma cendre aux cendres de Tyrtée : Sous ce beau ciel je suis
venu
mourir. Béranger. Les hautes cimes So
y sont engagés, qui pressent la foule des fidèles, qu’on entend déjà
venir
à droite et à gauche. Les parois de la muraille s
tes, quelquefois avec des teintes de lilas, de rose et de pourpre, et
venaient
mourir sur une plage de sable ou caresser les roc
ur est couverte d’hommes qui taillent et qui coupent, qui vont et qui
viennent
, qui roulent ou qui charrient le bois du Liban, l
t et chargé d’affaires, qui, à votre tour avez besoin de mes offices,
venez
dans la solitude de mon cabinet ! le philosophe e
ils poursuivent, ils en font peu de cas, par comparaison aux choses à
venir
. Échouent-ils au contraire dans quelque entrepris
ôtes, Villages où les morts errent avec les vents, Bretagne ! d’où te
vient
l’amour de tes enfants ? Des villes d’Italie, où
usons ; et, s’il fait soleil, la promenade au bord de la mer qui voit
venir
à elle une mère, son enfant dans les bras ; les l
vins-je, hélas ! quand, après sa victoire, Il me dit tout en pleurs :
Viens
, je te dois ma gloire, Viens ! je t’aime ! fuyons
sa victoire, Il me dit tout en pleurs : Viens, je te dois ma gloire,
Viens
! je t’aime ! fuyons !……… Va-t’en ! disais-je, v
aime ! fuyons !……… Va-t’en ! disais-je, va ! Notre amour est fatal !
Viens
, me répondait-il, ou bien je meurs ! Dans l’ombre
le entre Agamemnon et Achille ACHILLE. Un bruit assez étrange est
venu
jusqu’à moi, Seigneur ; je l’ai jugé trop peu dig
osèrent-ils descendre ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me
vint
-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me
salie. Moi-même je vous rends le serment qui vous lie. Assez d’autres
viendront
, à mes ordres soumis, Se couvrir des lauriers qui
res qu’il présage, Ou pour cacher ses pleurs, s’est voilé le visage ;
Venez
, puisqu’il se tait, venez, par vos discours, De v
cacher ses pleurs, s’est voilé le visage ; Venez, puisqu’il se tait,
venez
, par vos discours, De votre défenseur appuyer le
el a voulu vous la rendre. CLYTEMNESTRE. Elle vit ! et c’est vous qui
venez
me l’apprendre ! ULYSSE. Oui, c’est moi qui longt
nos armes, Par d’austères conseils ai fait couler vos larmes : Et qui
viens
, puisqu’enfin le ciel est apaisé, Réparer tout l’
ice accusait la lenteur. Elle-même tantôt, d’une course subite, Était
venue
aux Grecs annoncer votre fuite. On admire en secr
énie Dans ce commun bonheur pleure son ennemie. Des mains d’Agamemnon
venez
la recevoir ; Venez : Achille et lui, brûlent de
bonheur pleure son ennemie. Des mains d’Agamemnon venez la recevoir ;
Venez
: Achille et lui, brûlent de vous revoir, Madame,
ai point recueilli sur ton triste bûcher Ces cendres que bientôt l’on
viendra
m’arracher !… Ô regrets du passé !… Doux rêves de
Il faut encore attendre. VALÈRE. Est-ce Brute qui parle ? Et que
viens
-je d’entendre ? Brute tient sa vengeance, et diff
t : Il outrage une femme, et ce jour, il périt. VALÈRE. Mais quand en
viendront
-ils à ce point ? BRUTE.
s nôtres. Enfin Rome se meurt, si par un brusque effort, Une crise ne
vient
l’arracher à la mort. Pour la régénérer et lui re
ve au-dessus du vulgaire. Ma faveur fait ta gloire, et ton pouvoir en
vient
; Elle seule t’élève, et seule te soutient ; C’es
hridate MITHRIDATE. Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est
venue
Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue. À m
e longtemps, soigneux de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me
vienne
chercher. La guerre a ses faveurs ainsi que ses d
tous les chemins par où je dois passer ; Et, si la mort bientôt ne me
vient
traverser, Sans reculer plus loin l’effet de ma p
z-vous que l’Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y
vient
finir son cours ; Que du Scythe avec moi l’allian
nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le bruit, à Rome, en
vienne
jusqu’à moi. Racine. Dernière péripétie d
dignes de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux Romains, À
venir
prodiguer sa voix sur un théâtre, À réciter les c
udissements. » Ah ! ne voulez-vous pas les forcer à se taire ? NÉRON.
Viens
, Narcisse : allons voir ce que nous devons faire.
urs moi, dont le nom s’échappe de sa bouche Lorsqu’un remords vengeur
vient
secouer sa couche. Mais s’il charge mes jours du
dont il a fait les siens, Se lève entre nous deux, nous désunisse, et
vienne
S’emparer de sa vie et me rendre la mienne. C.
. FRANÇOIS DE PAULE. Ah ! puisqu’il est des maux que tu peux réparer,
Viens
! LOUIS, debout. Où donc ? FRANÇOIS
x pieds du roi. La charité l’ordonne.
Viens
, viens sauver ton âme. LOUIS.
du roi. La charité l’ordonne. Viens,
viens
sauver ton âme. LOUIS.
ormes visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me dit, Quand je
viens
le prier : Que me veux-tu, maudit ? Un démon, si
y plonge et m’assassine. Je me lève éperdu ; des flots de sang humain
Viennent
battre ma couche, elle y nage, et ma main Que pen
La peur de l’épuiser est mon plus grand tourment ! FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
donc, en essayant du pardon des injures, Viens de
PAULE. L’est-on quand on n’est pas aimé ? Ah !
viens
. LOUIS. Non, laissez-moi du te
défiance, en vous mettant ma foi, Comme une suppliante enfin, j’étais
venue
; Et vous, entre vos mains vous m’avez retenue. D
grandiront sans doute et leur raison Portera d’heureux fruits, quand
viendra
la saison ; Mais le peuple actuel, qui manqua de
i pas ce génie ; Je veux tout simplement briser la tyrannie ; Qu’elle
vienne
d’en haut, qu’elle vienne d’en bas, Elle est la t
out simplement briser la tyrannie ; Qu’elle vienne d’en haut, qu’elle
vienne
d’en bas, Elle est la tyrannie, et je ne l’aime p
Le Barbare l’atteste, et peut s’en souvenir. Un jour, il apparut : il
venait
envahir, Il venait inonder de feux et de fumée No
e, et peut s’en souvenir. Un jour, il apparut : il venait envahir, Il
venait
inonder de feux et de fumée Nos guêpiers qu’il vo
e l’égal, Et n’avais plus de bon que la haine du mal, Quand vous êtes
venue
en mon orgueil aride Épancher la fraîcheur de vot
: et quand à son caprice On a cédé fortune et repos et bonheur, Elle
vient
fièrement vous demander l’honneur ; Non pas cet h
Le Misanthrope. — Scène des portraits. CLITANDRE. Parbleu ! je
viens
du Louvre, où Cléonte, au levé, Madame, a bien pa
avagance. ACASTE. Parbleu ! s’il faut parler de gens extravagants, Je
viens
d’en essuyer un des plus fatigants : Damon, le ra
CÉLIMÈNE. Le pauvre esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle
vient
me voir je souffre le martyre : Il faut suer sans
hardis compagnons ; Retourne aux champs déserts, aux champs d’où nous
venons
; Portes-y ta jeunesse et tes saines idées ; Qu’e
re missionnaire dépourvu de tous les talents que vous exigez quand on
vient
vous parler de votre salut. J’éprouve cependant a
d’un côté la mort qui nous menace, et de l’autre, mon grand Dieu qui
vient
vous juger. Je tiens aujourd’hui votre sentence à
et par-dessus tout l’éternité, l’éternité ! voilà les sujets dont je
viens
vous entretenir, et que j’aurais dû sans doute ré
éricordes. Alors, pénétrés d’horreur pour vos iniquités passées, vous
viendrez
vous jeter entre mes bras en versant des larmes d
vous auriez aujourd’hui à rendre ; et sur ce que vous seriez, si l’on
venait
vous juger dans le moment, vous pouvez presque dé
t contre l’insurrection des Pays-Bas, est dans les troupes qu’il fera
venir
des autres États qui lui sont soumis ; et si le m
qu’il vous a faites. Vous l’avez appelé au milieu de vous : il y est
venu
; il y est venu avec calme, avec courage, avec di
ites. Vous l’avez appelé au milieu de vous : il y est venu ; il y est
venu
avec calme, avec courage, avec dignité, il y est
venu ; il y est venu avec calme, avec courage, avec dignité, il y est
venu
plein du sentiment de son innocence, fort de ses
de la dynastie déchue, et qui propose une enquête sur nous, comme il
vient
d’en faire une au nom de la chambre sur l’ancien
enseignes déployées. Je ne lui demanderai pas qui elle est, d’où elle
vient
, où elle va ; elle mentirait. Je la juge par ses
à l’abrutissement et à la servitude. Mais le mouvement des esprits ne
vient
pas seulement des livres. Né de la liberté des co
touché de son doigt, c’est une source qui féconde le désert. Le jour
venu
, Notre-Dame se remplit d’une multitude qu’elle n’
ais d’émouvoir. L’archevêque tressaillit visiblement ; une pâleur qui
vint
jusqu’à mes yeux couvrit son visage, il releva la
ts ! s’écrie avec hauteur Un ignorant fourré, fier du nom de docteur,
Venez
à moi ; laissez Massillon, Bourdaloue ; Je veux v
. Mais le premier de tous, un dieu que chacun vante, Homère, d’où lui
vient
cette gloire éclatante ? N’est-ce pas qu’il savai
ien devant les yeux ; esprits amis de la lumière, qui, lorsqu’il leur
vient
une idée à mettre en œuvre, la considèrent longue
, tyran des hommes et des dieux ! Puis, ivres des transports qui nous
viennent
surprendre, Parmi nous, dans nos verres, revenons
tiques. A. Chénier. De l’imitation littéraire Nous sommes
venus
tard dans l’univers. Nous ne pouvons secouer le s
ivera de rencontrer des tours, des expressions, des hardiesses qui ne
viendraient
pas trouver un homme moins fortement excité. Ce q
’œil, et son chef- d’œuvre sont ces raisins de Zeuxis que les oiseaux
venaient
becqueter. Le comble de l’art pour une pièce de t
Dieu lui-même le voit. « Il a déployé les cieux ainsi qu’une tente. »
Vient
-il à s’irriter : « il les roule comme un livre, e
a tranquille sérénité du ciel même : Celui que la terre attendait est
venu
, « Le Verbe s’est fait chair, et il a habité parm
sa ville. Joseph partit aussi de la ville de Nazareth en Galilée, et
vint
dans la Judée, à la ville de David, appelée Bethl
era point, sa voix ne retentira point dans les places publiques. » Il
vient
à nous plein de douceur. Sa parole est simple, et
Beaucoup de péchés lui seront remis, parce qu’elle a beaucoup aimé. —
Venez
à moi, vous tous qui souffrez et qui êtes oppress
M. Patin 82. Saint Paul N’attendez pas de l’Apôtre ni qu’il
vienne
flatter les oreilles par des cadences harmonieuse
ant de fameuses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où
vient
cela, chrétiens ? C’est que Paul a des moyens pou
est répandue et mêlée dans l’auguste simplicité de ses paroles. De là
vient
que nous admirons dans ses admirables Épîtres une
historien Quelle admirable revue de tous les peuples ! Comme ils
viennent
tour à tour devant Bossuet témoigner de leur faib
Achètent l’abondance à force de bassesses : Assise dans ce cirque où
viennent
tous les rangs Souvent bâiller en loge, à des pri
mme suffise à cette mobilité ? Aussi s’y épuise-t il bien vite. Alors
viennent
les dégoûts et les amertumes ; alors vient le dép
e-t il bien vite. Alors viennent les dégoûts et les amertumes ; alors
vient
le dépit de se trouver moins avancé à quarante an
Nos petits marquis rengorgés, Nos Robins toujours arrangés, Chez toi
venaient
se reconnaître ; Et tu les aurais corrigés, Si l’
ur, comme ce jour où, entrant au théâtre de Rome dans le moment qu’on
venait
d’y réciter ses vers, il vit le peuple se lever t
nt ensemble, pas un quatrième, si grand qu’il fût, n’aurait l’idée de
venir
se mêler à leur entretien, ou à leur silence, tan
entons- nous de les sentir, de les pénétrer, de les admirer, et nous,
venus
si tard, tâchons du moins d’être nous-mêmes. Fais
suffit pas que votre libelle94 me déchire en public ; vos lettres me
viennent
quereller jusque dans mon cabinet, et vous m’envo
Comme je suis donc sa seule consolation, après l’avoir été voir, elle
viendra
ici, et je veux qu’elle trouve mon parterre net e
ue les poètes ont célébrée, prendre tous ceux qui travaillaient, pour
venir
nettoyer ici ; vous n’y voyez encore goutte ; et,
on sait faner. Tous mes gens y allèrent gaiement ; le seul Picard me
vint
dire qu’il n’irait pas, qu’il n’était pas entré à
ols au second banc, derrière les duchesses. Le maréchal de Bellefonds
vint
se mettre par choix à mon côté droit, et devant c
tait auprès d’une damé qui était bien digne d’avoir vu Esther. Le roi
vint
vers nos places, et, après avoir tourné, il s’adr
ssa l’objet de l’envie. Comme il n’y avait quasi que. moi de nouvelle
venue
, il eut quelque plaisir de voir mes sincères admi
ations sans bruit et sans éclat. M. le prince, madame la princesse me
vinrent
dire un mot ; madame de Main tenon un éclair ; el
quetteries de tant d’années. Le cœur m’a palpité à l’autel. Je compte
venir
, cet hiver prochain, vous rendre compte de tout,
èce de contrat qu’il a signé avec moi, et que je vous enverrai ; mais
viendrez
-vous gagner votre douaire de quatre mille livres
et ouvrage avec quelque indulgence, et regardez-moi comme un fils qui
vient
, après plusieurs années, présenter à son père le
contre toutes les règles de la morale, d’une fièvre chaude qui était
venue
assaillir les Français, pour se jeter sur leur pa
revenir à la tranquillité de la foi. Qui sait si le moment n’est pas
venu
! Vous avez cherché, dans la sincérité de votre c
ez chez notre pauvre ami L…, qui le console dans un si grand malheur,
viendra
ajouter sa douceur infinie à votre prospérité. So
clarer que leur auteur est un fou, et qu’il est urgent de l’enfermer.
Venons
à vous, chère madame, permettez-moi de toucher un
ple soulevé lui prodigue l’insulte ; On s’arme, on est déjà près d’en
venir
aux mains ; Les meneurs triomphaient. Pour rompre
e second proposé fut accueilli de même ; Et ce fut encor pis quand on
vint
au troisième. Quelques autres après ne semblèrent
n vieux vin de Formie Te verse le bonheur et l’oubli de tes maux.
Viens
chercher un abri sous l’ombre hospitalière Du pâl
le voilà prêt à l’ouïr avec un respect exemplaire. Que le prédicateur
vienne
à paraître : si la nature lui a donné une voix en
couvre naissent les ridicules persuasions qu’il a de lui-même. De là
viennent
ses erreurs, ses ignorances, ses grossièretés et
ignorances, ses grossièretés et ses niaiseries sur son sujet ; de là
vient
qu’il croit que ses sentiments sont morts lorsqu’
comme il lui plaît. Il est inconstant, et, outre les changements qui
viennent
des causes étrangères, il y en a une infinité qui
nous pouvions subtiliser toujours de plus en plus les instruments qui
viennent
au secours de notre vue trop faible et trop gross
si que moi, vit accablé d’ennuis, N’est-il pas trop heureux d’en voir
venir
le terme ? Non, le sort qui m’attend, mon âme est
grand parleur, y perdrait tout son temps. Oh ! je voudrais qu’un dieu
vînt
un beau jour leur dire : « Me voici ; que chacun
rveau malsain réclame le secours ! Attends-tu quelque ami, tu vas, tu
viens
, tu cours ; « Nettoyez ce parvis, ces colonnes, q
tion : Jérusalem est déserte ; ses portes sont consumées par le feu ;
venez
et unissons-nous pour la rebâtir. » Tant que les
donc soutenir que la noblesse du sacrifice et là justice de la cause
viennent
en aide à l’idée de la mort et à la grandeur de l
ent populaire les lois ont cessé d’être exécutées, comme cela ne peut
venir
que de la corruption de la république, l’État est
ailleurs ; les employés de la bibliothèque ou les curieux allaient et
venaient
par la salle ; je n’entendais rien, je ne voyais
te un flambeau divin. Quand mon œil fatigué se ferme à la lumière, Tu
viens
d’un jour plus pur inonder ma paupière ; Et l’esp
êvant sur un tombeau, Appuyé sur la foi, m’ouvre un monde plus beau !
Viens
donc, viens détacher mes chaînes corporelles ; Vi
tombeau, Appuyé sur la foi, m’ouvre un monde plus beau ! Viens donc,
viens
détacher mes chaînes corporelles ; Viens, ouvre m
onde plus beau ! Viens donc, viens détacher mes chaînes corporelles ;
Viens
, ouvre ma prison ; viens, prête-moi tes ailes. Qu
nc, viens détacher mes chaînes corporelles ; Viens, ouvre ma prison ;
viens
, prête-moi tes ailes. Que tardes-tu ? parais ; qu
irait peut-être enfin ; peut-être qu’oubliant sa noble origine, il en
viendrait
jusqu’à se regarder, en effet, comme une masse or
les peuples qui ne sont plus, ils se lèveront de leur poussière pour
venir
déposer en faveur des droits de Dieu et des immor
t dans la volupté Noyons ce peu d’instants au néant disputé ! Le soir
vient
: dérobons quelques heures encore Au temps qui no
Que la justice attend, que l’infortune espère, Et que le Christ enfin
vint
montrer à la terre. Ce n’est plus là ce Dieu par
mprendre et pourtant de le voir. Qu’est-ce donc que ce monde, et qu’y
venons
-nous faire, Si pour qu’on vive en paix, il faut v
éduits en poussière, J’irai m’agenouiller pour vous sur vos tombeaux.
Venez
, rhéteurs païens, maîtres de la science, Chrétien
; Hésiode, à son tour, par d’utiles leçons, Des champs trop paresseux
vint
hâter les moissons ; En mille écrits fameux la sa
rmantes et avec ses défauts qui ont aussi leur séduction : le dernier
venu
et le plus grand de la belle dynastie des Vernet
celle de la charité et de tous les degrés de la charité. La religion
vient
alors achever la morale. La méthode prouve d’abor
enfin, qu’il couronne son ouvrage en faisant l’homme. En dernier lieu
vient
l’idée de l’immortalité de l’Âme, et, pour calmer
ir l’air d’un charlatan ; il faut dans le discours que la familiarité
vienne
tempérer la noblesse, reposer l’auditeur et accré
on ne fait que les amuser et les instruire ; il faut que la noblesse
vienne
relever la familiarité, et que l’auditeur maîtris
t. N° 1 1. — A Mme de Grignan. Nous voilà donc à l’année qui
vient
, comme disait M. de Monbason : ma très chère, je
À Mme de Grignan. Ne me parlez plus de mes lettres, ma fille ; je
viens
d’en recevoir une de vous, qui enlève, toute aima
la force de lever les yeux assez hauts pour trouver le lieu d’où doit
venir
le secours : je ne puis encore tourner mes regard
n il est sorti d’où il était, et comment il a passé tant de pays pour
venir
jusqu’à moi : pourquoi il vous a incommodée tout
e, et semble souhaiter que ce beau pays prenne une forme humaine pour
venir
remercier Mme de Grignan du soin qu’elle a pris à
ets pour avoir indisposé par des émanations odorantes l’étrangère qui
venait
admirer ses charmes. Est-il possible d’être plus
embarrassé. Il se méfiait de la fortune de M. le doyen , que Racine
vient
d’obliger. Son ami a donc eu quelques difficultés
peut s’empêcher de sourire en voyant la figure de M. de Grignan, qui
vient
faire un sermon en robe de chambre d’omelette .
Qu’est-ce que le flatteur ? c’est un esprit souple et commode, qui
vient
servilement sourire à tous vos regards, se récrie
éclat du jour ? Charmante et trop modeste fleur, sors de ta retraite,
viens
prendre place en nos jardins. Nous t’aimerons, et
re, un spectacle nouveau, Où tous les morts, sortant de leur tombeau,
Viennent
encor sur une scène illustre, Se présenter à nous
être, avec lequel il communiquait, socialement parlant, était moi. Il
venait
me demander du feu, m’empruntait un livre, un jou
artout et s’élever au-dessus de tout. En divisant les rapports que je
viens
d’unir, l’auteur obtient un plus grand effet : sa
er au-dessus des bienséances sociales. Il dit à l’homme vertueux de
venir
le voir, et il indique l’heure du brodeur et du b
fait rare, qu’un exemple très ordinaire de tout temps. J’ordonne, il
vient
a moi ; je menace, il me fuit ; Je l’appelle, il
. Les deux vers forment tableau mouvant ; on voit le chien qui va et
vient
au commandement de son maître : cette obéissance
e alliance de mots qui aurait son mérite en disant, par exemple : Il
vient
lécher ma main après le châtiment. Ne gardant de
pauvre animal qui ne veut point survivre à son maître, et
vient
mourir sur sa tombe. Ce portrait est moral ; il p
le courage la docilité, l’intelligence, l’amitié, l’abnégation le sou
venir
des bienfaits, l’oubli les châtiments, la sensibi
veut de grands résultats ; car il n’y a que les grands résultats qui
viennent
jusqu’à elle ; or, en fait de grands résultats, i
s, nos femmes mêmes ne bravent-ils pas avec une constance qui ne peut
venir
que du ciel, les croix et les tortures, les bêtes
la connaissance de Dieu, peut-il exister un solide bonheur ? La mort
vient
; et, semblable à un songe, cette vaine ombre de
un passage ? Que veut dire cet appareil ? Pourquoi, fantôme inanimé,
viens
-tu ainsi avec une armure éclatante revoir les pâl
Observe-moi bien. HAMLET. Oui, je t’observe. LE SPECTRE. L’heure est
venue
, où je dois rentrer dans un séjour infect et dans
ottises. MOLIÈRE. On le sait en gros et confusément : mais il en faut
venir
aux détails, et alors on est surpris de l’étendue
tient au cœur. GÉRONTE. Tiens, Scapin, je ne me souvenais pas que je
viens
justement de recevoir cette somme en or ; et je
itôt ravie. (Tirant sa bourse de sa poche et la présentant à Scapin.)
Viens
, va-t-en racheter mon fils. SCAPIN. tendant la ma
mes amis... M. DIMANCHE. Monsieur, je suis votre serviteur ; j’étais
venu
... DON JUAN. Allons vite, un siège pour M. Dimanc
ez-vous là, vous dis-je. M. DIMANCHE. Non, Monsieur, je suis bien… je
viens
pour... DON JUAN. Non, je ne vous écoute point, s
bien ? M. DIMANCHE. Oui, Monsieur, pour vous rendre service. Je suis
venu
... DON JUAN. Vous avez un fonds de santé admirabl
t une brave femme. M. DIMANCHE. Elle est votre servante, Monsieur. Je
venais
... DON JUAN. Et votre petite fille, Claudine, com
tent leurs livres et leurs jeux ; que ma sœur suspende son ouvrage et
vienne
se ranger avec eux auprès de moi. Je vais chanter
nte, aux ailes déployées, étendait les bras comme pour le recevoir :
Viens
, lui disait -il, l’arbre va tomber, ne mange pas
ffle une goutte d’eau. La reine, en cette cour qu’anime la folie, Va,
vient
, chante, se tait, regarde, écoute, oublie, Et dan
Par sa voix appelés, renaissants tour à tour, Tous les siècles rangés
venaient
former sa cour. Plusieurs le front hideux et resp
lons, déborde sur le monde. Là, dans ce trou boueux, le timide soleil
Vient
poser rarement un pied blanc et vermeil ; Là les
ltes naissants sont tombés sans mûrir, Tant de grandes vertus là s’en
vinrent
pourrir, Tant de chars meurtriers creusèrent leur
’en se réunissant à ses semblables, elle devient fontaine. Adieu. » —
Vint
un beau rayon de soleil qui but la goutte d’eau.
ouvenait d’elle ; Je t’ai vue a l’automne, oh ! bonjour, hirondelle !
Viens
! tu portais bonheur à ma maison, et moi Je voudr
t l’âne évidemment. N’en croyez rien un chicaneur (quelque peu clerc)
viendra
rédiger et soutenir l’accusation. Manger l’herbe
n cas aussi pendable ? Soyez-en sûrs, voilà le seul coupable, de lui
vient
tout le mal . C’est un animal maudit, un pelé, u
Sur des bords étrangers tout-à-coup survenus ; Le cèdre jusqu’au nord
vint
écraser le saule ; Des ours noyés, flottant sur l
é se coucha pour mourir. En vain, fuyant aux cieux l’eau sur ses rocs
venue
, L’aigle tomba des airs repoussé par la nue. Le p
s yeux ces restes engloutis. Alors un ennemi plus terrible que l’onde
Vint
achever partout la défaite du monde ; La faim de
les, n’enfante que des images gracieuses ; si quelques peines légères
viennent
troubler les beaux jours qui sont tissus pour lui
eur nouvel hôte, un vieil oiseau, qui se sent abandonné de ses ailes,
vient
s’abattre auprès d‘un courant d’eau ; là, résigné
ourantes attendent en vain les pleurs de l’aurore. Le doux sommeil ne
vient
plus sur les ailes de la nuit verser ses pavots a
tteint comme le temps, les imprudents et les vieillards qui la voyant
venir
lourdement et silencieusement, imaginent qu’il es
u soleil s’enflammant, Change ses pics glacés en rocs de diamant. Là,
viennent
expirer tous les feux du solstice ; En vain l’ast
t connu que sous le nom de curé, et ce nom vénérable dans lequel est
venu
se perdre le sien, indique moins le ministre du t
r bien achever un jour si saintement commencé, les anciens du village
viennent
, à l’entrée de la nuit, converser avec le curé, q
de diminuer la force du vent, semble l’accroître encore ; nous voyons
venir
, d’aussi loin que porte le regard, des collines d
dans les cordages qui me soutiennent contre les coups de mer. La nuit
vient
plus horrible encore ; les nuages pèsent su la me
’homme soit seul. » — et à plus forte raison un enfant. Mais, comment
venir
au secours de cette pauvre mère qui ne peut pas r
t qui ne peut pas emmener avec elle ou son fils ou sa fille ? Comment
venir
au secours des enfants du pauvre, qui chez eux n’
tout cela conduit naturellement à la solitude terrible où saint Bruno
vint
s‘établir avec ses compagnons, il y a plus de sep
euil de sa tente, un vieillard désarmé se présenta. C’était Priam. Il
venait
redemander à l’impitoyable vainqueur le corps meu
tes clartés, Il s’éclaire de feux à la terre empruntés. Quand la nuit
vient
t’ouvrir ta modeste carrière, Tu trouves tous les
ur ta table un pain noir sous une nappe blanche, Dont chaque mendiant
vient
dîmer une tranche ; Des grappes de raisin que Mar
nuage ; une nuit soudaine et profonde investit la terre ; l’ombre ne
venait
point de l’Orient ; elle tomba du haut des cieux
n tour ; ses regards majestueux et doux s’abaissent vers la terre, il
vient
perfectionner l’ouvrage du printemps ; sa tête et
utomne. Personnifié sous les traits d’une déité, le riche automne
vient
enfin accomplir les promesses du printemps ; la d
nes des teintes flétries dont l’hiver, qui doit lui succéder bientôt,
vient
attrister la nature. Une écharpe légère, dont la
eur. Girodet. N° 135. — L’Hiver. L’hiver paraît le dernier et
vient
fermer le cercle de l’année ; il renverse à ses p
la rime, c’est là où est la hardiesse de la figure. Si l’on disait :
Vient
, horrible, éclairer la scène du carnage. La trans
erait régulière. Il est vrai de dire que dans ce vers ainsi construit
vient
serait une cheville, et la tournure pittoresque e
qu’elle se retirait, et continua d’avancer, en faisant dire au roi de
venir
le joindre en toute hâte, de peur que l’ennemi ne
ordres de Fairfax et Skitppon, l’autre sous ceux du roi lui-même, en
vinrent
pareillement aux mains. Nulle action n’avait enco
cédémonienne qu’elle n’aurait peut-être jamais enfoncée, s’il n’était
venu
lui-même fortifier ses troupes par son exemple et
us que dans la miséricorde de Dieu et dans celle du vainqueur. Il fit
venir
les principaux de la ville, et il leur dit : « Je
mille sectateurs de plus. Et Azaël se frappa encore la poitrine ; il
venait
d’encourager l’idolâtrie. Et tous les anges, ses
ant le tronçon qu’il avait gardé et le montrant à cette multitude : «
Venez
le prendre », disait-il ; mais d’une bouche contr
par la même manœuvre la fureur de son sauvage ennemi ; enfin le tigre
vint
à lui à pas comptés, les yeux étincelants, la que
ur, Gaddo se jeta étendu à mes pieds, en me disant : mon père, que ne
viens
-tu me secourir 7 ? et il mourut : et je vis, comm
et les tempêtes. Malheur à la flotte qui, la première après la vôtre,
viendra
braver mon pouvoir ! A peine aura-t-elle paru sur
es. Et pour accroître mes tourments, pour insulter ma douleur, Thétis
vient
chaque jour me presser de son humide ceinture. »
es tristes paroles « : Adieu, Cécile, repose en paix ! ce soir, nous
viendrons
te retrouver pour ne plus nous séparer de toi. En
mourut hier en nous donnant son pain : Elle dort où dort notre père,
Venez
, nous avons froid, nous expirons de faim. L’étran
ubliait pas ; Rien ne leur répondit que l’écho de l’enceinte, Rien ne
venait
que le trépas. La lampe n’était pas éteinte ;
le trépas. La lampe n’était pas éteinte ; L’heure d’un triste son
vint
soupirer minuit : Au loin, d’un char de fête on e
ait mieux plaindre que secourir : Vers eux de toutes parts les pleurs
viennent
s’offrir. Mais on ne venait pas la veille. L. Bel
r : Vers eux de toutes parts les pleurs viennent s’offrir. Mais on ne
venait
pas la veille. L. Belmontet. N° 159. — La Fe
i-même d’inutiles efforts pour surmonter cette faiblesse. Le jour qui
vint
l’éclairer justifia sa frayeur. Il vit réellement
s une touffe de roseaux. Mon bel enfant, lui cria Cérès en soupirant,
venez
à moi, mon bel enfant ! — À la voix d’une femme a
is lui apprend comment le pain se fait avec le blé, et comment le blé
vient
dans les champs. « Grand merci, belle étrangère,
e, monté sur un roc voisin, s’applaudit de sa vengeance. Les dieux ne
viennent
pas toujours à la voix des malheureux ; mais aux
e mieux que tu périsses avec moi ; j’ aime mieux ta mort que ma vie !
viens
! » En même temps, ses deux mains bronzées et cal
craignant mon salut, me criait de son coté, en écumant de fureur : «
Viens
donc ! viens ! » Et il ramassait pour en finir le
n salut, me criait de son coté, en écumant de fureur : « Viens donc !
viens
! » Et il ramassait pour en finir le reste de sa
ong cours dans une forêt de la Castille-Vieille. Un violent orage qui
vint
à éclater tout-à-coup, sépara le roi de sa suite,
ber, fatigué, s’était couché, satisfait des nouvelles richesses qu’il
venait
d’acquérir. L’eunuque qui était de garde au pied
il, enfants de la poussière ; ne fuyez pas votre bienfaiteur. Je suis
venu
pour vous offrir un présent que votre sottise seu
isputaient encore arriva l’esclave du cadi, qui invita le joaillier à
venir
trouver son maître. Il y alla. Le juge l’accueill
toute sa confiance. « Je t’ai fait prier, lui dit-il en finissant, de
venir
me trouver, pour te donner une preuve de ma confi
ourut remercier le cadi de sa généreuse assistance. Cependant la nuit
vint
, et le joaillier se disposait à recevoir les trés
qui le menât loin de cette terrible caverne, quand il vit de nouveau
venir
à sa rencontre l’étranger qui lui avait donné le
courir après le voleur, mais il se ravisa, et dit à son compagnon : «
Viens
, l’ami, nous allons retourner à la maison. Quand
Le calife, alarmé, voulut éprouver si ce soupçon était fondé. Il fit
venir
son médecin, et lui dit : « Honain, j’ai dans le
ançait, et il tremblait, et continuait cependant à la suivre. La nuit
venait
, le ciel, qui avait été grisâtre tout le jour, co
un trou et un reste de clou !.. Cette découverte fit du bruit : elle
vînt
aux oreilles de la justice. On fit des recherches
a bienfaitrice. Mais quand ils voulurent l’emmener avec eux, l’animal
vint
à pas lents confirmer par des caresses et de doux
orek, la protectrice des sages. J’ai entendu tes plaintes, et je suis
venue
pour combler tes vœux, si toutefois ton cœur est
ces fruits enchanteurs. Il semblait qu’un feu secret s’en échappât et
vînt
embraser mon cœur de désirs. Mes lèvres haletaien
titude des hommes et des caprices du sort. Dix des navires d’Auffrédy
venaient
d’être expédiés dans la Méditerranée, dont le com
evant Dieu lui-même ! » — Non, interrompt madame Malfit, que ces mots
venaient
d’éclairer, non, je n’accepte point de dévouement
t de cette fête ; il n’y manque qu’un troubadour dont les doux chants
viennent
émouvoir mon âme, et me donner de sublimes leçons
a bride de son cheval ; le prêtre poursuit sa route. Le lendemain, il
vient
offrir au chevalier ses remercîments, et lui rame
uatre soldats le mènent vers lui : « Mon fils, dit-il, j’ai besoin de
venir
t’embrasser encore, de te répéter ce que je t’ai
r ton malheureux père. Ah ! ne le prie que pour toi ; que mon idée ne
vienne
pas t’attendrir, affaiblir peut-être ce mâle cour
n adresse, toute sa force, tout son courage, il essuie les larmes qui
viennent
obscurcir sa vue, il invoque le Tout-Puissant, qu
l y a quelques années, un pauvre paysan nommé Guillaume Mona. Un ours
venait
toutes les nuits voler ses poires „ car à ces bêt
tous les autres fruits. Il crut d’abord que c’étaient des enfants qui
venaient
faire du dégât dans son clos ; il prit en conséqu
une espérance, que c’était pour ses poires et non pour lui que l’ours
venait
. Effectivement, l’animal parut presque aussitôt a
mme ça. Nous nous reverrons. » Le lendemain, un de ses voisins qui le
vint
visiter le trouva occupé à scier en lingots les d
rès de la porte, Guillaume assis et fumant tranquillement sa pipe. Il
vint
à lui de nouveau. « Tiens, lui dit-il, je n’ai pa
trace de notre bête, ainsi je n’ai plus besoin de toi. Cependant je
viens
te proposer encore une fois de faire à nous deux
aurait pu croire qu’il ne voyait pas même la bête sauvage qu’il était
venu
guetter, et qui semblait le braver en passant si
oujours. Il n’était plus qu’à trente pas. Deux secondes encore, et il
venait
se heurter contre le canon de la carabine du vois
voisin, lorsqu’il s’arrêta tout-à-coup, aspira bruyamment le vent qui
venait
du côté du village, poussa un rugissement terribl
t tout le village fut rassemblé dans le verger de Guillaume. Sa femme
vint
avec les autres. Ce fut une scène horrible. Tous
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde, Triomphante, elle
vint
donner des lois au monde, Et marqua de sa croix l
pite ; Il appelle ; l’écho redouble sa frayeur ; De sinistres pensers
viennent
glacer son cœur. L’astre heureux qu’il regrette a
, à ces pensers, s’arrête dans ses veines. Et quels regrets touchants
viennent
aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis, qu’il
urs, et sur la pierre où implorais les cieux, Le sommeil, malgré moi,
vint
me fermer les yeux. Tout à coup de splendeur et d
Caïn, et vole plein de crainte ! « Oh ! mon frère ! mon frère ! ah !
viens
donc m’embrasser ! — Recule, vil serpent, tu vien
! mon frère ! ah ! viens donc m’embrasser ! — Recule, vil serpent, tu
viens
pour m’enlacer ! — Mon frère, sauvons-nous des fu
ir tonnerre ; Sa mère appelle : ô Dieu ! c’est la voix de sa mère ! «
Viens
, viens, ô mon cher fils ! ramène mon Abel ! Fuyez
erre ; Sa mère appelle : ô Dieu ! c’est la voix de sa mère ! « Viens,
viens
, ô mon cher fils ! ramène mon Abel ! Fuyez tous d
’on doutât de tout, excepté de la médecine. Ce soir là, il avait fait
venir
pour le consulter sur je ne sais quelle indisposi
ait pas été ouverte ? D’ailleurs la lumière était trop éclatante pour
venir
d’un seul flambeau. On aurait pu l’attribuer à un
de chêne comme elle l’a toujours été… Certainement ces tentures-là ne
viennent
pas du garde-meuble de Votre Majesté ; » et le ro
esté s’expose ! » « Sire, disait Baumgarten, dont une bouffée de vent
venait
d’éteindre la bougie, permettez du moins que j’ai
ère le dos, entrèrent dans la salle par une porte opposée à celle que
venait
d’ouvrir Charles XI ; ils marchaient la tête haut
est que je veux mourir ici malgré votre or, entendez-vous ? Vous êtes
venu
pour voir ma maison, vous l’avez vue ; vous voule
des fleuves d’une admirable limpidité étaient les seuls accidents qui
vinssent
couper la monotonie de la route. Les habitations
: Alexandre fit demander la cause de ce mouvement extraordinaire ; on
vint
lui dire qu’un pauvre paysan était mort depuis vi
près d’antiques traditions, à celui dont ils vont se séparer : « D’où
vient
, lui disent-ils, que tu nous a abandonnés ? étai
r la poésie. Des clameurs plaintives troublent les airs ; Athènes
vient
d‘apprendre son sort. Quel triste spectacle ! de
: vois l’état où la coupable Clytemnestre a réduit ta fille chérie ;
viens
la défendre des fureurs de sa mère ; viens venger
a réduit ta fille chérie ; viens la défendre des fureurs de sa mère ;
viens
venger par le meurtre du coupable ta maison désho
olerions ensemble : mais seule, abandonnée, je pleure, et personne ne
vient
essuyer mes larmes ; je gémis, et aucun ami ne me
du prévoir (mais quoi ! s’il était écrit...) il dit d’abord d’où nous
venions
, où nous allions, que nous étions Français. Imagi
orte ; il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe que sa femme
vint
prendre, puis il entra pieds nus, et elle dehors
t. Quand il fut à l’échelle, il monte, son couteau dans ses dents, et
venu
à la hauteur du lit, de ce pauvre jeune homme éte
endait au plancher, en coupe une tranche, et se retire comme il était
venu
. La porte se referme, la lampe s’en va, et je res
s réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit,
vint
nous éveiller, comme nous l’avions recommandé. On
, qui se trouva près de l’endroit où il allait, lui dit : « Monsieur,
venez
par ici, on tirera du côté où vous allez. — Monsi
is Royal, qui par parenthèse s’en va à l’armée trouver le roi. Il est
venu
un jeune père de l’Oratoire pour faire l’oraison
t dans l’Auberge de la forêt. Lemierre à un ami. Mon cher ami, Je
viens
d’être le héros d’une aventure singulière, épouva
davre. Près de m’évanouir de nouveau, je me traîne vers la porte d’où
venait
la lumière ; je ne puis rien voir, mais j’entends
availlait à la tranchée, y avait apporté un gabion ; un coup de canon
vint
qui emporta son gabion ; aussitôt il en alla pose
! » Et à ces mots le jeune enfant tressaillit et de nouvelles larmes
vinrent
mouiller ses yeux. Le vieillard ajouta, en le pre
ait dans son regard je ne sais quoi de divin et de consolant. Et elle
vint
poser sa main sur le front du jeune enfant ; puis
ampe d’argile éclairait cette pauvre demeure, et un rayon de la lampe
venait
expirer sur un image de la Vierge, suspendue au m
enait : « Je suis noble et chevalier, lui répondit-il avec fierté, je
viens
ici pour soutenir par la lance et l’épée la cause
Elle crie, inquiète, éperdue : « Mon fils !... » A ses regards il ne
vint
pas s’offrir. L’aurore la trouva sur la terre éte
s mit tous deux en prison jusqu’au jour du combat ! Quand ce jour fut
venu
, ce fut bien une affaire pour armer Mathilde, car
s ni sommeil. Quelques années après son crime, il quitta la Judée, et
vint
à Rome, espérant que loin des lieux où s’était él
dans le désir de nuire au pauvre monde, et quand par hasard un homme
venait
à passer, ils l’entouraient de prodiges effrayant
ieu avait donné pouvoir sur les démons. A la prière des habitants, il
vint
exorciser a montagne, le combat fut terrible. Le
u fond du cloître, la gloire, les honneurs, le bruit pouvaient encore
venir
le chercher : il se fit ermite. Non loin de son m
xiger de sa charité, il continua d’accueillir et d’instruire ceux qui
venaient
. Il se laissa même bâtir une cellule qui le défen
horète reçût. Un soir, à minuit, l’un des religieux de Reichenau, qui
venait
parfois à l’ermitage, suivit de loin Meinrad jusq
rables qui pensaient trouver des trésors dans cette pauvre cellule où
venaient
tant de pèlerins. Il avait lu leur dessein dans l
lu leur dessein dans leurs âmes, et leur avait dit. « Vous auriez du
venir
plus tôt, afin d’assister à ma messe pour conjure
s cela, fuyez au plus vite, vous pourriez être trahis par ceux qui me
viennent
voir. » Et ces malheureux l’avaient tué, puis ils
tyle est soutenu jusqu’à l’adieu solennel, qui prépare le dénouement.
Vient
enfin le tableau du sacrifice, il est sombre et l
sur un rocher l’ombre de son père. Il sent que son heure dernière est
venue
; il fait ses adieux à Antigone, et après avoir o
; je pars, le roi l’ordonne. C’est peut-être contre sa volonté que je
viens
vous faire un dernier adieu et désavouer auprès d
es amis et de mes parents, poursuivie par des ennemis implacables, je
viens
me jeter entre vos bras et vous dire que je n’ai
iction et de sang. Mourez sans résistance. Apprenez aux générations à
venir
, qu’intrépides dans leur foi, les chrétiens peuve
percer au travers de tous les hasards et de tous les obstacles pour y
venir
; et maintenant que vous y êtes, on voudrait que
père n’ont pas fait longtemps mon bonheur : Dieu le voulait ainsi. Je
venais
d’être mère, il mourut, et nous laissa, toi pauvr
te parole a survécu à ses trophées ; elle sera entendue des siècles à
venir
, et elle lui méritera les éloges et les bénédicti
ient-ils pas avoir assouvi ta vengeance ? As-tu bien eu le courage de
venir
piller cette terre qui t’a vu naître et qui t’a n
ongtemps ? De si loin que tu as pu apercevoir à Rome, ne t’est-il pas
venu
dans l’esprit que tes dieux, ta maison, ta mère,
) Soldats ! Nous avons passé des lieux presque inaccessibles pour
venir
en cette vallée ; nous y sommes enfermés de tous
ilieu de vous dans le nouveau cimetière. Ceux qui naîtront après nous
viendront
prier sur nos tombes comme sur celles de leurs
er de plus glorieux pour vous et de plus mémorable dans les siècles à
venir
que de voir à vos genoux ce même peuple qui a for
humaine encor n’est parvenue ; Et, quand de Sparte enfin l’heure sera
venue
, De ses débris sacrés, qui ne se tairont pas, Les
esse et vous sourit avec amour, combien ne serait pas cruel celui qui
viendrait
dans vos bras déchirer le fils et le père, comme
nace et le soin de votre défense contre une puissance terrible qui va
venir
vous attaquer. Je le savais ; j’allais pour vous
l’ennemi après une victoire, Servilius se défend : « Si on m‘a fait
venir
ici pour me demander compte de ce qui s’est passé
vous que la gloire ne s’acquiert que par de grands périls ? J’en suis
venu
aux mains avec des troupes plus nombreuses que ce
précation : mais tous les lecteurs la devinent, et disent : mon dieu,
venez
à son aide. Je suis bien malheureux ! Soupir d
Après les motifs qui doivent décider Zaïre à aimer la loi chrétienne,
viennent
ceux qui vont la porter à haïr les musulmans. Com
la loi chrétienne plus odieux et plus inexcusable. La description qui
vient
ensuite corrobore les assertions de Lusignan, ell
fils, dans notre cœur plus que dans nos biens, partage en aîné. D’où
vient
cette prédilection que la nature autorise, et don
ité qui doit la garantir de l’injure des temps. Qu’un père de famille
vienne
à manquer, c’est une perte sans doute ; mais aprè
it et ceux qu’il en attend : or, des deux illustres captifs dont nous
venons
solliciter la délivrance, je soutiens que Polidor
ais les projets d’ambition, mais l’intérêt, la cupidité, tout cela ne
viendra-t
-il jamais à la traverse ? Il est difficile de fai
tueux le jeune Polidore, surtout quand les transports de la vengeance
viendront
encore se joindre au feu de son âge ? Oui, Messie
ançon. Le voilà donc ce fougueux jeune homme, qui, libre de ses fers,
vient
respirer l’air de la patrie ! Il court chez ses a
lle ; C’est un Dieu qui lui parle, un Dieu qui vit en elle. Eh ! d’où
viendrait
sans lui ce grand pressentiment, Ce dégoût des fa
de d’un ruisseau. — Charmant enfant qui me ressemble, Disait-il, oh !
viens
avec moi, Viens, nous serons heureux ensemble,
. — Charmant enfant qui me ressemble, Disait-il, oh ! viens avec moi,
Viens
, nous serons heureux ensemble, La terre est in
mpêtes N’a préservé le lendemain, Hé quoi ! les chagrins, les alarmes
Viendraient
troubler ce front si pur. Et par l’amertume des l
que l’on enterre Passent devant ses yeux avec leur blanc linceul, Là
vient
la jeune fille, et puis la pauvre mère, Et puis l
rmir ! Le monde dur et froid la dédaigne et la chasse, Et personne ne
vient
s’attacher à son sort, Mais pour se consoler d’av
toujours le même, astre toujours nouveau4. Par quel ordre, ô soleil,
viens
-tu du sein de l’onde Nous rendre les rayons de ta
biens qui t’environnent, O toi qui follement fais ton Dieu du hasard,
Viens
me développer ce nid qu’avec tant d’art, Au même
peut-être Demande, en regardant les lieux qui l’ont vu naître, Quand
viendra
ce printemps par qui tant d’exilés Dans les champ
on, Au pied du tribunal qu’érige ta raison, Ton maître obéissant doit
venir
te répondre ? Accusateur aveugle, un mot va te co
es regards errants n’est plus qu’un vide immense. O nature ! pourquoi
viens
-tu troubler ma paix ? Ou parle clairement, ou ne
mes pareils que je dois te chercher ? Ils m’échappent, la mort me les
vient
arracher ; Et, frappés avant moi, le tombeau les
st-il vrai ? n’est-ce point une agréable erreur Qui de la mort en moi
vient
adoucir l’horreur ? Quoi ! même après l’instant o
du plaisir m’en apprend la nature. J’abandonne ce maître. O raison !
viens
à moi : Je veux seul méditer et m’instruire avec
à dissiper Cette nuit dont le temps me doit envelopper. Des siècles à
venir
je m’occupe sans cesse : Ce qu’ils diront de moi
avons vu, dit-il, quelques infortunés à qui ce dernier trait faisait
venir
les larmes aux yeux. » 2. Pline, Hist. déjà cit
ées Je ne sais quelle voix que j’entends retentir Me poursuit, et
vient
m’avertir Que le bonheur s’enfuit sur l’aile des
eu Roland dans une embuscade. Li emperere est repairiez d’Espaigne, E
vient
a Ais3, al meillor siet de France ; Monte el pala
llor siet de France ; Monte el palais, est venuz en la chambre. Es li
venue
Aide, une bele dame ; Ço dist al reis : « Oust Ro
reis donee. (Vers 5705-3733.) L’empereur est rentré d’Espagne — et
vient
à Aix, au milieu du siège de France. — Monte au p
et vient à Aix, au milieu du siège de France. — Monte au palais, est
venu
en la chambre. — Voici à lui venue Aude, une bell
e de France. — Monte au palais, est venu en la chambre. — Voici à lui
venue
Aude, une belle dame. — Dit ceci au roi : « Où es
Li aignelez dune li respunt : « Sire, ja bevez vus a munt ! De vus me
vint
ceo qu’ai beü. — Quei, fet li lous, maldiz me tu
d alors : — « Sire, mais vous buvez en amont ! — c’est de vous que me
vient
ce que j’ai bu. — Quoi ! fit le loup, tu m’outrag
eur atoivre Chascune nuit joer et boivre. Un seel y orent laissie. La
vint
Renart tout eslessie Et son compere regarda : « S
l, « or vous esteut Moult sagement a contenir Pour les poissons faire
venir
. » Lors s’est lez un buisson fichiez. Si mist son
chaque nuit s’ébattre et boire. — Ils y avaient laissé un seau- — Là
vint
Renart tout empressé, — et regarda son compère :
enant il vous convient — de vous maintenir très sagement — pour faire
venir
les poissons. » — Alors il s’est établi près d’un
faisait asseoir autour de lui. Et tous ceux qui avaient (une) affaire
venaient
lui parler, sans empêchement d’huissier ou d’autr
e. Je le vis quelquefois, en été, lorsque, pour expédier ses gens, il
venait
au jardin de Paris39 ayant revêtu une cotte de ca
« Messire Gautier, souffrés vous, il ne sera aultrement, mès on face
venir
le cope teste. Chil de Calais ont fait morir tant
e Gautier, taisez-vous, il n’en sera pas autrement : mais qu’on fasse
venir
le coupe-tête. Ceux de Galais ont fait mourir tan
dit ainsi : « Ah ! gentil seigneur, depuis que je passai la mer pour
venir
ici en grand danger, ainsi que vous savez, je ne
nteau. (Rondeaux, LXIII.) II L’été Les fourriers57 d’Esté sont
venus
Pour appareillier son logis, Et ont fait tendre s
t tappis velus De vert59 herbe par le païs, Les fourriers d’Esté sont
venus
Pour appareillier son logis. Lueurs d’ennuy pieça
ez païs61, Yver, vous ne demourrés plus62 : Les fourriers d’Esté sont
venus
. (Rondeaux, LXI.) Villon63 (né en 1431)
beaucoup avant qu’elles lui advinssent : et aussi affin que ceulx qui
viendront
après luy soient ung peu plus piteux128 au peuple
rre, et en ôta les rameaux, et le para134 pour son plaisir… Gargantua
venu
à l’endroit135 du bois fut avisé136 par Eudémon13
r217. Il était en la plus grande peine du monde ; mais à la fin il se
vint
à reconnaître218, disant en soi-même : « Comment
llé dîner ou en quelque part222 à son affaire, ce singe descendait et
venait
en la loge de Blondeau, et prenait son tranchet e
isait ce singe ; s’il avait cousu quelque carrelure228, ce singe s’en
venait
jouer des coudes comme il lui avait vu faire), à
battre à ce nouveau passe-temps qu’il n’avait pas encore vu faire. Il
vint
prendre ce tranchet et tout incontinent se le met
aient volontiers ; mais quand ils avaient cuit leur fournée et qu’ils
venaient
à tirer mes épreuves, je n’en recevais que honte
e le temps susdit, durant lesquels deux ans je ne faisais qu’aller et
venir
aux verreries prochaines, tendant aux fins de par
r308 de faim, parce qu’il délaisse son métier ». Toutes ces nouvelles
venaient
à mes oreilles quand je passais par la rue : tout
s me décevaient en toutes mes entreprises. Or, parce que mes émaux ne
venaient
bien en une même chose374, j’étais déçu par plusi
i virilement que plusieurs fois, pour entretenir les personnes qui me
venaient
voir, je faisais mes efforts de rire, combien qu’
a moins embesognée407, et elle d’autre côté à un sien ami qui l’était
venu
voir, de sorte que ce bruit fut semé et su par to
voulut jeter ; mais il l’en garda434, suivant ainsi son propos435 : «
Venez
ça ; vous ai-je autrefois fait déplaisir ? Ai-je
ques aux yeux483, pensez-vous qu’il n’y en ait pas bien autant à voir
venir
ici des vaisseaux qui nous apportent abondamment
e me voir. Il m’exhorta à dire à la reine la vérité. Il s’offrit d’en
venir
lui-même rendre témoignage. J’en fus très aise à
mes amis ! M. Dimanche. — Monsieur, je suis votre serviteur. J’étais
venu
.... Don Juan. — Allons vite, un siège pour M. Di
vous là, vous dis-je. M. Dimanche. — Non, Monsieur, je suis bien. Je
viens
pour.... Don Juan. — Non, je ne vous écoute poin
ien. M. Dimanche. — Oui, Monsieur, pour vous rendre service. Je suis
venu
.... Don Juan. — Vous avez un fonds de santé admi
ne brave femme. M. Dimanche. — Elle est votre servante, Monsieur. Je
venais
.... Don Juan. — Et votre petite fille Claudine,
ue je vous embarrasse, et que vous vous passeriez fort aisément de ma
venue
. A dire vrai, nous nous incommodons étrangement l
l nous faut, quand nous voulons être plus avisés que lui, et que nous
venons
à l’importuner par nos souhaits aveugles et nos d
Maitre Jacques, Brindavoine, La Merluche. Harpagon 578. — Allons.
Venez
çà tous, que je vous distribue mes ordres pour ta
t non pas selon la coutume de certains impertinents584 de laquais qui
viennent
provoquer les gens et les faire aviser de boire l
us nos siquenilles586, monsieur ? Harpagon. — Oui, quand vous verrez
venir
les personnes ; et gardez bien de gâter vos habit
le philosophe, vous arrivez tout612 à propos avec votre philosophie.
Venez
un peu mettre la paix entre ces personnes-ci613.
e de leurs professions614, jusqu’à se dire des injures, et vouloir en
venir
aux mains. Maître de philosophie. — Hé quoi ? Me
se de tous nos mouvements ? Maître a danser. — Comment, monsieur, il
vient
nous dire des injures à tous deux, en méprisant l
saint Louis634 ? M. Jourdain. — Taisez-vous, ma femme, je vous vois
venir
. Mme Jourdain. — Descendons-nous tous deux que63
ui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’il fallait qu’elle me
vînt
visiter en équipage de grande dame et qu’elle man
ance si effroyable ? et d’où cette belle science enfin peut-elle être
venue
aux hommes ? Quel dieu l’a révélée, ou quelle exp
Le voilà prêt à l’ouïr avec un respect exemplaire. Que le prédicateur
vienne
à paraître : si la nature lui a donné une voix en
; elle était comme je la pouvais désirer. M. de La Rochefoucauld682 y
vint
; on ne parla que de vous, de la raison que j’ava
me je suis donc sa seule consolation, après l avoir été voir714, elle
viendra
ici, et je veux qu’elle trouve mon parterre net,
les poètes ont célébrée715, prendre tous ceux qui travaillaient, pour
venir
nettoyer ici (vous n’y voyez encore goutte), et,
on sait faner. Tous mes gens y allèrent gaiement ; le seul Picard me
vint
dire qu’il n’irait pas, qu’il n’était pas entré à
gens étaient fondus719 en larmes, et déjà tout habillés de deuil. Il
vint
trois gentilshommes, qui pensèrent mourir de voir
Hamilton721 près de l’endroit où il allait, qui lui dit : « Monsieur,
venez
par ici ; on tirera où vous allez. — Monsieur, lu
; on le porte dans une haie ; on le garde à petit bruit ; un carrosse
vient
; on l’emporte dans sa tente ; ce fut là où723 M.
i affligent le genre humain. Ah ! Dieu est juste et équitable. Vous y
viendrez
vous-même, riche impitoyable, aux jours de besoin
t en est casuel747 ; mais ce que je veux dire n’est pas douteux. Elle
viendra
au jour destiné748, cette dernière maladie, où, p
n ; Jérusalem est là déserte ; ses portes sont consumées par le feu ;
venez
et unissons-nous pour la rebâtir. » Tant que les
aurions en nous-mêmes pour gagner les autres hommes. La grandeur qui
vient
par-dessus, loin d’affaiblir la bonté, n’est fait
sse la charité, ne suivez pas mon exemple.... Ce n’est pas tout. D’où
vient
qu’aujourd’hui la médisance s’est rendue si agréa
Il y a en effet des gens de ce caractère : ils vous aperçoivent ; ils
viennent
à vous avec un visage ouvert, vous tendent les br
i travaillait à la tranchée y avait posé un gabion ; un coup de canon
vint
qui emporta son gabion ; aussitôt il en alla pose
gardez ce qu’il vous montre sur son doigt, qui n’a plus de vie et qui
vient
d’expirer : c’est une chenille, et quelle chenill
à compter les moments dans l’attente de son retour.... Le jour du bal
venu
, la cour, plus brillante que jamais, étala toute
ntôt arriver les mariés de la paroisse, puisque la musique était déjà
venue
. Il en jugea bien ; car, à peine achevait-il de p
aux gens de la maison de faire monter un gentilhomme nommé Termes. Il
vint
: et, dès que le maître de la fête le vit, il se
rme caché qui pousse et qui fructifie quelquefois, quand l’expérience
vient
au secours de la raison et que les passions s’att
e jamais de paraître, dans les enfants, pour celle de l’esprit. De là
vient
que l’enfance semble promettre tant et qu’elle do
étant tombées à un enfant de Silésie âgé de sept ans, il lui en était
venu
une d’or à la place d’une de ses grosses dents. H
ulut remédier à sa manière, car il consultait peu les médecins, et il
vint
à ne pouvoir presque plus marcher ni quitter le l
point de meilleur séjour que Paris pour des philosophes raisonnables,
vint
, en 1686, s’y établir avec M. Varignon dans une p
difiez, dit Job973, des solitudes où les soucis et les noirs chagrins
viennent
bientôt habiter avec vous. Y rassembler tous les
’approcha de moi d’un air empressé. « Seigneur écolier, me dit-il, je
viens
d’apprendre que vous êtes le seigneur Gil Blas de
s dormir, et je n’avais pas encore fermé l’œil lorsque le muletier me
vint
avertir qu’il n’attendait plus que moi pour parti
Roi, qui arrivait toujours un moment avant le salut ; mais, qu’il dût
venir
ou non, jamais le salut ne l’attendait. Les offic
crier d’un ton d’autorité : « Gardes du Roi, retirez-vous, le roi ne
vient
point au salut ». A cet ordre tout obéit, les gar
ent soufflé leurs bougies et pris leur parti sur ce que1030 le Roi ne
viendrait
point, et il y en eut de furieuses qui voulaient
it du progrès avant que le chancelier eût quitté les finances1038. Il
vint
exprès le trouver, et comme son esprit vif avait
mauvais naturel pour aller faire cent petites insultes à des gens qui
venaient
tous les jours chez nous nous témoigner leur bien
le toutefois, quoiqu’il ne lui ressemble en rien. Le Vaniteux Il
venait
tous les jours des plaintes à la cour contre l’it
is de la Jeannotière ; c’était un ordre de monsieur son père de faire
venir
monsieur son fils à Paris. Jeannot monta en chais
c chez la dame. « Quoi ! c’est vous, monsieur de la Jeannotière ; que
venez
-vous faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? A
us et attendri, lui conta en sanglotant une partie de son histoire. «
Viens
dans l’hôtellerie où je loge me conter le reste,
: « Tous mes amis du bel air m’ont trahi, et Colin, que j’ai méprisé,
vient
seul à mon secours. Quelle instruction ! » La bon
des secours dans Vésel. Méditant une action plus décisive encore, il
vint
camper le 15 octobre à un quart de lieue de l’abb
ècle de Louis XV, chap. XXXIII.) La voute étoilée La nuit était
venue
; elle était belle ; l’atmosphère était une voûte
en une seule fois pour tout le temps passé et pour autant de temps à
venir
, car souvent leurs voyages sont de plusieurs sema
la servante de prendre la lanterne, et M. Lambercier se disposer à me
venir
chercher, escorté de mon intrépide cousin, auquel
je me lève, je perce à travers un fourré débroussailles du côté d’où
venait
le vent, et dans une combe1176, à vingt pas du li
taine de petites filles, conduites par une manière1183 de religieuse,
vinrent
les unes s’asseoir, les autres folâtrer assez prè
s’asseoir, les autres folâtrer assez près de nous. Durant leurs jeux
vint
à passer un oublieur avec son tambour et son tour
ine d’avoir des gens, s’ils ne servaient à chasser le pauvre quand il
vient
réclamer son bien ; et, en lui montrant combien j
le journée, mon premier souhait était que ni lettres, ni visites n’en
vinssent
troubler le charme. Après avoir donné la matinée
e fidèle Achate1207, pressant le pas dans la crainte que quelqu’un ne
vînt
s’emparer de moi avant que j’eusse pu m’esquiver.
je pusse croire avoir pénétré le premier et où nul tiers importun ne
vînt
s’interposer entre la nature et moi. C’était là q
ut dormir sous une cabane écartée, loin du bruit des eaux ! » Le jour
vient
, les ombres s’effacent, et les gardes sont relevé
242, dans le Limousin, en 1723, mort en 1799, Jean-François Marmontel
vint
à Paris en 1745 et, soutenu de l’appui de Voltair
e lampe qu’alimentait l’huile de nos noyers, la jeunesse du voisinage
venait
teiller1249, avec nous ce beau chanvre, formaient
des pour atteindre vos condisciples : commençons par les éléments, et
venez
ici, demi-heure1254 avant la classe, tous les mat
dant cinq mois gratis un tapissier qui lui était inconnu et qui était
venu
à Paris pour un procès, « parce que, me dit-il, c
le description de mon séjour, que je vous ferai naître l’envie de m’y
venir
voir et d’y prendre une collation. Horace invitai
m’y venir voir et d’y prendre une collation. Horace invitait Mécène à
venir
manger dans sa petite maison de Tivoli un quartie
te. Nous montâmes au quatrième étage, nous frappâmes, et Mme Rousseau
vint
nous ouvrir la porte. Elle nous dit : « Entrez, m
; un serin chantait dans sa cage suspendue au plafond ; des moineaux
venaient
manger du pain sur ses fenêtres ouvertes du côté
si l’on n’est pas dans l’usage de recevoir des étrangers : « Il n’en
vient
guère, nous dit le vieillard ; ce lieu est peu co
ange avec une épée flamboyante, de peur qu’un voleur heureux 1346 ne
vienne
enlever l’or et les bijoux du juste. (Soirées de
ène d’incendie Un jeune seigneur anglais, Oswald, lord Nelvil, qui
vient
d’être frappé d’un deuil cruel, la mort de son pè
tirée ni du succès, ni de la mode, ni des préjugés ni de tout ce qui
vient
des autres, enfin, n’aurait pu lui faire altérer
és, les deux courts romans d’Atala (1801) et de René (1802), auxquels
viendra
s’ajouter plus tard le chevaleresque récit des Av
frappaient, au milieu de la nuit, à la porte des vieilles abbayes, et
venaient
partager l’hospitalité qu’on donnait à l’obscur p
endre la vie à un mourant et mettre une famille dans la joie. Un Grec
vint
donc me chercher1379 pour voir sa fille. Je trouv
Quelquefois un bison chargé d années, fendant les flots à la nage, se
vient
coucher, parmi de hautes herbes, dans une île du
nt ces déserts d’une tendre et sauvage harmonie. Mais quand une brise
vient
à animer ces solitudes, à balancer ces corps flot
nt plus, et des verrous d’airain en défendront l’entrée aux siècles à
venir
! — Il nous prédit des malheurs, s’écrie le peupl
évoir (mais quoi ! s’il était écrit...), il dit d’abord1441 d’où nous
venions
, où nous allions, qui nous étions. Français, imag
rte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa femme
vint
prendre ; puis il entre pieds nus, et elle, de de
. Quand il fut à l’échelle, il monte, son couteau dans les dents ; et
venu
à la hauteur du lit, ce pauvre jeune homme étendu
pendait au plancher, en coupe une tranche et se retire comme il était
venu
. La porte se ferme, la lampe s’en va, et je reste
mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille à grand bruit
vint
nous éveiller, comme nous l’avions recommandé. On
nne, parce que c’était une chienne. Vous vous souvenez du temps où il
vint
tant de loups dans la forêt de Lions ? C’était da
iscotin, ni Biscotine, tant que M. le grand louvetier1460 ne sera pas
venu
. Il y aurait du danger pour eux. Ils ont assez de
Brisquette. Un soir, il n’arriva pas à l’heure ordinaire. Brisquette
venait
sur le pas de la porte, rentrait, ressortait, et
et quand ils se furent rejoints à l’endroit où le sentier de l’étang
vient
couper celui de la butte : « Mordienne ! dit Bisc
énéral, et que celui qui se trouvait en tête marchât le premier, puis
vînt
se placer à la queue lorsqu’il avait rempli sa mi
un seul doigt !... Cependant, la colonne d’infanterie russe que nous
venions
d’apercevoir abordait le monticule ; c’étaient de
ainement ôté le peu de vie qui me restait lorsqu’un incident terrible
vint
m’éloigner de cette affreuse mêlée. Parmi les Fra
itrine, perdit l’équilibre, et la pointe de sa baïonnette mal dirigée
vint
s’égarer dans mon manteau gonflé par le vent. Le
rant sur la neige ! Reprenant ensuite le chemin par lequel elle était
venue
, elle se dirigea au triple galop vers le cimetièr
i leur nuirait ? Faites par devoir ce qu’ils font par instinct.... Il
vient
un temps où la vie décline, où le corps s’affaibl
frères ? et comment pourrais-je délaisser mon frère en sa détresse ?
