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1 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
e réflexions, de sentences, qu’il pût appliquer à propos aux sujets à traiter , pour les embellir et leur donner de la force ; d
t la connaissance sérieuse et approfondie du sujet spécial qu’on doit traiter . Examinons pourtant les choses sans prévention ho
t-il pas avoir, lui aussi, des cartons et des études ? ne peut-il pas traiter ici de la justice ou de la liberté de la presse,
ans ce qu’on nomme les pièces du procès, puis dans les livres où sont traitées ex professo les questions de droit qui se rattach
droit qu’à ceux même qu’il a dépouillés ! Quelque sujet donc que vous traitiez , historique, oratoire, didactique, lisez et lisez
état populaire. Comparez à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, traite la même question par la bouche du courtisan Aruns
. La rhétorique, comme la logique, peut comparer le sujet ou l’idée à traiter à cette campagne dont parle Condillae, que l’on e
rête aux membres d’idée qui se rapportent le mieux à l’objet que l’on traite , au dessein qu’on a en vue. Il y a plusieurs mani
2 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
roisième est la méditation des idées acquises et de celles qu’on veut traiter . Le quatrième est l’étude analytique et synthéti
s moyens aux facultés inventives que lui a données la nature, il peut traiter un sujet. Le choix du sujet n’est pas indifférent
pporter : témoignages, autorités, pièces et ouvrages sur la matière à traiter . Lieux internes, pris dans le sujet même et ress
onstances ou accessoires ; Les semblables et les contraires. L’idée à traiter peut gagner beaucoup en développements, si on la
s la société intime, enfin, dans les écrivains qui ont su le mieux la traiter . Il remarquera dans ces écrivains non-seulement l
ture reconnue, il faut apprendre à les choisir, à les disposer, à les traiter , en ayant soin de remonter le plus souvent possib
lités accidentelles du style. En général, par exemple, tout livre qui traite d’intérêts sérieux et grands demande la gravité d
3 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
à peine crus sur la foi des auteurs, Si quelque esprit malin les veut traiter de fables, On dira quelque jour pour les rendre c
un bienfait des dieux. Henri IV répondit à ceux qui l’exhortaient à traiter avec rigueur quelques places de la Ligue qu’il av
es coupables qui venaient d’être condamnés à mort, les fit communier, traiter splendidement, puis rendre à la liberté, en disan
t de tomber entre les mains d’Alexandre : « Comment veux-tu que je te traite  ? dit Alexandre. En roi, répondit le vaincu. Cett
que des idées ignobles, de mauvais goût et indignes du sujet que l’on traite  ; 2° les pensées fausses ou celles qui ne sont po
ux esprits se rencontrent ». Et en effet, souvent plusieurs écrivains traitent le même sujet, soit à dessein, soit sans prémédit
bord les idées principales qui concourent à l’ensemble du sujet qu’il traite , puis les idées accessoires qui se rattachent à c
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
étachées, on en est réduit à payer de phrases et d’antithèses ; on ne traite que des lieux communs ; on ne dit rien que de vag
nement nécessaire, et qu’il faut les connaître presque toutes pour en traiter solidement une en particulier. » Mais de toutes
d’abord à vous faire une idée vive et précise du sujet que vous aller traiter . Puis, quand vous l’avez dégagé de tout ce qui n’
tant que possible, le pour et le contre, surtout si la question a été traitée par deux rivaux dignes l’un de l’autre. C’est apr
es compositions originales, tantôt en n’ayant que le titre du sujet à traiter , plus souvent en s’aidant d’une matière ou argume
e de génie inventif que lui a départie la nature. Le voilà en état de traiter un sujet. 5. Remarquez que je ne considère poin
5 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
e déployer à l’aise dans le vaste champ des universaux. « Qui ne sait traiter que l’espèce, dit Vico, diffère autant de celui q
avoir reconnu la nature, sachez encore les choisir, les disposer, les traiter . Cicéron, au deuxième livre de l’Orateur, donne s
quence du barreau. Les arguments choisis, comment les disposer et les traiter  ? La disposition dépend presque toujours des circ
lus faibles soldats, ϰαϰούς ϑίς μίσσου ἔλατσευ. Quant à la manière de traiter les preuves, je devancerai par une seule observat
cours s’unissent par leur nature, leur but, et la manière dont on les traite . » La réfutation est sérieuse ou ironique : séri
6 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
. Il reçut tous les respects qu’on lui voulut rendre, et il se laissa traiter de roi. Mais comme il ne pouvait oublier sa condi
ière pensée, et il découvrait l’autre : c’était par la première qu’il traitait avec le peuple, et par la dernière qu’il traitait
r la première qu’il traitait avec le peuple, et par la dernière qu’il traitait avec lui-même3. L’éloquence L’éloquence c
ature se moquent des règles de convention. Lire le chapitre où Pascal traite de la différence entre l’esprit géométrique et l’
7 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
la faiblesse de leurs lumières ne leur permet pas de comprendre. Ils traitent surtout de ridicules ces endroits merveilleux où
faut rapporter ces allusions. Ce qui est certain, c’est que Xénophane traitait avec mépris les opinions populaires sur la divini
’opinion de Ritter  peut-être veut-il parler de la manière dont Médée traitait Égée dans la pièce d’Euripide qui portait ce dern
8 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre premier. De l’art de la composition en général. »
La convenance consiste à se conformer aux exigences du sujet que l’on traite , à tenir compte de sa propre position et du but q
circonstances. Par exemple, si le sujet est léger, il ne faut pas le traiter en style grave et pompeux ; on ne doit pas raison
utre mesure le préambule, et puis le temps ou les idées manquent pour traiter le sujet lui-même : c’est comme si l’on faisait u
9 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
r aux élèves dans l’espace d’un an ; les autres, trop approfondies et traitées d’une manière trop métaphysique, ne conviennent p
nvient aux choses, aux personnes, aux temps et aux lieux. Négliger de traiter ce point fondamental ou n’en parler que superfici
séparation absolue des matières oratoires, mais de la manière de les traiter . Cette manière est déterminée par l’objet princip
ordre naturel et judicieux, voilà la disposition ; il faut savoir les traiter dans un style convenable au sujet, ce qui est l’é
s ces connaissances l’orateur doit ajouter celles du sujet qu’il veut traiter . Les ressources qu’on peut tirer de son esprit, d
se, dans celui qui parle, une connaissance approfondie du sujet qu’il traite . » (Cic. , de Orat., l. I, n°. 48.) De quelles
uant par ordre tous les aspects intérieurs et extérieurs d’un sujet à traiter , ils prétendaient mener le génie comme par la mai
actions honnêtes et louables. (Cic., de Orat., l. II, n°. 335.) Pour traiter ainsi les affaires publiques, l’orateur doit avoi
out son jour, et de faire paraître dans toute sa force le sujet qu’on traite . Mais celui qui voudrait contrefaire leur exagéra
endre familier le principe de chacune de ces preuves, pour les savoir traiter d’une manière abstraite et générale, ou singulièr
elle leur apprend à envisager sous plusieurs faces la matière qu’ils traitent , les empêche d’aller chercher au loin et d’employ
ieux, dit-il, ne sauraient être employés dans chaque matière que l’on traite . Il ne faut pas néanmoins en composant se faire u
volonté sont du ressort de la morale, nous en parlerons lorsque nous traiterons des passions ; celles de l’entendement appartienn
dernier repos. Il en sera question dans la partie de cet ouvrage qui traitera du style. §. II. Du raisonnement et de la méth
aître un sujet, pour en examiner toutes les parties. Quand il veut le traiter , la synthèse lui devient nécessaire, parce qu’alo
mencer par bien définir, ou par décrire exactement l’objet qu’on veut traiter . L’obscurité, l’erreur, les contradictions, et co
ais d’employer des preuves propres et particulières au sujet que l’on traite , comme de faire un mérite au même Achille d’avoir
dre un ton avantageux, surtout s’il est jeune, s’il est inconnu, s’il traite pour la première fois une matière nouvelle pour l
posées, et que sans trop s’attendre à une perfection surnaturelle, on traite avec ses juges comme avec des hommes. D’ailleurs,
oyons cet homme qui a souffert des traitemens indignes et cruels ; ne traitons point la chose comme étrangère par rapport à nous
x sortes de ridicule. Cicéron distingue deux manières principales de traiter le ridicule dans le discours : celle qui est dans
erum dicto tractatur. Ridicule qui est dans la chose. La manière de traiter le ridicule par la chose, est celle qui consiste
ateur doit consulter son jugement ; il doit considérer le sujet qu’il traite , et le but qu’il se propose en le traitant, à qui
On se concilie la bienveillance par des motifs tirés du sujet qu’on traite , de sa propre personne, de celle du client, de ce
ue ces préceptes doivent s’accommoder aux différentes causes que l’on traite . On a besoin de rendre les juges favorables dans
position est l’exposition simple, claire et précise du sujet qu’on va traiter . Sa place. On la place à la tête de la confirma
sion. Les propositions composées offrent toujours différens points à traiter . Les propositions simples, étant souvent appuyées
Pour tracer un bon plan, il faut avoir approfondi le sujet qu’on veut traiter . A mesure qu’on réfléchit, on pénètre les princip
par exemple, lorsque le discours doit être très-bref, qu’on ne doit y traiter qu’un seul point, ou que la liaison des preuves c
udicieux se réglera à cet égard sur la nature des sujets qu’il aura à traiter . On doit éviter de faire trop de divisions : ce s
atur et crescat oratio. L’ordre des preuves dépend du sujet que l’on traite . Un exemple célèbre nous prouve que cette dispos
Quintilien en ces termes : « La même question ne se doit pas toujours traiter la première de part et d’autre. Démosthène et Esc
tout différent dans la cause de Ctésiphon. L’accusateur commence par traiter la question de droit, comme lui étant plus favora
r la personne qui les a faites. « Comme on suppose que le sujet qu’on traite est vrai, rarement on en vient à la preuve, à moi
ter. « Dans les autres parties du discours, dit Quintilien, l’orateur traitera chaque passion selon que le sujet la fera naître.
