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1 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
au plus humble graminée2, combien de plantes meurent, et combien sont tuées  ! mais, dès que vous entrez dans le règne animal,
é l’homme, dont la main destructive n’épargne rien de ce qui vit ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pou
destructive n’épargne rien de ce qui vit ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour se parer, il tue pour
rien de ce qui vit ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour se parer, il tue pour attaquer, il tue pour
l tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour se parer, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue po
il tue pour se vêtir, il tue pour se parer, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s’instruire, il tue
tue pour se parer, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s’instruire, il tue pour s’amuser, il tue po
e pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s’instruire, il tue pour s’amuser, il tue pour tuer : roi superbe et
e pour se défendre, il tue pour s’instruire, il tue pour s’amuser, il tue pour tuer : roi superbe et terrible, il a besoin
défendre, il tue pour s’instruire, il tue pour s’amuser, il tue pour tuer  : roi superbe et terrible, il a besoin de tout, e
dos du cheval, comme en lieu haut et relevé, il choisit et frappe, et tue le lion d’un espieu ou d’une pertuisane ou d’une
sont en la mer, comme cest horrible monstre et grand, la baleine, la tue et l’ameine au rivage. Pareillement ceux qui sont
2 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
le occasion : il ordonna à ses gladiateurs de forcer la maison, et de tuer Clodius. Son corps est porté à Rome par ses parti
ue Milon, se trouvant dans le cas de la défense naturelle, a pu et dû tuer Clodius. Mais non seulement Milon a pu et dû tuer
turelle, a pu et dû tuer Clodius. Mais non seulement Milon a pu et dû tuer Clodius ; il lui est encore glorieux de l’avoir f
ce que Clodius est un homme dangereux, s’ensuit-il que le droit de le tuer appartienne au premier citoyen qui voudra s’en sa
hommes armés fondent sur lui d’un lieu élevé, arrêtent la litière, en tuent le conducteur. Milon quitte son manteau, s’élance
ait de le secourir ; entendant Clodius lui-même crier que Milon était tué , et le croyant en effet… ; les esclaves de Milon
que fissent pour lui les siens, en pareille occasion ». 118. « J’ai tué  ; oui, Romains, j’ai tué, non un Spurius Mélius,
siens, en pareille occasion ». 118. « J’ai tué ; oui, Romains, j’ai tué , non un Spurius Mélius, qui encourut le soupçon d
eux grands hommes ont rempli l’univers de la gloire de leur nom. J’ai tué , moi (car il oserait le dire, après avoir délivré
le dire, après avoir délivré la patrie au péril de ses jours) ; j’ai tué celui que des femmes de la première distinction o
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
éperdus, remportent une victoire complète. Un Cimbre est envoyé pour tuer Marius dans sa prison. Misérable ! oseras-tu bien
st envoyé pour tuer Marius dans sa prison. Misérable ! oseras-tu bien tuer Caius Marius ! lui dit d’une voix terrible l’illu
proscrit ; et le soldat s’enfuit épouvanté, en répétant : Je ne puis tuer Caius Marius. L’histoire moderne nous offre le m
s Marius. L’histoire moderne nous offre le même trait. Un ligueur va tuer le cardinal de Retz : Ah ! malheureux, si ton pèr
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
nque frappe dans le but de légitime défense est innocent ; or Milon a tué Clodius dans le but de légitime défense ; donc Mi
disjonctive. L’exemple cité est un syllogisme catégorique. Si Milon a tué Clodius dans le but de légitime défense, il n’est
us dans le but de légitime défense, il n’est pas coupable ; or il l’a tué , etc., donc, il n’est pas coupable ; syllogisme c
tc., donc, il n’est pas coupable ; syllogisme conditionnel. — Milon a tué Clodius ou dans le but de légitime défense, ou pa
emier cas, il n’est pas coupable, il l’est dans le second ; or il l’a tué , etc., donc, etc. Syllogisme disjonctif. On voit
en est la preuve. Car il faut démontrer qu’en effet il est permis de tuer dans le cas de légitime défense, et qu’en effet M
5 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
l’italien, Marie de Rabutin-Chantal épousa le marquis de Sévigné qui, tué en duel, la laissa veuve à vingt-cinq ans. Répare
ma tante2, et l’envie que j’ai de vous voir, tout cela me déchire, me tue et me fait mener une vie si contraire à mon humeu
onsieur, lui dit-il, vous avez raison ; je ne veux point du tout être tué aujourd’hui, cela sera le mieux du monde. » Il eu
Coulanges, qui souffrait d’une hydropisie. 3. Son mari venait d’être tué . 4. Sœur du grand Condé. 5. Catherine-Françoise
it : Monsieur, arrêtez-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué . Le coup de canon vint donc ; il emporte le bras
l emporte le bras de M. Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le fils de Saint-Hilaire se jette
6 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
les Grecs n’éprouvèrent que des revers. La mort de son ami Patrocle, tué par Hector, lui fit reprendre les armes. Il terra
Pégase qui leur servait de monture. Ce dieu ayant, suivant la fable, tué les Cyclopes qui avaient forgé la foudre dont son
rmée de Turnus contre Énée, qui voulait s’établir en Italie. Elle fut tuée dans cette guerre par un Troyen nommé Arruns. Ca
rer des gens de tous les états. Le plan de cette conjuration était de tuer les deux consuls, d’égorger tous les sénateurs, e
e d’un combat, où, après avoir fait des prodiges de valeur, il se fit tuer , l’an 62 avant J.-C. Cavais (Louis d’Oger, marqu
e, comme il avait fait celle de bien d’autres pays. Crassus avait été tué dans un combat contre les Parthes ; et Pompée, ja
campagne, où ils faisaient paître les troupeaux, ils résolurent de le tuer . Cependant ils se contentèrent de le jeter dans u
es habitants étaient très belliqueux. Mathan, prêtre de Baal. Il fut tué dans le temple de ce faux dieu, par les ordres du
aître de la garde-robe, et maréchal de camp des armées du roi. Il fut tué , après le passage du Rhin, d’un coup de mousquet
a du temple de Minerve le Palladium, statue de cette déesse. Enfin il tua Rhésus, roi de Thrace, et lui prit ses chevaux av
Peu de temps après, il laissa ses États à son fils Télémaque, et fut tué , dans une émeute, par Télégon, qu’il avait eu de
7 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
andes n’étaient pas aussi agréables au Seigneur que celles d’Abel, le tua l’an 3874 avant J.-C. Adule, ou Saint-Gothard, u
a sur tous les troupeaux du camp, et en fit un grand carnage, croyant tuer Ulysse, Agamemnon, et les autres rois de la. Grèc
llicitation du général lacédémonien, eut la lâche cruauté de le faire tuer à coups de flèches, l’an 404 avant J.-C. Alcide.
eux Parménion, qui lui avait rendu les services les plus signalés, et tua de sa propre main, au milieu d’un repas et de l’i
romaine. Il se livra une grande bataille, où les deux Scipions furent tués , et dont Asdrubal retira tout l’avantage. Après c
chasse ; et un jour qu’il prenait cet exercice, il eut le malheur de tuer cette épouse chérie, qui était derrière un buisso
e Marie de Bourbon, sa mère ; sœur et héritière du comte de Soissons, tué en 1642, à la bataille de Marfée ; laquelle avait
ble Achille, il succomba sous le fer de celui-ci ; qui, après l’avoir tué , le fit attacher à son char, et le traîna trois f
la figure d’un homme nerveux, armé d’une grosse massue, dont il avait tué l’hydre de Lerne, et couvert de la peau du lion q
squels il fondit courageusement sur l’aile droite des Syriens, et fut tué dans la mêlée, l’an 161 avant Jésus-Christ. Mara
ait. À cette nouvelle, Cadmus, par le conseil de Minerve, y accourut, tua ce monstre, et en sema les dents, d’où naquirent
8 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
ttra beaucoup plus de liberté. Cicéron écrira indifféremment : accepi tuas litteras ou litteras tuas ; litteras tuas ou tuas
rté. Cicéron écrira indifféremment : accepi tuas litteras ou litteras tuas  ; litteras tuas ou tuas litteras accepi ; tuas ac
ira indifféremment : accepi tuas litteras ou litteras tuas ; litteras tuas ou tuas litteras accepi ; tuas accepi litteras ou
fféremment : accepi tuas litteras ou litteras tuas ; litteras tuas ou tuas litteras accepi ; tuas accepi litteras ou littera
s litteras ou litteras tuas ; litteras tuas ou tuas litteras accepi ; tuas accepi litteras ou litteras accepi tuas. Une fois
uas ou tuas litteras accepi ; tuas accepi litteras ou litteras accepi tuas . Une fois les relations clairement indiquées par
9 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
aille à Albert d’Autriche, qui lui disputait la couronne. Adolphe est tué dans le combat. Imogène est avertie du fatal évén
la couronne au nouvel empereur, et marcha contre lui. Il vainquit et tua Adolphe, à Gelheim, non loin des bords du Rhin. A
oin des bords du Rhin. Albert fut violemment soupçonné de n’avoir pas tué Adolphe en combattant loyalement, mais de l’avoir
l’armée un fils, qui était colonel, et qu’on lui avait dit avoir été tué par les Français. De 1à la haine qu’elle éprouvai
voir surpassé les crimes des Caligula, des Néron et des Domitien, fut tué en 217. Sujet. Après avoir donné la mort à son fr
rtrand de Gourdon ; que Richard autrefois, dans un accès de fureur, a tué son père ; qu’il a, lui, juré de venger son père 
tué son père ; qu’il a, lui, juré de venger son père ; qu’il a voulu tuer Richard et l’a tué loyalement, dans un combat. A
l a, lui, juré de venger son père ; qu’il a voulu tuer Richard et l’a tué loyalement, dans un combat. A ces mots, la fureur
mérie (petite ville de 16 lieues de Rome) qui se trouvait à Rome, fut tué la nuit, probablement par des brigands, Roscius é
ournés contre sa poitrine ; mais ces hommes n’osent, dans une église, tuer un prêtre. Ilfrid, traîné au pied de l’autel, jur
ur père, avaient partagé entre eux l’empire des Francs, Clodomir, fut tué en 524, dans une bataille contre les Bourguignons
ée et des ciseaux, en l’invitant à décider elle-même s’il fallait les tuer ou les faire moines. Dans un premier mouvement de
à traiter de même le second, Clotaire l’y force en le menaçant de le tuer lui-même. Le troisième, Clodoald, allait subir le
eau à son doigt et des chaussures à ses pieds. Amenez un veau gras et tuez -le ; faisons un grand festin et livrons-nous à la
de bataille resta aux Thébains ; mais leur général, Epaminondas, fut tué . Le chef de la cavalerie athénienne périt en comb
int pour attaquer cette ville à la tête d’une armée, et fut vaincu et tué dans un combat. Sujet. Sévérus, jeune Romain, séd
tirant une arme de dessous son habit, déclare à Pomponius qu’il va le tuer s’il ne jure de se désister sur-le-champ de son a
ouvait fuir : il n’y songe même pas ; il résiste à son ennemi ; il le tue , et, plein de joie, apporte ses dépouilles à son
toute sa consolation. On vient lui apprendre que ce fils chéri a été tué dans une bataille ; cette nouvelle lui est confir
défilés de Morgarten ; l’armée autrichienne fut écrasée, Léopold fut tué , la liberté de la Suisse fut assurée. Les cinquan
foule à eux. Boris l’emporta, et, avec la permission de Fédor, il fit tuer l’enfant par un officier à qui il fit sur-le-cham
vient se réfugier dans le sein d’un enfant ; l’enfant la saisit et la tue en la jetant avec force contre le pavé. Un cri gé
« L’on accordait une prime de trois piastres par tête de Turc pris ou tué les armes à la main. Un soldat grec dont le frère
deux autres. Ce soldat se retira très-mécontent, persistant à vouloir tuer le jeune Turc qui déjà avait apporté les têtes de
de leur faire sentir toute la différence qu’il y a entre l’action de tuer un ennemi armé et un lâche assassinat. Ce prélat
taient alors en Germanie), attaqua les Gépides, autre peuple barbare, tua leur roi de sa main, et força Rosamonde, fille de
lant son époux. Elle promit à Elmige, chef lombard, de l’épouser s’il tuait Alboin. Un jour qu’Alboin, fatigué de la chaleur
son mari (vu surtout qu’Alboin l’avait épousée par force après avoir tué son père) diminue assez l’horreur que ce crime do