Venez
, et nous partagerons ce que je tiens de la bonté
llit encore quelques minutes ; puis, prenant l’évêque par la main : «
Venez
, dit-il, partons. Herbert, ouvrez la porte ; Hack
rêtait à lui donner la communion. Quelques ministres indépendants1487
vinrent
frapper à la porte, disant qu’ils voulaient offri
, se relevant avec vivacité : « Maintenant, dit-il, que ces drôles-là
viennent
; je leur ai pardonné du fond du cœur ; je suis p
avant de la quitter, il touchait à sa dernière heure, quand ses amis
vinrent
lui annoncer que l’acte libérateur était voté, et
e et consumées par le zèle, il les éleva vers le ciel, d’où lui était
venu
le courage et d’où lui venait enfin la victoire :
il les éleva vers le ciel, d’où lui était venu le courage et d’où lui
venait
enfin la victoire : « Ce que j’ai fait est bien !
t un de ses petits frères par la main et portant l’autre sur le bras,
venait
après. Nous suivions derrière, en silence. Au der
oins et d’amour, presque tout entière de ses propres mains ? Quand je
venais
prendre les paniers dans la cale, je reconnaissai
Barfleur1506. Au moment du départ, un certain Thomas, fils d’Étienne,
vint
trouver le roi, et, lui offrant un marc d’or, lui
eurs franks n’avaient pu la rassurer. Dès qu’elle apprit que son sort
venait
d’être fixé d’une manière irrévocable, saisie d’u
a pour sa fille encore un jour de délai ; mais le lendemain, quand on
vint
lui dire que tout était prêt pour le départ : « U
uvoir de l’espoir que Collingwood était dans les mers de l’Inde, j’en
venais
jusqu’ a appeler de tous mes vœux l’occasion de m
j’en vins jusque-là. Un jour, le vaisseau l’Océan, qui nous portait,
vint
relâcher à Gibraltar. Je descendis à terre avec l
er, et, à force de le vouloir, ne le pouvait plus. Quand avec la nuit
vint
le silence de l’artillerie, on ne songea plus qu’
ncore à passer, qui dans la journée le voulaient trop, et qui le soir
venu
ne le voulaient plus, ou du moins ne le voulaient
ire à ceux qui étaient en retard qu’il fallait se hâter. Mais le jour
venu
il n’y avait plus à les stimuler, et, convaincus
llerie du maréchal Victor était là pour contenir les Russes, il était
venu
se placer lui-même à la culée des ponts, et reten
les vivres qu’ils voulurent et au prix qu’ils voulurent. Chaque jour
venaient
des députés du sénat, pour les prier de demander
de manger des légumes un peu assaisonnés. Le croirait-on ? j’en étais
venu
cependant, à la longue, à tirer quelques plaisirs
Lorsque mes ressources seront entièrement épuisées, ou bien qu’elles
viendront
à me manquer, je me présenterai à l’hospice Saint
our la calligraphie, c’était autre chose : j’étais doué ! Quand Oblet
venait
me donner ma leçon de calcul et que, pour l’acqui
la mariée : « C’est José Maria1609, dit-il ; je me trompe fort, ou il
vient
ici pour faire quelque malheur. C’est au notaire
ire avait dit à son fermier, deux mois auparavant, que, si José Maria
venait
jamais lui demander â boire, il devrait mettre un
n entend sur un ton brisé les pas des envahisseurs dans l’ombre ; ils
viennent
par des chemins cachés, sourds ; le cliquetis des
que vous êtes un brave homme, je ne veux pas vous induire en erreur.
Venez
avec moi la voir, ce sera l’affaire d’un instant.
à peine éveillé, ne comprenant ni où il était, ni comment il y était
venu
, il se fiait à dévorer. Puis, quand il n’eut plus
d’ailleurs les loups ne sortent pas des grands bois. Et puis, s’il en
venait
ici, ton père les tuerait. — Et toi aussi, petite
Marie m’aide. — Oui, mon Pierre, je vas t’aider, dit la jeune fille.
Viens
là, te mettre à genoux sur moi. » L’enfant s’agen
aint-simonien1685 quand tu n’auras plus ni sou ni maille1686, et cela
viendra
, je t’en réponds. Va, va ! un écrivain public est
Vous avez payé une lettre de change à mon intention. Quand vous êtes
venu
, j’étais à la fenêtre et je vous ai vu arriver ;
es bœufs mugissaient tout bas, comme endormis, les sabots allaient et
venaient
. Bientôt après, la mère Orchel1708 descendait dan
e de bruit : dans la cour, le coq, les poules, le chien, tout allait,
venait
, caquetait aboyait. Dans la cuisine, les casserol
. Puis, tout à coup tout devenait blanc : c’était lui… le soleil, qui
venait
enfin de paraître. Il était là, rouge, étincelant
A l’horizon tremblaient des îles vertes. Alors, n’en pouvant plus, je
venais
me ranger contre la rive, au milieu des roseaux t
Car il en fallait un chaque fois pour faire tête à ce terrible « d’où
viens
-tu ? » qui m’attendait en travers de la porte. C’
uis une grande heure, guettait, debout, en haut de l’escalier. « D’où
viens
-tu ? » me cria-t-elle. Dites-moi ce qu’il peut te
dans une tête d’enfant. Je n’avais rien trouvé, rien préparé. J’étais
venu
trop vite… Tout à coup il me passa une idée folle
firmant dans l’idée qu’elle était triste, je demandai à Fontanet d’où
venait
cette tristesse. Sans rien affirmer de positif, F
crispé de froid, qui sentait qu’il né se tenait plus, que le vertige
venait
, qu’il allait lâcher et tomber. Et les autres, pa
n petit novice1816 très sage, que sa mère, une veuve déjà âgée, était
venue
recommander au maître1817 avant le départ de Fran
is, Et me déplaît qu’il faut que je le die1888. Trois grands pendards
vinrent
à l’étourdie En ce palais me dire en désarroi1889
de pipée1906, Que toute chose où touchent est grippée1907. Mais, pour
venir
au point de ma sortie, Tant doucement j’ai chanté
finitivement réhabilité. Les faiseurs de protestations Mais d’où
vient
cela, mon Odet1956 ? Si de fortune1957 par la rue
Soit qu’il me treuve1958 chez le roi, Soit qu’il en sorte ou qu’il y
vienne
, Il met sa main dedans la mienne, Et jure qu’il e
s ni ma poésie, Non plus qu’un étranger d’Asie Ou quelqu’un d’Afrique
venu
. (Odes, livre III, xxiv.) La fuite du temps
us ces règnes mondains se font et se défont, Au gré de la fortune ils
viennent
et s’en vont, Et ne durent non plus qu’une flamme
ors de mode : La diverse façon de parler et d’agir Donne aux nouveaux
venus
souvent de quoi rougir. Chez les provinciaux on p
uelque coin. Voyez-vous cette main qui par les airs chemine ? Un jour
viendra
, qui n’est pas loin, Que ce qu’elle répand sera v
L’hirondelle ajouta : « Ceci ne va pas bien ; Mauvaise graine est tôt
venue
. Mais, puisque jusqu’ici l’on ne m’a crue en rien
s que ceux qui sont les nôtres, Et ne croyons le mal que quand il est
venu
. (Fables, livre I, fable viii.) L’ours et les
nent de prix, et se mettent en quête, Trouvent l’Ours qui s’avance et
vient
vers eux au trot. Voilà mes gens frappés comme d’
2182 ; Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers
venus
n’y trouvent à glaner. La feinte2183 est un pays
ien. Quant à vous, suivez Mars, ou l’Amour, ou le Prince2204 ; Allez,
venez
, courez ; demeurez en province ; Prenez femme, ab
ient pas à vous-mêmes, Repartit le vieillard. Tout établissement2206
Vient
tard et dure peu. La main des Parques2207 blêmes
le viii.) Épitaphe d’un paresseux Jean s’en alla comme il était
venu
, Mangea le fonds2214 avec le revenu, Tint les tré
sais par quelles lois2231 un ouvrage est parfait, Et Corneille2232 me
vient
lire tout ce qu’il fait. » Là-dessus de la pièce
ons où la gloire l’engage. » (Fort bien ! belle conception !) « Quand
viendra-t
-il, par son retour charmant, Rendre mon âme satis
ou par amour, Je veux savoir de toi, traître, Ce que tu fais, d’où tu
viens
avant jour2272, Où tu vas, à qui tu peux être. S
ns mon bon sens ? Mon maître Amphitryon ne m’a-t-il pas commis2284 A
venir
en ces lieux vers Alcméne sa femme ? Ne lui2285 d
vers Alcméne, Et qui du port Persique2287 arrive de ce pas ; Moi qui
viens
annoncer la valeur de son bras Qui nous fait remp
Acaste, Clitandre, Éliante, Philinte2300, Clitandre. Parbleu ! je
viens
du Louvre, où Cléonte, au levé2301, Madame, a bie
vagance. Acaste. Parbleu ! s’il faut parler de gens extravagants, Je
viens
d’en essuyer un des plus fatigants : Damon, le ra
élimène. Le pauvre esprit de femme, et le sec entretien ! Lorsqu’elle
vient
me voir, je souffre le martyre : Il faut suer san
Qu’un auteur qui partout va gueuser2330 des encens, Qui des premiers
venus
saisissant les oreilles, En fait le plus souvent
arnasse D’avoir fait à tes vers estropier Horace2348. Trissotin. Sou
viens
-toi de ton livre et de son peu de bruit. Vadius.
in dans les plaines voisines. La Seine au pied des monts que son flot
vient
laver, Voit du sein de ses eaux vingt îles s’élev
s, Prendre dans ce jardin la lune avec les dents. » Approche donc, et
viens
; qu’un paresseux t’apprenne, Antoine, ce que c’e
Sorcières dont l’amour sait d’abord les charmer, De fatigues sans fin
viennent
les consumer. Sans cesse poursuivant ces fugitive
z l’indigne mortel courent tous s’assembler, De travaux douloureux le
viennent
accabler ; Sur le duvet d’un lit, théâtre de ses
e, Alexandre. Son premier chef-d’œuvre, Andromaque, est de 1667. Puis
viennent
l’amusante comédie des Plaideurs (1668) et six tr
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vint
s’offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il s
ojets de Mithridate2423 Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est
venue
Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue. A m
e longtemps, soigneux de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me
vienne
chercher. La guerre a ses faveurs, ainsi que ses
tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me
vient
traverser, Sans reculer plus loin l’effet2427 de
z-vous que l’Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y
vient
finir son cours ? Que du Scythe avec moi l’allian
e nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le bruit à Rome en
vienne
jusqu’à moi. (Mithridate, acte III, sc. i.) R
Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celui qui te
viendra
le premier sous la main ; Il m’importe peu : pren
n repose ? Chez vous toute la nuit, on n’entend autre chose Qu’aller,
venir
, monter, fermer, descendre, ouvrir, Crier, tousse
e toujours le même, astre toujours nouveau, Par quel ordre, ô soleil,
viens
-tu, du sein de l’onde, Nous rendre les rayons de
acher votre hommage ? Le fils de saint Louis, parjure à ses serments,
Vient
-il de ses autels briser les fondements ! Aux pied
s lois dont vous bravez l’empire2482… Comme un roi, comme un père, il
vient
vous gouverner ; Et, plus chrétien que vous, il v
mme un père, il vient vous gouverner ; Et, plus chrétien que vous, il
vient
vous pardonner, Tout est libre avec lui ; lui seu
! Zamore, à Gusman. Tu veux donc jusqu’au bout consommer ta fureur ?
Viens
, vois couler mon sang, puisque ta vis encore : Vi
mmer ta fureur ? Viens, vois couler mon sang, puisque ta vis encore :
Viens
apprendre à mourir en regardant Zamore. Gusman.
tres vertus que je veux t’enseigner : Je dois un autre exemple, et je
viens
le donner. (A Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort
t penser et l’on ne pense rien. O roi David2511, ô ressource assurée,
Viens
ranimer leur langueur désœuvrée ! Grand roi David
à, si mon cœur nourrit quelques profonds regrets, Si quelque souvenir
vient
rouvrir ma blessure, J’aime à mêler mon deuil au
fouler les débris. Ils sont passés les jours d’ivresse et de folie !
Viens
, je me livre à toi, tendre mélancolie ; Viens, no
d’ivresse et de folie ! Viens, je me livre à toi, tendre mélancolie ;
Viens
, non le front chargé de nuages affreux, Dont marc
telle qu’en automne A travers des vapeurs un jour plus doux rayonne :
Viens
, le regard pensif, le front calme, et les yeux To
et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe où lentement j’arrive Nul ne
viendra
verser des pleurs. Salut, champs que j’aimais, et
d à ses cris douloureux. Le lapin, de frayeur l’âme toute saisie, Va,
vient
, fait mille tours, cherche dans les roseaux S’inc
le funeste jour de Cannes2560 On mit moins de Romains à bas. La nuit
vient
: tant de sang n’a point éteint la rage Du seigne
ois l’été vermeil, Prodigue de trésors, brillants fils du soleil, Qui
vient
, fertile amant d’une heureuse culture, Varier du
purs et sereins, Les épis sur le front, les épis dans les mains, Qui
viennent
, sur les pas de la belle Espérance, Verser la cor
des misérables ? Autour de leurs autels, parés de nos festons, Que ne
viens
-tu danser, offrir de simples dons, Du chaume, que
d’un si beau prétexte ardent à se servir, C’est à moi que lui-même il
viendra
les ravir. (Bucoliques : Les esclaves et les men
inutile Que l’aigle abandonne aux airs, Lorsque des plumés nouvelles
Viennent
réchauffer ses ailes À l’approche des hivers. C’e
mousse imperceptible est indigne de toi !... — Oiseau, dit le soleil,
viens
et monte avec moi !… » L’aigle, avec le rayon, s’
es étoiles du ciel commençaient de jaillir, La nuit dans ses terreurs
vint
les ensevelir ; D’une étreinte mortelle, assis, i
ant, Où, quand son heure est arrivée, Le passereau, loin des larcins,
Vient
cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voile
Ce jour entier passa dans le feu, dans le bruit ; Et, lorsque la nuit
vint
, sous cette ardente brume On ne vit pas la nuit.
t en dessous ; Puis elle s’enfonça tournant comme une roue, Et la mer
vint
sur nous. (Poésies. Livre moderne : la Frégate l
n, de la ville, Les vierges, en chantant, d’un pas lent et tranquille
Venaient
; il entrevoit le chœur religieux : C’est pourquo
gnes, Comme nous la pleurons, pleuraient sur les montagnes, Puis elle
vint
s’offrir au couteau paternel. — Voilà ce qu’ont c
t, il roula jusqu’au fond de l’abîme, Et de ses pins, dans l’onde, il
vint
briser la cime. « Merci, cria Roland : tu m’as fa
; afin de voir les anges Passer dans vos rêves la nuit ! Donnez ! il
vient
un jour où la terre nous laisse ; Vos aumônes là-
ement sont morts pour la patrie Ont droit qu’à leur cercueil la foule
vienne
et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est l
retiens ! Le soir, comme elle était l’aînée, Elle me disait : « Père,
viens
! Nous allons t’apporter ta chaise. Conte-nous un
les trompettes, puis toute l’armée en marche ; Et les petits enfants
venaient
cracher sur l’arche, Et, soufflant dans leur trom
ux ; A la cinquième fois, sur ces murs ténébreux, Aveugles et boiteux
vinrent
, et leurs huées Raillaient le noir clairon sonnan
on cœur bat-il ? Pourquoi son pas tremblant Se hâte-t-il ainsi ? D’où
vient
qu’en la ruelle Elle court, sans oser regarder de
us l’ongle inexorable Toute la pauvre chair de l’enfant misérable. Il
vient
, et sur Roland il jette un long lacet ; Roland, s
sept autres infants, avec leurs intendants, Marchent, et derrière eux
viennent
, grinçant des dents, Les cent coupe jarrets à fac
nt, monstre de cœur, est monstre de stature ; Le rocher de Roland lui
vient
à la ceinture ; Leurs fronts sont de niveau dans
’hiver. Les yeux sur ses enfants, et rêveuse, la mère Sur leur sort à
venir
invente une chimère, Songe à l’époux absent depui
pas son deuil ; Un seul prêtre en priant conduisit le cercueil ; Puis
venait
un enfant qui d’espace en espace, Aux saintes ora
Le convoi descendit au lever de l’aurore : Avec toute sa pompe Avril
venait
d’éclore, Et couvrait en passant d’une neige de f
imprimeur de Provins, mais sentant s’éveiller son talent poétique, il
vient
à Paris, où la misère et la maladie le forcent d’
au milieu d’un désert. Ses enfants demi-nus sortent de la bruyère, Et
viennent
lui conter comme leur pauvre mère Est morte sous
e bonhomme a conté, Fleur de sagesse et de gaîté. Mais quoi ! la mode
vient
et tue un vieil usage2762 ; On n’en veut plus, du
franc langage Dont il enseignait la douceur, Le seul français et qui
vienne
du cœur ; Car n’en déplaise à l’Italie2763, La Fo
. A quelques jours de là, comme j’étais au lit, La Fortune en passant
vint
frapper à ma porte. Je reçus de Paris une somme a
. Je reçus de Paris une somme assez forte, Et très heureusement il me
vint
à l’esprit De payer l’hôtelier qui m’avait fait c
Les paysans aux jeux de Bade L’abreuvoir est public, et qui veut
vient
y boire. J’ai vu les paysans, fils de la Foret-No
e Chœur. Ami, les jours entre eux ne se ressemblent pas. Approche, et
viens
grossir notre joyeuse troupe. L’amitié, camarade,
bronze, et pour que l’amitié, L’amour, la confiance et la douce pitié
Viennent
toujours glisser sur ton être insensible, Comme d
patrie ! un autre chœur, sortant d’une maison. Qui parle ainsi ? qui
vient
jeter sur notre toit, A cette heure de nuit, ces
le es qu’un paresseux, plein d’orgueil et d’envie. Mais de quel droit
viens
-tu troubler des gens de bien ? Tu hais notre méti
de cette façon voir tous mes plans déçus ! Écoutez, mes amis ; il me
vient
une idée : Quelle heure est-il ? Spadille. Monsi
é. Irus. Je tremble à chaque instant que le nouveau convive Qui doit
venir
dîner ne paraisse et n’arrive. Spadille. Il faut
net Plus de temps qu’il n’en faut pour écrire un sonnet2787 ? Allons,
venez
dîner ; votre assiette s’ennuie. Irus. Vous ne v
uge et demi-nu ? Quel habit faut-il mettre ? Laerte. Eh ! le premier
venu
. Allons, écoutez-moi. Vous trouverez à table Le n
rouverez à table Le nouvel arrivé ; c’est un jeune homme aimable, Qui
vient
pour épouser un de mes chers enfants2788. Jetez,
nir, Au seuil d’avril tournant la tête, Il dit : « Printemps, tu peux
venir
! » (Émaux et Camées.) Ce que disent les hiro
ur la moulure aux bords étroits, Ainsi jasent les hirondelles, Voyant
venir
la rouille aux bois. Je comprends tout ce qu’elle
Pour la première fois, voyant la mer à Bône, Un Bédouin du désert,
venu
d’El-Kantara, Comparait cet azur à l’immensité ja
29 ! » (Poèmes civiques, XII.) Morts pour la patrie2830 Quand
viendra
votre tour d’entrer dans la carrière, Jeunes gens
main2833, dans le silence et l’ombre ; Mais sur ces humbles murs vous
viendrez
les revoir. Bienheureux ces martyrs oubliés dans
des vieux jours, Elles, dont le collier par intervalle tinte, Vont et
viennent
sans cesse et font mille détours. En vain le mist
a parole pour moi du salut fut le gage2853 ; Que m’importe ! Pourquoi
vint
-il me secourir ? Ne valait-il pas mieux qu’il me
iv.) Réhabilitation de la fourmi2854 Le ciel obscurci, la bise
venue
, La cigale, ayant chanté tout l’été, Alla demande
torieux, un général du parti des Montagnards (voir page 752, note 4),
vient
d’entendre des muscadins (voir ci-dessous, note 1
availle une race âpre au gain, mais hardie, Fille des conquérants qui
vinrent
les premiers, Sous les pommiers en fleurs que le
racines dans la bière. Un simple marbre a tout couvert ; Le buis n’y
vient
plus en bordure ; Le thuya, l’arbre toujours vert
Champs et forêts, le sol tressaille ; Tout dit : « Le printemps est
venu
! » Et sous la terre qui s’émaille Circule un flu
t mort : voici sa croix2900, Retourne au logis, pauvre père ! La nuit
vient
, les matins sont froids Nous le vengerons, je l’e
allemand2902, Mais qu’on savait toujours Français — mentalement. Ils
venaient
partager une suprême étreinte Avec l’aîné d’entre
passés ; Ma mère a fait de moi ce que vous connaissez. Si le mal fût
venu
, vous étiez le coupable ; Je voudrais l’oublier,
es beaux discours vous n’avez rien laissé ! Vous ne demandez pas d’où
vient
cet homme honnête, Sous combien de remords il a c
son plus noire D’aimer moins son affront que je n’aimais sa gloire. —
Viens
maintenant, Gérald ! Charlemagne. Viens, Gérald,
que je n’aimais sa gloire. — Viens maintenant, Gérald ! Charlemagne.
Viens
, Gérald, et reçois La main que t’offre Berthe une
r, hélas ! gérald, allant vers Charlemagne. Sire, devant ses pleurs,
venez
à ma défense ! Je ne peux rien céder contre ma co
prennent pas garde aux berceaux Que la main des femmes balance. Mais
viendra
le jour des adieux ; Car il faut que les femmes p
s. (Les Épreuves : Action.) Le dernier adieu Quand l’être cher
vient
d’expirer, On sent obscurément la perte, On ne pe
Si le son de la cloche est triste, il l’est bien plus L’hiver, quand
vient
la nuit, et quand c’est l’Angélus Qui sonne lour
43; et l’on conte Que, dans un bal champêtre, un jour, le riche comte
Vint
, parmi ses vassaux, en superbes habits, Couvert d
, à travers les bruyères, T’apportant en cadeau quelque rêve vermeil,
Venait
te visiter souvent dans ton sommeil, Et mettre du
oses, Et t’offrir ce bouquet de rimes et de fleurs. Puis, un soir, je
viendrai
peut-être, à la veillée, Te lire mon recueil ; et
ans son vol strident frôle la libellule, Rien de ce qui s’émeut quand
vient
le crépuscule. « Nous allons tous mourir ! on l’a
s’approche ! » Pourquoi n’osai-je pas, quand d’un ton de reproche Il
vint
me dire : « Jean, que fait-on ce matin ? Travaill
au sommet d’une tige menue, Qui s’attarde à chanter, la nuit presque
venue
, Parce que l’air est chaud et lui fait oublier Qu
erte. Legoëz Et quand il vente du noroît2969, Et que le plein du flot
vient
des côtes anglaises, On ne l’entend jamais sabord
eaux vous font chanter Et sur votre rugueuse écorce L’effort du temps
vient
avorter. Enfin, malgré la bise noire, L’hiver rud
s ainsi, Vin, que tu te comportes, Quand le sabot d’un gai luron2976
Vient
d’écraser la grappe aux premiers jours d’automne.
iques de notre moyen âge qui chantent les exploits, la geste — ce mot
vient
du pluriel neutre latin gesta, hauts faits, qu’on
e sauve aux habitants à condition que six des plus notables bourgeois
vinssent
tête et pieds nus, en chemise, la corde au cou, l
orme bâfrer. 162. Voir la note 10 de la page 2. 163. Viande, qui
vient
d’un mot bas-latin (vivenda), qui veut dire vivre
216. Tente, échoppe. 217. Remuer, changer de place. 218. Il se
vint
à reconnaître, il en vint à se reconnaître, à voi
17. Remuer, changer de place. 218. Il se vint à reconnaître, il en
vint
à se reconnaître, à voir clair dans sa situation,
dont. — Sur le mélange des temps, voir page 2, note 10. 235. Chère
vient
du mot de basse latinité cara, visage. Bonne chèr
373. Voir page 512, note 4. 374. Entendez : même lorsque mes émaux
venaient
bien, c’était tantôt en une chose, tantôt en une
qui amusaient le plus les contemporains. — Un marchand, M. Dimanche,
vient
réclamer à Don Juan l’argent qu’il lui doit : on
Qu’on ne me fit parler personne, qu’on fit en sorte que personne ne
vînt
me parler. 563. Parbleu ! Dans ce mot et dans l
n’était plus du bel usage. Il signifie venir à bout, littéralement :
venir
à chef, achever. 567. Touchez là Expression co
ppelé la musique et la danse des sciences inutiles. Déjà on allait en
venir
aux coups, quand le maître de philosophie est ent
mystérieux avec certains astres, s’appelaient des talismans : le mot
vient
d’un mot espagnol, qui vient lui-même d’un mot ar
res, s’appelaient des talismans : le mot vient d’un mot espagnol, qui
vient
lui-même d’un mot arabe, se rattachant au mot gre
sidence d’Arnauld de Pomponne (1618-1699), ami de Mme de Sévigné, qui
venait
d’être nommé ministre des affaires étrangères. 6
II faudrait aujourd’hui écrire : après que je l’aurai été voir, elle
viendra
ici. Voir la note 1 de la page 72. 715. Que les
t équipée. La ville ayant capitulé le 29 octobre, Mme de Sévigné, qui
venait
d’en recevoir la nouvelle, écrivit à Mme de Grign
de la Beauce ou de la Normandie ; et ce dernier à son tour serait mal
venu
à alléguer l’amour du sol de la patrie qui le ret
ès exactement le sens étymologique des mots indolence et apathie, qui
viennent
, le premier, du latin, le second, du grec. Mais i
imple source, il se rattache en effet au verbe sourdre (jaillir), qui
vient
du latin surgere (se lever) : avoir de grandes re
. Tous ces détails, Gil Blas les avait confiés à ce même hôtelier qui
venait
, on l’a vu, d’entrer dans la salle avec l’homme à
années du xviiie . 989. Mon étoile, mon sort. Cette façon de parler
vient
, avec beaucoup d’autres du même genre, de la faus
donnant le jour. Une sœur de son père, Suzanne Rousseau, était alors
venue
s’installer dans la maison de son frère, pour ten
s de la roture. La roture, c’est tout ce qui n’est pas noble : ce mot
vient
du bas-latin ruptura, champ fendu par la charrue,
ise intention, malveillance. 1278. Cette exclamation veut dire qu’il
vient
enfin de trouver le passage dont il est question.
ivre dans notre Cours supérieur. 1304. Ce mot marron, marronne, qui
vient
probablement du mot espagnol cimarron (sauvage),
naire ne demeurera pas chez toi jusqu’au lendemain. » 1481. Charité
vient
du latin caritas, qui veut dire en effet haut pri
ée le 8 février 1587. C’est en 1568 que, reine catholique, elle était
venue
, chassée par les Ecossais, ses sujets, demander u
, était Grec et la mère barbare. 1567. Agathocle, tyran de Syracuse,
vint
attaquer les Carthaginois dans leur pays en 310 ;
avait laissées. 1583. Le père de Michelet était imprimeur ; mais il
venait
d’accepter la gérance d’une maison de verrerie. L
1631. Louvre. On croit que ce nom, forme française du latin Lupara,
vient
des loups (lupus) qui fréquentaient les parages b
. Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ! Ils
viennent
jusque dans nos bras Égorger nos fils, nos compag
billé suivant la mode (mot anglais, qui a passé en français, mais qui
vient
lui-même du mot fashion, que les Anglais ont tiré
xandre le Phrygien, médecin qui, après avoir abjuré le christianisme,
venait
d’y rentrer pour s’offrir au martyre. 1702. Vou
sonnage imaginaire, héros du roman d’où ce fragment est tiré : il est
venu
passer quelques jours à la ferme dont il est le p
i son histoire avant les revers de fortune qui les avaient obligés de
venir
s’établir à Lyon. 1752. Jacques, frère aîné de D
vert (aller fort loin, aller où personne n’ose aller). Cette locution
vient
, dit-on, de la croyance que le domaine de Vauvert
uc d’Alençon, conduisant vers les Pays-Bas, au début de la guerre qui
venait
d’éclater entre François Ier et Charles-Quint, l’
dire fâché). 1887. Si, ainsi, certes. 1888. Die est la forme qui
vient
directement et régulièrement du subjonctif latin
uvre se rattache à la même racine que louvetier, louveterie, etc., et
vient
des loups qui fréquentaient ces parages encore bo
aleur et l’indépendance. Aussi Flaminius, ambassadeur de Rome, est-il
venu
faire une démarche auprès de Prusias pour l’engag
e mon sang, mes conquêtes. 2116. Dorante est un tout jeune homme qui
vient
d’arriver de Poitiers à Paris : il a pris Cliton
nd celle-ci crève en l’air, et qui voltigent en serpentant. 2136. Il
vient
d’apprendre que son fils l’a trompé par un récit
e son fils l’a trompé par un récit mensonger. 2137. Géronte. Ce nom
vient
d’un mot grec qui signifie vieillard ; il est com
quand le froid n’est plus à craindre. 2151. Un manant. Ce mot, qui
vient
du latin et dont le premier sens est celui d’habi
m’écarte de mon séjour, de mes occupations ordinaires. 2179. Mot qui
vient
du persan et par lequel on désignait le chah de P
nterie rustique : un veau ne peut être que jeune. 2198. Bourrique,
vient
d’un mot latin qui signifie petit cheval et qui v
98. Bourrique, vient d’un mot latin qui signifie petit cheval et qui
vient
lui-même d’un mot grec. 2199. Parbleu ! substit
e proposition absolue. 2251. Incartade, acte d’extravagance. Le mot
vient
d’un mot espagnol qui marque l’action de prendre
celles de son adversaire. 2277. L’action, ton action, celle que tu
viens
d’accomplir. 2278. Fanfaronnerie, caractère du
gne une espèce de démon, qui, suivant certaines croyances populaires,
viendrait
la nuit tourmenter malicieusement les hommes. 24
i posai des verrous et des portes, et que je lui dis : « Jusqu’ici tu
viendras
et non au-delà : « ici s’arrêtera l’orgueil de te
croire à Mérope qu’il était mort assassiné, et qu’un jeune homme, qui
vient
d’être arrêté, était le meurtrier. Mérope a d’abo
ire navale de Salamine (480 av. J.-C.). — Téthys, la mer 2527. Hère
vient
peut-être du latin herus (maître), peut-être de l
us, roi du Latium. Le Troyen Enée, après la destruction de sa patrie,
vint
en Italie, selon la volonté des dieux, pour épous
marquer que c’est à ce mot, dont le sens est d’ailleurs connu, et qui
vient
d’une origine germanique, qu’il faut rattacher, p
r leur soif. 2629. Poudre, poussière. 2630. Quoique les passereaux
viennent
se poser sur le sable incessamment et en très gra
ieu, s’il rentrait vainqueur dans sa patrie, la première personne qui
viendrait
à sa rencontre. 2662. Et jamais un autre enfant
et de ce petit poème (Juges, chap. xi). 2664. Paladins. Ce mot, qui
vient
du latin palatinus, homme du palais, s’applique d
vre, pour seconder mes desseins, ou pour me saisir quand l’heure sera
venue
. 2779. A faire du chemin, tant l’ambition qui m
Roland, Hardré, Geoffroy, jeunes seigneurs de la cour de Charlemagne,
viennent
tous ensemble, avec Berthe, pour attester à Géral
ion équivaut ici, avec plus de vivacité, à : « Donc, quand la moisson
viendra
». 2955. C’est-à dire dans les nuits de pleine l
i-même à moût (ancienne orthographe moust)., nom du jus de raison qui
vient
d’être exprimé et qui va subir la fermentation.
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vint
s’offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il s
que vous… Vous frémissez, madame. Andromaque. Ah ! de quel souvenir
viens
-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir
on cœur en alarmes Prévoit qu’il ne pourra commander à tes larmes. On
vient
: cache tes pleurs, Céphise ; et souviens-toi Que
hyménée ! Je n’ai donc traversé tant de mers, tant d’États, Que pour
venir
si loin préparer son trépas, L’assassiner, le per
léone (sa confidente). Hermione. Ah ! qu’ai-je fait, Cléone ? et que
viens
-tu me dire ? Que fait Pyrrhus ? Cléone. Que fai
lieux enlever ma princesse, Et regagner le port, où bientôt nos amis
Viendront
couverts du sang que je vous ai promis. Hermione
s-tu pas dû2 cent fois te le faire redire ? Toi-même avant le coup me
venir
consulter ? Y revenir encore, ou plutôt m’éviter
V, Scène iv. Oreste, seul. Que vois-je ? est-ce Hermione ? Et que
viens
-je d’entendre ? Pour qui coule ce sang que je vie
lle épaisse nuit tout à coup m’environne ? De quel côté sortir ? D’où
vient
que je frissonne ? Quelle horreur me saisit ? Grâ
ai réservé. Mais que vois-je ? A mes yeux, Hermione l’embrasse ! Elle
vient
l’arracher au coup qui le menace ! Dieux ! quels
flent sur vos têtes1 ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous suit ?
Venez
-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez, à v
appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ?
Venez
, à vos fureurs Oreste s’abandonne. Mais non, reti
ques vers d’Euripide (Oreste, 255 et suiv.), imités par Racine : Ils
viennent
(ces spectres), je les vois ; mon supplice s’appr
pas à se lasser, il succombera bien vite au découragement. Lorsqu’on
vient
annoncer la vérité aux hommes, les presser d’obéi
ssit plein de tristesse et dit : « Que sera-ce de moi lorsque la nuit
viendra
et me surprendra dans cette solitude, sans nourri
ocher, s’assit en silence et baissa la tête. Et après celui-ci, il en
vint
plusieurs autres, et aucun ne put mouvoir le roch
diverses de penser. N’est-ce pas une grande pitié que cela, lorsqu’on
vient
à considérer, après quelques siècles, l’espèce de
l, l’Amour qui est la vie du Souverain Être et de tous les êtres ? Il
viendra
, n’en doutons point, plus ardent, plus abondant,
non pour le détruire, mais au contraire pour l’affermir. Les orateurs
viendront
, et on leur verra préférer la simplicité de l’Éva
rs discours vainement pompeux. Ces esprits polis de Rome et d’Athènes
viendront
apprendre à parler dans les écrits des barbares.
(Édition Garnier frères.) 1. Je ne vous laisserai pas orphelins ; je
viendrai
à vous. 2. C’est l’artisan de belles phrases qui
es sens convoitent ; car les convoitises, ce sont les maladies qu’ils
viennent
guérir, les démons qu’ils viennent chasser, et, p
tises, ce sont les maladies qu’ils viennent guérir, les démons qu’ils
viennent
chasser, et, pour guérir les autres, il faut d’ab
urent les richesses, dites : Dieu n’est pas là ; son envoyé n’est pas
venu
encore, et priez pour qu’il vienne bientôt. » (Co
n’est pas là ; son envoyé n’est pas venu encore, et priez pour qu’il
vienne
bientôt. » (Commentaires de l’Évangile selon sain
n me dit que c’est un enchantement pendant la belle saison, tant il y
vient
d’oiseaux à cause de la fraîcheur et de l’ombre é
r ses faiblesses, comme à un enfant auquel la raison n’est pas encore
venue
. Il a crée la fable à son image : de ce genre, si
ui manque le moins. Un riche laboureur sentant sa mort prochaine, Fit
venir
ses enfants, leur parla sans témoin. « Gardez-vou
ices. Je lui voue, au désert, de nouveaux sacrifices. Quand le moment
viendra
d’aller trouver les morts4, J’aurai vécu sans soi
je, du temps de reste pour trouter, Pour dormir, et pour écouter D’où
vient
le vent, il laisse la tortue Aller son train de s
ustement au milieu de l’un et l’autre oison8 « Miracle ! criait-on :
venez
voir dans les nues Passer la reine des tortues.
rice des Romains Ne pénétrât alors, et ne portât les mains. Le député
vint
donc et fit cette harangue : « Romains, et vous s
ples divers. Quel droit vous a rendus maîtres de l’univers ? Pourquoi
venir
troubler une innocente vie ? Nous cultivions en p
manda ce qu’avait dit cet homme, Pour servir de modèle aux parleurs à
venir
. On ne sut pas longtemps à Rome Cette éloquence e
nvient pas à vous-mêmes2, Repartit le vieillard. Tout établissement3
Vient
tard, et dure peu. La main des Parques blêmes De
e voit les gens marcher, Elle s’en attribue uniquement la gloire, Va,
vient
, fait l’empressée : il semble que ce soit Un serg
t où les enfants des rois Ouvrent les yeux à la lumière Est celui qui
vient
quelquefois Fermer pour toujours leur paupière. D
vendre le dormir6 Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait
venir
Le chanteur, et lui dit : « Or çà, sire Grégoire,
ux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L’âne
vint
à son tour, et dit : « J’ai souvenance4 Qu’en un
ngue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où
venait
tout le mal. Sa peccadille fut jugée un cas penda
4. Il fit pour lui cette épitaphe : Jean s’en alla, comme il était
venu
, Mangea le fonds avec le revenu, Tint les trésors
allant avec son écuyer en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle,
venait
d’entrer en Espagne. Parti de grand matin, il esp
5. Aux calendes, sous-entendu grecques, c’est-à-dire un temps qui ne
viendra
jamais ; car les calendes étaient romaines. 6.
raison ? Suppression ordinaire dans le style familier : Êtes-vous pas
venu
quérir pour votre maître ? (Molière.) 4. Une m
t à moi, rencontré la Tortue en voyage, et je me demandais ce qu’elle
venait
faire à Rome, à Athènes, à Londres, à Berlin, à C
er les accidents de notre séparation les uns aux autres ! La larme me
vient
à l’œil en pansant à ces joies ! Si je me rappell
s, Masaniello, vous qui n’étiez qu’un pauvre pêcheur de poisson, d’où
vient
donc que vous avez renversé à Naples la dominatio
t donc que vous avez renversé à Naples la domination espagnole ? D’où
vient
que vous avez vaincu le lion, fait trembler penda
Et cette alarme universelle Est l’ouvrage d’un Moucheron. « Et d’où
vient
aussi qu’au milieu de votre triomphe, qui vous av
lisons d’un œil inattentif. Tout à coup le nom d’un parent, d’un ami,
vient
frapper nos regards : alors nous nous écrions ; a
Éloquence de saint Paul 1 N’attendez pas de l’Apôtre ni qu’il
vienne
flatter les oreilles par des cadences harmonieuse
ant de fameuses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où
vient
cela, chrétiens ? C’est que Paul a des moyens pou
est répandue et mêlée dans l’auguste simplicité de ses paroles. De là
vient
que nous admirons dans ses admirables Épîtres une
érience des maux du monde, ni des traverses qui nous arrivent : de là
vient
qu’elle s’imagine qu’il n’y a point de dégoût, de
plus elle a de lumière, plus elle fait honneur à celui d’où elle lui
vient
. Mais voici un nouvel hommage qu’elle rend à son
ements, que vous ne pouvez être éclairés que par une lumière qui vous
vienne
du dehors et d’en haut ; et si vous êtes lumière,
, voici un prompt remède à ce mal. Accourez ici, troupe de flatteurs,
venez
en foule à sa table, venez faire retentir à ses o
ce mal. Accourez ici, troupe de flatteurs, venez en foule à sa table,
venez
faire retentir à ses oreilles le bruit de sa répu
euse de nouveautés, ennemie du loisir, et impatiente du repos1 ? D’où
vient
qu’elle ne cesse de nous agiter et de nous ôter n
a racine, je l’abattrai d’un grand coup et le porterai par terre ; il
viendra
une disgrâce et il ne pourra plus se soutenir. To
s les ouvrages de Dieu, c’est blasphémer contre sa sagesse. Mais d’où
vient
donc une si étrange disproportion ? faut-il, chré
le chef-d’œuvre de ses mains ? C’est lui-même, n’en doutez pas. D’où
vient
donc cette discordance ? et pourquoi vois-je ces
lainte si pressante ? Jésus-Christ y répondra dans notre Évangile. Il
vient
voir le Lazare décédé, il vient visiter la nature
st y répondra dans notre Évangile. Il vient voir le Lazare décédé, il
vient
visiter la nature humaine qui gémit sous l’empire
rt. Ah ! cette visite n’est pas sans cause : c’est l’ouvrier même qui
vient
en personne pour reconnaître ce qui manque à son
ur que vous vous serez donnés à un maître si bienfaisant. Et vous, ne
viendrez
-vous pas à ce triste monument, vous, dis-je, qu’i
et d’exemple ! Pour moi, s’il m’est permis, après tous les autres, de
venir
rendre les derniers devoirs à ce tombeau, ô princ
né les cœurs ; et s’il avait ôté de sa vie la tache que Votre Majesté
vient
d’effacer2, sa gloire serait accomplie, et on pou
n’est rien, parce que ce qui se mesure a son terme, et lorsqu’on est
venu
à ce terme, un dernier point détruit tout, comme
tance, ô grand Dieu ? J’entre dans la vie pour en sortir bientôt ; je
viens
me montrer comme les autres ; après, il faudra di
, nous n’en saisissions un autre semblable, jusqu’à ce qu’enfin il en
viendra
un auquel nous ne pourrons arriver, quelque effor
ugé ainsi : « Quelle admirable revue de tous les peuples ! Comme ils
viennent
tour à tour devant Bossuet témoigner de leur faib
e, il chasse pêle-mêle devant lui et Juifs et gentils au tombeau ; il
vient
enfin lui-même à la suite du convoi de tant de gé
grand Henri IV. » Note de M. Saucié. 2. « La tache que Votre Majesté
vient
d’effacer. » Allusion à madame de Montespan. 3.
ndiscret, presque un vaniteux, qui ne peut se résigner au silence, et
vient
à l’endroit le plus beau vous faire souvenir qu’i
rver à ces morceaux tout leur prix, si quelques notes explicatives ne
viennent
rattacher ces pages à l’ensemble dont on les a dé
que ce serait trop tôt, car ces messieurs ne sont pas encore prêts à
venir
. — Resteront-ils longtemps à table aujourd’hui ?
veille que par la date de l’almanach et par la trace des années, qui
venait
enfin s’imprimer sur le visage de ces femmes comm
aste qu’elle ne l’est en réalité. L’illusion si favorable au Panthéon
vient
, à ce qu’on assure, de ce qu’il y a plus d’espace
vert presque comme il l’était autrefois. On dit que cette lumière qui
venait
d’en haut était l’emblème de la Divinité supérieu
be souvent sur ces parvis de marbre ; mais aussi les rayons du soleil
viennent
éclairer les prières. Quelle sérénité ! quel air
e porter jusqu’au ciel une grande pensée de l’homme. Ce monument, qui
vint
d’Égypte pour orner les bains de Caligula, et que
es vastes lieux. Et quand, sous ces dômes immenses, on entend de loin
venir
un vieillard, dont les pas tremblants se traînent
lions de basalte qu’on voit au pied de l’escalier du Capitole19. Ils
viennent
d’Égypte ; les sculpteurs égyptiens saisissaient
ppris. Sans doute on est importuné de tous ces bâtiments modernes qui
viennent
se mêler aux antiques débris : mais un portique d
irée, ni du succès, ni de la mode, ni des préjugés, ni de tout ce qui
vient
des autres enfin, n’aurait pu lui faire altérer s
le cours du sang dans les veines ; chaque effort dans une telle lutte
vient
du recueillement intérieur le plus profond. L’on
vrage entier, publié en 1802, eut un succès éclatant. Jamais livre ne
vint
plus à propos : il paraissait l’année même où le
peut-être Demande, en regardant les lieux qui l’ont vu naître, Quand
viendra
le printemps par qui tant d’exilés Dans les champ
s. Nous avons vu quelques infortunés à qui ce dernier trait faisait
venir
les larmes aux yeux. Il n’en est pas des exils qu
e disparu, qu’on voit s’avancer sur les vents du nord une colonie qui
vient
remplacer les voyageurs du midi, afin qu’il ne re
tristes et des mœurs sauvages, comme la saison qui les amène ; ils ne
viennent
point pour se faire entendre, mais pour écouter :
nd la terre est dépouillée, tandis que les oiseaux étrangers qui nous
viennent
dans la saison des fruits n’ont avec nous que des
st connu que sous le nom de curé, et ce nom vénérable dans lequel est
venu
se perdre le sien indique moins le ministre du te
r bien achever un jour si saintement commencé, les anciens du village
viennent
, à l’entrée de la nuit, converser avec le curé, q
camp romain Le jeune Grec Eudore, dont la famille est chrétienne,
vint
à Rome sous le règne de Dioclétien. Devenu suspec
t lorsque, aux premières blancheurs de l’aube, les trompettes du camp
venaient
à sonner l’air de Diane, j’étais étonné d’ouvrir
leil impuissant qui ne peint les objets d’aucune couleur ; quand nous
venions
à nous rappeler les paysages éclatants de la Grèc
combat ; mais, aussitôt qu’ils eurent rassemblé leurs guerriers, ils
vinrent
audacieusement au-devant de nous, et nous offrire
c intrépidité. Trois fois ils retournent à la charge ; trois fois ils
viennent
se briser contre le vaste corps qui les repousse.
es armées. Cependant la masse effrayante de l’infanterie des barbares
vient
toujours roulant vers les légions. Les légions s’
ssus les taureaux, tombe à leurs têtes, et se présente au Gaulois qui
venait
à lui. Toute l’armée s’arrête pour voir le combat
ne antique, le jeune passereau pousse des cris de joie ; le vieillard
vient
s’asseoir sur le seuil de la porte ; il entend de
ée, chrétienne comme lui, s’est échappée de la maison paternelle pour
venir
partager avec lui les douleurs et les gloires du
se tromper lui-même, soit qu’il voulut tromper les hommes, ce spectre
vint
s’asseoir au balcon impérial, comme la mort couro
rition des bêtes féroces. Le chef des rétiaires67 traverse l’arène et
vient
ouvrir la loge d’un tigre connu par sa férocité.
par lus Grâces ; elle tombe comme une fleur que la faux du villageois
vient
d’abattre sur le gazon. Eudore la suit un moment
instant pour un théâtre. Je ne puis peindre les sentiments confus qui
vinrent
m’assiéger. La colline au pied de laquelle je me
qui lavent à des puits les robes des Turcs ; des paysans qui vont et
viennent
, conduisant des ânes ou portant sur leur dos des
ans. Je passerai à mon tour : d’autres hommes aussi fugitifs que moi
viendront
faire les mêmes réflexions sur les mêmes ruines.
de Troie Lorsque le 21 septembre102, à six heures du matin, on me
vint
dire que nous allions doubler le château des Dard
endre dans un tombeau universel quelque bruit qui décèle la vie. D’où
vient
ce soupir ? d’un de mes compagnons : il se plaint
rône par le choix du peuple et élevé sur vos pavois, vous est rendu :
venez
le joindre. Arrachez ces couleurs que la nation a
i si arrogante, puisse en soutenir la vue ? Ils retourneront d’où ils
viennent
, et là, s’ils le veulent, ils régneront comme ils
sont pour ceux qui les ont servis contre la patrie et nous. Soldats !
venez
vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son
nspirer un amour tel que celui des chrétiens pour leur Dieu ! Si vous
veniez
à mourir, vos enfants se souviendraient de vous e
, doré par nous, réfléchit les rayons du soleil… Mais les revers sont
venus
, l’or peu à peu s’est effacé ; la pluie du malheu
réserve, fut résolu : Pym, appelant la peur à l’aide de la vengeance,
vint
dénoncer le complot de la cour et des officiers p
ait encore, se croyant incapable d’accepter un tel déshonneur. Il fit
venir
Hollis, beau-frère de Strafford, et qui, à ce tit
pour sauver sa vie, à révéler tout ce qu’il savait de ses intrigues,
vint
assiéger son mari de ses soupçons et de ses terre
ur coupable ou innocent. » Le lendemain, le secrétaire d’État Carlton
vint
, de la part du roi, annoncer à Strafford qu’il av
illit encore quelques minutes ; puis prenant l’évêque par la main : «
Venez
, dit-il, partons. Herbert, ouvrez la porte ; Hack
ion. Quelques ministres indépendants137, Nyo et Goodwin entre autres,
vinrent
frapper à la porte, disant qu’ils voulaient offri
t se relevant avec vivacité : « Maintenant, dit-il, que ces drôles-là
viennent
; je leur ai pardonné du fond du cœur ; je suis p
es. Les poètes, ces devanciers ordinaires des orateurs, étaient, déjà
venus
; Malherbe avait enseigné l’harmonie146, et Corne
peintre philosophe, n’a point exagéré les couleurs. Mais bientôt sont
venus
les imitateurs, les élèves que Buffon, malgré son
de leurs tribus, étaient cruellement punies, et les légions romaines
venaient
mettre à feu et à sang la rive germanique du Rhin
royauté de Louis XIV209 ; et quant à la féodalité, loin qu’elle soit
venue
morceler un empire embrassant régulièrement toute
capable d’acquérir une grande force, quand la prépondérance politique
viendrait
s’ajouter chez le suzerain à la suprématie féodal
en trois colonnes d’attaque : à la première étaient les gens d’armes
venus
des comtés de Boulogne et de Ponthieu, avec la pl
, et que ce n’est pas seulement pour conquérir ce royaume que je suis
venu
ici d’outre-mer. Les gens de ce pays, vous ne l’i
e un triomphe anticipé. Les habitants gaulois et le clergé des villes
venaient
processionnellement à sa rencontre ; les Franks m
pour épier la moindre lueur d’espérance. Parmi les hommes qui étaient
venus
à Tournay partager la fortune de leur prince, ell
s, toute son adresse et tous les prestiges de son rang : elle les fit
venir
auprès d’elle, leur parla de ses malheurs et de s
es banquets. Ils dirent qu’ils étaient du royaume de Neustrie, qu’ils
venaient
pour saluer le roi Sighebert et pour lui parler.
rt était tenu de se montrer affable et de donner audience à quiconque
venait
réclamer de lui protection ou justice. Les Neustr
Je vois, répondit l’évêque de Tours, le nouveau belvédère que le roi
vient
d’y faire élever. — Et tu n’aperçois rien de plus
e eut des éclairs de conscience et des sentiments d’humanité ; il lui
vint
des pensées de remords, de pitié pour les souffra
amour, la haine, l’indignation, le mépris238. Ce moment d’inspiration
vînt
pour Frédegonde ; elle se tourna vers le roi, et
ne résolution soudaine, et dit au roi : « Eh bien ! si tu m’en crois,
viens
et jetons au feu tous ces rôles d’impôts iniques
e succède une satisfaction moindre encore, qui s’épuise peu à peu, et
vient
s’éteindre dans l’ennui et le dégoût. Tel est le
la vanité. Mais cet étourdissement ne peut durer toujours : le moment
vient
où cette impétueuse inconstance dans la poursuite
t, il ne le tient pas ; tout le bonheur que la vie pouvait donner est
venu
, et le désir du bonheur n’est point éteint246. Le
aussi la question de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas lui
vient
; et alors aussi il se pose le problème de sa des
ont peut-être des ancêtres, mais qui n’ont pas d’histoire. Elles s’en
viennent
sauvages, presque nues, à peine armées ; elles s’
les s’en viennent sauvages, presque nues, à peine armées ; elles s’en
viennent
sans dire d’où elles sortent, ni à qui elles appa
à leur tour sur la scène du monde. Ils y paraissent quand l’heure est
venue
, et Rome s’écroule sous leur souffle. Et puis, pl
dées de toutes les espèces : et de ces peuples, aucun ne sait d’où il
vient
, ce qu’il fait sur la terre, où il va ; aucun ne
ce. Qu’est-ce donc que cette humanité dont nous faisons partie ? d’où
vient
-elle ? où va-t-elle ? En est-il d’elle comme des
êvé son orgueil, la création n’est-elle qu’un théâtre sur lequel elle
vient
jouer un acte de ses destinées immortelles ? Enco
ucun être animé. Vous savez qu’on a constaté qu’une grande révolution
vint
détruire cette création, comme si elle n’eût pas
nt vécu autrefois comme nous y vivons maintenant, Pourquoi le jour ne
viendrait
-il pas où notre race sera effacée, et où nos osse
des circonstances qui, au milieu même de la vie la plus insouciante,
viennent
subitement provoquer dans l’esprit de l’homme l’a
s institutions de saint Louis furent les premiers essais de sa plume.
Venu
à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’hist
e 23 octobre 1536. Marie Stuart déclara qu’elle avait cherché à faire
venir
dans le royaume des forces étrangères, mais qu’el
erveur les prières des agonisants. Avant qu’elle les eût achevées, ou
vint
heurter à la porte. Le shérif254 entra, une bague
er une république ! il faut au moins fonder la paix ; le gouvernement
viendra
comme il pourra. » Le 15, Charlotte Corday subit
voulant voir de danger grave que dans l’arrivée d’un corps ennemi qui
viendrait
fermer le débouché d’Ivrée, il enjoignit à Berthi
. Nous avons des vivres en suffisante quantité pour attendre, et nous
viendrons
toujours à bout ou de tourner ou de vaincre l’obs
e à lui la couronne au front, et la nuit suivante trois spectres sont
venus
troubler son sommeil, et en s’enfuyant dans les a
u vainqueur. Comment soutiendra-t-il la trop vive lumière Du jour qui
vient
dans l’ombre accabler sa paupière ? Oublierais-je
une seconde fois, Dans ce trouble confus de mon âme oppressée, Glamis
vint
tout à coup s’offrir à ma pensée278. MACBETH. Mai
ceux que l’on doit punir. Et semble d’un regard dévorer l’avenir. On
vient
la consulter du fond de l’Hibernie, Des îles de F
à mes yeux ! Oui, du plus grand bonheur sa présence est le gage… Elle
vient
, cher Macbeth, achever son ouvrage. J’en conçois,
riez-les bien plutôt d’épaissir leurs ténèbres. FRÉDEGONDE. Mais d’où
vient
qu’Iphyctone a cherché nos forêts ? D’où vient qu
FRÉDEGONDE. Mais d’où vient qu’Iphyctone a cherché nos forêts ? D’où
vient
qu’à l’instant même elle est dans ce palais ? Si
). Acte III, Scène V. Polynice, sur le point de combattre Étéocle,
vient
demander à Œdipe, son père, réfugié avec sa fille
oir par vos mains le ciel bénir mes armes ; Et mes soldats vainqueurs
viendront
tous avec moi Vous ramener dans Thèbe et vous nom
es point mon fils : seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi ?
Viens
, mon sang, viens, ma fille ; Soutiens mon faible
: seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi ? Viens, mon sang,
viens
, ma fille ; Soutiens mon faible corps dans tes br
peut, ma malédiction : J’ai calmé mon courroux, calmez votre colère.
Viens
dans mes bras, ingrat ; retrouve enfin ton père.
cœurs faux, dangereux, Soyez de fer, d’acier pour eux. Mais qu’un sot
vienne
à m’apparaître, Exaucez ma prière, ô dieux ! Ferm
Il était temps pour la poésie française que de nouvelles inspirations
vinssent
la purifier et la rajeunir. Le vieillard de Ta
nt le passé, Entre le repentir et la douce espérance, Vers un monde à
venir
prennent leur vol immense, Accueillez leur malheu
lards, Vers ces hôtes sacrés courront de toutes parts : La richesse y
viendra
visiter l’indigence ; L’orgueil, l’humilité ; le
nt pour leurs âpres forêts Et vos salons dorés et vos ombrages frais,
Viendrez
au milieu d’eux dans une paix profonde Désenchant
! Dès que le désespoir peut retrouver des larmes, À la mélancolie il
vient
les confier, Pour adoucir sa peine, et non pour l
r des tourments accueille l’infortune ; Qui, d’un air triste et doux,
vient
sourire au malheur, Assoupit les chagrins, émouss
n laissant tomber sa tête, Un tendre souvenir est sa plus douce fête.
Viens
donc, viens, charme heureux des arts et des amour
omber sa tête, Un tendre souvenir est sa plus douce fête. Viens donc,
viens
, charme heureux des arts et des amours ! Je te ch
Je murmurais les vers de Virgile et d’Horace. Là nos voix pour prier
venaient
se réunir. Plus loin… Ah ! mon cœur bat à ce seul
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde, Triomphante, elle
vint
donner des lois au monde Et marqua de sa croix le
pite : Il appelle : l’écho redouble sa frayeur ; De sinistres pensers
viennent
glacer son cœur. L’astre heureux qu’il regrette a
, à ces pensers, s’arrête dans ses veines. Et quels regrets touchants
viennent
aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis, qu’il
e la nuit ténébreuse, Te montres la dernière et la plus radieuse, Qui
viens
fermer leur marche, et places ton retour Entre la
t à saisir les allusions contemporaines ; les sentences générales qui
viennent
sans cesse entraver et refroidir la marche de l’a
hes du Tibre un vaisseau m’a conduit ; Je suis enfin dans Rome, et je
viens
me défendre. Agrippine au sénat s’est-elle fait e
de toute renommée ! Les délateurs, vendant leur voix et leurs écrits,
Viennent
dans son palais marchander les proscrits : Lui se
ux tombes sacrées Où dorment des Césars les ombres révérées364. Je ne
viens
plus, Tibère, au nom de tout l’État, Contre un lâ
e voyait plus, mais on voyait sa cendre ; De pleurs reconnaissants on
venait
la couvrir. Hélas ! et c’était moi qui devais les
aient-ils dans un âge si tendre373 ? Et que m’annonce encor ce que je
viens
d’entendre ? Est-ce aujourd’hui Pison que vous vo
e ma prière aigrit votre courroux : Cet entretien vous pèse, et Séjan
vient
à nous. Je vais trouver mes fils. Déjà privés d’u
t des cieux Argente mollement les flots silencieux. Mais une voix qui
vient
du vallon solitaire Me dit : « Viens ; tes amis n
ts silencieux. Mais une voix qui vient du vallon solitaire Me dit : «
Viens
; tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens ; tu
lon solitaire Me dit : « Viens ; tes amis ne sont plus sur la terre ;
Viens
; tu veux rester libre, et le peuple est vaincu.
umble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra pas d’autre histoire. Là
viendront
les villageois Dire alors à quelque vieille ; « P
ce village. Suivi de rois, il passa. Voilà bien longtemps de ça : Je
venais
d’entrer en ménage. À pied grimpant le coteau Où
près où circule par endroits l’esprit général des choses, où vont et
viennent
ces grands courants de l’atmosphère que sentent à
îne ; Je marche dans la nuit par un chemin mauvais ; Ignorant d’où je
viens
, incertain où je vais, Et je rappelle en vain ma
dans tes mains Tiens le cœur palpitant des sensibles humains, Byron,
viens
en tirer des torrents d’harmonie : C’est pour la
’on t’offre de si bas : La gloire ne peut être où la vertu n’est pas.
Viens
reprendre ton rang dans ta splendeur première, Pa
race Sur l’ivoire amolli. Ô dernier confident de l’âme qui s’envole,
Viens
, reste sur mon cœur ! parle encore, et dis-moi Ce
btienne De rendre sur ton sein ce douloureux soupir : Quand mon heure
viendra
, souviens-toi de la tienne, Ô toi qui sais mourir
ouche expirante Exhala sur tes pieds l’irrévocable adieu ; Et son âme
viendra
guider mon âme errante Au sein du même Dieu. Ah
l’épître. Mais bientôt une muse sévère, celle de la France en deuil,
vint
arracher à l’âme du jeune poète des accents plus
e, un cri s’entend… L’hymne pieux expire418. Ce cri, qui l’a poussé ?
vient
-il de ton esquif ? Est-ce toi qui gémis, lévite ?
de ce duc de Nemours que Louis XI avait fait périr sur l’échafaud est
venu
en qualité d’ambassadeur de Charles le Téméraire,
. FRANÇOIS DE PAULE. Ah ! puisqu’il est des maux que tu peux réparer,
Viens
! LOUIS, debout. Viens !Où donc ? FRANÇOIS DE PA
! puisqu’il est des maux que tu peux réparer, Viens ! LOUIS, debout.
Viens
!Où donc ? FRANÇOIS DE PAULE. Viens ! Où donc ?C
réparer, Viens ! LOUIS, debout. Viens !Où donc ? FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
! Où donc ?Ces captifs, allons les délivrer. LOUI
E PAULE, aux pieds du roi. L’intérêt le défend.La charité l’ordonne.
Viens
, viens sauver ton âme. LOUIS. Viens, viens sauve
, aux pieds du roi. L’intérêt le défend.La charité l’ordonne. Viens,
viens
sauver ton âme. LOUIS. Viens, viens sauver ton â
le défend.La charité l’ordonne. Viens, viens sauver ton âme. LOUIS.
Viens
, viens sauver ton âme.En risquant ma couronne ! R
end.La charité l’ordonne. Viens, viens sauver ton âme. LOUIS. Viens,
viens
sauver ton âme.En risquant ma couronne ! Roi, je
ormes visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me dit, Quand je
viens
le prier : Que me veux-tu, maudit ? Un démon, si
y plonge et m’assassine. Je me lève éperdu ; des flots de sang humain
Viennent
battre ma couche ; elle y nage, et ma main Que pe
La peur de l’épuiser est mon plus grand tourment ! FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
donc, en essayant du pardon des injures, Viens de
en défendu.L’est-on quand on n’est pas aimé ? (En l’entraînant.) Ah !
viens
. LOUIS (qui le repousse). Ah ! viens.Non, laisse
aimé ? (En l’entraînant.) Ah ! viens. LOUIS (qui le repousse). Ah !
viens
.Non, laissez-moi du temps pour m’y résoudre. FRAN
sauvages, Et les ardents chevaux hennissent à son nom438. Parfois il
vient
, porté sur l’ouragan numide. Prenant pour piédest
Ora pro nobis. I Ma fille ! va prier ! — Vois, la nuit est
venue
. Une planète d’or là-bas perce la nue ; La brume
urs bouches vermeilles, Comme volent aux fleurs de joyeuses abeilles,
Viendront
s’abattre en foule à leurs rideaux de lin ! Ô so
eurs os ; Qu’un rayon touche encor leur paupière ravie, Et qu’il leur
vienne
un bruit de lumière et de vie, Quelque chose des
mprendre et pourtant de le voir. Qu’est-ce donc que ce monde, et qu’y
venons
-nous faire, Si, pour qu’on vive en paix, il faut
éduits en poussière, J’irai m’agenouiller pour vous sur vos tombeaux.
Venez
, rhéteurs païens, maîtres de la science, Chrétien
sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux.
Viens
; tu souffres, ami. Quelque ennui solitaire Te ro
e Te ronge ; quelque chose a gémi dans ton cœur ; Quelque amour t’est
venu
, comme on en voit sur terre, Une ombre de plaisir
e on en voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur.
Viens
, chantons devant Dieu ; chantons dans tes pensées
bonheur, de gloire et de folie, Et que ce soit un rêve, et le premier
venu
. Inventons quelque part des lieux où l’on oublie
e462. Dis-moi, quel songe d’or nos chants vont-ils bercer ? D’où vont
venir
les pleurs que nous allons verser ? Ce matin, qua
auché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la nuit éternelle
Vînt
sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’aile Et
âle pamphlétaire, Qui, poussé par la faim, du fond de son oubli, S’en
vient
, tout grelottant d’envie et d’impuissance, Sur le
une délicatesse charmante465 : « Dieu me garde, disait-il au nouveau
venu
, de vous donner des scrupules sur vos habitudes d
u plus épais de la mêlée parisienne. Les héros de la tragédie peuvent
venir
d’eux-mêmes visiter le poète dans sa province : t
alors, et l’on t’eût bien fait rire, Si des gens clairvoyants étaient
venus
te dire Qu’il pourrait arriver, certain jour, cer
yale du 23 juin 1789, M. de Dreux-Brézé, grand maître des cérémonies,
vint
, après le départ du roi, signifier aux communes l
de la Bastille (14 juillet) décida le roi à changer de conduite : il
vint
à l’assemblée, y protesta de ses bons sentiments
nt par Mégare avait joué le rôle de médecin malgré lui. Un Grec était
venu
le chercher pour qu’il vit sa fille mourante et l
vend séparément. 146. Boileau, Art poét., ch. Ier : Enfin Malherbe
vint
, et, le premier en France, Fit sentir dans les ve
le modèle de la narration historique : aucune circonstance inutile ne
vient
ralentir la marche du récit, et cependant aucun t
, après celui des mammouths, des mastodontes et des mégathériums, est
venu
l’âge où l’espèce humaine, aidée de quelques anim
qu’elle médite, elle s’adresse un monologue qui se termine ainsi : «
Viens
, Macbeth, que je verse dans ton oreille une génér
tre a l’Académie française le jour (13 février 1786) où M. de Guibert
vint
prendre séance à la place de Thomas, mort l’année
s la pièce de la Semaine sainte à la Roche-Guyon (Médit. poét.). Ici
viennent
mourir les derniers bruits du monde ; Nautonier s
Léon Feugère. 344. À la nouvelle qu’un de ses amis, M. de Pastoret,
venait
d’être arrêté à Passy, il alla offrir à la famill
me à la donnée historique. Au moment où le sénat est rassemblé, Séjan
vient
apporter la nouvelle que Pison s’est donné la mor
t la richesse ; Il laissa dans ses yeux sourire sa tristesse ; Ce qui
venait
du cœur lui fut le bienvenu. 405. Un des trait
d avait rencontré un mouvement semblable. L’envoyé de Philippe le Bel
vient
apporter de la part du roi la grâce des condamnés
e partie est pleine de grâce et de fraîcheur ; nulle faute de goût ne
vient
contrarier notre admiration. 443. La piété fili
e. L’imagination est saisie, effrayée ; l’âme n’est pas touchée. Cela
vient
, à notre sens, de ce que le fantastique tient ici
e saurait que faire ; ou bien, au contraire, il court pour courir, et
vient
en poste, sans autre objet que de retourner de mê
partager. S’il n’y a rien de moral dans le cœur de l’homme, d’où lui
viennent
donc ces transports d’admiration pour les actions
le journée, mon premier souhait était que ni lettres, ni visites n’en
vinssent
troubler le charme. Après avoir donné la matinée
le fidèle Achate1, pressant le pas, dans la crainte que quelqu’un ne
vînt
s’emparer de moi avant que j’eusse pu m’esquiver
e puisse croire avoir pénétré le premier, et où nul tiers importun ne
vînt
s’interposer entre la nature et moi. C’était là q
elque idée de Paris, de mon siècle et de ma petite gloriole d’auteur,
venait
troubler mes rêveries, avec quel dédain je la cha
pendant, au milieu de tout cela, je l’avoue, le néant de mes chimères
venait
quelquefois la contrister tout à coup. Quand tous
re assurance l’état intérieur de l’auteur. L’extrême agitation que je
viens
d’éprouver vous a pu faire porter un jugement con
’ai senti ce même dégoût plus augmenté que diminué, j’ai conclu qu’il
venait
d’une autre cause, et que ces espèces de jouissan
e, ne me sont rien. Il est certain que cet amour de l’indépendance me
vient
moins d’orgueil que de paresse1 ; mais cette pare
paresseux, ils n’ont jamais eu le moindre succès. Quand les maux sont
venus
, ils m’ont fourni un beau prétexte pour me livrer
le vice n’est qu’une conséquence physique de notre organisation, d’où
vient
cette frayeur qui trouble les jours d’une prospér
aît ? qui l’a vue ? qui peut savoir où elle gît ? Job disait : « D’où
vient
donc la sagesse, et quel est le lieu de l’intelli
misère, l’est bien autrement encore pour la félicité ! La misère lui
vient
d’un accident, la félicité de sa nature et de sa
riens, à commencer cent choses, et à n’en achever aucune, à aller et
venir
comme la tête me chante, à changer à chaque insta
artient pas au même individu. Le sentiment, plus prompt que l’éclair,
vient
remplir mon âme ; mais au lieu de m’éclairer, il
ent ce grand mouvement s’apaise, ce chaos se débrouille, chaque chose
vient
à sa place, mais lentement et après une longue et
ns ma tête avant qu’elle fût en état d’être mise sur le papier. De là
vient
encore que je réussis mieux aux ouvrages qui dema
andent des heures de fatigue. Ou si je veux écrire de suite ce qui me
vient
, je ne sais ni commencer, ni finir. Ma lettre est
’élève. Bientôt le jeune écrivain se sent plus à l’aise ; la facilité
vient
avec la pratique ; il pense par lui-même et expri
ffaire faite, et très bien faite, je le soutiens ; car trois mots qui
viennent
d’un cœur bien sincère et bien à vous, valent un
ci ! * Lettre de mademoiselle d’Haut… à sa mère Saint-Cyr, 1718. Je
viens
, ma chère maman, de faire, avec mes compagnes, la
la force de lever les yeux assez haut pour trouver le lieu d’où doit
venir
le secours ; je ne puis encore tourner mes regard
erme la bouche sur tout. M. de Sévigné vous donne son équipage ; vous
venez
à Malicorne ; vous y trouvez les chevaux et la ca
x, c’est en attendant ; à votre loisir, vous vous remettez chez vous.