s conséquences de ce que l’on a dit. L’orateur est dans l’usage de la traiter d’une manière pathétique ; son objet est d’émouvo
à toute sorte de narration oratoire. En général, la narration doit se traiter dans le goût du genre auquel elle appartient. Sa
ne se présente naturellement et qui ne naisse de la matière que l’on traite . Une objection amenée par force annonce un orateu
les plus fortes, ou par les plus faibles ; si une question veut être traitée sans préambule, ou si elle a besoin de préparatio
à tous deux ; cependant nous devons avertir que notre dessein est de traiter particulièrement de l’art d’écrire. Importance d
ant tout se faire des idées justes et claires sur le sujet qu’on veut traiter . Les meilleures expressions sont celles qu’inspir
à savoir les employer à propos selon la différence des matières qu’il traite , de sorte qu’il puisse les tempérer l’un par l’au
aisir. Sources du sublime. C’est dans la nature des sujets que l’on traite qu’il faut chercher la base du sublime dans le st
résulte un mauvais style ? Telles sont les questions que nous allons traiter successivement ; elles nous serviront de division
analogues aux divers genres d’écrire et aux différens sujets que l’on traite . Article premier. Des qualités générales d
ent et sans peine, comme le mode et le ton dans lequel ils doivent le traiter ou l’écrire, et le mouvement qu’ils doivent lui d
rés du Fléchier. Fléchier dans l’oraison funèbre de Turenne, ayant à traiter le sujet le plus touchant et le plus élevé, emplo
Dans toute sorte d’ouvrages, le style doit convenir au sujet que l’on traite . « Que sert en effet, dit Quintilien, que les mot
il sert à revêtir. On nous permettra donc de ne pas les suivre, et de traiter la matière sur un plan tout différent. Ce qu’on
manière de dire ou d’écrire la mieux appropriée à la matière que l’on traite  : aptè dicere, parler convenablement, comme dit Q
lement il faut penser, sentir et s’exprimer selon la matière que l’on traite . De grandes pensées et des sentimens élevés, s’ac
ives. Au reste, l’orateur doit connaître à fond la matière qu’il veut traiter , l’intérêt qu’y prennent ceux devant qui il parle
t quelque rapport à la situation où ils se trouvent et au sujet qu’il traite . Voilà ce qui doit déterminer le ton de son disco
n penser et bien sentir ; puis examiner la nature du sujet qu’on veut traiter , à quelle espèce d’éloquence il appartient, ensui
style, et qui sont plus ou moins analogues aux divers sujets que l’on traite . La convenance comprend toutes les qualités part
que les autres qualités en quelque sorte secondaires dont nous allons traiter , ne sont au fond que cette convenance diversement
les qualités particulières varient suivant la nature des sujets qu’on traite et le but que l’on se propose en le traitant. L’é
aître son sujet, en bien posséder l’ensemble, savoir l’ordonner et le traiter avec méthode. La netteté n’est pas la même chose
être variée comme le style, et comme le style convenir au sujet qu’on traite . Appendice sur le tissu du discours. Dans
entrer dans toute sorte d’écrits. Tous les sujets qu’on peut avoir à traiter admettent, exigent même des tours variés, précis,
yle le plus élevé. Ils conviennent surtout aux ouvrages où l’écrivain traite de grands intérêts, où il a des motifs de se pass
ordinairement dans les discours ou les écrits en prose. Comme nous ne traitons pas ici de la poésie, nous considérerons principa
spèces de convulsions. » Et au contraire, lorsque la matière que l’on traite est telle qu’elle nous doit raisonnablement touch
serve que lorsqu’on fait un ouvrage purement didactique, où lorsqu’on traite d’objets qui demandent une expression rigoureusem
d la raison seule ou la passion doivent parler, ou bien quand on doit traiter de grands intérêts : c’est alors de l’esprit dépl
re son bras dans la vieillesse. Exemples. Ainsi par les Anglais fut traitée cette ville infortunée qui s’était abandonnée à e
quelques moyens propres à nous guider, lorsque nous sommes obligés de traiter des questions imprévues. En quoi consiste l’impr
médité et envisagé sous toutes les faces, puisqu’il est impossible de traiter une matière qu’on ne connaît pas : Neque enim qu
up de l’exercice, enseigne la manière de s’y exercer. Il conseille de traiter des sujets en présence de personnes dont on soit
ffrage ; ou bien de les méditer dans le silence du cabinet, et de les traiter mentalement comme si on parlait en soi-même. A ce
me des auditeurs. Nous suivrons la division établie par Cicéron. Nous traiterons dans un premier article de la voix et de tout ce
. 1. Le Conciones offre une foule d’endroits où l’argumentation est traitée d’une manière oratoire. Nous nous contentons d’en
ette question, qui tient à la morale plutôt qu’à la rhétorique, a été traitée d’une manière solide et satisfaisante par Quintil
des deux est préférable. L’ordre des preuves dépend du sujet que l’on traite . Il est indiqué ordinairement par le rapport natu
10 (1875) Poétique
annonce lui-même un plan plus étendu que ce qui nous reste. Il devait traiter en détail de la comédie, du drame satirique, des
ide desquels on imite ; le rythme, la mélodie, la mesure. Je vais traiter de la poésie en elle-même, de ses espèces, de l’e
ens, Cratès fut le premier qui abandonna la satire personnelle et qui traita des choses en général. L’épopée a suivi les trace
ce qui est dans le sujet ou ce qui convient au sujet. Cette partie se traite ou dans le genre simple et familier, ou dans le g
nous venons de dire, il est évident que l’objet du poète est, non de traiter le vrai comme il est arrivé, mais comme il aurait
r le vrai comme il est arrivé, mais comme il aurait pu arriver, et de traiter le possible selon le vraisemblable ou le nécessai
e peint fortement, l’autre sent de même. Quel que soit le sujet qu’on traite , il faut commencer par le crayonner en général :
ion des parties constitutives de la tragédie12. Il ne reste plus qu’à traiter de l’élocution et des pensées. On trouve ce qui r
semble encore divin en comparaison des autres. Il s’est bien gardé de traiter la guerre de Troie en entier, quoique, dans cette
rivée d’Ulysse en Ithaque, où tout est hors de vraisemblance, eût été traitée par un poète médiocre, elle serait insoutenable.
11 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
st bien simple. La sécheresse et l’aridité des matières ordinairement traitées dans les plaidoyers, exigent plus que toute autre
e est indispensable au barreau, par la nature même des objets qui s’y traitent , et qui sont le plus souvent hérissés de difficul
ire. Il n’a pas un seul plaidoyer, peut-être, où la narration ne soit traitée avec une supériorité qu’on ne saurait trop admire
12 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
l’écrivain, par le genre dans lequel il s’exerce, par le sujet qu’il traite . Le style, comme on voit, diffère de ce qu’on app
, c’est d’avoir une parfaite intelligence du sujet. On ne doit jamais traiter un sujet que l’on ne conçoit que confusément. L’o
ntes : 1º clarté et précision ; 2º unité ; 3º force ; 4º harmonie. Je traiterai de chacune d’elles avec détail. La première est l
une cadence plus obscure, cantum obscuriorem , que dans les vers, et traitent ce sujet comme un objet de la plus haute importan
la pompe, si la plénitude conviennent à un discours oratoire où l’on traite des matières importantes et d’un ordre élevé, ell
de la prosopopée, de l’apostrophe. La figure dont je me propose de traiter d’abord est appelée hyperbole ou exagération. Ell
mais la parole et l’ouïe, lorsqu’ils nous écoutent et nous répondent. Traitée de cette manière, quoique fort naturelle en certa
e la même composition requièrent de la variété dans la manière de les traiter et dans le style. Dans un discours ou un sermon,
suivante, genre sec, simple, clair, élégant et fleuri. Nous allons en traiter successivement. Le premier genre repousse les orn
une quantité d’ornements qui convient à presque tous les sujets qu’on traite . La lettre familière, le mémoire à consulter, les
yens de se former un bon style en général, laissant au sujet que l’on traite , ou à la pente naturelle du génie, imprimer le ca
l’esprit des hommes trouve une sphère d’action plus étendue, où l’on traite d’importantes matières qui exigent une étude plus
ils s’aperçoivent bientôt de l’impropriété de cette ostentation pour traiter les affaires ou fixer l’attention. La grande répu
a flatterie envahirent tout. Le Forum, où tant de grandes affaires se traitaient , devint désert ; on plaidait encore quelques caus
evait naturellement faire aspirer au sublime les génies immortels qui traitaient les sujets élevés qui forment son domaine ; ils y
diquerai quelques principes particuliers à l’éloquence populaire ; je traiterai ensuite avec soin tout ce qui est relatif à l’élo
rré et d’une expression vive et nerveuse. Dans les assemblées où l’on traite d’affaires réelles, importantes ou non, il est to
vée qu’elle soit, ne peut jamais produire une conviction complète. Je traiterai bientôt des règles, de la méthode et de la distri
irconstances et au sujet. Rien en effet ne serait plus déplacé que de traiter avec véhémence une matière peu importante, ou qui
ni d’ambitieux ; elle se modère et se proportionne aux sujets qu’elle traite et aux gens qu’elle instruit, elle n’est grande e
ienséances que dans la société ; le style change selon le sujet qu’on traite , selon le caractère de ceux qui parlent et de ceu
languissant et découragé. Quant à la prononciation et au débit, j’en traiterai bientôt spécialement ; pour le moment, il me suff
entation, j’en parlerai par la suite avec quelques détails lorsque je traiterai des parties intégrantes d’un discours régulier. J
s qui lui sont propres. La dignité et l’importance des sujets qu’elle traite lui assignent un rang distingué ; ils sont du plu
t-être maître trop paisible du champ qu’il parcourt. Les sujets qu’il traite sont nobles et importants, mais ils sont familier
ne seule vue ; il y entre des sujets qui sont sublimes, mais qui peut traiter le sublime ? Le prédicateur n’est pas soutenu, co
faut qu’il donne à ses auditeurs des idées claires des matières qu’il traite  ; c’est par des raisonnements et non pas par des
oivent pas être négligées, et dans quelques circonstances on peut les traiter avec succès ; mais ce ne sont pas les sujets les
ctif du désavantage particulier à ce genre, où le plus souvent, on ne traite que par abstraction de qualités et non de personn
-unes de ces parties existent nécessairement, il est indispensable de traiter séparément de chacune d’elles. Et d’abord se prés
idée favorable de la clarté et de la précision avec lesquelles on le traitera . Le troisième objet est de rendre l’auditoire doc
quelque lieu commun qui n’a aucun rapport spécial avec le sujet qu’on traite . Elle paraît alors une partie détachée du discour
aît de la conviction, de la justice et de l’importance du sujet qu’il traite . L’orateur, en commençant, ne doit pas trop prome
l répand une clarté convenable, et ouvre la voie au sujet que l’on va traiter . Après l’exorde vient la proposition ou expositio
e, ni même convenable : si le discours est bref, si l’orateur ne veut traiter qu’un seul point, ou qu’il préfère ne pas avertir
t au même but. Toutes deux doivent éclaircir la cause ou le sujet que traitera l’orateur suivant même qu’il développe aucun argu
du discours, va maintenant nous occuper. Quel que soit le sujet qu’on traite , l’argumentation est sans doute de la plus haute
-même glacé, l’exposerait inévitablement au ridicule. Quintilien, qui traite ce sujet avec beaucoup de sagacité, s’efforce de
sque l’on veut faire une impression profonde. Il ne nous reste plus à traiter que de la péroraison. Je n’ai que peu de choses à
res, nous arrivons à l’objet principal de ce chapitre, c’est-à-dire à traiter des moyens les plus propres à perfectionner l’élo
à un exercice après lequel on aspire ; c’est là enfin que chacun peut traiter à son gré les plus grandes causes et les plus pet
s encore de prendre du temps pour réfléchir, méditer son sujet, et le traiter avec soin ; mais la méthode, sans contredit, la p
13 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
ez d’une Lettre à Ariste, où je ne vous ai point fait de tort de vous traiter d’égal : vous nommez folies les travers d’auteur
s point homme d’éclaircissement1 ; vous êtes en sûreté de ce côté-là. Traitez -moi dorénavant en inconnu, comme je vous veux lai
Aussi je vous avoue, après cela, que je pense avoir quelque droit de traiter de ridicules ces vains trophées qu’on établit sur
14 (1839) Manuel pratique de rhétorique
dans l’âme ; mais il ne le sera qu’un instant. Mais si la question à traiter est difficile ; si les esprits des auditeurs sont
venus par quelques préjugés contraires à l’orateur, ou au sujet qu’il traite  ; si la volonté de ceux qu’il veut déterminer lui
ou détruire les préventions. Le nombre des matières que peut avoir à traiter l’orateur est immense ; mais on peut les rappeler
a pour objet le blâme ou la louange ; le délibératif, dans lequel on traite des questions d’intérêt public ; le genre judicia
urs ? — Quels sont les principaux genres de matières que peut avoir à traiter l’orateur ? Division générale. Les précept
nête qui peut engager un homme de bien à se charger d’une cause, ou à traiter un sujet quelconque en public ; et ces motifs var
la présomption, à la confiance. Toute réunion d’hommes exige qu’on la traite avec un certain respect : ce n’est qu’à ce prix q
, aux succès qu’on a déjà obtenus, ou à la nature même du sujet qu’on traite  ; c’est à l’orateur à les saisir, lorsque l’expér
ecte toujours et respecte toujours les autres. Souvent l’orateur doit traiter des sujets extrêmement difficiles, dans des circo
nsées. L’exorde est orné ou fleuri dans les sujets médiocres et qu’on traite plutôt pour le plaisir de l’esprit que pour produ
nvient à son sujet, enfin, chaque partie de la confirmation doit être traitée , l’une avec force, l’autre avec clarté ; ici ce s
ir. La réfutation est nécessaire. La plupart des sujets que l’orateur traite n’étant pas susceptibles d’évidence, les opinions
n éloquence, d’atteindre à la perfection ou même d’en approcher. Pour traiter exactement de l’élocution, il faut la considérer
éelle, la même figure est propre aux trois effets, seulement elle est traitée d’une manière différente. Il est plus simple de p
plus forte raison si cet aveu tourne à sa gloire. Cette figure a été traitée avec une délicatesse extrême par « Je le crois.
apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, « Qu’il lui rende… » À ce mot, ce hér
trage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d’Achab les restes malheureux ! Où serais-je aujo
15 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
, quelques passages d’un bon auteur, analogues au sujet que l’on doit traiter  ; les chrestomathies fournissent toujours des mor
et ainsi en train, et les idées viennent plus facilement. Si l’on a à traiter un sujet historique, il est bon de lire dans un h
nre les pensées de l’auteur ; enfin ils se sentiront assez forts pour traiter sans secours tous les sujets qu’on pourra leur pr
cilité pour écrire, plus il trouve d’idées applicables au sujet qu’il traite . Il est sans doute impossible de tout savoir, d’e
16 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
ctif, comme la religion, l’agriculture, la poésie, les saisons, et le traiter d’une manière régulière ; c’est ce qui a lieu dan
-dire des données sûres et des notions précises sur le sujet que l’on traite . Quant aux détails, il faut faire un choix judici
spose et conduise sa matière de sorte que les principaux objets qu’il traite soient exactement distingués entre eux, et se tro
ande un ordre plus exact, une méthode plus sensible que celui où l’on traite des arts soit libéraux, soit mécaniques ; parce q
l’épître ? L’épître peut embrasser toute espèce de sujets. On y peut traiter de la morale, de la littérature, des grandes pass
hoses en vrai philosophe, prendre on ton grave et sérieux, lancer des traite vifs et piquants contre les défauts et les vices
mes les leçons qu’il veut adresser aux hommes. Dans cet article, nous traiterons successivement des qualités de l’action et du réc
17 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
arle à la face des autels, dans le sanctuaire de la Divinité, pour ne traiter que des sujets qui regardent le bonheur ou le mal
rtionné à la nature de la cause. Les petites affaires ne peuvent être traitées que d’un style simple ; les grandes, d’un style é
l’ignorance rabaisse tant qu’elle voudra l’éloquence et la poésie, et traite les habiles écrivains de gens inutiles dans les é
été envoyé à la cour de Londres, en 1717, avec l’abbé Dubois, pour y traiter de grandes affaires. « La réputation que vous de
e. Il écrit naturellement, manie également bien tous les sujets qu’il traite , et peint de même les divers caractères qu’il veu
faire de vive voix ou par écrit, sur les matières importantes qu’ils traitent , soit avec leurs concitoyens, soit avec les étran
rler touchant la sûreté des frontières. Ou ne peut se flatter de bien traiter un sujet concernant le commerce, si l’on n’en con
voyages mêmes ne peuvent être que d’une grande utilité. L’orateur qui traite un de ces sujets veut ordinairement porter ses au
es, du clergé, des commerçants, etc. Quant aux matières d’état qui se traitent dans le cabinet des princes, on peut conjecturer
18 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
réfléchit longtemps et mûrement sur les raisons des avocats qui l’ont traitée . 3º. La critique doit être équitable. Elle ne peu
rivains de notre nation l’ont employé avec le plus grand succès, pour traiter toutes sortes de matières. Écrivains didactiqu
29 avant Jésus-Christ, a composé tous ses ouvrages en Dialogues. Il y traite de la logique, de la physique, de la politique ;
19 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
eur. Sa connaissance approfondie de la langue anglaise, l’habitude de traiter avec méthode et avec simplicité les questions les
son temps, quelle que fût leur manière de voir dans la question qu’il traitait . Cette dissertation lui fit beaucoup d’honneur, e
qui ont le moins l’habitude de la composition savent que, lorsqu’ils traitent mal un sujet, lorsque leurs phrases sont louches,
at actuel du goût, et sur les sources du plaisir qu’il procure ; nous traiterons du langage dans la seconde, et du style dans la t
goût peut donc s’exercer sur une grande variété d’objets. Mais, pour traiter à fond cette matière, je dois faire remarquer enc
il est indispensable d’en déterminer exactement le sens. Je viens de traiter du goût, je vais actuellement indiquer quels sont
mpressions que nous recevons du goût. Ce sont des sujets séduisants à traiter  ; mais ils nous échappent quand nous voulons les
direct avec l’objet principal de ces Lectures. Pour plus d’ordre, je traiterai d’abord de la grandeur et du sublime dans les obj
lques-uns de ceux que cite cet auteur d’être étrangers au sujet qu’il traite . Cette expression est véritablement sublime, et l
pousserai pas plus loin mes observations sur le sublime ; j’ai dû en traiter avec quelque étendue à cause de sa grande importa
serviront d’introduction au sujet principal de ces Lectures, je vais traiter du langage, sur lequel repose tout le pouvoir de
Je trouverai l’occasion de discuter à fond cette question, lorsque je traiterai de la nature et de l’origine de la poésie. Il nou
histoire de l’origine et des progrès du langage, je vais actuellement traiter de sa structure, ou de ce que l’on appelle la gra
exprimer : tant il est difficile de les séparer l’une de l’autre ! Je traiterai plus tard des caractères généraux du style ; il m
s’excusent de leur manque de clarté sur la difficulté du sujet qu’ils traitent  ; mais un pareil prétexte est bien rarement admis
M. Addison, et ce tort est chez lui d’autant plus impardonnable qu’il traite des sujets philosophiques, dans lesquels il devai
e. Lecture XI. De la construction des phrases. En commençant à traiter du style, j’ai, dans la Lecture précédente, exami
ains français ont adoptée, convient aux sujets agréables et faciles à traiter . Le style périodique donne à la composition quelq
servation justifie à elle seule le soin et l’attention que j’ai mis à traiter ce sujet. Lecture XIII. De l’harmonie dans la
rer dans les différents membres d’une période. Toutes les fois qu’ils traitent de la construction d’une phrase, c’est l’harmonie
reille nous a depuis longtemps familiarisés, le dégrade. Lorsque nous traitons un sujet élevé, et que nous voulons mettre notre
nte, est encore remarquable par sa correction et sa pureté. Lorsqu’il traite , par exemple, de l’impression que produisent sur
es observations préliminaires sur le style figuré en général, je vais traiter séparément des figures du discours les plus usité
elles restent au niveau des pensées qui conviennent au sujet que l’on traite . Rien ne semblerait plus bizarre qu’un auteur qui
figures ; nous pouvons en puiser, suivant la nature du sujet que nous traitons , dans les objets les plus imposants, les plus ter
s l’embellissent. En effet, lorsqu’un écrivain assimile l’objet qu’il traite à un autre objet, son intention est, ou doit être
xplicative. Qu’un auteur raisonne de la manière la plus serrée, qu’il traite le point de philosophie le plus obscur, il peut e
lque succès dans la pratique des arts béraux. Lorsque j’ai commencé à traiter du style en général, j’ai fait observer que les m
pprochent beaucoup sous ce rapport. C’est la nature du sujet que nous traitons qui doit nous déterminer dans le choix du style.
nes un peu plus que les autres, selon que la nature du sujet que l’on traite exige que l’on donne au style plus de grandeur ou
ne au style plus de grandeur ou de rapidité. J’ai déjà eu occasion de traiter des phrases longues ou courtes lorsque je me suis
e du style nerveux et du style faible. Un auteur, quelque sujet qu’il traite , doit chercher à mettre de la force dans son styl
’ils n’eussent point écrit autrement s’ils avaient eu le même sujet à traiter  ; il suit le précepte d’Horace :                
oret Ausus idem. (Ars poet., v. 240.) Tout auteur croit pouvoir les traiter avec gloire, Mais il ne fait souvent qu’un effort
dée faible, obscure, embarrassée ou confuse du sujet que nous voulons traiter , notre style prendra immanquablement tous ces déf
quent, rien n’est beau, s’il n’est proportionné à la matière que l’on traite ou aux personnes auxquelles nous l’adressons. C’e
et n’a pas ce ton avec lequel nous voudrions aujourd’hui que fussent traitées les affaires de l’État, ou les causes d’un intérê
mais, en luttant contre le désagrément de n’avoir aucun sujet fixe à traiter , ils sont presque toujours resserrés entre la fla
’en s’adressant à une assemblée, d’abord maître du sujet qu’il y veut traiter , il soit bien pénétré des raisons qu’il doit allé
imo pectore . Dans une Lecture précédente, j’ai dit, en commençant à traiter ce sujet, que la véritable éloquence avait sa sou
ssion d’une question peu importante, ou qui, par sa nature, doit être traitée froidement. Un ton tempéré et ordinaire convient
exacte de ce qui convient à son âge, à sa position, au sujet qu’il va traiter , à ses auditeurs, aux circonstances, et au lieu d
e d’une profusion de mots qui fatiguent l’attention de l’auditeur. Je traiterai plus tard de la prononciation et du débit. Je me
durable pour donner un exemple du genre d’éloquence dont je viens de traiter , je citerai quelques passages de Démosthène. Malg
le de cet orateur dans les principales parties du sujet qu’il avait à traiter . Son but était d’engager les Athéniens à se tenir
’exprimer avec grâce et énergie, même quand la nature du sujet qu’ils traiteront leur présentera l’occasion de déployer tous leurs
défend une obscurité qui souvent lui est fatale. Lorsque plus tard je traiterai des différentes parties qui constituent un discou
ai choisi celle-ci, parce qu’elle est un excellent modèle de l’art de traiter avec ordre, avec élégance et avec force la cause
ompliquée. Lecture XXIX. De l’éloquence de la chaire. Avant de traiter de la disposition générale d’un discours régulier
videmment des avantages qui lui sont particuliers. Les sujets qu’on y traite ont une dignité et une importance qu’on ne peut p
ne peut appeler éloquent l’homme qui, devant une assemblée nombreuse, traite un sujet qui n’est à la portée que d’un petit nom
n’est reconnu pour être un prédicateur utile. Lorsque, plus tard, je traiterai de la distribution du discours en général, je fer
dicateurs, parce qu’ils leur semblent plus fertiles et plus faciles à traiter . Il ne faut pas, sans doute, négliger ces grandes
s un ou deux discours seulement. Car c’est une erreur de croire qu’on traite un sujet d’autant plus à fond qu’on s’y arrête pl
uer comme inséparable de l’éloquence de la chaire, celui de n’avoir à traiter que des qualités abstraites. Ces exemples, en fai
iments d’un prédicateur, la grandeur et l’importance des sujets qu’il traite , justifient et quelquefois exigent que ses expres
ients qui peuvent résulter d’une trop grande exactitude. Plus tard je traiterai séparément de la prononciation ou du débit. Je me
ouvrir la pauvreté du génie de l’écrivain. Lorsqu’un prédicateur veut traiter un sujet, il ne faut pas qu’il commence par consu
s, les disposer à la fois en faveur de l’orateur et du sujet qu’il va traiter . » Pour y parvenir, l’orateur, au barreau, doit t
favorable de la clarté et de la précision avec lesquelles on doit le traiter  ; ou en annonçant que l’on se propose de ne donne
ont d’autant plus importantes, que cette partie du discours doit être traitée avec le plus grand soin. Il faut s’appliquer à bi
timent que lui inspirent la justice et l’importance du sujet qu’il va traiter . Ne point trop promettre est une conséquence de l
exemple, lorsque le discours doit être très bref, lorsqu’on n’y doit traiter qu’un seul point, ou que l’orateur ne veut pas fa
ême qu’il faut l’attribuer, mais à la nature des sujets que l’orateur traite sous ces différents titres. Si, au contraire, la
tre. Ce serait, par exemple, une division ridicule, que celle où l’on traiterait , dans un premier point, des avantages de la vertu
et l’autre à faire mieux connaître la cause ou le sujet que l’on veut traiter , avant de développer les arguments qui viennent à
partie didactique d’un sermon ; et c’est de la manière dont elle est traitée que dépend presque entièrement le succès de ce qu
oderne, on trouve souvent des prosopopées et des apostrophes toujours traitées d’une manière supérieure. Ainsi, par exemple, dan
e seule vue ; il y entre des sujets qui sont sublimes ; mais qui peut traiter le sublime ? Le prédicateur n’est point soutenu c
reconnaissance pour de si grands bienfaits ? avec quelle dédain nous traitons l’Évangile de Jésus-Christ, à qui nous devons les
20 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
faire comprendre, je vais citer mon propre exemple. Quand j’ai voulu traiter le sujet qui fait l’objet de cet ouvrage, j’ai dû
chisse son esprit des connaissances nécessaires à la matière que l’on traite , qu’on lise avec attention les auteurs qui ont éc
instruits ; 3° les tiers : s’il s’agit d’un homme respectable, on le traite avec égard ; ou répand de l’intérêt sur la positi
rsque les préventions seront tombées ; 2° lorsque la matière que l’on traite peut faire une impression désagréable, il faut év
21 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
si que les Gorgias, les Prodicus, les Hippias se vantaient de pouvoir traiter , comme les ergoteurs du moyen âge, de omni re sci
crire appliqués à tous les sujets. Le style, quelque matière que l’on traite d’ailleurs, lettres, récits, dialogues, descripti
e, et en quelles occasions il doit être soumis. » Le maître peut donc traiter de la nature du goût, mais ne lui en demandez pas
22 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
peine crus sur la foi des auteurs ; Si quelque esprit malin les veut traiter de fables, On dira quelque jour pour les rendre c
ésente toujours un objet qui s’est trouvé dans le fond du sujet qu’on traite . Elle est née, pour ainsi dire du sujet même, par
le à tout homme d’un sens droit, et naissent sans effort du sujet que traite l’écrivain. Elles sont simples, communes et souve
e le fond en est presque toujours le même dans tous les écrivains qui traitent le même sujet. La seule manière de les rendre, me
. Article I. Des Qualités du Style. Quelque sujet que l’on traite , et quelle que soit la forme de style que l’on em
L’assortiment du style aux idées qu’on exprime, et au sujet qu’on traite , est ce qui en fait la convenance. Pour que le st
: ceux-là sont faits pour les genres médiocres. Tous les sujets qu’on traite , appartiennent ou à la mémoire, ou à la raison, o
23 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
si qu’une pensée est juste quand elle est bien liée au sujet que l’on traite , et qu’elle n’offre rien de discordant, de dispar
gle générale, dit Rollin, qu’il faut penser selon la matière que l’on traite  ; et rien n’est moins raisonnable que d’avoir des
e grands effets, comme dans ce dialogue : Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre fils !