10 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
sa beauté, Marie de Rabutin-Chantal épousa le marquis de Sévigné qui, tué en duel, la laissa veuve à vingt-cinq ans, sans l
onsieur, lui dit-il, vous avez raison ; je ne veux point du tout être tué aujourd’hui, cela sera le mieux du monde. » Il eu
it : Monsieur, arrêtez-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué . Le coup de canon vint donc ; il emporte le bras
; il emporte le bras de Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le fils de Saint-Hilaire se jette
11 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
e un duc de Retz. Il lui demande protection pour un gentilhomme qui a tué un fanfaron en duel, et qui ne peut se hasarder à
ici ne faites pas de détails ; idées générales. Mucius Scévola voulut tuer un roi, mais il se trompa, et condamné à mort il
et se jette sur le tigre — … L’animal s’embarrasse dans sa robe — On tue le tigre — … Gloire à Lienou-Song, la courageuse
carcajous se pendent aux branches des arbres pour saisir les animaux tués qui surnagent. —  Avis. Ce style est à changer t
« Juge de la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon fils. » Achille se laissa toucher, — Quelle f
et de se rejoindre au milieu98 et ce mouvement est exécuté. — Fairfax tue de sa main un porte étendard et remet le drapeau
suivre ; — mais Jeanne leur dit : laissez aller les Anglais et ne les tuez pas ; il me suffit de leur départ. N° 143. — 
n tire par les croisées, et en quelques minutes deux cents Turcs sont tués . —  L’ennemi ripostait à coups de canon qui faisa
leurs ennemis alarmés et surpris, qui, ne pouvant se reconnaître, se tuent les uns les autres. Déjà Léonidas avait détruit l
e me traînai, aveuglé sur leurs cadavres, et la douleur n’ayant pu me tuer , la faim me fit mourir. N° l54. — Le Génie des
N° 159. — La Feuille du Chêne Exposition. Un riche voyageur fut tué sur la route — … En mourant il dit à son assassin
le vieux Abenaki dit qu’il avait eu un fils, que les Anglais avaient tué — … il lui montra le soleil levant et des arbres
par les Espagnols, était bloqué ; tous ceux qui en sortaient étaient tués par les sauvages, il était défendu de sortir sous
nt où l’ours était aux prises avec Guillaume. A quatre pas il tire et tue Tours. Il se baisse sur Guillaume dont le corps n
ute mortelle. Le ballon tombe et se brise contre un arbre, Harris est tué , la jeune fille qui s’est évanouie arrive à terre
j’entends du bruit ; le charbonnier demande à sa femme s’il faut les tuer tous deux. Sur la réponse affirmative, ma crainte
ient deux chapons, et qui m’expliquèrent enfin les mots : faut-il les tuer tous deux ? N° 205. — Traits de présence d’esp
… On le poursuit, on le saisit, on vend son mobilier ; désespéré, il tue trois de ses enfants Isa femme s’enfuit avec le q
donne de placer un quatrième gabion — … Le fusilier répond qu’il sera tué et obéit — … Vient un boulet qui lui fracasse le
mariage ; mais il fut refusé du père et de la fille — … Peu après fut tué un banneret de Berne — … Kœpf accusa Tellis de ce
it de se reconnaître félon et calomniateur — … Kœpf avoua qu’il avait tué le banneret, et qu’il était vaincu par Dieu ainsi
une pierre, ou tout autre chose, Pilate ressuscite pour un moment et tue le voyageur — … Voici l’histoire Après la mort de
de Judée et se réfugia à Rome, où, ne pouvant supporter la vie, il se tua — … On ne put l’enterrer, la terre le rejeta — …
t tous les traîtres déicides — … Ils faisaient un vacarme horrible et tuaient tous les passants —. Enfin, un moine vint à la mo
près sa mort et de s’enfuir au plus vite — … Et ces hommes affreux le tuèrent — … On les poursuivit ; deux corbeaux s’acharnant
re, vit enfin revenir Oreste, qui après s’être fait connaître à elle, tua les deux coupables et recouvra le trône de ses pè
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
paix ; celle-ci ne dure-t-elle pas depuis six ans ? avons-nous assez tué de monde, et fait éprouver assez de maux à la tri
s’annonce par des présages sinistres. Quelle qu’en soit l’issue, nous tuerons , de part et d’autre, quelques milliers d’hommes d
13 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
. Ex. : Gladio correpto, seipsum occidit. Ayant saisi son épée, il se tua . XXV Il est quelquefois plus élégant de sou
s adverbes multò, longè. Ex. : Multò mihi jucundissima fuit præsentia tua . Cic. Votre présence m’a été tout à fait agréable
tions pro ou secundùm, de la manière suivante : Rem totam facilè, quœ tua est prudentia, et brevi conficies. Cic. Eu égard
va de votre intérêt, quand la maison de votre voisin est en feu. Res tua agitur, paries quùm proximus ardet. Virg. XI
les repousse au premier choc, se met à la poursuite des fuyards et en tue un grand nombre. De même, quand on veut peindre u
où il va. 4° Au lieu de ubi, si, pour exprimer une supposition. Ex. : Tua maturè venientis laudabitur diligentia. Cic. Si v
écrit une lettre plus longue peut-être que vous ne voudriez. Si fortè tuas pervenit ad aures Belidœ nomen Palamedis. Virg. S
’espace, des personnes ou des choses. Ex. : Ad te confugio et supplex tua numina posco. Virg. Je me réfugie auprès de vous,
qui, Milone interfecto, Claudius hoc assequebatur. Or, Milon une fois tué , Clodius obtenait cet avantage. Milo autem, quùm
Les Tarquins combattirent jusqu’à ce que Aruns, fils du roi, eut été tué par Brutus. (Ici il s’agit d’un fait certain, et
14 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
omte, vient demander au roi d’Espagne le châtiment de Rodrigue, qui a tué Gomès en combat singulier. Rodrigue est défendu p
punissez l’insolence ; Il a de votre sceptre abattu le soutien, Il a tué mon père. D. Diègue. Il a tué mon père.Il a ven
votre sceptre abattu le soutien, Il a tué mon père. D. Diègue. Il a tué mon père.Il a vengé le sien. Chimène. Au sang de
i, Digne de son pays et digne de son roi : Il m’a prêté sa main, il a tué le comte ; Il m’a rendu l’honneur, il a lavé ma h
n suis la tête, il n’en est que le bras. Si Chimène se plaint qu’il a tué son père, Il ne l’eût jamais fait si je l’eusse p
15 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre IV. Analyse et Extraits du plaidoyer de Cicéron pour Sextius. »
le du sénat et du comice ; ils se jettent sur Fabricius, le frappent, tuent quelques-uns de ceux qui l’accompagnaient, en ble
presque expirant, et n’évita la mort que parce qu’on le croyait déjà tué . Comme ses ennemis le voyaient étendu par terre,
ssassin de Réat, Sabinius, qui s’est trop tôt écrié que Sexvius était tué . Mais pourquoi accuser Sextius ? S’est-il soustra
16 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
aturel, les traitait sévèrement ; mais ils conjurèrent contre lui, le tuèrent et exterminèrent toute la famille royale. Le coup
t tous les particuliers. Ils disaient : « Qu’ai-je à faire d’aller me tuer à travailler pour des gens dont je ne me soucie p
ait Alexandre. Il fit deux mauvaises actions : il brûla Persépolis et tua Clitus. Il les rendit célèbres par son repentir :
17 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
est éternel. — 2. Cambyse, roi de Perse, fils de Cyrus, roi de Perse, tua le bœuf Apis, divinité des Egyptiens ; il fonda e
ondateur de la ville et de l’empire, fut d’un caractère farouche ; il tua son frère Rémus ; une louve lui avait servi de no
e général était puni quand il n’avait pas réussi. — 5. Dion ayant été tué , Denys redevint maître de Syracuse. — 6. César et
ué, Denys redevint maître de Syracuse. — 6. César et Pompée ayant été tués , le peuple Romain paraissait être revenu à son an
l’Africain couronna sa gloire militaire par l’éloquence. — 8. Apollon tua le serpent Python à coups de flèches, ce qui lui
nde envoie des perroquets dont tout le corps est vert. — 3. Marcellus tua de sa main un roi Gaulois, nommé Viridomare. — 4.
es ca[illisible chars][texte coupé]lendes de janvier. — 2. Pompée fut tué la veille d[illisible chars][texte coupé] jour an
ée Étrusque, Mucius se rendit seul au camp du roi, et entreprit de le tuer . — 7. Junon priva Tirésias de la vue, mais Jupite
e moi. Tu ne te feras pas d’idoles. Honore ton père et ta mère. Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas, tu ne porteras pas de fau
volontairement en servitude, on lui percera l’oreille. Celui qui aura tué un homme sera puni de mort. Que celui qui aura fr
mort. Celui qui aura dérobé un veau en rendra cinq. Il est permis de tuer le voleur nocturne, mais non celui qui vole de jo
. — 8. Tametsi domi militiæque præclara facinora egisti, tamen gloria tua , Cæsar, cum multis viris fortibus æqualis est.
ennemi, qu’il ne lui prît encore son camp. — 6. Timoléon de Corinthe tua son frère Timophane, tyran de cette ville ; après
de l’esprit. — 11. Philippe, fils d’Amyntas et roi de Macédoine, fut tué par Pausanias près du théâtre, comme il allait au
entre nous, dont la vie doit être si courte, vient à mourir ou à être tué , lorsqu’en un seul lieu les cadavres de tant de v
r son fils Néron, ils lui répondirent qu’il serait empereur, et qu’il tuerait sa mère. « Eh bien ! répondit-elle, qu’il me tue
pereur, et qu’il tuerait sa mère. « Eh bien ! répondit-elle, qu’il me tue pourvu qu’il règne. » — 6. Othon avait espéré qu’
vaincus. — 5. Darius avait promis de donner mille talents à celui qui tuerait Alexandre. — 6. Publius et Cnéius Scipion ayant é
as ; imò percussi manu pectus, et : « Ubi nunc est, inquam, iracundia tua  ? Nempe piscibus belluisque expositus es ; et qui
de sa maison pendant qu’il offre un sacrifice aux dieux ; un autre se tue en tombant de son char. Si vous y regardez bien,
pliqué à considérer des figures qu’il avait tracées sur le sable, fut tué par un soldat qui ignorait qui il était. — 2. Die
urtre lui inspirait, les Macédoniens déclarèrent que Clitus avait été tué justement ; et il n’est pas douteux qu’ils l’euss
es mains. — 7. Pendant la guerre civile, un soldat du parti de Pompée tua son frère ; puis, ayant connu son crime, il se tu
du parti de Pompée tua son frère ; puis, ayant connu son crime, il se tua lui-même. — 8. Quoique le sage se suffise à lui-m
’une grandeur prodigieuse. — 3. Émilius Lépidus, étant encore enfant, tua un ennemi et sauva un citoyen. — 4. Publilius, ét
ès la bataille de Pharsale, Pompée, s’étant dirigé vers l’Égypte, fut tué , d’après l’ordre du roi Ptolémée, par Achillas, à
des hommes armés, et qu’ils ne parvinrent à le blesser qu’après avoir tué son chien. Mais on cite par-dessus tout le chien
ant il en repoussait pendant la nuit. Hercule, au bout de trente ans, tua cet aigle, et délivra Prométhée. § 227. D’aut
l fut difficile de donner une tête à l’Italie ! — 2. Alexandre, ayant tué Clitus, put à peine se retenir de se frapper lui-
t pourquoi il n’avait pas décrété de supplice contre celui qui aurait tué son père, il répondit qu’il avait pensé que ce cr
’était si porté à la colère. — 6. Œdipe, fils de Laïus et de Jocaste, tua son père et épousa sa mère sans le savoir. — 7. O
horæ arsuram et ad cineres redituram, illacrymâsse dicitur. — 7. Non tua res agitur, paries quum proximus(1) ardet ? — 8.
s, si quotidiè fraudas, decipis, poscis, aufers, eripis, quamvis arca tua sit plena, divitem non putabo. — 8. Non est quòd
le avait annoncé qu’Athènes remporterait la victoire si son roi était tué . — 5. Certains arbres sont tapissés de lierre, et
ume de boire aux blessures mêmes le sang du premier ennemi qu’ils ont tué . Plus un homme a tué d’ennemis, plus il est consi
sures mêmes le sang du premier ennemi qu’ils ont tué. Plus un homme a tué d’ennemis, plus il est considéré parmi eux ; c’es
us agréable et le plus fréquent, c’est d’énumérer les ennemis qu’on a tués  ; ceux qui en comptent le plus boivent dans deux
o agitur, si tibi ad imperandum nihil præter me obstat. Cedo, si spes tuas solus impedio, Paulusne te et Fabius Maximus et C
m illo loquere, quàm tecum. Cum amico omnes curas, omnes cogitationes tuas misce. Fidelem si putaveris, facies. Nàm multi fa
18 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
uai ces propres mots du mari : « Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la femme répondit : Oui.
oyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : « Faut-il les tuer tous deux ? » Et je vous crois, cousine, assez de
19 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
agit de la sœur d’Horace, qui, à l’aspect des dépouilles de son amant tué par son frère, s’abandonne à l’excès de son déses
discours de Pacuvius à son fils Pérolla, qui avait formé le projet de tuer Annibal dans un festin que lui donnait le général
aritudo sit, subvenisse romano nomini, compressisse Germaniæ populos. Tua , dive Auguste, cœlo recepta mens ; tua, pater Dru
compressisse Germaniæ populos. Tua, dive Auguste, cœlo recepta mens ; tua , pater Druse, imago, tui memoria iisdem istis cum
20 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
fort bien dit, la vue de Médée, qui égorge ses enfans ; d’Oreste, qui tue sa mère ; d’Œdipe, qui se crève les yeux ; d’Hipp
aimée, furieuse de voir qu’on lui préfère une rivale, engage Oreste à tuer Pyrrhus. On peut mêler à l’action principale une
lorsque dans votre vue, J’ai pris, pour mon malheur, le poison qui me tue , Et que j’ai cru trouver quelque sincérité Dans l
tenir ? Belise. Quel solécisme horrible ! Philaminte. En voilà pour tuer une oreille sensible. Belise. Ton esprit, je l’a
nnemis, ou entre des gens indifférens l’un pour l’autre. Qu’un ennemi tue ou veuille tuer son ennemi, cela ne produit aucun
e des gens indifférens l’un pour l’autre. Qu’un ennemi tue ou veuille tuer son ennemi, cela ne produit aucune commisération,
ndre ou de voir la mort d’un homme quel qu’il soit. Qu’un indifférent tue un indifférent, cette action ne touche guère dava
affection attache aux intérêts l’un de l’autre ; comme lorsqu’un mari tue , ou est près de tuer sa femme, une mère ses enfan
x intérêts l’un de l’autre ; comme lorsqu’un mari tue, ou est près de tuer sa femme, une mère ses enfans, un frère sa sœur ;
connoît avant d’achever l’entreprise, et l’achève ; comme Horace qui tue Curiace, Médée qui tue ses enfans, Clytemnestre q
r l’entreprise, et l’achève ; comme Horace qui tue Curiace, Médée qui tue ses enfans, Clytemnestre qui tue son mari : ou il
me Horace qui tue Curiace, Médée qui tue ses enfans, Clytemnestre qui tue son mari : ou il ne connoît pas avant d’achever,
connoît après avoir achevé, soit avant la tragédie, comme Œdipe qui a tué son père sans le connoître, soit dans la tragédie
son père sans le connoître, soit dans la tragédie, comme Orosmane qui tue Zaïre, et qui reconnoît son erreur après l’avoir
mme Orosmane qui tue Zaïre, et qui reconnoît son erreur après l’avoir tuée  : ou il ne connoît point avant d’achever, et conn
ont l’innocence est reconnue par Orosmane au moment où il vient de la tuer  ; alors la fable est composée. S’il y a du sang r
s néanmoins, 1°. qu’il est permis à nos héros et à nos héroïnes de se tuer ou de venir expirer sur le théâtre ; comme Atalid
comme Atalide, Mithridate, Phèdre, etc. ; 2°. qu’un personnage peut y tuer un autre personnage, lorsque celui qui tue, est d
. qu’un personnage peut y tuer un autre personnage, lorsque celui qui tue , est dans une passion violente, dans une fureur p
ère, qui le fait plaindre sans le faire détester, comme Orosmane, qui tue Zaïre, et qui presqu’aussi-tôt se poignarde lui-m
qui presqu’aussi-tôt se poignarde lui-même : ou lorsque le personnage tué est méchant et tout-à-fait criminel, comme Thoas
it tout l’intérêt, et par conséquent vertueux quoiqu’un peu coupable, tué sous nos yeux par un autre personnage. Tels seroi
u’il y excite. C’est ici le lieu d’observer qu’un personnage méchant, tué , soit sur la scène, soit derrière la scène, doit
la raison. L’histoire dit que Cléopâtre, reine de Syrie, après avoir tué son fils Seleucus, présenta un breuvage empoisonn
consiste à vous percer le flanc ; Prêt d’épouser la sœur, qu’il faut tuer le frère, Et que pour mon pays j’ai le sort si co
us connais plus. Curiace. Je vous connois encore, et c’est ce qui me tue  : A ces mots, dit Voltaire, on se récria d’admir
ieux vengent l’action inhumaine que tu viens de commettre ! Tu as osé tuer un fils sous les yeux de son père ! Autrefois Ach
en Italie. Enée triomphe alors de sa passion : il part ; et Didon se tue de désespoir. V. Livre. Une tempête fait prendre
ivre un sanglant combat, dans lequel Pallas, fils du roi Evandre, est tué par Turnus. Enée, qui veut le venger, poursuit so
royaume. Mézence, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué , avec son fils Lausus, par le héros troyen. XI.
21 (1875) Poétique
dessein. Quand, à Argos, la statue de Mytis tomba sur celui qui avait tué ce même Mytis et l’écrasa au moment qu’il la cons
rsonnes amies entre elles, ou ennemies ou indifférentes. Qu’un ennemi tue son ennemi, il n’y a rien qui excite la pitié, ni
e malheur arrive à des personnes qui s’aiment ; si c’est un frère qui tue ou qui est au moment de tuer son frère, un fils s
nnes qui s’aiment ; si c’est un frère qui tue ou qui est au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son fils, u
 : ce qui n’est plus du sujet de l’Iphigénie en Tauride. 10. Ajax se tuait lui-même ; Ixion était attaché à sa roue. 11. Pé
la mort d’Oreste, et l’on disait dans la pièce qu’Oreste y avait été tué en tombant de son char.
22 (1839) Manuel pratique de rhétorique
uxième mineure, et la troisième conclusion. Exemple : « On a droit de tuer un injuste agresseur (voilà la majeure ou le prin
du principe à un fait particulier) ; donc il a été permis à Milon de tuer Clodius (voilà la conclusion qui était contenue d
nt on a supprimé une des deux prémisses. Exemple : « Il est permis de tuer un injuste agresseur ; donc Milon a pu légitimeme
st permis de tuer un injuste agresseur ; donc Milon a pu légitimement tuer Clodius. » La mineure est supprimée ; ou bien : «
 : « Clodius a attaqué Milon, donc il était permis à ce dernier de le tuer . » Ici c’est le principe qui est sous-entendu. 3°
e, et on le prouvait par ce syllogisme disjonctif : « Ou bien Milon a tué Clodius par haine, ou bien par amour de la patrie
on a tué Clodius par haine, ou bien par amour de la patrie ; s’il l’a tué par haine, alors, sa vengeance étant satisfaite,
ngeance étant satisfaite, il quittera volontiers sa patrie ; s’il l’a tué par générosité et par amour de la patrie, après a
nir à Rome. Cependant il y est revenu, dit l’orateur ; donc Milon n’a tué Clodius que parce qu’il y a été obligé pour sa ju
emières propositions a sa preuve avec elle. Exemple : « On a droit de tuer un injuste agresseur ; non seulement la loi natur
urir leur maître, entendant Clodius lui-même s’écrier que Milon était tué , firent alors, je le dirai, non pour éluder l’acc
23 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
r s’arme pour l’écraser. Une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer . Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serai
’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue , parce qu’il sait qu’il meurt ; et l’avantage que
24 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
s hier, nos chasseurs, après tant de brillants exploits et avoir tant tué et tué que le pays sent la poudre comme un champ
nos chasseurs, après tant de brillants exploits et avoir tant tué et tué que le pays sent la poudre comme un champ de bata
25 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
que quand un homme nous aurait ruinés, estropiés, brûlé nos maisons, tué notre père, et qu’il se disposerait encore à nous
r s’arme pour l’écraser. Une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer . Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serai
’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue , parce qu’il sait qu’il meurt ; et l’avantage que
26 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
fait, de droit ou de nom, portées devant les tribunaux. Milon a-t-il tué Clodius ? Voilà une question de fait ; il faut l’
Voilà une question de fait ; il faut l’éclaircir. Milon avoue qu’il a tué Clodius, parce qu’il en avait le droit, et qu’il
que l’intérêt particulier est touchant pour les autres hommes : Nam tua res agitur, paries quum proximus ardet. Horat.,
nt à prouver l’impossibilité d’un fait. Vous accusez : Pierre d’avoir tué Paul ; mais il était son ami, il n’avait nul inté
és avec Clodius ; vous l’aviez menacé : voilà des antécédents. Il est tué , vous disparaissez ; vous vous défier de ses amis
itoyens qu’il avait conservés, les dépouilles des ennemis qu’il avait tués , les couronnes et les dons militaires que lui ava
eu à raconter la mort de Clodius, aurait dit : les esclaves de Milon tuèrent Clodius. Cicéron dit : les esclaves de Milon fir
re d’esclaves fondent sur Milon les armes à la main ; les plus hardis tuent le cocher. Milon jette son manteau, s’élance hors
viennent pour attaquer Milon par derrière ; d’autres, le croyant déjà tué , se mettent à massacrer les esclaves qui le suiva
e loin. Les plus fidèles et les plus dévoués résistent : les uns sont tués  ; les autres, voyant que l’on combattait autour d
droite et pressante d’argumenter : il suppose un homme accusé d’avoir tué celui dont il devait hériter un jour, et il accum
vaient démontré que Milon était bien loin d’avoir formé le dessein de tuer Clodius, le défenseur en ajoute une tirée de la c
redundantia (Orat., c. 30). En plaidant pour Roscius, accusé d’avoir tué son père, il fait de longues réflexions sur le su
e cachée sous sa robe, il lui déclara le dessein qu’il avait formé de tuer Annibal. Pacuvius, tout hors de lui-même, entrepr
ment : On vient annoncer au vieil Horace que deux de ses fils ont été tués et que le troisième a pris la fuite. Il est indig
s boucliers les uns des autres, ils reculaient, ils combattaient, ils tuaient , ils mouraient ensemble 171. L’apposition emploi
aux, où la défaite est honteuse, et le triomphe glorieux ; tu veux me tuer . Eh bien ! je périrai assassiné, mais non vaincu.
; elle monta au haut de son palais ; elle se mit sur un bûcher, et se tua elle-même. En écoutant ces paroles, vous apprenez
urbanité. Ainsi Virgile, Eclog., III, 90 : Qui Bavium non odit, amet tua carmina, Mævi. L’hyperbole donne à l’objet dont
. Il est vrai, s’il m’eut cru, qu’il n’eût point fait de vers ; Il se tue à rimer ; que n’écrit-il en prose ? Voilà ce que
et suivi les consuls, le jour où le tribun L. Apuléius Saturninus fut tué dans une émeute sous les murs du Capitole. On rép
condemnere, recusare non possis ? Sin prætermittes, qualis erit ista tua accusatio, quæ, domestici periculi metu, certissi
cujus latus ille mucro petebat ? qui sensus erat armorum tuorum ? quæ tua mens ? oculi ? manus ? ardor animi ? quid cupieba
I, 81 : Sed quia neque reprehendi, quæ contra dicuntur, possunt, nisi tua confirmes, neque hæc confirmari, nisi illa repreh
e patriæ rcddidissem, mihi non futurum in patria putarem locum ?… Ubi tua , M. Tulli, quæ plurimis fuit auxilio, vox et defe
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
3 Au Caire, le 2 fructidor an VI (19 août 1798). Votre mari a été tué d’un coup de canon4, en combattant à son bord. Il
les à sa couronne. 2. C’était alors une vérité. 3. Il venait d’être tué à la bataille navale d’Aboukir. 4. Voilà un malh
tion militaire. 1. Le maréchal de Bessières, duc d’Istrie, avait été tué le 1er mai 1813, la veille de la bataille de Lutz
28 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
. Manlius étale sur la place les dépouilles de trente ennemis qu’il a tués de sa main, et quarante récompenses militaires :
d’avoir épargné Antoine16, et s’obstine à choyer le jeune Octave, qui tuera la république sans remède. Enfin il prolonge, par
oyer c’est l’abondance des preuves et la force du pathétique. Milon a tué Clodius, le fait est avéré. Ligarius a porté les
29 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
x cent mille Autrichiens, en avaient pris plus de quatre-vingt mille, tué ou blessé plus de vingt mille ; ils avaient livré
guerre est une routine purement mécanique, consistant à pousser et à tuer l’ennemi qu’on a devant soi, elle est peu digne d
30 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — P — article »
oudée de hauteur. Ils osèrent déclarer la guerre à Hercule, qui avoit tué leur roi, appelé Antée, et que bien souvent on ap
31 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — P — article »
c Agamemnon, et fit d’abord un grand carnage des Troyens. Mais il fut tué en combattant seul à seul contre Hector.
32 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — H — article » p. 413
fille Polyxène immolée sur le tombeau d’Achille, et son fils Polydore tué par la trahison de Polymnestor, roi de Thrace, qu
33 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — P — article »
Lacédémone. Mais Oreste, à qui cette princesse avoit été promise, le tua dans un temple d’Apollon.