Venons
au fait : vous payez une pension à M. de Sévigné
urserez petit à petit, comme vous voudrez. Ne demandez point d’où ils
viennent
, ni de qui c’est ; on ne vous le dira pas ; mais
sonnements là-dessus, point de paroles ni de lettres perdues, il faut
venir
: tout ce que vous m’écrirez, je ne le lirai seul
crirez, je ne le lirai seulement pas. En un mot, ma belle, il faut ou
venir
ou renoncer à mon amitié, à celle de madame de Ch
ute : il y a de la misère et de la pauvreté à votre conduite. Il faut
venir
dès qu’il fera beau. Conseils. J. Racine
ur des monceaux de morts. Accourez maintenant, amis, épouses, mères !
Venez
compter vos fils, vos amants et vos frères ; Vene
, épouses, mères ! Venez compter vos fils, vos amants et vos frères ;
Venez
, sur ces débris, disputer aux vautours L’espoir d
des eaux devint semblable à celle du verre liquide. Une grosse houle
venait
du couchant, bien que le vent soufflât de l’est ;
ce semblait borné, faute de points de comparaison ; mais si une vague
venait
à se lever, un flot à se courber comme une côte l
s paupières, lorsque mes compagnons, ôtant leurs chapeaux goudronnés,
vinrent
entonner d’une voix rauque, leur simple cantique
ssus les taureaux, tombe à leurs pieds, et se présente au Gaulois qui
venait
à lui. « Toute l’armée s’arrête pour regarder le
ilà que pour se délasser Des longues courses de son aile, Un papillon
vient
se placer Sur sa main blanche. « Ah ! lui dit-ell
ges qui, depuis le matin, attristaient l’atmosphère, un de ses rayons
vint
frapper la croisée que le petit incrédule contemp
té ; abaissez tout cela jusqu’à nos sens. Nous voulons que les objets
viennent
se mettre sous nos yeux ; nous voulons un vrai qu
e un flambeau divin ; Quand ton œil fatigué se ferme à la lumière, Tu
viens
d’un jour plus pur inonder ma paupière ; Et l’esp
rêvant sur un tombeau, Appuyé sur la foi, m’ouvre un monde plus beau.
Viens
donc, vient détacher mes chaînes corporelles ; Vi
n tombeau, Appuyé sur la foi, m’ouvre un monde plus beau. Viens donc,
vient
détacher mes chaînes corporelles ; Viens, ouvre m
monde plus beau. Viens donc, vient détacher mes chaînes corporelles ;
Viens
, ouvre ma prison, viens, prête-moi tes ailes. Que
onc, vient détacher mes chaînes corporelles ; Viens, ouvre ma prison,
viens
, prête-moi tes ailes. Que tardes-tu ? Parais, que
re même n’a-t-il pas pensé du tout à ce rapprochement, car cette idée
venait
naturellement sous sa plume. Cette strophe se ter
ation poétique de ce moment suprême ; car lorsque le messager de mort
vint
remplir de son nom les longs corridors sombres, i
t le logogriphe se nomment en latin gryphus et logogryphus ; mots qui
viennent
du grec. Le premier signifie, énigme sur une chos
l’homme de goût dédaigne et réprouve. De la Charade. La Charade
vient
, dit-on, de l’idiome languedocien, et signifie da
é de Marolles. Parmi nous, ce sont Marot et J.-B. Rousseau. Après eux
viennent
Racine, qui nous a laissé quelques bonnes épigram
ut ainsi couronner sa vaillance, Afin d’apprendre aux siècles à
venir
Qu’il ne met point de différence Entr
s airs ? est-ce Junon 165 ? est-ce Pallas 166 ? est-ce Vénus 167 qui
vient
elle-même ? Si vous considérez sa naissance, c’es
ame, et de la Chanson. De l’Épithalame. L’Épithalame, mot qui
vient
du grec, et qui signifie chant nuptial, est un pe
le genre noble et sérieux : Descends, Hymen168, descends des cieux,
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, c
Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux,
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Tandis qu’au s
x, Conduisent l’Infante adorée. Descends, Hymen, descends des cieux,
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, c
Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux,
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Pour célébrer
s, Sans faire rougir l’innocence, Descends, Hymen, descends des cieux
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, c
Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux,
Viens
remplir les vœux des deux mondes. Junon177 dans
urprend pas. Mais qu’à Paris193 mainte et mainte personne Qui
vient
vous demander lundi Un plaisir qu’on lui
emain de la bataille Accourez maintenant, amis, épouses, mères !
Venez
compter vos fils, vos amants et vos frères ; Vene
, épouses, mères ! Venez compter vos fils, vos amants et vos frères ;
Venez
sur ces débris disputer aux vautours L’espoir de
Le grand flot des peuples taris. Sorti des fentes des murailles, Il
venait
, de froid engourdi, Réchauffer ses vertes écaille
, Je posai mon fusil sur une pierre grise, Et j’essuyai mon front que
vint
sécher la brise ; Puis regardant, je fus surpris
frappe en vain ; le gardien du foyer, Son chien même, à mes coups ne
vient
pas aboyer ; Je presse le loquet d’un doigt lourd
surpris, Emportant dans mes bras ma mère évanouie, Dont cette émotion
venait
d’user la vie, Dérobés aux regards par le mur de
leurs cris de bonheur monter et retentir Sur les pas de la mort, qui
venait
d’en sortir2. Le retour de jocelyn au presby
gouttes de mes yeux roulèrent sur sa soie ; « O pauvre et seul ami,
viens
, lui dis-je, aimons-nous ! Partout où le ciel mit
re épagneul, Qui conduisait l’aveugle et meurt sur son cercueil !!!
Viens
, viens, dernier ami que mon pas réjouisse, Ne cra
neul, Qui conduisait l’aveugle et meurt sur son cercueil !!! Viens,
viens
, dernier ami que mon pas réjouisse, Ne crains pas
r, ta haute salle de fête s’ouvrira pour tous les hommes de bien ; je
viendrai
alors, moi aussi, prendre ma place au festin. »
ie, du froid, de la faim, du souffle du monde ; le nid où la mort est
venue
prendre tour à tour le père et la mère, et dont l
ec des cris joyeux et battant des ailes comme pour le féliciter de sa
venue
. Alors, le saint dit à son compagnon : “Je vois q
l’éclosion et l’épanouissement des deux grandes littératures antiques
vinrent
inonder de lumières nouvelles, remuer et enthousi
mé dans la poésie française et latine, d’Aurat, Du Bellay, le dernier
venu
, lança dès 1549 un manifeste éloquent, la Deffens
s » gauloises, ne plus revenir aux mystères, qu’un arrêt du Parlement
venait
fort à propos d’interdire (17 novembre 1548), « d
ur, d’abord sous le nom modeste de Brigade, puis, quand la gloire est
venue
, sous le titre brillant de Pléiade, renouvelé du
ces « petits sentiers tout parfumés de roses ». — Régnier, le dernier
venu
, qui, pour ne pas renier son oncle Desportes, se
31). Demande d’argent. On dict bien vray, la maulvaise fortune Ne
vient
jamais, qu’elle n’en apporte une, Ou deux, ou tro
ien, L’ay esprouvé. Et vous compteray14 bien, Si vous voulez, comment
vint
la besongne. J’avoys ung jour ung valet de Ga
re. Et pour autant, Syre, que suis à vous34, De trois jours l’ung
viennent
taster mon poulx Messieurs Braillon, le Coq, Akaq
ntre lasche ou mol. Souventesfoys par devant la maison De monseigneur
viennent
à grand foyson Donner l’aulbade56 à coups de hacq
Rondeaux I. À M. de Pothon78 La ou sçavez sans vous ne puis
venir
. Vous estes cil, qui pouvez subvenir Facilement à
ore de Beze, né à Vézelay, après avoir étudié à Orléans et à Bourges,
vint
à Paris, et, comme d’Aubigné, auquel il ressemble
e je pense A rendre sans argent cent créditeurs contens. Je vays, je
viens
, je cours, je ne perds point le temps, Je courtis
starque. Et entre les sçavans seras comme un Monarque : Tu seras bien
venu
entre les grands seigneurs, Desquelz tu recevras
na avec lui en son college. C’était en 1548 ; un an après, le dernier
venu
publiait, avec un volume de vers, le manifeste de
iers livres des Odes de P. de Ronsard, Vandômois. Puis successivement
vinrent
, publiés et republiés à différentes reprises, les
; Tu perdras ton silence, et haletans d’effroy Ny Satyres ny Pans ne
viendront
plus chez toy. Adieu, vieille forest, le joue
ma lyre, Où premier j’entendi les fleches resonner D’Apollon, qui me
vint
tout le cœur estonner180 ; Où premier admirant la
en haletant tout un jour il pourchasse189. Puis, alors que Vesper
vient
embrunir nos yeux, Attaché dans le ciel, je conte
d’un doux lien mes yeux. Voicy en mon dormant, une clairté des Cieux
Venir
l’ombre enflamer d’un lumiere pure294, Voicy ven
clairté des Cieux Venir l’ombre enflamer d’un lumiere pure294, Voicy
venir
des Cieux, sous l’escorte d’Amour, Neuf nymphes q
entre des poissons, ou quelque dur rocher, Contre lequel les flots te
viendront
attacher, Ou le fons de ta nef, aprés qu’un trait
érobée, nous dit-il dans l’avis au lecteur de la seconde pièce ; puis
vinrent
, aussi applaudies que son début, la tragédie de C
aint nul effort ; Nous ne prisons rien tant qu’une honorable mort… Or
vienne
ce musqué qui ne fit jamais rien : A son dam appr
toine, IV, 1.) III. Charlemagne Les sceptres des grands Roys
viennent
du Dieu supréme, C’est luy qui ceint nos chefs d’
rop cruel vous convie. Vivez tant que nature icy vous souffrira. Elle
vient
assez tost… (Antigone ou la piété 346, acte Ier
Sa face parut belle, encor qu’elle fust palle, Non de peur de la mort
venue
avant saison, Mais pour l’ennuy souffert en sa lo
en ta mort ; Et que, fermant les yeux aux tenebres mortelles, Tu les
viendras
ouvrir aux clartés éternelles ? Certes je croy qu
sont les Phillis et les Galatée qu’il chante. — Son Art poétique, qui
venait
après plusieurs autres (Sibilet, Peletier du Mans
part soy dans son cœur consulter Tousjours un saint conseil Dieu lui
vient
apporter. Sur tout ne sois ingrat, c’est une tach
ience, de la nature et de la France. Le rossignol ………………………………
Viens
, ami, viens te promener Dans ce bocage, Entens le
nature et de la France. Le rossignol ……………………………… Viens, ami,
viens
te promener Dans ce bocage, Entens les oiseaux ja
s. De la ville s’en vont trafiques479 et marchants, En la ville s’en
vient
le bon-homme des champs, Emportant à son col sa c
enture Comparer des procès et des dieux la nature. — Pour rendre leur
venue
aux mortels incertaine, Les dieux les viennent vo
ature. — Pour rendre leur venue aux mortels incertaine, Les dieux les
viennent
voir avec des pieds de laine 498 : Les procès, au
dieux les viennent voir avec des pieds de laine 498 : Les procès, au
venir
, marchent si doucement, Qu’ils ne sont entendus p
elle de Tiron, près de Chartres, le désignait communément ; et, l’âge
venu
, et avec l’âge le repos, il traduisit ces Psaumes
point de cesse. Le ciel, pour appaiser ces étranges discords, A fait
venir
la mort cependant qu’il sommeille, Qui d’un somme
larée. Ils ont tous deux une langue libre et nette, de bonne et verte
venue
française. Tout au plus Malherbe, qui de l’Italie
evé de moustache, De galoche, de botte, et d’un ample pennache613, Me
vint
prendre, et me dict, pensant dire un bon mot : «
ur tuer le temps je m’efforce d’escrire ; Et pour un courtisan, quand
vient
l’occasion, Je montre que j’en sçay pour ma provi
rce, estant bien attaché, Que ma discrétion expiast mon péché… Il
vint
à reparler dessus le bruit qui court, De la Royne
Neuf s’acheve637, Si plus en paix qu’en guerre un Empire s’esleve. Il
vint
à définir que c’estoit qu’Amitié638, Et tant d’au
Mais comme Dieu voulut, aprés tant de demeures642, L’orloge du Palais
vint
à fraper onze heures ; Et luy, qui pour la souppe
l est sage643. » Comme il continuoit ceste vieille chanson, Voicy
venir
quelqu’un d’assez pauvre façon. Il se porte au de
… tout ce que vous voudrez… Voicy l’arrest signé… Non, Monsieur, vous
viendrez
… Quand vous serez dedans, vous ferez à partie644.
ieu demande, En protestant de plus n’y retourner. Ce fait, le loup le
vient
arraisonner657, Lui remonstrant que l’offense n’e
en ce faisant, mal faire. » Ces mots finis, le loup, fin de nature,
Vint
reciter les maux par luy commis : Premièrement, c
i-Dieu qui vit en son champ retiré, Où l’on dit librement tout ce qui
vient
à gré, Où avec ses voysins, sans que l’on diminuë
assé mon printemps, mon esté, mon automne ; Voicy le triste hyver qui
vient
finir mes vœux688 ; Desja de mille vents le cerve
vigoureux qu’abondant ; et, si l’on veut encore, Segrais (1604-1701),
venu
après eux, mais venu avant Boileau, qui, dans le
; et, si l’on veut encore, Segrais (1604-1701), venu après eux, mais
venu
avant Boileau, qui, dans le peu qu’il a légué est
s naturel de la langue s’y est fait et accusé de lui-même. Mais voici
venir
Rotrou (1609-1650), qui a un coin de génie, et en
out le monde, et, comme Desportes, imitait les Italiens, qu’il dut de
venir
·à Paris fonder contre eux une nouvelle école de p
ondent sans jugement l’espoir de leur repos763 !… PHILOTHÉE. Quand on
vient
en ce lieu, devant que s’engager Au vœu que nous
oy que Lucidas seroit bien vostre fait : La fortune luy rit, tout luy
vient
à souhait ; De vingt paires de bœufs il sillonne
nt J’ay tousjours traversé vostre contentement. Allons donc au logis.
Venez
aussi, Cleante, Voir accomplir l’hymen d’une amou
. Venez aussi, Cleante, Voir accomplir l’hymen d’une amour violente ;
Venez
disner chez moy. Vous n’y trouverez pas Ces mets
ns un mesme foyer eslever nos familles, Et vous, sage vieillard769, y
viendrez
avec nous Prendre part au repos que nous tenons d
n malade qui languit ? Et semble-t-elle pas bien laide777 Quand elle
vient
, tremblante et froide778, Prendre un homme dedans
eux la rive orientale. Le soleil se hastant pour la gloire des cieux
Vint
opposer sa flame à l’esclat de ses yeux Et prit t
ton, de son Cosroës (1649) et celui du Nicomède de Corneille, il est
venu
le premier (voir Saint-Marc Girardin, Cours de Li
e Et, comme les effets, la source en est divine. C’est du ciel que me
vient
cette noble vigueur Qui me fait des tourmens mépr
06-1684) Notice Pierre Corneille, né à Rouen le 6 juin 1606,
vint
à Paris en, 1629, y séjourna à plusieurs reprises
tter le barreau pour le théâtre, et Rouen pour Paris, où déjà étaient
venus
du Havre, Scudéry, gentilhomme provençal égaré en
’en empêche. D. MANRIQUE. Tout beau, tout beau816, Carlos ! d’où vous
vient
cette audace ? Et quel titre en ce rang a pu vous
Celles qui l’enfermoient furent sacrifiées ; Et le même escadron qui
vint
les secourir Le ramena vainqueur, et moi prêt à m
s, III, 1.) De la doctrine de la vérité824 Un jour, un jour
viendra
qu’il faudra rendre compte, Non de ce qu’on a lu,
ui font d’un malheureux la peinture achevée. Il appelle la Mort, Elle
vient
sans tarder, Lui demande ce qu’il faut faire. — C
de m’aider À recharger ce bois ; tu ne tarderas guère841. Le trépas
vient
tout guérir : Mais ne bougeons d’où nous sommes :
es857 ? Je lui voue au désert de nouveaux sacrifices. Quand le moment
viendra
d’aller trouver les morts, J’aurai vécu sans soin
ent poulinière904, Qu’il honoroit du nom de sa bonne jument, S’en est
venu
nous faire un mauvais compliment, Nous présentant
en haleine, Qu’on les auroit couverts tous d’un seul justaucorps. Il
vient
à la forêt. Nous lui donnons alors La vieille meu
, II, 7.). Deux Sosies928 Amphitryon, Sosie. AMPHITRYON.
Viens
çà, bourreau, viens çà. Sais-tu, maître fripon, Q
Sosies928 Amphitryon, Sosie. AMPHITRYON. Viens çà, bourreau,
viens
çà. Sais-tu, maître fripon, Qu’à te faire assomme
glorieux récit. AMPHITRYON. Ensuite ? SOSIE. On m’est
venu
troubler et mettre en peine. AMPHITRYON. Et qui ?
rité pure. Ce moi plus tôt que moi s’est au logis trouvé ; Et j’étois
venu
, je vous jure, Avant que je fusse arrivé. AMPHITR
ai promis. Mais, dis ; en bonne conscience, Au mystère nouveau que tu
viens
me conter Est-il quelque ombre d’apparence ? SOSI
dans nos mains Qu’au tant de temps qu’il peut leur plaire. Lorsqu’ils
viennent
les retirer, On n’a nul droit de murmurer Des grâ
autre ou te reçut mon cœur infortuné ; Tu connoîtras par là qu’ils me
viennent
reprendre Bien plus que ce qu’ils m’ont donné. Je
si haut, Rendit plus retenus Desportes et Bertaut. Enfin964 Malherbe
vint
, et le premier en France Fit sentir dans les vers
duquel il lisait saint Thomas par devoir et Euripide par plaisir, il
vint
à Paris où était arrivé Molière, où Boileau donna
aux vœux de mon pays, Et de parler pour ceux que Taxile a trahis. Que
vient
chercher ici le roi qui vous envoie971 ? Quel est
cœur d’Alexandre ! Les autres, éblouis de ses moindres exploits, Sont
venus
à genoux lui demander des lois ; Et, leur crainte
peut consentir ; Appelez les cruels qui vous l’ont inspirée ; Qu’ils
viennent
essayer leur main mal assurée… Mais je vois que m
e êtes-vous informée ? ATALIDE. On m’a dit que du camp un esclave est
venu
; Le reste est un secret qui ne m’est pas connu.
cent maux le trépas délivre : Qui cherche à vivre Cherche à souffrir.
Venez
tous sur nos sombres bords ; Le repos qu’on désir
qu’on désire Ne tient son empire Que dans le séjour des morts. Chacun
vient
ici-bas prendre sa place : Sans cesse on y passe,
-on sage De fuir ce passage ? C’est un orage Qui mène au port. Chacun
vient
ici-bas prendre place : Sans cesse on y passe, Ja
s, Plaintes, cris, larmes, Tout est sans armes Contre la mort. Chacun
vient
ici-bas prendre place. Sans cesse on y passe ; Ja
R. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? VALÈRE Celui qui te
viendra
le premier sous la main : Il m’importe peu ; pren
CRISPIN. Ne vous souvient-il pas, monsieur, bien nettement, Qu’il est
venu
tantôt certain neveu normand, Et certaine baronne
ui rendre à l’avenir… GÉRONTE. Où donc ce beau discours doit-il enfin
venir
? Voyons. M. SCRUPULE, lisant. « Q
sonnet parfait est le rara avis. Jean Ogier de Gombauld (1570-1666)
vint
, comme La Calprenède Balzac, etc., des contrées v
imer ses cendres, quitte le bûcher où sa dépouille fut consumée, pour
venir
rendre hommage de sa nouvelle vie à la Vertu qui
ouvelle vie à la Vertu qui la lui a fait recouvrer… Monseigneur, elle
vient
vous présenter ses respects… On (le poète) a mieu
dans un doux repos j’attendrai la vieillesse. Ainsi, lorsque la mort
viendra
rompre le cours Des bienheureux momens qui compos
que Rome favorable Me déclare innocent quand tu me crois coupable. Je
viens
donc par ta main expier mon forfait. Frappe, de m
bonté Cette délicieuse et douce oisiveté. Sous ces feuillages verts,
venez
, venez m’entendre ; Si ma chanson vous plaît, je
Cette délicieuse et douce oisiveté. Sous ces feuillages verts, venez,
venez
m’entendre ; Si ma chanson vous plaît, je vous la
utant ! Iris que j’abandonne, Iris qui m’aimoit tant. Si vous vouliez
venir
, ô miracle des belles, Je vous enseignerois un ni
ns peur des fières destinées Le funeste décret ; Et quand l’heure est
venue
et que la mort l’appelle, Sans vouloir reculer et
ur la terre, dans le ciel ou dans l’enfer, des siècles et des héros à
venir
, prédictions de sibylle, de prophète ou d’anachor
vue du théâtre, la comédie italienne. Les premiers comédiens italiens
venus
sous Henri III, et ceux qui amusaient Louis XIV e
-1793), la prose des Églogues de Florian (1755-1794). « Enfin Chénier
vint
, et le premier en France » retrouva et fit jailli
43. Grand Dieu, votre main réclame Les dons que j’en ai reçus ; Elle
vient
couper la trame Des jours qu’elle m’a tissus : Mo
i belle, Et laisser un tableau digne des mains d’Apelle Aux siècles à
venir
? Que ne puis-je franchir cette noble barrière !
dans mon cœur ; Mais, jusqu’à mes remords, tout y devient fureur. Je
viens
ici chercher l’auteur de ma misère, Et la nature
que la nuit pourra me le permettre, Dans tes mains, en ces lieux, je
viendrai
me remettre. Je connois la fureur de tes soupçons
ieux ? Que cherches-tu ? RHADAMISTE. Je
viens
expirer à vos yeux. PHARASMANE. Quel trouble me s
n. L’antiquité tenait pour axiome Que rien n’est rien, que de rien ne
vient
rien. Du genre humain connais quelle est la tremp
en allumant ta bile, A sur ton large front répandu la rougeur ? D’où
vient
que tes gros yeux pétillent de fureur ? Réponds d
ire une loi ; Et de ce même pas je vais parler au roi. Ainsi, nouveau
venu
sur les rives de Seine, Tout rempli de lui-même,
ur la terre inconnu, Doit dans son cercle étroit, chez les siens bien
venu
, Être approuvé du moins de ses graves confrères ;
e, à l’équerre tracée, L’indigent Savoyard, utile en ses travaux, Qui
vient
couper mes blés pour payer ses impôts, Des riches
a louange, et je vous la pardonne ; Je la chéris en vous, puisqu’elle
vient
du cœur. Vos vers ne sont pas d’un flatteur ; Vou
ur et de tendresse ; Lève-toi, cher appui qu’espérait ma vieillesse ;
Viens
embrasser ton père : il t’a dû condamner ; Mais,
! ZAMORE, à Gusman. Tu veux donc jusqu’au bout consommer ta fureur !
Viens
, vois couler mon sang·, puisque tu vis encore ; V
mer ta fureur ! Viens, vois couler mon sang·, puisque tu vis encore ;
Viens
apprendre à mourir en regardant Zamore. GUSMAN, à
tres vertus que je veux t’enseigner : Je dois un autre exemple, et je
viens
le donner. (À Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort
même moment pour jamais soit bannie. Oh çà, mon cher garçon, veux-tu
venir
chez moi ? Nous serons tous ravis de dîner avec t
te, en un mot, m’importune. L’heure du dîner presse : allons, veux-tu
venir
? Nous aurons le loisir de nous entretenir Sur no
à son aise chez moi ; Et vivre comme on veut, c’est notre unique loi.
Viens
, et sans te gourmer avec moi de la sorte, Laisse,
e un vert railleur. Il était déjà connu et redouté comme tel quand il
vint
à Paris écrire à main levée pour le Théâtre de la
Un démon triomphant m’élève à cet emploi ; Malheur aux écrivains qui
viendront
après moi1131 ! (La Métromanie, III, 7.) É
es sabbats, Où l’université des chats, À minuit, en robe fourrée1142,
Vient
tenir ses bruyants états ; Une table mi-démembrée
Qu’ils vont livrer sur vos climats ; Ou quand leur troupe conjurée Y
vient
préparer ces frimas Qui versent sur chaque contré
le bonheur est un fruit étranger, Que toujours quelque ver en secret
vient
ronger. Partout de la douleur j’y trouvai les ima
! Vous qui, vivant pour Dieu, mourrez dans ces retraites, Heureux qui
vient
vous voir dans le port où vous êtes, Mais plus he
7.) Le perroquet Un gros perroquet gris, échappé de sa cage,
Vint
s’établir dans un bocage ; EL là, prenant le ton
es faisoit taire. Lassés de tant d’affronts, tous les oiseaux du bois
Viennent
lui dire un jour : « Mais parlez donc, beau sire,
ice Nicolas-Joseph Gilbert, né à Fontenay-le-Château, en Lorraine,
vint
tenter la fortune littéraire à Paris. Aigri par u
et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j’arrive Nul ne
viendra
verser des pleurs. Salut, champs que j’aimois, e
en un jour serein l’éclair luit, le ciel gronde ; Et la comète en feu
vient
effrayer le monde1187. (Géorgiques, I.) Le
te, Elle erre avec une onde et pure et languissante ; Tantôt elle va,
vient
, d’un pas léger et sûr, Poursuit le papillon bril
antes eaux, Ces fleuves, ces torrents, qui, de leurs froids berceaux,
Viennent
du bel Hasly1195 nourrir les doux ombrages ! Hasl
. « Heureux sont les parents qui tels vous firent naître1209 ! « Mais
venez
, que mes mains cherchent à vous connaître ; « Je
Prends soin du vieil aveugle. — Ô sage magnanime ! « Comment, et d’où
viens
-tu ? Car l’onde maritime « Mugit de toutes parts
italité1214, « Lorsque d’énormes chiens, à la voix formidable, « Sont
venus
m’assaillir ; et j’étais misérable, « Si vous (ca
Les tigres et les loups, vaincus, humiliés, « D’un chanteur comme toi
vinrent
baiser les pieds1215. « — Les barbares ! J’étais
nent dans l’oubli ; « Que ton nom dans la nuit demeure enseveli. « —
Viens
, suis-nous à la ville ; elle est toute voisine, «
os, deux fois hospitalière ! « Car sur ses bords heureux je suis déjà
venu
; « Amis, je la connais. Vos pères m’ont connu :
Fleuves, terre, et noirs dieux des vengeances trop lentes, « Salut !
Venez
à moi de l’Olympe habitantes, « Muses ; vous save
in, Et vierges et guerriers, jeunes fleurs de la ville, Chantaient. «
Viens
dans nos murs, viens habiter notre île ; « Viens,
rriers, jeunes fleurs de la ville, Chantaient. « Viens dans nos murs,
viens
habiter notre île ; « Viens, prophète éloquent, a
ville, Chantaient. « Viens dans nos murs, viens habiter notre île ; «
Viens
, prophète éloquent, aveugle harmonieux, « Convive
qu’il appelle « le milieu de la société du xviiie siècle », et où «
viennent
se réunir des opinions contradictoires qui se tem
à enrichir le vieux répertoire tragique, de sa Marie Stuart (1820), —
vinrent
s’ajouter des noms nouveaux venus. Casimir Delavi
que, de sa Marie Stuart (1820), — vinrent s’ajouter des noms nouveaux
venus
. Casimir Delavigne (1794-1843) remua la fibre pat
intolérance qu’elle fut pour l’école romantique « l’ennemie », d’où «
venait
tout le mal ». C’est parce que l’école romantique
la vie, Egayaient mes destins ignorés de l’envie. Le soleil affaibli
vient
dorer ces vallons, Je vois Auteuil sourire à ses
silencieux1282. Mais une voix qui sort du vallon solitaire Me dit : «
Viens
: tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens : tu
lon solitaire Me dit : « Viens : tes amis ne sont plus sur la terre ;
Viens
: tu veux rester libre et le peuple est vaincu. »
serai demain. Mais, vers la solitaire allée, Si mon amante échevelée
Venait
pleurer quand le jour fuit, Eveille par ton léger
on dernier jour. Sous le chêne on creusa sa tombe… Mais son amante ne
vint
pas Visiter la pierre isolée ; Et le pâtre de la
r au génie : Croyez et fermez les yeux. » Le chant du cosaque
Viens
, mon coursier, noble ami du Cosaque, Vole au sign
ope a perdu ses remparts. Viens de trésors combler mes mains avides ;
Viens
reposer dans l’asile des arts. Retourne boire à l
mble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d’autre histoire. Là
viendront
les villageois Dire alors à quelque vieille : Par
ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà bien longtemps de ça : Je
venais
d’entrer en ménage. À pied grimpant le coteau. Où
, pressez-vous autour d’elle ; Cyclades, c’est vous qu’elle appelle ;
Venez
, mes sœurs, je vous attends ! Tyne, Andros, Mycon
me connaît plus. Hélas ! je ne suis pas un de vos anciens maîtres Qui
vient
redemander le toit de ses ancêtres ; Je ne suis p
u de mes pères. Non, mais de ma jeunesse et de mes jours prospères Je
viens
chercher la trace et les chers souvenirs. Ouvrez-
témoins de mes plus donx loisirs… D’un air indifférent une femme est
venue
, Du château, maintenant, habitante inconnue ; Et,
éfiance, en vous mettant ma foi, Comme une suppliante, enfin, j’étais
venue
: Et vous, entre vos mains vous m’avez retenue. D
souvent saccadé, tendu et déclamatoire. Dans ses Derniers chants, qui
vinrent
longtemps après, la veine est plus simple et plus
rs moi, dont le nom s’échappe de sa bouche, Lorsqu’un remords vengeur
vient
secouer sa couche. Mais s’il charge mes jours du
dont il a fait les siens, Se lève entre nous deux, nous désunisse, et
vienne
S’emparer de sa vie et me rendre la mienne1316.
ANÇOIS DE PAULE1320. Ah ! puisqu’il est des maux que tu peux réparer,
Viens
! LOUIS, debout. Où donc ? FRANÇOIS
pieds du roi. La charité l’ordonne :
Viens
, viens sauver ton âme. LOUIS.
u roi. La charité l’ordonne : Viens,
viens
sauver ton âme. LOUIS.
ormes visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me dit, Quand je
viens
le prier : Que me veux-tu, maudit ? Un démon, si
y plonge et m’assassine. Je me lève éperdu ; des flots de sang humain
Viennent
battre ma couche, elle y nage, et ma main, Que pe
La peur de l’épuiser est mon plus grand tourment ! FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
donc, en essayant du pardon des injures, Viens de
arrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je
viens
seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’as
nt, se replie à mesure, Et laissant de la glèbe attiédir la froideur,
Vient
mourir et border les pieds du laboureur. Il ratta
sable fécondité. Et n’en croyons qu’à demi la classification que nous
venons
d’essayer pour noter le caractère dominant de cha
de tonnerres, Comme un Mont-Sinaï ! Courbé comme un cheval qui sent
venir
son maître, Ils se disaient entre eux : — Quelqu’
it. Ses premières inspirations, une idylle et une élégie grecque, lui
vinrent
d’A. Chénier qu’avaient fait connaître quelques v
nger ; Et leurs yeux se baissaient devant mes yeux de flamme, Car ils
venaient
, hélas ! d’y voir plus que mon àme. Aussi, loin d
s les échos mourante, Il s’arrête enchanté, car il croit que ses yeux
Viennent
d’apercevoir la sœur de ses aïeux, Qui va faire f
n reste que dix ! Le capitaine encor jette un regard au pôle Dont il
vient
d’explorer les détroits inconnus. L’eau monte à s
bouteille à la mer, et salue Les jours de l’avenir qui pour lui sont
venus
. Il sourit en songeant que ce fragile verre Port
te, fils du Rhin, compagnon intrépide ; Tes enfants sur ton cœur vont
venir
se presser. Sors de ta lourde armure, et va les e
re vieil empereur l’a serré dans ses bras. Couronné par le peuple, il
viendra
tout à l’heure Souper dans ce palais avec ses com
es narines qui saignent S’enfoncent dans le sable, et le sable altéré
Vient
boire avidement son sang décoloré. Alors elle se
t Noire aux jeux de Bade1401 L’abreuvoir est public, et qui veut
vient
y boire. J’ai vu les paysans, fils de la Forêt No
e sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des deux.
Viens
; tu souffres, ami. Quelque ennui solitaire Te ro
e Te ronge ; quelque chose a gémi dans ton cœur ; Quelque amour t’est
venu
, comme on en voit sur terre, Une ombre de plaisir
e on en voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur.
Viens
, chantons devant Dieu ; chantons dans tes pensées
bonheur, de gloire et de folie, Et que ce soit un rêve, et le premier
venu
. Inventons quelque part des lieux où l’on oublie
amire. Dis-moi ; quel songe d’or nos chants vont-ils bercer D’où vont
venir
les pleurs que nous allons verser ? Ce matin, qua
auché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la huit éternelle
Vint
sur son tertre vert1412 l’abattre d’un coup d’ail
âle pamphlétaire, Qui, poussé par la faim, du fond de son oubli, S’en
vient
, tout grelottant d’envie et d’impuissance, Sur le
t trop grand pour la faiblesse humaine De pardonner les maux qui nous
viennent
d’autrui, Epargne-toi du moins le tourment de la
rgne-toi du moins le tourment de la haine ; À défaut du pardon laisse
venir
l’oubli. Les morts dorment en paix dans le sein d
nhomme a conté1418, Fleur de sagesse et de gaîté. Mais quoi ! la mode
vient
et tue un vieil usage ; On n’en veut plus, du sob
franc langage Dont il enseignait la douceur, Le seul français et qui
vienne
du cœur ; Car, n’en déplaise à l’Italie1419 La F
ce monde, Quelle mâle gaîté, si triste et si profonde, Que, lorsqu’on
vient
d’en rire, on devrait en pleurer1422. Et je me de
er1422. Et je me demandais : Est-ce assez d’admirer ? Est-ce assez de
venir
, un soir, par aventure, D’entendre au fond de l’â
lmier, comme un panache vert, Dresse sa tête, où le soir les colombes
Viennent
nicher et se mettre à couvert. Mais le matin ell
e la foule ignore ; Toi qui, laissant hurler le troupeau des humains.
Viens
souvent m’embrasser, me presser de tes mains, Et,
angage antique, Quand, de troupeaux, de blés causant ainsi tous deux,
Vinrent
d’autres Bretons avec leurs longs cheveux, Oh ! c
pas son deuil ; Un seul prêtre en priant conduisit le cercueil ; Puis
venait
un enfant qui, d’espace en espace, Aux saintes or
Le convoi descendit au lever de l’aurore : Avec toute sa pompe avril
venait
d’éclore, Et couvrait en passant d’une neige de f
ôtes, Villages où les morts errent avec les vents, Bretagne ! d’où te
vient
l’amour de tes enfants ? Des villes d’Italie, où
et de génie Est répandu dans ce lieu de douleur : C’est là1469 qu’il
vint
, veuf de ses espérances, Chanter encor ; puis, pr
ature est brillante d’attraits, Mais chaque soir le vent à ma fenêtre
Vient
secouer un parfum de forêts. Marcher à deux sur l
lpes : « Que nous veux-tu, enfant de boue ? » Il leur entend dire : «
Viens
à nous, enfant de Dieu. » Les critiques que renc
aspirais, mes deux pieds l’ont touché. J’ai dormi sur les fleurs qui
viennent
sans culture, Dans les rhododendrons j’ai fait mo
arens. — Calmann Lévy, éditeur.) Poète et pâtre LE POÈTE. Je
viens
mêler mon deuil au deuil de la nature. J’entends
es pages de ce livre, En écoutant le maître1489 avec le cœur joyeux.
Venez
donc, et montons à travers les bruyères, Aspirant
e à la main. ……………………………………………………… Sur mes froides hauteurs si nul ne
vient
m’entendre, Moi j’y respire à l’aise et n’en veux
hante, car sa pêche est féconde, ce soir. Quand ses enfants, au bord,
viendront
le recevoir, Répandant à leurs pieds sa nasse qui
la fin, suffisaient au nouveau poète. Ponsard eut le double mérite de
venir
à propos, et, venu, accepté d’emblée, de ne pas f
au nouveau poète. Ponsard eut le double mérite de venir à propos, et,
venu
, accepté d’emblée, de ne pas faire, après le coup
Il faut encore attendre. VALÈRE. Est-ce Brute qui parle ? Et que
viens
-je d’entendre ? Brute tient sa vengeance, et diff
l outrage une femme, et, ce jour, il périt1501. VALÈRE. Mais quand en
viendront
-ils à ce point ? BRUTE.
TON1507. … La République est un robuste enfant, Messieurs ; elle est
venue
au monde en triomphant. Sous le feu des canons no
soit loué ! la saison sera bonne. Les foins sont abondants, et, quand
viendra
l’automne, Si l’espoir des pommiers échappe aux v
is tout l’équipement d’un homme. 13. Le proverbe dit : Un malheur ne
vient
jamais seul. — L’épître est de 1531. La défaite d
nt. 27. Étymol. : solidum, pièce de monnaie pleine et de poids. D’où
vient
aussi solde. 28. Est sans faute, assurément, suj
réduire à quia. 36. Capable de. On dit auj. : taillé à, taillé pour.
Vient
du sens propre de taillé, c.-à-d. formé : un homm
é : un homme bien, mal taillé. 37. Jusqu’ici, jusqu’à ce jour. Cf. :
Venez
ça, en ce lieu. Étymol. : ecce hac. 38. Potion
pour, m’occuper de. 74. Engins pour prendre les oiseaux. Bricole en
vient
. 75. Transnabam. 76. Funda ; auj. fronde. 7
t pour ces bions prévenus, Les convertir en maux devant qu’ils soient
venus
? C’est erreur, ou plutôt c’est crime de le croir
honneur. Et d’un cantique sainct chante de race en race Aux peuples à
venir
tes vertus et ta grace. Au moins ne demandait-il
, liv. IIe : la Paix, au roy Henri II : O Paix, fille de Dieu ! nous
viens
réjouyr Comme l’aube du jour qui fait r’espanouyr
). Cf. Quæstion. Natur., V, 18. 287. Guerdon signifiait récompense.
Vient
du haut allemand. Voir Littré. Dictionnaire de la
la Vienne. 294. Voici que, pendant mon sommeil, une lumière céleste
vient
éclairer l’ombre. — Ces deux vers, contournés et
. (Étym. : caput.) 296. Sommet d’une colline. Semble, comme coupole,
venir
d’une assimilation à une coupe (cuppa) renversée.
issait la maladie, Poison à mille noms, ministre du trépas, Qui s’en
vient
au galop et s’en retourne au pas. 379. C’est l
… Lors que l’esclat D’un foudre exterminant -
vient
renverser à plat Les chesnes resistans et les ced
n, qu’en s’eforçant D’un bruit vif ele veulhe plere Au soleilh qui se
vient
haussant. 478. Cornette. 1° Sorte de coiffure
. : despicere, despectus. — Blême, très pale. Même étymol. que bleu :
vient
du haut-allemand. 485. La chanson sur la Journée
ure, ny cordon, L’œil farouche et troublé, l’esprit à l’abandon, Vous
viennent
accoster comme personnes yvres, Et disent pour bo
608. Ainsi se trouve fixée la date de cette satire. 598. Où Malherbe
vint
s’asseoir pour offenser celui qui l’y recevait.
le, ou giller ; locution populaire, s’esquiver. Étymol. controversée.
Vient
-elle du Gille de la foire, qui s’enfuit quand on
i partant, qui est resté. A cause de tout, sans plus ni moins, ce qui
vient
d’être dit (tantum, τοσοῦτον). 659. Il a dispers
rchons. Sequi s’emploie en ce sens. 773. Avec le temps ; en laissant
venir
, sans l’avancer, l’âge du repos. 774. Salaire (p
ler que la prononciation d’ai pour oi ; je faisais, prononcé comme il
vient
d’estre escrit, combien a-t-il plus de grâce que,
oleil ; Enfin ce Dieu venoit au plus grand appareil Qu’il soit jamais
venu
pour esclairer le monde ; Quand la jeune Phylis
C’est la quatrième apostrophe que contient ce monologue. Laquelle ne
vient
pas à propos ? D’abord un encouragement et une ca
ter, un et plein, ou vif et preste : Trouvent l’ours qui s’avance et
vient
vers eux au trot. (V, 20). Légère et court vê
est mentiaris. « O Mort ? lui disoit-il, que tu me semblés belle !
Viens
vite… » « N’approche pas, ô Mort ! ô Mort, retire
instant Qu’un rat n’est pas un éléphant (VIII, 15). Une servante
vient
: adieu, mes gens. Raton N’étoit pas content, ce
par La Fontaine pour lui-même (1659) : Jean s’en alla comme il étoit
venu
, Mangeant le fonds avec le revenu, Tint les tréso
te par Desmarets de Saint-Sorlin, continuée plus tard par Fontenelle,
venait
d’être renouvelée par Charles Perrault, qui avait
as dans mon bon sens ? Mon maître Amphitryon ne m’a-t-il pas commis À
venir
en ces lieux vers Alcmène, sa femme ? Ne lui dois
et perdre Astrate son rival. — Le nom de Quinault est un de ceux qui
viennent
d’eux-mêmes se placer dans les « hémistiches » de
Porus en a la fierté et la hauteur, non exempte d’emphase ; Alexandre
vient
dans les Indes conquérir le cœur de la sœur du ro
ans les Indes conquérir le cœur de la sœur du roi Taxile, comme César
vient
en Egypte conquérir celui de Cléopâtre. On peut r
ce vers, contre-partie de celui qui terminait la scène précédente :
Viens
, Narcisse. Allons voir ce que nous devons faire.
talide, qui cachent leur amour, se croit sûre de celui de Bajazet, et
vient
le chercher pour le faire proclamer sultan et l’é
bien que j’en sai. Sur l’étymologie du mot italien Alfana. Alfana
vient
d’Equus sans doute ; Mais il faut avouer aussi Qu
se traînant lentement, Accompagné d’horreur et d’épouvantement. S’en
vient
toutes les nuits hurler devant ma porte, Redoubla
r vers rappelle aussi un souvenir de la Sylvie de Mairet : Mais d’où
vient
que Sylvie est encore à venir ! Quel obstacle peu
nir de la Sylvie de Mairet : Mais d’où vient que Sylvie est encore à
venir
! Quel obstacle peut si longtemps la retenir ! Ma
ur et l’accent, et de ceux de son ami La Fontaine : Et quand le Jour
viendra
d’aller trouver les morts, J’aurai vécu sans soin
ne. Son père, qui de tout temps a été ennemi, convoite l’Arménie : il
vient
pour combattre, au profit de Rome. cette ambition
e croit le droit de l’épouser, l’autre de l’aimer, et dont le dernier
venu
a, sans que les autres le sachent, tous les droit
e.) 1093. Turgot (1727-1781), contrôleur des finances depuis 1774,
venait
d’être renvoyé (mai 1776), quand il commençait à
’est assez. PASQUIN. Son père est de retour. LE COMTE. C’est à lui de
venir
et de m’offrir sa fille., Le père se présente pr
lui dit, Suivi de ma famille. Dois-je
venir
ici vous présenter ma fille, Vous priant à genoux
es chez Florian : il a la fertilité de l’invention, et les images lui
viennent
sans effort. Il se plaît en réalité avec les anim
aletant sous ses pas, son jeune chien fidèle, L’œil sur elle attaché,
vient
s’asseoir auprès d’elle ; Muet, l’oreille droite
i le sépare de ses contemporains. Les deux premiers vers, d’une belle
venue
et d’une ample harmonie, ont comme un écho antici
» (Sainte-Beuve.) 1288. « Comme cela est bien frappé et tout d’une
venue
! Même en de si courte composition on sent de la
eau ruisselant la pluie par les bords ; il sentait ses derniers jours
venus
et regardait autour de lui ses derniers soldats.
passé vous entoure et vous semble arracher À cet apaisement que vous
venez
chercher. On plaint son espérance attristée ou ra
andit sans fin l’espace illimité ; Là l’infini. Le bruit du monde s’y
vient
taire : Nous n’y retrouvons plus nul écho de la t
ar exemple, dans le tableau des Laboureurs, le mot usuel et champêtre
vient
s’enchâsser à propos et à sa place au milieu des
oile du matin ; d’un ancien adjectif diano, dérivé de dia, jour ; dia
vient
du latin dies. » (Littré.) 1357. Léviathan, mon
c de triomphe (Les Voix intérieures, IV) ; il rêve dans les siècles à
venir
l’édifice verdi sous la mousse et rongé par la lè
Le pèlerin pensif, contemplant en extase Ce débris surhumain, Serait
venu
peser, à genoux sur la pierre, Ce qu’un Napoléon
igle, voile), faire voile dans une direction. — L’autre verbe cingler
vient
, comme sangle, de cingulum. 1384. Le Portugais
lons donc chanter ! (Nuit d’Octobre.) À A. Chénier aussi les Muses
venaient
apporter, dans la souffrance, les consolations de
proie au chagrin, Je les vois revenir le front doux et serein… Elles
viennent
! leur voix, leur aspect me rassure ; Leur chant
est arrosée, Que la brise secoue et que boit le soleil ; Puis l’oubli
vient
au cœur, comme aux yeux le sommeil. (A. de Muss
e contes de Boccace, dont les sujets ont été traités par La Fontaine,
venaient
des trouvères de la Champagne, de l’Île de France
tête si pure, Dans le lit qu’on apprête à son calme sommeil. Il est
venu
, le fils dont elle était si fière ! Il est fait,
re les herbes de « filigrane d’argent » ; c’est, là, le printemps qui
vient
Pour les petites pâquerettes. Sournoisement, lor
rce Je ne crois pas plus à cette mythologie ; mais je sais d’où elle
vient
, c’est un rêve grec. — Ce qui me touche davantage
est le soir d’un beau jour. (Philémon et Baucis.) Quand le moment
viendra
d’aller trouver les morts J’aurai vécu sans soins
st pas sans douceurs, Reconnaissent le pas des mères et des sœurs Qui
viennent
prier sur leurs tombes… « Plaignez-nous ! plaign
vents, Au doux foyer de la famille ; Dans la saison d’hiver, vous qui
venez
, le soir, Sous l’âtre hospitalier en cerole vous
par la danse improvisée près des meules ou des gerbes ; puis, le soir
venu
, a la peinture du repos goûte, entre sa femme qui
ine, etc. 1498. Mot pris dans un des sons du latin peculium, dont il
vient
: avoir, biens. Autres sens : épargne du père de
ers. « Celles-ci. leur disais-je, avec le ciel sont nées : Leur rayon
vient
à nous sur des millions d’années : Des mondes que
entreprit de secouer le joug du prince de l’école. Cet homme nouveau
vint
dire aux autres hommes que pour être philosophe,
à la découverte de ces grandes vérités que d’autres plus heureux sont
venus
enlever après lui, mais en suivant les sentiers d
fois une infinité de questions, en montrant l’endroit où mille objets
viennent
se toucher en secret par un côté, tandis que, par
’esprit sans l’éclairer, ils vous porteront d’abord au centre où tout
vient
aboutir, et vous mettront à la main le nœud, pour
ou du moins n’amortisse en vous le feu sacré du génie. Sans cesse il
vient
accuser de témérité, et lier par de timides conse
tout cela jusqu’à la portée de nos sens : nous voulons que les objets
viennent
se mettre sous nos yeux ; nous voulons un vrai qu
puisse faire, et elles le méritent. « La sagesse incarnée n’est pas
venue
défendre à l’homme de penser, et elle n’ordonne p
et hardie, qui n’attend pas, comme la crédulité stupide, que l’erreur
vienne
la saisir ; mais qui s’empresse d’aller au-devant
ustice divine a tendus, pour ainsi dire, aux esprits téméraires : là,
vient
ordinairement se perdre l’esprit philosophique. »
elles-mêmes. L’univers ne se maintient que par l’ordre ; si cet ordre
venait
à se troubler, tout périrait. » § I. Du plan.
s, Messieurs, vous donner une plus haute idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir, qu’en recueillant ces termes nob
ncerté les plus forts et les plus habiles généraux des rois de Syrie,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
otre esprit, à la place du héros dont parle l’Écriture, celui dont je
viens
vous parler ? La vertu et le malheur de l’un et d
ncontrer partout l’hypocrisie et la scélératesse, il en était presque
venu
au point de ne pas croire à la vertu dans ces aff
que vous vous serez donnés à un maître si bienfaisant. « Et vous, ne
viendrez
-vous pas à ce triste monument, vous, dis-je, qu’i
d’exemple ! « Pour moi, s’il m’est permis, après tous les autres, de
venir
rendre les derniers devoirs à ce tombeau, ô princ
et le bon goût. Plaidoyer en faveur des chiens et des chats. ……
Venez
, famille désolée, Venez, pauvres enfants qu’on ve
yer en faveur des chiens et des chats. …… Venez, famille désolée,
Venez
, pauvres enfants qu’on veut rendre orphelins, Ven
famille désolée, Venez, pauvres enfants qu’on veut rendre orphelins,
Venez
faire parler vos esprits enfantins3. Racine. —
êt fatal que mon adverse partie sollicite, pour entrer en campagne et
venir
s’établir dans vos habitations, que vous serez fo
ns. Toujours ce lieu me sera cher. Souvent je quitterai la ville pour
venir
y rêver. 3. Tableau de la fin de l’automne.
le bord d’un lac, puis je m’assis dans un bosquet. Tableau. Une voix
vint
frapper mon oreille. A la clarté de la lune j’ape
mps2. Éloge de cette fleur, qui est le symbole de l’innocence. Alvina
vient
avec un bouquet de myosotis3. Éloge de cette fleu
are qu’à l’avenir il sera son ami. Le lendemain, les trois courtisans
viennent
avertir le calife que le joaillier qui lui a vend
ez les caprices et les insolences de cet enfant. Un jour, sa nourrice
vient
le voir avec son fils Jacquot, frère de lait de G
épreuve décisive. Par leur ordre, la nourrice, qui s’entend avec eux,
vient
un jour se jeter à leurs pieds et s’accuser d’un
lque temps, le succès de l’épreuve est complet : M. et Mme de Florval
viennent
chercher leur fils et lui apprendre la vérité. La
nts que ces paroles inspirent à Hussein. Hussein prie le négociant de
venir
dans une chambre converser secrètement avec lui.
entendre. C’est le tyran Polycrate, admirateur et ami d’Anacréon ; il
vient
le chercher pour l’emmener à sa cour, où les plai
i et affectueux : il est charmé de les voir se livrer au plaisir ; il
vient
dans l’espoir de leur en faire goûter un autre, e
ats et le somme de le suivre. Regnier croit que sa dernière heure est
venue
. Vesins le fait monter avec lui à cheval, l’escor
, sous les ordres du comte d’Enghien, prince du sang royal de France,
venait
d’entrer en Piémont. Sujet et plan. Avant de part
Ézilda. Sujet et plan. Robert, en poursuivant les ennemis vaincus,
vient
d’être atteint d’une flèche empoisonnée. On lui a
tir pour rejoindre leurs vaisseaux et se rembarquer, une pauvre femme
vient
supplier l’évêque de délivrer son fils unique, âg
ice et se retenant à une touffe de noisetiers, criait au secours : on
vient
, mais on ne le retire que moyennant une forte réc
val tombe malade : toutes les personnes du village se disputent à qui
viendra
, sans rétribution, passer la nuit auprès de lui.
Gormaz, grand d’Espagne, officier général et gouverneur d’Andalousie,
vint
se mettre avec les grenadiers français les plus a
nnent la fuite ; le captal abandonne à la hâte sa tente, où le festin
venait
d’être servi. Duguesclin y arrive avec ses cheval
à ses yeux se présente un vénérable ermite, qui lui fait promettre de
venir
avec lui et de ne pas le quitter de trois jours,
Dolgorouki, que Menzikoff croyait encore au faîte des grandeurs, qui
vient
d’être frappé d’une infortune égale à la sienne.
nous laissez en paix ; nous vous regardons comme nos frères, et nous
venons
vous secourir. » Ravi de cette action généreuse,
ni la comtesse à qui appartenaient ce château et qui l’habitaient, ne
viennent
le voir. Surpris d’une telle conduite, las d’un s
chambre et n’en sort plus. 3e partie. Quelques jours après, le comte
vient
le voir, la comtesse l’appelle auprès d’elle, on
é par les Français. De 1à la haine qu’elle éprouvait pour Jules. Elle
vient
d’apprendre que son fils est vivant et prisonnier
ence avait compromis les jours de l’enfant, empêchent le vieillard de
venir
réclamer le prix de ce service, c’est par crainte
Sujet et plan. Trois mois après la naissance d’Agésilas, les éphores
viennent
examiner l’enfant. Son père, Archidamus, commanda
oit pas entrer dans la narration. Elle commence au moment où le crime
vient
d’être commis, et où le criminel, en proie à l’ép
vient d’être commis, et où le criminel, en proie à l’épouvante, fait
venir
l’homme de qui il attend sa justification et son
t son jeune collègue et le somme de ne point déserter son poste et de
venir
avec lui délivrer Marseille ou périr ; il va s’él
ale en cris et en menaces terribles contre son meurtrier. Tableau. On
vient
lui apprendre que le château est emporté d’assaut
norer que, s’il veut le livrer, il recevra une récompense ; que, s’il
vient
à son aide, il s’expose. James donne ses provisio
larmes ne servent de rien ; il ne peut, il ne veut pas dire d’où lui
vient
cet or, ce serait exposer à une perte certaine l’
estait de son innocence, mais refusait opiniâtrement de dire d’où lui
venait
cet or. William s’élance, il serre l’enfant dans
et instant de grands cris retentissent : on apprend qu’une révolution
vient
d’éclater ; que Jacques IIest détrôné et en fuite
enne, laissant à Beaupréau les vieillards, les femmes et les enfants,
vient
attaquer Chollet. Le combat commence à deux heure
religion chrétienne, et de réunir la Lithuanie à la Pologne. Il était
venu
à Cracovie avec les principaux : de sa nation ; e
révélations d’Ilfrid. Décrivez les sentiments qui l’agitent. Il fait
venir
Lothaire. Arrivée de ce fils coupable. Scène d’ab
ées qui l’agitent. Son isolement l’afflige et l’inquiète ; l’idée lui
vient
d’adopter Clodoald ; l’éclat d’un diadème éblouir
sassiner, afin de régner à sa place. Sujet et plan. Un soir, Maximien
vient
trouver sa fille Fausta. Il sait qu’elle doit pas
père, pour le prier d’admettre en sa présence un jeune sourd-muet qui
vient
d’entrer dans la cour, et qui, par signes, demand
acles. On appelait ainsi des temples, ou autres lieux sacrés, où l’on
venait
interroger la Divinité sur l’avenir ; les réponse
ser. Sans doute le souvenir des crimes de son mari et de ses malheurs
viendra
souvent l’agiter ; mais en s’associant à leur vie
ance jusqu’à perdre leur raison et leurs forces ; il leur a promis de
venir
à cette fête ; il y viendra. Il explique aux s
aison et leurs forces ; il leur a promis de venir à cette fête ; il y
viendra
. Il explique aux soldats ce qu’il faut faire l
ra jamais dévider. » Il remit à Alboin, roi des Lombards ; l’invita à
venir
faire la conquête de l’Italie, et lui promit non-
Sujet. L’horrible massacre connu sous le nom de Vêpres siciliennes
vient
d’être commis. Les Siciliens veulent un roi qui l
a brûlèrent. Sujet et plan. Camille apprend dans sa retraite que Rome
vient
d’être prise et incendiée, et que les restes de l
unique dont la tendresse et la piété faisait toute sa consolation. On
vient
lui apprendre que ce fils chéri a été tué dans un
la république, les droits d’un généreux citoyen dont tout le malheur
vient
d’avoir combattu avec courage, l’indignité de la
demanda un sauf-conduit ; Philippe ne voulut le lui accorder que pour
venir
; pour le retour, il le refusa en disant : « Si J
s à ses amis. La Floride, presqu’île de l’Amérique septentrionale,
venait
d’être découverte. Sous le règne de Chartes IX, a
un trône, avec la couronne sur la tête. Les prélats et les seigneurs
vinrent
successivement lui baiser la main. Ensuite, ces t
t. Outré de cet affront, il alla offrir ses services aux Volsques. Il
vint
bientôt, à leur tête, ravager le territoire romai
mporter la ville d’assaut, lorsque Véturie, sa mère, sortant de Rome,
vint
le trouver dans son camp et le supplier d’épargne
s’était vu ensuite dépouillé du commandement en faveur de ce nouveau
venu
, l’accuse de trahison devant l’assemblée du peupl
e sa vie est entre leurs mains ; et la confiance avec laquelle il est
venu
se remettre en leur pouvoir prouve bien qu’il n’e
u en 1268 ; il fut vaincu et fait prisonnier. Sujet et plan. Conradin
vient
d’être vaincu et pris. Charles d’Anjou rassemble
per à la poursuite d’un épervier. Enfin la fauvette, dans son effroi,
vient
se réfugier dans le sein d’un enfant ; l’enfant l
mains. « Tout le camp était de son avis, car l’exaspération des Grecs
venait
d’être portée à son comble par la nouvelle des ma
ar l’autre. 161. Discours adressé à Don Jayme. Sujet. Don Jayme
vient
d’annoncer à son conseil que les deux fils de Rog
ssent été réduits à solliciter la commisération publique, s’il ne fût
venu
à leur secours. Pendant les cinq années de son ab
duite de ce jeune homme lui firent délivrer une feuille de route pour
venir
en liberté rejoindre son régiment en garnison à P
ffets appartenant à l’État ? Le prévenu. Je suis parti comme je suis
venu
; je n’avais pas encore reçu l’équipement militai
toutes les fois que j’avais ramassé un peu d’argent, mon jeune frère
venait
le chercher pour soulager la famille. Souvent je
g à ce noble courroux : Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte.
Viens
, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma hont
roux : Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils,
viens
, mon sang, viens réparer ma honte ; Viens me ven
e revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang,
viens
réparer ma honte ; Viens me venger. D. Rodrigue
prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte ;
Viens
me venger. D. Rodrigue. Viens me venger.De quo
mon sang, viens réparer ma honte ; Viens me venger. D. Rodrigue.
Viens
me venger.De quoi ? D. Diègue. Viens me venger
ns me venger. D. Rodrigue. Viens me venger.De quoi ? D. Diègue.
Viens
me venger. De quoi ?D’un affront si cruel, Qu’à l
. Rodrigue. Es-tu si las de vivre ?As-tu peur de mourir ? Le comte.
Viens
, tu fais ton devoir, et le fils dégénère Qui surv
ui survit un moment à l’honneur de son père. Chimène, fille du comte,
vient
demander au roi d’Espagne le châtiment de Rodrigu
u milieu des basards n’osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour
vient
d’en couvrir la terre. J’ai couru sur le lieu, sa
s voir étonné D’un divertissement que je me suis donné… (A Cliton qui
vient
lui parler à l’oreille.) Tais-toi ; si jamais plu
on qui vient lui parler à l’oreille.) Tais-toi ; si jamais plus tu me
viens
avertir… Cliton. J’enrage de me taire et d’enten
accorder à ton contentement, Puisque mon indulgence, au dernier point
venue
, Consentait, à tes yeux, l’hymen d’une inconnue3
oir quelque rapport, Je n’osai pas encor vous découvrir la flamme Que
venaient
ses beautés d’allumer dans mon âme ; Et j’avais i
tis de la main des hommes, disait Fontenelle, puisque l’Evangile n’en
vient
pas », Relativement à l’auteur de cette œuvre, il
précieuses à exhumer. 2. Langage du temps : expression que l’Espagne
venait
d’introduire parmi nous et qui serait aujourd’hui
accorder à ton contentement, Puisque mon indulgence, au dernier point
venue
, Consentait, à tes yeux, l’hymen d’une inconnue3
g à ce noble courroux ; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte.
Viens
, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma hont
roux ; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils,
viens
, mon sang, viens réparer ma honte, Viens me venge
e revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang,
viens
réparer ma honte, Viens me venger. D. rodrigue
si prompte. Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte,
Viens
me venger. D. rodrigue De quoi ? D. Diègue. D’
a Perse et les chrétiens. Encore un peu plus outre4, et ton heure est
venue
; Rien ne t’en saurait garantir ; Et la foudr
re, ou pour me seconder ? Cet effort généreux de votre amour parfaite
Vient
-il à mon secours, vient-il à ma défaite ? Apporte
? Cet effort généreux de votre amour parfaite Vient-il à mon secours,
vient
-il à ma défaite ? Apportez-vous ici la haine, ou
œurs lorsque moins on y pense. Ce bien heureux moment n’est pas encor
venu
; Il viendra2 ; mais le temps ne m’en est pas con
ure pour ne pas reconnaître la vérité de la profession de foi qu’elle
vient
d’entendre. 2. Du premier coup de vent. il y a
La grâce. On en parlait alors beaucoup, même dans les salons. 2. Il
viendra
. La foi, l’espérance et la charité. Il a le calme
ulaire à force de génie, Et que ses actions n’ont jamais démentie !
Venez
donc, offrez-lui vos vœux reconnaissants : Offrez
, c’est lui qui tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois :
Venez
, généreux fils, en qui l’affront d’un père Ferait
i trouvez des appas Dans ce bruit glorieux que laisse un beau trépas.