andre demande à Porus, vaincu et prisonnier, comment il veut qu’on le traite  : En roi ! répond le monarque indien. Médée, da
ments, comme les pensées, doivent toujours convenir au sujet que l’on traite et au but que l’on se propose. Des sentiments éle
ait y donner trop d’attention. En effet, quel que soit le sujet qu’on traite , si les phrases sont incorrectes, lourdes, faible
nie de la phrase ; nous nous occuperons de cette qualité lorsque nous traiterons de l’harmonie en général. 110. Quelle est la règl
24 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
soi-même vivement touché. Il faut bien se pénétrer du sujet que l’on traite , se revêtir des passions de ceux pour qui nous pa
, à leurs dispositions particulières relativement à la cause que l’on traite  ; on s’attachera surtout à saisir adroitement leu
fournies par l’invention, selon la nature et l’intérêt du sujet qu’on traite . La fécondité de l’esprit brille dans l’invention
du discours, et n’est ni la moins importante ni la moins difficile à traiter  ; c’est ici, principalement, que le style doit êt
arle à la face des autels, dans le sanctuaire de la Divinité, pour ne traiter que des sujets qui regardent le bonheur ou le mal
tionné à la nature de la cause : les petites affaires ne peuvent être traitées que d’un style simple, les grandes d’un style éle
autrefois. Dans tous les cas, la connaissance approfondie du sujet à traiter est la première condition d’un bon discours. Hors
à faire proposer le sujet qu’il était plus que personne en mesure de traiter . Cette fraude avouée, mais excusée par d’Alembert
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
el elles se sont liées dans notre entendement. Quelque sujet que l’on traite , deux qualités constituent essentiellement l’exce
s à l’écrivain, quelque genre qu’il ait adopté et quelque sujet qu’il traite  : il en est cependant une foule d’autres qui dépe
ore faut-il qu’il soit racheté par la solidité de la matière que l’on traite , et par la plus grande clarté dans l’expression.
26 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
e étrangère, qui, voulant corriger la méchanceté de leur naturel, les traitait sévèrement ; mais ils conjurèrent contre lui, le
emis, nous vous regarderons comme un peuple injuste, et que nous vous traiterons comme des bêtes farouches. » Ces paroles furent r
voyons comment il les conserva. Il résista à ceux qui voulaient qu’il traitât les Grecs comme maîtres et les Perses comme escla
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
les surpasser en les imitant. Car qu’y a-t-il de plus injuste que de traiter nos anciens avec plus de retenue qu’ils n’ont fai
s’ils n’avaient plus laissé de vérités à connaître2. N’est-ce pas là traiter indignement la raison de l’homme, et la mettre en
emble : … matières théologiques. P. F. 2. Il veut dire : nous devons traiter leurs idées avec les mêmes dispositions d’esprit.
ature se moquent des règles de convention. Lire le chapitre où Pascal traite de la différence entre l’esprit géométrique et l’
28 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
leur terrain commun, la vérité et la raison. Oui, quelque sujet qu’on traite , fût-ce le dithyrambe ou la lettre familière, les
tivement. Une fois le plan bien arrêté, il n’y a pas d’inconvénient à traiter tantôt une partie, tantôt l’autre, selon la fanta
tion entre la situation du commun des hommes32 et celle des grands33, traitée des deux côtés par l’énumération des parties. Mai
n héros. Au reste, si l’on veut voir l’idée de l’inspiration poétique traitée par un écrivain aussi irréprochable dans la pensé
29 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
ets sans l’ombre d’un prétexte. Elle est aujourd’hui intacte, et peut traiter avec moi d’une manière conforme à son rang ; elle
te, et peut traiter avec moi d’une manière conforme à son rang ; elle traitera avant un mois dans une situation différente. Elle
braves, et on les amène ainsi à le devenir. En toutes choses, il faut traiter les hommes de la sorte, et leur supposer les vert
les plaines de la Champagne que ce général a pu acquérir le droit de traiter le drapeau français avec un tel mépris. » — Répon
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
i ont successivement dominé dans les siècles et les pays divers. Vous traiterez mal du poëme épique, si vos observations n’embras
leçon ou un argument, les éléments de la science qu’il se propose de traiter , l’ensemble de vérités qu’il prétend établir ; qu
urs espèces de description à deux, celle des choses, qui vient d’être traitée , et celle des personnes, que j’appelle simplement
31 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
aduire plutôt par ton. A chaque ligne, en effet, perce l’intention de traiter réellement du ton plutôt que du style, et même du
générales, on ne peut garder un ton simple et vulgaire. Que Voltaire traite un sujet sérieux sur le ton de la plaisanterie, c
expression est nécessaire quelque part, c’est assurément lorsque l’on traite de l’art d’écrire. Ensuite, la distinction que je
32 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
r du grave au doux, du plaisant au sévère. En général les livres qui traitent d’intérêts sérieux, qui ont pour objet l’humanité
e langage badin dans les plus graves questions, croient de bon ton de traiter toutes choses d’une façon leste et dégagée, ou sè
depuis Longin jusqu’à nous ; mais nul que je sache ne s’est avisé de traiter de l’art du sublime ; entreprendre un tel sujet s
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
ait, la tête en bas, rimer dans la rivière. »     Voilà comme on vous traite  : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un
ôt, féconds en impostures, Amasser contre vous des volumes d’injures, Traiter , en vos écrits, chaque vers d’attentat, Et d’un m
eau, sujet que le président F. de Lamoignon l’avait, dit-on, défie de traiter . De là ce poëme héroï-comique, modèle dans son ge
34 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
stote, Hermogène, Cicéron, Quintilien ; qu’il entend la matière qu’il traite  ; que les grands maîtres sont bien expliqués, et
rivains de notre nation l’ont employée avec le plus grand succès pour traiter toutes sortes de matières42. Platon, né à Athènes
s l’an 429 avant J.-C, a composé tous ses ouvrages en dialogues. Il y traite de la logique, de la physique, de la politique et
35 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
e de polémique supérieure. Les quatre livres que renferme cet ouvrage traitent  : 1° de Dieu, 2° de Jésus médiateur, 3° des effet
ise. C’est la première fois, depuis Commines, que la langue française traite de grands intérêts, avec l’éloquence d’une passio
36 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
entreprend. En littérature, il consiste à donner aux sujets que l’on traite et aux idées qu’on exprime une forme que l’art ap
ond aux propositions que lui fait Athalie. Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre fils ? A
grand mérite d’une pensée est d’être proportionnée au sujet que l’on traite , la seule règle qu’on puisse prescrire pour l’emp
d’admiration. Alexandre demandait à Porus comment il voulait qu’on le traitât  : « En roi, » répond Porus. On conseillait à Lo
elles à toute composition et conviennent à tous les sujets qu’on peut traiter  ; les qualités particulières sont celles qui vari
e est une qualité par laquelle on assortit le style au genre que l’on traite , aux pensées qu’on exprime, et à toutes les circo
des bons écrivains consiste à changer de style selon le sujet qu’ils traitent . À chaque page, à chaque phrase même, ils savent
s dit, qui sont accidentelles et dépendent du genre de sujet que l’on traite . Or, les sujets que l’on traite, quoique variés à
dépendent du genre de sujet que l’on traite. Or, les sujets que l’on traite , quoique variés à l’infini, ont été réduits à tro
ait reprocher à Boileau son goût pour la satire et la manière dont il traitait Chapelain. Il prévient cette objection, et, sous
ie, et convient à toute espèce de composition. Quelque sujet que l’on traite , il faut, en effet, que par le choix des expressi
armonie imitative, qui donne à la phrase la couleur du sujet que l’on traite , est un des caractères distinctifs du vrai génie
ne véritable inspiration. Lors donc, ajoute ce grand maître, que nous traiterons un sujet qui demande un esprit élevé, pénétrons-n
éditation sérieuse et approfondie est absolument nécessaire pour bien traiter un sujet. Plus on l’a étudié, plus l’imagination
point soupçonnées ; au lieu d’effleurer seulement votre matière, vous traiterez à fond votre sujet, vous aurez une touche ferme,
convient à la narration se modifie suivant la diversité des sujets à traiter  ; mais le principe de Boileau est toujours vrai :
s le judicieux emploi des ornements que peut comporter le sujet qu’on traite . Parmi ces ornements, on compte le style, les épi
pelle digressions des sorties que le poète fait à côté du sujet qu’il traite , soit pour l’embellir, soit pour le féconder. Ain
aration. 470. Dans la proposition, le poète annonce le sujet qu’il va traiter et laisse entrevoir l’intérêt et le merveilleux q
endre jusqu’au genre trivial et grossier. 524. D’après les sujets que traite le poète, on distingue la comédie d’intrigue, la
oix). Ce mélange indique que chez eux l’églogue et l’idylle pouvaient traiter toutes sortes de sujets. Chez les modernes l’églo
des lettres, il consiste dans l’aptitude à donner aux sujets que l’on traite , et aux idées qu’on exprime, une forme que l’art
je ne t’aime pas moins que si tu ne m’avais jamais quitté. Tu dois me traiter de même, ma chère petite, afin que iu sois tout a
t l’éducation des troupeaux. Il se divise en deux parties, dont l’une traite des grands troupeaux et l’autre des petits. Dans
37 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
-même, dans son épopée de la Henriade. Écrivain presque universel, il traite tous les genres et il excelle en presque tous : i
urs se réfère à trois objets, à la personne qui parle, au sujet qu’on traite et à l’auditeur auquel on s’adresse9 » ; « que te
ps perfectionna. Division de la rhétorique. Quelque sujet qu’il traite l’écrivain a une triple tâche à remplir : la prem
fournies par l’invention, selon la nature et l’intérêt du sujet qu’on traite . Cet ordre forme ce qu’on appelle le plan et l’en
ment. Au barreau, l’on se borne, excepté dans les grandes affaires, à traiter avec précision les faits, à établir solidement se
chacun de ces points se présente sous divers aspects et veuille être traitée séparément, il y aura alors une deuxième, une tro
pas toujours celui qui agit fortement sur les esprits. Manière de traiter les preuves et amplification. L’orateur, dans
confirmation, non moins que telle autre partie du discours, veut être traitée avec un art infini, vu qu’il est plus difficile d
ole ; en terme didactique, elle est cette partie de la rhétorique qui traite de la diction ou du langage. « Les ouvrages bien
à peine crus sur la foi des auteurs, Si quelque esprit malin les veut traiter de fables, On dira quelque jour pour les rendre c
qu’on a dit que chaque écrivain avait son style. Quelque sujet qu’on traite , quelque style qu’on emploie, il ne faut jamais p
ux. » Assortiment ou convenance du style Tous les sujets qu’on traite appartiennent à la mémoire, ou à la raison, ou, a
est l’assortiment du style aux idées qu’on exprime et au sujet qu’on traite . « L’expérience, dit Cicéron, démontre que les ch
réquents, plus ou moins gradués ou serrés, selon la nature du sujet à traiter . Elle se trouve encore dans les chutes qui sont r
d’autres qualités qui sont en rapport avec la nature des sujets qu’on traite , des objets qu’on veut peindre. Le sujet est-il s
grandes révolutions des empires ; le philosophe et le poète ont-ils à traiter les deux plus grands objets qui leur soient offer
jusque dans les moindres détails, ressortir l’ensemble du sujet qu’on traite . La suite est d’une grâce, d’une naïve douceur qu
38 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
res. Il est probable que nous possédons le livre Ier et que le second traitait de la comédie, du dithyrambe, des nomes, des chan
e ou juste, Aristote répète qu’il n’appartient pas à la rhétorique de traiter ces idées à fond, conformément à la vérité et à l
plus de délibération publique, du moins sur les grands sujets. Il ne traite donc du genre délibératif que pour remplir le cad
t le nombre, quelle est la nature des parties qui la composent : nous traiterons pareillement des autres questions qui se rattache
qualification de poètes, non pas d’après le genre d’imitation qu’ils traitent , mais, indistinctement, en raison du mètre (qu’il
à la juger en elle-même ou par rapport à la scène, c’est une question traitée ailleurs14. XII. Ainsi donc, improvisatrice à sa
s événements fortuits, ont trouvé dans les fables ce genre de sujet à traiter  : ils sont donc mis dans la nécessité de s’adress
tragédie et sur l’imitation en action. Quant à la poésie narrative et traitée en hexamètres, il faut évidemment constituer des
les acteurs ; tandis que dans l’épopée, comme c’est un récit, on peut traiter en même temps plusieurs événements au moment où i
n épique on tire plusieurs tragédies ; c’est au point que, si l’on ne traite qu’une seule fable (dans l’épopée), ou bien elle
ui commence la dernière phrase indique clairement que l’auteur allait traiter un nouveau point de l’art poétique. Il est probab
de l’art. III. Aujourd’hui, ceux qui écrivent sur la rhétorique n’en traitent qu’une mince partie181. Les preuves ont seules un
pu prévoir cette question. IX. S’il en est ainsi, c’est, on le voit, traiter un sujet étranger à la cause que de déterminer d’
contrats, ils ne disent rien du premier genre et s’appliquent tous à traiter de l’art de plaider. Cela tient à ce que, dans le
aître la vérité. Ainsi donc, on vient de voir que les autres rhéteurs traitent de la matière sans avoir égard à la cause et tend
e haine. C’est le seul point, nous l’avons dit186, que s’efforcent de traiter ceux qui écrivent aujourd’hui sur la rhétorique.