34 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — F — article » p. 412
ans, à la célèbre bataille de Ravenne qu’il venoit de gagner. Il fut tué après le combat, en voulant envelopper un reste d
35 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
ani vultus. Si vis me flere, dolendum est 1 Primum ipsi tibi : tunc tua mornfortunia lædent, Telephe, vel Peleu ; male si
m ultra verbum aut operam insumebat inanem, Quin sine rivali teque et tua solus amares. Vir bonus et prudens 3 versus repr
lége, la liberté du suicide : en sauver un malgré lui ! mais c’est le tuer , sur ma parole. D’ailleurs, ce n’est pas son coup
verbum ultra, 1279aut operam inanem, 1280quin amares 1281teque et tua ,> 1282solus sine rivali. 1283Vir bonus et pr
s une peine inutile, 1280pour que vous n’aimassiez pas 1281teque et tua , et vous-même et vos vers, 1282seul et sans riv
n sauve un malgré-lui, 1348fait la même chose 1349que celui qui le tue (qui le tuerait). 1350Et il n’a pas fait cela qu
algré-lui, 1348fait la même chose 1349que celui qui le tue (qui le tuerait ). 1350Et il n’a pas fait cela qu’une-fois ; 135
d’une relation toute naturelle avec les vers qui viennent plus bas : Tua me infortunia lædent, Telephe, vel Peleu, etc.
36 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
oit toujours à la tête des sorties, pendant le siége de Paris. Il fut tué , en 1591, en voulant surprendre la ville de Saint
37 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — S — article » p. 422
t le joignit dans l’Abruzze, où il extermina son armée. Spartacus fut tué en combattant vaillamment, l’an 71 avant J. C. On
38 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article » p. 404
s son avis fut toujours du plus grand poids dans les conseils. Il fut tué à la retraite de Rebec près de Milan, en 1524, âg
39 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
nfirme point, il ne vous écoute pas ; il ajoute que tel général a été tué  ; et bien qu’il soit vrai qu’il n’a reçu qu’une l
couture ; le général, les chefs, du moins une bonne partie, tout est tué , tout a péri. Voilà, continue-t-il, un grand mass
40 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
our une foule de Romains illustres ; le désespoir, pour Caton, qui se tua lui-même à Utique ; le parricide, pour le second
i se tua lui-même à Utique ; le parricide, pour le second Brutus, qui tua César, son père adoptif. 1. Descartes était d’un
41 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
furieux combat, où ils furent entièrement défaits, mais où Brutus fut tué , l’an 509 avant J.C. Tous les historiens le dépei
42 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
um duo millia cæsi (au lieu de cæsa). Il y eut deux mille Samnites de tués . De même quand Horace a dit : Daret ut catenis fa
quæ multa sunt. Cic. S'il est des circonstances où l’on ait droit de tuer un homme, et ces circonstances sont nombreuses. D
pii. Victa jacet pietas. C'est dans le même sens que Phèdre a dit : tua calamitas non sentiret ; c’est-à-dire : tu calami
cours pro Milone, au lieu de dire nettement que les esclaves de Milon tuèrent Clodius, cherche à déguiser ce fait, en disant qu
les qu’un général romain avait enlevées au général ennemi qu’il avait tué dans le combat. Il se prend aussi pour toute espè
ute. Signa de cœlo occidunt. Par extension, tomber mort, mourir, être tué . Occidere ferro, mourir d’un coup d’épée. Au figu
iena negotia curare. — Res, chose, se dit indifféremment de tout. Res tua agitur. Res secundæ, res adversæ. CLVII. — Ne
dare, jugulare, obtruncare. Occidere (de cædere, couper, et ob), tuer de quelque manière que ce soit. Occidit inimicum.
udium, officia, merita, beneficia. Studium, zèle, bonne volonté. Tua in me studia mihi sunt jucundissima. — Officia, b
me studia mihi sunt jucundissima. — Officia, bons offices, services. Tua erga me officia plena sunt humanitatis. — Merita,
43 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
même avec la Rhétorique, que nous professons, l’erreur peut sous elle tuer la vérité. L’éloquence est devenue entre nos main
. Exemple. — A a surpris B, la nuit, en armes, dans sa maison, et l’a tué . Était-il dans son droit de légitime défense, et
r, tu l’attaqueras avec tes hommes. — Oui, mon général. — Tu te feras tuer . — Oui, mon général. Tel prouve à ses soldats que
aire de preuves et d’explications : « Quoi ! un homme qu’il aurait pu tuer avec l’approbation générale ; un homme qu’il aura
aurait pu tuer avec l’approbation générale ; un homme qu’il aurait pu tuer justement, impunément, en prenant l’heure et le l
44 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — V — article » p. 425
es en 1709, il attaqua les Impériaux à Malplaquet, près de Mons, leur tua vingt mille hommes, et perdit le champs de batail
45 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
ouffé à force de caresses, où à force d’être battu ? Comptez que vous tuez votre enfant en le caressant trop. Encore une foi
s, que vous fassiez des rivaux ; il faut qu’on vous adore, qu’on vous tue , qu’on vous regrette, qu’on se tue avec vous. Mai
faut qu’on vous adore, qu’on vous tue, qu’on vous regrette, qu’on se tue avec vous. Mais, mesdames, Cicéron et Caton ne so
Caton ne sont pas galants ; César et Catilina n’étaient pas gens à se tuer pour vous. Ma chère enfant, je veux que vous vous
46 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
ient par avance : Qui est semblable à Tyr b ? Et toutefois elle s’est tue au milieu de la mer ; et la navigation va être as
eux Prince apprend du vieillard Phorbas que le Roi Laius, qu’il avait tué sans le connaître, était son père, et que la Rein
pas vu la fin, annonce au vieil Horace, que deux de ses fils ont été tués , et que le troisième a pris la fuite. Le père est
47 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
ui des Horaces et des Curiaces, et qui est aussi sage que vaillant, a tué un fanfaron qui l’a forcé de se battre. Il ne peu
n toute réglée et très délicieuse. Mais, ma fille, en vérité, ne vous tuez pas ; cette crainte me fait renoncer au plaisir d
ense alors au chien d’Aubry, qui reconnut et étrangla celui qui avait tué son maître. Quand aux deux derniers vers, c’est m
ictimes du malheur, telles qu’un Mucius Scévola qui, pour avoir voulu tuer un roi, eût été mis à mort, s’il n’eut lui-même l
t à son Auteur. Ducis. N° 125. — La Prière. Quand Achille eut tué Hector et l’eut traîné sept fois autour de la vil
t : « Juge la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon fils ! » Achille pleura, et rendit le corps à
rehaussent aussi d’une manière remarquable le tableau de ce cavalier tué par un boulet. Son coursier bondissant ne s’arrêt
et ils se rejoignirent en effet à travers les rangs enfoncés. Fairfax tua de sa main le porte-étendard et remit le drapeau
e son cheval, et s’écriant en jurant :  « Voulez-vous donc vous faire tuer  ? » le détourna brusquement à droite. Les cavalie
usion du sang, elle leur dit : « Laissez aller les Anglais, et ne les tuez pas : il me suffit de leur départ. » Walckenaer.
enêtres presque à bout portant, sur cette multitude de Turcs dont ils tuèrent deux cents en moins d’un demi quart d’heure. Le c
urent tous, après s’être défendu jusqu’au dernier soupir. Ils avaient tué plus de vingt mille Perses. Un seul Spartiate aya
y avait point de prodige… Je ne sais ce qu’il fit du crapaud, s’il le tua ou s’il le laissa vivre : mais j’ai la certitude
fer sont plus sûrs qu’une balle de plomb. — Cela gâte la peau. — Cela tue plus raide. — Et quand comptes-tu    faire ta cha
roie, qu’il n’avait pas pu l’apercevoir. Il n’osait tirer, de peur de tuer Guillaume s’il n’était pas mort, car il tremblait
vous êtes tous jeunes et robustes ; que  diriez vous si l’on voulait tuer vos mères ?… » Les sanglots empêchent la jeune fi
tinguai ces propres mots du mari : Eh bien enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? à quoi la femme répondit : Oui ; et j
En les voyant, je compris le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux ? Et je vous crois, cousine, assez de p
onsieur, lui dit-il, vous avez raison : je ne veux point du tout être tué aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il e
un jour ou deux : il dit que tout son déplaisir c’est de n’avoir pas tué sa femme, et l’enfant qu’elle a sauvé. Songez que
ser cet endroit sans gabion. Le soldat dit : « J’irai, mais j’y serai tué . » Il y alla, et, en posant son quatrième gabion,
dit le grand-maître, en levant les yeux vers le ciel : fiat voluntas tua . » Walter-Scott. N° 216. — Le Chasseur des
r nuire. À quelque temps de là, il arriva qu’un banneret de Berne fut tué . Personne ne put découvrir qui avait fait le coup
rencontra une fort légère, d’un page du comte de Nidau qui avait été tué à Laupen. On plaça les deux adversaires sur un te
peine parler, leur déclara qu’il était coupable, qu’il avait lui-même tué le banneret pour faire ignominieusement mourir le
le coupable. Enfin, ne pouvant plus supporter l’existence, Pilate se tua lui-même, comme avait fait Judas. Or, c’est une c
r les saints de vous être propices à votre dernière heure. Vous ne me tuerez pas sans avoir reçu ma bénédiction et votre pardo
e trahis par ceux qui me viennent voir. » Et ces malheureux l’avaient tué , puis ils s’étaient enfuis jusqu’à Zurich. Presqu
on ne comprit point assez tôt le motif de cet ordre, et qu’Egiste fût tué avant qu’on ne le connût. Elle fait donc une inve
tôt une imprécation annonce les remords d’OEdipe. Ses regrets d’avoir tué son père se montrent sous les formes oratoires le
vrai que j’ai chassé tes ennemis de votre territoire, que je leur ai tué beaucoup de monde dans deux combats, que j’ai for
48 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
ein de courage, de M. Caton, un tribun du peuple, Marcus Drusus a été tué dans sa maison. § II. De l’harmonie des péri
e. exemples : Hostis hostem occidere volui. T. L. Ennemi, j’ai voulu tuer un ennemi. Veterum orationes oratori futuro lege
exspectata parenti Vicit iter durum pietas ! datur ora tueri, Nate, tua , et notas audire et reddere voces, etc. Venist
-bien ces mots vicit iter durum pietas. ……..Datur ora tueri, Nate, tua , et notas audire et reddere voces. Pourquoi ces
iment si vivement les sentiments de son cœur : Datur ora tueri, nate, tua , etc. « Vous venez enfin, ô mon fils ! votre pié
49 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
da est : quam etsi spero esse falsam, numquam tamen verbis extenuabo. Tua enim cautio, nostra cautio est ; ut, si in alteru
empublicam in eo statu relinqueres, in quo nunc est ; vide, quæso, ne tua divina virtus admirationis plus sit habitura, quà
50 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
autre comme de simples synonymes. L’Ulysse blessé.] Blessé, ou plutôt tué , dans un combat sur le rivage d’Ithaque, par Télé
51 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
thon fut vaincu, parce qu’il n’eut pas la patience de vaincre9. Il se tua par délicatesse, et aima mieux promptement périr
personne ne leur résiste, ils tiennent courageusement la campagne ils tuent nos paysans, et brûlent nos villages. Mais sur le
entreprise, l’a laissé découvrir, pouvait-il charmer29 la balle qui a tué celui-là au milieu de sa victoire, ou rendre celu
union il arrive, selon saint Augustin, que « celui qui sans autorité tue un criminel se rend criminel lui-même, par cette
int ici, il y ait jamais eu de loi qui ait permis aux particuliers de tuer , et qui l’ait souffert, pour se garantir d’un aff
r la loi des Douze Tables de Rome portait qu’il n’est « pas permis de tuer un voleur de jour qui ne se défend point avec des
la loi Furem, ad legem Corneliam, qui est prise d’Ulpien, « défend de tuer même les voleurs de nuit qui ne nous mettent pas
s du Dieu vivant. Et ainsi elle croit que la mort d’un homme que l’on tue sans l’ordre de son Dieu n’est pas seulement un h
ngres, t. II, chap. XIII ordonnent « sept ans de pénitence pour avoir tué en se défendant. » Et on voit que saint Hildebert
d’interdire un prêtre pour toute sa vie, qui, pour se défendre, avait tué un voleur d’un coup de pierre… » L’esprit de l’Ég
que quand un homme nous aurait ruinés, estropiés, brûlé nos maisons, tué notre père, et qu’il se disposerait encore à nous
ls auront prise, et aussi sottement à mon gré. Et enfin les autres se tuent pour remarquer toutes ces choses, non pas pour en
vous écrire de telles bagatelles ; c’est le loisir de Livry qui vous tue . Vous avez écrit un billet admirable à Brancas89 
onsieur, lui dit-il, vous avez raison ; je ne veux point du tout être tué aujourd’hui : cela sera le mieux du monde. » Il e
es leurs armées ; ni quand Annibal, déjà tant de fois vainqueur, leur tua encore plus de cinquante mille hommes et leur mei
ovince romaine ; Cléopâtre, qui désespère de la pouvoir conserver, se tue elle-même après Antoine ; Rome tend les bras à Cé
touffé à force de caresses ou à force d’être battu ? Comptez que vous tuez votre enfant en le caressant trop. Encore une foi
ente, Virent dès le matin leur beau jour accourci456 ! Le fer qui les tua leur donna cette grâce, Que si de faire bien ils
fripon, d’enfant (cet âge est sans pitié) Prit sa fronde, et du coup tua plus d’à moitié         La volatile malheureuse,
                  Quel solécisme horrible ! PHILAMINTE. En voilà pour tuer une oreille sensible. BÉLISE. Ton esprit, je l’av
e, veut la contraindre à lui donner sa main. Or, c’est ce tyran qui a tué Cresphonte en secret, avec deux de ses fils, dans
ent, étranger ; Si le ciel t’a fait roi, c’est pour me protéger. J’ai tué justement un injuste adversaire. Mérope veut ma m
le-ci contre Wallenstein (le duc de Friedland plus bas nommé) que fut tué le grand Gustave. 29. Détourner par un charme…
ême lieu, onze ans après, Condé et Turenne devaient battre ceux-ci et tuer Mercy, leur général. 32. Pour ainsi dire. 33.