Venez
au vieil Horace apporter votre offrande : Venez,
aisse un beau trépas. Venez au vieil Horace apporter votre offrande :
Venez
, jeunes beautés, Chimène la demande ; Accourez to
x de les entendre, Pour jouir de sa gloire, il descend parmi nous. Il
vient
; honneur à lui ! levez-vous, levez-vous ! Aux ac
l’aimer1. Une visite d’enfant Le 14. — Une visite d’enfant me
vint
couper mon histoire hier. Je la quittai sans regr
qui joue à clignette1. Le 24. — Je vois un beau soleil qui du dehors
vient
resplendir dans ma chambrette. Cette clarté l’emb
et m’y retient, quoique j’aie envie de descendre. J’aime tant ce qui
vient
du ciel ! J’admire d’ailleurs ma muraille toute t
n prendre, parce que nous étions après dîner. Les petits enfants sont
venus
à nous comme des poulets. Je leur ai fait piquer
cruellement la vérité de ces paroles de l’Imitation ! Ta berceuse est
venue
, la pauvre femme, tout en larmes, et portant gâte
chagrin m’ont donné ces figues ! Le plus petit plaisir que je te vois
venir
me semble immense. Et le ciel si beau, et les cig
ncez-vous qui se prépare pour Maurice ! Pauvre rayon de gloire qui va
venir
sur sa tombe ! Que je l’aurais aimé sur son front
fleurs tombées, de suivre cela et je ne sais quoi an fil de l’eau. Il
vient
tant de choses à la laveuse qui sait voir dans le
t-il, vous avez perdu un grand homme, et moi j’ai perdu un ami. Je ne
viens
pas pleurer sur sa cendre : il ne faut pleurer qu
ince, était celle de la dépendance et de l’égalité : j’attendis qu’il
vînt
chez moi ». Tout ce morceau est bien pensé, bien
ince, était celle de la dépendance et de l’égalité : j’attendis qu’il
vînt
chez moi ». Je laisse aux lecteurs judicieux le
ite. Mais il paraissait tout simple alors que ce fussent les rois qui
vinssent
trouver les philosophes chez eux ; et quelques mo
serter à tort et à travers, et de vouloir absolument prêcher partout,
vient
-elle si mal à propros refroidir la noblesse et la
en tout ne te subit pas, il faut que l’erreur ne puisse t’égarer. »
Viennent
ensuite les députés de toutes les nations de l’em
os climats. On dit qu’elle avait parcouru l’univers, et qu’elle était
venue
des frontières des Parthes jusqu’à nous. La mort
ppeler : tous les amis de ce grand homme et les principaux de l’armée
vinrent
se ranger autour de lui. Il était pâle, les yeux
sa marche. Le peuple suivit consterné et dans un profond silence ; il
venait
d’apprendre que Marc-Aurèle était tout entier dan
la manie doctorale, cachet distinctif de l’éloquence philosophique, y
vienne
à tout moment glacer des cœurs que commençait à é
e ; elle était comme je la pouvais désirer2. M. de La Rochefoucauld y
vint
; on ne parla que de vous, de la raison que j’ava
tout, dit M. le Prince, ne vous fâchez point, tout va bien. » La nuit
vient
, le feu d’artifice ne réussit pas, il fut couvert
les ports de mer. Il attend quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne
viennent
point ; sa tête s’échauffait, il croit qu’il n’au
âma son courage. Le Roi dit qu’il y avait cinq ans qu’il retardait de
venir
à Chantilly, parce qu’il comprenait l’excès de ce
vec eux deux, pour parler de leur affliction ; madame de La Fayette y
vint
: nous fîmes bien précisément ce que nous avions
es pauvres gens étaient en larmes, et déjà tout habillés de deuil. Il
vint
trois gentilshommes, qui pensèrent mourir en voya
, qui se trouva près de l’endroit où il allait, lui dit : « Monsieur,
venez
par ici ; on tire du côté où vous allez. — Monsie
u, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit ; un carrosse
vient
, on l’emporte dans sa tente. Ce fut là où M. de L
Henriette de Coulanges, qui souffrait d’une hydropisie. 3. Son mari
venait
d’être tué. 4. Sœur du grand Condé. 5. Catherin
-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué. Le coup de canon
vint
donc ; il emporte le bras de M. Saint-Hilaire qui
ache Devant la blanche ferme où parfois, vers midi, Un vieillard
vient
s’asseoir sur le seuil attiédi, Où cent poules ga
fin de voir les anges Passer dans vos rêves la nuit ! Donnez ! il
vient
un jour où la terre nous laisse. Vos aumônes là-h
u vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l’enfant
vient
, la joie arrive et nous éclaire1. On rit, on se r
un regard ma mère m’apaisait5. La résignation chrétienne Je
viens
à vous, Seigneur, père auquel il faut croire ;
is de ce cœur tout plein de votre gloire, Que vous avez brisé6. Je
viens
à vous, Seigneur, confessant1 que vous êtes Bon,
és ! D’autres vont maintenant passer où nous passâmes ; Nous y sommes
venus
, d’autres vont y venir ; Et le songe qu’avaient é
tenant passer où nous passâmes ; Nous y sommes venus, d’autres vont y
venir
; Et le songe qu’avaient ébauché nos deux âmes, I
La prière pour tous Ma fille ! va prier ! vois, la nuit est
venue
; Une planète d’or là-bas perce la nue ; La brume
urs bouches vermeilles, Comme volent aux fleurs de joyeuses abeilles,
Viennent
s’abattre en foule à leurs rideaux de lin ! O som
couchant Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées ; Demain
viendra
l’orage, et le soir, et la nuit ; Puis l’aube, et
phant Dès qu’il veut sourire. 2. M. Victor Hugo dit ailleurs :
Venez
, enfants ! A vous, jardins, cours, escaliers ! Eb
vogue extraordinaire. Les opposants à la nouvelle école poétique qui
venait
introduire une réforme radicale furent nombreux,
Pour bien faire du pain, qu’il faut bien enfourner ; Si dom Pèdre est
venu
, qu’il s’en peut retourner ; Le ciel nous fit ce
si ce personnage, en magnifique arroi24, Marchant pedetentim 25, s’en
vint
jusques à moi Qui sentis à son nez, à ses lèvres
rs et maints retours, Un valet, se levant le chapeau de la tête, Nous
vint
dire tout haut que la soupe était prête ; Je conn
La faim se renouvelle au change des viandes : Laissant là ce larron,
viens
ici désormais, Où la tripaille est frite en cent
. Le génie de Corneille s’élève toujours, et, en 1640, la muse sacrée
vient
lui inspirer son plus incontestable chef-d’œuvre,
l’en empêche.) Don Manrique. Tout beau, tout beau, Carlos ! d’où vous
vient
cette audace, Et quel titre en ce rang a pu vous
Celles qui l’enfermaient furent sacrifiées ; Et le même escadron qui
vint
le secourir Le ramena vainqueur, et moi prêt à mo
mble devant lui sans croire son courroux ; Et rien… Mais le voici qui
vient
s’en plaindre à vous. Scène V. Dona Isabe
die pour la comédie. Un procès qu’il eut au sujet d’un bénéfice qu’il
venait
d’obtenir lui fit écrire les Plaideurs. L’intrigu
Arcas. Agamemnon. Oui, c’est Agamemnon, c’est ton roi qui t’éveille.
Viens
, reconnais la voix qui frappe ton oreille68. Arc
endait mes ennuis, Vengeant de leurs autels le sanglant privilège, Me
venaient
reprocher ma pitié sacrilège ; Et, présentant la
oursuivre leur voyage, Achille et Ulysse surviennent. Le premier, qui
vient
d’apprendre qu’Iphigénie est attendue au camp, de
sa faiblesse. Entre un messager qui annonce que la reine et sa fille
viennent
d’arriver au camp ; ainsi Agamemnon a pris de vai
le sait, il l’attend ; et, s’il la voit tarder, Lui-même à haute voix
viendra
la demander. Nous sommes seuls encor : hâtez-vous
, scène I.) Mithridate. Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est
venue
Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue. À m
e longtemps, soigneux de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me
vienne
chercher. La guerre a ses faveurs ainsi que ses d
tous les chemins par où je dois passer, Et, si la mort bientôt ne me
vient
traverser, Sans reculer plus loin l’effet de ma p
z-vous que l’Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y
vient
finir son cours ; Que du Scythe avec moi l’allian
choses pour lui ? Qu’après avoir chez vous réparé sa misère, Vous en
veniez
au point… Orgon.
iez pris pour lui l’amitié que je montre. Chaque jour, à l’église, il
venait
d’un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à
elle ; Un rien presque suffit pour le scandaliser, Jusque-là qu’il se
vint
l’autre jour accuser D’avoir pris une puce en fai
t, de toute morale, de toute convenance, forcer même à rire celui qui
vient
à ses pièces pour les censurer, voilà le but et l
mots. L’honnête homme de père ! Ah ! qu’à notre secours à propos vous
venez
! Encore un jour plus tard, nous étions ruinés.
Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celui qui te
viendra
le premier sous la main, Il m’importe peu, prends
Crispin. Ne vous souvient-il pas, monsieur, bien nettement, Qu’il est
venu
tantôt certain neveu normand, Et certaine baronne
tard, Il faut passer dans ma barque. On y
vient
jeune ou vieillard, Ainsi qu’il pla
Il faut passer dans ma barque. Vous qui voulez passer,
venez
, mânes errants, Venez, avancez, tri
a barque. Vous qui voulez passer, venez, mânes errants,
Venez
, avancez, tristes ombres, Payez le
Ils traversaient la plaine aux zéphyrs inconnue. Un gros de Sarrasins
vient
s’offrir à leur vue : Milice du démon, gens hideu
Fontaine faite par lui-même — 1659. Jean s’en alla comme il était
venu
, Mangeant son fonds après son revenu, Tint les tr
liation. Mais le naturel caustique le dominait et les traits mordants
venaient
à son esprit sans qu’il les cherchât et coulaient
ais poète : Phœbus, dès que je parle, est prêt à m’exaucer ; Mes mots
viennent
sans peine, et courent se placer. Faut-il peindre
. Ainsi, soit que bientôt, par une dure loi, La mort d’un vol affreux
vienne
fondre sur moi, Soit que le ciel me garde un cour
puis bien parler, et ne saurais me taire ; Et dès qu’un mot plaisant
vient
luire à mon esprit, Je n’ai point de repos qu’il
’heure est amené ; Orcam, du grand vizir conseiller ordinaire,
Vient
recevoir du condamné Le testament patibula
que emploi, Par le délai qu’on donne à mon expérience, La mort
viendra
prendre sur soi Le soin de dégager ma foi,
s. Grand Dieu ! votre main réclame Les dons que j’en ai reçus ; Elle
vient
couper la trame Des jours qu’elle m’a tissus. Mon
Tufières avait voulu cacher à tous les yeux ce père malencontreux qui
vient
déranger ses vanteries ; il avait même voulu le d
e, oui, l’argent nous soutient, Mais nous purifions la source dont il
vient
. M. Josse. Et quel douaire aura l’épouse contrac
res le rare talent qu’il avait pour la poésie. Enfin, un grand succès
vint
le dédommager de tous ces échecs et donner tort a
ne et tendre amante, Par la terreur conduite, incertaine, tremblante,
Vient
d’un pied chancelant sur ces funestes bords : Ell
es arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l’Arabie est à la fin
venu
. Ce peuple généreux trop longtemps inconnu, Laiss
sans culte, et sans rois, Donnèrent aisément d’insuffisantes lois. Je
viens
, après mille ans, changer ces lois grossières ; J
détruis sa faiblesse et son idolâtrie ; Sous un roi, sous un dieu, je
viens
la réunir ; Et, pour la rendre illustre, il la fa
n. L’antiquité tenait pour axiome Que rien n’est rien, que de rien ne
vient
rien. Du genre humain connais quelle est la tremp
ur cœur est absorbé, Quand dans la chambre entre monsieur l’abbé137 ;
Vient
à la piste un fat en manteau noir, Qui se rengorg
penser, et l’on ne pense à rien. Ô roi David ! ô ressource assurée !
Viens
ranimer leur langueur désœuvrée ; Grand roi David
nables sabbats, Où l’université des chats, À minuit, en robe fourrée,
Vient
tenir ses bruyants états ; Une table mi-démembrée
et guimpes et bandeaux. Il n’était point d’agréable partie, S’il n’y
venait
briller, caracoler, Papillonner, siffler, rossign
mignonnes Du perroquet des bienheureuses nonnes ; De Moulins même on
venait
pour le voir. Le beau Vert-Vert ne bougeait du pa
Un démon triomphant m’élève à cet emploi : Malheur aux écrivains qui
viendront
après moi ! M. Baliveau. Va ! malheur à toi-même
retire et rend la lumière Dans l’ordre qui lui fut prescrit. La nuit
vient
à son tour ; c’est le temps du silence. De ses an
, parce que son père, qui était architecte, avait dissipé sa fortune,
vint
à Paris vers l’âge de dix-huit ans et se mit à ta
s n’est point souillé ; mes vœux sont légitimes. Gertrude. D’où vous
vient
donc, mon fils, cet air sombre, abattu ? Cette tr
r la bonté céleste. Que croire à ton aspect, ombre chère et funeste ?
Viens
-tu pour me troubler d’un prestige odieux ? Viens-
e chère et funeste ? Viens-tu pour me troubler d’un prestige odieux ?
Viens
-tu pour m’annoncer la volonté des dieux ? Si tu n
trude, Claudius. Hamlet. …… La voyez-vous, cette ombre menaçante, Qui
vient
pour raffermir ma fureur chancelante ? Gertrude.
r, né Montpellier en 1745, fit ses études au collège des Jésuites. Il
vint
ensuite à Paris où il débuta par des pièces fugit
t, les trouvant, Il s’admire et se plaît de se voir si savant. Que ne
vient
-il vers moi ? je lui ferai connaître Mille de mes
s objets nouveaux qu’ils s’étonnent de peindre. La prose plus souvent
vient
subir d’autres lois, Et se transforme et fuit mes
ù son flambeau vous luit, Dansantes vous admire au retour de la nuit,
Venez
, j’ai fui la ville aux Muses si contraire, Et l’é
leurs cercles d’airain Effarouchent les vers qui se taisent soudain.
Venez
. Que vos bontés ne me soient point avares, Mais,
lie ! aimable mensongère, Des antres, des forêts déesse tutélaire Qui
vient
d’une insensible et charmante langueur Saisir l’a
sommes, Tous, oui tous. Adieu, terre, adieu. Vienne,
vienne
la mort ! que la mort me délivre…
ail reçoit tes ondes, Et seul tu réunis les tributs des deux mondes :
Viens
donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi. Je n
eul tu réunis les tributs des deux mondes : Viens donc, divin nectar,
viens
donc, inspire-moi. Je ne veux qu’un désert, mon A
odestes portiques ! Laisse-moi m’égarer dans tes jardins rustiques Où
venait
Catinat méditer quelquefois, Heureux de fuir la c
ier tous les jours Le fil demi-formé, qui se brise toujours ; Seul je
viens
recueillir mes vagues rêveries. Fuyez, bruyants R
Les hauteurs de Meudon me cachent le soleil ; Le jour meurt, la nuit
vient
: le couchant moins vermeil Voit pâlir de ses feu
ez-vous un Dieu dont la voix inconnue Vous dit tout bas : « Mon fils,
viens
ici, viens à moi. Marche au fond du désert, j’y s
Dieu dont la voix inconnue Vous dit tout bas : « Mon fils, viens ici,
viens
à moi. Marche au fond du désert, j’y serai près d
eur de ses crimes, Souvent dans ces lieux saints l’oppresseur désarmé
Venait
demander grâce aux pieds de l’opprimé. D’héroïque
eurir sous leurs pas. Palmier, qui rafraîchis la plaine de Syrie, Ils
venaient
reposer sous ton ombre chérie ! Prophétique Jourd
ple soulevé lui prodigue l’insulte ; On s’arme, on est déjà près d’en
venir
aux mains. Les meneurs triomphaient : pour rompre
e second proposé fut accueilli de même, Et ce fut encor pis, quand on
vint
au troisième. Quelques autres encor ne semblèrent
lageois qu’il aime, Et, chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux,
Vient
sans être attendu, s’assied au milieu d’eux, Écou
corde qu’elle traîne, Et, marchant lentement, derrière lui l’emmène.
Venez
, mortels si fiers d’un vain et mince éclat, Voyez
chaste, il a pu dire : Jamais dans mes tableaux l’obscène nudité Ne
vient
effaroucher la pudique beauté. Jamais surtout mon
r, de rivage en rivage, M’accompagna partout sur les bords étrangers,
Vint
m’y charmer souvent au milieu des dangers. Mais q
x rayons de Phébé, Un Virgile à la main, en moi-même absorbé, Je suis
venu
m’asseoir, pensif et solitaire, Sur le tronc abat
priait : « Ma mère… où donc est-elle ? » Dit une faible voix. « Oh !
viens
… Je me rappelle Qu’un étrange sommeil a pesé sur
! Ma fortune est faite. Mais je vois, en grande étiquette, Chez moi
venir
ducs et barons : Lyre, il faut suspendre tes sons
mble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d’autre histoire. Là
viendront
les villageois Dire alors à quelque vieille : « P
ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà bien longtemps de ça : Je
venais
d’entrer en ménage. À pied grimpant le coteau, Où
oit prêt à me bénir Le tourbillon soudain m’arrache. Plus d’un pauvre
vient
implorer Le denier que je puis répandre, Qui n’a
er de tout à fait supérieur dans le talent de Casimir Delavigne, d’où
vient
qu’il a joui d’une si grande vogue ? C’est que, h
ffle, un cri s’entend… l’hymne pieux expire. Ce cri, qui l’a poussé ?
Vient
-il de ton esquif ? Est-ce toi qui gémis, lévite ?
François de Paule. Ah ! puisqu’il est des maux que tu peux réparer,
Viens
! Louis, debout. Où donc ? Françoi
ux pieds du roi. La charité l’ordonne.
Viens
, viens sauver ton âme. Louis.
s du roi. La charité l’ordonne. Viens,
viens
sauver ton âme. Louis.
ormes visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me dit, Quand je
viens
le prier : « Que me veux-tu, maudit ? » Un démon,
y plonge et m’assassine ; Je me lève éperdu, des flots de sang humain
Viennent
battre ma couche, elle y nage, et ma main, Que pe
a peur de l’épuiser est mon plus grand tourment ! François de Paule.
Viens
donc, en essayant du pardon des injures, Viens de
L’est-on quand on n’est pas aimé ? (En l’entraînant.) Ah !
viens
. Louis, qui le repousse. Non
jour, couronnant son ouvrage, Laisser un grand exemple aux siècles à
venir
! (Il se frappe.) Tu m’absous de mon crime… et je
urant, Où, quand son heure est arrivée, Le passereau loin des larcins
Vient
cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voile
e ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine
vient
éclairer Un jour qui, sans rien colorer, À chaque
ger. » Et leurs yeux se baissaient devant mes yeux de flamme, Car ils
venaient
, hélas ! d’y voir plus que mon âme. J’ai vu l’amo
un rayon ruisselant, Comme à travers la mousse un filet des cascades,
Venait
d’un crépuscule argenter les arcades. Au-dessus d
surpris, Emportant dans mes bras ma mère évanouie, Dont cette émotion
venait
d’user la vie, Dérobés aux regards par le mur de
t leurs cris de bonheur monter et retentir Sur les pas de la mort qui
venait
d’en sortir. Hugo (Victor) (né en 1802) V
ctor Hugo lorsqu’il ne prend pas la peine de scander les vers qui lui
viennent
en foule. Il faut remonter jusqu’à Chapelain pour
Dieu est toujours là. (Les Voix intérieures, V, I.) Quand l’été
vient
, le pauvre adore ! L’été, c’est la saison de feu,
en bienfaits caressants. Tout ombrage alors semble dire : Voyageur,
viens
te reposer ! Elle met dans l’aube un sourire, Ell
sans mère et priant Dieu, Une voix lui dit à l’oreille : « Eh bien !
viens
sous mon dôme bleu ! « Le Louvre est égal aux ch
eu ! « Le Louvre est égal aux chaumières Sous ma coupole de saphirs.
Viens
sous mon ciel plein de lumières, Viens sous mon c
es Sous ma coupole de saphirs. Viens sous mon ciel plein de lumières,
Viens
sous mon ciel plein de zéphyrs ! « J’ai connu to
rs. « C’est moi qui sur leur sépulture Ai mis l’herbe qui la défend.
Viens
, je suis la grande nature ! Je suis l’aïeule, et
ens, je suis la grande nature ! Je suis l’aïeule, et toi l’enfant. «
Viens
, j’ai des fruits d’or, j’ai des roses, J’en empli
ormant rien ne t’oppresse ! Dieu sera là pour ton réveil ! — La lune
vient
qui le caresse Plus doucement que le soleil. Car
retiens ! Le soir, comme elle était l’aînée, Elle me disait : « Père,
viens
! Nous allons t’apporter ta chaise ; Conte-nous
coin des cieux. Résignation. (Les Contemplations, IV, XV.) Je
viens
à vous, Seigneur, père auquel il faut croire ;
plein de votre gloire, Que vous avez brisé. Je
viens
à vous, Seigneur, confessant que vous êtes Bon, c
d’épopée dramatique ayant son exposition, son nœud et sa catastrophe.
Viennent
ensuite des traductions de poésies des différente
ix de détresse Vainement crîrait-on ! Et la nuit
vient
, versant ses funèbres alarmes, Et vous avez du fe
Les écoutant bondir et tomber des montagnes, Des milliers d’Africains
venus
dans les Espagnes Il n’eût p
ous le jour du souvenir ; Car, dans la tendre enfance, on aime à voir
venir
, Après les soins comptés de l’exacte semaine Et l
n secret dévorés, À tant de biens trompeurs ardemment espérés, Qui ne
viendront
jamais… qui sont venus peut-être ! En suis-je plu
biens trompeurs ardemment espérés, Qui ne viendront jamais… qui sont
venus
peut-être ! En suis-je plus heureux qu’avant de l
De l’ormeau, Une grappe mûrissante ; L’enfant à trois ans
venu
Fort et nu, Qui jouait sur la belle her
à lui, on ne le sent que trop, n’est pas un jeu ni une manière ; elle
vient
d’un désillusionnement trop véritable. Une révolu
s monts, la liberté sacrée : C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit
venir
, Ou, s’il l’a dans le cœur, qu’il l’y sent tressa
té, Fleur de sagesse et de gaîté. Mais quoi ! la mode
vient
, et tue un vieil usage ; On n’en veut plus, du so
Dont il enseignait la douceur, Le seul français et qui
vienne
du cœur : Car, n’en déplaise à l’
us voilà ! Que ce moment est doux ! Dupré. À dater d’aujourd’hui, je
viens
loger chez vous. Mme Dalainville. Aujourd’hui !
u’on a soin d’inviter pour avoir leurs suffrages ; Quelques seigneurs
venus
des pays étrangers, Et s’efforçant en vain de par
des champs, montre comment, sans abjurer l’amour de la nature, il est
venu
à Dieu. Les Symphonies (1855), les Idylles héroïq
t l’orient, Qu’elle est aimable et douce ta lumière ! « Le printemps
vient
; puis viendra la moisson ; Et puis le temps joye
u’elle est aimable et douce ta lumière ! « Le printemps vient ; puis
viendra
la moisson ; Et puis le temps joyeux de la vendan
qu’un doux écho prolonge. Ce chant, qui tient ses esprits interdits,
Vient
d’un oiseau perché sur une palme, De cet oiseau q
ce lieu, Tu m’enivras de ta joie éternelle. « Eh bien ! voilà que je
viens
d’écouter, Pendant cent ans, dans une ardente ext
bande est un prêtre, À son vêtement noir facile à reconnaître ; Puis
viennent
sur ses pas deux jeunes passagers, Un mousse, des
lô-Goff n’aura pas deux fois un tel spectacle ! Tous les gens du pays
vinrent
criant miracle ! Attroupés sur le cap, ils voyaie
un radeau Entouré d’un millier de récifs à fleur d’eau ! Ah ! demain,
venez
voir, entre la pointe et l’île, Les perfides cour
la pointe et l’île, Les perfides courants briller comme de l’huile ;
Venez
voir bouillonner la mer, et, sur les rocs, Ouvrez
as ! dans tous les temps ils ont aimé ces bords. Autrefois, un esprit
venait
, d’une voix forte, Appeler chaque nuit un pêcheur
laquelle roula le flot de la tempête ; Et tous, pour attester l’appui
venu
du ciel, Suspendaient leurs habits au-dessus de l
s ainsi… C’est qu’il voit dans Auray courir sa bande armée. Les Bleus
viennent
, l’on tire ! À travers la fumée Un jeune homme, u
brassons-nous, Et, tous les deux sauvés, fléchissons les genoux… Puis
venez
à l’autel, devant le divin Maître Arrivons en ami
t l’encre homicide où sa plume se trempe, N’ayant d’air que celui qui
vient
d’un soupirail, Dix-huit heures penché sur son af
suffira pour faire apprécier le genre de cette comédie dont le succès
vint
en partie de ce que la bourgeoisie orléaniste et
ême ce chapitre ; Et, comme vous savez, j’attends les créanciers, Qui
viendront
tout à l’heure, armés de leurs dossiers. George
r la poésie moderne par le retour aux formes de l’antiquité et de lui
vient
, en première ligne, ce mouvement néo-païen qui fo
s les déserts. D’un point de l’horizon, comme des masses brunes, Ils
viennent
, soulevant la poussière, et l’on voit, Pour ne po
l’œil clos. Leur ventre bat et fume, Et leur sueur dans l’air embrasé
vient
en brume, Et bourdonnent autour mille insectes ar
er, mais j’espère Avec tes flots les vaincre en te prêtant mon bras ;
Viens
, je vais t’y conduire, et tu les balaieras. Il n’
uivants) où la Victoire, avec ses sœurs la Force, la Puissance, etc.,
vient
aider Jupiter à triompher des Titans. 55. Put,
pour signifier, décrier hautement quelqu’un, déclamer contre lui. Il
vient
du latin tympanizare, jouer du tambour, de tympan
Péruvienne Alzire et de Zamore, son ancien fiancé, au moment où elle
vient
d’épouser l’Espagnol Guzman. Voir aussi le pardon
pelle de Sainte-Anne, où chaque année des milliers de paysans bretons
viennent
pour le pardon, célèbre fête religieuse et popula
e ni la même forme que les discours de Démosthènes : et quand Plotius
vint
donner à Rome les premières leçons d’éloquence la
lé chaque héros de l’Evangile à une si haute mission, en lui disant :
viens
occuper dans le sanctuaire la place de Dieu lui-m
nne. Les rois s’humilient comme le peuple devant son tribunal, et n’y
viennent
que pour être instruits ; tout ce qui l’environne
la première lame des mers du nouveau-monde pousse le dernier flot qui
vient
frapper les plages du nôtre, de même la vérité pa
de l’extrémité d’un vaste espace, accrue et fortifiée dans sa route,
vient
frapper à l’extrémité opposée son plus violent ad
sorte en faire parade, pour remplir l’attente d’un auditeur qui n’est
venu
que pour entendre un beau discours, et dont il ne
aise à l’auditeur, de sorte néanmoins que cet agrément, ce plaisir ne
viennent
point enfin à lui causer du dégoût ; car c’est l’
son bras ne l’abandonna pas, et son courage irrité par tant de périls
vint
à son secours. On ne l’eut pas plutôt vu pied à t
ot soulevé par une tempête qui, pour reprendre son mouvement naturel,
vient
à intervalles inégaux, caresser mollement le riva
ous, ni au-dessus. Je suppose que vous représentiez un personnage qui
vient
d’entendre un mot blessant pour sa probité. Il s’
’élocution et les figures, c’est le premier maître à suivre, l’art ne
vient
que le second. Il est bien difficile, pour ne pas
is, / pense au foyer absent. — Avant de le quitter, /
viens
/ qu’il nous réunisse. Une mère bénit son fils en
ous voyons des commis Mis Comme des princes Qui jadis sont
venus
Nus De leurs provinces. La fable suiv
La fable suivante renferme les dix espèces de mesures. 12. O mort !
viens
terminer ma misère cruelle, 10. s’écriait Charle
es mortels envient. On remarquera dans le premier de ces vers le mot
vient
et dans le dernier la syllabe vient dans envient.
ans le premier de ces vers le mot vient et dans le dernier la syllabe
vient
dans envient. Vient, à cause de sa prononciation
s vers le mot vient et dans le dernier la syllabe vient dans envient.
Vient
, à cause de sa prononciation nasale, peut entrer
ent, à cause de sa prononciation nasale, peut entrer dans le vers, et
vient
, restant syllabe inarticulée, n’a pas ce privilèg
ie, Comment passiez-vous votre v — ie ? Les députés du peuple r — at.
Vinrent
chercher secours contre le peuple ch — at, (LAF)
uivent par couples, deux étant masculines et deux féminines. Oui, je
viens
dans son temple, adorer l’éternel ; Je viens, sel
deux féminines. Oui, je viens dans son temple, adorer l’éternel ; Je
viens
, selon l’usage antique et solennel, Célébrer avec
des expressions semblables à celle-ci : ..... De joyeuses abeilles
Viendront
s’abattre en foule à leurs rideaux de lin. (V.H.)
eurs rideaux. Rangés devant le vieil autel de pierre Nous attendions
venir
l’humble bannière. (J. T.) Au lieu de : nous att
bannière. (J. T.) Au lieu de : nous attendions que l’humble bannière
vint
. En faveur de l’élégance, la licence autorise ce
aintement commencé4. L’astre dont la présence écarte la nuit sombre5
Viendra
bientôt recommencer son tour ; O vous, noirs enne
temps plus doux1 ? Je plains le triste sort d’un enfant tel que vous.
Venez
dans mon palais, vous y verrez ma gloire. Joas.
eurera4. Un juge, l’an passé, me prit à son service ; Il m’avait fait
venir
d’Amiens pour être suisse…5 C’est dommage, il av
L’intimé. Sans craindre aucune chose, Je prends donc la parole, et je
viens
à ma cause. Aristote, primò, péri Politicon1, Di
L’intimé. Oh ! vous êtes si prompt ! Voici le fait. (Vite.) Un chien
vient
dans une cuisine ; Il y trouve un chapon, lequel
la mode. L’intimé, d’un ton véhément. Qu’arrive-t-il, messieurs ? On
vient
. Comment vient-on ? On poursuit ma partie3. On fo
imé, d’un ton véhément. Qu’arrive-t-il, messieurs ? On vient. Comment
vient
-on ? On poursuit ma partie3. On force une maison.
troublée. Hé ! concluez. L’intimé, lui présentant des petits chiens.
Venez
, famille désolée ; Venez, pauvres enfants qu’on v
L’intimé, lui présentant des petits chiens. Venez, famille désolée ;
Venez
, pauvres enfants qu’on veut rendre orpheline, Ven
famille désolée ; Venez, pauvres enfants qu’on veut rendre orpheline,
Venez
faire parler vos esprits enfantins. Oui, messieur
j’aime, Et je fais le mal que je hais. O grâce3, ô rayon salutaire,
Viens
me mettre avec moi d’accord ; Et domptant, par u
nts du cœur. 4. Le monstre s’éveille. 5. Il a le génie du crime. Il
vient
d’avoir une inspiration. 6. Elle croit l’avoir f
uait à la nôtre. L’avare donnant à dîner Harpagon. Allons,
venez
çà tous1, que je vous distribue mes ordres pour t
et non pas suivant la coutume de certains impertinents de laquais qui
viennent
provoquer les gens et les faire aviser de6 boire,
nous nos souquenilles7, monsieur ? Harpagon. Oui, quand vous verrez
venir
les personnes ; et gardez bien de gâter vos habit
de saint Louis3 ? M. Jourdain. Taisez-vous, ma femme ; je vous vois
venir
. Madame Jourdain. Descendons-nous tous deux que
ui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’il fallait qu’elle me
vînt
visiter en équipage de grande dame, et qu’elle ma
u premier coup. Je vous remercie de tout mon cœur, et je vous prie de
venir
demain de bonne heure. Le maître de philosophie
ndre, cette pesanteur d’imagination est la marque d’un bon jugement à
venir
. Lorsque je l’envoyai au collége, il trouva de la
siduité et de son travail. Enfin, à force de battre le fer, il en est
venu
à avoir ses licences7 ; et je puis dire, sans van
l nous faut, quand nous voulons être plus avisés que lui, et que nous
venons
à l’importuner par nos vœux aveugles et nos deman
le, Racine et Molière appellent du fond de l’Europe les étrangers qui
viennent
s’instruire chez nous, et qui contribuent à l’abo
n ne jurait que par Gallien et Hippocrate. 2. La circulation du sang
venait
d’être découverte par Harvey. 3. Conduite, mani
qu’il appelle Les voisins de l’Adour2, et du Rhône, et du Var ; Tous
viennent
à genoux environner son char ; Les uns montent de
va grossir l’armée : De sergent des impôts il obtient un emploi ; Il
vient
dans son hameau, tout fier, de par le roi Fait de
érir1. En maudissant les champs que vos mains font fleurir ! Un temps
viendra
, sans doute, où des lois plus humaines De vos bra
rappelle A ce monde que j’ai quitté. Si vers le soir un triste orage
Vient
ternir l’éclat d’un beau jour, Je me souviens qu’
ent Des dames de Rome et d’Athène ; On me dit : « Partez promptement,
Venez
sur les bords de la Seine, Et vous en direz tout
de son faible corps Les organes vaincus sans force et sans ressorts,
Vient
par un calme heureux secourir la nature, Et lui p
ts ! s’écrie avec hauteur Un ignorant fourré, fier du nom de docteur,
Venez
à moi ; laissez Massillon, Bourdaloue ; Je veux v
r un sermon, sur le prix des rubans, Ont épuisé leurs âmes excédées3.
Vient
à la piste4 un fat en manteau noir, Qui se rengor
t penser, et l’on ne pense rien. O roi David1 ! ô ressource assurée !
Viens
ranimer leur langueur désœuvrée ; Grand roi David
n. L’antiquité tenait pour axiôme Que rien n’est rien, que de rien ne
vient
rien. Du genre humain connais quelle est la tremp
uille. 4. Le 12 mai 1588, le duc de Guise, chef des Ligueurs, étant
venu
à Paris, malgré la défense du roi Henri III, ce p
al, pour voir revenir notre pauvre ami. J’étois masquée1 ; je l’ai vu
venir
d’assez loin. M. d’Artagnan étoit auprès de lui ;
isposition vous serez en lisant cette lettre ; le hasard fera qu’elle
viendra
mal à propos, et qu’elle ne sera peut-être pas lu
ses ; mais vous devez les aimer et respecter mes larmes, puisqu’elles
viennent
d’un cœur tout à vous1. Lamentation sur ses a
faut que vous rayiez cet article sur le mémoire de mes défauts. Mais
venons
à vous. Nous sommes proches et de même sang5 ; no
vec eux deux, pour parler de leur affliction ; madame de la Fayette y
vint
: nous fîmes bien précisément ce que nous avions
es pauvres gens étoient en larmes, et déjà tout habillés de deuil. Il
vint
trois gentilshommes, qui pensèrent mourir en voya
, qui se trouva près de l’endroit où il alloit, lui dit : « Monsieur,
venez
par ici ; on tire du côté où vous allez. — Monsie
u, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit ; un carrosse
vient
, on l’emporte dans sa tente. Ce fut là où M. de L
Corbinelli (1615-1716) descendait d’une illustre famille de Florence,
venue
en France à la suite de Catherine de Médicis ; il
-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué. Le coup de canon
vint
donc ; il emporte le bras de Saint-Hilaire qui mo
n sur les remparts ; mais ils se gardaient bien de tirer sur ceux qui
venaient
attaquer la forteresse12. » De ce mouvement des e
avait détruit, mais non remplacé. Buffon dit, en mourant : « Je vois
venir
un grand mouvement, et je ne vois personne pour l
dins de Delille, qu’ils étaient « des salons de verdure où la lumière
vient
des bougies plutôt que du soleil. » L’image est v
s recettes de composition et de style étaient, à la portée du premier
venu
; la langue poétique était convenue, arrêtée. L’i
e sera, pour plusieurs du moins, disputée par les affaires publiques,
viendront
se joindre Michelet et tant d’autres, que nous ne
e gravité, a montré avec force ce que produirait logiquement, si elle
venait
à triompher, une doctrine qui identifie les lois
t des souffrances, et les Césars devinrent ses disciples ; elle seule
vint
apprendre aux hommes que la chasteté, l’humilité,
rois, ont toujours été les plus affables. Une simple femme thécuite64
venait
exposer simplement à David ses chagrins domestiqu
r temporel, pourquoi ne le trouve-t-il nulle part sur la terre ? D’où
vient
que les richesses l’inquiètent, que les honneurs
omme seul ne rencontre rien ici-bas où son cœur puisse se fixer. D’où
vient
cela, ô homme ? Ne serait-ce point parce que vous
iècles et de tous les pays, que leur âme était immortelle ? D’où a pu
venir
au genre humain cette idée étrange d’immortalité
, en oubliant Dieu, ils n’ont pu ne pas se sentir eux-mêmes. Or, d’où
vient
que des hommes si différents d’humeurs, de culte,
Abélard fut abbé. Après avoir étudié chez les jésuites de Vannes, il
vint
à Paris en 1692, et préféra bientôt à la carrière
ompis-je avec précipitation, trêve de morale, s’il vous plaît : je ne
viens
pas sur les grands chemins pour entendre des serm
’écria le lieutenant, nous avons bien de l’obligation à Gil Blas : il
vient
, pour son coup d’essai, de faire un vol fort salu
y en avait une autre à proposer bien plus importante que celle qu’on
venait
d’entendre. Ce prélude renouvela l’étonnement des
ndant je n’ai pu éviter de le comprendre dans la déclaration que vous
venez
d’entendre. La justice ne fournit pas d’exception
cour les ambassadeurs des Romains d’Orient et de ceux d’Occident, qui
venaient
recevoir ses lois, ou implorer sa clémence. Tantô
ent populaire les lois ont cessé d’être exécutées, comme cela ne peut
venir
que de la corruption de la République, l’État est
lerie suédoise ; et l’infanterie russienne, débouchant de ses lignes,
venait
attaquer celle de Charles. Le czar détacha alors
Chappuis m’apprend que votre santé est bien mauvaise ; il faudrait la
venir
rétablir dans l’air natal, jouir de la liberté, b
des Livres sacrés, que l’homme a été créé le dernier, et qu’il n’est
venu
prendre le sceptre de la terre que quand elle s’e
s les plus doux, au plaisir de s’attacher, et au désir de plaire ; il
vient
, en rampant, mettre aux pieds de son maître son c
s satisfaire, tôt ou tard l’impuissance vous forcera malgré vous d’en
venir
au refus ; et ce refus inaccoutumé lui donnera pl
e saurait que faire ; ou bien, au contraire, il court pour courir, et
vient
en poste sans autre objet que de retourner de mêm
j’ai pour vos écrits, je ne sais de quelle part ceux-ci me pourraient
venir
, à moins que ce ne soit de la vôtre. Ainsi je cro
édite avec plaisir dans ma retraite et trouve que tout est bien. D’où
viennent
ces contradictions apparentes ? Vous l’avez vous-
vague, plutôt comme un palliatif actuel, que comme un dédommagement à
venir
. Non, j’ai trop souffert en cette vie pour n’en p
; mais, sur le motif même, je ne vois rien de moins nécessaire que de
venir
vous établir à Montmorency. Vous n’avez pas besoi
Voilà, monsieur, des conseils qui valent tous ceux que vous pourriez
venir
prendre à Montmorency ; peut-être ne seront-ils p
lle journée, mon premier souhait était que ni lettres ni visites n’en
vinssent
troubler le charme. Après avoir donné la matinée
e fidèle Achate248, pressant le pas, dans la crainte que quelqu’un ne
vînt
s’emparer de moi avant que j’eusse pu m’esquiver
je pusse croire avoir pénétré le premier, et où nul tiers importun ne
vînt
s’interposer entre la nature et moi. C’était là q
uelque idée de Paris, de mon siècle et de ma petite gloriole d’auteur
venait
troubler mes rêveries, avec quel dédain je la cha
pendant, au milieu de tout cela, je l’avoue, le néant de mes chimères
venait
quelquefois la contrister tout à coup. Quand tous
il ne s’en ira point sans avoir mis à contribution ces malheureux. Il
vient
avec un vieux soldat ; il a fait sa demande. Son
la campagne. Il revient, et dans quel moment ? Au moment où son père
vient
d’expirer. Tout a bien changé dans la maison ! C’
La Fontaine. Lorsqu’on a entendu parler de La Fontaine, et qu’on
vient
à lire ses ouvrages, on est étonné d’y trouver, j
rtunes diverses et les principes de toutes ces choses, le goût lui en
viendra
, et il vous sera facile de l’en instruire vous-mê
être au-dessus de l’un et de l’autre par le cœur. Les grandes pensées
viennent
du cœur. On n’est pas né pour la gloire, lorsqu’o
adame Goëzmann si elle a quelques observations à faire sur ce qu’elle
vient
d’entendre. » Ma foi, non, monsieur, répond-elle
entation et sans reproche. O vous qui me calomniez sans me connaître,
venez
entendre autour de moi le concert de bénédictions
s sur les harmonies de ce globe, j’aperçus sur un fraisier, qui était
venu
par hasard sur ma fenêtre, de petites mouches si
trois semaines, trente-sept espèces toutes différentes ; mais il y en
vint
, à la fin, en si grand nombre, et d’une si grande
res, simplement pour s’y mettre à l’abri du soleil. Mais la plupart y
venaient
pour des raisons qui m’étaient tout à fait inconn
aisons qui m’étaient tout à fait inconnues : car les unes allaient et
venaient
dans un mouvement perpétuel, tandis que d’autres
le visitaient dans le cours de la journée, encore moins ceux qui n’y
venaient
que la nuit, attirés par de simples émanations, o
erre, il lui était également impossible de s’en aller par où il était
venu
, ou, en coupant ses câbles, d’échouer sur le riva
t il était séparé par de hauts fonds semés de récifs. Chaque lame qui
venait
briser303 sur la côte, s’avançait en mugissant ju
vous connaître. (Je croyais que cet homme était fou). — Monsieur, je
viens
d’acquérir cette semaine une charge chez le Roi ;
3, après de bonnes études au séminaire de Sainte-Garde, à Avignon, il
vint
à Paris, et son premier écrit fut une lettre sur
men. Pour mon fils. — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
vienne
aussi prendre son mot. Tu ne peux pas me donner u
emble. Cette réunion, au reste, n’a pas été de longue durée. Il était
venu
avec un jeune chambellan qui a ses affaires à Pét
bert naquit en 1754 à Montignac, dans le Périgord, et mourut en 1824.
Venu
à Paris en 1778, à l’âge de vingt-quatre ans, il
es vastes lieux. Et quand, sous ces dômes immenses, on entend de loin
venir
un vieillard, dont les pas tremblants se traînent
le cours du sang dans les veines ; chaque effort dans une telle lutte
vient
du recueillement intérieur le plus profond. L’on
iche palette, où les plus habiles n’ont pas été les moins empressés à
venir
tremper leur pinceau ; il a, non pas le premier,
c intrépidité. Trois fois ils retournent à la charge ; trois fois ils
viennent
se briser contre le vaste corps qui les repousse.
es armées. Cependant la masse effrayante de l’infanterie des barbares
vient
toujours roulant vers les légions. Les légions s’
qui lavent à des puits les robes des Turcs ; des paysans qui vont et
viennent
, conduisant des ânes ou portant sur leur dos des
ans. Je passerai à mon tour : d’autres hommes aussi fugitifs que moi
viendront
faire les mêmes réflexions sur les mêmes ruines.
endre dans un tombeau universel quelque bruit qui décèle la vie. D’où
vient
ce soupir ? d’un de mes compagnons : il se plaint
vide par la captivité du roi ; un prince du sang, échappé de prison,
vient
mêler aux violences de l’étranger les discordes d
notre patrie a de ressources dans le malheur ! Charles et Du Guesclin
viennent
ensemble, et l’un pour l’autre, et tous les deux
stinguer le fléau du sauveur, l’homme envoyé pour détruire et l’homme
venu
pour réparer. Le premier paraît dans l’absence de
avez, de tous les pays du monde. Combien d’étrangers, qui n’y étaient
venus
que pour un hiver, y ont passé toute leur vie405
grand, on tombe dans un étonnement profond. Se peut-il que l’homme en
vienne
jusqu’à cet excès ? Y a t-il de vrais athées ? Pe
n ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien que la même pensée fût
venue
également à l’autre père, il ne s’y était point a
en temps il levait les yeux, et regardait ces oiseaux qui allaient et
venaient
portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà q
réserve, fut résolu : Pym, appelant la peur à l’aide de la vengeance,
vint
dénoncer le complot de la cour et des officiers p
ait encore, se croyant incapable d’accepter un tel déshonneur. Il fit
venir
Hollis, beau-frère de Strafford, et qui, à ce tit
pour sauver sa vie, à révéler tout ce qu’il savait de ses intrigues,
vint
assiéger son mari de ses soupçons et de ses terre
ur coupable ou innocent. » Le lendemain, le secrétaire d’État Carlton
vint
, de la part roi, annoncer à Strafford qu’il avait
ées. Les poètes, ces devanciers ordinaires des orateurs, étaient déjà
venus
: Malherbe avait enseigné l’harmonie439, et Corne
peintre philosophe, n’a point exagéré les couleurs. Mais bientôt sont
venus
les imitateurs, les élèves que Buffon, malgré son
e eut des éclairs de conscience et des sentiments d’humanité ; il lui
vint
des pensées de remords, de pitié pour les souffra
amour, la haine, l’indignation, le mépris474. Ce moment d’inspiration
vint
pour Frédégonde ; elle se tourna vers le roi, et,
ne résolution soudaine, et dit au roi : « Eh bien ! si tu m’en crois,
viens
, et jetons au feu tous ces rôles d’impôts iniques
en trois colonnes d’attaque : à la première étaient les gens d’armes
venus
des comtés de Boulogne et de Ponthieu, avec la pl
et que ce n’est pas seulement pour conquérir « ce royaume que je suis
venu
ici d’outre-mer. Les gens de « ce pays, vous ne l
e succède une satisfaction moindre encore, qui s’épuise peu à peu, et
vient
s’éteindre dans l’ennui et le dégoût. Tel est le
la vanité. Mais cet étourdissement ne peut durer toujours : le moment
vient
où cette impétueuse inconstance dans la poursuite
t, il ne le tient pas ; tout le bonheur que la vie pouvait donner est
venu
, et le désir du bonheur n’est point éteint484. Le
aussi la question de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas lui
vient
; et alors aussi il se pose le problème de sa des
ont peut-être des ancêtres, mais qui n’ont pas d’histoire. Elles s’en
viennent
sauvages, presque nues, à peine armées ; elles s’
les s’en viennent sauvages, presque nues, à peine armées ; elles s’en
viennent
sans dire d’où elles sortent, ni à qui elles appa
à leur tour sur la scène du monde. Ils y paraissent quand l’heure est
venue
, et Rome s’écroule sous leur souffle. Et puis, pl
dées de toutes les espèces : et de ces peuples, aucun ne sait d’où il
vient
, ce qu’il fait sur la terre, où il va ; aucun ne
ce. Qu’est-ce donc que cette humanité dont nous faisons partie ? d’où
vient
-elle ? où va-t-elle ? En est-il d’elle comme des
êvé son orgueil, la création n’est-elle qu’un théâtre sur lequel elle
vient
jouer un acte de ses destinées immortelles ? Enco
ucun être animé. Vous savez qu’on a constaté qu’une grande révolution
vint
détruire cette création, comme si elle n’eût pas
nt vécu autrefois comme nous y vivons maintenant. Pourquoi le jour ne
viendrait
-il pas où notre race sera effacée, et où nos osse
des circonstances qui, au milieu même de la vie la plus insouciante,
viennent
subitement provoquer dans l’esprit de l’homme l’a
s institutions de saint Louis furent les premiers essais de sa plume.
Venu
à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’hist
e 23 octobre 1586. Marie Stuart déclara qu’elle avait cherché à faire
venir
dans le royaume des forces étrangères, mais qu’el
erveur les prières des agonisants. Avant qu’elle les eût achevées, on
vint
heurter à la porte. Le shérif493 entra, une bague
émoussèrent et s’arrondirent en belles tours ; des masses inférieures
vinrent
adoucir les pentes abruptes, en retardèrent la ra
tumes des Pyrénées, c’est aux foires de Tarbes qu’il doit aller. Il y
vient
près de dix mille âmes : on s’y rend de plus de v
u rond de Navarre, le bonnet pointu de Biscaye. Le voiturier basque y
viendra
sur son âne avec sa longue voiture à trois chevau
e traité qui est apporté au roi Louis XI. Ses amis, Rim et Coppenole,
vinrent
lui apporter ce splendide traité, la couronne de
t en croire quelques modernes, La Vacquerie523 premier président, qui
venait
à la tête du Parlement apporter les remontrances,
i, disait-on, dormait toujours, et, pour ne pas dormir, il avait fait
venir
des bergers du Poitou qui jouaient de leurs instr
le vivant des morts. Nous le serons demain ; nous sera-t-il donné de
venir
à tire-d’ailes revoir ce cher foyer de travail et
sant qui bon lui semble. Il fallait que quelqu’un parlât net et haut.
Vint
Beaumarchais : il prit ses contemporains où Volta
e du dix-neuvième siècle sur celle du dix-huitième, cette supériorité
vient
, selon moi, du perpétuel et heureux mélange de la
cription brillante, pleine d’images, et qui peut-être même en a trop.
Vient
maintenant le précepte de ne point laisser seule
la plante empoisonnée. Sainte-Beuve avait fini par dire : « J’en suis
venu
au principe plus approfondi que tout revient au m
oisin de la terre ou de trop voisin du nuage. J’entends, il est vrai,
venir
, j’entends se grossir et se former les nations du
née, semble avoir été effleurée, caressée de quelque souffle lointain
venu
des antiques rivages, et qui a pu apporter quelqu
d’ailleurs, même en matière de fées, a sa note et sa gamme. D’où nous
vient
-il, pourtant, ce fonds commun de contes merveille
e qui éclora un jour ? Quoi qu’il en soit, et de quelque part qu’elle
vienne
, qu’elle ne périsse jamais cette fleur d’imaginat
la semaine par un dimanche. Aristote et Descartes, avec leur méthode,
viendront
assez tôt ; assez tôt commencera la critique : qu
éviter l’odieux de prendre à partie des hommes dont j’avais salué la
venue
, j’étais allé chercher, dans l’histoire des lettr
uatre volumes, » lui conseille-t-on. S’il fait des vers passables : «
Venez
chez moi, lui dit mon claqueur de tout à l’heure,
s amis qui vous applaudiront ; j’ai des dames qui ne craignent pas de
venir
bâiller, toutes parées, à mes lectures, pour gagn
e belle cheminée de marbre blanc, où vous pourrez faire le pendule. »
Viennent
à la fois deux enchanteurs qui l’entraînent : l’a
raille sans déchirer. Un mot en dira plus que tout ce détail : tout y
vient
du cœur, même l’esprit, qui chez tant d’autres vi
s égarées Dans les replis de son cœur ? Prête-moi tes feux propices :
Viens
m’aider à fuir les vices Qui s’attachent à mes pa
propices : Viens m’aider à fuir les vices Qui s’attachent à mes pas ;
Viens
consumer par ta flamme Ceux que je vois dans mon
mon âme Et ceux que je n’y vois pas. Si de leur triste esclavage T u
viens
dégager mes sens, Si tu détruis leur ouvrage, Mes
père. Au second acte, Rhadamiste, que l’on croyait mort, reparaît. Il
vient
à la cour de son père, qui ne l’a pas vu depuis s
e son père, qui ne l’a pas vu depuis sa première jeunesse ; mais il y
vient
avec le titre d’ambassadeur des Romains, qu’il do
voix ? Justes dieux ! quel objet offrez-vous à ma vue ? ZÉNOBIE. D’où
vient
, à mon aspect, que votre âme est émue, Seigneur ?
Id. acte III, scène V. Mort de Rhadamiste. Zénobie a promis de
venir
rejoindre son époux. Mais quand Pharasmane appren
ène en ces lieux ? Que cherches-tu ? RHADAMISTE. Que cherches-tu ?Je
viens
expirer à vos yeux600. PHARASMANE. Quel trouble m
faut pas606. » La double confidence d’Œdipe et de Jocaste. Œdipe
vient
d’être désigné par le grand prêtre comme le coupa
foudre éclatante, Portèrent jusqu’à moi cette voix effrayante : « Ne
viens
plus des lieux saints souiller la pureté : « Du n
oyais encore au trône de mon père, Et tous ceux qu’à mes yeux le sort
venait
offrir Me semblaient mes sujets, et faits pour m’
spagnole et perfide. On dit que ce Gusman respire dans ces lieux ; Je
venais
t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : veng
an…Grand Dieu ! ALZIRE. Alzire ! Ce Gusman… Grand Dieu !Ton assassin
Vient
en ce même instant de recevoir ma main. ZAMORE. L
ntraîné ma faiblesse. Ta criminelle amante, aux autels des chrétiens,
Vient
presque sous tes yeux de former ces liens. J’ai t
et étouffent en lui tout sentiment de vengeance ; c’est lui-même qui
vient
prononcer le pardon qu’il accorde620 : Alvarez, G
! ZAMORE. à Gusman. Tu veux donc jusqu’au bout consommer ta fureur !
Viens
, vois couler mon sang, puisque tu vis encore ; Vi
mmer ta fureur ! Viens, vois couler mon sang, puisque tu vis encore ;
Viens
apprendre à mourir en regardant Zamore. GUSMAN, à
tres vertus que je veux t’enseigner : Je dois un autre exemple, et je
viens
le donner. (A Alvarez.) Le Ciel, qui veut ma mort
nnemis : Je ne les connais plus. Déjà de la carrière L’auguste Vérité
vient
m’ouvrir la barrière ; Déjà ces tourbillons, l’un
ins de charmes, Qu’en pure perte on cultivait ses mœurs ; Qu’un temps
viendrait
, temps de crime et d’alarmes, Où ce Ver-Vert, ten
mignonnes Du perroquet des bienheureuses nonnes ; De Moulins même on
venait
pour le voir : Le beau Ver-Vert ne bougeait du pa
ert, musqué, pincé, rangé : Heureux enfin s’il n’eût pas voyagé. Mais
vint
ce temps d’affligeante mémoire, Ce temps critique
avec Œdipe. Polynice, sur le point de combattre son frère Étéocle,
vient
demander à Œdipe, son père, réfugié avec sa fille
oir par vos mains le Ciel bénir mes armes ; Et mes soldats vainqueurs
viendront
tous avec moi Vous ramener dans Thèbe et vous nom
es point mon fils : seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi ?
Viens
, mon sang, viens, ma fille ; Soutiens mon faible
: seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi ? Viens, mon sang,
viens
, ma fille ; Soutiens mon faible corps dans tes br
peut, ma malédiction : J’ai calmé mon courroux, calmez votre colère.
Viens
dans mes bras, ingrat ; retrouve enfin ton père.
e à lui la couronne au front, et la nuit suivante trois spectres sont
venus
troubler son sommeil, et, en s’enfuyant dans les
cœurs faux, dangereux, Soyez de fer, d’acier pour eux. Mais qu’un sot
vienne
à m’apparaître, Exaucez ma prière, ô dieux ! Ferm
Il était temps pour la poésie française que de nouvelles inspirations
vinssent
la purifier et la rajeunir678 Le vieillard de
! Dès que le désespoir peut retrouver des larmes, A la mélancolie il
vient
les confier, Pour adoucir sa peine, et non pour l
r des tourments accueille l’infortune ; Qui, d’un air triste et doux,
vient
sourire au malheur, Assoupit les chagrins, émouss
n laissant tomber sa tête, Un tendre souvenir est sa plus douce fête.
Viens
donc, viens, charme heureux des arts et des amour
omber sa tête, Un tendre souvenir est sa plus douce fête. Viens donc,
viens
, charme heureux des arts et des amours ! Je te c
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde, Triomphante, elle
vint
donner des lois au monde Et marqua de sa croix le
pite : Il appelle : l’écho redouble sa frayeur ; De sinistres pensers
viennent
glacer son cœur. L’astre heureux qu’il regrette a
, à ces pensers, s’arrête dans ses veines. Et quels regrets touchants
viennent
aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis, qu’il
s objets nouveaux qu’ils s’étonnent de peindre. La prose plus souvent
vient
subir d’autres lois, Et se transforme, et suit me
n père doit donner une fête aujourd’hui. Il m’aime ; il n’a que moi ;
viens
t’adresser à lui. C’est le riche Lycus. Viens ce
aime ; il n’a que moi ; viens t’adresser à lui. C’est le riche Lycus.
Viens
ce soir ; il est tendre, Il est humain : il pleur
ter lui-même), Sous des haillons poudreux, de seuil en seuil traînés,
Viennent
tenter le cœur des humains fortunés. » — D’accuei
st versée. Une table de cèdre, où l’éponge est passée, S’approche, et
vient
offrir à son avide main Et les fumantes chairs su
ou la faux recourbée, Et devant mes pas l’herbe ou la moisson tombée
Viendra
remplir ta grange en la belle saison ; Afin que n
était-il ? où portait-il ses pas ? Il sait où vit Lycus ; pourquoi ne
vient
-il pas ? Parle : était-ce bien lui ? parle, parle
t pu te méconnaître. O Cléotas ! mon père ! ô toi qui fus mon maître,
Viens
; je n’ai fait ici que garder ton trésor, Et ton
plus faibles mains728. Quand le Nord, s’épuisant de barbares essaims,
Vint
, par une conquête en malheurs plus féconde, Venge
t à saisir les allusions contemporaines ; les sentences générales qui
viennent
sans cesse entraver et refroidir la marche de l’a
ts silencieux. Mais une voix qui Tient du Talion solitaire Me dit : «
Viens
; tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens ; tu
ion solitaire Me dit : « Viens ; tes amis ne sont plus sur la terre ;
Viens
; tu veux rester libre, et le peuple est vaincu.
umble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra pas d’autre histoire. Là
viendront
les villageois Dire alors à quelque vieille : « P
ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà bien longtemps de ça : Je
venais
d’entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où
près, où circule par endroits l’esprit général des choses, où vont et
viennent
ces grands courants de l’atmosphère que sentent à
aîne ; Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, Ignorant d’où je
viens
, incertain où je vais, Et je rappelle en vain ma
dans tes mains Tiens le cœur palpitant des sensibles humains, Byron,
viens
en tirer des torrents d’harmonie : C’est pour la
’on t’offre de si bas : La gloire ne peut être où la vertu n’est pas.
Viens
reprendre ton rang dans ta splendeur première, Pa
trace Sur l’ivoire amolli. O dernier confident de l’âme qui s’envole,
Viens
, reste sur mon cœur ! parle encore, et dis-moi Ce
btienne De rendre sur ton sein ce douloureux soupir : Quand mon heure
viendra
, souviens-toi de la tienne, O toi qui sais mourir
ouche expirante Exhala sur tes pieds l’irrévocable adieu ; Et son âme
viendra
guider mon âme errante Au sein du même Dieu. Ah
l’êpitre. Mais bientôt une muse sévère, celle de la France en deuil,
vint
arracher à l’âme du jeune poète des accents plus
e, un cri s’entend… L’hymne pieux expire775. Ce cri, qui l’a poussé ?
vient
-il de ton esquif ? Est-ce toi qui gémis, lévite ?
ce duc de Nemours, que Louis XI avait fait périr sur l’échafaud, est
venu
en qualité d’ambassadeur de Charles le Téméraire,
. FRANÇOIS DE PAULE. Ah ! puisqu’il est des maux que tu peux réparer,
Viens
! LOUIS, debout. Viens !Où donc ? FRANÇOIS DE P
puisqu’il est des maux que tu peux réparer, Viens ! LOUIS, debout.
Viens
!Où donc ? FRANÇOIS DE PAULE. Viens ! Où donc ?C
éparer, Viens ! LOUIS, debout. Viens !Où donc ? FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
! Où donc ?Ces captifs, allons les délivrer. LOUI
PAULE, aux pieds du roi. L’intérêt le défend.La charité l’ordonne.
Viens
, viens sauver ton âme. LOUIS. Viens, viens sauve
aux pieds du roi. L’intérêt le défend.La charité l’ordonne. Viens,
viens
sauver ton âme. LOUIS. Viens, viens sauver ton â
le défend.La charité l’ordonne. Viens, viens sauver ton âme. LOUIS.
Viens
, viens sauver ton âme.En risquant ma couronne ! R
end.La charité l’ordonne. Viens, viens sauver ton âme. LOUIS. Viens,
viens
sauver ton âme.En risquant ma couronne ! Roi, je
ormes visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me dit, Quand je
viens
le prier : Que me veux-tu, maudit ? Un démon, si
y plonge et m’assassine. Je me lève éperdu ; des flots de sang humain
Viennent
battre ma couche ; elle y nage, et ma main Que pe
La peur de l’épuiser est mon plus grand tourment ! FRANÇOIS DE PAULE.
Viens
donc, en essayant du pardon des injures, Viens de
défendu.L’est-on quand on n’est point aimé ? (En l’entraînant.) Ah !
viens
. LOUIS(qui le repousse). Ah ! viens.Non, laisse
aimé ? (En l’entraînant.) Ah ! viens. LOUIS(qui le repousse). Ah !
viens
.Non, laissez-moi du temps pour m’y résoudre. FRAN
, C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine
vient
éclairer Un jour qui sans rien colorer A chaque i
it, il roula jusqu’au fond de l’abîme, Et de ses plus, dans Fonde, il
vient
briser la cime. — « Merci ! cria Roland ; tu m’as
Ce jour entier passa dans le feu, dans le bruit ; Et lorsque la nuit
vint
, sous cette ardente brume, On ne vit pas la nuit.
t en dessous ; Puis elle s’enfonça tournant comme une roue, Et la mer
vint
sur nous797 !… Ibid., La frégate la Sérieuse.
e fête de Néron801. Amis ! l’ennui nous tue, et le sage l’évite !
Venez
tous admirer la fête où vous invite Néron, César,
ù l’austère Sénèque, en louant Diogène, Buvait le falerne dans l’or !
Venez
, Rome à vos yeux va brûler, — Rome entière ! J’ai
et solitaire ! Il doit lancer parfois la foudre comme un dieu ! Mais,
venez
, la nuit tombe et la fête commence ! Déjà l’incen
nt.) Ora pro nobis. I Ma fille ! va prier ! — Vois, la nuit est
venue
. Une planète d’or là-bas perce la nue ; La brume
urs bouches vermeilles, Comme volent aux fleurs de joyeuses abeilles,
Viendront
s’abattre en foule à leurs rideaux de lin ! O som
e qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous
venez
vers nous806 ! Les Rayons et les Ombres. Aprè
autour de moi mouvoir toutes tes ombres. Salut ! noble Orcagna ! que
viens
-tu m’étaler ? — « Artiste, une peinture à faire r
. Laissez donc le courroux de la mer éclater ! Avec Dieu, cette nuit,
venez
nous visiter ! » Ainsi, dans ses rochers, cette r
n prière : Laissez là vos filets avec leurs hameçons ! Êtes-vous donc
venu
pour prendre des poissons ? Oh ! Nous avons à fai
rez, quand les feux brilleront sur les lames, Si les moucherons seuls
viennent
se prendre aux flammes. C’est une vieille ruse en
mme de l’or ; Grave, elle murmura : « C’est l’âme de Grégor ! Bientôt
viennent
les froids : ce soir, au cimetière, J’ai retiré l
prendre et pourtant de le voir. Qu’ est-ce donc que ce monde, et qu’y
venons
-nous faire, Si, pour qu’on vive en paix, il faut
éduits en poussière, J’irai m’agenouiller pour vous sur vos tombeaux.
Venez
, rhéteurs païens, maîtres de la science, Chrétien
sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux.
Viens
; tu souffres, ami. Quelque ennui solitaire Te ro
e Te ronge ; quelque chose a gémi dans ton cœur ; Quelque amour t’est
venu
, comme on en voit sur terre, Une ombre de plaisir
e on en voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur.
Viens
, chantons devant Dieu ; chantons dans tes pensées
bonheur, de gloire et de folie, Et que ce soit un rêve, et le premier
venu
. Inventons quelque part des lieux où l’on oublie
e837. Dis-moi, quel songe d’or nos chants vont-ils bercer ? D’où vont
venir
les pleurs que nous allons verser ? Ce matin, qua
auché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la nuit éternelle
Vînt
sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’aile Et
âle pamphlétaire, Qui, poussé par la faim, du fond de son oubli, S’en
vient
, tout grelottant d’envie et d’impuissance, Sur le
l’ouvrier, Tous, en ces champs heureux, savent lire et prier... L’âge
vint
sans courber ni son corps ni son âme ; Elle abond
s montaient du sol. C’était comme un essaim d’âmes ou de colombes Qui
venaient
chastement voltiger sur ces tombes. Et, pour béni
a lui, Au grand art de la scène ignoré jusqu’à lui. Avant qu’Eschyle
vînt
lui créer un domaine, Quelle était parmi vous la
ont souvent, mais en vain, chercher d’illustres morts ! Tremble qu’il
vienne
un jour où ta campagne aride Aux yeux de l’étrang
passe, et de son cri fait retentir les airs ; Ou l’Arabe du Tor, qui
vient
par intervalle Sur tes grèves, le soir, arrêter s
vec une délicatesse charmante : « Dieu me garde, disait-il au nouveau
venu
, de vous donner des scrupules sur vos habitudes d
u plus épais de la mêlée parisienne. Les héros de la tragédie peuvent
venir
d’eux-mêmes visiter le poète dans sa province : t
ntes855. Délibération entre Marat, Danton et Robespierre. Danton
vient
proposer à Marat et à Robespierre de mettre fin à
randiront, sans doute, et leur raison Portera d’heureux fruits, quand
viendra
la saison ; Il s’incline vers Robespierre. Mais l
ai pas ce génie. Je veux tout simplement briser la tyrannie ; Qu’elle
vienne
d’en haut, qu’elle vienne d’en bas, Elle est la t
out simplement briser la tyrannie ; Qu’elle vienne d’en haut, qu’elle
vienne
d’en bas, Elle est la tyrannie, et je ne l’aime p
alors, et l’on t’eût bien fait rire, Si des gens clairvoyants étaient
venus
te dire Qu’il pourrait arriver, certain jour, cer
effroi. Tout à coup retentit le tonnerre, et la rage De l’ouragan me
vient
rappeler cet orage Dont Charlemagne, au bruit du
ont pris mon cœur. » Le petit turco se battait en brave ; Mais, quand
vint
l’hiver, il toussait bien fort. Et le médecin, vo
on, non, pas encor ! » Le petit turco se battait en brave, Mais quand
vint
l’hiver, il toussait bien fort. « Non, je ne veux
Comme la feuille morte et comme le nuage. Je suis vraiment celui qui
vient
on ne sait d’où, Et qui n’a pas de but, le poète,
rus……..Sans mon ordre, on porte ici ses pas ! Quel mortel insolent
vient
chercher le trépas ?…… 66. La Bruyère (ch. ii
nuance est délicatement observée par Massillon. 69. C’est-à-dire qui
vient
du caprice plus que de la fierté. 70. Que d’en
es. 205. On remarquera la grâce du trait final, cette invitation « à
venir
brouter nos herbes » faite à un homme qui donne e
choses doit prendre modèle sur l’animal, ce qui répugne à la raison.
Viennent
ensuite les arguments directs, tirés des faits eu
mesmes au langage, la recherche des phrases nouvelles et peu cognues
vient
d’une ambition scholastique et puérile. Puissé-je
humilié du fond des vérités, que flatté de savoir se les dire. Ce qui
vient
d’autrui blesse toujours un peu. » 277. Vaugelas
procès devant l’opinion publique. Le prince de Conti et bien d’autres
vinrent
s’écrire chez lui. Partout où. il se montrait, il
de la Bastille (14 juillet) décida le roi à changer de conduite ; il
vint
à l’assemblée, y protesta de ses bons sentiments
. Relire le chapitre v de la Lettre à l’Académie : « On voit toujours
venir
d’abord un nominatif substantif qui mène son adje
constituée en république l’année précédente. 405. Quand un étranger
venait
prendre congé de Grégoire XVI, celui-ci lui deman
sociales. 439. Boileau, Art poétique, chant Ier : Enfin Malherbe
vint
, et, le premier en France, Fit sentir dans les ve
, après celui des mammouths, des mastodontes et des mégathériums, est
venu
l’âge où l’espèce humaine, aidée de quelques anim
ait déjà résisté à Louis XI en 1476, quand les envoyés du roi étaient
venus
demander la soumission de sa ville natale. Ce qui
urs, conforme à l’original grec. Œdipe sent que sa dernière heure est
venue
; il recommande, dans des vers touchants, Antigon
tre à l’Académie française le jour (13 février 1786) où M. de Guibert
vint
prendre séance à la place de Thomas, mort l’année
e (acte IV, scène vi) : Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me
vint
-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? 715. Hecto
me à la donnée historique. Au moment où le sénat est rassemblé, Séjan
vient
apporter la nouvelle que Pison s’est donné la mor
effet poétique et moral de cette poésie si neuve sur les âmes qu’elle
venait
charmer et baigner de ses rayons. D’un jour à l’a
Il apparaît à cette date la lyre à la main et le rayon au front. D’où
vient
-il ? quels ont été ses maîtres ? Quand on lit sa
avait écrits ? Vous étiez jeune alors, vous, notre chère gloire, Vous
veniez
d’essayer pour la première fois Ce beau luth éplo
t la richesse ; Il laissa dans ses yeux sourire sa tristesse : Ce qui
venait
du cœur lui fut le bienvenu. 762. Une pensée a
d avait rencontré un mouvement semblable. L’envoyé de Philippe le Bel
vient
apporter de la part du roi la grâce des condamnés
’or) descendant par les vallons embaumés : Avec toute sa pompe avril
venait
d’éclore, Et couvrait en passant d’une neige de f
de leurs ennemis communs, sont insupportables l’un à l’autre, et qui,
venus
en apparence pour se mettre d’accord, ne font que
r pour unir la netteté à l’élégance. Des extraits de nos bons auteurs
viennent
fréquemment justifier les règles, faire disparaît
ures conformes aux principes expliqués dans le premier livre ; il lui
vient
en aide et offre l’avantage de faire connaître pl
son remarquable Dictionnaire des onomatopées de la langue française,
viennent
confirmer cette assertion qu’en remontant à la ra
au au l’a constaté ainsi dans son Art poétique. C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de par
senter un sens complet : la phrase fut trouvée, et la proposition lui
vint
en aide pour lui servir à exprimer un jugement. P
e, Le plus sot animal, à mon avis, c’est l’homme. La phrase composée
vient
se placer ici, après : les phrases simples et com
ntre eux que le sens général demeure suspendu jusqu’à la dernière qui
vient
la compléter, s’appelle Période, telle que : « P
Ce choix de morceaux destinés à être lus, médités et appris par cœur
vient
après mille autres excellents recueils qui l’ont
Dans ce même moment, pour mieux nous aveugler, Un prodige effrayant
vient
encor nous troubler. Prêtre du dieu des mers, pou
l’odieuse Hélène, C’est le courroux des dieux qui renverse nos murs.