l’on aura choisies et plus, sans que les autres s’en aperçoivent, on traitera d’une science autre que la dialectique et la rhét
s propre aux louanges, nous aurons à développer ce sujet lorsque nous traiterons de la louange215. Voilà donc, évidemment, ce que
différent ; de même s’il semble être malheureux ou heureux. Mais nous traiterons cette question plus tard254, et, pour le moment,
ant aux questions relatives à l’irascibilité, elles seront clairement traitées lorsque nous parlerons des passions255. XVIII. On
mptent pareillement au nombre des choses agréables. XIX. Il faut donc traiter des choses utiles et des choses agréables, en con
ntraire. XXI. Pour en établir la créance on la non-créance, on ne les traite pas autrement que les témoignages. En effet, quel
veillance ; car on peut s’écarter de la vérité dans le sujet que l’on traite , ou par ces trois points, ou par quelqu’un d’entr
e nous avons décrit en détail les propositions relatives aux matières traitées précédemment, nous allons en faire autant pour ce
e calme, et que la colère est le contraire du calme d’esprit, il faut traiter les points suivants : quels sont les gens calmes 
nt et de supériorité, c’est parler pour ne rien dire ; car, lorsqu’on traite une question, les faits particuliers ont plus de
sur la manière d’en faire la solution491. Il nous reste maintenant à traiter de l’élocution et de la disposition. Livre II
apitre premier De l’élocution. I. Comme il y a trois questions à traiter en ce qui concerne le discours : premièrement, d’
troisièmement, question de la plus haute portée, mais qui n’a pas été traitée encore, ce qui se rapporte à l’action oratoire493
me résultat que l’hypocritique497. VII. Quelques-uns ont entrepris de traiter en peu de mots cette dernière question (au point
res, l’inconvenance n’en sera que plus sensible. Toutefois, même pour traiter de tels sujets, la convenance se prêtera tantôt a
nt plaisir. C’est pourquoi il faut inspirer l’idée que le discours va traiter de ces sortes de questions. Maintenant, si l’on v
qui les motive. Mais les discours socratiques en ont, attendu qu’ils traitent de questions qui portent ce caractère. IX. Certai
nstantin Sathas. (Annuaire de l’Association grecque, année 1882.) 2. Traiter les sujets poétiques. 3. Nous suivons la divisio
aton (Sophiste, p. 227 ; République, p. 378), où le maître d’Aristote traite , à un autre point de vue, de la « purgation des p
39 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
De la Morale en général. La Morale en général est la science qui traite des mœurs, c’est-à-dire, des actions de l’homme,
délicates ; et il a l’art de les exprimer finement. La matière qu’il traite est sublime ; et l’expression l’est toujours. En
r le P. Salazar, jésuite. Les quatre fins dernières de l’homme y sont traitées avec cette raison saine et religieuse, qui porte
40 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
cas, c’est une nécessité qu’il faut subir ; il ne reste plus qu’à le traiter dignement. Dans le second, vous êtes libre, et al
alent, mais vous n’êtes pas à la hauteur de la question que vous avez traitée . Un sujet moins élevé eût été plus à votre portée
41 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
d’après les circonstances individuelles. Ne l’oublions pas, en effet, traiter des passions, ce n’est pas seulement, comme dans
ion. » Relisez aussi le chapitre II du VIe livre de Quintilien, où il traite des passions ; vous verrez, quoi qu’il semble, qu
42 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
distribuant, néanmoins, d’une manière proportionnée au sujet qu’elle traite , et. au lieu où elle se montre ; soit que, dans n
mposé pour des occasions publiques et brillantes. Quelque matière que traite l’orateur, il faut d’abord qu’il trouve les chose
solides, les plus nobles, et les plus convenables à la matière qu’on traite  ; qui découvre et saisit dans les objets ce vrai
ous les lieux, et n’y prendre que ce qui peut convenir au genre qu’on traite , et aux mœurs du siècle pour lequel on écrit. Il
on41, dépend de la forme qu’on lui donne, et de la manière dont on le traite  : car quant aux choses, aux matières des preuves,
ui, disposées avec ordre, indiquent la marche qu’il va suivre pour le traiter  : c’est ce qu’on appelle division. Ces différente
du discours, et n’est ni la moins importante, ni la moins difficile à traiter . C’est ici principalement que le style doit être
43 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
urs façons, suivant l’objet qu’on se propose. Eu égard au sujet qu’on traite , elle est civile s’il s’agit des hommes réunis en
Live, ne refit pas la partie de l’histoire romaine que celui-ci avait traitée  : il commença la sienne à partir du régime impéri
sérieuse et une connaissance réelle des matières que ces auteurs ont traitées  ; qu’il lise leurs écrits sans la moindre prévent
vait pour titre : l’Île de la raison ou les Petits hommes, et qui fut traitée par le parterre avec la rigueur la plus inexorabl
44 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
les républiques anciennes, où les questions civiles et politiques se traitaient devant le peuple assemblé, les discours du genre
cuser ou défendre. Division de la rhétorique. Quelque sujet que traite l’orateur, il a nécessairement trois fonctions à
ite les parties dans un ordre naturel et judicieux ; savoir enfin les traiter dans un style adapté au caractère du discours ; e
et, ex visceribus rei, sont uniquement applicables à la matière qu’on traite . Nous n’avons parlé des lieux communs que pour ne
ont une plus libre carrière. Alors, comme toutes les preuves ont été traitées , et que la disposition où l’orateur va laisser le
est ; et la nature du sujet décide souverainement de la manière de le traiter . Si donc le fait que vous exposez dans la narrati
s orateurs ont également fait usage du pathétique lorsqu’ils ont eu à traiter de grands intérêts. Un éloquent écrivain réfute a
fournies par l’Invention, selon la nature et l’intérêt du sujet qu’on traite . La fécondité de l’esprit brille dans l’invention
up d’œil, paraissait devoir indisposer contre elles. Bossuet, ayant à traiter , dans l’oraison funèbre du grand Condé, l’article
tilement des idées vagues, communes, étrangères à la matière qu’il va traiter . Id quod primum est dicendum, postremum soleo co
avec autant de soin que les mots parasites. On ne doit pas néanmoins traiter de superflus des ornements placés à propos : « La
des réflexions et des sentiments qui conviennent à la chose. Ainsi se traitent les oraisons funèbres, les panégyriques. Il n’est
e trouver des arguments que de les choisir, de les arranger et de les traiter . 1º. Choix des preuves. Parmi les preuves qui se
i arrête celui que l’on veut assujettir à la vérité85. 5º. Manière de traiter les preuves. Insistez sur les preuves fortes et c
plus difficile de guérir une blessure que de la faire ; et, pour bien traiter cette partie, on a besoin d’une logique exercée.
estreint, l’élocution se prend pour cette partie de la Rhétorique qui traite du style. Elle est à l’éloquence ce que le colori
ieu d’un combat. Fléchier, dans l’oraison funèbre de Turenne, ayant à traiter le sujet le plus touchant et le plus élevé, emplo
es qualités particulières changent suivant la nature des sujets qu’on traite ou des objets qu’on doit peindre. L’élocution ser
alement celui des discussions ordinaires. Quand on disserte, quand on traite des sujets qui ne sont susceptibles ni d’élévatio
d’ambitieux. Elle se modère, elle se proportionne aux sujets qu’elle traite et aux gens qu’elle instruit ; elle n’est grande
enre d’exécution que doit employer un artiste dépend de l’objet qu’il traite  ; comme le genre du Poussin n’est pas celui de Té
reprocher à Despréaux son goût pour la satire, et la manière dont il traitait Chapelain. Il prévient cette objection, et y répo
rte, s’il doit être véhément ; douce, s’il est calme ; soutenue, s’il traite un sujet grave ; touchante, s’il veut attendrir.