it : Monsieur, arrêtez-vous un peu, car c’est ici que vous devez être tué . Le coup de canon vient donc et emporte le bras d
c et emporte le bras de Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne : le fils de Saint-Hilaire se jette
de parent et de père ; baisez les pas par où il passe, et faites-vous tuer à ses pieds.” Ce pauvre enfant se meurt de douleu
entra dans une grande colère ; et ayant envoyé des gens armés, il fit tuer tous les enfants qui étaient dans Bethléem et en
t ; de même Virgile, Égl., IX, 50 : Insere, Daphni, piros : carpent tua poma nepotes ; et dans les Géorg., II, 53 : ………
52 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
ue l’histoire a conservées : Si j’avance, suivez-moi ; si je recule, tuez -moi ; si je meurs, vengez-moi. Où trouver des p
a pas besoin pour être Intéressant. Le monstre qui sort du sein de la tuer fait entendre de longs beuglements Pradon, et cet
53 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
doyer pour Milon se réduit à l’épichérème suivant : Il est permis de tuer un injuste agresseur : la loi naturelle, la loi p
on escorte, sa conduite le prouvent ; Donc il a été permis à Milon de tuer Clodius. 68. Le dilemme (δις λαμϐανω) est un arg
us habendi senatus locus, nihil horum ora vultusque moverunt ? Patere tua consilia non sentis ? Constrictam jam omnium horu
pice de cœlo, et vide ; et visita vineam istam quam plantavit dextera tua . Jetez sur elle vos anciens regards de miséricord
poignard dessous sa robe, il lui déclare le dessein qu’il a formé de tuer Annibal. Pacuvius, hors de lui-même, entreprend d
violer ce que la religion a de plus sacré ; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous fera violer ce que la religion a de
ue la religion a de plus sacré ; Conclusion. Donc, vous ne devez-pas tuer Annibal. Deuxième preuve. Majeure. Vous ne devez
action qui vous expose au danger de périr ; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous expose au danger de périr ; Conclus
ous ne devez pas entreprendre une action qui vous expose au danger de tuer votre père ; Mineure. Or, l’action de tuer Annib
vous expose au danger de tuer votre père ; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous expose aussi à tuer votre père ; Co
tre père ; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous expose aussi à tuer votre père ; Conclusion. Donc, etc. ENTHYMÈMES.
ion. Donc, etc. ENTHYMÈMES. Première preuve. Antécédent. L’action de tuer Annibal vous fera violer ce que la religion a de
e devez pas l’entreprendre. Deuxième preuve. Antécédent. L’action de tuer Annibal vous expose au danger de périr ; Conséqu
devez pas l’entreprendre. Troisième preuve. Antécédent. L’action de tuer Annibal vous expose au danger do tuer votre père 
reuve. Antécédent. L’action de tuer Annibal vous expose au danger do tuer votre père ; Conséquent. Donc vous ne devez pas
et un faible particulier, tu ! Troisième motif ; le père qu’il faudra tuer avant d’arriver à Annibal. « Et alia auxilia desi
Monsieur, lui dit-il, vous avez raison, je ne veux point du tout être tué aujourd’hui, cela sera le mieux du monde.” Il eut
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. »
iberaliùs ac diutiùs voluptatis hujus copiam præbes. Nec salutationes tua fuga et vastitas sequitur : remoramur, resistimus
55 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
comaque. Eurypyle.] Eurypyle, fils de Télèphe, allié des Troyens, fut tué par Néoptolème devant Troie (Petite Iliade, livre
56 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
sur la voie publique et vous étiez armé : voilà des adjoints. Il est tué , vous disparaissez, peu confiant dans la justice,
son ami, peut se ramener à l’épichérème suivant : « Il est permis de tuer quiconque nous tend des embûches pour attenter à
et autres circonstances le démontrent, donc il fut permis à Milon de tuer Clodius. » Sorite. Le sorite (du grec ὁσωρί
 103) :     …… Si vis me flere, dolendum est Primum ipsi tibi ; tunc tua me infortunia lædent. « Il n’est pas possible,
armée fond sur Milon du haut d’une éminence. Les premiers assaillants tuent le cocher. Milon, débarrassé de son manteau, se j
nait à sa suite. De ceux-ci les plus fidèles, les plus dévoués furent tués en partie. Le reste, voyant la bataille engagée a
rd des motifs capables de convaincre et de toucher son fils, résolu à tuer le vainqueur de Rome. Or, il s’en présente nature
ers. Il est vrai, s’il m’eût cru, qu’il n’eût pas fait de vers. Il se tue à rimer, que n’écrit-il en prose ? Voilà ce que l
ra fames ? Virg., Én., liv. III. « Au mépris de tous les droits, il tue Polydore, et s’empare de son or. À quoi ne pousse
mihi tam Iongæ maneat pars ultima vitæ, Spiritus et quantum sat erit tua dicere facta ! « Puissé-je vivre assez longtemps,
ie l’orateur romain, lorsqu’au lieu de dire que les esclaves de Milon tuèrent Clodius, il s’exprime ainsi : « Fecerunt id servi
57 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
n pere ? ABRAHAM.                                   Helas ! ce mot me tue , Mais si faut il pourtant que m’esvertue109. Isac
uté154, Quand la terre et le ciel honoroient la beauté, La Parque t’a tuée , et cendre tu reposes. Pour obseques reçoy mes l
de feux, de fers, de morts et de detresses Merites tu, meschant, pour tuer nos Deesses ?     Forest, haute maison des oiseau
sius, Decime Brute, Marc Antoine, soldats.   MARC BRUTE. Le Tyran est tué , la liberté remise, Et Rome a regaigné sa premier
eu jettent l’ardente veüe A l’espoir du poignard, le poignard plus ne tue . Que la mort (direz-vous) estoit un doux plaisir 
mort (direz-vous) estoit un doux plaisir ! La mort morte ne peut vous tuer , vous saisir. Voulez-vous du poison ? en vain cet
eschans vers, (Je cogneu qu’il estoit veritable à son dire,) Que pour tuer le temps je m’efforce d’escrire ; Et pour un cour
ravelle, la tous, La fievre, les venins, les larrons, ny les lous, Ne tueront cestuy-cy ; mais l’importun langage D’un fascheux
r. (A. P., IV.) Ainsi disait Virgile : Qui Bavium non odit, amet tua carmina, Mœvi. Il a des fournées : Que vous on
iolente, Virent dès le matin leur beau jour accourci ! Le fer qui les tua leur donna cette grace, Que, si de faire bien ils
s. Il est vrai, s’il m’eût cru, qu’il n’eût point fait de vers. Il se tue à rimer : que n’écrit-il en prose ? Voilà ce que
e talent dans ses nombreuses tragédies, ne fût-ce que dans l’Astrate, tuée par deux vers de Boileau et regrettée par Voltair
rtais moi-même mon étendard quand j’attaquais l’ennemi pour éviter de tuer quelqu’un ; je n’ai tué personne. » (Voir Chefs-d
rd quand j’attaquais l’ennemi pour éviter de tuer quelqu’un ; je n’ai tué personne. » (Voir Chefs-d’œuvre épiques de tous l
nous fait hanter avec lui les héros les plus sinistres : un père qui tue son fils (Idoménée, 1705), un oncle qui fait boir
 ! En vain Mars en fureur De la patrie a moissonné la fleur ; Plus on tue , et plus il s’en présente. Ils vont trottant des
re des soupers fins où l’on périt d’ennui ; Veiller par air, enfin se tuer pour autrui ! Franchement, des plaisirs, des bien
e, et souvent la censure ombrageuse de l’Empire, en la contrôlant, la tuait . Laissons-la enterrée dans les colonnes du Monite
conté1418, Fleur de sagesse et de gaîté. Mais quoi ! la mode vient et tue un vieil usage ; On n’en veut plus, du sobre et f
r leurs voix, Les yeux en feu, le loup, comme un trait, sort du bois, Tue un jeune poulain, étrangle une génisse ; Mais ava
erre, dans les ruisseaux de Paris, Coligny et « ses compagnons », qui tuaient de douleur l’Hospital, qui faisaient courir, « de
quer. 456. Aux, par les, à, ab. 457. Meurtrir a perdu ce sens de tuer . Ailleurs : « Les corps de vos meurtris. » Régnie
ient une vue perçante au lynx et à Lyncée, pilote des Argonautes, qui tua Castor et fut tué par Pollux (voyez Pindare, Ném.
nte au lynx et à Lyncée, pilote des Argonautes, qui tua Castor et fut tué par Pollux (voyez Pindare, Ném., X). Horace, Ép.