Viens
, je vais dissiper les nuages obscurs, Dont sur te
t au cœur, que soudain, ô merveille l Je sentis une force étrange me
venir
, Et la vue en mes yeux se ralluma perçante, Et t
ouverneur de la Judée, de la justice, de la chasteté et du jugement à
venir
. Cet homme effrayé lui dit : « Retirez-vous quant
’un sauf-conduit et qu’on lui livrât quelques otages, il était prêt à
venir
traiter lui-même de sa soumission. L’idée de vain
se réunissent dans la grande salle pavée pour entendre le poème qu’il
vient
d’achever pendant l’hiver. Le trouvère, au milieu
e et marchait devant lui ; Et des tristes chrétiens la foule délivrée
Vint
porter avec nous ses pas dans Césarée. Là, par no
celui qui devait servir de modèle aux autres pour tous les siècles à
venir
. Fénelon. Saint Louis Roi, il est le modè
t poursuivi tout entier, dans leur personne, devant la Haute Cour qui
venait
siéger dans Westminster-Hall, quelques jours aprè
llageois qu’il aime. Et chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux,
Vient
sans être attendu, s’assied au milieu d’eux, Écou
des choses, et plus dévoués aux gentilshommes. Le serment des prêtres
vint
accroître encore le mécontentement. Quand les gen
us a promis tous ; Et l’enfer demande sa proie. Mais d’où
vient
que je nage en des flots de clarté ? Ciel !
yre. Dis-moi, quel songe d’or nos chants vont-ils bercer ? D’où vont
venir
les pleurs que nous allons verser ? Ce matin, qua
uché du troupeau des humains, Avant que l’envoyé de la nuit éternelle
Vînt
sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’aile, E
âle pamphlétaire, Qui, poussé par la faim, du fond de son oubli, S’en
vient
tout grelottant d’envie et d’impuissance, Sur le
e. Attendait mes derniers tableaux, Quand près de moi la mort errante
Vint
glacer ma main expirante, Et fit échapper mes pin
çait l’espérance. Dors en paix sur ce frêle appui. Si le vent
vient
gémir sur ta tombe légère, Le vent te dira
les fleurs, Aussi longtemps, mon fils, ta mère qui t’adore Te
viendra
baigner de ses pleurs. Tout sur l’arbre de mort t
ujours. Quand, pour bénir l’enfant dont sa fille est la mère,
Viendra
mon père en cheveux blancs, Je guiderai se
as sauvages, Et les ardents chevaux hennissent à son nom. Parfois il
vient
, porté sur l’ouragan humide, Prenant pour piédest
l couchant Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées ; Demain
viendra
l’orage, et le soir, et la nuit ; Puis l’aube, et
lices ? Je lui voue au désert de nouveaux sacrifices. Quand le moment
viendra
d’aller trouver les morts, J’aurai vécu sans soin
la vie, Égayaient mes destins ignorés de l’envie. Le soleil affaibli
vient
dorer ces vallons, Je vois Auteuil sourire à ses
uronnait sa patrie. Mais lorsque en fugitif, regagnant ses foyers, Il
vint
contre l’empire échanger les lauriers, Je n’ai po
ots silencieux. Mais une voix qui sort du vallon solitaire Me dit : «
Viens
: tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens : tu
lon solitaire Me dit : « Viens : tes amis ne sont plus sur la terre ;
Viens
: tu veux rester libre et le peuple est vaincu. »
que lance une meute rapide ; La caille voyageuse et le lièvre timide
Viennent
étourdiment se prendre dans ses rets. Ô peines de
s aimables jeux : Là, se dédommageant de ses longues absences, Chacun
vient
retrouver ses vieilles connaissances. Là s’épanch
s parents, les maris, Qui vivaient séparés sous les mêmes lambris… Là
vient
se renouer la douce causerie ; Chacun, en la cont
ruit ; C’est le jour du fou rire, et des chants et du bruit ;
Venez
ceints de pampre et de lierre. Dansez, garçons jo
e pesanteur égale, Chez le riche bourgeois, chez la veuve frugale, Il
vient
, les reins courbés et les lianes amaigris, Souven
paisible et seul dans un beau jour de printemps ; mais si sa femelle
vient
tout à coup à paraître, si les feux de l’amour, s
age une grenouille, un poisson ; mais, réduit à attendre que sa proie
vienne
s’offrir à lui, et n’ayant qu’un instant pour la
n, et hardi par nécessité ; pressé par la famine, il brave le danger,
vient
attaquer les animaux qui sont sous la garde de l’
campagne, rôde autour des habitations, ravit les animaux abandonnés,
vient
attaquer les bergeries, gratte et creuse la terre
hes ; il saisit et déchire une nouvelle proie avec la même rage qu’il
vient
d’exercer, et non pas d’assouvir, en dévorant la
qui sais fournir De doux fruits mon petit ménage, Où ma laitue aime à
venir
, Où ton chou croit pour mon potage, Je veux tout
us mon treillage ; Je pourrai voir tout à loisir Mes lézards aller et
venir
Sous les murs de mon ermitage. — Est-ce un malheu
ur, nous qui sentons les moindres mouvements du dehors, si peu qu’ils
viennent
à nous ; les artères vont, le sang circule, les e
e les eaux qui coulent dessus ne sont pas propres à la ramollir et ne
viennent
pas pour cela à point nommé ; ou que ce n’est pas
mer qui flotte sur nos têtes ; le frôlement des feuilles sèches, s’il
vient
à passer un homme ou un vent follet ; enfin, car
e à l’odeur fraîche et douce, Pour qu’on choisît ton ombre et qu’on y
vint
aimer. Toi, sur elle épanchant cette ombre et te
re de la forêt, notre chien, qui jusque-là aboyait sans interruption,
venait
en hurlant chercher un refuge sous nos hamacs. Qu
ns les airs se promènent, Les Tritons empressés sur les flots vont et
viennent
. Le dedans de la grotte est tel, que les regards
ns, dont quatre jouaient de la flûte, et quatre de la lyre. Après eux
venaient
des rapsodes, qui chantaient les poèmes d’Homère,
le sait, il l’attend ; et, s’il la voit tarder, Lui-même à haute voix
viendra
la demander. Nous sommes seuls encor. Hâtez-vous
iomphe heureux, qui s’en va devenir L’éternel entretien des siècles à
venir
. Racine. Première entrevue d’Iphigénie et d’A
bre aux longs rameaux, c’est l’antique olivier Où souvent, vers midi,
vient
s’asseoir le bouvier. Ulysse. Où moi-même souvent
vers midi, vient s’asseoir le bouvier. Ulysse. Où moi-même souvent je
venais
chercher l’ombre. Minerve. Voici le mont Nérite ;
upeaux. Je me lève gaîment, et gaîment je travaille Et quand pour moi
vient
l’heure du repos, Je dors paisible su
et vous toutes, déesses, Fléau du traître, effroi de l’assassin !
Venez
, secourez-moi ! punissez l’adultère ! Vengez Agam
ec vous que Plutus puisse voir, Et qu’à pleins seaux partout l’argent
vienne
à pleuvoir : Si tout le monde en a : bonsoir méti
guidera le soc dans le sein de la terre ? Au moment des moissons, qui
viendra
vous les faire, Si chacun se promène et se croise
s perds, mais je meurs si j’attends. Songez-y ; je vous laisse, et je
viendrai
vous prendre Pour vous mener au temple où ce fils
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vint
s’offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il s
s que vous… Vous frémissez, madame ! Andromaque Ah ! de quel souvenir
viens
-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir
de grâce, empêchez surtout qu’elles ne sortent : Leur amour importun
viendrait
avec éclat Par des cris et des pleurs troubler no
dieux. Péripétie du combat des Horaces Le Vieil Horace. Nous
venez
-vous, Julie, apprendre la victoire ? Julie. Mais
-être que l’onzième est prête d’éclater, Et que ce mouvement qui vous
vient
d’agiter N’est qu’un avis secret que le ciel vous
Ainsi que par César, on jure par sa mère. L’empereur, il est vrai, ne
vient
plus chaque jour Mettre à vos pieds l’empire, et
faiblesse. Mais loin de me presser, il faut que je vous presse ! D’où
vient
cette froideur ? Néarque.
e. As-tu peur de mourir ? Le Comte.
Viens
, tu fais ton devoir, et le fils dégénère Qui surv
i. Tout cela me chagrine et m’inquiète. Le Moine. Quoi ! n’étiez-vous
venu
chercher le repos dans cette retraite, qu’à condi
leurera. Un juge, l’an passé, me prit à son service ; Il m’avait fait
venir
d’Amiens pour être suisse. Tous ces Normands \ ou
alors, et l’on t’eût bien fait rire, Si les gens clairvoyants étaient
venus
te dire Qu’il pourrait arriver, certain jour, cer
Anne de Gonzague Ce fut un songe admirable, de ceux que Dieu fait
venir
du ciel par le ministère des anges, dont les imag
oin. Voyez-vous cette main qui par les airs chemine ? Un jour
viendra
, qui n’est pas loin, Que ce qu’elle répand sera v
delle ajouta : « Ceci ne va pas bien, Mauvaise graine est tôt
venue
. Mais puisque jusqu’ici l’on ne m’a crue en rien,
que ceux qui sont les nôtres : Et ne croyons le mal que quand il est
venu
. La Fontaine. Le Savetier et le Financier47
dormir, Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait
venir
Le chanteur, et lui dit : « Or çà ! sire Grégoire
nnent de prix et se mettent en quête, Trouvent l’ours qui s’avance et
vient
vers eux au trot ; Voilà mes gens frappés comme d
« Et ces deux héros, ces deux gloires, D’où leur
venait
, dit-il, cette faveur des dieux ? C’
arde de le voir. Du sultan Bajazet sa verve intarissable
Vient
aux Cyclopes de la fable. « Borgnes, s’écria-t-il
éjà un peu effacés par le temps, et par les pieds des troupeaux qu’on
venait
abreuver à cette fontaine. Ils jetèrent de l’eau
n ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien que la même pensée fût
venue
également à l’autre père, il ne s’y était point a
en temps il levait les yeux, et regardait ces oiseaux qui allaient et
venaient
portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà q
qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le bruit des clairons Ne
viennent
au travail inviter la nature. Un ruisseau coule a
; Hésiode à son tour, par d’utiles leçons, Des champs trop paresseux
vint
hâter les moissons, En mille écrits fameux la sag
est l’ampoulé : toute perfection est près d’un défaut. Le mot elegans
vient
, selon quelques-uns, d’electus, choisi. On ne voi
côté de quoi pouvoir d’un seul coup en tuer un autre. Ou si ceux qui
viendront
après nous, rebutés par des mœurs si étranges et
termes moins fiers. Que devant Troie en flamme Hécube désolée Ne
vienne
pas pousser une plainte ampoulée, Ni sans raison
e rendre à la raison aussitôt qu’elle paraît, de quelque part qu’elle
vienne
: elle seule doit régner sur nos sentiments ; mai
n’ôte rien, mais surtout n’ajoute rien à sa valeur propre ; plus tard
vint
la rhétorique avec son triste précepte d’embellir
je ? chacun d’eux, grâce à ton art suprême, Chez toi, sans le savoir,
vient
rire de lui-même ; Ainsi l’oiseau léger, crédule
r, vient rire de lui-même ; Ainsi l’oiseau léger, crédule et curieux,
Vient
se prendre au miroir qui le montre à ses yeux. D
s, Pour prix de ces leçons et de ces pleurs si doux, Cœurs sensibles,
venez
, je le confie à vous. Il n’est pas importun : ple
Vois accourir vers toi les époux et les mères, Regarde ces amants qui
viennent
chaque jour Verser sur ton cercueil les larmes de
is ces groupes d’enfants se jouant sous l’ombrage Qui de leur liberté
viennent
te rendre hommage, Et dis, en contemplant ce spec
tre un sot, et d’en tirer vengeance ! À quelque vrai succès lorsqu’on
vient
d’assister, Qu’il est doux de rentrer et de se dé
ent l’auditoire de Florimond ; les trois quarts sont des femmes. D’où
viennent
ces visages-là ? Personne ne pont le dire. On les
d’Hamilton près de l’endroit où il allait, qui lui dit : « Monsieur,
venez
par ici ; on tirera où vous allez. — Monsieur, lu
; on le porte dans une haie ; on le garde à petit bruit ; un carrosse
vient
, on l’emporte dans sa lente : ce fut là où M. de
u avancé, j’ai passé des années dans le commerce de l’esprit, je suis
venue
à la faveur ; et je vous proteste, ma chère fille
r un soufflet à son sergent, le voilà aux galères pour la vie. Il est
venu
à moi tout en larmes, je lui ai dit tente l’impos
s duretés qui sont d’autant plus sensibles que c’est de vous qu’elles
viennent
. Vous m’avez fait assez de mal : vous m’avez brou
et une petite queue à Français par un a, Galant et Garant ; le reste
viendra
si je suis en vie. Je suis bien loin de penser qu
boutique ; ce sont pour la plupart des dissertations sans méthode. On
vient
d’imprimer dans un journal l’article Femme, qu’on
usiasme doit être gouverné par la raison. Le lecteur veut savoir d’où
vient
ce mot, pourquoi les anciens le consacrèrent à la
elle priait : « Ma mère… Où donc est-elle ? Dit une faible voix. Oh !
viens
… je me rappelle Qu’un étrange sommeil a pesé sur
plus cher de jour en jour ; et j’appris enfin de don Fernand, qui le
venait
voir très souvent, que j’en étais aimé de manière
ntes, sa tendresse lui avait fait craindre de me troubler ; mais elle
venait
pour être à portée de me secourir au besoin. Je l
X. de Maistre. L’Habit du chevalier de Grammont Le jour du bal
venu
, la cour, plus brillante que jamais, étala toute
n de ses jeunes frères. Tandis qu’il travaillait gaiement, les larmes
venaient
aux yeux des maçons qui avaient connu son père l’
nimera vos champs, Le rossignol plaintif et la vive hirondelle
Viendront
m’annoncer le printemps. » N. Lemercier. Ja
t je tombe, en l’ouvrant, sur ces paroles ; « Me voici, mon fils ! Je
viens
à vous parce que vous m’avez invoqué. » Je n’en l
emences propres à engendrer son semblable : en sorte que d’un orme il
vient
toujours un orme, et d’un chêne toujours un chêne
t au pied de leurs arbres, et les feuilles tombent dessus. Les pluies
viennent
, les feuilles pourrissent et se mêlent avec la te
tudes auraient pu leur acquérir à la faveur de tant de siècles. De là
vient
que, par une prérogative particulière, non-seulem
nations. » — « Raisonneur malheureux, ennemi de toi-même ! D’où nous
vient
ce besoin ? pourquoi l’Être suprême Mit-il dans n
nt sourire qui défie l’univers de l’accabler. Vous vous demandez d’où
vient
cette force surprenante ; vous oubliez seulement
omme ; ou bien cette lie est-elle tout notre cœur, et notre tristesse
vient
-elle seulement de l’inexécution de nos vœux injus
ou vingt ans, à un préfet, homme de beaucoup d’esprit, pourquoi il ne
venait
pas plus souvent à Paris, et pourquoi, quand il y
urquoi il ne venait pas plus souvent à Paris, et pourquoi, quand il y
venait
, il n’y restait pas plus longtemps. Il me répondi
e vous m’enseignez ? — Que n’en usiez-vous donc, répond le dieu, sans
venir
me chercher de si loin, et abréger vos jours par
alité de l’âme Créature d’un jour qui t’agites une heure, De quoi
viens
-tu te plaindre et qui te fait gémir ? Ton âme t’i
dis que le passé te voile l’avenir ; Ne te plains pas d’hier ; laisse
venir
l’aurore : Ton âme est immortelle et le temps va
ouille-toi, créature insensée ; Ton âme est immortelle, et la mort va
venir
. A. de Musset. Acte de foi et d’espérance
. La Prière pour tous Ma fille, va prier. — Vois, la nuit est
venue
. Une planète d’or là-bas perce la nue ; La brume
urs bouches vermeilles, Comme volent aux fleurs de joyeuses abeilles,
Viendront
s’abattre en foule à leurs rideaux de lin ! Ô so
péniblement trouvées, jetées sur le papier sans ordre, sans liaison,
vient
se heurter à une difficulté presque insurmontable
pes le discours suivant : « Soldats, je me réjouis que le temps soit
venu
où, sans aucun danger personnel, nous pouvons acq
mes qui savent manier les armes, des hommes de cœur. Et même ils n’en
viendraient
pas aux mains avec nous, si le Dieu tout puissant
érame, roi des Sarrasins, ne pouvait reculer davantage le moment d’en
venir
aux mains ; les vivres commençaient à manquer pou
crainte est le plus grand trésor du cœur de l’homme ; avec elle, vous
viendront
la justice, la sagesse, la paix, la joie, les pla
x nous appellent aux plus brillantes destinées, on nous défie ! Qu’il
vienne
ce général amolli par une longue paix, avec ses s
âte, avec ses hommes revêtus de la toge pour manier les armes ! Qu’il
vienne
ce Marcellus, habile artisan de paroles et Caton,
s, ignoré des vainqueurs, qu’il battit en 718 à Cavadonga. Avant d’en
venir
aux mains, il harangua ainsi ses troupes : « Il
ur les frontières desquelles se fait la guerre, sont disposées à vous
venir
en aide. Quant aux Romains, ou ils ne supporteron
C.). Alexandre approchait déjà du Granique, lorsque des éclaireurs
viennent
annoncer que toute l’armée des Perses est rangée
ue de repousser la force par la force ? Quoi de plus honorable que de
venir
en aide à ses amis ? D’ailleurs, j’ai commencé pa
de mes esclaves, et non par ceux de mes fils. Si les conseils que je
viens
vous offrir avaient pour objet la conservation de
tes dans des dispositions presque bienveillantes envers ceux qui sont
venus
ici pour anéantir votre ville, qu’avons-nous beso
artiate. « Je me demande d’abord comment il est possible que Nicolaüs
vienne
afficher ici la pitié que lui inspirent les Athén
a forcés, ces ennemis cruels, à tenter les chances des combats, pour
venir
apporter ici la ruine et la désolation ? Puisqu’i
? » XXXIX. Discours de Gylippe. Troisième partie. « Qu’ils ne
viennent
donc pas, ces Athéniens, se plaindre aujourd’hui
éfléchie. » XL. Serment d’Annibal : Paroles d’Amilcar. Amilcar
vient
d’amener son fils, âgé de neuf ans, dans le templ
ssèdent beaucoup d’autres pays soumis à leur puissance, et ils feront
venir
par mer ce qui leur manque. Si nous essayons de p
porter secours en toute hâte et de toutes nos forces. Que personne ne
vienne
nous dire qu’il convient de délibérer, quand on n
afin que, si le destin veille sur votre cité invincible, tu puisses y
venir
pour traiter de la paix avec Pompée. « Et d’aille
ous, et du sol de votre patrie. Aujourd’hui, c’est moi qui en Afrique
viens
te trouver, toi Romain, pour traiter de mon propr
istocle l’Athénien, dit-il ; exilé, persécuté par mes concitoyens, je
viens
à toi. Les Perses peuvent me reprocher de leur av
ngeance. Si tu adoptes le premier parti, tu sauveras un suppliant qui
vient
se livrer à toi ; en prenant le second, tu perdra
ys ; que vaincus, vous avez poursuivi vos vainqueurs et que vous êtes
venus
assiéger ceux qui assiégeaient votre ville. » Tr
terait le reproche de lâcheté et de trahison. C’est pourquoi, je suis
venu
à vous avec la pensée de vous demander quelles so
front, de côté, par derrière, et qu’ils ne puissent reconnaître d’où
vient
le coup qui les frappe. Puis, quand vous verrez l
vous en informez pas : qu’ils soient mille, ou plus, ou moins, ils en
viendront
aux mains avec vous. » Traduit d’Hérodote. LX
plaines de Marathon et de Platée peut compter sur un abri assuré, je
viens
sans crainte déclarer le crime dont je suis coupa
leur pour protéger sa patrie, mon cher Hector ! C’est pour lui que je
viens
près des vaisseaux des Grecs, afin de le racheter
Traduit d’Homère. LXXI. Philoctète. Neoptolème, fils d’Achille,
vient
d’annoncer à Philoctète qu’il va mettre à la voil
mbattre les Turcs, ce fléau des Chrétiens. Autrement, vous les verrez
venir
fondre sur nos têtes, et alors est-il à croire qu
e ferons-nous ? — Pyrrhus ne devinant pas encore où Cinéas voulait en
venir
: « la Sicile, dit-il, est tout près ; c’est une
pas seul, quand il est là ? Certaines personnes racontent au premier
venu
ce qui ne doit être confié qu’à un ami ; elles dé
ctor est arrivé aux portes Scées ; c’est là que son épouse Andromaque
vient
à sa rencontre, accompagné de la nourrice qui por
rtant, et mon âme en éprouve, hélas ! le cruel pressentiment, un jour
viendra
qui verra tomber les murs sacrés d’Ilion, jour où
ers elles. La première s’exprime ainsi : « Et moi aussi, Hercule, je
viens
vers toi. Tes parents ne me sont pas inconnus ; d
n peut du moins craindre que, vainqueurs dans un combat naval, ils ne
viennent
avec leur flotte briser le pont que tu auras cons
y, perdue par Philippe VI, en 1346, le roi d’Angleterre, Édouard III,
vint
mettre le siège devant Calais. La ville se défend
de capituler. Le vainqueur exigea que six des plus notables bourgeois
vinssent
dans son camp lui apporter les clefs de la ville
s qui l’ont si souvent affrontée, encore cinq hommes qui la veuillent
venir
défier avec moi ? Je parle aux plus généreux ; co
dissements prodigués dans les cirques et dans les théâtres. — On fait
venir
le blé des provinces d’outre-mer, pour que Rome n
luxe et de notre délicatesse. Aujourd’hui, les pères de famille sont
venus
se fixer dans l’intérieur des villes ; ils ont ab
ntilien plus de force que le terme simple qu’elle chasse et dont elle
vient
remplir la place vacante, et surtout qu’elle soit
lle est celle qui caractérise les vers suivants de Boileau : Si l’on
vient
à chercher pour quel secret mystère Alidor à ses
il a commis, et cherche le plus possible à diminuer sa faute : L’Âne
vint
à son tour, et dit : « J’ai souvenance
us sûtes tous cacher ; Je parus trop chercher la gloire, Et la gloire
vint
vous chercher. Marmontel, dans ses Éléments de l
int pitié… Faites-en les feux dès ce soir ; Et cependant
viens
recevoir Le baiser de paix fraternelle… Ch
contre Rome : Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui
vient
ton bras d’immoler mon amant !, Rome, qui t’a vu
e sert de cette périphrase : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse
venue
, Sous mes faux chevaux blonds, déjà toute chenue,
ce qui est imposant par soi-même : si vous voulez exprimer que le roi
vient
, n’imitez pas ce poète qui, trouvant ces mots tro
minables sabbats, Où l’université des chats, À minuit en robe fourrée
Vient
tenir ses bruyants États ; Une table mi-démembrée
Athalie. Soumet caractérise ainsi le temps où une malheureuse mère
vient
pleurer sur la tombe de son fils : C’était l’heu
§ VII. Correction La Correction consiste à corriger ce que l’on
vient
d’avancer, soit en employant des paroles et des p
mers. Le tronc d’un vieux palmier qui, du fond des déserts,
Vient
visiter les pyramides. Puis, comme elle reconnaî
d’Orléans. Dans la tragédie de Britannicus, Agrippine, mère de Néron,
vient
reprocher à Burrhus le soin qu’il prend d’éloigne
e de ce moyen oratoire : Ma faveur fait ta gloire, et ton pouvoir en
vient
; Elle seule l’élève, et seule te soutient ; C’es
vous que la gloire ne s’acquiert que par de grands périls ? J’en suis
venu
aux mains avec des troupes plus nombreuses que ce
plus à vous toucher qu’à vous nuire. Sont-ce des exacteurs odieux qui
viennent
vous dépouiller de vos richesses ? Quelque avidit
sa marche. Le peuple suivit consterné et dans un profond silence : il
venait
d’apprendre que Marc-Aurèle était tout entier dan
Cette figure produit un bel effet dans la bouche de Henri III. Ce roi
vient
d’être frappé, il va expirer. Henri de Bourbon es
madame de Dangeau, lettre dans laquelle cette dernière est invitée à
venir
voir madame de Maintenon. Elle donne une physiono
aire exprime ainsi la douleur du vieux d’Ailly qui, d’un coup d’épée,
vient
d’abattre son fils à ses lieds : Ses yeux sont p
rs ! Delille, L’Imagination. Imprécations d’Athalie. Le jeune Joas
vient
d’être reconnu roi. Dieu des Juifs, tu l’emportes
e de l’élève par des aperçus qui éveilleront ses idées propres. De là
vient
que nous avons multiplié ces occasions de rapproc
et l’excellent du mauvais ou du médiocre. Les réserves mêmes que nous
venons
d’indiquer seront une garantie de la circonspecti
n homme qui prend plaisir de naviguer dans l’orage4, et qui n’est pas
venu
au monde pour le laisser en oisiveté. Quand vous
persécution qu’ait soufferte le monde, et que raconte l’histoire, est
venue
peut-être d’un moindre principe de tyrannie. Vous
Angoulême, où vous allez de pair avec nos tours et nos clochers, pour
venir
recevoir les plaisirs des anciens rois, qui se dé
is point, lorsque j’ai lu dans votre lettre que vous aviez dessein de
venir
ici, et maintenant encore je n’ose me réjouir60 d
e jusqu’aux yeux, pensez-vous qu’il n’y en ait pas bien autant à voir
venir
ici des vaisseaux qui nous apportent abondamment
ies qui ne vous seront peut-être pas désagréables ; et, soit que vous
veniez
ou que vous ne veniez pas, je serai toujours, pas
peut-être pas désagréables ; et, soit que vous veniez ou que vous ne
veniez
pas, je serai toujours, passionnément, votre dévo
fait accompagner93 ; j’avais écrit dès le soir à leur capitaine de me
venir
accompagner et de se trouver en mon chemin, ce qu
e conçois rien qui réponde à la dignité de ce grand ouvrage, qui nous
vient
d’assurer l’Océan par la prise de cette fameuse r
sez douce, si elle ne procédait que de mon tempérament ; mais il m’en
vient
tant d’ailleurs124, et elle me remplit de telle s
mps, un vicaire mauvais poëte. Je me tais pour n’aller pas trop loin.
Venez
donc me voir quand ce sera fait, pour éviter tous
appelle capucins noirs, qui étaient nos diables d’imagination, voyant
venir
à eux deux hommes qui avaient l’épée à la main, e
sommes de pauvres religieux, qui ne faisons de mal à personne, et qui
venons
nous rafraîchir un peu dans la rivière pour notre
manquait à la nôtre. L’Avare donnant à dîner harpagon. Allons,
venez
çà tous171, que je vous distribue mes ordres pour
et non pas suivant la coutume de certains impertinents de laquais qui
viennent
provoquer les gens et les faire aviser de176 boir
ous nos souquenilles177, monsieur ? harpagon. Oui, quand vous verrez
venir
les personnes et gardez bien de gâter vos habits.
v alère. Je ne me souviens pas maintenant de son nom. harpagon. Sou
viens
-toi de m’écrire ces mots. Je veux les faire grave
e mes amis ! m. dimanche. Monsieur, je suis votre serviteur. J’étais
venu
… don juan. Allons, vite ! un siège pour monsieur
-vous là, vous dis-je. m. dimanche. Non, monsieur ; je suis bien. Je
viens
pour… don Juan. Non, je ne vous écoute point217,
18. m. dimanche. Oui, monsieur, pour vous rendre service219. Je suis
venu
… don juan. Vous avez un fonds de santé admirable
une brave femme. M. dimanche. Elle est votre servante, monsieur. Je
venais
,.. don juan. Et votre petite, Claudine, comment
e saint Louis231 ? m. Jourdain. Taisez-vous, ma femme ; je vous vois
venir
. m adame Jourdain. Descendons-nous tous deux que
ui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’il fallait qu’elle me
vînt
visiter en équipage de grande dame, et qu’elle ma
un laquais. le maître de philosophie, raccommodant son collet242.
Venons
à notre leçon. m. Jourdain. Ah ! monsieur, je su
phie. Vos deux lèvres s’allongent comme si vous faisiez la moue, d’où
vient
que, si vous vouliez la faire à quelqu’un, et vou
u premier coup. Je vous remercie de tout mon cœur, et je vous prie de
venir
demain de bonne heure. l e maître de philosophie
ndre, cette pesanteur d’imagination est la marque d’un bon jugement à
venir
. Lorsque je l’envoyai au collège, il trouva de la
siduité et de son travail. Enfin, à force de battre le fer, il en est
venu
à avoir ses licences272 ; et je puis dire, sans v
Le voilà prêt à l’ouïr avec un respect exemplaire. Que le prédicateur
vienne
à paraître : si la nature lui a donné une voix en
ors ils se verraient, ils penseraient à ce qu’ils sont 299, d’où, ils
viennent
, où ils vont ; et ainsi on ne peut trop les occup
et souvent mauvaises, j’ai dit souvent que tout le malheur des hommes
vient
d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeu
ureux que le moindre de ses sujets qui joue et qui se divertit. De là
vient
que le jeu et la conversation, la guerre, les gra
s’effrayent du visage qu’ils ont barbouillé320. La chasse D’où
vient
que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son
ans ce recoin de l’univers, sans savoir qui l’y a mis, ce qu’il y est
venu
faire, ce qu’il deviendra en mourant, incapable d
’elles-mêmes à leur plaisir, et que tout ce qu’elles y contribuent ne
vient
que de leur vanité ; car la raison pour quoi les
; elle était comme je la pouvais désirer395. M. de la Rochefoucauld y
vint
; on ne parla que de vous, de la raison que j’ava
Au Comte de Bussy-Rabutin A Livry, ce 3 novembre 1677. Je suis
venue
ici achever les beaux jours, et dire adieu aux fe
ur a dit, il y a quatre jours : « Je suis fâché que vous ne soyez pas
venus
à cette dernière campagne ; vous auriez vu la gue
n différentes, je serai troublée dans la mienne par les États, qui me
viendront
tourmenter à Vitré, sur la fin du mois de juillet
i une impatience qui trouble mon repos. Je suis bien assurée qu’il me
viendra
des lettres ; je ne doute point que vous ne m’aye
tout, dit M. le Prince, ne vous fâchez point, tout va bien. » La nuit
vient
, le feu d’artifice ne réussit pas, il fut couvert
les ports de mer. Il attend quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne
viennent
point ; sa tête s’échauffait, il croit qu’il n’au
âma son courage. Le Roi dit qu’il y avait cinq ans qu’il retardait de
venir
à Chantilly, parce qu’il comprenait l’excès de ce
sait faner. Tous mes gens y allèrent gaiement ; le seul Picard485 me
vint
dire qu’il n’irait pas, qu’il n’était pas entré à
égalité qu’il y ait dans leur course, sont en cela tous égaux, qu’ils
viennent
d’une source petite, de quelque rocher, ou de que
emps passe Cette verte jeunesse ne durera pas ; cette heure fatale
viendra
qui tranchera toutes les espérances trompeuses pa
: « Vous qui vous réjouissez dans le néant. » Que si quelque critique
vient
à leurs oreilles, avec un dédain apparent et une
tesse. Vous qui voulez pénétrer les secrets de Dieu, çà538 paraissez,
venez
en présence, développez-nous les énigmes de la na
s qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la foi
vienne
à votre secours et vous apprenne du moins ce qu’i
x. Regarde, ô homme, le peu que tu es, considère le peu que tu vaux ;
viens
, apprends la liste funèbre des maux dont ta faibl
us laissons vieillir et fortifier cette mauvaise habitude, quand vous
viendrez
à manier586, non plus les paroles, mais les chose
foi, et il croit aisément que tout le monde est de même. Mais si l’on
vient
à lui manquer, on ne regagne plus619 sa confiance
sorti de leurs villes pour voir passer cette troupe de magistrats qui
venaient
leur rendre justice ; tous les corps assemblés ét
s qui venaient leur rendre justice ; tous les corps assemblés étaient
venus
au-devant, et les derniers attendaient, d’espace
ents particuliers des principaux officiers des justices voisines, qui
venaient
s’humilier devant celle de Paris, et des religieu
r devant celle de Paris, et des religieux de différentes couleurs qui
venaient
en corps citer saint Paul et saint Augustin et co
près avoir été trois jours sur le Rhône. La barque de mon équipage643
venait
après moi, à l’entrée de la nuit ; et soit que le
ant lâché les câbles, il tomba dans le fond de l’eau et se perdit. Je
viens
d’apprendre qu’on l’a péché et retiré en partie,
fet ! Combien de pauvres dont les gémissements sont trop faibles pour
venir
jusqu’à nous, et dont on ne peut pas s’approcher
diocrité que vous vantiez si fort. Soyons contents. Si les biens nous
viennent
, recevons-les de la main de Dieu ; mais n’ayons p
sent682. Je ne pourrais le supporter, si je ne regardais d’où il nous
vient
, et683 que les hommes ne sont que des instruments
de Mailly bien persuadée que je dois marier ses filles ; ses garçons
viendront
ensuite au nombre de trois : le vôtre sera bientô
i : il lui faut une femme, et un gouvernement687. Le petit de Vilette
viendra
, et je commence à craindre d’avoir à marier mesde
à verse depuis que nous y sommes, et on nous assure que, si le chaud
vient
, il est insupportable par la réverbération des ro
ne700 Je suis arrivé ici701 avant cinq heures. La princesse n’est
venue
qu’à près de six. Je l’ai été recevoir au carross
uvements ou intérêts aveugles au-dessus de la raison, et qui semblent
venir
du ciel711, connus712 à tous les hommes, et plus
t à vous mettre en état de ne me point faire de déshonneur quand vous
viendrez
à paraître dans le monde. Je vous assure qu’après
n amitié. Au moment que je vous écris ceci, vos deux petites sœurs me
viennent
apporter un bouquet pour ma fête qui sera demain,
e vous m’enseignez ? — Que n’en usiez-vous donc, répond le dieu, sans
venir
me chercher de si loin et abréger vos jours par u
faire quelques efforts ; on espère qu’il pourra du moins se sauver et
venir
à bord, mais une vague l’enfonce, on le tient per
corps monastique, et les fermiers de céans797, pour le tiers état798,
viennent
jusqu’à Sarlat799 me rendre leurs hommages. Je ma
chées dans un coin de la belle île que vous connaissez ; de là, elles
vinrent
en bon ordre de bataille me saluer avec beaucoup
triste souvenir ; la vieillesse languissante et ennemie des plaisirs
viendra
rider ton visage, courber ton corps, affaiblir te
! tu te trompes, mon fils ; il se hâte, le voilà qui arrive : ce qui
vient
avec tant de rapidité n’est pas loin de toi, et l
aussi sage qu’il était hier. Cette humeur étrange s’en va comme elle
vient
; quand elle le prend, on dirait que c’est un res
t à chanter ainsi : « Quel est donc ce berger, ou ce dieu inconnu qui
vient
orner notre bocage ? Il est sensible à nos chanso
et à se faire aimer d’eux, toutes les grâces de l’esprit et du corps
viendront
en foule pour l’orner. » Le jeune Bacchus et l
ironnent ne leur sont rien, parce que le comble de leur félicité, qui
vient
du dedans, ne leur laisse aucun sentiment pour to
vous auriez aujourd’hui à rendre ; et sur ce que vous seriez, si l’on
venait
vous juger dans ce moment, vous pouvez presque dé
us alarment ; nous croyons voir sortir de tous côtés des fantômes qui
viennent
toujours nous reprocher les horreurs secrètes de
re pour elle ; mais le sort des lettres ne changera plus : les âges à
venir
pourront la voir plus ou moins victorieuse ; mais
éjà un peu effacés par le temps, et par les pieds des troupeaux qu’on
venait
abreuver à cette fontaine. Ils jetèrent de l’eau
approcha de moi d’un air empressé : « Seigneur écolier, me dit-il, je
viens
d’apprendre que vous êtes le seigneur Gil-Blas de
us dormir ; et je n’avais pas encore fermé l’œil, lorsque le muletier
vint
m’avertir qu’il n’attendait plus que moi pour par
La Duchesse de Bourgogne967 Jamais princesse arrivée si jeune ne
vint
si bien instruite, et ne sut mieux profiter des i
iable s’en mêle, et qu’il a emporté sa maison ; à force d’aller et de
venir
et de porter sa vue de tous côtés, il aperçoit à
ricains ; car, si elle était telle qu’ils le disent, ne serait-il pas
venu
dans la tête des princes d’Europe qui font entre
… « Quoi ! c’est vous, lui dit-elle, monsieur de la Jeannotière ! Que
venez
-vous faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? A
rquis stupéfait, la rage dans le cœur, alla chez ceux qu’il avait vus
venir
le plus familièrement dans la maison de son père
t attendri, lui conta en sanglotant une partie1101 de son histoire. —
Viens
dans l’hôtellerie où je loge me conter le reste,
Tous mes amis du bel air1104 m’ont trahi, et Colin, que j’ai méprisé,
vient
seul à mon secours : quelle instruction1105 ! » L
son, j’entends un peu les affaires, et je me charge des siennes. » Il
vint
effectivement à bout de le tirer des mains de ses
uis porté, entraîné loin de moi dans des tourbillons1143. Je vais, je
viens
; je soupe au bout de la ville, pour souper le le
j’efface, j’ajoute, je barbouille ; la tête me tourne. Il faut que je
vienne
goûter avec vous les plaisirs que donnent les bel
A M. Darget A Lausanne, le 8 janvier 1758. Vous devriez bien
venir
faire quelque tour dans nos retraites, soit de La
vous avez quarante journaux, et pas un bon ouvrage ; la barbarie est
venue
à force d’esprit1165. Que Dieu ait pitié des Welc
s, quoique vous n’ayez point traduit les Gêorgiques 1176, hasardez de
venir
à Ferney quand il vous plaira. Madame Denis, qui
Si je meurs pendant que vous serez en route1177, cela ne fait rien ;
venez
toujours, mes mânes en seront très-flattés ; ils
s inondent la terre, comme les sauterelles, d’abord à peine aperçues,
viennent
ravager les campagnes1184. Buffon 1707-1788
1213; il saisit et déchire une nouvelle proie avec la même rage qu’il
vient
d’exercer et non pas d’assouvir, en dévorant la p
ts les plus doux, au plaisir de s’attacher et au désir de plaire ; il
vient
en rampant1243 mettre aux pieds de son maître son
arbre1297. La difficulté était d’avoir de quoi le remplir ; car l’eau
venait
d’assez loin, et on ne nous laissait pas courir p
l’heure de l’arrosement. Après des siècles d’attente1306, cette heure
vint
enfin ; M. Lambercier vint aussi, à son ordinaire
rès des siècles d’attente1306, cette heure vint enfin ; M. Lambercier
vint
aussi, à son ordinaire, assister à l’opération, d
un joli salon, où les habitants des rives voisines se ras semblent et
viennent
danser les dimanches, durant les vendanges1347. Q
is, sur le motif1385 même, je ne vois rien de moins nécessaire que de
venir
vous établir à Montmorency. Vous n’avez pas besoi
Voilà, monsieur, des conseils qui valent tous ceux que vous pourriez
venir
prendre à Montmorency ; peut-être ne seront-ils13
ne d’avoir des gens, s’ils ne servaient à chasser le pauvre, quand il
vient
réclamer son bien ; et, en lui montrant combien j
tmorency, le 22 juillet 1761. Votre lettre, ma chère Jacqueline, est
venue
réjouir mon cœur dans un moment où je n’étais guè
r son exemple ce mot excellent qui est de lui : « Les grandes pensées
viennent
du cœur. » Philosophe religieux par sentiment, il
ême sincérité, beaucoup d’éloquence, et point d’art que celui qui1404
vient
du génie, alors je respecte l’auteur, je l’estime
peut dormir sous une cabane écartée, loin du bruit des eaux ! Le jour
vient
, les ombres s’effacent, et les gardes sont relevé
erre, il lui était également impossible de s’en aller par où il était
venu
, ou, en coupant ses câbles, d’échouer sur le riva
t il était séparé par de hauts fonds semés de récifs. Chaque lame qui
venait
briser1468 sur la côte, s’avançait en mugissant j
1475. La patrie Lorsque j’arrivai en France sur un vaisseau qui
venait
des Indes, je me rappelle que les matelots, en vu
n s’amuse à vivre tant qu’il voudra, c’est son métier ; mais qu’il ne
vienne
point nous étourdir de ses impertinences sur le m
us en ai dit un mot, et je m’en sentais accablé, lorsque la vôtre est
venue
. Elle m’a beaucoup soulagé ; elle m’a ranimé du m
our. Un solliciteur M. Mignon, que vous avez vu hier matin, est
venu
le soir, à heure indue1510, solliciter ma protect
énéreuses de rénovation sociale firent battre son cœur d’enfant. Puis
vinrent
les malheurs publics et privés, l’anarchie, la vi
que ce serait trop tôt, car ces messieurs ne sont pas encore prêts à
venir
. — Resteront-ils longtemps à table aujourd’hui ?
veille que par la date de l’almanach et par la trace des années, qui
venait
enfin s’imprimer sur le visage de ces femmes comm
entier, il semble qu’on attende quelqu’un, que le maître soit prêt à
venir
; et l’apparence même de la vie qu’offre ce séjou
t connu que sous le nom de curé, et ce nom vénérable, dans lequel est
venu
se perdre le sien, indique moins le ministre du t
r bien achever un jour si saintement commencé, les anciens du village
viennent
, à l’entrée de la nuit, converser avec le curé, q
le vice n’est qu’une conséquence physique de notre organisation, d’où
vient
cette frayeur qui trouble les jours d’une prospér
s, quand les vents reposent ! quelles voix inconnues, quand les vents
viennent
à s’élever ! Etes-vous immobile, tout est muet ;
et lorsqu’aux premières blancheurs de l’aube, les trompettes du camp
venaient
à sonner l’air de Diane1570, j’étais étonné d’ouv
ntant dans les cieux, laisse-moi l’indépendance de la vertu. Qu’elles
viennent
, ces vierges austères, qu’elles viennent fermer p
ndance de la vertu. Qu’elles viennent, ces vierges austères, qu’elles
viennent
fermer pour moi le livre de la Poésie et m’ouvrir
û prévoir (mais quoi ! s’il était écrit...), il dit d’abord d’où nous
venions
, où nous allions, que nous étions Français, imagi
orte : il ouvrit ; mais avant d’entrer il posa la lampe, que sa femme
vint
prendre, puis il entra pieds nus, et elle dehors
» Quand il fut à l’échelle, il monte, son couteau dans les dents, et
venu
à la hauteur du lit, ce pauvre jeune homme étendu
endait au plancher, en coupe une tranche, et se retire comme il était
venu
. La porte se referme, la lampe s’en va, et je res
flexions1618. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit,
vint
nous éveiller, comme nous l’avions recommandé. On
Fragment de lettre sur la langue française Courage, monsieur1621,
venez
au secours de notre pauvre langue, qui reçoit tou
rs de l’été et ses orages passent sur ce grain à peine germé, et puis
viendra
le jour de la moisson, jour plein d’allégresse et
est tué ; le temple de Sainte-Sophie est souillé par Mahomet, et nous
venons
chercher un asile dans cette Europe chrétienne qu
rti populaire, M. Caila, intimement lié avec la famille Sismondi1696,
vint
lui demander un asile, et fut caché dans un hanga
erveur les prières des agonisants. Avant qu’elle les eût achevées, on
vint
heurter à la porte. Le shérif1704 entra, une bagu
l’attention du genre humain ! Ce fils d’un gentilhomme corse1712, qui
vient
demander à l’ancienne royauté l’éducation dispens
nt qu’il y aura des hommes sur la terre, ils voudront savoir d’où ils
viennent
et où ils vont ; ils mettront donc au premier ran
renfermée et ténébreuse, éclairée par la lueur des quinquets, où l’on
vient
passer le soir une heure ou deux dans de petites
vec ses héros. Il les évoquait sans effort comme sans orgueil, et ils
venaient
dans cette âme qui était de leur rang, sans s’inq
frénésie du désespoir. Les femmes et les enfants des soldats étaient
venus
chercher un refuge dans les chambres des ponts su
quand les montagnes se renverseraient dans la mer ; « Quand ses eaux
viendraient
à bruire et à se troubler, quand les montagnes se
eau signalé était un brick anglais qui, mettant toutes voiles dehors,
vint
au secours du Kent. Alors commença une nouvelle s
ère. « Dans quel ordre les officiers doivent-ils sortir du vaisseau ?
vint
demander un des lieutenants. — Dans l’ordre que l
sagesse : l’Orient l’a connu, et toutes les mers l’ont porté. Il est
venu
s’asseoir sur les grèves de l’Armorique1757, aprè
que vous êtes un honnête homme, Oxford et Londres1762 Je suis
venu
tout seul à Oxford, pour m’y reposer, et écrire à
tait sur sa figure, faisaient d’abord deviner le préfet. Derrière lui
venait
un vieillard voûté, au teint bilieux, cachant mal
nnaître : c’était l’avocat Barricini1779, le maire de Pietranera, qui
venait
avec ses deux fils donner au préfet la représenta
ain et son épée de l’autre, ouvre la porte, et sort en demandant d’où
vient
ce tumulte. Loin de penser à une sortie de l’enne
, et on espère en lui1830. Tous les jours, sauf le dimanche, des amis
viennent
faire visite, et le feu, toujours allumé dans la
La vraie vous dira : Il faut avant tout valoir et mériter1832 ; vivre
vient
ensuite, plus sûrement et plus tôt. J’ai pitié de
tervalles de la vie active, pour savoir la quitter quand le temps est
venu
, et pour quitter toutes choses au dernier jour av
licats, et tu trembles encore de frayeur. Mais tu vas savoir qu’il ne
vient
pas pour te perdre, mais pour te sauver ; non pou
ue. 220. Il va lui faire perdre le fil de ses idées. 221. Chevir :
venir
à chef, ou à bout de quelque chose ; ce mot dériv
le, Racine et Molière appellent du fond de l’Europe les étrangers qui
viennent
s’instruire chez nous, et qui contribuent à l’abo
, du bien aux lettres, qui en ont tant fait à la France. » 242. Il
vient
d’être battu par le maître d’armés, et le maître
ne jurait que par Gallien et Hippocrate. 275. La circulation du sang
venait
d’être découverte par Harvey. 276. On pourra di
a bouche de tons les hommes. quand il fait du bruit dans le monde. La
venu
toute seule lui parait trop unie et trop simple.
Quelquefois, à la vérité, la gloire se présente comme d elle-même, et
vient
, pour ainsi dire, de bonne grâce. Alors, je ne sa
s ne faites qu’observer, comme vous disiez l’autre jour, de quel côté
vient
le vent. Votre terrasse doit être une fort belle
e se promène pas, souvent chacun de son côté ; on dîne fort bien ; il
vient
un voisin, on parle de nouvelles ; l’après-dîner,
s. 430. Tant elles sont grassouillettes et tendres. 431. Cela fait
venir
l’eau à la bouche. 432. Que ces raison sont appé
arquise de la Trousse, qui souffrait d’une hydropisie. 473. Son mari
venait
d’être tué. 474. Sœur du grand Condé. 475. Cath
la force de lever les yeux assez haut pour trouver le lieu d’où doit
venir
le secours ; je ne puis encore tourner les regard
onduite d’un vieux général expérimenté, nommé don Francisco de Mello,
vinrent
ravager les frontières de la Champagne. Ils attaq
ousse imperceptible est indigne de loi, » « — Oiseau, dit le soleil,
viens
et monte avec moi… » « L’aigle, avec le rayon s’
dis ! » 640. Qui servait comme officier dans l’armée française, et
venait
d’être tué, la cinquième année de la guerre de la
avancé, j’ai passé des années dans le commerce de l’esprit ; je suis
venue
à la faveur et je vous proteste, ma chère fille,
ne lettre où il sollicitait une place pour un neveu, disait « Je suis
venu
à la cour sans jamais aucune prétention ni pour m
nel encore dans cette remontrance. 700. La jeune princesse de Savoie
venait
d’arriver en France; comparez le portrait tracé p
e, et qui ne cessait de nous trahir pour servir l’Autriche. Louis XIV
venait
d’ordonner qu’on envahit ses États, le 10 septemb
aisirs tous ses pas sont conduits ; De là ce feu se ralentit, et puis
Vient
l’âge mûr, ensuite la vieillesse : L’une après l’
, 1. I, 3.) J.-B, Rousseau. 918. Comparez Bossuet disant : « Elle
viendra
an jour destiné, cette dernière maladie, où, parm
les tabernacles éternels ? « Voici, messieurs un grand spectacle :
venez
considérer les saints anges dans la chambre d’un
-être nous plaira-t-il un jour de nous rappeler ces maux. » 920.
Venez
voir le plus beau spectacle que puisse présenter
20. Venez voir le plus beau spectacle que puisse présenter la terre ;
venez
voir mourir le fidèle. Cet homme n’est plus l’hom
ent que des devoirs marqués occupent ; jamais en peine sur le temps à
venir
pour lequel de nouveaux devoirs sont marqués ; ja
à civiliser l’Europe. Nous frappons monnaie avec les lingots qui nous
viennent
d’Allemagne ou d’Angleterre. 935. N’est-ce pas
de toute renommée. Les délateurs, vendant leurs voix et leurs écrits,
Viennent
dans son palais marchander les proscrits ; Lui se
prit supérieur était la modestie même. « Hommes modestes, a-t-il dit,
venez
, que je vous embrasse ; vous faites la douceur et
e colon sur la tête, un long échalas de vigne sur l’épaule ; ceux qui
venaient
lui présenter les hommages de l’Europe, lui deman
e pesanteur égale, Chez le riche bourgeois, chez la veuve frugale, Il
vient
, les reins courbés et les flancs amaigris, Souven
s gouttes de mes yeux roulèrent sur sa soie : « O pauvre et seul ami,
viens
, lui dis-je, aimons-nous ! Car partout où Dieu mi
econnaître la race. Gardant du bienfait seul le doux ressentiment, Il
vient
lécher ma main après le châtiment ; Souvent il me
e de tendresse, Son œil affectueux implore une caresse. J’ordonne, il
vient
à moi ; je menace, il me fuit ; Je l’appelle, il
ples dans leurs cages respectives. On paye tant par heure pour qu’ils
viennent
écouter et prendre leçon. Avant que le maître cha
yse ! 1352. Il y a des périls dans ces vagues rêveries. Nous sentons
venir
la mélancolie de René. 1353. Rien de plus vrai ;
es mérites de son génie sont dignes de servir de règle aux orateurs à
venir
. 1424. Fénelon. — La philanthropie du viiie siè
gradées en raison de leur éloignement, jusqu’à ce qu’enfin les rayons
viennent
mourir sur une masse énorme qui se tient immobile
oi ne pas dire les villageois ? 1556. Nous savons tous que les Mages
vinrent
à Bethléem adorer l’Enfant-Jésus. 1557. La simpl
rs, Sa bibliothèque est une curiosité qu’il montre à tous, au premier
venu
: peu lui importe que les gens sachent ce que c’e
537) parlait ainsi aux juges : « Messieurs, prenez garde, quand vous
viendrez
en jugement, de n’y apporter point d’inimitié, de
e peu de rimes de notre langue fait que, pour rimer à hommes, on fait
venir
comme on peut le siècle où nous sommes, l’état où
Ainsi que par César, on jure par sa mère. L’empereur, il est vrai, ne
vient
plus chaque jour Mettre à vos pieds l’empire, et
MITHRIDATE, à ses fils. Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est
venue
Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue : A
e longtemps, soigneux de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on me
vienne
chercher. La guerre a ses faveurs, ainsi que ses
tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me
vient
traverser, Sans reculer plus loin l’effet de ma p
z-vous que l’Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y
vient
finir son cours ? Que du Scythe avec moi l’allian
e nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le bruit à Rome en
vienne
jusqu’à moi. (Racine, Mithridate, acte III, sc.
4° ACHILLE ET AGAMEMNON. ACHILLE. Un bruit assez étrange est
venu
jusqu’à moi, Seigneur ; je l’ai jugé trop peu dig
osèrent-ils descendre ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me
vint
-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me
salie. Moi-même je vous rends le serment qui vous lie. Assez d’autres
viendront
, à mes ordres soumis, Se couvrir des lauriers qui
d’ornements, de nombre et de césure. ……... ........... Enfin Malherbe
vint
; et le premier en France, Fit sentir dans les ve
non qu’on ne le saurait lire. (Sat. X.) Je t’entends et je voi D’où
vient
que tu t’es fait secrétaire du roi. (Sat. X.) D’H
nt le droit de dire à tous les écrivains de leur temps et des temps à
venir
: Travaillez pour la gloire, et qu’un sordide ga
moi, qui dans le fond sais bien ce que j’en crois... (Sat. IX.) De là
vient
que Paris voit chez lui de tout temps… (Sat. IX.)
e je te veux louer. (Ep. I.) La Seine, au pied des monts que son flot
vient
laver, Voit du sein de ses eaux vingt îles s’élev
on de l’avenir, et sa foi affaiblie par la longueur d’un temps qui ne
venait
point ; que souvent il lui est échappé des murmur
on du livre, ni plus mauvaise de moi. Cet heureux succès n’a garde de
venir
d’où quelques-uns se figurent. Ce n’est pas le mé
faut seulement que quelqu’un de la troupe se laisse choir, pour faire
venir
la joie où était l’affliction. Relation à Ménan
eu et de quarante canons. Cette nuée, grosse de foudres et d’éclairs,
vient
fondre sur la Picardie, qu’elle trouve à découver
paysans, et brûlent nos villages. Mais sur le premier bruit qui leur
vient
que Monsieur s’avance avec une armée et que le ro
r la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçaient de piller Paris et d’y
venir
reprendre jusque dans Notre-Dame les drapeaux de
core bien Corbie, en dépit des pluies et de l’hiver21. Mais puisqu’il
vient
à propos de parler de lui, et qu’il y a trois moi
nt la postérité le verra. Mais lorsque, dans deux cents ans, ceux qui
viendront
après nous liront en notre histoire que le cardin
oit regarder les États comme immortels, y considérer les commodités à
venir
comme présentes, comptons combien cet homme, que
arme et la capitale du royaume est en effroi. Les mauvaises nouvelles
viennent
en foule, le ciel est couvert de tous côtes. Dura
ar alors ils se verraient, ils penseraient à ce qu’ils sont, d’où ils
viennent
, où ils vont ; et ainsi on ne peut trop les occup
et souvent mauvaises, j’ai dit souvent que tout le malheur des hommes
vient
d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeu
ureux que le moindre de ses sujets qui joue et qui se divertit. De là
vient
que le jeu et la conversation des femmes, la guer
’est le tracas qui nous détourne d’y penser57 et nous divertit. De là
vient
que les hommes aiment tant le bruit et le remueme
là vient que les hommes aiment tant le bruit et le remuement ; de là
vient
que- la prison est un supplice si horrible ; de l
ment ; de là vient que- la prison est un supplice si horrible ; de là
vient
que le plaisir de la solitude est une chose incom
les porte à chercher le divertissement et l’occupation au dehors, qui
vient
du ressentiment de leurs misères continuelles ; e
mme les enfants qui s’effrayent du visage qu’ils ont barbouillé. D’où
vient
que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son
chaînes : Sortez en liberté ; et à ceux qui sont dans les ténèbres :
Venez
à la lumière et possédez des terres abondantes et
outes parts et considère toute cette multitude qui est assemblée pour
venir
à toi. Je jure que tous ces peuples te seront don
les a nourris, moi qui étais délaissée sans secours ? D’où sont donc
venus
tous ceux-ci ? » Et le Seigneur te dira : « Voici
imis cœlestibus iræ 78 ! Mais non, ce n’est point de si haut que cela
vient
. De telles vengeances rudes et basses ne sauraien
Comme je suis donc sa seule consolation, après l’avoir été voir, elle
viendra
ici, et je veux qu’elle trouve mon parterre net e
ue les portes ont célébrée, prendre tous ceux qui travaillaient, pour
venir
nettoyer ici ; vous n’y voyez encore goutte ; et,
on sait faner. Tous mes gens y allèrent gaiement ; le seul Picard me
vint
dire qu’il n’irait pas, qu’il n’était pas entré à
différentes : je serai troublée dans la mienne par les états, qui me
viendront
tourmenter à Vitré84 sur la fin du mois de juille
, qui se trouva près de l’endroit où il allait, lui dit : « Monsieur,
venez
par ici ; on tire du côté où vous allez. — Monsie
, on le porte dans une haie ; on le garde à petit bruit ; un carrosse
vient
, on l’emporte dans sa tente : ce fut là où M. de
Janus. Tout l’univers vit en paix sous sa puissance, et Jésus-Christ
vient
au monde111. Même Discours. Ire partie112, les É
e à ses ennemis. Gand113 tombe avant qu’on pense à le munir : Louis y
vient
par de longs détours ; et la reine, qui l’accompa
de miraculeux. Ce fut un songe admirable, de ceux que Dieu même fait
venir
du ciel par le ministère des anges, dont les imag
érience des maux du monde, ni des traverses qui nous arrivent : de là
vient
qu’elle s’imagine qu’il n’y a point de dégoût, de
a pauvreté en personne, pleurante et gémissante à leur porte141. D’où
vient
une dureté si étonnante ? Je ne m’en étonne pas,
que votre avarice ménage146. Ah ! Dieu est juste et équitable. Vous y
viendrez
vous-même, riche impitoyable, aux jours de besoin
ment en est casuel ; mais ce que je veux dire n’est pas douteux. Elle
viendra
au jour destiné, cette dernière maladie, où, parm
plus elle a de lumière, plus elle fait honneur à celui d’où elle lui
vient
. Mais voici un nouvel hommage qu’elle rend à son
raisonnable, ni même d’esprit opiniâtre, qui n’en doive être touché.
Venons
au détail. Non, chrétiens, il n’appartient qu’à u
hez soi dans un palais, avec deux appartements pour les deux saisons,
vient
coucher au Louvre dans un entre-sol, n’en use pas
té, qu’elle ne peut être augmentée que dans le cas où ses souffrances
viendraient
à croître ; et s’il en meurt, sa vertu ne saurait
oquent point, ils ne se dérangent point : si le plus petit d’eux tous
venait
à se démentir et à rencontrer la terre, que devie
moins de dire de ce qui est mauvais, qu’il est mauvais. Cet autre245
vient
après un homme loué, applaudi, admiré, dont les v
aussi sage qu’il était hier. Cette humeur étrange s’en va comme elle
vient
. Quand elle prend, on dirait que c’est un ressort
sonne, elle se prend sans choix à tout ce qu’elle trouve ; le premier
venu
lui est bon pour se décharger ; tout lui est égal
Que reste-t-il ? Peuples des extrémités de l’Orient, votre heure est
venue
. Alexandre, ce conquérant rapide que Daniel dépei
e venir de loin. Qu’ils sont beaux les pieds de ces hommes qu’on voit
venir
du haut des montagnes apporter la paix276, annonc
, ton Dieu régnera sur toi ! Les voici, ces nouveaux conquérants, qui
viennent
sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils vien
onquérants, qui viennent sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils
viennent
, non pour enlever les richesses et répandre le sa
iquité le transforme en sa substance, et, se fortifiant peu à peu, en
vient
au point que l’idée du beau, que l’on s’est rendu
vous auriez aujourd’hui à rendre ; et sur ce que vous seriez, si l’on
venait
vous juger dans ce moment, vous pouvez presque dé
heur de cette assemblée du côté des réprouvés, et qu’une voix du ciel
viendrait
nous en assurer dans ce temple, sans le désigner,
difiez, dit Job300, des solitudes où les soucis et les noirs chagrins
viennent
bientôt habiter avec vous. Y rassembler tous les
e peu de chemin qui vous reste à faire ? Croyons-nous que les jours à
venir
aient plus de réalité que les jours passés ? Les
us en frayèrent le chemin, et nous allons le frayer demain à ceux qui
viendront
après nous. Les âges se renouvellent, la figure d
injures, et attendait dans le silence que le temps de la punition fût
venu
: que si quelque peuple lui envoyait les coupable
enne coutume des Romains d’accorder toujours leur secours à quiconque
venait
l’implorer. Ces coutumes des Romains n’étaient po
son expédition Un jour qu’il le salua à la manière des Grecs : « D’où
vient
, lui dit Alexandre, que tu ne m’adores pas ? — Se
ous ne me faites que trop voir que je ne le suis pas. Quand vous êtes
venu
à moi, j’ai trouvé d’abord quelque plaisir à vous
ena dans la carrière. Il y avait autour de moi un peuple immense, qui
venait
être témoin de mon courage ou de ma frayeur. On m
te d’un vieux général expérimenté, nommé don Francisco de Mello : ils
vinrent
ravager les frontières de la Champagne ; ils atta
ois, qui avait volé sur la frontière pour diriger toutes ces marches,
vint
lui apprendre que ces deux villes sont assiégées
ur péril pour les en tirer. Ce prince était partout avec son fils, et
venait
ensuite rendre compte de tout au roi, comme un of
est l’ampoulé : toute perfection est près d’un défaut… Le mot elegans
vient
, selon quelques-uns, d’electus, choisi. On ne voi
hes ; il saisit et déchire une nouvelle proie avec la même rage qu’il
vient
d’exercer, et non pas d’assouvir, en dévorant la
age une grenouille, un poisson ; mais, réduit à attendre que sa proie
vienne
s’offrir à lui, et n’ayant qu’un instant pour la
n détachant et s’approchant du rivage aux signaux qui l’appellent, il
vienne
se faire admirer de plus près, en étalant ses bea
n gré parcourir les eaux, débarquer au rivage, s’éloigner au large ou
venir
, longeant la rive, s’abriter sous les bords, se c
un joli salon, où les habitants des rives voisines se rassemblent et
viennent
danser les dimanches durant les vendanges. C’est
us souvent la main à l’œuvre avec eux ; et souvent des Bernois qui me
venaient
voir m’ont trouvé juché sur de grands arbres, cei
a dans les ordres, mais ne remplit pas les fonctions du sacerdoce. Il
vint
à Paris en 1744 et s’attacha à M. de Boze, garde
incu, à disputer la couronne à Euripide. Cependant les concurrents en
viennent
aux mains. L’un et l’autre, armé des traits de la
ont toujours placés à la tête de ceux qui ont illustré la scène. D’où
vient
donc que, sur le grand nombre de pièces qu’ils pr
adies Qui n’auraient jamais guérison ? Qui ne pensait que les furies
Viendraient
des abîmes d’enfer, En de nouvelles barbaries Emp
e D’y porter tous nos pas, d’y marcher jusqu’au bout ; Et tout ce qui
vient
d’eux ne passe point l’écorce : Mais
. Tite-Live, liv. I, et Denys d’Halicarnasse, Antiq. rom., livre III)
viennent
d’être remises aux mains des trois Curiaces et de
de grâce, empêchez surtout qu’elles ne sortent : Leur amour importun
viendrait
avec éclat Par des cris et des pleurs troubler no
I. Le vieil Horace, Sabine, Camille, Julie. LE VIEIL HORACE. Nous
venez
-vous, Julie, apprendre la victoire ? JULIE. Mais
ève au-dessus du vulgaire. Ma faveur fait ta gloire et ton pouvoir en
vient
; Elle seule t’élève et seule te soutient : C’est
convient pas à vous-mêmes, Repartit le vieillard. Tout établissement
Vient
tard et dure peu : la main des Parques blêmes565
ont tous fait leur office. ARISTE. On ne voit presque point céans595
venir
Damis. BÉLISE. C’est pour me faire voir un respec
ammaire est prise608 à contre-sens par toi ; Et je t’ai déjà dit d’où
vient
ce mot. MARTINE.
ARISTE. Hé bien ! la femme sort, mon frère, et je vois bien Que vous
venez
d’avoir ensemble un entretien. CHRYSALE. Oui. ARI
RYSALE. Vous êtes pour Clitandre, et savez sa demeure : Faites-le-moi
venir
, mon frère, tout à l’heure. ARISTE. J’y cours tou
chez eux. PHILAMINTE. Enfin les quatrains sont admirables tous deux.