, des grandes compositions des anciens et des modernes aux sujets que traitent les jeunes rhéteurs de nos écoles. Les maîtres on
it à Rome des rhéteurs latins qui voulurent apprendre à la jeunesse à traiter des sujets factices, les magistrats, protecteurs
s écoles sont bien préférables aux sujets bizarres et imaginaires que traitaient ordinairement les anciens, et qui ont été blâmés
45 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
éressante question, nous indiquerons les principaux auteurs qui l’ont traitée . Ce sont : Platon, dans les dialogues intitulés P
isposition heureuse aux idées que l’on exprime et aux sujets que l’on traite . Si le génie est une illumination soudaine qui br
46 (1881) Rhétorique et genres littéraires
14.) 3° Épichérème L’épichérème (ἐπιχειρημα, de ἐπιχειρέω, je traite un sujet) est un syllogisme développé, dans leque
ù le nom de Topiques donné aux livres d’Aristote et de Cicéron qui en traitent ). Les lieux communs ne sont devenus des banalités
sentiments, du langage, de l’action de l’orateur avec le sujet qu’il traite et les circonstances où il se trouve. Les bienséa
nulle distinction Entre l’hypocrisie et la dévotion ? Vous les voulez traiter d’un semblable langage, Et rendre le même honneur
on plus restreinte, l’élocution est cette partie de la rhétorique qui traite du style. Le mot style a donc ici le même sens, a
es qualités particulières changent suivant la nature des sujets qu’on traite . Aussi, les anciens rhéteurs distinguaient-ils tr
nt la déduction de ses idées, par exemple, les discours et écrits qui traitent d’affaires, de points d’histoire et de science, e
es méditations poétiques, vii), etc. 3° Ode morale L’ode morale traite dans un langage élevé des grandes vérités morales
et absolue serait impossible ; car non-seulement la poésie didactique traite tous les sujets, mais elle comporte une grande va
e personnes absentes, qu’on appelle lettres (genre épistolaire). Pour traiter tant de sujets si différents, la prose a besoin d
érieurs au christianisme. 2° Histoire ecclésiastique, ou histoire qui traite de l’établissement de l’Église et de son développ
me siècle prend un grand nombre de formes, suivant les sujets qu’elle traite et le genre d’esprit de l’écrivain (Tableaux litt
nuel du libraire. La bibliographie spéciale s’occupe des ouvrages qui traitent d’une seule branche de la science. Ex. Quérard, L
ice et le style de l’écrivain. Par la grande variété des sujets qu’il traite et des formes qu’il revêt, ce genre échappe à des
uteurs que nous citons plus loin (p. 146). Les lettres philosophiques traitent particulièrement des points de morale, de politiq
47 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
tre, par la chute de Pertharite, à y rentrer sous ses auspices pour y traiter le sujet d’Œdipe. (17 novembre 1883). • Lettre de
personnages. Développement [N. B. — Nous avons jugé préférable de traiter ce sujet sous forme de lettre, afin d’éviter la s
définition de M. Nisard : « Des écrivains, prosateurs ou poètes, qui traitent des mœurs, non parmi d’autres choses, mais à part
ds, des plus enjoués auteurs qu’on puisse remarquer dans le genre. Il traite toutes les questions littéraires ou philosophique
on génie, comme celui de Nicomède, il ne se fait aucun scrupule de le traiter , et de s’y faire l’écho des haines que soulevait,
te, des idées qui avaient cours de son temps sur les Romains ; il les traite en opinions reçues qu’on exploite sans contrôle e
; il n’en fut rien ; le merveilleux changea, voilà tout ; la question traitée par Boileau dans son Art poétique, à savoir si le
’entretien où Auguste, après avoir confondu Cinna, lui pardonne et le traite généreusement ; Dans Polyeucte, il faut noter les
voir parlé des qualités essentielles du style, ordre et le mouvement, traite ensuite des qualités accessoires : 1º la noblesse
ere est et principium et fons . Il faut méditer son sujet avant de le traiter . Sans doute, on peut exécuter, en se laissant all
ordre et la disposition sont les deux premiers obstacles ; on ne peut traiter au courant de la plume un sujet de ce genre sans
ux passages. Sous quelle influence s’est-on retiré ? On choisira pour traiter ce sujet celle que l’on voudra des Oraisons funèb
d’ingénieux et sûrs moyens de lui rendre sa richesse. Le chapitre qui traite de la rhétorique est écrit de main de maître ; co
ez les conditions de la vraie éloquence ! Vous abordez la poésie pour traiter une grave et délicate question, celle de la rime 
osition française du baccalauréat, conseils et plans synoptiques pour traiter les principaux sujets proposés par les Facultés e
48 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
légance et la force d’un style toujours au niveau de la matière qu’il traite . Après un court exposé du sujet, l’orateur l’abor
génies rapides qui s’élancent tout d’un coup aux premières causes, de traiter les sciences, les arts et la morale, d’une manièr
49 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
ent, état, société. Le développement de celle-ci aidera puissamment à traiter celle-là. Puis viendront les diverses espèces de
genre de travail les jeunes gens qui commencent, de les accoutumer à traiter tel sujet par les circonstances, tel autre par le
50 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
ic : de la lettre, elles n’ont que le nom. Sous forme épistolaire, on traite de morale, de philosophie, de littérature, de poi
onvenances établies par les usages de la société. Il ne convient d’en traiter que dans un ouvrage didactique spécial15. L’inve
51 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
rs en indiquant les meilleurs auteurs à consulter sur chaque question traitée dans notre Cours élémentaire. Pour expliquer et c
parties que l’orateur a d’opérations à faire. Or, quelque sujet qu’il traite , l’orateur a nécessairement trois opérations à fa
nte l’invention des preuves, c’est de bien choisir son sujet. Vouloir traiter un sujet au-dessus de ses forces, c’est marcher d
l’usage du prophétique, Examinez donc avant tout si le sujet que vous traitez se prête aux mouvements oratoires, et jusqu’à que
bonne idée de ses lumières et montrera l’importance du sujet qu’il va traiter . Il s’appliquera surtout à le présenter sous un j
e simple consiste à indiquer brièvement et sans art le sujet qu’on va traiter . On emploie cet exorde dans les occasions de peu
ccasions solennelles où un nombreux auditoire est réuni pour entendre traiter un sujet brillant. On l’emploie dans les discours
rtes et solides, il ne faut pas les confondre dans la foule, mais les traiter séparément et avec le plus grand soin. Développer
rêterons peu sur cette partie, parce qu’il est aujourd’hui d’usage de traiter du style avant d’initier les jeunes gens à l’étud
56. La convenance consiste à changer le style selon le sujet que l’on traite , la position de celui qui parle et de ceux qui éc
84. Le ton du discours peut varier à l’infini selon le sujet que l’on traite et la pensée qu’on exprime, et il doit se former
utre, et par la mission dont il est revêtu, et par les matières qu’il traite , et par les moyens qu’il emploie, et par la fin q
arole humaine, c’est la Parole de Dieu. 303. Par les matières qu’elle traite , l’éloquence sacrée est également supérieure à l’
qu’il sache distinguer ce qui est de foi de ce qui ne l’est pas. Pour traiter un point de morale, il n’aura pas besoin de conna
. Parler sans avoir fait une étude sérieuse de la question qu’on veut traiter , c’est se condamner à des paroles confuses, vague
ultivons-la dans nous-mêmes comme il l’a cultivée dans les autres. 2º Traitons le prochain avec douceur. C’est par là que nous l
’exprimer avec grâce et énergie, même quand la nature du sujet qu’ils traiteront leur présentera l’occasion de déployer tous leurs
rritoire qu’il l’administre ; ce n’est pas au nom du Directoire qu’il traite , c’est au nom de Bonaparte. Ce n’est pas en génér
euves ? 195. Les preuves doivent-elles être propres au sujet que l’on traite  ? 196. Comment les preuves seront-elles proportio
résenter les preuves sous une forme didactique ? 207. Comment faut-il traiter les preuves peu fortes ? 208. Comment faut-il tra
Comment faut-il traiter les preuves peu fortes ? 208. Comment faut-il traiter les preuves fortes, et qu’appelle-t-on amplificat
sa mission ? 303. En quoi diffère-t-il de lui par les matières qu’il traite  ? 304. En quoi diffère-t-il des autres par les mo
52 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
 Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution Pour traiter un sujet quelconque, trois opérations sont nécess
jections. Tous les jours ils nous allèguent que le sujet qu’ils ont à traiter ne leur est pas familier, qu’ils n’ont rien vu de
Les Chevaux arabes Les juments, selon la noblesse de leur race, sont traitées avec : plus on moins d’honneurs, mais toujours av
puiser à ces différentes sources des idées favorables au sujet qu’il traite . Fénelon raconte la mort tragique du fils d’Idom
53 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
tous les arts et diminuer le travail des hommes ; que les écrits qui traitent des mœurs contiennent plusieurs enseignements et
relevé. Au contraire, je comparais les écrits des anciens païens qui traitent des mœurs à des palais fort superbes et fort magn
54 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
ous vos preuves, Athéniens ? Dans les circonstances du sujet que vous traitez . Et si elles ne vous en offrent point, ô simples
à laquelle se rattachent tous les fils de l’argumentation ? Ainsi je traite de la profusion, si l’accusé est prodigue ; de la
ts, plus soucieux de montrer leur esprit que de gagner leur cause, la traitent comme une amplification de rhétorique. Ils s’y ar
doit craindre de prolonger. Ensuite il faut voir si le sujet que l’on traite admet les grands mouvements, ou s’il y répugne. N
ste recueil de métaphores. Étudiez cette partie de la rhétorique qui traite de l’élocution : elle abonde en remarques fines e
55 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
Naples. Il se fit connoître, en 1630, à la cour de France, où il vint traiter de la part du duc de Savoie. Louis XIII obtint po
56 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
à dire sur le genre lyrique en deux articles : dans le premier, nous traiterons de la poésie lyrique en général ; dans le second,
n’est pas distingué des autres genres par la nature des sujets qu’il traite , puisque ces sujets sont très variés ; la seule d
que l’esprit du poète fait sur d’autres sujets voisins de celui qu’il traite , soit que la beauté de la matière l’ait tenté, so
président à la composition de l’épithalame. La meilleure manière de traiter le sujet d’un épithalame, est de le renfermer dan
57 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
aisonnement. — Du pathétique. — De la péroraison. Depuis que nous traitons des parties diverses qui entrent dans la composit
que passion, ils en donnèrent des définitions, des descriptions ; ils traitèrent de leurs causes, de leurs effets et des circonsta
que se propose ou doit toujours se proposer un orateur ; et celui qui traite les sujets sérieux et les matières les plus grave
t lieu qu’à la quatrième ou sixième syllabe. Nous allons actuellement traiter des tons dans le débit. Ils consistent dans ces m
assemblée politique, doit être versé dans le genre d’affaires qui se traitent ordinairement dans ces sortes d’assemblées ; il f
nnent à la profession à laquelle on se propose de se livrer, et qu’on traitera successivement les plus difficiles. Mais gardez-v
de la parole, afin de se former au débit oratoire, et de s’habituer à traiter de vive voix des affaires sérieuses. Les réunions
ns d’apporter l’attention la plus sévère au choix des sujets qu’ils y traitent . Que ces sujets soient toujours sérieux et utiles
, et les ouvrages d’invention. Je commencerai par l’histoire, et j’en traiterai avec une étendue proportionnée à son importance.