son frère puiné. Une nuit, agité par sa jalousie et ses soupçons, il tue son frère, croyant frapper le ministre. Condamné
oir pendant la captivité de son mari, prisonnier des Parthes, elle le tue au retour, pour le punir d’aimer la sœur du roi d
L’ampleur du développement et n fermeté de la strophe sont également tuent frappantes. Les dix strophes que nous citons fini
 : les muets, le lacet en main, l’attendent derrière la porte. Il est tué , et elle se tue. Voilà un caractère suivi : Sibi
lacet en main, l’attendent derrière la porte. Il est tué, et elle se tue . Voilà un caractère suivi : Sibi constat  ; Hora
la beauté de sa chevelure, que Minerve changea en serpents. Ses yeux tuaient et pétrifiaient. Persée, armé de 1 égide de Miner
premier mari. Ils sont assiégés, par Scipion, dans Cirtha, Syphax est tué . Elle épouse l’alliè des Romains, avec qui, jeune
buvant le poison que lui fait remettre Massinisse. Il la pleure et se tue . — Ce sujet a été souvent traité, par exemple par
s’évanouit un jour ; revenue à elle, son premier mot fut : « L’a-t-il tué  ? » 1026. Cf. Lucrèce, I, 74. Il dit d’Épicure
: αὐτός, même : μάτος, effort. 1071. Ovide, Métam., II, 56 : Sors tua mortalis, non est mortale quod optas. 1072. L
ystèmes, et la sottise des Cabales, et la sottise de la Tactique, qui tue scientifiquement les hommes, etc., etc. Il s’en c
édies, « son Athalie », dit M. Villemain. Macbeth et lady Macbeth ont tué Duncan, roi d’Écosse. Dès lors les visions du rem
2-617. 1235. Aédon, jalouse de la fécondité de sa sœur Niobé, voulut tuer l’aîné de ses neveux ; mais elle frappa son fils
es Montrer les dents sans offenser ; J’ai vu des poignards admirables Tuer les gens sans les blesser. J’ai vu, ce qu’on ne
èle au Sénat, en présence de l’empereur, le secret de son père, et se tue . 1273. Cf. Lamartine, Dernier chant du pèlerina
se contient, et qui, au dénouement, ne meurt pas comme Louis XI, mais tue . On sent déjà dans le style de Louis XI une allur
aras, Et, quod præcipuis mentem sudoribus urget, Te videt in somnis, tua sacra et major imago Humanâ turbat pavidum cogitq
du ver, du ver qui répond aux « sept merveilles » du monde : je vous tue , et qui se tait devant l’âme qui lui dit ; tu ne
nde : je vous tue, et qui se tait devant l’âme qui lui dit ; tu ne me tueras pas ; c’est, là (série II), le poète qui, dans un
o de Gama ; c’est sur bords que pleurent Achille et Polyphème, que se tue Ajax, que s’assied l’Aveugle de Chénier, et que c
lle que le dégoût de l’existence, revient au manoir paternel pour s’y tuer . Il ne peut éviter, sur le chemin qui y mène, la
e pas impunément l’air sain d’une vie laborieuse et honnête. Il ne se tue pas, dote la fille du fermier, et va servir en Af
monstrueux qui désolait les environs de Delphes (Πυθώ) et qu’Apollon tua d’un coup de flèche : l’« Apollon de Belvédère »
58 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
ez un peu à quoi je passe mon temps. Je rêve nuit et jour au moyen de tuer des gens que je n’ai jamais vus, qui ne m’ont fai
sorte d’affaire où la gentillesse se mêle à la cruauté, et où l’on ne tue les gens que par hasard : c’est celle où l’on se
le être brave en ce pays-là ; et l’honneur ne consiste pas à se faire tuer par son ennemi, mais à le tuer lui-même. « L’homm
t l’honneur ne consiste pas à se faire tuer par son ennemi, mais à le tuer lui-même. « L’homme droit, dont toute la vie est
59 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
liarisant avec les pauvres, portant en terre les corps de ses soldats tués dans une sanglante bataille, fondant des hôpitaux
fit dans Athènes des obsèques publiques aux citoyens qui avaient été tués à la guerre de Samos, l’an 441 avant Jésus-Christ
Jésus-Christ. Ce fut aux funérailles de Lucius Junius Brutus, consul, tué dans une bataille contre les Étrusques qui voulai
eur et de la vivacité dans l’Oraison funèbre des guerriers athéniens, tués dans une bataille qui se livra entre les Corcyrée
60 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
fit dans Athènes des obsèques publiques aux citoyens qui avaient été tués à la guerre de Samos, l’an 441 avant notre ère, e
509 ans avant J.-C. : ce fut aux funérailles du consul Junius Brutus, tué dans une bataille contre les Étrusques, qui voula
et ses successeurs. L’oraison qu’il a composée pour Milon, qui avait tué ou fait tuer Clodius, passe pour son chef-d’œuvre
esseurs. L’oraison qu’il a composée pour Milon, qui avait tué ou fait tuer Clodius, passe pour son chef-d’œuvre ; mais presq
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voiture 1598-1648 » pp. 15-17
s les plus horribles que l’on puisse voir, dont le plus innocent en a tué quinze ou vingt autres5, qui sont tous noirs comm
62 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Boétie, 1530 1563 » pp. -
faire à homme du monde, si ce n’estoit possible, à ceux qui l’avoient tué . Ils n’oublierent pas cela aussi les empereurs ro
63 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
Donc, il faut aimer les belles-lettres Syllogisme vicieux : Majeure. Tuer un homme est un crime ; Mineure. Or, un meurtrie
eure. Or, un meurtrier est un homme : Concl. Donc, c’est un crime de tuer un meurtrier. 2° L’Enthymème Du grec En thy
es-moi tout ce qu’il vous plaira ; battez-moi, assommez-moi de coups, tuez -moi, si vous le voulez ; il faut que je décharge
64 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
c le loup prit le petit agneau, — l’étrangle avec ses dents, ainsi le tue . — Ainsi font les puissants voleurs (dérobeurs),
logues satiriques, à propos desquels il fut inquiété, et finit par se tuer . La postérité s’est surtout souvenue de ses Nouve
le de quoi437 vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m’ouïr, n’ayant reçu de moi aucune offense ;
e que je vous pardonne, tout convaincu que vous ôtes de m’avoir voulu tuer sans raison438. Allez-vous-en, retirez-vous ; que
daigneuse, il est battu, non pas de nous, mais de la fortune ; il est tué , non pas vaincu : les plus vaillants sont parfois
 Monsieur, lui dit-il, je m’y en vais : je ne veux point du tout être tué aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il t
ser cet endroit sans gabion. Le soldat dit : « J’irai, mais j’y serai tué  ». Il y alla et en posant son quatrième gabion eu
par la dépouille affreuse et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houle
ant pris ce jeune homme pour Jean Nariskin qu’ils cherchaient, ils le tuèrent sur-le-champ. Ce qui découvre bien les mœurs de c
tu en as empoisonné d’autres ; tu mérites bien la mort » ; et ils le tuent . Enfin ils trouvent le Hollandais qu’ils cherchai
tout : la phrase est dans le sens de celle-ci : « ou la maladie vous tuera , ou ce sera le médecin » : ou bien le médecin ; c
ement ces propres mots du mari : Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? À quoi la femme répondit : Oui. Et je
voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : Faut-il les tuer tous deux ? Et je vous crois, cousine, assez de p
a noce prête, tout le voisinage paré, trois veaux, trente-six moutons tués … Il nous en coûta nos épargnes de plus de dix ans
ue l’officier qu’on allait envoyer vers ce malheureux régiment serait tué ou pris avant d’arriver jusqu’à lui. Cependant l’
nt. J’étais enfin dans le carré ! — Depuis la mort du colonel Savary, tué au passage de l’Ukra1474, le 14e était commandé p
courant au galop, et enfonçant leurs lances au milieu de cette foule, tuèrent d’abord quelques-uns de ces infortunés, recueilli
mis leur solde, ils demandèrent qu’on les indemnisât de leurs chevaux tués , puis ils demandèrent qu’on leur payât les vivres
ent sont des traîtres ; il faut, pour s’interdire tout accommodement, tuer Gescon et les prisonniers faits ou à faire… Cet A
u’on entrevit ce qu’ils voulaient dire, et que quelqu’un eut crié : «  Tue  ! tue ! » ces malheureux intercesseurs furent ass
ntrevit ce qu’ils voulaient dire, et que quelqu’un eut crié : « Tue ! tue  ! » ces malheureux intercesseurs furent assommés
elle1587 de ma mère, avec qui j’avais bien plus de rapports, m’aurait tué . (Ma Jeunesse 1588, livre I, chap. iii.) La
’homme de loi tremblant, remerciez madame : sans elle, je vous aurais tué avant que vous eussiez digéré votre dîner. N’ayez
cure-dent de M. l’Amiral 1620 ! « Dieu m’absolve ! disait-il, il faut tuer la picorée1621 tandis « qu’elle n’est encore que
ille ; si nous la laissons « devenir grande dame, c’est elle qui nous tuera . » Là-dessus arrive le ministre1622, son livre so
ortent pas des grands bois. Et puis, s’il en venait ici, ton père les tuerait . — Et toi aussi, petite Marie ? — Et nous aussi,
oui, dit l’enfant enorgueilli, en prenant une pose héroïque. Nous les tuerions  ! — Il n’y a personne comme toi pour parler aux e
e, Connu sans être aimé, cru sans être observé, C’est ce qui vraiment tue , et sur quoi ta justice Condamne un réprouvé ! Pa
able2460 ! C’est toi qui m’as joué ce tour abominable : Tu voulais me tuer avec ce trait maudit ? Lisette. Non : c’était se
ux, pâle, à bride abattue. « Çà, le premier qui monte à cheval, je le tue  », Dit Roland. Les infants se regardaient entre e
2723, et l’assomme D’un coup prodigieux qui fendit en deux l’homme Et tua le cheval, et si surnaturel Qu’il creva le chanfr
geance ! mort ! rugit Rostabat le Géant ; Nous sommes cent contre un. Tuons ce mécréant2728 — Infants ! cria Roland, la chos
e a conté, Fleur de sagesse et de gaîté. Mais quoi ! la mode vient et tue un vieil usage2762 ; On n’en veut plus, du sobre
frères sous ce toit commencent leur festin. Frank. Moi, je n’ai rien tué  ; — la ronce et la bruyère Ont déchiré mes mains 
’ai cherché comme vous le chevreuil dans la plaine, —  Mon voisin l’a tué , mais je ne l’ai pas vu. Le Chœur. Et si c’est to
orraine, est celui dont il s’agit ici : il prit Calais en 1558 et fut tué en 1563 par le protestant Poltrot de Méré. 422.
le avait déjà écrit plusieurs lettres sur ce sujet. Turenne avait été tué à Salzbach, non loin de Strasbourg, le 27 juillet
la conduite du comte de Lorges et du comte de Vaubrun ce dernier fut tué pendant l’opération. 729. Le chevalier de Grigna
t, dans son amour exalté de la patrie et de la liberté, le dessein de tuer Marat, en qui elle voyait le tyran de la France e
pas nous : allusion à l’accusation proférée contre les chrétiens, de tuer des hommes et surtout des enfants pour se nourrir
souvent leurs adversaires de reproches au moment même où ils vont les tuer . 1736. Le prince de Condé (1736-1818), arrière-p
ne compte pas, comme on le voit dans ces deux vers du Cid. Meurs ou tue . Au surplus, pour ne [te point flatter… (I. v.) E
à la mémoire d’Hector. 2413. Autour de nos murailles. Hector, ayant tué Patrocle, ami d’Achille, fut à son tour tué par A
murailles. Hector, ayant tué Patrocle, ami d’Achille, fut à son tour tué par Achille, qui traîna son cadavre trois fois au
est résolue à épouser Pyrrhus (voir la note 1 de la page 572) et à se tuer aussitôt après qu’elle lui aura engagé sa foi dev
ope est la veuve de Cresphonte, roi de Messénie, qui a été détrôné et tué par l’usurpateur Polyphonte (xiie siècle av. J.-
l’épouser. 2494. Par un crime funeste. Mérope sait que Polyphonte a tué son mari ; mais elle ne peut le dire ouvertement,
Vivre la République ! ». Ils étaient 200 à peu près ; 250 avaient été tués pendant la bataille ; 167 furent recueillis par l
-ci commandée par Nelson, celle-là par le vice-amiral Brueys, qui fut tué dans la bataille ; on sait que la victoire resta
nt beau se trémousser, ils n’effaceront pas le bonhomme ». 2762. Et tue un vieil usage, allusion à l’injuste dédain que c
2856. Charlotte Corday (1768-1793), descendante du grand Corneille, tua , on le sait, Marat, pour délivrer la France de sa
65 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
condamné pour crime d’Etat. Armand de Biron, plus heureux, avait été tué d’un coup de canon, au siége d’Epernay, en 1592.
66 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
tu ad gravitatem composito : « Ut vales, inquit, amice ? Videtur enim tua ista valetudo habere aliquid mali. Me autem nulla
o ereptum3 esse in perpetuum. Tunc scilicet animo meo recurrit eximia tua fides, et caritas, et amœnissima illa indoles und
tibi deinceps impensissima valetudinis, sicque habe amici tui salutem tua cum salute esse conjunctam. Versio V. Rusti
e quotidianis agis querelis ? Quam tibi intulimus injuriam ? Quæ tibi tua detraximus bona ? Quovis judice de opum dignitatu
si cujusquam mortalium proprium quid horum esse monstraveris, ego jam tua fuisse, quæ repetis, sponte concedam… Quum te mat
luta, mortalium mens, in quam late patentes errores cæcas precationes tuas spargis ! Divitias appetis, quæ multis exitio fue
feror ingenti circumdata nocte, Invalidasque tibi tendens, heu ! non tua , palmas. » Dixit, et ex oculis subito, ceu fumus
s, tanta copia, quæ1, non dicam exornare, sed enarrare, C. Cæsar, res tuas gestas possit. Tamen affirmo, et hoc pace dicam t
elut legitimi quodam belli jure, messem uberriman colligere, quam5 in tua devectam trasferas. Scriptoribus a6 nostris vix a
rmanos fœtus afferendi, ne plus memoriā quam ingenio valeas, furtaque tua propriæ egestatis testimonio palam arguantur ac d
itiam, et quæcunque animo nubem offuderint. Memineris igitur penes te tua esse bona, esse mala : nisi quod virtus ipsa sibi
m studiis credo. Sed tecum mihi, Materne, res est, quod7, quum natura tua in ipsam arcem eloquentiæ ferat, errare mavis, et
ferre non debes. Enotuerunt quidam tui versus, et invito5 te claustra tua refregerunt : hos nisi retrahes6 in corpus, quand
, et cupidum ulteriora audiendi. Hoc fructu tanto, tam parato, desine tua studia, infinitã istã cunctatione, fraudare : quæ
ssi semel iterumque manu pectus, et : ubi nunc est, inquam, iracundia tua  ? ubi impotentia ? Nempe piscibus belluisque expo
Inclyta terras ; excidat Hector ; Gere captivum ; positoque genu, Si3 tua nondum funera sentis, Matris fletus imitare tuæ.
n VIII. Mort de Cacus. 8. On rapporte qu’ Hercule, après avoir tué Géryon, emmena des bœufs d’une beauté singulière
ent, il n’attentait à la vie de personne, et ne souffrait point qu’on tuât ceux qui tombaient entre ses mains. Assurément, i
on redoutait. Mais, tandis que tous les chasseurs, animés du désir de tuer le monstre, faisaient à l’envi les plus grands ef
indre, il fit tenir son maître à l’écart, dressa un bûcher, saisit et tua un vieux mendiant, et y jeta son cadavre. Puis, q
e jamais rien ne l’affecta plus profondément dans la suite : il avait tué celui qu’il chérissait tendrement. Ainsi, chez ce
es serpents surtout sont monstrueux : leur morsure et leurs étreintes tuent des éléphants. Telle est la richesse de la végéta
67 (1881) Rhétorique et genres littéraires
une vérité générale (de-ducere). Ex. L’homme attaqué peut sans crime tuer en se défendant celui qui l’attaque ; Or, Clodius
attaque ; Or, Clodius a attaqué Milon ; Donc, Milon a pu légitimement tuer Clodius. (Cicéron, Pro Milone.) 9° Argument p
race oublie un lieu où son fils peut subir le supplice, celui où il a tué sa sœur. 6° L’erreur des faits accidentels est un
ri du vieil Horace, quand on lui annonce que deux de ses fils ont été tués et que le troisième a pris la fuite. Que voulez-
s. Il est vrai, s’il m’eût cru, qu’il n’eût point fait de vers. Il se tue à rimer, que n’écrit-il en prose ? etc. (Boileau,
tions. Cf. le trouble d’Hermione, après qu’elle a ordonné à Oreste de tuer Pyrrhus : Où suis-je ? qu’ai-je fait ? que dois-
oile de la louange, et réciproquement. Ex. Qui Bavium non odit, amet tua carmina, Mævi. (Virgile, Églogue III, vers 90.)