Venons
-en promptement aux tiercets634, je vous prie. ARM
son onde naissante 654, Lorsqu’un cri tout à coup suivi de mille cris
Vient
d’un calme si doux retirer ses esprits. Il se tro
ardant les seuls bords qui vous peuvent couvrir, Avec moi, de ce pas,
venez
vaincre ou mourir. » Ce discours d’un guerrie
à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses,
Venaient
pour diffamer son chef-d’œuvre nouveau, Et secoua
subtile Sème de fleurs son chemin : Mais sur ses pas
vient
enfin Le repentir inutile701, UNE ISRAÉLI
si que par César, on jure par sa mère713. L’empereur, il est vrai, ne
vient
plus chaque jour Mettre à vos pieds l’empire et g
ltés le moins. Agrippine offre en effet son appui à Britannicus, qui
vient
redemander Junie et aspire à sortir enfin de la s
peut consentir ; Appelez les-cruels qui vous l’ont inspirée : Qu’ils
viennent
essayer leur main mal assurée… Mais je vois que m
de ses mains, « À se donner lui-même en spectacle aux Romains746, « À
venir
prodiguer sa voix sur un théâtre, « À réciter des
udissements. » Ah ! ne voulez-vous pas les forcer à se taire ? NÉRON.
Viens
, Narcisse : allons voir ce que nous devons faire7
: Lève ton bras, lance ta flamme, Abaisse la hauteur des cieux754, Et
viens
, sur leur voûte enflammée, D’une main de foudres
même moment pour jamais soit bannie. Oh çà, mon cher garçon, veux-tu
venir
chez moi ? Nous serons tous ravis de dîner avec t
te, en un mot, m’importune. L’heure du dîner presse : allons, veux-tu
venir
? Nous aurons le loisir de nous entretenir Sur no
à son aise chez moi ; Et vivre comme on veut, c’est notre unique loi.
Viens
, et sans te gourmer787 avec moi de la sorte, Lais
y fait trop chaud. Je fais ce qu’on m’ordonne LE COMTE. Si quelqu’un
vient
me voir, je n’y suis pour personne Acte IV, s
’a pas fait fortune à l’intendance. (Au comte.) Ma femme vous attend.
Venez
, d’un air soumis, Prévenant, la prier d’être de v
-vous ?… Parbleu ! c’est monsieur l’intendant. LYCANDRE, au comte. Je
viens
savoir, mon fils… VALÈRE et ISABELLE.
instruit de mes malheurs Et des noirs attentats de mes persécuteurs,
Vient
, par un juste arrêt, de finir ma misère. Il me re
t. Je vous fais compliment à tous deux. Je n’ai pas attendu ce que je
viens
d’apprendre Pour choisir votre fils en qualité de
sette. LYCANDRE. Ce nom a causé votre erreur.
Venez
, ma fille ; comte, embrassez votre sœur. LISIMON.
s qu’elle prononce, sa situation et son caractère : Quoi ! Narbas ne
vient
point ? Reverrai-je mon fils ? Ce qui ajoute à s
si l’on croit l’apparence. MÉROPE. N’importe, quel qu’il soit, qu’il
vienne
en ma présence ; Le témoin le plus vil et les moi
nommé Mérope, et j’ai rendu les armes825. EURYCLÈS. Eh ! madame, d’où
vient
que vous versez des larmes ? MÉROPE. Te le dirai-
as. Hélas ! que vois-je ? où portez-vous vos pas ?
Venez
-vous être ici témoin de mon trépas ! NARBAS. Ah !
est-ce un songe trompeur ? Quoi ! c’est vous ! c’est mon fils ! qu’il
vienne
, qu’il paraisse. NARBAS. Redoutez, renfermez cett
dus le flux impétueux Roule et dérobe Égisthe et la reine à mes yeux.
Venez
. J’ignore encor si la reine est sauvée, Si de son
lie ! aimable mensongère, Des antres des forêts déesse tutélaire, Qui
viens
d’une insensible et charmante langueur Saisir l’a
nsi dans son remarquable ouvrage sur les Pensées de Pascal : « Il est
venu
à cette heureuse époque de la littérature et de l
ans ces tours familiers, ensuite de cela, ensuite de quoi. 51. De là
vient
que dans nos anciennes cours de magistrature, où
-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué. Le coup de canon
vient
donc et emporte le bras de Saint-Hilaire qui mont
ni interrompu. Quelle admirable revue de tous les peuples ! Comme ils
viennent
tour à tour devant Bossuet témoigner de leur faib
blime tableau des révolutions des empires. 113. Louis XIV, lorsqu’il
vint
assiéger Gand, qu’il prit en cinq jours, s’était
lée Pour les pauvres, a rencontré des images analogues : Donnez ! il
vient
un jour où la terre nous laisse ; Vos aumônes là-
e en sema l’Évangile. 294. Cf. Art poét., ch. I : Enfin Malherbe
vint
, et, le premier en France, Fit sentir dans les ve
u’à parler : je suis prêt d’obéir. Racine dans Phèdre, V, 5 : Qu’il
vienne
me parler : je suis prêt de l’entendre. Les exem
par des bienfaits ; environné des hommages de l’Europe, dont l’élite
venait
visiter sa retraite : voilà le rôle que Voltaire
es (Champagne). 334. En 1636. Après avoir pris Corbie, les Espagnols
vinrent
jusqu’à Pontoise. « La peur, dit Voltaire au chap
ement Chénier, n’a jamais été surpassée. » 440. La ville de Juliers
venait
d’être prise par le maréchal de La Châtre, joint
r aujourd’hui ce mot. » 450. Ce mot est très beau, dit Ménage : il
vient
, selon lui, du latin fata, et ainsi il convient t
disaient dans la nue : Jeune ange, Dieu sourit à ta gloire ingénue ;
Viens
, rentre dans ses bras, pour ne plus en sortir, Et
sur la mort et la religion, nous dit Corneille, que l’idée lui était
venue
« qu’il fallait comparaître devant Dieu et loi re
d’Auguste racontée par Sénèque (de Clementia, I, 9). Une conspiration
vient
d’être tramée contre lui. À la tête de ce complot
II, 2 : Mais je t’expose ici mon âme toute nue. Ce sens figuré nous
vient
des Latins. Horace a dit, Od., I, 24 : Iccorropt
es yeux sur la rouille qui recouvre ces pages un peu surannées. De là
vint
à Marmontel, au milieu du siècle dernier, la pens
a femme. 612. Oraison garde ici le sens du mot latin oratio dont il
vient
; cette acception a vieilli. 613. La vulgarité p
pièce, on se rappellera ce que nous dit ailleurs Boileau, qu’il était
venu
au monde deux ans avant Louis XIV pour célébrer l
e génie de Racine, en contestant ses plus légitimes succès. À ceux-ci
venait
s’ajouter la foule ordinaire de ces obscurs envie
e la foule insensée, De ce parvis obstinément chassée, Tout doucement
venait
La Motte-Houdard, Lequel disait d’un ton de papel
ité sublime. » 829. Péripétie frappante : à peine la mère d’Égisthe
vient
-elle d’échapper au péril d’être la meurtrière de
frères Trudaine, formaient la société habituelle du poète. A. Chénier
venait
à peine d’échapper à une grave maladie dont les s
ui, certes, et d’une étrange sorte. Des extrémités de l’Orient il lui
vient
une grande lettre, qui délivre la vérité opprimée
is point, lorsque j’ai lu dans votre lettre que vous aviez dessein de
venir
ici ; et, maintenant encore, je n’ose me réjouir
e jusqu’aux yeux, pensez-vous qu’il n’y en ait pas bien autant à voir
venir
ici des vaisseaux qui nous apportent abondamment
suivant ; et depuis qu’il est parti jusqu’à l’arrivée du messager qui
vient
faire le récit de sa victoire, Éthra et le chœur
contraire à la témérité de ceux qui croient tout et décident de tout,
vient
néanmoins de la même source, qui est le défaut d’
l’un de l’autre, lesquels il dissipait à propos, de crainte qu’ils ne
vinssent
à une rupture : ainsi étant l’auteur de leurs dif
une fausse monnaie qui n’a de cours que par notre vanité. Le bon goût
vient
plus du jugement que de l’esprit75. La petitesse
ette mort même que je ne saurais éviter86. « Comme je ne sais d’où je
viens
, aussi je ne sais où je vais ; et je sais seuleme
Le voilà prêt à l’ouïr avec un respect exemplaire. Que le prédicateur
vienne
à paraître : si la nature lui a donné une voix en
er la vanité, mais c’était en se précipitant dans le désespoir. De là
viennent
les diverses sectes des stoïques et des épicurien
tudes auraient pu leur acquérir à la faveur de tant de siècles. De là
vient
que, par une prérogative particulière, non seulem
é, mais aussi sa bonté, sa clémence et son cœur vraiment royal pour y
venir
donner leur suffrage. C’est, sire, devant ce trib
lequel il nous était impossible de rien faire ? Votre Majesté, sire,
vient
donner au monde un siècle nouveau, où ses exemple
le, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’avec ceux qui
viennent
pour l’interroger et pour l’accuser ? Encore que
songe donc à vous, et je souhaite toujours de vos lettres : quand je
viens
d’en recevoir, j’en voudrais bien encore. J’en at
confusion ; j’étais auprès de M. de Tulle154 et de M. Colbert. Il est
venu
un jeune père de l’Oratoire pour faire l’oraison
u a fait à son image, n’est-il qu’une ombre ? Ce que Jésus-Christ est
venu
chercher du ciel en la terre, ce qu’il a cru pouv
n déclare au prince sa mort prochaine. Chrétiens, soyez attentifs, et
venez
apprendre à mourir ; ou plutôt venez apprendre à
. Chrétiens, soyez attentifs, et venez apprendre à mourir ; ou plutôt
venez
apprendre à n’attendre pas la dernière heure pour
r ce que les héros sentent les uns pour les autres219. Mais lorsqu’on
vint
à l’endroit du remerciement, où le prince marquai
ait son secours jusqu’à ce qu’il cessa enfin de respirer et de vivre…
Venez
, peuples, venez maintenant220 ; mais venez plutôt
jusqu’à ce qu’il cessa enfin de respirer et de vivre… Venez, peuples,
venez
maintenant220 ; mais venez plutôt, princes et sei
n de respirer et de vivre… Venez, peuples, venez maintenant220 ; mais
venez
plutôt, princes et seigneurs, et vous qui jugez l
jourd’hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d’un nuage ;
venez
voir le peu qui nous reste d’une si auguste naiss
ur que vous vous serez donnés à un maître si bienfaisant. Et vous, ne
viendrez
-vous pas à ce triste monument, vous, dis-je, qu’i
on et d’exemple. Pour moi, s’il m’est permis après tous les autres de
venir
rendre les derniers devoirs à ce tombeau, ô princ
catesse. Vous qui voulez pénétrer les secrets de Dieu, çà, paraissez,
venez
en présence ; développez-nous les énigmes de la n
s qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la foi
vienne
à votre secours, et vous apprenne du moins ce qu’
t et chargé d’affaires, qui, à votre tour avez besoin de mes offices,
venez
dans la solitude de mon cabinet ! le philosophe e
parfaitement : ……………………… nec lucidus ordo. Ordinis hæc virtus erit et
venus
, aut ego fallor, Ut jam nunc dicat, jam nunc debe
souvenir de vos victoires passées, vous animer à de nouvelles, que je
viens
, dans le sanctuaire de la paix, mêler un discours
rs, je me souviens que je parle sous l’autel même de l’agneau qui est
venu
pacifier le ciel et la terre ; dans un temple con
de mauvaises nouvelles de Meudon, que monseigneur le duc de Bourgogne
venait
d’envoyer parler à l’oreille de M. le duc de Berr
zarre d’une princesse qui se remet en cérémonie, en pleine nuit, pour
venir
pleurer et crier parmi une foule de femmes en dés
s’entassèrent dans ce qui se trouva de carrosses et dans ce qu’il en
vint
aussitôt après. En un instant Meudon se trouva vi
l eut peine à trouver quelqu’un pour aller chercher des capucins pour
venir
prier Dieu auprès du corps. Extrait des Mémoires
Il fit crever les yeux à Bernard, roi d’Italie, son neveu, qui était
venu
implorer sa clémence, et qui mourut quelques jour
sang que j’ai versé pour la république ; je répondrai à tous ceux qui
viendront
me demander leur père, leur fils ou leur frère328
uyghens, qui renoncent tous deux à leur patrie, qu’ils honorent, pour
venir
en France jouir de l’estime et des bienfaits de L
ce désert que les vaisseaux anglais fussent éloignés, ou que la mort
vint
finir tant de désastres. Il ne restait au prince,
rurent plus. Le prince aborde dans cette même île de Wist où il était
venu
prendre terre lorsqu’il arriva de France : il y t
e la cabane d’un montagnard connu d’elle et affidé, et elle promit de
venir
le prendre dans cette retraite, ou de lui envoyer
nce lorsque, ayant passé deux jours dans ce lieu affreux, personne ne
vint
à leur secours. Tous les environs étaient garnis
maître n’était pas de son parti. « Le fils de votre roi, lui dit-il,
vient
vous demander du pain et un habit. Je sais que vo
l était toujours en danger lui-même ; et les seules nouvelles qui lui
venaient
étaient celles de la prison de ses serviteurs don
es lorsqu’on cherche à en dire d’extraordinaires. Les grandes pensées
viennent
du cœur395. Pour exécuter de grandes choses, il f
faiblesse. Mais loin de me presser, il faut que je vous presse ! D’où
vient
cette froideur ? NÉARQUE.
cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n’est pas encor
venu
; Il viendra, mais le temps ne m’en est pas connu
que moins on y pense. Ce bienheureux moment n’est pas encor venu ; Il
viendra
, mais le temps ne m’en est pas connu. PAULINE. Qu
es bourreaux viennent de me couvrir, M’a dessillé les yeux, et me les
vient
d’ouvrir421. Je vois, je sais, je crois, je suis
à forfait tout ce que j’imagine ; Mais aux marques enfin que tu m’en
viens
donner, Fatale obscurité ! qui dois-je en soupçon
sang, elle a voulu répandre432 : J’ai prévu d’assez loin ce que j’en
viens
d’apprendre : Mais je vous ai laissé désarmer mon
des rois Ouvrent les yeux à la lumière Est celui qui
vient
quelquefois Fermer pour toujours leur pau
it fait », dit le reptile. Une vache était là : l’on l’appelle ; elle
vient
: Le cas est proposé. C’était chose facile : « Fa
60. — Croyons », dit la rampante bête. Ainsi dit, ainsi fait. Le bœuf
vient
à pas lents. Quand il eut ruminé tout le cas en s
aire Cet ennuyeux déclamateur ; Il cherche de grands mots, et
vient
ici se faire, Au lieu d’arbitre, accusate
arice des Romains Ne pénétrât alors et ne portât les mains. Le député
vint
donc et fit cette harangue : « Romains, et vous,
les divers ? Quel droit vous a rendus maîtres de l’univers ? Pourquoi
venir
troubler une innocente vie ? Nous cultivions en p
manda ce qu’avait dit cet homme, Pour servir de modèle aux parleurs à
venir
. On ne sut pas longtemps à Rome C
lâche aucun mot qui ne parte du cœur. PHILINTE. Lorsqu’un homme vous
vient
embrasser avec joie, Il faut bien le payer de la
outes les manières ; Et, comme votre esprit a de grandes lumières, Je
viens
, pour commencer entre nous ce beau nœud, Vous mon
élimène. Voici les deux marquis qui montent avec nous ; Vous l’est-on
venu
dire ? CÉLIMÈNE. Oui. (À Basque.) Des sièges pour
n dans les plaines voisines. La Seine, au pied des monts que son flot
vient
laver, Voit du sein de ses eaux vingt îles s’élev
roie aux sots discours, Contre eux la vérité m’est un faible secours.
Vient
-il de la province une satire fade, D’un plaisant
cuses ; Croit que, pour m’inspirer sur chaque événement, Apollon doit
venir
au premier mandement548. Épît. VI. Épître IX
écond en imposteurs, Diffama le papier par ses propos menteurs. De là
vint
cet amas d’ouvrages mercenaires, Stances, odes, s
eux sous l’habit d’une fille ; Et, sans trop s’enquérir d’où la laide
venait
, Il sut, ce fut assez, l’argent qu’on lui donnait
termes moins fiers : Que devant Troie en flamme Hécube désolée Ne
vienne
pas pousser une plainte ampoulée, Ni sans raison
bles sentiments. Mais avant d’accomplir la vengeance qu’il médite, il
vient
une dernière fois presser Monime d’oublier Xiphar
à suivre leur roi, Rentrent dans mes vaisseaux pour partir avec moi,
Venez
, et qu’à l’autel ma promesse accomplie Par des nœ
Profitez du moment que mon amour vous donne : Pour la dernière fois,
venez
, je vous l’ordonne. N’attirez point sur vous des
ASSUÉRUS. Sans mon ordre on porte ici ses pas ! Quel mortel insolent
vient
chercher le trépas ? Gardes… C’est vous, Esther ?
source empoisonnée ? Dans le fond de la Thrace un barbare enfanté Est
venu
dans ces lieux souffler la cruauté ; Un ministre
otre pourpre, y doit être attaché. ASSUÉRUS. Quel jour mêlé d’horreur
vient
effrayer mon âme ! Tout mon sang de colère et de
Abner (un des principaux officiers des rois de Juda). ABNER. Oui, je
viens
dans son temple adorer l’Éternel ; Je viens, selo
de Juda). ABNER. Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel ; Je
viens
, selon l’usage antique et solennel, Célébrer avec
tes Et d’un respect forcé ne dépouille les restes622. JOAD. D’où vous
vient
aujourd’hui ce noir pressentiment ? ABNER. Pensez
oux ne soit près d’éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne
vienne
attaquer Dieu jusqu’en son sanctuaire. JOAD. Celu
impiété ; « Du milieu de mon peuple exterminez les crimes : « Et vous
viendrez
alors m’immoler vos victimes630. » ABNER. Hé ! qu
trouble vous agite et quel effroi vous glace ? Parmi vos ennemis que
venez
-vous chercher ? De ce temple profane osez-vous ap
e jouissais en paix du fruit de ma sagesse ; Mais un trouble importun
vient
, depuis quelques jours, De mes prospérités interr
-temps plus doux ? Je plains le triste sort d’un enfant tel que vous.
Venez
dans mon palais, vous y verrez ma gloire. JOAS. M
s ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d’où
vient
que mon cœur frémit d’un saint effroi664 ? s’ouvr
prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu’on
vienne
à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres,
Et que la terre enfante son Sauveur674 ! JOSABETH. Hélas ! d’où nous
viendra
cette insigne faveur, Si les rois de qui doit des
qui l’avait protégé. Peut-on les employer pour un plus noble usage ?
Venez
, je veux moi-même en faire le partage. Le grand
la loi m’ordonne. Mon Dieu, punissez-moi si je vous abandonne ! JOAD.
Venez
: de l’huile sainte il faut vous consacrer. Parai
TH, embrassant Joas. Ô roi, fils de David ! JOAS. Ô mon unique mère !
Venez
, cher Zacharie, embrasser votre frère. JOSABETH,
voix ! Justes dieux ! quel objet offrez-vous à ma vue ? ZÉNOBIE. D’où
vient
, à mon aspect, que votre âme est émue, Seigneur ?
ur Naissent de ta vertu plus que de ton malheur… Zénobie a promis de
venir
rejoindre son époux : elle calme avec une dignité
que la nuit pourra me le permettre, Dans tes mains, en ces lieux, je
viendrai
me remettre. Je connais la fureur de tes soupçons
uves de leur complicité, le droit de les punir tous les deux. Mais on
vient
lui annoncer que ce Romain fuit, enlevant celle q
es larmes de mon fils quel est donc le mystère ? Mais, moi-même, d’où
vient
qu’après tant de fureur Je me sens malgré moi par
n secret mes sens, Et peut former en moi de si tristes accents ? D’où
vient
que je frissonne ? et quel est donc mon crime ? M
ieux ? Que cherches-tu ? RHADAMISTE. Je
viens
expirer à vos yeux702. PHARASMANE. Quel trouble m
spagnole et perfide. On dit que ce Gusman respire dans ces lieux ; Je
venais
t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : veng
Ton assassin
Vient
en ce même instant de recevoir ma main. ZAMORE. L
ntraîné ma faiblesse. Ta criminelle amante, aux autels des chrétiens,
Vient
presque sous tes yeux de former ces liens. J’ai t
ès d’Alzire. (À Zamore.) Ô toi ! jeune héros, toi par qui je respire,
Viens
, ajoute à ma joie en cet auguste jour : Viens ave
toi par qui je respire, Viens, ajoute à ma joie en cet auguste jour :
Viens
avec mon cher fils partager mon amour. ZAMORE. Qu
Que ce vertueux père eût cet indigne fils ! GUSMAN. Esclave, d’où te
vient
cette aveugle furie ? Sais-tu bien qui je suis ?
et étouffent en lui tout sentiment de vengeance ; c’est lui-même qui
vient
prononcer le pardon qu’il accorde. Acte V, scè
! ZAMORE, à Gusman. Tu veux donc jusqu’au bout consommer ta fureur !
Viens
, vois couler mon sang, puisque tu vis encore ; Vi
mmer ta fureur ! Viens, vois couler mon sang, puisque tu vis encore ;
Viens
apprendre à mourir en regardant Zamore. GUSMAN, à
tres vertus que je veux t’enseigner : Je dois un autre exemple, et je
viens
le donner. (À Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort
nnemis : Je ne les connais plus. Déjà de la carrière L’auguste Vérité
vient
m’ouvrir la barrière ; Déjà ces tourbillons, l’un
ste de la vie Porte assez peu d’utilité, De l’objet le moins agréable
Vient
adoucir l’austérité, Et nous sauve au moins par l
nables sabbats, Où l’université des chats, À minuit, en robe fourrée,
Vient
tenir ses bruyants états ; Une table mi-démembrée
Qu’ils vont livrer sur vos climats ; Ou quand leur troupe conjurée Y
vient
préparer ces frimas Qui versent sur chaque contré
st versée. Une table de cèdre, où l’éponge est passée, S’approche, et
vient
offrir à son avide main Et les fumantes chairs su
ou la faux recourbée, Et devant mes pas l’herbe ou la moisson tombée
Viendra
remplir ta grange en la belle saison777 : Afin qu
était-il ? où portait-il ses pas ? Il sait où vit Lycus ; pourquoi ne
vient
-il pas ? Parle : était-ce bien lui ! parle, parle
pu te méconnaître. Ô Cléotas ! mon père ! ô toi, qui fus mon maître,
Viens
; je n’ai fait ici que garder ton trésor, Et ton
de toute renommée. Les délateurs, vendant leurs voix et leurs écrits,
Viennent
dans son palais marchander les proscrits. Lui seu
ogie judiciaire avaient encore une grande vogue. Le jour où Louis XIV
vint
au monde il y avait dans la chambre de la reine A
r. 63. 13 mai 1648. Cet arrêt, qui fut comme l’étendard sous lequel
vinrent
se ranger tous les ennemis du ministère de Mazari
nsi dans son remarquable ouvrage sur les Pensées de Pascal : « Il est
venu
à cette heureuse époque de la littérature et de l
ui eut lieu le 16 juillet 1691. Ce jour-là même, Louvois était encore
venu
à trois heures travailler avec le roi. Il mourut
poétique de Boileau les vers célèbres sur Malherbe : Enfin Malherbe
vint
, et le premier en France Fit sentir dans les vers
le repos et la dignité. 252. C’est-à-dire facile à approcher. Ce mot
vient
du latin trivium, qui signifie carrefour. 253. D
iscrétion et la précaution ne furent jamais françaises, tout Meudon y
venait
: les appartements ne pouvaient contenir la foule
ettres : ces lettres, qui étaient demeurées inédites jusqu’à ce jour,
viennent
d’être publiées. 308. Tout ce passage, comme les
ien à espérer qui les dépassât. Mais les Mémoires de Saint-Simon sont
venus
, et ils ont présenté des mérites d’ampleur, d’éte
par des bienfaits ; environné des hommages de l’Europe, dont l’élite
venait
visiter sa retraite : voilà le rôle que Voltaire
ous deux que de bonne bourgeoisie. » 479. C’est-à-dire d’années qui
viennent
l’une après l’autre, se succèdent. Ce verbe n’est
raisemblable ou nécessaire : par exemple, dans l’Œdipe roi, celui qui
vient
, croyant lui faire plaisir et le rassurer à l’éga
de Mardochée, il veut la perte de tous les Juifs. C’est sa haine qui
vient
d’obtenir du prince, contre ce peuple, l’arrêt de
ensé son sauveur : c’était Mardochée ; et, pour réparer son oubli, il
venait
en effet de lui attribuer les plus grands honneur
: qu’elle avait souvent désespéré Racine lui-même : mais qu’il était
venu
pourtant à bout de rendre admirablement l’endroit
age des livres saints ; le premier, dans le chant V de la Henriade :
Viens
, des cieux irrités abaisse la hauteur ; le secon
. Gresset, après avoir professé les humanités à Tours et à La Flèche,
venait
d’être appelé par ses supérieurs à Paris, au coll
énie (acte IV, sc. 6) : Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me
vint
-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? 782. Hecto
Jupiter ; Heureux sont les parents qui tels vous firent naître ! Mais
venez
, que mes mains cherchent à vous connaître ; Je cr
. Prends soin du vieil aveugle. — O sage magnanime ! Comment, et d’où
viens
-tu ? car l’onde maritime. Mugit de toutes parts s
u d’hospitalité, Lorsque d’énormes chiens, à la voix formidable, Sont
venus
m’assaillir ; et j’étais misérable, Si vous (car
, Les tigres et les loups, vaincus, humiliés, D’un chanteur comme toi
vinrent
baiser les pieds2. — Les barbares ! j’étais assis
teignent dans l’oubli ; Que ton nom dans la nuit demeure enseveli ! —
Viens
, suis-nous à la ville, elle est toute voisine, Et
icos, deux fois hospitalière ! Car sur tes bords heureux je suis déjà
venu
; Amis, je la connais. Vos pères m’ont connu : Il
er, Fleuves, terre, et noirs dieux de vengeances trop lentes, Salut !
Venez
à moi, de l’Olympe habitantes4, Muses ! Vous save
court. DEUXIÈME PARTIE. Le Nœud. 1° Bougainville propose à son ami de
venir
déjeuner avec lui, à quelques lieues de Paris. 2°
susceptible, mais facile ; que tous les détails de leur conversation
viennent
expliquer comment M. de Boncourt s’aperçoit toujo
e voit les gens marcher, Elle s’en attribue uniquement la gloire, Va,
vient
, fait l’empressée…………… Lorsque l’on emploie les
ric avec Sans-Souci : Des bâtiments royaux l’ordinaire intendant Fit
venir
le meunier, et, d’un ton important : « Il nous fa
oin le Voisin : Ex. : Des bâtiments royaux l’ordinaire intendant Fit
venir
le meunier. Le vendeur de farine avait pour habit
es dans le deuxième volume. Le Vœu de Jephté. Argument. Les Ammonites
viennent
d’envahir le territoire d’Israël. Les Hébreux met
nlée fortement. C’était un ouvrier qui avait entendu ce sermon et qui
venait
affirmer, lui, qu’il n’y a pas de Providence. D’a
nce qui veille sur tous ; que cette idée est fausse, et qu’il a voulu
venir
, avant de se noyer, prouver à l’abbé Beauregard q
de l’autre. Sous prétexte de se réconcilier, Jean V invite Clisson à
venir
visiter un de ses domaines de Bretagne, où il ven
on. Olivier s’aperçoit mais trop tard, de cette trahison. Le duc fait
venir
Bavalan, gouverneur du château, et lui donne l’or
yants. Ne pouvant plus résister à la violence de ses remords, il fait
venir
au point du jour Bavalan, qui lui annonce que ses
it à sa fille : « Il y a aujourd’hui bien des années, ma fille qu’il
vint
au monde une créature destinée à vous aimer à tou
l’autre jour. Elle s’éveilla à midi et demi, prit sa robe de chambre,
vint
se coiffer et manger un pain au pot. Elle se fris
de La Rochefoucauld, madame de La Fayette et madame de Coulanges, qui
vinrent
pour me voir, de trouver bon que je n’eusse point
trouvai tout éveillée à cinq heures : j’allai prendre Corbinelli pour
venir
ici avec l’abbé. Il y pleut sans cesse, et je cra
ujets nommé Rose, Livonien de nation, marchand de profession, qui est
venu
apprendre la langue française à Ferney ; peut-êtr
aisirs des dieux ! surtout si, dans la solitude, L’amitié quelquefois
vient
se joindre à l’étude ; Si de leur double ivresse
e connaît plus1. Hélas ! je ne suis pas un de vos anciens maîtres Qui
vient
redemander le toit de ses ancêtres2 ; Je ne suis
u de mes pères. Non, mais de ma jeunesse et de mes jours prospères Je
viens
chercher la trace et les chers souvenirs. Ouvrez-
suivait accueillait mon retour3 ! D’un air indifférent une femme est
venue
, Du château, maintenant, habitante inconnue ; Et,
n entrait, on sortait, il écrivait toujours. Ou, lorsque la fraîcheur
venait
renouvelée, On le voyait, en bas, le long de la v
e roi Louis est un vrai sage, Et du trône qu’il a quitté J’aime qu’il
vienne
faire hommage A l’humble et pauvre liberté. Que
des endroits assez voisins pour que tous les personnages y aillent et
viennent
naturellement. Unité de temps. Cette unité consi
le fera naître ; mais il ne faut pas le chercher ; il faut le laisser
venir
. L’auteur dramatique évitera donc tout ce qui peu
néralisées ; il doit les enchaîner dans le texte, de manière qu’elles
viennent
à propos de ce qui se passe. 2º. Les figures orat
rois heures ; ne faire paraître les personnages que quand ils doivent
venir
; former une intrigue aussi vraisemblable qu’atta
ain possédé de la fureur du bel-esprit162. Passons quinze siècles, et
venons
tout d’un coup au grand Corneille. Lorsqu’il paru
de leur tige, Comme si c’était moi qui le perdais, ce sang. Mon cœur
vint
à faillir ; ma main en se baissant, Pour chercher
ur la même scène, on voit un homme sensé et un joueur de trictrac qui
vient
lui tenir des propos impertinents ; une femme mén
re plusieurs personnages qui ont chacun leur intérêt particulier. Ils
viennent
successivement ou plusieurs ensemble entretenir u
que rire. Mais sitôt que des philosophes et des dieux, on eut osé en
venir
aux magistrats mêmes, ceux-ci trouvèrent que la p
qui avait attiré la première loi, renaissant sous une autre forme, il
vint
une seconde loi qui défendit de prendre pour suje
ors de mode. La diverse façon de marcher et d’agir Donne aux nouveaux
venus
souvent de quoi rougir ; Chez des provinciaux on
entendre dans l’ouverture et au commencement de toutes les scènes. La
venue
et l’entrée de chaque acteur important sont annon
se. Ces pièces s’appellent des pantomimes lorsque c’est un acteur qui
vient
seulement gesticuler devant l’assistance ; et des
nce ; et des ballets, quand ce sont des danseurs ou des danseuses qui
viennent
représenter l’action. Ce que l’on appelle opéra d
lus tard qu’il a pu, s’est habillé fort lentement, a parlé au premier
venu
, a fait plusieurs tours dans sa chambre, a entend
tours dans sa chambre, a entendu nonchalamment la messe. Le dîner est
venu
; l’après-dînée se passera comme le matin, et tou
chez un seul peuple resserré dans un coin du monde1 ; mais celui qui
vient
d’en haut est au-dessus de tout ; à Jésus est rés
Que reste-t-il ? Peuples des extrémités de l’Orient, votre heure est
venue
. Alexandre, ce conquérant rapide que Daniel dépei
e venir de loin. Qu’ils sont beaux les pieds de ces hommes qu’on voit
venir
du haut des montagnes apporter la paix2, annoncer
n, ton Dieu régnera sur toi ! Les voici ces nouveaux conquérants, qui
viennent
sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils vien
onquérants, qui viennent sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils
viennent
, non pour enlever les richesses et répandre le sa
propre sang et communiquer le trésor céleste3. Peuples, qui les vîtes
venir
, quelle fut d’abord votre surprise, et qui peut l
t d’abord votre surprise, et qui peut la représenter ? Des hommes qui
viennent
à vous, sans être attirés par aucun motif, ni de
on nom par ses ennemis les plus brutaux et les plus téméraires. De là
vient
que le vice, quoique triomphant dans le monde, es
er en la solitude. Il y a une foule de petits soucis voltigeants, qui
viennent
chaque matin à votre réveil, et qui ne vous quitt
celui qui devait servir de modèle aux autres pour tous les siècles à
venir
. On ne parlait que des poids, des mesures, des mo
ne me trompe, ma sincérité. Je n’admire point aveuglément tout ce qui
vient
des anciens. Je les trouve fort inégaux entre eux
mots. 3. Il pense, il sent. Joubert a dit : « Toute éloquence doit
venir
d’émotion, et toute émotion donne naturellement l
lit les cieux, lorsqu’elle fait voler ses coursiers sur l’horizon, et
vient
annoncer l’astre qui doit la suivre. Tel le pavot
a terre engloutis, Disparus à nos yeux, sont-ils anéantis ? D’où nous
vient
du néant cette crainte bizarre ? Tout en sort, ri
en un jour serein l’éclair luit, le ciel gronde, Et la comète en feu
vient
effrayer le monde. Aussi la Macédoine1 a vu nos c
mposant la structure, D’un œuf d’or ou d’argent présentent la figure.
Venez
les admirer : ce ver dans sa prison Ne commence q
, il doit, suivant le précepte d’Aristote 2, et de tous ceux qui sont
venus
après lui, présenter l’action feinte telle qu’ell
plus sensible par un exemple. Poliencte, dans la tragédie de ce nom,
vient
dé se faire chrétien, et de recevoir le baptême,
produisent des événemens particuliers qu’on appelle incidens. Le nœud
vient
on de l’ignorance de celui qui agit, comme lorsqu
tre des incidens qui naissent les uns des autres, et des incidens qui
viennent
simplement les uns après les autres. (Nous voyons
enferment tout l’art d’amener le dénouement. Ce n’est pas assez qu’il
vienne
après les incidens. Il faut qu’il naisse des inci
s épée, interdit et dans un saisissement d’horreur, lorsque Théramène
vient
apprendre à celui-ci qu’un bruit sourd veut que T
Son père n’y ajoute aucune foi et l’exile. Phèdre touchée de repentir
vient
trouver Thésée pour le prier d’épargner son fils.
pitié secrète : il veut interroger une seconde fois Œnone, lorsqu’on
vient
lui apprendre qu’elle s’est jetée dans la mer, et
erdu la vie. Phèdre s’est empoisonnée et sur le point d’expirer, elle
vient
déclarer l’innocence d’Hippolyte à Thésée, qui va
a, et qu’Evaudre son affranchi a été arrêté ainsi qu’Euphorbe. Maxime
vient
lui dire de plus que la conjuration est découvert
interdit, reprend bientôt son audace et brave l’empereur. Emilie qui
vient
elle-même s’accuser, en fait autant, lorsque Maxi
cuser, en fait autant, lorsque Maxime qu’Auguste croyoit seul fidèle,
vient
déclarer aussi son crime et son lâche artifice po
eux un objet de risée. L’hypocrisie est un vice bien détestable. D’où
vient
cependant que nous rions à la vue de Tartuffe ? C
âtre qui arrivent, même quand il a disparu des yeux du spectateur, ne
viennent
que de lui ne tendent qu’à lui, et qu’il soit la
’offre d’abord aux yeux du spectateur : un trait plus frappant encore
vient
tout-à-coup le développer ; et l’on en voit une s
valet, au moment où son mariage qui fait le dénouement de la comédie,
vient
d’être arrêté : Toi, Carlin, à l’instant prépare
mille ans, nous intéresse encore aujourd’hui, et intéressera ceux qui
viendront
après nous. Il en est de même de l’Avare de Moliè
s sentimens d’honneur qu’il lui a inspirés. Valère, amant d’Isabelle,
vient
l’acoster, et lui témoigne qu’étant son voisiu, i
elle, dites-vous, qui de sa part vous fait….. Sganarelle. Oui, vous
venir
donner cet avis franc et net, Et qu’ayant vu l’ar
Où me faisoit du sang relâcher la tendresse, J’allois faire avec moi
venir
coucher Lucrèce, Dont vous me vantez tant les ver
l’a vue lui-même entrer, et que l’honneur l’a aussitôt engagé à faire
venir
un commissaire et un notaire pour les marier. Ari
l’expression d’Horace ; c’est lorsqu’il est indigné contre son fils.
Venons
à un exemple sensible que m’offre la belle comédi
Un démon triomphant m’élève à cet emploi : Malheur aux écrivains qui
viendront
après moi. Mais la cabale et la satyre se déchaî
tiré d’une scène pleine de portraits finis. Clitandre. Parbleu, je
viens
du Louvre, où Cléante, au levé, Madame, a bien pa
ravagance. Acaste. Parbleu, s’il faut parler de gens extravagans, Je
viens
d’en essuyer un des plus fatigans, Damon le raiso
Célimène. Le pauvre esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle
vient
me voir, je souffre le martyre. Il faut suer sans
emps de dialogue. Elle se passe entre Alceste et cette Célimène qu’on
vient
d’entendre parler : c’est une coquette dont le mi
colère, Et je ne réponds pas de ce que je puis faire. Célimène. D’où
vient
donc, je vous prie, un tel emportement ? Avez-vou
Grammaire est prise à contre-sens par toi ; Et je t’ai déjà dit d’où
vient
ce mot. Martine. Ma foi, Qu’il vienne de Chaillo
Marinette. Et ne pense pas, toi, trouver ta dupe aussi. Gros-René.
Viens
, viens frotter ton nez auprès de ma colère. Mari
ette. Et ne pense pas, toi, trouver ta dupe aussi. Gros-René. Viens,
viens
frotter ton nez auprès de ma colère. Marinette.
s ce que j’en saurai faire. Marinette. Marinette. Prends garde à ne
venir
jamais me reprier. Gros-René. Pour couper tout c
rnier, ont successivement régné sur la scène comique. Destouches est
venu
immédiatement après Regnard, et l’a dignement rem
re plusieurs personnages qui ont chacun leur intérêt particulier. Ils
viennent
successivement, ou plusieurs ensemble, entretenir
e où elle doit se rendre. Il est accosté par une foule de fâcheux qui
viennent
l’un après l’autre lui raconter des aventures, ou
à peine ces deux amans commencent à s’entretenir, qu’un autre fâcheux
vient
les interrompre. Arrive enfin un incident par leq
e son fils ne soit coupable, lui dit avec colère : Fuis, traître. Ne
viens
point ici braver ma haine, Et tenter un courroux
Sans que ta mort encor, honteuse à ma mémoire, De mes nobles travaux
vienne
souiller la gloire. Fais, et si tu ne veux qu’un
aux d’autrui, et par conséquent le desir de le soulager ? Cette pitié
vient
, comme je l’ai dit après Aristote, de ce que nous
, 1°. qu’il est permis à nos héros et à nos héroïnes de se tuer ou de
venir
expirer sur le théâtre ; comme Atalide, Mithridat
u’il voyoit menaçans pendant son sommeil, écrivit à Argos, pour faire
venir
sa fille, sous prétexte qu’Achille à qui elle avo
qu’on eût consulté l’oracle, apprend la nouvelle de cette arrivée, et
vient
en témoigner sa joie à Agamemnon, qui ne lui fait
s le sein d’Ulysse sur le sort d’Iphigénie, lorsqu’il apprend qu’elle
vient
d’arriver avec Clitemnestre sa mère, et Eriphile,
re, et Eriphile, jeune princesse de Lesbos, captive d’Achille, et qui
vient
interroger l’oracle sur son destin, dont elle n’a
ile, lorsque Clitemnestre, à qui Arcas a remis la lettre d’Agamemnon,
vient
annoncer à Iphigénie qu’il faut se préparer à un
une fuite si prompte, Par combien de sermens, dont je n’ai pu douter,
Vient
-il de me convaincre et de nous arrêter ! Il press
issement ; Il en croit mes transports, et sans presque m’entendre, Il
vient
, en m’embrassant, de m’accepter pour gendre. Une
in va verser. Il invite Iphigénie, qui paroît dans ce même moment, à
venir
recevoir à l’autel un cœur qui l’adore. Cette pri
ui n’a pu voir, sans frémir, l’appareil du sacrifice qu’on a préparé,
vient
dire a Clitemnestre et à Achille, qu’Agamemnon at
camp. Cependant Agamemnon ne voyant pas paroître sa fille à l’autel,
vient
la demander à Clitemnestre, qui éclate avec la pl
jamais la tendresse paternelle se réveiller dans son âme. Achille qui
vient
le trouver, lui parle avec la plus grande hauteur
it délivrée, nous touchons au moment où le nœud va se dénouer. Ulysse
vient
raconter à Clitemnestre qu’Achille, à la tête de
ve au-dessus du vulgaire. Ma faveur fait ta gloire, et ton pouvoir en
vient
; Elle seule t’élève et seule te soutient ; C’est
que long-temps soigneux de me cacher, J’attende en ces déserts qu’on
vienne
me chercher. La guerre a ses faveurs ainsi que se
tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me
vient
traverser, Sans reculer plus loin l’effet de ma p
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vînt
s’offrir à ma vue ; Voilà par quels exploits il s
par la beauté du dialogue, que par le sublime des sentimens. Curiace
vient
d’apprendre qu’il a été nommé avec ses deux frère
rois heures ; ne faire paroître les personnages que quand ils doivent
venir
; former une intrigue aussi vraisemblable qu’atta
a mer, Jupiter environné de tout son éclat et de toute sa grandeur, y
viennent
rendre leurs hommages à la belle Tétis. Mais le d
e aux nouveaux époux. Tandis que les nymphes de la mer et les tritons
viennent
contribuer à ce divertissement, Lycomède attire A
is, sœur de celui-ci, excite une tempête : mais Eole, dieu des vents,
vient
calmer les flots. AI. Lycomède est assiégé dans
consent, pourvu qu’elle vive. Diane paroissant sur un brillant nuage,
vient
offrir son secours à Alcide. Mercure vint frapper
ant sur un brillant nuage, vient offrir son secours à Alcide. Mercure
vint
frapper la terre de son caducée : l’enfer s’ouvre
ompher de l’amour. Aussitôt Apollon environné des muses et des jeux,
vient
prendre part à la joie d’Admète et d’Alceste, et
trop bien sa foiblesse. Et ces vers énergiques que chante Ae. Veuez,
venez
, haine implacable, Sortez du gouffre épouvantable
emi trop aimable. C’est sous ces traits que Quinaut et ceux qui sont
venus
après lui, auroient dû constamment peindre l’amou
s essuyant une tempête, adresse ses prières à Jésus-Christ ; et Vénus
vient
à son secours. Le but des Portugais est la propag
la joie. Il faut donc que le héros, franchissant tous les obstacles,
vienne
heureusement à bout de son entreprise. Ainsi Achi
e un Ecuyer, qui, cachant le nom de la princesse, lui dit qu’une dame
vient
lui rendre la vie. Dans cet intervalle, la fausse
lles-mêmes ; de lancer avec force des traits lumineux et perçans, qui
viennent
subitement éclairer et pénétrer l’âme tout à-la-f
par ce premier succès, Nisus lève le bras, lance un second trait, qui
vient
en sifflant frapper Tagus, et lui perce les deux
, Hector mon fils, ne pourroit nous garantir du sort qui nous menace.
Venez
, venez plutôt vous réfugier avec nous dans cet as
r mon fils, ne pourroit nous garantir du sort qui nous menace. Venez,
venez
plutôt vous réfugier avec nous dans cet asile. Ce
ourantes attendent en vain les pleurs de l’aurore. Le doux sommeil ne
vient
plus, sur les ailes de la nuit, verser ses pavots
Elles ont été presque toutes imitées par les poëtes épiques qui sont
venus
après lui. Je n’en rapporterai aucune, parce qu’o
seules forces. Mais la reine des Volsques, la célèbre Camille(b), ne
vient
-elle point à notre secours, ne nous amène-t-elle
; c’est sous tes pas que l’heureuse abondance, Fille de tes travaux,
vient
enrichir la France. Bienfaiteur de ce peuple arde
rd le souvenir de l’Empire que les destins lui assurent. Mais Mercure
vient
lui annoncer les ordres de Jupiter, pour qu’il ai
ontre Enée, comme celui-ci l’a demandé. Cependant le chef des Troyens
vient
attaquer les Latins par deux endroits. Turnus, à
s Latins le violent, en tirant sur les Troyens, et les deux armées en
viennent
aux mains. Enée blessé d’une flèche lancée par un
lus sombre. Dans les eaux s’éteignant, va faire place à l’ombre. D’où
vient
le noir chagrin, que je lis dans tes yeux ? Quoi
e son siècle, il voue sa mémoire à l’exécration de tous les siècles à
venir
. Je ne saurois mieux terminer ces courtes réflexi
ésent ; 4° La pluralité du verbe après un sujet collectif : une foule
vinrent
; 5° La substitution du verbe faire à un verbe do
De ne avec point, de point avec ne. — Du pronom dans l’interjection (
viendra
Pierre ? pour : Pierre viendra-t-il ?). — Du verb
c ne. — Du pronom dans l’interjection (viendra Pierre ? pour : Pierre
viendra-t
-il ?). — Du verbe dire devant que suivi d’une pro
t sont es cueurs endurciz que le mal parmy eulx advenu, advenant et a
venir
ne recordent, ne sentent, ne prevoyent de longue
este doctrine, de laquelle ie me veux efforcer de vous rendre raison,
vient
à arguer qu’elle est desia condamnee par un commu
is de paix, et le fils de Dieu n’est point ministre de peché, qui est
venu
pour rompre et destruire les œuvres du diable. Et
r, d’une lecture, d’un mot lui suggère. Il prend sa pensée comme elle
vient
, récrit comme il pense ; le lecteur doit la prend
ue des yeux et des oreilles que ce défilé d’images, toutes de franche
venue
, et cette bonne sonorité de mots bien trébuchants
et d’impatience, abandonner toutes choses pour entretenir un nouveau
venu
, et perdre tout respect et contenance pour croche
t representé des coqs, deffendoit à ses garsons qu’ils ne laissassent
venir
en sa boutique aulcun coq naturel ; et aurois plu
ter105, que ie n’en tire cuisse ou aile. Pour ce mien desseing, il me
vient
aussi à propos d’escrire chez moy, en païs sauvag
e bien clairement chez Tacitus110. Les ambassadeurs de Samos estoient
venus
à Cleomenes, roy de Sparte, preparez d’une belle
de saison : s’il n’est pas bien pour ce qui va devant, ny pour ce qui
vient
aprez, il est bien en soy. Ie ne suis pas de ceul
u langage, la recherche des phrases nouvelles et des mots peu cogneus
vient
d’une ambition scholastique et puerile. Peusse ie
langue, et tresbien versé en la latine. Cettuy cy, qu’il avoit faict
venir
exprez, et qui estoit bien chèrement gagé, m’avoi
i n’y apportent que le soing et la diligence de r’amasser tout ce qui
vient
à leur notice, et d’enregistrer, à la bonne foy,
les et vos vies : et tout ce degast151, ce malheur, cette ruyne, vous
vient
, non pas des ennemys, mais bien certes de l’ennem
ser de remontrance. Au demourant, messieurs, prenez garde, quand vous
viendrez
au jugement, de n’y apporter poinct d’inimitié, n
qui dict le poëte : Non ponebat enim rumores ante salutem165. Je
viens
aux dons et presens : Messieurs, vous sçavez que
ellay suivit Ronsard en son collège, et, un an après, lui, le dernier
venu
, il publia le manifeste de la nouvelle école poét
asion de la mespriser comme chose vile et de petit pris173 ? Le temps
viendra
peut estre, et je l’espere, moyennant la bonne de
da à l’executeur s’il avoit rien ouy dire des chevaliers qui estoient
venus
avec luy, principalement de Lycortas. L’executeur
as proprement une vraye tempeste, quand l’usurier apres quelque temps
vient
assaillir les miserables debteurs en leur disant,
r ? comment est-ce que son goust ne fut degousté par terreur quand il
vint
à manier l’odeure des bleceures, quand il vint à
é par terreur quand il vint à manier l’odeure des bleceures, quand il
vint
à recevoir le sang sortant des playes mortelles d
e aux bras ny aux jambes : ains estoyent mesdites jambes toutes d’une
venue
: de sorte que les liens de quoy j’attachois mes
pouvre soldat qu’aye esté de long temps en ce royaulme ; car je suis
venu
au monde fils d’ung gentilhomme, que son père avo
is jamais faire si bonne myne, ni monstrer plus belle résolution pour
venir
combatre ; et ne me contredit jamais en aucune ch
né, et aux gentilshommes qu’estoient soubz ma cornette206 qu’estoient
venus
avecques ma companie ; et commensasmes à marcher
aigner une petite montaigne qu’il y avoit ; et d’autre part je voyois
venir
les nostres en furie. Je voyois leurs cornettes d
en leurs nouveaux estats qu’ils avoient obtenus. Soudain il les fist
venir
devant luy, qui ne bougea ferme de sa chaire212.
heure donc de la nuict et des matines de ceste sanglante feste estant
venue
, M. de Guyze en estant adverty du roy, et bien ai
, bien suivy, monta en haut, et, ayant faussé la porte de la chambre,
vint
à M. l’admiral avecqu’un grand espieu large en la
, je fais signe au plus apparent que je veux parler à luy ; et estant
venu
à moy, je le priay de faire faire silence, afin q
yage ; que tant s’en faut que je leur voulusse apporter du mal par ma
venue
, que je ne leur vouldrois pas seulement donner de
faire. Enfin ayant assez crié par les fenestres, les bourguemaistres
viennent
parler à moy, si saouls qu’ils ne sçavoient ce qu
n devant le Louvre son catholicon (καθόλικον) ou panacée universelle.
Viennent
ensuite la procession qui précède la tenue des Ét
ses diplomates, harangues aux cours souveraines, tout est de franche
venue
, de tour alerte et vif, avec une pointe de gaieté
r la sienne. Pourquoy ? tu le sçauras de moy à Nerac ; hastes, cours,
viens
, vole ; c’est l’ordre de ton maistre et la priere
stre n’est de trop dans la balance du bon droict ; hastez donc de l’y
venir
mettre et de m’envoyer le plus de vos bons parens
envoyer le plus de vos bons parens que vous pourrés. D’Ambrajac m’est
venu
joindre avec tous les siens, chasteaux en croupe
découdre, et ainsy besoin de vos services) de partir aussy tost pour
venir
me joindre. Sans doute vous n’aurés manqué ainsy
rsqu’elle vous le permettra, vous me ferés un singulier plaisir de me
venir
trouver. Je ne vous dirai poinct que vous serés l
me venir trouver. Je ne vous dirai poinct que vous serés le trés bien
venu
, je m’asseure que vous n’en doubtés nullement. Su
veut envoyer quant et luy, et qu’il est encores besoin que tous trois
viennent
bien preparez et fournis de raisons et moyens, de
’encontre de Vostre Majesté ? Quant aux longueurs, combien qu’on n’en
viendra
jamais là que de laisser partir vosdits Ambassade
ovocation [1610] Deux Gentils hommes se convièrent effrontément à
venir
disner à Dognon, et entrèrent en discours sur la
ls hommes, que s’il ne le pouvoit avoir autrement, il le convieroit à
venir
voir en un pré une des bonnes espees de France ;
ue M. le Duc avoit des qualitez dont il ne se pouvoit dépouiller pour
venir
à une telle espreuve de sa valeur. Responce : « M
N. Dieu le veulle, à la charge de te donner cinq bons sols ! FRONTIN.
Venez
disner. Dimanche, vous les ferez publier au prosn
esprits, plus farouches ou plus apprivoisés. Mais il faut toujours en
venir
là. Il est très-Vrai qu’il y a toujours quelque c
ra un étonnement universel. On criera partout que tout est perdu ; on
viendra
dire qu’Annibal est aux portes de la ville, qu’un
un homme qui prend plaisir de naviguer dans l’orage, et qui n’est pas
venu
au monde pour le laisser en oisiveté. Quand vous
ed et de quarante canons. Cette nuée, grosse de foudres et d’éclairs,
vient
fondre sur la Picardie, qu’elle trouve à découver
s paysans et brûlent nos villages. Mais sur le premier bruit qui leur
vient
que Monsieur s’avance avec une armée et que le ro
r la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçoient de piller Paris et d’y
venir
reprendre jusque dans Notre-Dame les drapeaux de
encore bien Corbie, en dépit des pluies et de l’hiver. Mais puisqu’il
vient
à propos de parler de lui, et qu’il y a trois moi
nt la postérité le verra. Mais lorsque, dans deux cents ans, ceux qui
viendront
après nous liront en notre histoire que le cardin
oit regarder les États comme immortels, y considérer les commodités à
venir
comme présentes, comptons combien cet homme, que
rme, et la capitale du royaume est en effroi. Les mauvaises nouvelles
viennent
en foule. Le ciel est couvert de tous côtés. Dura
assez de patience pour conduire par ordre toutes leurs pensées : d’où
vient
que, s’ils avoient une fois pris la liberté de do
us suffit pas que votre libelle me déchire en public ; vos lettres me
viennent
quereller jusque dans mon cabinet, et vous m’envo
suivant ; et depuis qu’il est parti jusqu’à l’arrivée du messager qui
vient
faire le récit de sa victoire, Ethra et le chœur
ue nous voudrions être connus de toute la terre, et même des gens qui
viendront
quand nous n’y serons plus ; et nous sommes si va
s jamais au temps présent. Nous anticipons l’avenir comme trop lent à
venir
, comme pour hâter son cours ; ou nous rappelons l
e certaines incivilités qui tiennent du mépris, quoiqu’elles puissent
venir
d’un autre principe. C’est bien assez qu’on persu
contraire à la témérité de ceux qui croient tout et décident de tout,
vient
néanmoins de la même source, qui est le défaut d’
le donner. L’un paroÏt avec une déférence respectueuse, et dit qu’il
vient
recevoir des instructions pour sa conduite, et so
ouvent est de faire approuver ses sentimens, et de rendre celui qu’il
vient
consulter garant de l’affaire qu’il lui propose.
e rendre à la raison aussitôt qu’elle paroît, de quelque part qu’elle
vienne
: elle seule doit régner sur nos sentimens ; mais
pas aisément ce qui est au-delà de ce que nous voyons. Le bon goût
vient
plus du jugement que de l’esprit. Chacun dit du
onsieur, d’avoir un protecteur aussi chaud que vous. Mais enfin, pour
venir
au fait, il est question de savoir si sa pièce es
te de saint Louis ? M. JOURDAIN. Taisez-vous, ma femme ; je vous vois
venir
. MADAME JOURDAIN. Descendons-nous tous deux que d
ui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’il falloit qu’elle me
vint
visiter en équipage de grande dame, et qu’elle ma
s choses qui rendront notre siècle l’admiration de tous les siècles à
venir
, Corneille, n’en doutons point, Corneille tiendra
indifférent à l’effet littéraire : son idée l’occupe seule ; les mots
viendront
comme ils pourront, sans que seulement il y regar
Éloquence de saint Paul N’attendez pas de l’Apôtre ni qu’il
vienne
flatter les oreilles par des cadences harmonieuse
ant de fameuses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où
vient
cela, chrétiens ? C’est que Paul a des moyens pou
est répandue et mêlée dans l’auguste simplicité de ses paroles. De là
vient
que nous admirons, dans ses admirables Épîtres un
ence des maux du monde369, ni des traverses qui nous arrivent : de là
vient
qu’elle s’imagine qu’il n’y a point de dégoût, de
Néant de l’homme J’entre dans la vie avec la loi d’en sortir, je
viens
faire mon personnage, je viens me montrer comme l
ans la vie avec la loi d’en sortir, je viens faire mon personnage, je
viens
me montrer comme les autres : après, il faudra di
-là même donneront à leurs successeurs le même spectacle ; tous enfin
viendront
se confondre dans le néant. Ma vie est de quatre-
capable de me distinguer du néant où il faut que j’aille. Je ne suis
venu
que pour faire nombre ; encore n’avoit-on que fai
nous échappons l’une, nous tomberons en une autre ; à la fin, il faut
venir
entre ses mains. Il me semble que je vois un arbr
s moins : que, s’il y en a qui échappent de l’orage, toujours l’hiver
viendra
, qui les flétrira et les fera tomber ; ou, comme
né les cœurs ; et s’il avoit ôté de sa vie la tache que Votre Majesté
vient
d’effacer, sa gloire seroit accomplie, et on pour
pprocher du tombeau de Lazare, et qu’ils lui dirent : Veni, et vide ;
venez
et voyez, Venez avares ; vous brûlez d’une insati
eau de Lazare, et qu’ils lui dirent : Veni, et vide ; venez et voyez,
Venez
avares ; vous brûlez d’une insatiable cupidité do
nd oubli de votre salut. Considérez bien ce cadavre : Veni, et vide ;
venez
et voyez. C’étoit un homme de fortune comme vous
u tout le reste ? Voilà de quoi borner votre avarice. Veni, et vide :
venez
, homme du monde, idolâtre d’une fausse grandeur ;
de ses prétentions ? c’est de quoi régler les vôtres. Veni, et vide :
venez
, femme mondaine, venez ; vous avez pour votre per
est de quoi régler les vôtres. Veni, et vide : venez, femme mondaine,
venez
; vous avez pour votre personne des complaisances
laire, elle vous rend complice de mille péchés et de mille scandales.
Venez
, et voyez : c’étoit une jeune personne aussi bien
eurs, vous donner d’abord une plus haute idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir qu’en recueillant ces termes nobl
otre esprit, à la place du héros dont parle l’Écriture, celui dont je
viens
vous parler ? La vertu et le malheur de l’un et d
visite de cérémonie en province394 Toutes les dames de la ville
vinrent
pour rendre leurs respects à nos dames, non pas s
e Messieurs de l’Académie. C’est, monsieur, ce qui nous a obligées de
venir
vous témoigner l’estime que nous faisons de vous.
eu de gens polis et bien tournés dans ce pays barbare, que, lorsqu’il
vient
quelqu’un de la cour ou du grand monde, on ne sau
oi, et il croit aisément que tout le monde est de même ; mais si l’on
vient
à lui manquer, on ne regagne plus sa confiance ;
é, mais aussi sa bonté, sa clémence et son cœur vraiment royal pour y
venir
donner leur suffrage. C’est, sire, devant ce trib
lequel il nous étoit impossible de rien faire ? Votre Majesté, sire,
vient
donner au monde un siècle nouveau, où ses exemple
le, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’avec ceux qui
viennent
pour l’interroger et pour l’accuser ? Encore que
’une puissance très médiocre, par la seule force de leur mérite, sont
venus
à fonder de grands empires, ont passé comme des é
oint la gloire de vos prédécesseurs ni l’intérêt de vos successeurs à
venir
, dont vous n’êtes que le dépositaire : car alors,
que tout l’art de la politique est de se servir des conjonctures, je
viens
à douter quelquefois si les discours qu’on en fai
s propres raisonnemens n’est pas raisonnable ; car l’application nous
vient
principalement de la coutume, et le bon sens ne s
e se mécomptera pas peut-être moins en ses mesures ; car s’il en faut
venir
à des extrémités avec son maître pour un point d’
se ; elle étoit comme je la pouvois désirer. M. de la Rochefoucauld y
vint
; on ne parla que de vous, de la raison que j’avo
sentimens que vous n’aimez à me les dire. De quelque façon qu’ils me
viennent
, ils sont reçus avec une tendresse et une sensibi
ud. Je n’ai reçu que deux de vos lettres ; peut-être que la troisième
viendra
; c’est la seule consolation que je souhaite ; po
suis entièrement incapable de voir beaucoup de monde ensemble ; cela
viendra
peut-être, mais il n’est pas venu. Les duchesses
eaucoup de monde ensemble ; cela viendra peut-être, mais il n’est pas
venu
. Les duchesses de Verneuil et d’Arpajon me veulen
des comédies419 pour la Champmeslé : ce n’est pas pour les siècles à
venir
. Si jamais il n’est plus jeune, et qu’il cesse d’
t a vu M. de Pompone. Mais ce n’est pas, dites-vous, une nécessité de
venir
; et le raisonnement que vous me faites là-dessus
dans le carnaval, je crois toujours qu’il vous en coûteroit moins de
venir
ici, où vous ne serez point obligée de rien appor
pour mes intérêts comme il est pour les vôtres. Enfin, ma fille, vous
venez
, c’est tout ce que je désirois le plus ; mais je
e nous donnez point d’un pont d’Avignon ni d’une montagne de Tarare ;
venez
sagement ; c’est à M. de Grignan que je recommand
édiocrité que vous vantiez si fort. Soyons contens. Si les biens nous
viennent
, recevons-les de la main de Dieu ; mais n’ayons p
e pour vous seul. J’aurois bien du plaisir à vous voir ici, mais cela
viendra
avec le temps. J’ai de bonnes espérances : M. de
avancé, j’ai passé des années dans le commerce de l’esprit ; je suis
venue
à la faveur, et je vous proteste, ma chère fille,
ur est couverte d’hommes qui taillent et qui coupent, qui vont et qui
viennent
, qui roulent ou qui charrient le bois du Liban, l
ir qu’elle a suivie. Alexandre n’avoit pas besoin que les Scythes lui
vinssent
apprendre son devoir dans une langue étrangère ;
l fait parler. Voilà la force de l’imitation et de la peinture. De là
vient
qu’un peintre et un poëte ont tant de rapport455
u chez un seul peuple resserré dans un coin du monde ; mais celui qui
vient
d’en haut est au-dessus de tout : à Jésus est rés
erchoient pas464… Peuples des extrémités de l’Orient, votre heure est
venue
. Alexandre, ce conquérant rapide que Daniel dépei
e venir de loin. Qu’ils sont beaux les pieds de ces hommes qu’on voit
venir
du haut des montagnes apporter la paix466, annonc
n, ton Dieu régnera sur toi ! Les voici, ces nouveaux conquérans, qui
viennent
sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils vien
conquérans, qui viennent sans armes, excepté la croix du Sauveur. Ils
viennent
, non pour enlever les richesses et répandre le sa
propre sang et communiquer le trésor céleste. Peuples, qui les vîtes
venir
, quelle fut d’abord votre surprise ! et qui peut
d’abord votre surprise ! et qui peut la représenter ? Des hommes qui
viennent
à vous, sans être attirés par aucun motif, ni de
vironnent ne leur sont rien parce que le comble de leur félicité, qui
vient
du dedans, ne leur laisse aucun sentiment pour to
aint Paul annonce aux sages du monde le Dieu inconnu. Mais le profane
vient
après le sacré, et je ne dédaigne pas de descendr
breux que les étoiles du firmament, qui, rassemblés des quatre vents,
viennent
en foule reconnoitre le Christ qu’ils ont percé,
t frayé le chemin, et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui
viendront
après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ains
in Socrate ! Que j’ai de joie de vous voir ! Je suis tout fraîchement
venu
en ce pays-ci, et dès mon arrivée je me suis mis
cœur. On est ignorant dans un siècle, mais la mode d’être savant peut
venir
; on est intéressé, mais la mode d’être désintére
nt peut venir ; on est intéressé, mais la mode d’être désintéressé ne
viendra
point. Sur ce nombre prodigieux d’hommes assez dé
dé à Mme la duchesse de Bourgogne qu’il s’en alloit à Marly, et de le
venir
attendre dans l’avenue entre les deux écuries, po
zarre d’une princesse qui se remet en cérémonie, en pleine nuit, pour
venir
pleurer et crier parmi une foule de femmes en dés
Il eut peine à trouver quelqu’un pour aller trouver des capucins pour
venir
prier Dieu auprès du corps. (Mémoires, tome VII
re et sûre, a semé de piquants récits et tracé des portraits achevés.
Venue
après les Lafayette, les Sévigné et les Maintenon
ment l’esprit français, dit Sainte-Beuve, « il est cet esprit même ».
Venu
en France en 1648, et, pour toujours, en 1688, il
être le premier à pronostiquer le mal. Plusieurs personnes, en effet,
vinrent
trouver la reine, qui, légèrement et sur de fauss
la chose en raillerie, et me demanda au sortir du conseil, comme elle
vint
se déshabiller, si je n’avois pas eu grand peur.
aîment qu’à midi, peu après son retour du Te Deum, quand on lui étoit
venu
dire le bruit que le peuple commençoit à faire, e
avoit bien deviné : car j’avois pensé mourir d’étonnement quand on me
vint
dire que Paris étoit en armes, ne croyant pas que
mandai à l’hôte ce que c’étoit. « Un marchand de Bâle, me dit-il, qui
vient
vendre ici des chevaux : mais je crois qu’il n’en
réserve du petit Suisse, qui se tint auprès de moi, et de l’hôte, qui
vint
se mettre de l’autre côté. Ils fumoient comme des
s les saillies que mon humeur enjouée me fournissoit, quand deux pies
vinrent
se poser sur les arbres qui nous couvroient de le
n proie à la pauvreté. » Je cessai de parler en cet endroit pour voir
venir
le duc de Lerme, qui me demanda, en souriant, que
de son Enéide en vers français, le renvoya assez durement, et laissa
venir
à sa place madame de la Fayette, qui avait mis so
Louvre, dont on n’est point redevable au cavalier Bernini, qu’on fit
venir
inutilement en France avec tant de frais, et qui
Nos petits marquis rengorgés, Nos robins toujours arrangés, Chez toi
venaient
se reconnaître ; Et tu les aurais corrigés Si l’e
’est à l’aîné qu’appartiennent les trente mille pièces. Zadig les fit
venir
tous deux l’un après l’autre. Il dit à l’aîné : V
es trente mille pièces : c’est vous qui aimez le mieux votre père. Il
venait
tous les jours des plaintes à la cour contre l’it
ricains ; car, si elle étoit telle qu’ils le disent, ne seroit-il pas
venu
dans la tête des princes d’Europe, qui font entre
le journée, mon premier souhait étoit que ni lettres, ni visites n’en
vinssent
troubler le charme. Après avoir donné la matinée
c le fidèle Achate, pressant le pas, dans la crainte que quelqu’un ne
vînt
s’emparer de moi avant que j’eusse pu m’esquiver
je pusse croire avoir pénétré le premier, et où nul tiers importun ne
vînt
s’interposer entre la nature et moi. C’étoit là q
i un joli salon, où les habitans des rives voisines se rassemblent et
viennent
danser les dimanches durant les vendanges. C’est
irer ; mais, sur ce motif même, je ne vois rien de moins utile que de
venir
vous établir à Montmorency. Vous n’avez pas besoi
Voilà, monsieur, des conseils qui valent tous ceux que vous pourriez
venir
prendre à Montmorency. Peut-être ne seront-ils pa
ne d’avoir des gens, s’ils ne servoient à chasser le pauvre, quand il
vient
réclamer son bien ; et, en lui montrant combien j
embleroient moins frais et moins touchans sans les nouveaux hôtes qui
viennent
les animer. De ces hôtes des bois, les fauvettes
s ; ils se dispersent dans toute l’étendue de nos campagnes : les uns
viennent
habiter nos jardins ; d’autres préfèrent les aven
ès-profond respect, etc. Pensées diverses Les grandes pensées
viennent
du cœur572. Lorsqu’une pensée est trop foible pou
il ne s’en ira point sans avoir mis à contribution ces malheureux. Il
vient
avec un vieux soldat ; il a fait sa demande. Son
la campagne. Il revient, et dans quel moment ? Au moment où son père
vient
d’expirer. Tout a bien changé dans la maison ! C’
vous, à l’horizon, une belle couleur orange qui se nuance de vert, et
vient
se perdre au zénith dans une teinte lilas, tandis
d’un vaste réseau, semblable à de la soie blanche. Lorsque le soleil
vint
à passer derrière, chaque maille du réseau parut
ù il venoit, et où il alloit en si grande hâte. Il me répondit : « Je
viens
du quartier de l’île appelé la Poudre-d’Or ; on m
ses fanaux allumés, et que, dans ce cas, il craignoit que le vaisseau
venu
si près du rivage n’eût passé entre la terre et l
erre, il lui étoit également impossible de s’en aller par où il étoit
venu
, ou, en coupant ses câbles, d’échouer sur le riva
s salariées, et point par des mains que dirige l’intérêt commun. D’où
vient
cette espèce de torpeur dans laquelle paraissent
: Nous pouvons essuyer une défaite ; que feront alors les Prussiens ?