Lorsque nous demandons qu’un historien nous donne sur le sujet qu’il traite des vues profondes et instructives, nous ne voulo
l nous a retracés n’offrissent à l’historien que des sujets ingrats à traiter , cependant il en a su tirer des peintures intéres
ui réunissent plus de genres d’agrément. Il nous reste actuellement à traiter d’un autre genre de composition en prose qui comp
voulait persuader, émouvoir, instruire ou amuser, quelque sujet qu’il traitât , unissait la mélodie du chant à l’expression de s
des raisonnements un moyen de persuasion ; mais, selon le sujet qu’il traitait , il conserva toujours plus ou moins le ton passio
ions sur la nature de la versification anglaise. Je vais actuellement traiter des principaux genres de composition poétique, et
storales anciennes, qu’à la nature trop aride des sujets qu’on peut y traiter . Car pourquoi ce genre de poésie ne serait-il pas
qu’il doit essentiellement réunir. Ce ne sont pas les sujets qu’on y traite qui le distinguent des autres espèces de poèmes,
les plus célèbres parmi les anciens, Horace, Juvénal et Perse, l’ont traitée chacun d’une manière différente. Le style d’Horac
s’élèvent rarement au-dessus du ton poétique de la satire. L’on peut traiter un grand nombre d’autres sujets sous la forme d’u
ètes les plus dures, il jure solennellement que, puisque Agamemnon le traite de la sorte, il va se retirer avec son armée, et
édie ; nous y consacrerons cette Lecture et celle qui suit, puis nous traiterons particulièrement de la comédie. La tragédie, cons
partout devient grossière et insupportable. On sait comme cet auteur traita Socrate dans sa comédie des Nuées ; cette pièce p
ni la gaîté ni le ridicule ; mais le principal but de l’auteur qui le traite est de faire naître des situations touchantes, de
nes peuvent réunir ces deux caractères ; et toutes, lorsqu’elles sont traitées avec talent, peuvent offrir, suivant les différen
de celles du célèbre critique anglais, sur les principales questions traitées dans ces Leçons de Rhétorique et de Belles-Lettre
yle, de Sophocle et d’Euripide. En France, Jodelle fut le premier qui traita d’une manière assez régulière deux sujets tragiqu
l’auteur anglais que nous venons de traduire n’a pas jugé à propos de traiter , et qui cependant est d’une assez grande importan
e Blair s’est arrêté un instant, et que nos littérateurs n’ont jamais traitée à fond : « si la comédie doit être écrite en vers
succès, des comédies du même genre, en prose et en vers. Voltaire l’a traitée assez superficiellement ; néanmoins ce qu’il dit
58 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
isamment aigris, et disposés avec tout l’art possible à regarder et à traiter comme ennemi déclaré du bien public un infracteur
s, qu’il lui suffit de les rappeler. Cette partie de son discours est traitée avec la supériorité d’un grand talent qui défend
59 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
est composée, quand elle offre plusieurs points distincts qu’il faut traiter séparément ; en ce cas, il y a division, c’est-à-
e, sans recourir aux mots inutiles. D’un autre côté chaque preuve est traitée séparément, afin que l’esprit saisisse distinctem
60 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
cement du discours. On s’en sert pour annoncer la matière que l’on va traiter . Le but de l’exorde est aussi de rendre l’auditeu
on La Proposition est l’exposition du sujet que l’on se propose de traiter . Ainsi Bossuet, prononçant l’Oraison funèbre du p
61 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
u’admirer en lui le don d’animer par la passion tous les sujets qu’il traite . Il est orateur, même quand il se réduit à des qu
est pas moins, comme Tacite, un grand écrivain. Il est ridicule de le traiter légèrement comme on voudrait le faire aujourd’hui
62 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
us réunirons sous deux chefs ce qui concerne le genre pastoral : nous traiterons d’abord de la poésie pastorale en général, puis d
x. Ces dénominations, dont le vague indique que les anciens pouvaient traiter , dans leurs pastorales, toutes sortes de sujets,
63 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
, et que les lins soient géomètres, à cause que les géomètres veulent traiter géométriquement les choses fines et se rendent ri
icile, plus subtile, plus utile et plus admirable ; aussi, si je n’en traite pas, c’est parce que je n’en suis pas capable ; e
ces choses par vous-même. Trouveriez-vous bon qu’un médecin qui vous traiterait s’amusât, dans l’extrémité de votre maladie, à dé
s détachées, on est réduit à payer de phrases et d’antithèses ; on ne traite que des lieux communs ; on ne dit rien que de vag
ement nécessaire, et qu’il faut les connaître presque toutes, pour en traiter solidement une en particulier. C. Cependant la p
r la journée ; il ne songe à une matière que quand il est engagé à la traiter  : il se renferme dans « on cabinet, il feuillette
ez-moi : la vue d’une grande assemblée et l’importance du sujet qu’on traite , doivent sans doute animer beaucoup plus un homme
mme enfin qui médite fortement tous les principes du sujet qu’il doit traiter et dans toute leur étendue ; qui s’en lait un ord
vous laisse. A. Quoi ? B. Il me semble qu’il est bien difficile de traiter en style noble les détails ; et cependant il faut
hoses par leurs noms. Tout entre dans les sujets que l’éloquence doit traiter . La poésie même, qui est le genre le plus sublime
ni d’ambitieux ; elle se modère et se proportionne aux sujets quelle traite et aux gens qu’elle instruit ; elle n’est grande
es que vous connaissez : qui sophistice loquitur, odibilis est 60. Il traite aussi avec beaucoup de science l’arrangement des
sent assez que ces trois genres rentrent souvent l’un dans l’autre-Il traite ensuite des passions et des mœurs, que tout orate
preuves on doit employer dans ces trois genres d’éloquence. Enfin, il traite à fond de l’élocution, sans laquelle tout languit
re d’exécution que doit employer tout artiste dépend de l’objet qu’il traite  ; comme le genre du Poussin n’est point celui de
consisterait à savoir assortir toujours son style à la matière qu’on traite  ; mais qui peut être le maître de son habitude, e
e donna bien de garde d’imiter le style de Shakespeare. S’il avait su traiter les passions, si la chaleur de son âme eut répond
difficile et plus rare que le style convenable à la matière que l’on traite . N’affectez point des tours inusités et des mots
uère. Ses sujets ne comportent pas cette élévation dont ceux que vous traitez sont susceptibles. Vous avez senti votre talent,
l’écrivain, par le genre dans lequel il s’exerce, par le sujet qu’il traite , par les mœurs ou la situation du personnage qu’i
embellissent, la manière forte dont les passions y sont ordinairement traitées , et les traits hardis et sublimes dont elles sont
, et qu’elle ose peindre le vrai avec des traits fiers et hardis. Ils traitent de superficielle et de frivole cette splendeur d’
mmes et défendre la vérité. XLIII. La plupart des grandes affaires se traitent par écrit ; il ne suffît donc pas de savoir parle
ions, les repos, les sections, ne devraient être d’usage que quand on traite des sujets différents, ou lorsque, ayant à parler
ns de prix à la fidélité historique qu’à la manière dont leurs poètes traitaient les faits. X. L’œil a besoin de variété ; il ne s
c’est rajeunir. On enrichit les langues en les fouillant. Il faut les traiter comme les champs : pour les rendre fécondes, quan
e, ne sont pas assurément des sujets bas ; la comédie n’en peut guère traiter de plus relevés. Pourquoi 1’Avare encore serait-i
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
ui produit un Ouvrage sur une matière que tant d’autres Écrivains ont traitée , s’impose l’obligation de dire pourquoi il le fai
65 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
nition de la composition nous fournit les questions que nous aurons à traiter dans cet article, et qui sont l’invention, la dis
nt le plus d’importance et qui conviennent le mieux au sujet que l’on traite  ; de retrancher celles qui sont fausses ou trivia
ompositions littéraires qu’il y a d’objets divers que l’écrivain peut traiter . Nous donnerons dans les deux autres volumes les
asser un très vaste champ ; car, il n’y a aucun sujet qu’on ne puisse traiter sous forme de lettre. Sénèque, Pascal, Bossuet et
mitié à cultiver, des devoirs de bienséance à remplir, des affaires à traiter , ce qui exige des lettres d’amitié, des lettres d
s. 453. Comment peut-on diviser cet article ? Dans cet article, nous traiterons du ton général et du style de la lettre ; puis, n
66 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
s chances de succès. Il est inutile de dire qu’on ne deviendra apte à traiter toutes ces questions qu’à la condition expresse d
ncours ont souvent ensemble plus d’une ressemblance. Les sujets qu’on traite au baccalauréat ne diffèrent pas sensiblement de
it, pour n’en pas douter, de lire seulement les questions qui ont été traitées ici et là. Nous nous sommes efforcés de donner su
e importante soit attaquée et défendue. Il y a, en un mot, un sujet à traiter et il est à propos qu’on ne l’oublie pas. Est-il
ire, et surtout la satire littéraire, telle qu’elle a été comprise et traitée par Boileau. (Paris, avril 1891.) Quels sont les
x passages. Sous quelle impression s’est-on retiré ? On choisira pour traiter ce sujet celle qu’on voudra des oraisons funèbres
hambre des Communes pour proposer l’abolition de l’esclavage et de la traite des nègres dans les colonies anglaises (1788). (C
faux-brillants, elle devient grave, élevée, sublime. Elle se plaît à traiter les plus hautes questions de morale et de religio
que de se résigner à une entente humiliante et coupable avec lui, il traitera avec la régente et il se contentera des plus médi
éraires. Quand on a lu certaines pages exquises du Dictionnaire où il traite des sujets didactiques, on est de l’avis de Saint
guerre, cette autre grande iniquité ! Sans doute, les partisans de la traite des nègres sont innombrables, et comme ils senten
lauréat de l’enseignement moderne, et réciproquement. Telle narration traitée à l’École navale peut être dictée à un candidat a
s aux prises Corneille et Racine, en demandant à l’un et à l’autre de traiter le sujet de Bérénice : 1° Si Mme de Motteville a
Boileau, ce qu’il attaque dans ses satires. Relisons ses œuvres : il traite , tantôt des sujets purement littéraires, tantôt d
d’orgueil, dire que si l’on permet aux petits clercs ignorants de «  Traiter de Visigoths tous les vers de Corneille » ; à p
tes et exactes, le style est correct, certaines parties du sujet sont traitées avec justesse et avec intérêt. Ici encore, ce qui
conseils, donne le maître :   « Cette question, pour être pleinement traitée , devait être prise sous deux aspects, au point de
te effleurée et résolue à trop peu de frais, tantôt, et plus souvent, traitée sans beaucoup d’ordre et de précision, cependant
e ? Comment peuvent-elles les remplir ? » Cette partie du sujet a été traitée plus d’une fois d’une manière heureuse, avec une
signe expressément par ce mot, a sa manière propre et particulière de traiter des mœurs et de nous entretenir de nous-mêmes, qu
mps et le génie, a dit Villemain, n’a pas besoin de se dénaturer pour traiter tous les sujets, suffire à toutes les idées. » 1
ieusement observé et noté dans sa pensée trois ou quatre scènes qu’il traitera ensuite dans quelques-unes de ses plus belles fab
tres significatifs de recueils célèbres ; la poésie lyrique elle-même traitée , selon le mot de Montesquieu, « d’harmonieuse ext
s aspirantes que les questions de langue et de grammaire veulent être traitées avec une extrême sobriété de style, une sévère pr
sujet dans toute sa complexité, en distribuer les divers éléments, le traiter avec suite, justesse et proportion, faire avec le
doit s’appuyer surtout sur des faits et des exemples, a été la mieux traitée  ; celle qui concerne la syntaxe et qui exigeait,
le plus malaisément dans les matières comme celle que nous donnions à traiter , c’est la parfaite intelligence du sujet. Ou l’on
à détacher. 2° Composition de langue française. – Nous n’avons pas à traiter nous-même ici à fond le sujet de cette compositio
e pouvant rien concevoir en dehors de la perfection du xvii e siècle, traitent de médiocre tout ce qui a été fait au siècle suiv
Cette prééminence de la prose s’explique par la nature des sujets que traitent les écrivains, les œuvres de polémique ne se prêt
regardé comme l’un des plus difficiles ? (On pourra faire usage, pour traiter ce sujet, du texte ci-après.) II. – Expliquer, po
ent les principaux ouvrages choisis et préférés par vous. Vous pouvez traiter ce sujet sous forme de récit ou sous forme de let
uple et vivante : « Tout contraindre, tout plier sous le même niveau, traiter toutes les âmes, tous les esprits, tous les carac
ronologique, et en indiquant leurs œuvres les plus célèbres. Il faut traiter une des deux questions d’histoire ancienne, une d
ainsi dépouillée est au contraire honnie et repoussée en tous lieux. Traitée de folle, accablée d’outrages, surtout à cause de
de morale de la page 44 à la page 56. Nous engageons les candidats à traiter quelques-uns de ces sujets. École Polytechni
oncours de 1882. lettre d’un officier actuellement en tunisie. Il traitera principalement les points suivants : Misère actue
être embarassés par le sujet de composition française qu’ils auront à traiter . Le programme les a induits souvent en erreur. Il
Merveilles (Hachette), etc. Nous donnons un grand nombre de sujets à traiter . On les consultera avec fruit. Ils sont dans l’es
on qui se produit. – Le sujet commun qu’on a demandé aux candidats de traiter exige d’eux une certaine habitude d’écrire. Nous
accalauréat de l’enseignement moderne. Ils feront bien de s’exercer à traiter les sujets que nous leur proposons et que nous in
chez ses enfants auxquels il avait cédé tout son bien comment ils le traitaient . « Ils me traitent comme leur enfant », répondit-
quels il avait cédé tout son bien comment ils le traitaient. « Ils me traitent comme leur enfant », répondit-il. Appréciez cette
. – Que pensez-vous de ce jugement de La Fontaine sur les enfants qui traitent durement les bêtes : « Cet âge est sans pitié. »
la renaissance des lettres et au mouvement des idées dans le monde ? Traiter ce sujet en trois pages au plus. DEUXIÈME SESSION
67 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
te, dans Montesquieu, où, quoi qu’en dise Marmontel, le philosophe ne traite pas le prescripteur avec trop de respect, mais lu
elques autres rhéteurs, montrer au poëte une sévérité déplacée, et le traiter moins en poëte qu’en philosophe. Plusieurs critiq
68 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
ifier la pensée à l’élégance de l’expression ; mais s’il désespère de traiter élégamment une idée, qu’il suive l’avis d’Horace,
vec lui. L’enjouement, la dernière variété de style dont nous ayons à traiter , semble plus facile à acquérir. Sans doute l’enjo
69 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
mais encore en vers. J’ajoute qu’il peut l’être, quelque sujet qu’il traite , soit dans le genre noble, soit dans le familier.