e a immolé deux poètes dans un seul vers : Qui Bavium non odit, amet tua carmina, Mævi. Suivant la définition de Boileau,
ein aux paysans vendéens : « Si j’avance, suivez-moi ; si je recule, tuez -moi ; si je meurs, vengez-moi. » On pourrait peu
rticulier. Ex. l’Oraison funèbre de Périclès en l’honneur des soldats tués à la guerre de Samos (441 av. J.-C.). Chez les Ro
68 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
n fils mort, s’eleva contre les princes de la race royale, et les fit tuer tons. (Rois, liv. IV, ch. xi, v. 1.) 2. Or, le r
lettres de Jéhu, elles prirent les soixante et dix fils du roi et les tuèrent . (Rois, liv. IV, ch. x, v. 6 et 7). On jugera peu
69 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
deviez respecter, quand ce n’eût été que pour leur ancienneté ; fait tuer le pauvre comte de Fontaine, qui était un des mei
70 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
e récit de la mort de Pyrrhus : Ah ! je mourrais de honte d’avoir été tué de la main d’une femme. Un autre défaut voisin de
qu’en le voyant revenir chargé de dépouilles sanglantes, après avoir tué quelque ennemi célèbre, chacun s’écrie : Il est e
s Français, voilà l’ennemi. Si j’avance, suivez-moi ; si je recule, tuez -moi ; si je meurs vengez-moi. On trouve aussi be
71 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voiture, 1598-1648 » pp. 21-25
deviez respecter, quand ce n’eût été que pour leur expérience ; fait tuer le pauvre comte de Fontaine1, qui étoit à ce qu’o
72 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
tes comme à dessein (ainsi, par exemple, la statue de Mitys, à Argos, tua celui qui avait causé la mort de Mitys en tombant
eux, ou par des ennemis, ou par des indifférents. VIII. Un ennemi qui tue son ennemi, ni par son action elle-même, ni à la
blable, sauf en des cas peu nombreux. Tel, par exemple, Hémon voulant tuer Créon57, dans Antigone. XVII. Vient en second lie
as, j’entends celui, par exemple, où, dans Cresphonte, Mérope va pour tuer son fils et ne le tue pas, mais le reconnaît ; où
r exemple, où, dans Cresphonte, Mérope va pour tuer son fils et ne le tue pas, mais le reconnaît ; où, dans Iphigénie, la s
le, dans les vers suivants, s’explique sur ce point qu’il ne faut pas tuer l’être animé ; car ce meurtre n’est pas juste pou
ts des ennemis, bien qu’inoffensifs : Insensé celui qui, après avoir tué le père, laisserait vivre les enfants395. XII. I
arités » ce qui n’est arrivé qu’au seul Achille, par exemple, d’avoir tué Hector, le principal guerrier des Troyens, et Cyc
et des meurtriers de Nicanor409. Comme on avait jugé qu’ils l’avaient tué justement, on trouva qu’il était mort justement.
r s’il méritait de mourir, étant allégué qu’il n’était pas injuste de tuer un homme dont la mort était juste. IV. Un autre (
injustice, Alexandre413 non plus » ; et cet autre : « Si Hector (a pu tuer ) Patrocle, Alexandre (a bien pu tuer) Achille » ;
et cet autre : « Si Hector (a pu tuer) Patrocle, Alexandre (a bien pu tuer ) Achille » ; et ceux-ci : « Puisque même ceux qui
42 ; et celle-ci tirée du Méléagre d’Antiphon : Ce n’était pas pour tuer le monstre, mais pour qu’ils pussent attester à t
ple, dans la Médée de Carcinus, d’une part on accuse celle-ci d’avoir tué ses enfants, en alléguant qu’elle ne les fait pas
er. De son côté, elle allègue, pour se défendre, qu’elle n’aurait pas tué ses enfants, mais Jason, car elle aurait fait une
érir parce qu’ils lui disputaient la hure du sanglier qu’il venait de tuer , outré sans doute de ce qu’ils ne la lui avaient
ta treize fois le prix. — Alphésibée, femme d’Alcméon. Celui-ci avait tué sa mère Ériphyle, parce qu’elle avait causé par s
409. Buhle suppose qu’il s’agit d’un Démosthène autre que l’orateur, tué par Nicanor qui, à son tour, aurait été assassiné
’est-il pas juste que la main qui venge un père frappe la femme qui a tué son époux. 468. Cp., dans Platon, Banquet, p. 38
73 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »
endu son arc ; il a appuyé sa main, comme l’ennemi qui attaque : il a tué tout ce qu’il y avait de beau dans le sanctuaire
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
académique. 1. Le sang de Turenne peut-il crier comme celui d’Abel, tué par son frère ? Que de rhétorique ! 2. Comparez
75 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
ssin avéré, un sicaire à gages, un homme de ce caractère peut-il être tué impunément ? » — Voilà la proposition. — « Que si
76 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
ort de Pyrrhus : Ah ! s’écria-t-il, je mourrais de honte d’avoir été tué par la main d’une femme. 55. Un autre défaut voi
oble réponse de Curiace : Je vous connais encore, et c’est ce qui me tue . (Horace, acte II, sc. iii.) 63. La pensée subli
qu’en le voyant revenir chargé de dépouilles sanglantes, après avoir tué quelque illustre ennemi, la foule dise : Il est p
voilà l’ennemi. (Henri IV.) Si j’avance, suivez-moi ; si je recule, tuez -moi ; si je meurs, vengez-moi. (La Rochejaquelei
s : Il est vrai, s’il m’eût cru, qu’il n’eut point fait de vers Il se tue à rimer : que n’écrit-il en prose ? Voilà ce que
onsieur, lui dit-il, vous avez raison ; je ne veux point du tout être tué aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. Il eut
ue d’Arles, en lui soufflant la fumée de sa pipe : C’est demain qu’on tuera Votre Grandeur. Le 2 septembre, on répéta jusqu’
Ils avaient tiré presque à bout portant sur les prêtres et en avaient tué plusieurs ; les autres s’étaient dispersés dans l
deux. Quand ils avaient passé la porte qui ouvrait au jardin, on les tuait sur le perron. L’évêque de Beauvais était à genou
ille en Italie. Énée triomphe alors de sa passion, il part ; Didon se tue de désespoir. Livre V. Une tempête fait prendre
e. Il se livre un combat dans lequel Pallas, fils du roi Évandre, est tué par Turnus ; Énée, qui veut le venger, poursuit s
royaume. Mézence, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre 
77 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
mettrait fin à ces écrits de fièvre et de guerre civile, si, la Ligue tuée , Agrippa d’Aubigné n’avait tenu à flétrir par la
daigneuse, il est battu, non pas de nous, mais de la fortune ; il est tué , non pas vaincu : les plus vaillants sont par foi
recelleurs du larron qui vous pille ; complices du meurtrier qui vous tue , et traistres de vous mesmes ? Vous semez vos fru
n ; qui l’a merité l’attend ; qui l’attend l’endure : comme la vipere tue sa mere en naissant, aussi le peché dés sa naissa
erts durant ces divisions : lors il ne pensoit, sinon à se piller, et tuer les ungs et les aultres, à soutenir sa part et fa
t, marchoient, et voyoient. Comment peuvent ses yeux souffrir de voir tuer , escorcher, demembrer une pauvre beste ? comment
Et criay tout haut : « O gentilshommes, ne pensons à autre chose qu’à tuer , car noz ennemis sont en peur, et ne nous fairont
deux autres, me deschargearent ; et y eust le dit Baratnau son cheval tué , et le mien blessé au nés et à la teste de coup d
t reliés, chassois à main droicte vers ung vilaige, là où il en feust tué trente ou quarante ; et là, je feys ung peu altou
amphlet politique, a été le coup de grâce donné à la Ligue ; elle l’a tuée par le ridicule. Elle courut manuscrite en 1593,
IN. Et qui les a prins ? SÉVERIN. Si je ne les trouve, je delibere me tuer moymesme. FRONTIN. Hé ! seigneur Severin, ne soye
ersonne ne leur résiste, ils tiennent courageusement la campagne, ils tuent nos paysans et brûlent nos villages. Mais sur le
n entreprise, l’a laissé découvrir, pouvoit-il charmer la balle qui a tué celui-là au milieu de sa victoire, ou rendre celu
son Ajax, qui sort du théâtre afin de chercher un lieu écarté pour se tuer . Nous ne prenons pas la même liberté de tirer les
r s’arme pour l’écraser. Une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer . Mais quand l’univers l’écraseroit, l’homme seroi
’univers l’écraseroit, l’homme seroit encore plus noble que ce qui le tue , parce qu’il sait qu’il meurt ; et l’avantage que
que je serois satisfait de lui pourvu qu’il s’obligeât de ne me point tuer . Cette grâce, Sire, est un canonicat de votre cha
a besoin de sa main, mais d’une main douce, tendre, salutaire, qui ne tue point pour guérir, qui secoure, qui corrige et ré
; elle monta au haut de son palais ; elle se mit sur un bûcher, et se tua elle-même. En écoutant ces paroles, vous apprenez
ui des Horaces et des Curiaces, et qui est aussi sage que vaillant, a tué un fanfaron qui l’a forcé de se battre ; il peut
l me fit la révérence, me piquèrent tellement, que je fus tenté de le tuer . Je fus si troublé de la rapidité dont je venois
oit Alexandre. Il fit deux mauvaises actions : il brûla Persépolis et tua Clitus. Il les rendit célèbres par son repentir :
Dans celle de Néron, on est étonné de le voir obligé par degrés de se tuer , sans aucune cause qui l’y contraigne, et cependa
, on trouvera que tous ces grands desseins ont abouti à s’aller faire tuer par la main d’une femme ; au lieu d’admirer cet h
projets par une mort déshonorante ? Tous les conquérans n’ont pas été tués  ; plusieurs paroîtront heureux aux esprits préven
ûrement que je veux que votre frère devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton, ou qu’il lise notre Sénèque ! Ah ! n
temple sans avoir voulu rien recevoir de nous, excepte la poudre pour tuer ses semblables et l’eau-de-vie pour se tuer lui-m
s, excepte la poudre pour tuer ses semblables et l’eau-de-vie pour se tuer lui-même ; encore n’a-t-il jamais imaginé de fabr
ie la plus riche du Piémont. Vous avez fait quinze mille prisonniers, tué ou blessé plus de dix mille hommes : vous vous ét
ix. Cette guerre ne dure-t-elle pas depuis six ans ? Avons-nous assez tué de monde, et causé assez de maux à la triste huma
s’annonce par des présages sinistres. Quelle qu’en soit l’issue, nous tuerons de part et d’autre quelques milliers d’hommes, et
ntôt passé. Ils s’en vont, et nous laissent ici leurs canons, qui ont tué quelques hommes du 1er d’infanterie légère, par l
; ce n’est pas trop, je t’assure, de toute ma capacité. On doit avoir tué douze ou quinze cents Napolitains ; les autres co
onfiai à un soldat qui me conduisait un cheval en main. Ce soldat fut tué et dépouillé. Que vous dirai-je, monsieur ? J’ai
élivrez-nous du malin et du langage figuré ! Les médecins m’ont pensé tuer , voulant me rafraîchir le sang ; celui-ci m empri
perd, n’est point senti, dans une tasse fait vomir, en une cuillerée tue , et voilà le pamphlet… Lamennais (1782-1854)
’homme, un cœur de bourgeois, si vous voulez, avec peu d’envie d’être tué , ils se sont offerts pour leur pays. Ils craignen
comme des doctrines nouvelles destinées à régénérer le monde : elles tuent , il est vrai, mais elles ne régénèrent point. N’é
peau, leur poil et leur chair. S’ils n’eussent été gelés aussitôt que tués , la putréfaction les aurait décomposés. Et, d’un
au au doigt, et des souliers aux pieds ; et amenez un veau gras et le tuez . Mangeons, et réjouissons-nous, parce que mon fil
thousiasme. — Tous ? Non ; le garde-chasse est un homme dangereux qui tuerait mon sénateur sans prendre votre avis. — Oh ! sire
s de aspirer à. 240. Philippe de Mornay, fils unique, fut, à 26 ans, tué d’un coup de canon sous Gueldres, le 23 octobre 1
s, enlevées par de jeunes Spartiates, sous le règne de Cléombrete, se tuèrent  ; et leur père, ne pouvant obtenir réparation, se
ombrete, se tuèrent ; et leur père, ne pouvant obtenir réparation, se tua sur leur tombeau (v. Pausanias, IX, 13). 327. Ho
la prise décida le gain de la bataille. Le général de Caulincourt fut tué en l’enlevant à la tête d’un corps de cuirassiers
M. de Ségur. 939. « Il y eut douze assauts. Ney eut quatre chevaux tués sous lui. La moitié des cuirassiers resta sur le
78 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
ma tante, et l’envie que j’ai de vous voir : tout cela me déchire, me tue , et me fait mener une vie si contraire à mon hume
79 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
bé Le Batteux, dans ses Éléments de littérature. 3. Le même coup qui tua Turenne avait emporté le bras de Saint-Hilaire, l
80 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
c’est-à-dire de faire arrêter le cerf par le cerf par les chiens. Le tuer ainsi annonçait donc, en chasse, la plus grande i
81 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
Dreux, en 1562. Il reprit les armes en 1567, fut vaincu à Jarnac, et tué par Montesquion. 1. Il est neutre. Fascha est p
82 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
ier de traîner la charrue ; Il couche sur la neige, il soupe quand il tue  ; Il vit dans l’air du ciel qui n’appartient qu’à
de mon doute accablé ; C’est trop souffrir la vie et le poids qui me tue . Eh ! qu’offre donc la mort à mon âme abattue ? U
usciter cette force abattue ; Son souffle emportera la douleur qui me tue . COITIER. Qu’il se hâte. LOUIS.                  