Viendront
-ils à Paris ?… Non, ils n’y viendront pas, non, s
ue feront alors les Prussiens ? Viendront-ils à Paris ?… Non, ils n’y
viendront
pas, non, si Paris est dans un état de défense re
crime de contre-révolution à Pomponius de ce qu’un ami de Séjan était
venu
chercher un asile daus une de ses maisons de camp
dais ou à Sainte-Pélagie610. Le prince leur envoyait l’ordre de faire
venir
leur médecin, et de choisir, dans les vingt-quatr
re missionnaire dépourvu de tous les talents que vous exigez quand on
vient
vous parler de votre salut. J’éprouve cependant a
et par-dessus tout l’éternité, l’éternité ! voilà les sujets dont je
viens
vous entretenir, et que j’aurois dû sans doute ré
ussitôt d’effroi, pénétrés d’horreur pour vos iniquités passées, vous
viendrez
vous jeter entre les bras de ma charité en versan
appeler. Tous les amis de ce grand homme et les principaux de l’armée
vinrent
se ranger autour de lui ; il étoit pâle, les yeux
la fièvre du fanatisme religieux, le goût des lettres et des sciences
vint
se mêler à leur zèle pour la propagation de la fo
inopinément au sommeil et à la flamme, ne sachant où il est, d’où il
vient
, où il va, ce qui se passe, s’abandonnoit. Cepend
dons et lui fis des reproches de ce qu’il s’étoit exposé. « Eh ! d’où
vient
cet ennui de vivre ? — De tout ce que je vois. —
n s’amuse à vivre tant qu’il voudra, c’est son métier ; mais qu’il ne
vienne
point nous étourdir de ses impertinences sur le m
men. Pour mon fils. — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
vienne
aussi prendre son mot. Tu ne peux pas me donner u
ppris. Sans doute on est importuné de tous ces bâtiments modernes qui
viennent
se mêler aux antiques débris ; mais un portique d
charme de l’expression comme un engagement pour la conduite, et de là
vient
leur susceptibilité ; car ils n’entendent pas un
roupeaux de cavales demi-sauvages, qui descendent au bord du Tibre et
viennent
s’abreuver dans ses eaux. Vous vous croiriez tran
onie est encore le même. On cite plusieurs exemples de voyageurs qui,
venus
à Rome dans le dessein d’y passer quelques jours,
lques jours, y sont demeurés toute leur vie. Il fallut que le Poussin
vînt
mourir sur cette terre des beaux paysages ; au mo
ates le Muiron, la Carrère, les chebecks694 la Revanche et la Fortune
vinrent
, à la pointe du jour, mouiller dans le golfe de F
pourvu qu’il me fût permis de la parcourir à mon aise ; mais en être
venu
si près, et n’y pouvoir mettre le pied, n’est-ce
rions une fille. Mais pas une barque, et voilà l’embarras. Il nous en
vient
, dit-on ; tant que j’aurai cet espoir, ne croyez
oir défendre, nous l’eussions bonnement laissé là ; nous n’étions pas
venus
pous faire violence à personne. Voilà un commanda
raisonnés, au sixième volume à peine entrevoit-on où l’auteur en veut
venir
. — Une feuille, dis-je, il est vrai, ne saurait c
nts, vous serez présenté au roi. Malheureusement je ne saurais. Quand
vint
la souscription de Chambord, sagement il n’en fal
isément dès qu’on la lui présente. Et s’il n’en était pas ainsi, d’où
viendrait
cette croyance unanime, et ce nom même de Dieu en
qu’elle est ? Enfin il se trouvera des intelligences rebelles qui en
viendront
jusque-là. Elles mettront leur gloire à se sépare
n ver ronge le fruit où il est caché. Or, bien que la même pensée fût
venue
également à l’autre père, il ne s’y était point a
en temps il levait les yeux, et regardait ces oiseaux qui allaient et
venaient
portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà q
e au coin de la rue, dans la défaillance du besoin, ou qu’un accident
vient
d’atteindre. Un homme la regarde, la plaint, et p
ain espace ; elle va de midi à six heures, par exemple ; puis, voyant
venir
les ténèbres, vous dites : On ne passe plus. Vous
unèbre du général Drouot722 Monseigneur723, Messieurs, La France
venait
d’être visitée par les plus grands revers de son
a vie domestique, il ne la quitta plus ; insensible aux occasions qui
venaient
tenter sa solitude, il laissa ses compagnons d’ar
ssasié de jours, mais prêt encore à vivre, il entendît cette voix qui
vient
d’en haut, et qui appelle tout homme, quel qu’il
r la pensée commune, rencontra pour parler de lui des expressions qui
venaient
du cœur de tous. Quel était donc cet homme ? Qu’a
quoi, parmi de plus illustres, était-il plus cher et plus admiré ? Je
viens
vous le dire, Messieurs, quoique vous le sachiez
? Je viens vous le dire, Messieurs, quoique vous le sachiez tous ; je
viens
, en vous entretenant de cette belle carrière, ren
it remarquer ce qu’il croit être une méprise, et sur sa réponse qu’il
vient
pour subir l’examen, il lui permet de s’asseoir.
e s’asseoir. On attendait avec impatience le tour du petit paysan. Il
vient
enfin. Dès les premières questions, La Place reco
ions appelé le héros dont vous fûtes l’ami ; il n’eût pas dédaigné de
venir
à vos funérailles comme vous étiez venu à ses mal
i ; il n’eût pas dédaigné de venir à vos funérailles comme vous étiez
venu
à ses malheurs. Mais tant de pompe eût alarmé la
arles VI. Autour de ce centre de récit, premier objet de l’historien,
venaient
se réunir des histoires tout entières, amenées là
pensées. Les poètes, ces devanciers ordinaires des orateurs, étaient
venus
; Malherbe avait enseigné l’harmonie, et Corneill
petite maison de Thèbes, poëte et chanteur, et, à ce titre, hôte bien
venu
dans les cités de la Grèce, dans les palais des r
es et inévitables étaient les mains du prince de Condé. » Un seul mot
vient
ici littéralement de Pindare, et avant lui, d’Hom
vieillard qui l’avait sincèrement aimée et laborieusement servie. Il
vint
s’établir à Rouen pour être plus près du sol de l
au xviiie , et qu’au commencement de celui-ci M. Royer-Collard755 est
venu
réhabiliter dans l’enseignement public, pendant q
la lune grande comme le Péloponèse ; mais après les Anaxagoras il est
venu
des Copernic et des Kepler766, qui ont frayé la r
de riches productions minérales, et entre autres une pépite770 d’or,
venue
récemment du Pérou, et de la plus grande beauté.
. C’est à ses funérailles surtout, dans ce concours de malheureux qui
venaient
pleurer sur sa tombe, que l’on put apprendre à qu
était très pieux. Un de ses amis, ministre dans une église de Berlin,
vint
lui dire un jour : La religion est perdue, la foi
e ; ajoutez ensuite qu’il n’existe aucune étoile dont la lumière nous
vienne
en moins de trois ans ; qu’il en est quelques-une
ployer un moyen d’observation particulier, et dont la lumière ne nous
vient
pas en moins de trente ans. En passant des résult
qui voudrait le servir de la lance, de l’épée ou de l’arbalète. Il en
vint
une multitude, par toutes les routes, de loin et
par toutes les routes, de loin et de près, du nord et du midi. Il en
vint
du Maine et de l’Anjou, du Poitou et de la Bretag
ces, des épées et des cottes de mailles, et des portefaix allaient et
venaient
sans cesse pour transporter les armes des atelier
entiques Jacques était encore bien jeune lorsque des étrangers789
venus
du Midi envahirent la terre de ses ancêtres : c’é
6 sa fortune. Il regarda patiemment les voleurs ; et, quand leur chef
vint
à passer, il le salua du cri de vivat rex ! À quo
u temps et des hommes. Après la domination des Romains vainqueurs est
venue
la domination des vainqueurs Francs, puis monarch
Thiers (Adolphe), né à Marseille, après des succès d’académie à Aix,
vint
à Paris chercher le théâtre qui lui convenait. Jo
uses, ses paroles entrecoupées, ses chairs palpitantes ; mais bientôt
venait
la lumière : alors son esprit faisait en un insta
le à la mort qui paraissait lui être réservée dans les combats, était
venu
apporter à Bossuet les derniers moments d’une vie
ue Didier et Cie) Sieyès823 En 1830 l’octogénaire M. Sieyès
vint
jouir, dans sa patrie recouvrée, de la liberté do
destinée ! » Ce sont eux qui, treize ans plus tôt, dans le midi, sont
venus
tenter l’Orient par l’Égypte, et se briser contre
u à peu près mort ; et, s’il n’y avait que ce côté-là en lui, nous ne
viendrions
pas le tirer de ses limbes. Mais il y a le Ducis
famille se mêlait sans cesse à cette joie chrétienne du solitaire, et
venait
la tempérer par quelques regrets : il se reportai
de talent qui s’y noie trop dans le mauvais goût du siècle, et on en
vient
à reconnaître qu’avec tous ses défauts, et en usa
prement pour Rome ce que l’atticisme était pour Athènes, ce mot-là en
vint
à exprimer bientôt un caractère de politesse qui
dans tout l’air des personnes. Puis, avec l’usage et le temps, il en
vint
à exprimer plus encore, et à ne pas signifier seu
ontrariés et si lents, sa marche si incertaine, que le jour où il lui
vint
comme un guide pour le prendre par la main et le
ale dans la langue la plus communicative du monde moderne. La Réforme
vint
ensuite ; et, de même que la Renaissance nous ren
II, § 3.) Visite à augustin thierry aveugle (1832). On était
venu
nous dire qu’il nous recevrait sous la charmille
is pas incommodé. Je le rassurai, et m’assis près de lui. Les paroles
venaient
lente- ment ; il s’était promis de m’en tant dire
u qu’il y a de bonheur en lui. J’en fus d’autant plus surpris, que je
venais
d’apprendre par les siens qu’il avait tous les jo
in867 Quelque temps ayant que Simon Vouet868 quittât l’Italie et
vînt
fonder en France sa grande fortune, on avait vu s
urne vers le Corrége, ne semble-t-il pas lui dire : « Avancez donc et
venez
aussi nous raconter vos secrets, vous qui êtes lu
es ; Apelles conduit Raphael par la main ; Virgile amène Dante ; puis
viennent
Tasse, Corneille, Poussin, coupés à mi-corps par
re endormie et couchée contre le pied de la tour. Presque aussitôt on
vient
la relever, car ce poste n’est gardé que la nuit.
ngtaine de petits enfants qui montaient, leurs sabots à la main, pour
venir
prendre les leçons qu’il leur donnait jusque sur
usque sur son lit de mort ; un peu plus loin, le curé du village, qui
venait
passer le soir avec lui. Je saluai le prêtre avec
ribes héraldiques, car c’est de là, et non du siège des Normands, que
vient
, selon Pasquier915, le navire qui blasonne le vie
u couronnement. Quasimodo alors bouillait à grosse écume ; il allait,
venait
; il tremblait avec la tour de la tête aux pieds.
es les musiques chantant : Veillons au salut de l’Empire, ils étaient
venus
, colonne épaisse, une de leurs batteries à leur f
sur la seconde, la crosse à l’épaule, couchant en joue ce qui allait
venir
, calme, muette, immobile, attendait. Elle ne voya
demoiselle Branchet ! » Et celle-ci, fâchée de se voir presser ainsi,
venait
tout doucement, et répondait avec beaucoup d’aigr
urs une espèce de crainte, et j’ai le pressentiment que, si jamais je
venais
à mourir, ce serait à minuit. Je mourrai donc un
m’était survenu quelque scrupule sur la sévérité de la morale que je
venais
d’établir. Mais, ne voulant pas approfondir ce do
ue jour : aussi, tous les soirs, avant de me retirer dans la tour, je
viens
saluer les glaciers de Ruitorts, les bois sombres
et je me mis à respirer l’air embaumé de la nuit. Une odeur de forêt
venait
à moi, par-dessus les murs, un peu mélangée d’une
nous attendons toujours un événement ou une guerre. Je ne sais (et je
venais
vous en parler) s’il ne serait pas vrai de dire e
gne, de Dieppe et des Sables, est un immense événement. Les paysans y
viennent
à cheval, la plupart apportent des denrées dans d
ouvement perpétuel d’aides de camp partant et revenant, Duroc951, qui
vint
chercher mademoiselle de Cinq-Cygne et le marquis
leine, qui a reçu le portefeuille de notre père mourant. Sa veuve est
venue
me prier de paraître à sa veillée et d’y chanter
aître à sa veillée et d’y chanter quelque chose. Il convient que vous
veniez
aussi. Ce sont nos voisins, et c’est une politess
me mets devant le mort, et je pense à ceux qui restent. Les larmes me
viennent
aux yeux. Et alors je chante ce qui me vient à l’
estent. Les larmes me viennent aux yeux. Et alors je chante ce qui me
vient
à l’esprit. Tout cela était dit avec une simplici
rant mal une large cicatrice qui commençait à l’oreille gauche et qui
venait
se perdre dans son épaisse moustache. Il avait ôt
me, par quelque usage et cognoissance que j’avois des choses, je suis
venu
à entendre aulcunement les paroles. » Traduction
, 1559 ; Œuvres morales, 1574. 139. Quand, au jeu de paume, la balle
vient
à droite, elle est plus facile renvoyer. 140. En
utain et de si menaçant pour les ennemis, qu’on ne sait d’où lui peut
venir
ce mélange de qualités si contraires… Pendant que
et, Or. fun. du pr. de Condé.) 497. « On me mande que M. de Turenne
vient
encore de pousser l’arrière-garde des ennemis. C’
des Lois.) 640. De Providentia, V. Ce n’est pas le seul emprunt qui
vienne
d’être fait à Sénèque. Cf. : Calamitas virtutis o
que lorsque, rompant son ban, jetant ses fers au visage des rois, il
vint
seul, de Cannes à Paris, coucher paisiblement aux
Les nuages couraient rapidement, les hirondelles rasaient la terre :
vint
ce gros coup de tonnerre, et puis la pluie. Dès l
r par les élans sublimes de son génie. Le style, c’est le coloris qui
vient
animer le tableau, lui donner de l’éclat, enchant
lat, enchanter les spectateurs et ravir leurs suffrages. Le mot style
vient
d’une expression latine (stylus) qui elle-même es
la pointe on écrivait sur une écorce d’arbre, appelée liber, d’où est
venu
le mot livre, ou même sur des tablettes enduites
ace vacante. » La cabale et l’intrigue y avaient déjà pourvu, et elle
venait
d’être accordée au protégé d’un Crésus ignorant.
pays pluvieux. Ce fut bien un génie qui éleva ces bâtiments, mais il
vint
d’Italie, et se nomma le Primatice : ce fut bien
gardant les seuls bords qui vous peuvent couvrir. Avec moi de ce pas
venez
vaincre ou mourir. Boileau, le Passage du Rhin,
se courbent en voûte, Une pantoufle agile, en déguisant sa route, Va,
vient
, et quelquefois, par son bruit agaçant, Sur le pa
vec l’impiété. Du milieu de mon peuple exterminez les crimes, Et vous
viendrez
alors m’immoler vos victimes. » Racine, Athalie,
. Si n’y eust il galant homme parmi eux, qui ne le regrettait ; et le
venait
voir qui pouvait, comme une belle relique, en pas
prosternait la multitude des prêtres irlandais, malheureux exilés qui
venaient
, comme leur roi, chercher un refuge au pied des a
ysie avait atteint un de ses membres ; les gémissements de sa famille
vinrent
se mêler aux chants de deuil, et l’on entendait l
u’il s’est embarqué sur un navire chargé de sucre, lui dit que, S’il
vient
à bon port, il arrivera confit, et que, si d’aven
et pour moi, j’aurais toutes les hontes du monde, s’il fallait qu’on
vînt
à me demander si j’aurais vu quelque chose de nou
quel pompeux spectacle Frappe mes yeux épouvantés ! Un nouveau monde
vient
d’éclore : L’univers se reforme encore Dans les
ns sont enchantés, l’univers qui se reforme après qu’un nouveau monde
vient
d’éclore et un peuple de héros, qui descend des d
eur passée de l’Espagne : Ruy-Blas à la Monarchie espagnole. Ruy-Blas
vient
d’entrer dans la salle, dite du Gouvernement, où
eur, Que fais-tu dans ta tombe, ô puissant empereur ? Oh ! lève-toi !
viens
voir ! — Les bons font place aux pires. Ce royaum
ur, comme ce jour où, entrant au théâtre de Rome dans le moment qu’on
venait
d’y réciter ses vers, il vit le peuple se lever t
nt ensemble, pas un quatrième, si grand qu’il fût, n’aurait l’idée de
venir
se mêler à leur entretien, ou à leur silence, tan
tentons-nous de les sentir, de les pénétrer, de les admirer, et nous,
venus
si tard, tâchons du moins d’être nous-mêmes. Fais
ous 1 ? Mais pourquoi parler toujours d’être auteur et d’écrire ? Il
vient
un âge, peut-être, où l’on n’écrit plus. Heureux
x qui peuvent obéir à leur libre inclination dans leurs lectures ! Il
vient
une saison dans la vie où, tous les voyages étant
t alors, il est formé et définitif ; le bon sens chez nous, s’il doit
venir
, est consommé. On n’a plus le temps d’essayer, ni
tit nombre de noms grandioses et fortunés qui, par l’à-propos de leur
venue
, l’étoile constante de leurs destins, et aussi l’
plis. Sans doute quelques pèlerins du génie, comme Byron les appelle,
viennent
encore et jusqu’à la fin se succéderont alentour
nt que du côté favorable à l’opinion qu’ils veulent en donner ; de là
vient
que de la même chose il peut y voir plusieurs déf
bonne définition. Une puissance divine indique d’abord la différence,
viennent
ensuite les rapports, c’est-à-dire l’objet de l’e
s vivre sans plaider, est-ce contentement ? CHICANEAU. Des chicaneurs
viendront
nous manger jusqu’à l’âme, Et nous ne dirons mot
! LA COMTESSE. Non. CHICANEAU. Vous ne savez pas, madame, où je
viendrai
. LA COMTESSE. Je plaiderai, monsieur, ou bien je
’assit plein de tristesse et dit : Que sera-ce de moi lorsque la nuit
viendra
et me surprendra dans cette solitude, sans nourri
ocher, s’assit en silence et baissa la tête. Et après celui-ci, il en
vint
plusieurs autres, et aucun ne put mouvoir le roch
r situation réelle se résume dans ces mots : Je plie et ne romps pas.
Vient
ensuite la menace déguisée sous le proverbe : qui
rie, et reconnaît qu’on ne doit point, dans la crainte des malheurs à
venir
, tirer vanité de sa position présente. Pour rédui
composition de quelque intérêt sans que la description ou le tableau
viennent
y prendre plus ou moins de place. Mais il n’est p
ence ; pour cela il s’étudie lui-même ; son cœur est comme un écho où
viennent
se répercuter tous les bruits de ceux qui 1’envir
désert, à travers, solitaires, tous ces mots convenablement distancés
viennent
frapper l’oreille de sons uniformes, et l’on épro
ssus les taureaux, tombe à leurs têtes, et se présente au Gaulois qui
venait
à lui. Toute l’armée s’arrête pour regarder le
la force et de la valeur du héros, l’auteur le compare à un lion qui
vient
d’égorger un troupeau. Cette comparaison est si r
locons de laine, toutes ces idées douces mêlées à l’horreur du récit,
viennent
rendre plus sauvage la férocité du roi des forêts
s. « Mérovée vainqueur se reposait sur son char quand un chef Gaulois
vint
le provoquer à un combat singulier. Le chef Sicam
ellement rendus, par un peuple poli et déjà éclairé, à l’écrivain qui
venait
d’enlever ses suffrages en enchantant ses oreille
ces aux dieux de ce qu’ils n’ont pas inspiré aux Perses le dessein de
venir
attaquer la Lydie ». (Hérodote, Liv. i). Si l’on
et c’est pour vous rappeler à vous-mêmes que je vous ai assemblés. Je
viens
me plaindre à vous de l’injustice de vos emportem
la cité dont il fait partie. Le citoyen le plus heureux, si sa patrie
vient
à tomber, tombe nécessairement avec elle ; tant q
république qui s’écroule, ne faut-il pas que tous se réunissent pour
venir
au secours de la mère commune, et déploient une f
irconstances. Vous avez adopté mes conseils avant que les maux soient
venus
vous assiéger, et vous vous en repentez à présent
upplications des exilés d’Égeste et de Léonte, qui les conjuraient de
venir
à leur secours, les Athéniens se portèrent avec a
s trouvent dans leurs pays, et qu’elles ne sont pas obligées de faire
venir
, comme nous, de très loin. » Ce n’est pas seuleme
avantageusement dans les environs de Syracuse, ils étaient près d’en
venir
aux mains avec les troupes siciliennes. Discours
ù nous vivons, ne nous est-il pas permis d’ignorer qui tu es, d’où tu
viens
? Nous ne voulons point servir ; mais nous ne som
roupeaux de cavales demi-sauvages, qui descendent au bord du Tibre et
viennent
s’abreuver dans ses eaux. Vous vous croiriez tran
romaine. Des buissons de sureau remplissaient les salles désertes où
venaient
se réfugier quelques merles. Les fragments de maç
uelquefois un bison, chargé d’années, fendant les flots à la nage, se
vient
coucher parmi les hautes herbes, dans une île du
nt ces déserts d’une tendre et sauvage harmonie. Mais quand une brise
vient
à animer toutes ces solitudes, à balancer tous ce
plus, à mesure que tous mes autres liens se rompent sur la terre. Je
viens
encore de perdre une sœur1 que j’aimais tendremen
homme ? ou bien cette lie est-elle tout notre cœur et notre tristesse
vient
-elle seulement de l’inexécution de nos vœux injus
eaubriand aime la tristesse de l’horizon sabin. 1. « Deux choses te
viendront
à la fois dans un seul jour, stérilité et veuvage
ne immense Nous console du moins de notre décadence. J’aime, j’aime à
venir
rêver sur ce tombeau, À l’heure où de la nuit le
spendant en France aux voûtes et parois des églises que les huguenots
viennent
d’y démolir. » 1. C’est ici la sensation même.
pose la vue, et l’âme recueillie. Reine des nuits, l’amant devant toi
vient
rêver, Le sage réfléchir, le savant observer. Il
en descendant dans la tombe, si tu ne veux pas te laisser attendrir.
Viens
, mon frère, tu es encore bien petit pour me défen
tendrir. Viens, mon frère, tu es encore bien petit pour me défendre ;
viens
cependant, et prie ton père avec tes larmes, fléc
udissements. Et puis du courant même de la rue, dont les flots agités
venaient
battre, pour ainsi dire, le pied du tribunal, que
oyen accusé par un certain Brutus, quand, au milieu de son plaidoyer,
vint
à passer sur la place le convoi funèbre de Junia,
is de grands traits d’éloquence, mais sans les chercher. Jamais il ne
venait
à l’esprit de personne de demander : Comment a-t-
grecs apportèrent dans Rome leurs cahiers et leurs méthodes. C’était
venir
trop tôt. Un vigoureux décret leur enjoignit de v
entendre le vieux Caton tonner contre ces nouveaux docteurs : — « Que
venez
-vous faire ici, langues dorées et trompeuses ? Qu
z-vous faire ici, langues dorées et trompeuses ? Qui vous a permis de
venir
répandre chez nous le poison de la dispute et de
ait pas à Rome d’instruction libérale. Tous les hommes distingués qui
vinrent
dans cette ville, depuis le consulat de Scévola j
par la conquête. Il faut que toutes les sciences connues de son temps
viennent
alimenter, comme autant de canaux, le fleuve de s
expression. Ces importations sont surtout naturelles quand elles nous
viennent
d’une langue sœur de la nôtre, et qui, par conséq
i les Italianisans ? Vous, lourdement barbarisans Qui, j’allions, je
venions
distes, N’estes vous pas de bien grans fous De di
on de sa langue aussi bien que de son territoire. Du tableau que nous
venons
d’esquisser ressort donc cette leçon, que tout en
dans l’avenir, elle brisa la chaîne de nos traditions nationales, et
vint
troubler par sa turbulence la belle économie des
en compagnie de l’étudiant limousin. « Mon amy, dit Pantagruel, dond
viens
-tu à ceste heure ? L’escolier luy respondit : De
ist Pantagruel à ung de ses gens. C’est, respondit-il, de Paris. — Tu
viens
donc de Paris, dist-il, et à quoy passez-vous le
il mourut fort à propos, à la veille du jour où Malherbe allait enfin
venir
. Cette grandeur et cette décadence d’une école qu
toute la compaignie. » Souvent aussi l’on usait d’adjectifs numéraux
venus
directement du latin, prime, tiers, quart, quint
; il est douloureux pour les poètes qu’il ait vieilli. Douloureux ne
vient
pas plus naturellement de douleur, que de chaleur
Douloureux ne vient pas plus naturellement de douleur, que de chaleur
vient
chaleureux ou chaloureux ; celui-ci se passe, bie
oins par choix que par la contrainte de la mesure. Issue prospère, et
vient
d’issir qui est aboli. Fin subsiste, sans conséqu
e : mais on s’était moqué de sa requête. Voltaire, lui-même, eût beau
venir
à la rescousse ; en dépit de son prestige, sa plu
aient, entre tous, d’être l’objet de nos études ; car, si le jour est
venu
où il est urgent de renouveler une séve qui menac
û dire d’abord mus, puis muratus, puis ratus, enfin rat. — On faisait
venir
le latin lucus (bois sacré) de non lusere (ne pas
usqu’au dernier les Paunies et les blancs. Mais qu’ont fait ceux-ci ?
Viennent
-ils de déterrer le tomahawk ou de faire parler la
ux Francs : « — Rappelez-vous, je vous prie, que les Thuringiens sont
venus
attaquer vos pères, qu’ils leur ont enlevé tout c
on les subsides nécessaires. Mais si, contre toute vraisemblance, ils
viennent
à se heurter à des obstacles soulevés soit par le
est sans égal. Mais n’est-ce pas une honte pour nous et pour ceux qui
viendront
après nous que le peuple des Grecs si brave, si p
n dans l’histoire. Son portrait n’est pas flatté. « De tous ceux qui
vinrent
sous les murs de Troie il était le plus laid. Lou
t connaître l’éloquence grecque, jusqu’au temps où l’art des rhéteurs
vint
la perfectionner et aussi la corrompre. Ce n’est
remarquer déjà la puissance du génie empreinte sur son visage. Quand
vient
son tour de parler et qu’il se lève, à le voir le
s contre Agamemnon et lui gardent rancune de l’amère déception qu’ils
viennent
d’éprouver. Mais l’orateur, qui les connaît, sait
et boit à son hôte. Il le remercie de son bon accueil, mais s’il est
venu
s’asseoir à sa table, ce n’est pas que le besoin
menace d’incendier leur flotte. Qui pourra les sauver, si Achille ne
vient
pas à leur aide ? Tout le peuple a les yeux tourn
il n’a parlé que pour faire admirer son esprit, comme la foule n’est
venue
que pour passer agréablement une heure ou deux, c
. Ce n’est pas le plaisir qui les réunit, c’est l’intérêt public. Ils
viennent
chercher non des phrases, mais des preuves ; non
qu’ils ont trouvé des âmes capables de les comprendre. D’autres sont
venus
après eux qui aimaient aussi leur patrie, mais qu
était le soir : arrive un messager qui annonce aux Prytanes qu’Élatée
vient
d’être prise. Les uns se lèvent de table à l’inst
e pénible devoir de les sauver en les affligeant. Bientôt même ils en
vinrent
à préférer ses reproches les plus sévères aux fla
n ; il ne veut ni flatter les riches en s’y opposant ni se faire bien
venir
des pauvres en les appuyant ; ce qu’il demande (e
e grondement lointain la guerre franchira les limites de l’Attique et
viendra
s’abattre sur vos murs. — Oui, direz-vous, nous l
besoin des artifices du barreau et de l’attirail du pathétique ? Vous
venez
me parler de mes affaires : si au lieu de me prou
dû prévoir (mais quoi ! s’il était écrit…), il dit d’abord d’où nous
venions
, où nous allions, que nous étions Français, imagi
rte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa femme
vint
prendre, puis il entra pieds nus ; et elle, dehor
» Quand il fut à l’échelle, il monte, son couteau dans les dents ; et
venu
à la hauteur du lit, ce pauvre jeune homme étendu
endait au plancher, en coupe une tranche, et se retire comme il était
venu
. La porte se referme, la lampe s’en va, et je res
réflexions1. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand bruit,
vint
nous éveiller, comme nous l’avions recommandé. On
ments à ruiner le pauvre littérateur, si le receveur de la capitation
vient
à l’imposer sur sa robe de chambre. L’écritoire,
C’est cette folle de madame Van-Loo qui lui a donné cet air-là ; elle
venait
causer avec lui tandis qu’on le peignait, et elle
plus excellent homme ; mais que diront mes petits-enfants. lorsqu’ils
viendront
à comparer mes tristes ouvrages avec ce riant, ce
ose où1 elle ne tient qu’à un fil. — Mais qu’est-ce que cet homme qui
vient
si généreusement s’exposer au plus grand péril po
erfield se promène un peu, se frotte le front comme un homme à qui il
vient
quelque pensée profonde, puis s’arrête tout court
s’arrête tout court, et dit : « Président, attendez ; mon ami, il me
vient
une idée. Mais… si… par hasard… cet homme… — Eh b
férence ? Vous êtes seul chez vous. Vous attendez mes papiers, qui ne
viennent
point ; vous pensez que les souverains veulent êt
orfondue Sans trouver un asile où pouvoir habiter. À ses yeux
vient
se présenter La Fable, richement vêtue,
Tenez, arrangeons-nous ; Qu’un même intérêt nous rassemble :
Venez
sous mon manteau ; nous marcherons ensemble :
rtout comme l’excellent modèle de ce genre de poésie. Moschus et Bion
vinrent
quelque temps après Théocrite. Le premier, qui fu
i le nourrit, Le chien meurt en léchant le maître qu’il chérit ? D’où
vient
qu’avec cent pieds, qui semblent inutiles, Cet in
ssion qui, le plus souvent, est l’amour. Ce nom, singulier chez nous,
vient
du titre qu’Ovide, l’inventeur de ce genre, a don
ion et les motifs qui le font parler ou écrire. Les récits ne doivent
venir
que quand ils sont essentiels, ou qu’ils offrent
hi par ses rapines, a bien soin de prendre un nom en l’air : Si l’on
vient
à chercher par quel secret mystère Alidor à ses f
x, comme on voit qu’ils symétrisent dans les odes d’Horace. Après eux
vint
Lucilius ou Lucile, qui florissait 120 ans enviro
s fragments qui ne permettent pas de juger de sa valeur. Après Lucile
vinrent
les autres satiriques latins, Horace, Perse et Ju
serai demain. Mais, vers la solitaire allée, Si mon amante échevelée
Venait
pleurer quand le jour fuit, Éveille par ton léger
on dernier jour. Sous le chêne on creusa sa tombe… Mais son amante ne
vint
pas Visiter la pierre isolée, Et le pâtre de la v
nt entre elles. La strophe commençait, l’antistrophe suivait, ensuite
venait
l’épode ; puis c’était à recommencer dans le même
ertaine forme de stances, en change le système un peu plus tard, s’il
vient
à traiter un sujet qui puisse être considéré comm
, etc. Voilà la stance de dix vers octosyllabes revenue ; après elle
viendra
la stance de quatre alexandrins suivis de deux he
du moins il sacrifie l’intérêt de la poésie à un autre intérêt. De là
vient
la forme des cantates. On y distingue deux partie
e le fut autrefois et ne devrait l’être encore118. Après Malherbe est
venu
J.-B. Rousseau, qui, par la force de ses vers, la
pas de la mettre dans ceux qui la comportent. L’un et l’autre défaut
vient
d’une même source, l’amour-propre. Il est des écr
dit sa noblesse et non point la noblesse. Aussi quand les rhéteurs en
viennent
à expliquer ce vers, tous leurs préceptes et leur
sentent soient de la langue qu’ils ont apprise. Ou ces objets ne leur
viennent
pas dans l’esprit, ou, si quelque circonstance l
nobles de race, des idées basses et vulgaires qui ne doivent pas leur
venir
à l’esprit, et si le sujet les amène forcément, l
du style, que nous ne confondons point la noblesse réelle, celle qui
vient
du cœur et du goût, avec cette noblesse qui n’est
Que reste-t-il ? peuples de l’extrémité de l’Orient, votre heure est
venue
. Alexandre, ce conquérant rapide que Daniel dépei
nt frayé le chemin et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui
viennent
après nous : ainsi les âges se renouvellent, ains
pareils mots s’enseignent-ils ? Pectus est quod facit. Ces pensées-là
viennent
du cœur. La rhétorique ne peut que se taire et ad
: aussi n’avons-nous rien de plus beau dans notre langue. Mais d’où
vient
que mon cœur frémit d’un saint effroi ? Est-ce l’
prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu’on
vienne
à ses solennités. Temple, renverse-toi ; cèdres,
chansons qu’à coups d’épée. « Le peuple chante ? disait Mazarin, qui
venait
d’établir un nouvel impôt, il payera. » Le style
n, etc. La chanson satirique s’appelait autrefois vaudeville, mot qui
vient
probablement de voix de ville, parce que la chans
aisait son butin des bruits qui couraient par la ville. D’autres font
venir
ce mot de veau de Vire, parce que l’un de nos plu
Maître Jacques et La Merluche, ses domestiques. Harpagon. Allons,
venez
çà2 tous, que je vous distribue mes ordres pour t
et non pas suivant la coutume de certains impertinents de laquais qui
viennent
provoquer les gens et les faire aviser de2 boire
ous nos souquenilles3, monsieur ? Harpagon. Oui, quand vous verrez
venir
les personnes ; et gardez bien de gâter vos habit
s politiques, les manquements2 des grands capitaines, tout cela n’est
venu
que faute de savoir danser. M. Jourdain. Comme
M. Jourdain. Comment cela ? Le maître de musique. La guerre ne
vient
-elle pas du manque d’union entre les hommes ? M
e suis porté, entraîné loin de moi dans des tourbillons4. Je vais, je
viens
; je soupe au bout de la ville, pour souper le le
j’efface, j’ajoute, je barbouille ; la tête me tourne. Il faut que je
vienne
goûter avec vous les plaisirs que donnent les bel
Chapuis m’apprend que votre santé est bien mauvaise ; il faudrait la
venir
rétablir dans l’air natal, jouir de la liberté, b
mon corps et mon âme pendant six semaines. M. Pigalle1 doit, dit-on,
venir
modeler mon visage ; mais, madame, il faudrait qu
vous avez quarante journaux, et pas un bon ouvrage ; la barbarie est
venue
à force d’esprit3. Que Dieu ait pitié des Welches
mais, quoique vous n’ayez point traduit les Géorgiques 1, hasardez de
venir
à Ferney quand il vous plaira. Madame Denis, qui
ts. Si je meurs pendant que vous serez en route2, cela ne fait rien ;
venez
toujours, mes mânes en seront très-flattés ; ils
s inondent la terre, comme les sauterelles, d’abord à peine aperçues,
viennent
ravager les campagnes5. 1. D’Argenson disait
ême année, Voltaire écrivait à D’Alembert : « Le bruit court que vous
venez
avec un autre philosophe ; il faudrait que vous l
é es principes du style avec une rare sagacité. Après l’introduction,
vient
la théorie de la Rhétorique, que je me suis effor
t de métaphores qu’il créait sans le savoir. Des faits incontestables
viennent
appuyer ces assertions. Le langage des peuples en
dirigeons-les jusqu’aux extrémités de vos colonies ! Si les Français
venaient
pour ébranler, nous le sentirions aux mouvements
n, c’est le verbe ; c’est à son importance qu’il doit son nom : verbe
vient
du latin verbum qui signifie mot, c’est-à-dire qu
n corrompu dominait dans ce nouveau langage. Cependant une révolution
vint
changer la face du pays. Pendant la durée du ve
ues ou naïves, et très-stérile en termes nobles et harmonieux : de là
vient
que dans les dictionnaires de rimes, on trouve vi
on se borna à changer la terminaison des noms substantifs. De là sont
venus
les cas des langues anciennes : le génitif exprim
pouvoir suprême. Ici, la personne qui parle se présente la première :
vient
ensuite l’action qu’elle va faire : je ne puis nu
place que ces mots occupent dans la phrase. Quand les hommes du Nord
vinrent
fonder leur puissance dans la Gaule, et mêler à l
par élans. Après les hommes qui ont été éloquents par instinct, sont
venus
ceux qui l’ont été par le travail, les orateurs ;
rien ne vous échappera, et tout ce qui était caché au fond du sujet,
viendra
se présenter à vous comme de soi-même. » (De l’Or
e même du cours du Tibre ; les troupeaux de cavales demi-sauvages qui
viennent
s’abreuver dans ses eaux ; cettecampagne que le c
, qui se trouva près de l’endroit où il allait, lui dit : « Monsieur,
venez
par ici : on tirera du côté où vous allez. « — Mo
au, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit. Un carrosse
vient
, on l’emporte dans sa lente : ce fut là où M. de
dre fut, dit-on, le fruit des premiers vers. Là finit le fait ; puis
viennent
les conséquents : De là sont nés ces bruits reçu
urs, vous donner d’abord une plus liante idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir, qu’en recueillant ces termes nob
ncerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
otre esprit, à la place du héros dont parle l’Écriture, celui dont je
viens
vous parler ? La vertu et le malheur de l’un et d
et n’ont plus d’âme que la sienne. Que les jeunes gens s’habituent à
venir
puiser dans cette source pure et féconde. Leur âm
la plus entraînante. Pour appuyer par un exemple le principe que nous
venons
d’établir, pour faire sentir toute l’importance d
istrats romains. Voici comment il s’exprime à ce sujet : « Le consul
vint
dernièrement à Téanum. Sa femme dit qu’elle voula
pour le moment, et autant que ma mémoire a pu me le fournir. « Verrès
vient
lui-même sur la place, ivre de fureur et respiran
omme seul ne rencontre rien ici-bas où son cœur puisse se fixer. D’où
vient
cela, ô homme ? Ne serait-ce point parce que vous
ui nous épouvante à une certaine distance, et qui disparaît lorsqu’on
vient
à s’en approcher de près. » De l’exemple. S
l’ordre dans lequel on doit les présenter. La disposition des parties
vient
immédiatement après la conception du sujet. L’ord
première Catilinaire de Cicéron. A la vue de Catilina, qui avait osé
venir
s’asseoir au milieu des sénateurs qu’il voulait a
osait à sa marche ; elle triomphe, elle pardonne ; et enfin le roi la
vient
recevoir dans une campagne où il avait remporté,
Après l’exposition du sujet et le récit des faits qui en dépendent,
vient
la confirmation, c’est-àdire le développement des
percer au travers de tous les hasards et de tous les obstacles pour y
venir
; et maintenant que vous y Otes, on voudrait que
, sur le pied de l’Évangile ; que les retranchements de la charité ne
viennent
du moins qu’après tous les autres ; retranchez vo
rancher vos devoirs… Mais il y a trop de malheureux à secourir ! d’où
vient
, je vous prie, cette multitude de pauvres dont vo
té, qui termine l’oraison funèbre du prince de Condé par Bossuet : «
Venez
, peuple, venez maintenant ; jetez les yeux de tou
l’oraison funèbre du prince de Condé par Bossuet : « Venez, peuple,
venez
maintenant ; jetez les yeux de toutes parts : voi
ur que vous vous serez donnes à un maître si bienfaisant. et vous, ne
viendrez
-vous pas à ce triste monument, vous, dis-je, qu’i
d’exemple ! « Pour moi, s’il m’est permis, après tous les autres, de
venir
rendre les derniers devoirs à ce tombeau, ô princ
ition applicables à toute espèce de sujets. Les principes que nous
venons
d’établir ne s’appliquent qu’à la disposition ora
femme tremblante et sans voix pour se plaindre. Les passants vont et
viennent
, sans être émus d’un spectacle auquel ils sont ac
hose, il faut l’avoir appris. De régir les Etats la profonde science,
Vient
-elle sans étude et sans expérience ? Qui veut par
le demeure ; la campagne autour est couverte d’hommes qui vont et qui
viennent
, qui taillent et qui coupent, qui roulent et qui
n la plus exacte du mot précision se tire de son étymologie même : il
vient
d’un mot latin qui signifie couper, retrancher. L
est très-familière aux poètes. Camille dit à son frère : Rome, àqui
vient
ton bras d’immoler mon amant. Au lieu de à qui t
, àqui vient ton bras d’immoler mon amant. Au lieu de à qui ton bras
vient
d’immoler, qui serait languissant et prosaïque. M
it dans une de ses épîtres : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse
venue
, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue,
r temporel, pourquoi ne le trouve-t-il nulle pari sur la terre ? D’où
vient
que les richesses l’inquiètent, que les honneurs
é à tout le monde d’atteindre, réunit plusieurs des qualités que nous
venons
d’énumérer : il joint à l’élégance des mots et à
erreurs. S’il te reste au fond du cœur le moindre sentiment de vertu,
viens
, que je t’apprenne à aimer la vie. Chaque fois qu
te belle parole d’un écrivain du dernier siècle : Les grandes pensées
viennent
du cœur. (Vauvenargues.) Chapitre V. De l’a
eut y avoir du danger à contracter cette habitude ; car si la mémoire
vient
à faillir une fois, le fil de votre discours est
spectateurs en débitant son rôle. Après la physionomie et le regard,
viennent
les attitudes et les mouvements du corps : « Que
ge et gaieté : les matelots anglais et les domestiques de lord Nelvil
vinrent
à son aide ; car les habitants d’Ancône restaient
e faisaient entendre à l’autre extrémité de la ville. Il demanda d’où
venaient
ces cris ; on lui dit qu’ils partaient du quartie
is de La Jeannotière : c’était un ordre de monsieur son père de faire
venir
monsieur son fils à Paris. Jeannot monta en chais
ourne donc chez elle. « Quoi ! c’est vous, M. de La Jeannotière ! que
venez
-vous faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? A
et attendri, lui conta, en sanglotant, une partie de son histoire. «
Viens
dans l’hôtellerie où je loge me conter le reste,
s : Tous mes amis du bel air m’ont trahi, et Colin, que j’ai méprisé,
vient
seul à mon secours ! Quelle instruction ! La bont
té ; abaissez tout cela jusqu’à nos sens. Nous voulons que les objets
viennent
se mettre sous nos yeux ; nous voulons un vrai qu
ité peut seul donner aux peuples la force et la grandeur ; l’histoire
vient
à l’appui de cette assertion. Il peut seul assure
à la mer, et que celle rapidité qui entraînait les parcelles de limon
vient
à cesser tout à fait, ces parcelles se déposent a
e imitateurs sans cesser d’être originaux. Dissertation « Nous sommes
venus
tard dans l’univers. Nous ne pouvons secouer le s
enir à un tel homme ? Quand Lysias, le plus célèbre orateur du temps,
vint
lui présenter un plaidoyer écrit d’avance, où il
mais aussi sa bonté, sa clémence, et son cœur vraiment royal, pour y
venir
donner leur suffrage.... « Sire, c’est sans doute
le, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’avec ceux qui
viennent
pour l’interroger et pour l’accuser ? « J’ignore
’a-t-elle pas dû les désarmer, et les ramener aux pieds de ce roi qui
venait
noblement partager son pouvoir avec son peuple !
ts déplacés. Une dame, voulant féliciter un de ses amis, à qui le roi
venait
d’accorder une grâce, au lieu de se livrer naïvem
ever la sienne. Pourquoi ? Tu le sauras demain à Nérac. Haste, cours,
viens
, vole ; c’est l’ordre de ton maître et la prière
vère pour vous-même. N’écrivez point indistinctement tout ce qui vous
vient
à l’esprit : choisissez dans vos idées, disposez-
ous étions impatients de sortir de table, où nous nous parlions, pour
venir
nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étr
gentilhomme des environs, qui n’avait pensé de sa vie qu’à la chasse,
vint
pour emmener mes fils dans ses bois ; il resta qu
telligence des jouissances pures et paisibles. Les affaires publiques
viendraient
naturellement se placer parmi les objets d’un int
uvres gens ne sont pas récompensés de leurs efforts ; car l’esprit ne
vient
point quand on l'appelle ; il échappe à ceux qui
reste, chacun ait son tour ; ainsi le veut la justice. » En effet, on
vient
en société pour échanger ses idées, et non pour e
e tzar Pierre Ier écrit au Régent pour lui faire part de son désir de
venir
en France et lui montrer les avantages pour le pr
novembre 1883). • Discours de Guillaume Penn aux émigrants puritains
venus
en Amérique pour y fonder une société nouvelle (1
temps et de tous les pays ; elle peut éclore partout, pourvu qu’elle
vienne
à son heure. Presque toujours, au temps où chaque
ore, mon cher ami, sous l’impression du spectacle grandiose auquel je
viens
d’assister, et je m’empresse de t’adresser un réc
cents, les officiers généraux de l’armée, et les ministres des autels
venir
occuper les gradins inférieurs qui leur étaient r
12 pieds au-dessus du sol, formé par une bande étroite où les acteurs
viennent
dialoguer : au centre de cette bande, un peu en a
ur le chœur tragique tous les détails que ma mémoire me suggère. Mais
venons
à la pièce elle-même et aux personnages. Ces dern
masques, en figurant les traits des personnages qu’ils représentent,
viennent
compenser cet inconvénient, sans compter qu’ils o
poètes didactiques, contemporains de Lucrèce. Immédiatement après lui
vient
Virgile, avec ses Géorgiques, dans lesquelles il
rachiniennes, Œdipe Roi, Ajax, Philoctète, Œdipe à Colone. Après lui,
vient
Euripide, qui modifia sensiblement le caractère d
ophique, dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse. Xénophon, qui
vient
après, est plus encore philosophe qu’historien. E
uste, de Mécène, de Pollion, de Messala. L’imitation de la Grèce, qui
venait
d’être réduite en province romaine, fut sans dout
lamine, et s’éleva au plus haut degré de puissance et de gloire. Puis
vient
Aristide, son rival, dont la parole pleine de bon
4 — On a proposé au mot satire deux origines : selon les uns, le mot
viendrait
des σάτυροι (drame satirique) ; selon les autres,
les infidèles, et des allusions aux récentes croisades de saint Louis
viennent
doubler l’intérêt qu’il présente. Une des dernièr
se sert. La première de ces deux tentatives eut d’abord le mérite de
venir
à son heure et d’être nécessitée par les circonst
t pas l’ampleur et la majesté que réclamaient les genres élevés qu’il
venait
d’importer, et il se mit à l’œuvre pour créer de
le priant de lui donner son avis ; un jour, Conrart invita ses amis à
venir
lire les poésies de Godeau, et cette première réu
ésolue, il faut persuader, c’est-à-dire amener autrui où l’on veut en
venir
, agir sur sa volonté ; c’est vraiment là le but e
», conserve « ses larmes aux vaincus et sa haine aux vainqueurs », et
vient
s’offrir désespérée aux coups de son époux victor
au péril des siens propres ; Cornélie, la veuve du grand Pompée, qui
vient
sommer César de lui rendre la liberté, afin de co
e est quelque peu languissant parfois, dès les premières scènes. Elle
vient
d’entretenir sa confidente ; soudain, elle s’en s
nt de subir le châtiment légal, Sabine, continuant toujours son rôle,
vient
encore invoquer le roi Tullus en faveur d’Horace,
pas, Dérobe à ton pays le secours de ton bras. La patrie, pour elle,
vient
après son amour, ce qui était nécessaire pour ame
n de conscience avec une hypocrisie et une désinvolture que le Renard
vient
encore encourager par ses flatteries effrontées ;
e le trône avec simplicité, mais avec des accents fermes et sublimes.
Vient
ensuite Burrhus ; il fut avec Sénèque, précepteur
moderne, avec l’Eugène de Jodelle (supérieure à ses tragédies) ; puis
viennent
les premières comédies en prose (Larivey, d’origi
e-là, les personnages sont naturels, l’action est intéressante ; puis
vient
le Menteur, où nous trouvons une situation vérita
pas assez, et ses personnages sont trop faits de tête. Enfin Molière
vient
. Avec un instinct admirablement sûr, il débute pa
aissance, et rendu moins exclusive l’imitation de l’antiquité. — Puis
vient
l’influence si importante des salons, par lesquel
n traînante à terre, car le principal point est l’invention, laquelle
vient
tant de bonne nature que par la leçon de bons et
equentur, a dit Horace. Ronsard, parlant de l’invention, dit qu’elle
vient
« tant de bonne nature que par la leçon de bons e
is il se relève soudain, il s’est rappelé qu’il a un fils, il le fait
venir
, et ses premiers mots sont pour lui demander : R
contre les Maures, qui est une des beautés de la pièce. Rodrigue, qui
vient
d’y conquérir le surnom de Cid, fait lui-même ce
pour l’engager à ne point prendre part à la Fronde. Plan. — 1º Il
vient
d’apprendre le projet du Coadjuteur de prendre pa
tible d’enseignements moraux assez élevés. L’apologue est un don qui
vient
des immortels. 4º De tout temps d’ailleurs l’esp
funèbre. L’orateur invite « les peuples, les princes, les seigneurs à
venir
voir le peu qui nous reste » du grand capitaine ;
précier son extraordinaire génie et son admirable caractère. Aussi ne
viens
-je pas entreprendre, en vous communiquant cette n
et la misère. Composer la lettre de Boileau à Colbert. Plan. — Il
vient
se plaindre au ministre, non pour lui, mais pour
ut mieux que lui ; Corneille, l’auteur du Cid, d’Horace, de Nicomède,
vient
d’être rayé de la liste des pensions. C’est là un
e avec le public, et oublie sa gloire passée ? 3. Il ne s’agit pas de
venir
en aide à la médiocrité de la fortune de Corneill
e heureuse idée de mêler le chœur et le chant avec l’action, vous fût
venue
plus tôt, vous l’eussiez appliquée à vos pièces p
re d’importance et de difficulté. Le projet d’achever le Dictionnaire
vient
en premier, comme une question résolue en princip
xe, de peur que les Hollandais, passant entre Fontenoy et Authoin, ne
vinssent
donner la main aux Anglais et nous couper la retr
ième centenaire de sa naissance. Que la Compagnie du Théâtre-Français
vienne
rehausser l’éclat de cette solennité par une repr
de grandeur d’âme. » Accourez donc à cette fête toute française, et
venez
offrir à l’un des plus beaux génies de la France,
es voit, et cependant cet homme vit encore ! Il vit ! que dis-je ? il
vient
au sénat ; il prend place parmi les conseillers d
la république n’éprouvât aucun dommage. La nuit n’était point encore
venue
, et déjà l’on avait frappé de mort, parce qu’on l
romains qui, pour te délivrer de cette préoccupation, t’ont promis de
venir
chez moi, cette nuit-là même, un peu avant le jou
nvoyés chez moi de bon matin pour me rendre leurs devoirs ; car ils y
vinrent
en effet, et c’étaient justement ceux dont j’avai
ine qui doit m’animer, mais avec la pitié dont tu es si peu digne. Tu
viens
d’entrer dans le sénat : eh bien, dans une assemb
iter la maison de M. Lépidus ? Repoussé par lui, tu as eu l’audace de
venir
me trouver, et tu m’as prié de te garder dans ma
en plus chère que la vie, si toute l’Italie, si la république entière
venait
me dire : « M. Tullius, que fais-tu ? voici un ho
’un d’entre vous, animé de sentiments que vous devriez tous partager,
venait
, à propos de ce départ de Catilina, que je procla
ilina et de l’autre nos légions gauloises, les levées que Q. Métellus
vient
encore de faire dans le Picénum et dans la Gaule,
upiter Stator : je révélai tout aux pères conscrits. Lorsque Catilina
vint
à paraître, quel sénateur lui adressa la parole ?
? Et en effet, je le crois, ce Mallius, un simple centurion, qui est
venu
camper près de Fésules, c’est en son propre nom q
mes efforts, à mon dévouement, enveloppé de toutes parts et affaibli,
vienne
à s’effrayer tout à coup et à changer de résoluti
ne demanderai aux dieux immortels, pour confondre la calomnie, qu’on
vienne
vous dire un jour : « Catilina s’avance avec une
te, dans un combat de cette sorte, quand bien même le zèle des hommes
viendrait
à faillir, les dieux immortels eux-mêmes ne voudr
us glorieux empire, cette ville si florissante et si belle, tout cela
vient
aujourd’hui, grâce à l’éclatante protection des d
se chargèrent, sans hésitation, sans retard, de l’exécution. Lorsque
vint
le soir, ils se rendirent en secret au pont Milvi
également appeler L. Statilius, et, après lui, C. Céthégus : Lentulus
vient
ensuite, mais beaucoup plus tard, car, je le supp
demande aux Gaulois ce qu’il a de commun avec eux, et ce qu’ils sont
venus
faire chez lui ; il adresse la même question à Vu
nt dédaigné l’empire et les magnifiques espérances que des patriciens
venaient
spontanément mettre à leurs pieds, pour qu’ils ai
fortune a soumis à des conditions bien différentes les succès que je
viens
d’obtenir et ceux des généraux victorieux au-deho
es ennemis domestiques, dont j’aurai détourné la fureur loin de vous,
venaient
à réunir tous leurs efforts contre moi, ce serait
de la vertu et non du hasard. Pour vous, Romains, puisque la nuit est
venue
, adressez vos hommages à Jupiter, que vous voyez
re les habitants des municipes, dans le cas où les fers des coupables
viendraient
à être brisés. Il entoure les prisonniers d’un ef
ais plus d’un, parmi ces amateurs de popularité, qui s’est abstenu de
venir
au sénat, sans doute pour n’avoir pas à se pronon
biens de Lentulus, afin qu’à toutes les tortures de l’âme et du corps
viennent
encore se joindre l’indigence et la misère. VI
un jour, soulevée par la fureur criminelle de quelque misérable, elle
vient
à prévaloir contre la majesté du sénat et de la r
s, je me croirai entouré d’un rempart inexpugnable. Que si mon espoir
vient
à être déçu, grâce à la violence des méchants, si
dont l’avidité n’a jamais rien respecté. [Discours] I. Je
viens
maintenant à ce que Verrès appelle son goût, ce q
qu’il a révélé ces vérités, parce qu’il a profité de l’occasion pour
venir
, avec la confiance d’un ami et d’un fidèle allié
e les corsaires, en sortant de leur port, étaient souvent obligés d’y
venir
relâcher, et qu’en revenant de leurs courses ils
à ses brigandages. XI. Quoi, Mamertins ! vous avez l’audace de
venir
faire l’apologie de quelqu’un ? de quel droit ? e
xcita le murmure de toute l’assemblée. Comment alors, Verrès, ne vous
vint
-il point dans l’esprit de lui ordonner d’écrire s
n’eussiez aucune connaissance de ces harnais ; qu’ayant reçu ordre de
venir
vous parler, il avait soutenu qu’il ne les avait
: à cette nouvelle, impatient de les voir et de les prendre, il fait
venir
Diodorus et les lui demande ; celui-ci, désirant
Rien ne lui paraissait si long que le temps qu’il fallait pour faire
venir
ces vases. Diodorus, homme économe et soigneux, q
était élevée et que les chemins étaient difficiles à gravir. Il fait
venir
Archagathe, citoyen de cette ville, homme respect
t et se brisa tout en pièces. Voulant s’en procurer un autre, il fait
venir
l’orfèvre sur la place publique de Cordoue, et là
sard sur la craie l’empreinte du cachet, le trouve beau, demande d’où
vient
la lettre. On lui apprend qu’elle vient d’Agrigen
le trouve beau, demande d’où vient la lettre. On lui apprend qu’elle
vient
d’Agrigente. Il écrit à ses correspondants ordina
de ce retard : il renvoie une seconde fois sans pouvoir l’obtenir. Il
vient
lui-même trouver Verrès et le prie de lui rendre
uvent même au-delà de ses forces ; il mandait les magistrats, faisait
venir
les plus vertueux et les plus nobles, les promena
de nos plus illustres, leur renvoyait les dieux de leurs pères, qu’il
venait
d’enlever à leurs anciens ennemis, et, dans ces d
pas obscure, devint évidente par le témoignage des prêtresses. On en
vient
aux opinions, et l’esclave innocent est absous d’
r était si vive, que Verrès leur paraissait un autre Pluton qui était
venu
à Enna pour enlever, non pas Proserpine, mais Cér
dis que j’examinais ces registres, Héraclius, que je n’attendais pas,
vint
me trouver : il était alors magistrat de Syracuse
es de Sicile le sénat et le peuple de l’avantage et du bonheur que je
venais
leur procurer, et qu’ayant reçu de toutes ces vil
que me firent à Rome les Siciliens, qui, par une députation générale,
vinrent
me demander mon secours et me prier de me charger
ié avec votre accusateur, parce qu’il doit vous accuser, et qu’il est
venu
faire des recherches contre vous. Ensuite on rend
e c’était le berger d’un certain particulier, il ordonna qu’on le fît
venir
. Celui-ci accourt avec ardeur, persuadé qu’il va
mes à sa table. Celles qui étaient retenues par un reste de pudeur ne
venaient
chez lui qu’à certaines heures, pour éviter le mo
ient des cris violents et confus ; quelquefois même des paroles on en
venait
aux mains et aux coups. Ce préteur austère et pru
rce avec lui, et Syracuse en renfermait une multitude incroyable ; là
venaient
des hommes dignes de son amitié, dignes de partag
aison. Vous partîtes ensuite pour la Sicile, où jamais il ne vous est
venu
dans l’esprit que vous n’aviez pas reçu les hache
ctère ne s’est point alors démenti. XVI. Lorsque les Valentiens
vinrent
vous trouver, et que M. Marius, homme éloquent et
ême pendant son gouvernement, lui qui, sorti de sa province, non pour
venir
triompher à Rome, mais pour y répondre à une accu
nom particulier, aller en aucun lieu hors de votre province, ni faire
venir
des marchandises d’au-delà des mers, et de lieux
e votre propre mouvement » vous faisiez une remise aux Mamertins, ils
vinrent
vous trouver et vous représenter qu’ils avaient a
e à celle des autres qui périssaient quoique innocents, Timarchide le
vient
trouver : il lui dit qu’il n’a point à craindre l
Verrès, que c’est un discours de pères qui, dans leurs ressentiments,
viennent
se plaindre de la perte de leurs fils : c’est un
t ici présentes. L’une d’elles, lorsque j’arrivai de nuit à Héraclée,
vint
au-devant de moi, accompagnée de toutes les femme
ez encore omettre ces raisons. LI. Je fais voir que la faute ne
vient
point des capitaines, mais de vous. Je vous blâme
urs inaccessible à l’ennemi ; et, sous votre préture, les corsaires y
vinrent
pour la première fois. Vous n’avez pas voulu que
sollicitation des autres, mais par le sentiment naturel. On n’est pas
venu
me prier de la défendre ; le motif qui m’y porte
tous les endroits de la Sicile, infestait les mers. Tout vaisseau qui
venait
d’Asie, de Syrie, d’Alexandrie, ou de Tyr, était
que, par la nature de leurs marchandises, on jugeât de quel pays ils
venaient
; mais ils n’avaient pas prévu que les raisons do
. Comment se défend-il ? Il dit qu’il a pris des soldats fugitifs qui
venaient
d’Espagne, et qu’il les a condamnés à mort. Qui v
dont il s’agit en ce moment est d’une telle nature, que lorsqu’on est
venu
m’en informer pour la première fois, j’ai cru que
lance et leur zèle. Plein de fureur, et ne respirant que le crime, il
vient
sur la place publique. Il avait les yeux étincela
Verrès, Gavius seul, ce n’est point un seul homme, le premier citoyen
venu
, c’est la cause commune de l’État et de la libert
ceux dont l’origine est noble, et que les bienfaits du peuple romain
viennent
chercher sans qu’ils y pensent. Je dois me condui
is point, lorsque j’ai lu dans votre lettre que vous aviez dessein de
venir
ici, et maintenant encore je n’ose me réjouir5 de
jusque aux yeux, pensez-vous qu’il n’y en ait pas bien autant à voir
venir
ici des vaisseaux qui nous apportent abondamment
ies qui ne vous seront peut-être pas désagréables ; et, soit que vous
veniez
ou que vous ne veniez pas, je serai toujours pass
peut-être pas désagréables ; et, soit que vous veniez ou que vous ne
veniez
pas, je serai toujours passionnément votre dévoué
la mort d’un frère. [Ce 10e jour de janvier 1641.] Monsieur, Je
viens
d’apprendre la triste nouvelle de votre afflictio
égalité qu’il y ait dans leur course, sont en cela tous égaux, qu’ils
viennent
d’une source petite, de quelque rocher, ou de que
mps passe Cette verte jeunesse ne durera pas ; cette heure fatale
viendra
qui tranchera toutes les espérances trompeuses pa
catesse. Vous qui voulez pénétrer les secrets de Dieu, çà3 paraissez,
venez
en présence, développez-nous les énigmes de la na
s qu’en attendant que Dieu se montre à découvert ce qu’il est, la foi
vienne
à votre secours et vous apprenne du moins ce qu’i
x. Regarde, ô homme, le peu que tu es, considère le peu que tu vaux :
viens
, apprends la liste funèbre des maux dont ta faibl
us laissons vieillir et fortifier cette mauvaise habitude, quand vous
viendrez
à manier, non plus les paroles, mais les choses m
Éloquence de saint Paul 1 N’attendez pas de l’Apôtre ni qu’il
vienne
flatter les oreilles par des cadences harmonieuse
érience des maux du monde, ni des traverses qui nous arrivent : de là
vient
qu’elle s’imagine qu’il n’y a point de dégoût, de
mousse imperceptible est indigne de toi. » « — Oiseau, dit le soleil,
viens
et monte avec moi… » L’aigle, avec le rayon s’éle
détachant, et s’approchant du rivage aux signaux qui l’appellent, il
vienne
se faire admirer de plus près en étalant ses beau
gré parcourir les eaux, débarquer au rivage, s’éloigner au large, ou
venir
, longeant la rive, s’abriter sous les bords, sc c
et grâce. 1. Delille disait : Le cygne, toujours beau, soit qu’il
vienne
au rivage, Certain de ses attraits, s’offrir à no
Sur la terre en mourant elle exhale sa joie. Vous qui près du tombeau
venez
pour m’écouter, Je suis un cygne aussi : je meurs
: je suis porté, entrainé loin de moi, dans des tourbillons, vais, je
viens
, je soupe au bout de la ville, pour souper le len
ent ce grand mouvement s’apaise, ce chaos se débrouille, chaque chose
vient
se mettre à sa place. » 1. La Bruyère disait :
euses de rénovation sociale qui firent battre son cœur d’enfant. Puis
vinrent
les malheurs publics et privés, l’anarchie, la vi
a témérité, qu’il faudrait se garder de l’admirer. Sedaine1 par pitié
vient
d’être nommé de l’Académie. Ces messieurs disent
rive de plain-pied ; il ne faut plus monter pour y atteindre. M. d’A…
vient
d’être élu à cause de son nom. Il sera reçu par M
un respect sans crainte et une confiance sans bornes, l’enthousiasme
vient
encore à notre secours : il rassemble dans notre
Geffroy sur Gustave III, t. Ier, p. 405 ; Didier. Mademoiselle Necker
venait
d’épouser le baron de Staël, ambassadeur du roi d
s amis de madame de Staël, Mathieu de Montmorency et madame Récamier,
venaient
d’être successivement exilés pour avoir éveillé l
yle. Il s’agit des Héraclides persécutés par Eurysthée et qui étaient
venus
se placer sous la tutelle du roi Céyx : « Céyx, v
ysance tombée au pouvoir des barbares, Lascaris, Budée, entre autres,
vinrent
étonner l’antique Lutèce des splendides merveille
tous les genres, hormis le dramatique. Plus heureux ou mieux inspiré,
vint
ensuite Malherbe qui ne fit qu’un petit nombre d’
ons, les pensées, les figures et toutes les autres sortes d’ornements
viennent
seulement au secours des preuves et ne servent qu
Par les contraires on dit d’abord ce qu’une chose n’est pas ; puis
vient
l’esquisse de ce qu’elle est ; c’est un tableau o
de foi, dit Cicéron, il faut jouir d’un certain crédit. Or, ce crédit
vient
du rang, de la considération, de la fortune, de l
Logique : Concevoir, Juger et Raisonner. Concluons de tout ce qui
vient
d’être dit des lieux oratoires comme autant de so
st un syllogisme où chacune des prémisses reçoit un développement qui
vient
à l’appui de la proposition. Il ne souffre rien d
qu’il ne fût maître de ce pays, qu’alors il passa ; que le roi actuel
vienne
donc à s’emparer de l’Égypte et il effectuera le
ébris de son diadème. » Précautions oratoires. Aux bienséances
viennent
naturellement se joindre les précautions oratoire
ement ou toutes à la fois, qu’elles doivent se précéder on se suivre,
venir
à l’appui les unes des autres, de la même manière
accroît le pathétique. Que l’immortel souvenir d’Auguste et de Drusus
vienne
à se réveiller dans leur cœur et le repentir y va
l’adversaire. Observons que les six parties du discours oratoire qui
viennent
d’être dénommées ou même les quatre premières, n’
qu’il s’agit de démontrer ou de mettre dans tout son jour. De là lui
vient
le nom de proposition qu’on lui donne aussi. Si l
le Mithridate à ses fils : Approchez, mes enfants, enfin l’heure est
venue
Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue : À
rs, vous donner, d’abord, une plus haute idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir qu’en recueillant ces termes nobl
ncerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
ruit, le consul le voit, et le traître vit ! il vit ! que dis-je ? il
vient
au sénat, il prend part aux délibérations publiqu
e missionnaire dépourvu de tous les talents que vous exigez, quand on
vient
vous parler de votre salut. J’éprouve cependant,
d’un côté, la mort qui nous menace et, de l’autre, mon grand Dieu qui
vient
vous juger. Je tiens aujourd’hui votre sentence à
et par-dessus tout l’éternité, l’éternité ! voilà les sujets dont je
viens
vous entretenir et que j’aurais dû, sans doute, r
ussitôt d’effroi, pénétrés d’horreur pour vos iniquités passées, vous
viendrez
vous jeter entre mes bras en versant des larmes d
r. Tous les amis de ce grand homme et les principaux chefs de l’armée
vinrent
se ranger autour de lui. Il était pâle, ayant les
n des préceptes qui concernent soit l’invention, soit la disposition.
Viendra
ensuite l’élocution. Qu’on ait à faire le discour
bien armées, rangées en bataille, n’attendaient que le signal pour en
venir
aux mains, lorsqu’on convint de nommer, des deux
précède l’effet, le principe la conséquence, que ce qui est antérieur
vienne
d’abord et amène ce qui suit. Mais, à cet égard,
au suivant, tiré de l’oraison funèbre du grand Condé par Bossuet : «
Venez
, peuples, venez, seigneurs et potentats et vous q
de l’oraison funèbre du grand Condé par Bossuet : « Venez, peuples,
venez
, seigneurs et potentats et vous qui jugez la terr
ujourd’hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d’un nuage,
venez
voir le peu qui nous reste d’une si auguste naiss
fourreau et se retirent fondant en larmes. » Concluons de tout ce qui
vient
d’être dit sur le style, qu’il est pour l’écrivai
dans leur marche, preuve évidente que le hasard n’a rien fait, qu’ils
viennent
, ministres de la vengeance de la divinité offensé
. Après ce premier mouvement, cette première irruption de la terreur,
vient
l’abattement, d’où la pâleur.
lle, cette divinité ? Pallas, l’implacable Pallas, de qui l’infortuné
venait
, dans un mouvement patriotique, d’outrager le col
ar Minerve, on ne peut en douter. Ils se retirent de même qu’ils sont
venus
, ensemble, gemini ; ils se dirigent vers la citad
n les voit se réfugier ensemble et à la hâte, et ce prodige effrayant
vient
confirmer le récit du perfide Sinon. Le poète, ai
u a fait à son image, n’est-il qu’une ombre ? Ce que Jésus-Christ est
venu
chercher du ciel en terre, ce qu’il a cru pouvoir
t qui creva. Après le malheur effroyable Qui
vient
d’arriver à mes yeux, Je croirai déso
errible : “Où est l’heureux mortel à qui appartient ce logis ? que ne
vient
-il ? pourquoi ce silence ?” La crainte ferme la b
inables sabbats, Où l’Université des chats À minuit, en robe fourrée,
Vient
tenir ses bruyants États ; Une table, mi-démembré
e fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil, je le
viens
voir pour la dernière fois. Interrogation.
et mes pleurs, hélas ! vous attendrissent ! Mais quoi ? Quelle vapeur
vient
obscurcir les airs ? Grâce au ciel ! on m’entr’ou
vocem signare figuris. Et Brébeuf après lui : C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
u le pluriel pour le singulier ; lorsqu’on dit, par exemple, l’ennemi
vient
à nous pour les ennemis viennent. Il est écrit da
; lorsqu’on dit, par exemple, l’ennemi vient à nous pour les ennemis
viennent
. Il est écrit dans les prophètes pour dire en que
il les a parcourus mille fois… Il apporte à la cour les talents qu’on
vient
y chercher ; il n’y prend aucun des vices qu’elle
-Anne-Christine-Victoire de Bavière 12 , dauphine de France. « Si je
venais
déplorer ici la mort imprévue de quelque princess
nte de Dieu, et l’ordre de sa providence. Mais, grâce au Seigneur, je
viens
louer une princesse plus grande par sa religion q
qui voudra, par exemple, faire sentir toute l’énormité d’un crime, en
viendra
aisément à bout, s’il en rapporte toutes les circ
n bras ne l’abandonna pas, et son courage, irrité par tant de périls,
vint
à son secours. On ne l’eut pas plutôt vu pied à t
ant cette pensée dans l’invocation de sa Henriade, dit à la Vérité :
Viens
, parle ; et s’il est vrai que la fable autrefois
ts de la patrie. Deux armées rangées en bataille, sont au moment d’en
venir
aux mains. Un général connu par sa bravoure, et c
peu de chose ; mais ils osent espérer tout, se promettre tout. De là
vient
qu’on les amuse, qu’on les trompe si facilement p
eurs, vous donner d’abord une plus haute idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir, qu’en recueillant ces termes nob
erté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie56,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
sera la seconde partie ». II. De la Narration. Après l’exorde,
vient
la narration, qui consiste à instruire l’auditeur
faire selon mes désirs. Vous, magistrats, et sur les raisons que vous
venez
d’entendre, et sur celles que suppléera votre sag
la nature nous les donne : mais pour le pouvoir et la force, ils nous
viennent
d’ailleurs. Or, ce zèle, vous trouverez absolumen
t qu’on veut de mal à ces faibles yeux, qui s’y sont laissé éblouir !
Venez
, Peuples, venez maintenant ; mais venez plutôt, P
mal à ces faibles yeux, qui s’y sont laissé éblouir ! Venez, Peuples,
venez
maintenant ; mais venez plutôt, Princes et Seigne
qui s’y sont laissé éblouir ! Venez, Peuples, venez maintenant ; mais
venez
plutôt, Princes et Seigneurs, et vous qui jugez l
ourd’hui obscurcies, et couvertes de votre douleur comme d’un nuage ;
venez
voir le peu qui nous reste d’une si auguste naiss
ur que vous vous serez donnés a un maître si bienfaisant. Et vous, ne
viendrez
-vous pas à ce triste monument, vous, dis-je, qu’i
et d’exemple. Pour moi, s’il m’est permis, après tous les autres, de
venir
rendre les derniers devoirs à ce tombeau ; ô Prin
pieds, et un bâton à la main. Un rire universel accueille le nouveau
venu
. L’examinateur lui fait remarquer ce qu’il crut ê
remarquer ce qu’il crut être une méprise ;3 ; et sur sa réponse qu’il
vient
subir l’examen, il lui permet de s’asseoir. On at
s’asseoir. On attendait avec impatience4 le tour du petit paysan. Il
vient
enfin. Dès les premières questions, La Place reco
ourut en 1827. 3. Il s’imaginait que ce petit paysan se trompait, et
venait
là par méprise. 4. Par curiosité. 5. Promotion
1537) parlait ainsi aux juges : « Messieurs, prenez garde, quand vous
viendrez
en jugement, de n’y apporter point d’inimitié, de
r les deux premières. Ainsi, dans l’ordre abstrait et rationnel, elle
vient
après l’invention et la disposition ; mais, dans
peut espérer de société que par les naufrages ; encore même, ceux qui
venaient
en ce lieu n’osaient me prendre pour me ramener ;
i qui ne s’érigent en juges et en censeurs de la parole sainte. On ne
vient
ici que pour décider du mérite de ceux qui l’anno
Ce n’est pas pour chercher le froment et la nourriture que vous êtes
venus
ici, c’est comme des espions qui venez remarquer
et la nourriture que vous êtes venus ici, c’est comme des espions qui
venez
remarquer les endroits faibles de cette contrée :
ole et chercher des secours et des remèdes utiles à vos maux que vous
venez
nous écouter ; c’est pour trouver où placer quelq
y aura donc, dans le discours oratoire, un exorde ou début ; ensuite
viendra
un récit ou une proposition, avec les preuves à l
s complots, était assemblé. Cicéron allait parler ; Catilina entre et
vient
prendre sa place. L’orateur frémit d’indignation
qu’il allait faire, pour s’adresser directement au grand criminel qui
venait
braver le consul et le corps qu’il présidait, il
à la profondeur de ses mystères, à la pureté de sa morale. Après lui
vint
le P. Massillon, prêtre de l’Oratoire, et ensuite
e peu de chemin qui nous reste à faire ? Croyons-nous que les jours à
venir
aient plus de réalité que les passés ? Les années
frayèrent hier le chemin, et nous allons le frayer demain à ceux qui
viendront
après nous. Les âges se renouvellent, la figure d
léchier n’est pas au rang de Bossuet dans l’oraison funèbre ; mais il
vient
après lui. Il ne manque ni de force ni d’élévatio
eurs, vous donner d’abord une plus haute idée du triste sujet dont je
viens
vous entretenir, qu’en recueillant ces termes nob
oncerté les plus fiers elles plus habiles généraux des rois de Syrie,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
otre esprit, à la place du héros dont parle l’Écriture, celui dont je
viens
vous parler ? La vertu et le malheur de l’un et d
nce et mission de saint Paul3. N’attendez pas de l’Apôtre ni qu’il
vienne
flatter les oreilles par des cadences harmonieuse
ant de fameuses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où
vient
cela, chrétiens ? C’est que Paul a des moyens pou
est répandue et mêlée dans l’auguste simplicité de ses paroles. De là
vient
que nous admirons dans ses admirables Epîtres une
e fortune ! que de gloire elle ôte à ce mérite ! D’ailleurs peut-elle
venir
ou plus prompte ou plus cruelle ? C’est ramasser
ur, nous qui sentons les moindres mouvements du dehors, si peu qu’ils
viennent
à nous ; les artères vont, le sang circule, les e
emences propres à engendrer son semblable : en sorte que d’un orme il
vient
toujours un orme, et d’un chêne toujours un chêne
t au pied de leurs arbres, et les feuilles tombent dessus. Les pluies
viennent
; les feuilles pourrissent et se mêlent avec la t
l’histoire des Juifs pendant cinq siècles environ, depuis Samuel. Ils
viennent
, dans la division de l’Ancien Testament, après le
mour de la gloire et de la domination, complément de troisième degré.
Vient
ensuite le verbe subegit, soumit ; verbe transiti
plus frappantes, les images les plus sensibles. Les idées secondaires
viendront
d’elles-mêmes se ranger à la suite de l’idée prin
ur fait paraître en premier lieu : Quousque tandem. Le mot abutere ne
vient
qu’après, parce que, si l’on est profondément ind
ition. Le verbe exæquare, qui fait suite à la proposition principale,
vient
immédiatement après. Cette place lui est due, à r
a première proposition, le verbe debent est sous-entendu, parce qu’il
vient
d’être immédiatement exprimé. Dans la proposition
parait en premier lieu ; les compléments indirect et circonstanciels
viennent
ensuite, et enfin le verbe supérari, qui finit la
sont qu’une application très-imparfaite des règles générales que nous
venons
d’exposer. C'est au goût sûr et aux oreilles déli
populum in luxuriam lapsumad us um frugalitatis revocaret. Pythagore
vint
à Crotone, pour ramener à l’usage de la frugalité
ompléments indirectes et circonstanciels, les propositions incidentes
viendront
se ranger à sa suite. exemples : Augustus summum
orum utilior est quam scientia. Cic. Il vaut mieux ignorer les maux à
venir
que les connaître. V Dans les temps composé
rent. Cicéron propose une question ; le premier mot l’annonce, utrùm.
Viennent
ensuite les attributs difficilius an majus, qui r
propositions suivantes, dont ils expriment chacun l’objet principal.
Vient
enfin la proposition principale, accompagnée de s
emier rang. Le complément ei, ne présentant qu’un intérêt secondaire,
vient
après, avec sa suite quem unicè… cui me… justa pe
ondent les consonnes fortes et les aspirées. Le langage lui-même nous
vient
en aide dans ce genre d’imitation. En effet, dans
e passage suivant, où le vénérable Anchise aperçoit son fils Enée qui
vient
à lui à travers la prairie ? Il lui tend les bras
les sentiments de son cœur : Datur ora tueri, nate, tua, etc. « Vous
venez
enfin, ô mon fils ! votre piété, dont vous m’avez
squels Virgile décrit la mort du jeune Euryale, dont le cœur virginal
vient
d’être percé par le glaive du cruel Volscens : V
out, dit M. le prince ; ne vous fâchez point ; tout va bien. » Minuit
vint
, le feu d’artifice ne réussit pas, il fut couvert
ports de mer. Vatel attend quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne
vinrent
point ; sa tête s’échauffait, il crut qu’il n’aur
rt son courage1. Le roi dit qu’il y avait cinq ans qu’il retardait de
venir
à Chantilly, parce qu’il comprenait l’excès de ce
us bien porter, ma chère enfant, je ne vous irai voir que l’année qui
vient
. La Bretagne et la Provence ne sont pas compatibl
s sens ; celle-là les endort et les émousse. » 2. Madame de Grignan
venait
d’être fort malade. 1. Son mari s’était noyé au
sappointé, le baron de Fœneste est un de ces Gascons éventés qui sont
venus
chercher fortune au Louvre. Dans un dialogue qui
estant fermee, la compagnie se met en prieres, et deux heures après,
vint
un gentilhomme de la troupe d’Achon, qui avoit es
oit esté moine, et qui avoit lors en garde les prisonniers. Cestui-ci
vint
baiser à la jouë d’Aubigné, puis se tourna vers B
onferer le Conseil d’une ville assiegee avec celuy d’une armee qui la
vient
secourir et dire toutes les 24 heures ce qu’on po
a dépense est en proportion de. 3. Engin, de l’italien ingegno, qui
vient
du latin ingenium. 4. Ce qui reviendrait. 5. C.
soupir d’aise qui échappe à Boileau dans ce vers : Enfin, Malherbe
vint
… S’il eut peu de sensibilité, d’imagination et d
ces vers de Boileau : il faut les savoir par cœur : Enfin, Malherbe
vint
; et le premier, en France, Fit sentir dans les v
ait ainsi de Richelieu : « Oui, lorsque dans deux cents ans, ceux qui
viendront
après nous liront en notre histoire que le cardin
génie de la France. 4. Les fronts de ces âmes. L’expression est mal
venue
. Il s’agit ici des huguenots retranchés dans leur
ont assez vescu. Or il est temps que Bèze soit vaincu, Et que la mort
vienne
pour le surprendre, Pour aux enfers l’estrangler
il regarde le sien et rougit : il ne se croit plus babillé ; il était
venu
à la messe pour se montrer, et il se cache : le v
ien différentes ; je serai troublée dans la mienne par les États, qui
viendront
me tourmenter à Vitré, sur la fin du mois de juil
cier, curieux de voir un homme dont la gaieté est si franche, le fait
venir
en son hôtel, converse avec lui et lui entend dir
Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait
venir
Le chanteur et lui dit : Or çà, sire Grégoire, Qu
paisible et seul dans un beau jour de printemps ; mais si sa femelle
vient
tout à coup à paraître, si les feux, de l’amour,
sser, quereller, pour rompre le carême dès son commencement, et il en
vient
là par complaisance. Marmontel nous fait remarqu
donné. L’adjectif Pittoresque est dérivé de la langue italienne : il
vient
du mot Pittore (peintre) ; il signifie donc ce qu
rigueur du froid, ses terreurs affreuses, l’obscurité de la nuit qui
vient
augmenter son malheur, et enfin sa triste et crue
ui sont tous noirs comme des diables, et qui ont les cheveux qui leur
viennent
jusqu’à la moitié du corps ; chacun eux ou trois
s fait escorter ; j’avais écrit, dès le soir, à leur capitaine, de me
venir
accompagner, et de se trouver en mon chemin ; ce
ent, que la pauvreté cesse d’être envieuse, et qu’un noble dévouement
vient
habiter le sein du mortel dont un bras secourable
voyaient en imagination assis autour de l’immense foyer du château où
venaient
les sur prendre l’arrivée soudaine d’un chevalier
ns lequel on trouve le plus de sentiments sublimes. Les trois Horaces
viennent
d’être choisis pour combattre les trois Albains ;
qualités du style qui nous occupe, c’est la tendresse et l’amour qui
viennent
y ajouter de temps en temps un nouveau charme. Il
eu, comme s’ils craignaient de déranger leur ouvrage. Quand le soleil
vient
à descendre derrière ce magnifique réseau, on voi
qui désolent de temps à autres les terres situées entre les tropiques
vint
étendre ici ses ravages. C’était vers la fin de d
s, et la plupart de leurs ruisseaux étaient desséchés. Aucun nuage ne
venait
du côté de la mer. Seulement, pendant le jour, de
lle description de mon séjour que je vous ferai naître l’envie de m’y
venir
voir et d’y prendre une collation. Horace invitai
m’y venir voir et d’y prendre une collation. Horace invitait Mécène à
venir
manger dans sa petite maison de Tivoli un quartie
sa famille à l’ombre des moissons ; mais si un rayon du soleil levant
vient
faire briller l’émeraude et l’or de ses ailes, al
frénésie du désespoir. Les femmes et les enfants des soldats étaient
venus
chercher un refuge dans les chambres des ponts su
quand les montagnes se renverseraient dans la mer ; « Quand ses eaux
viendraient
à bruire et à se troubler, quand les montagnes se
eau signalé était un brick anglais qui, mettant toutes voiles dehors,
vint
au secours du Kent. Alors commença une nouvelle s
ère. « Dans quel ordre les officiers doivent-ils sortir du vaisseau ?
vint
demander un des lieutenants. — Dans l’ordre que l
u commencement Un voyageur est debout, au centre d’un carrefour où
viennent
aboutir plusieurs chemins. Il ignore lequel prend
l’un à l’autre, craignant de choisir, au risque de s’égarer. D’où lui
vient
cette hésitation ? De ce qu’il n’a pas une idée p
confirmer ces merveilleux récits d’une vérité si invraisemblable : …
Venez
à moi, de l’Olympe habitantes, Muses, vous savez
« Il était une fois un roi… ou un bûcheron. » Ouvrez le premier roman
venu
, vous êtes sûr d’y trouver, après un titre plus o
heureux ; celle de Waverley, par exemple, est longue et pénible. D’où
vient
la différence entre le début du drame et celui du
t expliqué… Cela ne signifie pas, bien entendu, qu’il soit permis de
venir
, à la façon des prologues d’Euripide et de plusie
tout qu’il est un point capital. Car, comme je l’ai dit, si le publie
vient
en quelque sorte de lui-même au-devant de l’écriv
énèbres, a débrouillé le chaos qui lui cachait ce monde nouveau qu’il
vient
habiter, tout le charme, tout l’étonne, tout le r
de perdre une impression de cette heure, en communiquant celle qu’il
venait
d’avoir. Les Arabes mêmes se taisaient et semblai
ession : parler comme un habitant de Soles, ou faire un solécisme, en
vint
à signifier pour les Athéniens : manquer aux règl
ettra une petite explication sur ce mot. On sait que la Laconie (d’où
vient
le mot laconisme) était le pays des Léonidas et d
e Xercès qui lui demandait de rendre les armes, Léonidas répondit : «
Viens
les prendre. » Une mère en donnant le bouclier so
pières, lorsque tous mes compagnons, étant leurs chapeaux goudronnés,
vinrent
à entonner leur simple cantique à Notre Dame de B
rtel ; phrase courte, finissant par une brève et qui peint bien qu’il
vient
d’être frappé sans retour ; et demeure comme ense
ncerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie,
venait
tous les ans, comme le moindre des Israélites, ré
du cirque où l’action va s’accomplir ; la reine Isabelle de Castille
vient
embellir de sa présence cette fête si chère aux E
sions où la gloire l’engage. (Fort bien ! belle conception !) — Quand
viendra-t
-il, par son retour charmant, Rendre mon âme satis
sonnes qu’il aime2. Les médisances Clitandre. Parbleu ! je
viens
du Louvre, où Cléonte, au levé3, Madame, a bien p
vagance. Acaste. Parbleu ! s’il faut parler de gens extravagants, Je
viens
d’en essuyer un des plus fatigants ; Damon, le ra
élimène. Le pauvre esprit de femme, et le sec entretien ! Lorsqu’elle
vient
me voir, je souffre le martyre : Il faut suer san
us grande importance Que celles de l’honneur et de la bienséance2, Je
viens
, par un avis qui touche votre honneur, Témoigner
ain2, Dont le pinceau célèbre avec magnificence De ses riches travaux
vient
parer notre France, Et dans un noble lustre y pro
oisir ; Et, pour ta propre gloire, il ne faut point attendre Qu’elles
viennent
t’offrir ce que son choix doit prendre. Les grand
nstruit, n’attend pas le nombre des années ; il est fin dès qu’il est
venu
; dans les choses de son ressort, il a toujours l
it fort, après avoir passé neuf portes et donné des batailles pour en
venir
là, d’être enfin arrêté à la dixième ; et si on m
prétend que les verbes nuire, médire, parler, danser, jouer, partir,
venir
, sont des verbes actifs. Je dois dire également i
si souvent pour l’un que pour l’autre : = croyez-vous que votre frère
vienne
? Le verbe vienne marque un présent, si l’on veut
un que pour l’autre : = croyez-vous que votre frère vienne ? Le verbe
vienne
marque un présent, si l’on veut dire que votre fr
e que votre frère est en chemin, et un futur, si l’on veut dire qu’il
viendra
. La définition des trois temps suivants est la mê
des temps des verbes auxiliaires, avoir, être ; = je finissais ; = il
venait
. Les temps composés sont, au contraire, formés de
deux verbes auxiliaires et du participe : = j’avais fini ; = il était
venu
. Parmi les temps simples, on appelle temps primit
un trait d’union entre le verbe et le pronom ; = aime-t-il l’étude ?
viendra-t
-on ? puisse-t-elle être heureuse ! Quand la prem
able à la première ; et l’on change à la troisième s ou x en t : = je
viens
; tu viens ; il vient : = je veux ; tu veux ; il
remière ; et l’on change à la troisième s ou x en t : = je viens ; tu
viens
; il vient : = je veux ; tu veux ; il veut. Si la
t l’on change à la troisième s ou x en t : = je viens ; tu viens ; il
vient
: = je veux ; tu veux ; il veut. Si la première s
anches, et dont les autres temps se forment suivant les règles que je
viens
d’exposer succinctement, est appelé verbe régulie
és. Quérir, n’a que le présent de l’infinitif avec les verbes aller,
venir
, envoyer : = aller quérir quelqu’un. Il m’est ven
les verbes aller, venir, envoyer : = aller quérir quelqu’un. Il m’est
venu
quérir. Je les ai envoyé quérir. Ses composés acq
ndre, entrer, monter, mourir, naître, partir, rester, sortir, tomber,
venir
, et ses composés devenir, intervenir, parvenir, r
n de si agréable que de converser avec des gens instruits : = Si vous
venez
, et que nous soyons seuls, nous lirons l’ouvrage
c ; mais il est périlleux de faire des œuvres de circonstance ; quand
vint
à se calmer cet enthousiasme trop passager, la sé
C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine
vient
éclairer Un jour qui, sans rien colorer, A chaque
nt, Où, quand son heure est arrivée, Le passereau, loin des larcins3,
Vient
cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voile
.) 3. Les Limbes sont les lieux où les âmes des morts attendaient la
venue
du Sauveur. 1. Cette description de l’impalpable
onnée, Qui n’a pas dû rester2 pour voir mourir son fils ; Dieu jeune,
viens
aider sa jeunesse. Assoupis, Assoupis dans son se
ar qui cette mamelle était jadis pressée, Un suc qui te nourrisse, et
vienne
à ton secours, Comme autrefois mon lait nourrit t
, les trouvant, Il s’admire, et se plaît de se voir si savant. Que ne
vient
-il vers moi ? je lui ferai connaître Mille de mes
objets nouveaux qu’ils s’étonnent de peindre1. La prose plus souvent
vient
subir d’autres lois, Et se transforme, et fuit me
ls vous ressemblaient, ils étaient sans pitié. ……………… O mon frère, je
viens
, relisant tes écrits, Chanter l’hymne funèbre à t
suet a dit, dans une oraison funèbre : Glaive du Seigneur, quel coup
venez
-vous de frapper ? 33. Quelles sont les figures
nquante-huit ans accomplis : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse
venue
, A jeté sur ma tête avec ses doigts pesans Onze l
s. On voit des commis Mis Comme des princes, Qui jadis sont
venus
Nus De leurs provinces. Les vers qui com
i un exemple où l’on trouve des vers de toutes les mesures : O mort,
viens
terminer ma misère cruelle, S’écriait Charle, acc
st de même du présent de l’indicatif des verbes en enir, il tient, il
vient
, etc. Ces sortes de mots peuvent entrer dans le c
vants : Le criquet eut disette En yver, et, povrette, Au fourmi est
venu
. Hector tomba sous lui, Troie expira sous vous.
ans le même défaut. Ex. : Les Parques se disaient : Charles qui doit
venir
Au monde… Cette nymphe royale est digne qu’on
s de tomber dans ses mains redoutables Ma fille ! Mais j’aperçois
venir
madame la comtesse De Pimbesche… Soudain le m
courage Du lion fumant de carnage, Symbole du dieu des combats. D’où
vient
que l’univers déteste La couleuvre bien moins fun
ous la même mesure, soient qu’ils aient une mesure différente. Ex. :
Venez
, nations arrogantes, Peuples vains, et voisins ja
lacé le premier. Ingénieuses rêveries, Songes riants, sages loisirs,
Venez
sons ces ombres chéries ; Vous suffirez à mes dés
r les exploits. Jamais de la nature il ne faut s’écarter. Oui, je
viens
dans son temple adorer l’Éternel. 105. Dans quel
u style 111. Combien le style a-t-il d’espèces de qualités ? Nous
venons
d’étudier le style dans ses éléments, c’est-à-dir
ande concision, contribuent aussi à rendre le style obscur. 121. D’où
vient
l’obscurité de la pensée ? L’obscurité de la pen
erre funéraire. Ce cyprès est le sien, cet enfant est son frère. Nous
venons
tous les soirs lui porter nos douleurs ; Nous reg
est arrivé à Fontenelle dans ses Pastorales. Le mérite de La Fontaine
vient
en grande partie de l’emploi intelligent et du mé
une ardeur si noble, obéir à sa voix… Racine. Cette trivialité, qui
vient
souvent de ce qu’on veut paraître naturel, est un
vivacité des images et la magnificence des expressions. Cette qualité
vient
principalement de la fécondité de l’imagination,
flots vermeils, Comme deux rois amis, on voyait deux soleils
Venir
au-devant l’un de l’autre. V. Hugo. Nota. — Nou
Mais en priant pour son âme… ; la première scène d’Athalie : Oui, je
viens
dans son temple…, et la prophétie de Joad : Cieux
leux, des tours bizarres, des expressions heurtées. La faiblesse, qui
vient
assez souvent de ce qu’on n’a pas une idée assez
ssez-vous. Racine. Abaisse la hauteur des cieux. J.-B. Rousseau.
Viens
, des cieux enflammés abaisse la hauteur. Voltair
e peu de chemin qui vous reste à faire ? Croyons-nous que les jours à
venir
aient plus de réalité que les jours passés ? Les
us en frayèrent le chemin, et nous allons le frayer demain à ceux qui
viendront
après nous. Les âges se renouvellent, la figure d
hes les moins importantes de votre vie ? Remontons à la source : d’où
vient
que cet homme est entré dans la robe ? C’est qu’i
la voie de la magistrature que par celle des emplois militaires. D’où
vient
qu’un autre a suivi la route des armes ? C’est qu
Quels sont les motifs qui conduisent cet autre à l’autel saint ? que
vient
-il chercher dans l’église ? ses trésors, ou ses f
de profusion et d’abondance ; et, comme cet infidèle Héliodore, il ne
vient
dans le temple que parce qu’il a toujours ouï dir
œil, et son chef-d’œuvre serait ces raisins de Zeuxis que les oiseaux
venaient
becqueter. Le comble de l’art pour une pièce de t
dans l’ignorance où il est de son objet véritable, il se demande d’où
vient
ce désenchantement fatal dont successivement tous
raditions. Nous tendons à l’infini de toutes nos puissances ; la mort
vient
interrompre cette destinée qui cherche son terme,
ort. L’homme religieux éprouve cette terreur ; mais il sait d’où elle
vient
, et il la surmonte en s’attachant aux solides esp
sous le gouvernement de facultés meilleures ; il faut l’accoutumer à
venir
au secours de l’intelligence au lieu de la troubl
fosse de Santa-Rosa. Et n’est-ce pas en effet ce triste devoir que je
viens
d’accomplir ? Mon cœur n’est-il pas son vrai tomb
Préface Je ne cacherai pas d’où m’est
venue
l’idée de ce recueil. Elle appartient à Sainte-Be
nts. Vauvenargues, par ses Pensées et ses Caractères littéraires, est
venu
ensuite. J’ai emprunté à Voltaire ses articles Go
t d’abord qu’un esprit jeune et vigoureux s’exerce et se familiarise.
Viendra
le temps où il apprendra, comme le peintre, à rev
ans la lice de l’éloquence, pour leurs amis ou pour eux-mêmes, et qui
venaient
y décider, comme des gladiateurs, de leur perte o
crits judicieux, y seraient restées ensevelies si l’éloquence n’était
venue
les retirer comme du tombeau, et les rendre à la
firme, qui s’est toute corrompue par ses sales attachements. Et de là
vient
qu’au lieu qu’en parlant des choses humaines on d
e qu’en effet nous ne croyons presque que ce qui nous plaît. Et de là
vient
l’éloignement où nous sommes de consentir aux vér
(1645-1696.) Des ouvrages de l’esprit Tout est dit : et l’on
vient
trop tard depuis plus de sept mille ans qu’il y a
un dans leur genre, et selon leur génie, de très-beaux ouvrages. D’où
vient
que l’on rit si librement au théâtre, et que l’on
ne trouvant que des sujets indignes et fort au-dessous de ce qu’elle
vient
d’admirer, je m’étonne qu’elle soit capable pour
lus de travail que de capacité, plus d’habitude que de génie. Si elle
vient
d’un homme qui ait moins de discernement que de l
; il est douloureux pour les poètes qu’il ait vieilli. Douloureux ne
vient
pas plus naturellement de douleur, que de chaleur
Douloureux ne vient pas plus naturellement de douleur, que de chaleur
vient
chaleureux ou chaloureux ; celui-ci se passe, bie
moins par choix que par la contrainte de la mesure. Issu prospère, et
vient
d’issir, qui est aboli. Fin subsiste sans conséqu
rvés sans nous en marquer le temps ni l’auteur48 Bien à propos s’en
vint
Ogier49 en France Pour le païs de mescreans monde
du moins de dire de ce qui est mauvais qu’il est mauvais. Cet autre54
vient
après un homme loué, applaudi, admiré, dont les v
ter dans leurs discours les besoins généraux de la république : de là
vient
que cette profession fut si honorée, et que Cicér
vivre en paix et à entretenir la société. Après cette étude générale
vient
la particulière. Il faut connaître les lois et le
ous a laissés en impatience d’en voir la suite. C. Pour moi, je suis
venu
à la hâte, de peur d’arriver trop tard ; car je n
s mille choses à dire ; ne perdons point de temps, et sans préambule,
venons
au fait. A. De quoi parlions-nous hier, quand no
ants : c’est un art très-sérieux et très-utile à la morale. A. De là
vient
ce que dit Cicéron, qu’il a vu bien des gens dise
l fait parler. Voilà la force de l’imitation et de la peinture. De là
vient
qu’un peintre et un poète ont tant de rapport : l
t insinuer dans son esprit : il faut des images qui l’arrêtent. De là
vient
que, sitôt après la chute du genre humain, la poé
à exprimer leur douleur, leur crainte et leurs autres passions. De là
venaient
sans doute ces grands effets de l’éloquence que n
s, n’aurait pas pu être touché de quelque chose de médiocre ; puis il
vient
au jugement de Paris. Junon, dit-il, lui prometta
mis en sa place. Cette architecture, qu’on appelle gothique, nous est
venue
des Arabes : ces sortes d’esprits étant fort vifs
pouvaient manquer de se jeter dans de fausses subtilités. De là leur
vint
ce mauvais goût en toutes choses. Ils ont été sop
e heure ? A. Demain, il me sera difficile ; je tâcherai pourtant de
venir
le soir. Puisque vous le voulez, nous parlerons d
C. Adieu, Monsieur ; je vous conjure de nous tenir parole. Si vous ne
venez
pas, nous irons vous chercher. Dialogue 3 (fra
langue latine même n’avaient fait que se corrompre. Les Pères ne sont
venus
qu’après ce déclin : ainsi il ne faut pas les pre
t l'empire romain mirent partout l’ignorance et le mauvais goût. Nous
venons
d’eux ; et quoique les lettres aient commencé à s
vrai pape de cette église... Il faut absolument, me dit-il, que vous
veniez
avec moi. Mais, insistai-je encore, si vous me me
. A ces paroles judicieuses mon homme répondit en secouant la tête :
Venez
, venez, dit-il, on va vous donner du neuf. Il fal
s paroles judicieuses mon homme répondit en secouant la tête : Venez,
venez
, dit-il, on va vous donner du neuf. Il fallut ent
ce modèle. Sa postérité méprisa Cette architecture si belle Richelieu
vint
, qui répara Le temple abandonné par elle. Louis l
mps incognito, avec une longue approbation et un privilège. Cet autre
venait
présenter un mandement en style précieux, et étai
, je suis ce juge intègre Qui toujours parle, argue et contredit : Je
viens
siffler tout ce qu’on applaudit. Lors la Critique
us êtes un grand maître, Mais n’entrerez en cet aimable lieu ; Vous y
venez
pour fronder notre dieu : Contentez-vous de ne le
e la foule insensée, De ce parvis obstinément chassée, Tout doucement
venait
Lamotte-Houdard, Lequel disait d’un ton de papela
u par deux petits satyres, et couvert de lauriers et de chardons. Je
viens
, dit-il, pour rire et pour m’ébattre, Me rigolant
de son Enéide en vers français, le renvoya assez durement, et laissa
venir
à sa place Madame de la Fayette, qui avait mis so
t toi que j’ai perdu, c’est toi que le trépas, A la fleur de tes ans,
vint
frapper dans mes bras ! La mort, l’affreuse mort
Louvre, dont on n’est point redevable au cavalier Bernini, qu’on lit
venir
inutilement en France avec tant de frais, et qui
Nos petits marquis rengorgés, Nos robins toujours arrangés, Chez toi
venaient
se reconnaître ; Et tu les aurais corrigés, Si l’
olère, Il l’applaudit avec transport. Melpomène, étalant ses charmes,
Vient
lui présenter ses héros ; Et c’est en répandant d
e le suis de la nature. I. Élégance Ce mot, selon quelques-uns,
vient
d’electus, choisi. On ne voit pas qu’aucun autre
ture seule n’est éloquente que par élans. Les préceptes sont toujours
venus
après l’art Tisias fut le premier qui recueillit
; il fut un des premiers qui firent parler la raison. Les Anglais ne
vinrent
qu’ensuite, comme l’avoue Burnet, évêque de Salis
percer au travers de tous les hasards et de tous les obstacles pour y
venir
; et maintenant que vous y êtes, on voudrait que
u’on ne pouvait résister à un philosophe de cette force. Un autre qui
vient
d’écrire un petit livre (lequel il suppose être p
petite vérole artificielle, la mort serait bien attrapée. Ce défaut
vient
d’une affectation ridicule. Il en, est un autre q
assez que l’un a plus de goût que l’autre. Avant que le bon temps fût
venu
, Voiture, qui, dans sa manie de broder des riens,
emble que ce faux goût fut inspiré à Voiture par le Marini, qui était
venu
en France avec la reine Marie de Médicis. Voiture
s dans les autres ; et s’il fait dire malheureusement à César « qu’il
vient
ennoblir, parle titre de captif, le titre de vain
elle été jamais regardée comme un beau monument d’architecture ? D’où
vient
qu’en musique des sons aigres et discordants n’on
ble, jusqu’à la Conspiration de Venise de l’abbé de Saint-Réal ? D’où
vient
que Pellisson eut le premier le vrai style de l’é
imables sont infectés de cette tâche. La source d’un défaut si commun
vient
, ce me semble, du reproche de pédantisme qu’on a
le presque toujours sur des rapports faux, sur des équivoques : de là
vient
que les plaisants de profession ont presque tous
poëte dans leur prose pieuse. C’est ainsi que plusieurs prédicateurs
venaient
apprendre chez Baron l’art de la déclamation, et
me paraît très-bon, mais les scènes de Quinault encore meilleures. Je
viens
à une autre anecdote. Vous dites que « les étrang
ils ne sont jamais sensibles ni dans la déclamation ni dans le chant.
Venons
maintenant à l’usage de la rime, dont les Italien
des anciens Egyptiens, des Grecs et des Romains ; mais, dès qu’il est
venu
aux temps plus connus, il s’est arrêté tout court
ional ? Le génie français n’a exclusivement aucun caractère, et de là
vient
aussi qu’il n’en a aucun éminemment ; mais, au be
presque aussi inviolables et inflexibles que pour la prose. D’où nous
vient
cette exactitude ? D’où nous viennent ces privati
ibles que pour la prose. D’où nous vient cette exactitude ? D’où nous
viennent
ces privations ? De la délicatesse pointilleuse e
toutes les fois qu’il n’aura pas de grandes choses à exprimer. De là
vient
, pour les commençants, le vrai danger d’imiter Co
du louche dans la Pensée ; et l’expression s’en ressent. L’obscurité
vient
le plus souvent de l’indécision des apports ; et
utent. Après ces qualités essentielles et communes à tous les genres,
viennent
celles qui les distinguent, et que je nomme accid
is, hunc tu compesce catena. Catilina dit en sortant du sénat, où il
venait
d’être dénoncé : Incendium meum ruina restinguam.
sont placés est comme une pyramide dont ils couronnent le sommet. On
vient
annoncer au vieil Horace que de ses trois fils de
la richesse des peintures et des images solliciterait l’éloquence, et
viendrait
s’offrir d’elle-même ; si l’un ou l’autre genre d
La Fontaine. Lorsqu’on a entendu parler de La Fontaine, et qu’on
vient
à lire ses ouvrages, on est étonné d’y trouver, j
e charme à la plainte, En toute liberté goûtez un bien si doux. Voici
venir
ma sœur pour se plaindre avec vous. (Horace, acte
’un et de l’autre fort différemment. Oui, dit-on ; mais Corneille est
venu
le premier, il a créé le théâtre. Je ne puis sous
e sont jamais aussi grands que ceux de Fénelon et de Bossuet : ce qui
vient
en grande partie de la différence des genres qu’i
ce de ceux qui n’imaginent pas est conter. XVIII. Les grandes pensées
viennent
du cœur. XIX. Quand on a beaucoup de lumière, on
s, est pour- tant capable d’aligner des vers et des rimes ; là un mot
vient
à la suite de l’autre, et il en résulte à la fin
présider à un bon style, dans lequel on évite le retour d’un son qui
vient
d’être entendu. Les pièces de théâtre, notamment
et de plates cervelles, ne doivent employer que les mots les premiers
venus
. Les expressions brillantes sont le naturel de ce
dées ; ce sont les idées qui manquent aux mots. Dès que l’idée en est
venue
à son dernier degré de perfection, le mot éclot,
elle qu’on en est plus occupé que du fond, on croit que la pensée est
venue
pour la phrase, le fait pour le récit, le blâme p
pourvu qu’il me fût permis de la parcourir à mon aise ; mais en être
venu
si près, et n’y pouvoir mettre le pied, n’est-ce
lus large. Mais pas une seule barque, et voilà l’embarras. Il nous en
vient
, dit-on ; tant que j’aurai cet espoir, ne croyez
oir défendre, nous l’eussions bonnement laissé là ; nous n’étions pas
venus
pour faire violence à personne. Voilà un commanda
avez, de tous les pays du monde. Combien d’étrangers, qui n’y étaient
venus
que pour un hiver, y ont passé toute leur vie ! M
Trinité du Mont, je le rencontrai qui descendait, et il me dit : Vous
veniez
me voir ? Il est vrai, lui dis-je ; mais puisque
tuteur Proxénos, dont il n’eut qu’à se louer. Peu de temps après, il
vint
à Athènes suivre les leçons de Platon, alors âgé
ntenir qu’une lettre morte, paraissent toutes pleines de vie quand on
vient
à les déchiffrer. Les étiquettes du philosophe ma
rançaise de la Poétique est celle de Cassandre (Paris, 1654, in-4º) ;
vinrent
ensuite celles du sieur de Norville (1671), d’And
ou les mètres, soit qu’elle mélange ceux-ci entre eux, ou qu’elle ne
vienne
à mettre en usage qu’un seul genre de mètre, comm
nné à leurs œuvres, parce qu’ils imitent en agissant (δρῶντες). De là
vient
aussi que les Doriens revendiquent la tragédie et
y a mis un terme, puisqu’elle avait revêtu sa forme naturelle16. XIV.
Vint
ensuite Eschyle qui, le premier, porta le nombre
tique est celle de la satire et plus propre à la danse. Puis, lorsque
vint
le langage parlé17, la nature trouva elle-même le
rdonnance du spectacle offert est la première partie de la tragédie ;
vient
ensuite la mélopée et, enfin, le langage parlé, c
le principe, et comme l’âme de la tragédie, c’est la fable. Les mœurs
viennent
en second lieu ; car l’imitation32 est l’imitatio
, ou, généralement, à énoncer une affirmation. XXI. En quatrième lieu
vient
la diction : or j’appelle « diction » comme on l’
paroles versifiées, ou de discours en prose. XXII. En cinquième lieu
vient
la mélopée, partie la plus importante au point de
un commencement, un milieu et une fin. Le commencement est ce qui ne
vient
pas nécessairement après autre chose, mais est te
se existe ou se produise ; la fin, c’est cela même qui, au contraire,
vient
après autre chose par une succession naturelle, o
est tel qu’il n’y a plus rien après ; le milieu, c’est cela même qui
vient
après autre chose, lorsqu’il y a encore autre cho
soient puisés dans la constitution même de la fable, de façon qu’ils
viennent
à se produire comme une conséquence vraisemblable
ou la nécessité. » II. C’est ainsi que, dans Œdipe 43, un personnage
vient
avec la pensée de faire plaisir à Œdipe et de dis
x. Tel, par exemple, Hémon voulant tuer Créon57, dans Antigone. XVII.
Vient
en second lieu l’accomplissement de l’acte ; mais
le précède et que l’homme ne peut connaître, ou pour tout ce qui doit
venir
ensuite et qui a besoin d’être prédit et annoncé
e dans les Choéphores 80. Quelqu’un qui lui ressemble (à Électre) est
venu
; or personne autre qu’Oreste ne lui ressemble ;
r personne autre qu’Oreste ne lui ressemble ; donc, c’est lui qui est
venu
. Telle encore celle que présente l’Iphigénie de P
rt lui arrive. De même, dans le Tydée de Théodecte, le personnage qui
vient
comme s’il allait trouver son fils est lui-même m
vait pas vu ; et le spectateur, se fondant sur cette reconnaissance à
venir
, aura fait un faux raisonnement. IX. Le meilleur
eu sans le secours de signes fictifs et de colliers ; après celles-là
viennent
celles qui se tirent d’un raisonnement. Chapit
btenu ce sacerdoce. Plus tard, il arriva que le frère de la prêtresse
vint
dans ce pays, et cela parce que le dieu lui avait
se en dehors du cas général et dans un but étranger à la fable. Donc,
venu
là et appréhendé au corps, au moment où il allait
ec compétence, mais que des sentiments personnels de joie ou de peine
viennent
à offusquer leurs jugements. VIII. Si, sur tout l
tient à ce que, dans les harangues, on a moins d’intérêt, avant d’en
venir
au fait, à toucher des points étrangers à la caus
quel fait constitue un préjudice ou un droit, et ainsi du reste. Nous
venons
d’expliquer sur quels points doivent nécessaireme
omprend tous, le pentathle. XV. Une belle vieillesse, c’est celle qui
vient
lentement et sans souffrance. Et en effet, lorsqu
es qui dépendent de la nature. Il arrive aussi que des avantages nous
viennent
indépendamment de la nature. Ainsi la santé a pou
n homme ou un dieu, mais même des êtres inanimés et le premier animal
venu
, il faut, ici encore, faire usage des proposition
tus rend des services durant la paix, et la seconde durant la guerre.
Vient
ensuite la libéralité, car ceux qui possèdent cet
au de le faire, et s’il est capable de faire des largesses au premier
venu
, à plus forte raison en fera-t-il à ses amis, car
souvient de celles qui sont passées et l’on espère celles qui sont à
venir
. VIII. Parmi les faits dont on se souvient, ceux-
rvient immédiatement, tandis que le plaisir ou le profit doivent leur
venir
plus tard et durer plus longtemps ; car ce sont l
Chapitre XV Des preuves indépendantes de l’art. I. Après ce qui
vient
d’être dit, il nous reste à parler de ce que nous
nt que l’on invoque des témoins de cette sorte. XIV. Pour les faits à
venir
, ce sont aussi les auteurs d’oracles. Ainsi Thémi
pervers. Ce sont encore ceux qui partagent le péril du prévenu, s’ils
viennent
à être convaincus de faux témoignage. XVI. Ces so
aire. Pour celui qui conçoit un désir ou une espérance, si la chose à
venir
doit être agréable, elle lui paraît devoir s’acco
l’esprit nous procure une sorte de plaisir analogue à celui qui nous
vient
des songes. III. Comme le mépris est l’effet d’un
rainte sera donc une peine, ou un trouble causé par l’idée d’un mal à
venir
, ou désastreux, ou affligeant : car tous les maux
era mine de réclamer son dû ; faire une réclamation au moment où l’on
vient
nous demander, et faire des compliments pour avoi
e sentent admirés. Voilà pourquoi on a honte devant les personnes qui
viennent
demander un premier service, n’ayant jamais eu, j
ogues. XII. On est disposé à s’indigner (d’abord) dans le cas où l’on
vient
à mériter les plus grands biens et à les acquérir
e même. Ils croient tout savoir et tranchent sur toutes choses. De là
vient
leur exagération en tout. XV. Quand ils causent u
e : or l’espérance a trait à l’avenir, et le souvenir au passé. De là
vient
leur loquacité ; car ils racontent perpétuellemen
nous l’avons vu376, propre à ceux qui sont enclins à la pitié. De là
vient
qu’ils sont toujours à se plaindre, qu’ils ne pla
par rapport à ces deux sentiments. II. Ils ne se fient pas au premier
venu
; ils ne se défient pas, non plus, de tout le mon
ment ordinaire de propagation. Les races bien douées finissent par en
venir
à des mœurs plus insensées. Tels les descendants
oit clairement qu’il se tire des arguments contraires à ceux que l’on
vient
d’expliquer. XVI. La question de savoir si un fai
n’empêche. Et aussi lorsqu’on a une volonté, et que rien du dehors ne
vient
l’entraver. XIX. De même, lorsque l’on a le pouvo
n voit qu’elle s’établit par les arguments contraires à ceux que nous
venons
d’exposer. Les arguments relatifs au fait futur s
(de ce pays), il passa (en Grèce) ; de sorte que, si le Roi (actuel)
vient
à prendre l’Égypte, il marchera (contre nous). Il
al, car il est riche ; tandis que, si vous le faites mourir, d’autres
viendront
, encore pauvres, dont les rapines dévoreront la f
méchant ou de méchants enfants, on sera de l’avis de la personne qui
viendra
dire : « Rien de plus délicat que le voisinage »
alité, car l’auditeur est content de lui lorsqu’il pressent ce qui va
venir
; et pareillement les enthymèmes dont la conclusi
Chapitre XXV Des solutions. I. C’est le moment, après ce qui
vient
d’être dit, de parler des solutions478. On peut r
e matière, l’art n’est pas encore constitué, parce que l’action n’est
venue
que tardivement s’appliquer à l’élocution et que,
style la gloire qu’ils acquéraient, il s’ensuit que le style poétique
vint
le premier ; tel, par exemple, celui de Gorgias.
, aujourd’hui, le nom de πορισταί (agents d’approvisionnement). De là
vient
que, de celui qui a causé un préjudice, on peut d
des métaphores qui se distinguent des autres par la différence qu’on
vient
d’indiquer. III. Les images sont, par exemple, ce
pos. « Moi, de mon côté, puisqu’il s’est adressé à moi… car Cléon est
venu
(à moi) me priant, me pressant, — je partis les a
emple, on a introduit beaucoup de conjonctions avant celle qui devait
venir
, et, s’il y a un grand intervalle pour arriver à
eutres550 ; car il faut exprimer ces genres correctement : « Elle est
venue
, et, après avoir causé, elle est partie. » VI. La
er aux bonnes et aux mauvaises, selon l’utilité qu’on y trouve. De là
vient
que les poètes introduisent des expressions telle
ait paraître dans ses discours, même s’ils ne disent rien. Voilà d’où
vient
que beaucoup d’orateurs frappent l’esprit des aud
s, l’un est dans le rapport de 1 à 1, et l’autre dans celui de 2 à 1.
Vient
après ces rapports l’hémiole (sesquialtère) ; or
παῖ Διός575… ; l’autre péan, au contraire, est celui où trois brèves
viennent
en premier lieu et la longue en dernier : Μετὰ δ
assujettie au nombre, condition la plus favorable à la mémoire, d’où
vient
que tout le monde retient les vers mieux que la p
nal : « Ces hommes, lorsqu’ils étaient chez eux, vous vendaient ; et,
venus
chez vous, ils se sont mis en vente597. » En effe
hore qui se distingue des autres par une exposition préalable ; de là
vient
qu’elle est moins agréable, étant trop prolongée.
eux, nécessairement, ce qui est en cours d’exécution que ce qui est à
venir
. Il faut donc se préoccuper de ce triple but : la
ux de mots, car il y a surprise, et cela, même en poésie : le mot qui
vient
n’est pas celui que l’auditeur avait dans l’espri
e juvénile, car elles marquent de la véhémence ; c’est pourquoi elles
viennent
souvent à la bouche des gens en colère : Non, qu
utre, propre au discours écrit ; car elle est faite pour la lecture ;
vient
en second lieu l’élocution judiciaire. VI. Pour c
suis à bout de respiration, prince, je ne dirai pas que c’est d’être
venu
en toute hâte679. — Que signifie ce préambule680
ervent à présenter les hommes comme bons ou mauvais. II. Le point qui
vient
après celui-là, les faits une fois démontrés, con
ù les mœurs sont absentes. 31. Cette phrase, dans les manuscrits, ne
vient
qu’après le § 18. La transposition, due à Castelv
ράκιον ; Jusqu’à vingt-huit : νεανίσκος ; Jusqu’à trente-cinq : ἀνήρ.
Viennent
ensuite les âges appelés : ἄκμη, παράκμη, ὠμόγηρα
coliaste donne une citation plus complète de ce préambule : « Je suis
venu
auprès de toi, à cause de toi, et de tes dons, et
. Voici à peu près comment ils raisonnaient : — Toutes les idées nous
viennent
des sens, c’est-à-dire du monde extérieur. Mais d
le ; en un mot, que tout est vrai et que tout est faux. Des rhéteurs,
venus
pour la plupart de la Sicile, appliquèrent à l’él
que vous en êtes encore à l’enfance de l’art, et ne rougissez pas de
venir
, comme de grands écoliers, vous asseoir sur les b
e Montesquieu, un paradoxe de Rousseau, une boutade de l’abbé Galiani
venaient
interrompre une improvisation de Diderot et attis
imer l’éloquence, c’est le commencement de l’éloquence. Les règles ne
viennent
qu’en second lieu. Mais de lui enseigner les exer
ra, sans le savoir, une répétition de l’audience. Un jour, un citoyen
vint
prier Démosthène de le défendre : il se plaignait
, analysez toutes les ressources qu’elle peut vous fournir : l’exorde
viendra
s’offrir de lui-même. Étudiez les dispositions de
s aient eu le temps d’en compter les anneaux. Il faut que chaque fait
vienne
renforcer le fait qui le précède et préparer celu
mme les canons derrière les rangs, dans l’infanterie espagnole. Quand
viendra
le combat, c’est-à-dire l’argumentation, c’est al
est l’exception et que la médiocrité est le partage du grand nombre,
viennent
au secours de notre infirmité et nous mettent, po
l’autre en se succédant. Chaque raison nouvelle est comme un flot qui
vient
grossir le raisonnement et ajouter à l’évidence,
ous n’avez plus qu’à l’entretenir et à tourner votre voile du côté où
vient
le vent. L’art d’exciter les passions est si vari
-être pour une bouteille, cela veut dire la vie humaine. Celle-ci qui
vient
après, c’est un bouclier avec un bras tenant une
r accent provincial. Il est vrai que ces obstinés provinciaux étaient
venus
dans la capitale au bon temps où il y avait encor
t aussitôt puni par une prompte décadence. En effet, les émotions qui
viennent
du corps sont bornées et monotones : on connaît b
le même son ; et, au bout de quelque temps, l’auteur et le spectateur
viennent
échouer contre l’impossibilité de faire sentir au
ont fait et senti hier. J’ajoute que c’est sur cet écueil que doivent
venir
échouer tous les arts qui sortiront du cercle de
à régénérer le monde, et de verser son sang pour Dieu. Voilà d’où lui
vient
cette joie qui éclate encore dans ses yeux, sous
me de génie. Eh ! pauvre idiot ! laisse-le se tourmenter ; le mot lui
viendra
, et quand il l’aura dit, tu ne l’entendras pas. »
e L’huile qui doit brûler dans la lampe nocturne. Les heures du repos
viendront
un peu plus tard. La nuit n’a pas encor fourni so
nôtres. Enfin Rome se meurt, si, par un brusque effort, Une crise ne
vient
l’arracher à la mort2. — Pour la régénérer et lui
grandiront sans doute, et leur raison Portera d’heureux fruits, quand
viendra
la saison ; Il s’incline vers Robespierre. Mais l
ai pas ce génie. Je veux tout simplement briser la tyrannie ; Qu’elle
vienne
d’en haut, qu’elle vienne d’en bas, Elle est la t
out simplement briser la tyrannie ; Qu’elle vienne d’en haut, qu’elle
vienne
d’en bas, Elle est la tyrannie, et je ne l’aime p
s, 1792, et les Chaînes de l’Esclavage, 1774. Né à Genève en 1744, il
vint
à Paris exercer la profession de médecin, et avai
leurs ennemis communs, se sont insupportables l’un à l’autre, et qui,
venus
en apparence pour se mettre d’accord, ne font que
resta dans la salle commune, et quand le grand-maître des cérémonies
vint
le sommer de se retirer, Mirabeau, alors député d
t frayé le chemin, et nous allons le frayer dans un moment à ceux qui
viennent
après nous. Ainsi les âges se renouvellent ; ains
iant de nos auteurs français, à celui qui « S’en alla comme il était
venu
, « Mangeant son bien avec son revenu, » à notre
e, et portant une chevelure inculte, un barbare en un mot ? Cet homme
vient
se plaindre au sénat de l’avidité et de la tyrann
qu’il est capable de produire. Il faut que le travail de la réflexion
vienne
s’y joindre : or la rhétorique est précisément ce
rhétorique, le savant, le poëte ; l’homme du monde peuvent et doivent
venir
puiser les prescriptions particulières dont l’app
econnue, le Sénat prenait ses mesures pour l’entreprendre, mais n’en
venait
aux extrémités qu’après avoir épuisé toutes les v
on, s’il en fut jamais et qui fait honte aux Chrétiens, à qui un Dieu
venu
au monde pour pacifier toutes choses, n’a pu insp
? Dans quel sein voulaient se plonger tes armes sanglantes ? D’où te
venaient
cette ardeur et ce courage ? Ces yeux, ce bras, q
i la soutiennent et sont indispensables à la vie. Après les arguments
vient
la passion, qui circule comme le souffle et anime
s, à la sainteté du lien conjugal, à la décence, à la probité et puis
vient
crier : Patrie, patrie ! ne le croyez pas ; c’est
s lieux qui s’y rapportent, J il suffit de les avoir en réserve ; ils
viendront
aussitôt se présenter à nous pour la question que
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vint
s’offrir à ma vue. 3. Des autres passions, — Po
ouvements et les passions oratoires : Qu’arrive-t-il, messieurs ? On
vient
. Comment vient-on ? On poursuit ma partie ; on fo
s passions oratoires : Qu’arrive-t-il, messieurs ? On vient. Comment
vient
-on ? On poursuit ma partie ; on force une maison.
le poëte. Achille se contient au début : Un bruit assez étrange est
venu
jusqu’à moi. Qu’en dites-vous, seigneur ? Que fau
lants, il faudra l’arracher. Aussi barbare époux qu’impitoyable père,
Venez
, si vous l’osez, la ravir à sa mère : Alors, ell
Règles pour le pathétique. — Ces remarques et ces exemples divers peu
venu
être résumés en trois préceptes : I. Ne faire app
tant la plus solide de toutes les bases d’argumentation, la narration
vient
à propos, avant la confirmation et la réfutation.
les porte sur les chefs avides de l’entendre ; il parle, et la grâce
vient
embellir son éloquence : « O Grecs, si vos vœux e
ieuse apostrophe à l’ennemi de Rome : Jusqu’à quand enfin, Catilina,
viendras
-tu abuser de notre patience ? Combien de temps en
uent fort dangereux. On appelle étranger ou d’emprunt l’exorde qui ne
vient
point de la cause ou n’y convient pas parfaitemen
’idée première qui règle votre marche. Dans ce cas, votre proposition
vient
en conclusion.de tout ce qui a été développé. Tel
e guidé dans sa route ou de se guider lui-même en nous disant d’où il
vient
et où il va ; et la règle qui lui épargne des éca
sumés en quatre règles pratiques et précises : I. La proposition doit
venir
aussitôt après l’exorde. II. Elle se complète to
en que formé de propositions très-courtes : Voici le fait : Un chien
vient
dans une cuisine ; Il y trouve un chapon, lequel
s et les détails qui le mettent sous nos yeux est un cadre naturel où
viennent
se placer et se grouper les personnages du drame
u’il est possible de fixer par une formule rigoureuse les nuances qui
viennent
d’être indiquées, elles se résument dans les six
ne ta vie et l’intérêt à la narration. III. La description des lieux
vient
fournir le cadre et le fond même du tableau. IV.
tude des Mœurs, qui sont destinées à faire la force de l’exorde, sont
venus
les Arguments, ou preuves. Aussi, de même que l’a
e toujours le même, astre toujours nouveau, Par quel ordre, ô soleil,
viens
-tu du sein de l’onde Nous rendre les rayons de ta
...Grammaire est pris à contre-sens par toi, Et je t’ai déjà dit d’où
vient
ce mot. Martine. Ma foi Qu’il vienne de Chaill
se à effet. C’est ainsi que les guerres, les pestes ou les fléaux qui
viennent
affliger une nation après l’apparition d’une comè
udiées de son langage et de ses manières. La fausseté du raisonnement
vient
encore des sophismes que les rhéteurs appellent l
giles, passagers et capricieux les plaisirs des sens et les biens qui
viennent
des hommes et du monde. Il fait un dénombrement i
; son jugement dispose et range chaque chose à sa place ; le coloris
Vient
, enfin qui doit animer tout l’ouvrage, donner aux
uence, le fond du discours est dans les faits et dans les idées, puis
vient
la disposition qui en forme le contour, enfin l’é
ite avant même l’arrivée de Beck ; c’est pour cela aussi que le passé
vient
à son tour remplacer le présent. L’infinitif est
noyer dans les mers. Lorsque un cri tout à coup suivi de mille cris
Vient
d’un calme si doux retirer ses esprits. Je vais f
. Madame Jourdain continue fort sagement : S’il fallait qu’elle me
vînt
visiter en équipage de grande dame et qu’elle man
rement que possible b relation entre les jugements ; tout le reste ne
vient
qu’après cette lumière de la parole sans laquelle
a pensée que Racine a exprimée dans ce beau début d’Athalie : Oui je
viens
dans son temple adorer l’Éternel. peut se rendre
les formes : Non je ne veux ici qu’adorer l’Éternel. Comment ne pas
venir
adorer l’Éternel ? Laissez-moi dans son temple ad
oiseaux se dispersent dans toute l’étendue de nos campagnes : les uns
viennent
habiter nos jardins, d’autres préfèrent les avenu
figure doit être amenée naturellement ; il faut qu’elle paraisse être
venue
d’elle-même et non avoir été traînée de force à l
bonnes raisons de se marier : je le croyais libre, mais enfin il faut
venir
au timon et suivre la foule. Voilà des images qu
e croyais libre et sautant, et courant dans un pré mais enfin il faut
venir
au timon, et se mettre sous le joug comme les aut
e ligure de mot. 4. Règles relatives aux figures. — Avant d’en
venir
aux études et aux explications de détail relativ
entiment que les mots veulent exprimer. Ainsi, sous quelque forme que
viennent
s’offrir ou l’interrogation, ou l’exclamation, el
’on appelle accumulation. En effet les conditions de temps et de lieu
viennent
s’ajouter aux caractères déjà indiqués pour faire
c intrépidité. Trois fois ils retournent à la charge ; trois fois ils
viennent
se briser contre le vaste corps qui les repousse
ilà la guerre allumée. Amour, tu perdis Troie ! et c’est île toi que
vint
Cette querelle envenimée, Où du sang des dieux mê
traits de l’accumulation. Ainsi Bossuet, à propos de la mort : Elle
viendra
cette heure dernière ; elle approche, nous y touc
endra cette heure dernière ; elle approche, nous y touchons, la voilà
venue
. Oreste pressé par l’aveugle jalousie d’Herrnion
me promenai, je dormis et je passai le temps avec les dames qui nous
vinrent
voir. Il fait l’éloge de l’activité de son oncle
re. L’astéisme est parfois l’arme perfide de la malignité : Si l’on
vient
à chercher par quel secret mystère Alidor à ses f
osèrent-ils descendre ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me
vint
-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me
si Pénélope : Héraut, que cherches-tu ? Qui t’amène en ces lieux ? Y
viens
-tu de la part de cette troupe avare Ordonner qu’à
l’assemblée.- Je conjure celui qui répond oui de considérer.... Puis
vient
une réfutation développée. 3. De la prolepse. —
ossements se rejoindraient et se ranimeraient pour me dire : Pourquoi
viens
-tu mentir pour moi qui ne mentis jamais pour pers
dre qu’au mérite. Laisse-moi reposer dans le sein de la vérité, et ne
viens
pas troubler ma paix par la flatterie que j’ai ha
d’une voix terrible : « Où est l’heureux maître de ce logis ? que ne
vient
-il ? pourquoi ce silence ? » La crainte ferme la
sage de Sans-Souci : Des bâtiments royaux l’ordinaire intendant Fait
venir
le meunier, et d’un ton important : « Il nous fau
’agite au hasard ; à l’orage il s’apprête, Sans savoir seulement d’où
viendra
la tempête. Pascal a développé une autre allégor
, à scs naissantes pièces En habit de marquis, en robes de comtesses,
Venaient
pour diffamer son chef-d’œuvre nouveau. Boileau
idées, ce sont les idées qui manquent aux mots. Dès que l’idée eu est
venue
à son dernier degré de perfection, le mot éclat,
uel pompeux spectacle Frappe mes yeux épouvantés ! Un nouveau monde
vient
d’éclore : L’univers se reforme encore Dams les a
urt. Exemple : Je ne crois pas, malgré ses promesses réitérées, qu’il
vienne
. 2° La monotonie de phrases toutes longues ou de
toutes les parties, se trouvent à leur place ; alors les transitions
viendront
d’elles-mêmes, car elles sortiront du sujet et de
aveu. Il s’agit donc de trouver une proposition qui, résumant ce qui
vient
d’être dit et développé, indique ce qui va être d
naturel ; c’est la qualité qui consiste à dire les choses comme elles
viennent
, sans réflexion au moins apparente. Dire des chos
e ; le voilà prêt à écouter avec une gravité- exemplaire. Si l’avocat
vient
à paraître et que la nature lui ait donné une voi
art en tentant des expériences sur ses malades ; un avocat serait mal
venu
à faire son éducation en perdant les procès de se
modèle et de protecteur. A cette instruction des faits et de l’action
venait
se joindre l’assiduité aux audiences des juriscon
longueurs, les digressions, les hors-d’œuvre. Autour de cette pensée
viendront
se grouper toutes les autres ; il faut avoir arrê
andres d’un vert éclatant que le soleil commence à dorer au faîte. On
vient
d’ouvrir l’écluse de la rivière ; un bruit de cas
ctions prêtées aux personnages ; c’est le dénoument de la comédie qui
vient
d’être jouée. Tous les détails doivent concourir
e la cigale ne fut pas atteint. Errante et sans ressources, la fourmi
vint
implorer un secours que la cigale ne lui refusa p
on cousin le taupe-grillon, épris d’un soudain désir de voir du pays,
venait
d’émigrer pour l’Amérique, laissant une taupinièr
et se fixa chez les Gètes, où campait une armée romaine. L’armée, qui
venait
d’apprendre le meurtre de l’empereur, était prête
mes malheurs ; j’ai vu le jour en Asie, mais mon cœur est romain. Je
viens
vous parler pour Rome ; braves guerriers, croyez
Du véritable orateur. Sujet, — Un jeune abbé, charmé du sermon qu’il
vient
d’entendre, veut le faire goûter à Fénelon, qui l
nce religieuse. Développement. — Fénelon. — Hé bien, monsieur, vous
venez
donc d’entendre le sermon où vous vouliez me mene
et de la conversation la plus sérieuse. Il dit à l’homme vertueux de
venir
le voir, et lui indique l’heure du, brodeur et du
opos d’un tyran, adresse à Jupiter des vœux contradictoires ; ensuite
viennent
les prières inspirées par dii erses passions ; en
u’il accueillit, pour les punir, le premier vœu, et rejeta le second.
Venaient
ensuite des prières ordinaires : un pieux jeune h
▲