jesté tout d’abord s’évertue Et soutienne un moment le fardeau qui me tue , Je le crois. Mais bientôt, sous la charge accabl
ient maison, a valets, chevaux, et cætera, Aristocrate ! — On peut le tuer sans scrupule. DANTON. C’est la pleine démence. R
sans faiblesse et punit sans fureur. DANTON. J’entends : une façon de tuer pastorale, Un bourreau vertueux pratiquant la mor
cends et dors avec les incirconcis. » « Là sont tous ceux qui ont été tués par l’épée, chaque monarque au milieu des siens,
est couchée autour de leur fosse. Ils ont dormi avec ceux qui ont été tués par l’épée, et ils ont porté leur ignominie avec
compétitions armées des grands. On lui fit un crime de ne pas s’être tué comme Caton, ou, après avoir accepté le pardon de
ouleur Ce marchand menacé par Neptune en fureur : « Il se bat ? on le tue  ? il expire avec gloire : « On le manque ? il tri
le traite comme le prêtre qui me bénit et comme le soldat qui se fait tuer pour moi. L’aumône est la rétribution des service
nt dans le danger de mort, et l’on va sur le terrain tout autant pour tuer son semblable que pour se défendre soi-même. Il i
s croyez obligé de vous battre pour effacer ces taches, et vous allez tuer votre homme pour prouver qu’il avait tort, ou vou
s allez tuer votre homme pour prouver qu’il avait tort, ou vous faire tuer , ce qui est encore plus insensé, pour montrer que
la vôtre ? Si cet homme a dit vrai, en le démentant, est-ce que vous tuerez la vérité avec sa personne ? et en serez-vous moi
e plus habile, et l’on aura toujours raison quand on saura blesser ou tuer son homme. La raison du plus fort est toujours la
ille manière de vous exterminer : vous ayez de petits globes qui vous tuent tout d’un coup, s’ils peuvent seulement vous atte
comme des doctrines nouvelles destinées à régénérer le monde : elles tuent , il est vrai, mais elles ne régénèrent point. N’é
83 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
ter qui préside aux batailles, au nom des Dieux témoins des serments, tuez -moi avec le fer qui, sous ma conduite, a percé ta
mp, ils courront les plus grands dangers : il importe donc peu de les tuer ou de les dépouiller de leurs bagages, sans lesqu
tous ces détails ! J’en ai été instruit par ton ami Clitus, que tu as tué d’un coup de lance au milieu d’un festin, parce q
à la Sorbonne. Traduction de la matière. Ayant reçu l’ordre d’aller tuer Marius enfermé à Minturnes dans une maison partic
udain sortir une voix terrible qui lui dit : « Soldat, oseras-tu bien tuer C. Marius ? » À ces mots, le barbare prend la fui
e dans la rue, tout hors de lui et en criant : « Non, non, je ne puis tuer C. Marius. » Bientôt la compassion et le repentir
84 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
if ou le participe qui se rapporte à ce nom : = on en compte trois de tués et six de blessés : = il y en a deux de médiocres
nt travaillé. Ainsi il y a une faute dans ce vers : C’est toi qui me tue  : Mais je pardonne à ta fureur. Il aurait fallu,
proposé à nous (comme ayant le dessein de l’exécuter). Lucrèce s’est tuée , c’est-à-dire a tué elle ; et Lucrèce s’est donné
e ayant le dessein de l’exécuter). Lucrèce s’est tuée, c’est-à-dire a tué elle ; et Lucrèce s’est donné la mort, c’est-à-di
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
, Digne de son pays, et digne de son roi : Il m’a prêté sa main, il a tué le comte ; Il m’a rendu l’honneur, il a lavé ma h
suis la tête, il n’en est que le bras1 Si Chimène se plaint qu’il a tué son père, Il ne l’eût jamais fait, si je l’eusse
86 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
à tous les délégués du roi. 18. Prirent. 19. Faisais le brave. 1. Tuer un poulet. 2. Que rien ne l’était plus que moi.
87 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
ommencer la guerre, quand ses sujets le détrônèrent ; alors il se fit tuer par un soldat. 7. Pillé. 8. Ici, ligue signifie
88 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
e la plus riche du Piémont ; vous avez fait quinze mille prisonniers, tué ou blessé plus de dix mille hommes ; vous vous ét
rchez pas l’honneur d’être plus savants et plus habiles dans l’art de tuer . Ne vous armez pas de quelques sanglants exemples
 ; et quelquefois la parole imprime à la musique une précision qui la tue et lui ôte ses effets propres, le vague, l’obscur
ne l’ignorez pas, sont faux et doubles, parjures et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, femmes et enfants,
erreur dans l’armée d’outre-mer. Le bruit courut que le duc avait été tué , et, à cette nouvelle, la fuite commença. Guillau
fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guillaume eut son cheval tué sous lui ; le roi Harold et ses deux frères tombè
t un Goth nommé Sighila accoururent l’épée à la main ; le premier fut tué et le second blessé par les assassins, qui se déf
des pauvres, les plaintes des veuves, les soupirs des orphelins, les tuent , et nous n’avons plus l’espérance d’amasser pour
science, car il n’y a pas de vérité qui, en détruisant une misère, ne tue un vice. Honorons les hommes supérieurs, et propo
s le temps de commencer sa déposition : « C’est moi, dit-elle, qui ai tué Marat. — Qui vous a engagée à commettre cet assas
ction. J’ai voulu donner la paix à mon pays. — Mais croyez-vous avoir tué tous les Marat ? — Non, répond tristement l’accus
ers et un excellent officier, Dufour, y furent inutilement blessés ou tués . Dans ce moment, les troupes cheminaient par le s
ui s’étaient aventurés à traîner cette pièce de canon, sept furent ou tués ou blessés. Il y avait là de quoi décourager les
t se promettre qu’elle accélérerait la crise politique, « Si Figaro a tué la noblesse, disait-il, Charles IX tuera la royau
crise politique, « Si Figaro a tué la noblesse, disait-il, Charles IX tuera la royauté. » Marie-Joseph semblait appelé, par c
usciter cette force abattue ; Son souffle emportera la douleur qui me tue . COITIER. Qu’il se hâte. LOUIS. Qu’il se hâte.Po
rneur des Gaules. L’empereur Valentinien III, jaloux de sa gloire, le tua de sa propre main en 454. 201. Francisca ; ce
 : « Il faut qu’on institue Un magistrat du meurtre, un dictateur qui tue . C’est Marat, c’est Marat !… 266. Voir l’ode
qu’il fut amusé par les promesses de Séjan ; que, du reste, il ne se tua point lui-même, et fut assassiné dans sa prison. 
89 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
s les plus horribles que l’on puisse voir, dont le plus innocent en a tué quinze ou vingt autres92, qui sont tous noirs com
r s’arme pour l’écraser. Une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer . Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serai
’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue , parce qu’il sait qu’il meurt ; et l’avantage que
l’italien, Marie de Rabutin-Chantal épousa le marquis de Sévigné qui, tué en duel, la laissa veuve à vingt-cinq ans. Répare
a tante472 et l’envie que j’ai de vous voir, tout cela me déchire, me tue et me fait mener une vie si contraire à mon humeu
Le siège de Namur va fort bien ; on avance, et jusqu’à cette heure on tue très-peu de monde. On espère que la ville sera pr
par la dépouille affreuse et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houle
mble requête, est de la plus ancienne famille de Genève ; ils se font tuer pour nous, de père en fils, depuis Henri IV. L’on
our nous, de père en fils, depuis Henri IV. L’oncle de celui-ci a été tué devant Ostende ; son frère l’a été à la malheureu
ce n’est pas à Rosbach, c’est ailleurs1163 : le fait est qu’il a été tué  ; celui-ci a été blessé. Il sert depuis dix ans ;
mort à votre service. Faites-lui cette grâce, et qu’il ne soit point tué  ; car il est fort aimable, et il est neveu de cet
souvent aux hommes de bonnes médecines de cheval1432… l e comte. Qui tuaient les sujets du roi ! figaro. Ah ! ah ! il n’y a p
e la plus riche du Piémont ; vous avez fait quinze mille prisonniers, tué ou blessé plus de dix mille hommes ; vous vous ét
paix : celle-ci ne dure-t-elle pas depuis six ans ? avons-nous assez tué de monde et fait éprouver assez de maux à la tris
s’annonce par des présages sinistres. Quelle qu’en soit l’issue, nous tuerons , de part et d’autre, quelques milliers d’hommes d
uai ces propres mots du mari : « Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la femme répondit : Oui.
oyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : « Faut-il les tuer tous deux ? » Et je vous crois, cousine, assez de
sort d’eux une vapeur de malédiction. Fuyez l’impie, car son haleine tue  ; mais ne le haïssez pas, car qui sait si déjà Di
antinople, dit-il ; nos frères sont morts ou captifs ; l’empereur est tué  ; le temple de Sainte-Sophie est souillé par Maho
soi-même. 309. La prise, c’est-à-dire la proie, le gibier que l’on tue . 310. Complexion. Ce mot signifie, tempérament,
de guerre. 315. Les autres sont les moralistes, les philosophes. Se tuent  ; Pascal aurait-il le pressentiment de sa mort pr
Trousse, qui souffrait d’une hydropisie. 473. Son mari venait d’être tué . 474. Sœur du grand Condé. 475. Catherine-Franç
. Qui servait comme officier dans l’armée française, et venait d’être tué , la cinquième année de la guerre de la succession
de la médecine, des arts et de la poésie ; chassé du ciel pour avoir tué les Cyclopes, il se retira chez Admète, roi de Th
et le fils adoptif de Marius, qui s’enfuit à Prénestre, où il se fit tuer par un de ses officiers. 1027. En proscrivant se
edeaux entouré ; Ou qu’il voit la Justice, en grosse compagnie, Mener tuer un homme avec cérémonie ? Que pense-t-il de nous,
ur personnelle. 1833. Allusion à ces manuels ingrats et stériles qui tuent l’esprit littéraire. 1834. Saint-Evremond a dit 
90 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »
cujus latus ille mucro petebat ? qui sensus erat armorum tuorum ? quæ tua mens ? oculi ? manus ? ardor animi ? quid cupieba
91 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
ûrement que je veux que votre frère devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton, ou qu’il lise notre Sénèque ! Ah ! n
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
cience ; car il n’y a pas de vérité qui, en détruisant une misère, ne tue un vice. Honorons les hommes supérieurs, et propo
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
e tort d’occuper de sa personne un poste imprenable, et de s’amuser à tuer des Persans, tandis qu’il abandonnait à un lâche
94 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
e lettre pour appui, bon — té, charité — vé — cu, vain — cu, — éver — tue , tor — tue, etc. Il ne faut pas prendre pour des
ur appui, bon — té, charité — vé — cu, vain — cu, — éver — tue, tor — tue , etc. Il ne faut pas prendre pour des rimes pauvr
. Le monarque des dieux leur envoie une grue, Qui les croque, qui les tue .     (Laf.) 3. Dans la poésie noble, dans l’épop
95 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
evés contre la République : « Si j’avance, suivez-moi ; si je recule, tuez -moi ; si je meurs, vengez-moi. » Il est d’usage
96 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
cette noble fonction de capitaine, il a eu plusieurs fois des hommes tués et blessés à côté de lui. Judicieux dans toutes s
97 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
et le vrai y est étranger. Je vous dirai bien plus. Quand je me fusse tué à imaginer des fables allégoriques, il eût bien p
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Musset 1810-1857 » pp. 564-575
ais tu si peu l’ingratitude humaine ? Quel rêve as-tu donc fait de te tuer pour eux ? Quelques bouquets de fleurs te rendaie
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
n bel effet. 3. Le sang de Turenne peut-il crier comme celui d’Abel, tué par son frère ? Que de rhétorique ! 1. Comparez
100 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
surchargés de trois ans. Au lieu de dire : Les soldats de Milon ont tué Clodius, Cicéron se sert de cette adroite périphr
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