tre en exposant les règles des divers genres de littérature. Avant de traiter cette seconde Partie de mon Ouvrage, je vais fair
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
ur les mots comme il n’est permis d’écrire que sur les mœurs. Il faut traiter les choses de l’esprit avec l’esprit, et non avec
riser les autres. « Il faudrait donc, dans la république des lettres, traiter les satiriques superficiels comme des séditieux q
71 (1854) Éléments de rhétorique française
a littérature et les sciences. Enfin, la dernière partie de l’ouvrage traite de la Rhétorique pratique, c’est-à-dire, de l’art
’une partie de leurs biens et de leurs droits civils. Les rois Francs traitèrent , surtout avec faveur le clergé chrétien ; et, vai
ant de parler ou d’écrire, il faut bien posséder le sujet que l’on va traiter , c’est-à-dire en avoir sondé toutes les parties,
se frappant la tête de ses mains, et déclarant qu’il ne pourra jamais traiter un tel sujet. « Ne serait-ce pas, dit Quintilien,
voyons comment il les conserva. Il résista à ceux qui voulaient qu’il traitât les Grecs comme maîtres et les Perses comme escla
ons, dans les ouvrages anciens ou modernes, analogues au sujet qu’ils traitent . Fléchier commence ainsi l’oraison funèbre de Tur
lons successivement déterminer. De l’exorde. Quelque sujet qu’on traite , on commence toujours par une espèce d’introducti
ir par les exemples que nous venons de citer, c’est le sujet que l’on traite , le lieu où l’on parle, l’auditoire auquel on s’a
ou au moins l’attention de ses auditeurs, il expose le sujet qu’il va traiter . Ainsi Massillon, prêchant devant la cour de Loui
» Ame indigne de confesser jamais les miséricordes d’un Dieu que vous traitez avec tant d’outrage ! et croyez-vous qu’alors il
biner de mille manières différentes, selon la nature du sujet qu’or : traite . Ainsi l’orateur et le philosophe, le poëte et l’
fin, il faut que la prononciation soit d’accord avec l’objet que l’on traite , avec le sentiment que l’on exprime. « Chaque pas
vide des idées. Les élèves eux-mêmes, quand on leur donne un sujet à traiter , prétendent souvent avoir peu de choses à dire, e
eurs qui se rapportent directement ou indirectement au sujet que l’on traite  ; on les repasse dans sa mémoire, ou bien on les
eunes gens de ces graves sujets, et en même temps pour les habituer à traiter tous les genres, on pourrait leur faire faire aus
es règles de l’art de bien dire. Les sujets de discours qu’on donne à traiter aux jeunes gens sont ordinairement tirés de l’his
neur qu’elle lui a fait en l’appelant dans son sein. Il se propose de traiter , dans son discours, des principales règles de l’a
’orateur ou à l’écrivain, c’est de bien méditer sur le sujet qu’il va traiter , et d’en coordonner les différentes parties. Le p
lesse, ou l’exagération pour l’énergie ; d’ailleurs, les sujets qu’il traite sont presque toujours fort simples, et son style
72 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre IV. Prédicateurs français. »
ré de l’esprit de l’évangile et de la substance des livres saints, il traite solidement un sujet, le dispose avec méthode, l’a
73 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
La Mesnardière (préface) avec quel mépris un pédant du xvii e siècle traitait le public des théâtres. D’Aubignac, plus poli que
74 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
particulières du style varient suivant la nature des sujets que l’on traite . On comprend eu effet que le style ne saurait êtr
vivre chez eux successivement les quatre saisons de l’année : Et vous traitent -ils bien ? lui demande quelqu’un, — Ils me traite
l’année : Et vous traitent-ils bien ? lui demande quelqu’un, — Ils me traitent , répondit le bonhomme, comme si j’étais leur enfa
s’élève presque jusqu’au sublime, suivant la dignité des sujets qu’il traite . Il convient dans les discours d’apparat principa
75 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre premier. »
â parùm prodesse civitatibus (Cic.) : parce que les matières qu’elle traite et les vérités qu’elle annonce ont besoin du char
76 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
me. (Nouvelles, XII.) 1. Deviser avait d’abord le sens de régler, traiter , échanger des propos (de divisare, répartir). 2.
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
point à un autre jour. Vous me trouverez sur les livres de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âme et de sa distinction
ngratitude. 1. L’abbé de Choisy, écrivain médiocre, que La Bruyère traite en collègue. La traduction pénible dont il s’agit
diseurs d’inutiles paroles Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l’honnête homme et le fat. (molière,
78 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
lles du lieu, du temps et des personnes, en un mot, au sujet que l’on traite . La convenance du style est donc l’accord exact e
: ceux-là sont faits pour les sujets médiocres. Tous les sujets qu’on traite appartiennent ou à la mémoire, ou à la raison, ou
r ainsi dire de pensées, cependant comme toutes les matières que l’on traite sont, ou dans un genre simple, ou dans un genre p
79 (1873) Principes de rhétorique française
l’écrivain doit tenir compte : 1° de sa situation ; 2° du sujet qu’il traite  ; 3° du lecteur auquel il s’adresse.. Les mêmes c
rs, récit historique, lettre même. En effet, quelque matière que l’on traite , il faut au moins occuper son lecteur, et il est
eterre, les paroles de David : Instruisez-vous, arbitres du monde. Il traite à la fois du beau et de l’utile ; il vent charmer
forment les trois parties de l’art de parler et d’écrire. Ces parties traitent  : 1° de l’invention ; 2° de la disposition ; 3° d
érale : qu’il h faut concevoir un sujet, en disposer les parties, les traiter dans le style qui leur convient ; obéir à cette r
s avoir toujours présentes à l’esprit deux choses : 1° le sujet qu’on traite  ; 2° le but qu’on se proposé. En ne perdant pas d
es lés lettres qui le composent ; de même à chaque sujet qu’il faudra traiter , nous ; n’avons pas besoin de passer en revue tou
ndront aussitôt se présenter à nous pour la question que nous avons à traiter comme les lettres pour le mot que nous voulons éc
derniers coups et de décider la victoire. Toutes les preuves ont été traitées et la disposition où l’écrivain va laisser ses ju
t et d’un ton en rapport avec la nature même du sujet qu’il s’agit de traiter . 2. De l’exorde par insinuation. — L’exorde par
ivision, c’est-à-dire une distinction précise des différents points à traiter successivement. Démosthène accusant Eschine d’avo
uves. — 4. Choix des preuves. — 5- ordre des preuves. — 6. Manière de traiter les preuves. — 7. Liaison des preuves. — 8. Règle
auditeur sente de plus en plus le poids de la vérité. 6. Manière de traiter les preuves. — Plus les arguments sont puissants
le distinction    Entre l’hypocrisie et la dévotion ? Vous voulez les traiter d’un semblable langage, Rendre le même honneur au
stinction Entre l’hypocrisie et la dévotion. puis : Vous voulez les traiter d’un semblable langage. et encore : Rendre le m
ous devons donc supposer que nos adversaires sont de bonne foi et les traiter avec la convenance et la dignité dont un honnête
rance du sujet, c’est-à-dire peut consister à déplacer la question, à traiter un point tout différent de celui qui est  proposé
tes diverses espèces de style, c’est-à-dire les manières diverses de traiter les sujets littéraires. 3° Une classification rai
n fait, une personne qui offrent quelque analogie avec le sujet qu’on traite . Elle comporte une comparaison qui se fait tacite
er ici ; il faut l’en plaindre. La correction donne donc un moyen de traiter sous une forme dramatique le lieu commun des cont
eut être Newton comme un homme éloquent ; car pour les matières qu’il traite , la simplicité la plus austère et la précision la
es aux trois genres de style. — En résumé, la différence des sujets à traiter réclame une différence notable de style et cette
d’ambitieux. Elle se modère, elle se proportionne aux sujets qu’elle traite et aux gens qu’elle instruit : elle n’est grande
rte, s’il doit être véhément ; douce, s’il est calme ; soutenue, s’il traite un sujet grave ; touchante, s’il veut attendrir.
s L. Plautius inaugura renseignement de la rhétorique en latin et lit traiter à ses élèves des sujets généraux et factices prop
vie de rire, qu’il se réveilla en sursaut, Une manière plus sévère de traiter un sujet moral consiste à développer les argument
80 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre V. Genre didactique et descriptif en vers. »
Le poème didactique est surtout exposé à un écueil, la froideur. Pour traiter avec charme un sujet sérieux, l’auteur doit reche
81 (1852) Précis de rhétorique
tifs, parce qu’on ne doit point regarder comme bon écrivain celui qui traite , même avec talent, de choses immorales et futiles
i qui veut employer le pathétique avec succès ? — 15. Comment faut-il traiter le pathétique ? (5e Leçon) — Chapitre II. Dis
ettres. 7. Il y a vingt-une espèces de lettres ; mais nous ne pouvons traiter ici que des dix principales, qui sont : les lettr
; mais son style doit varier suivant la nature de la matière que l’on traite  : tantôt il sera simple, naïf, léger et plaisant,
e s’occupe des destinées éternelles des hommes, l’éloquence politique traite des destinées temporelles des peuples. L’orateur
l’éloquence sacrée ? — 6. Que comprend-elle ? — 7. De quelles choses traite l’éloquence politique ? — 8. Quels sont les devoi
de poésie.] Si je voulais faire une poétique complète, j’aurais à traiter maintenant des nombreux genres de poésie. Mais te
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre V. Barreau français. — Le Normant et Cochin. »
solidité s’adaptent et se fondent heureusement dans les sujets qu’il traite . On croit y voir la probité s’exprimer par la bou
83 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
nnages. Cette variété nous fait voir que la pastorale s’est permis de traiter toutes sortes de sujets. Dans Théocrite, le Comba
84 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Principes généraux des Belles-Lettres. » pp. 1-5
. Ainsi cet ouvrage sera divisé en deux Parties. Dans la première, je traiterai de l’Art de bien écrire, et dans la seconde, des
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
fiant en lui et dédaigneux, qui méprise les affaires3 et ceux qui les traitent , le gouvernement et les ministres, les ouvrages e
86 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — De la Poétique » pp. 2-4
la poésie française depuis Villon jusqu’à Malherbe. — Le second chant traite du genre pastoral, de l’élégie, de l’ode, du sonn
87 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
it à main-forte. Aux ordres d’Andromaque ici tout est soumis ; Ils la traitent en reine, et nous comme ennemis. Andromaque elle-
ention, Racine lui est, en revanche, supérieur par la manière dont il traite la passion et par l’emploi des images dans le sty
88 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre II. Application des principes à la première Philippique de Démosthène, et à la seconde Catilinaire de Cicéron. »
r un roi des Macédoniens, nation jusque-là méprisée des Grecs, qui la traitaient de barbare. Mais il sut se créer un peuple, et le
nument bien précieux, chez les anciens, du genre d’éloquence que nous traitons actuellement, ce sont les discours fameux prononc
de ceux qui n’en croyaient point mon rapport ; qui faute de lumières, traitaient mes soupçons de chimères ; qui allaient même jusq
89 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
ue. Les bornes resserrées de cet ouvrage ne me permettent point de traiter le genre historique, dans toute l’étendue et avec
t des schismes font partie de l’histoire ecclésiastique. Pour la bien traiter , il faut être profondément instruit des augustes
icatesse du goût, une étude sérieuse des matières que ces auteurs ont traitées  ; qu’il lise leurs écrits sans la moindre prévent
90 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre II. Du Sublime dans les Choses. »
vement défendu : le vainqueur lui demandé comment il voulait qu’il le traitât  ; en roi, répond Porus. Le pilote qui portait Cés
91 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
aussi fournir le plan. On ne sait pas par quel auteur elle avait été traitée , ni même si le mot Πτωχεια en est le titre ou en
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Jean-Baptiste Rousseau 1670-1741 » pp. 441-444
sujets ne s’emparaient point de lui : il n’y voyait qu’une matière à traiter , et s’il parut se vouer à l’ode religieuse, ce ne
93 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
mier. J’ai choisi ces sujets d’exercices parmi ceux que j’ai donnés à traiter aux élèves de rhétorique pendant un enseignement
ce et vous acceptez l’hospitalité sous son toit modeste. Si l’on veut traiter ce sujet avec quelque étendue, on peut le diviser
ce sujet avec quelque étendue, on peut le diviser en deux parties, et traiter d’abord les trois premiers alinéas, puis les autr
mmène dans son château les généraux qu’il a faits prisonniers, et les traite aussi honorablement que leurs compatriotes traita
prisonniers, et les traite aussi honorablement que leurs compatriotes traitaient cruellement son père ; puis on racontera en peu d
ns ses affaires. Elle l’a donnée à l’avare pour lui apprendre à mieux traiter ses hôtes. Elle a permis que le feu prit à cette
un deux montait sur le trône, au lieu de faire périr son frère, il le traiterait toujours comme son meilleur ami. Ils avaient alor
charge de son éducation et de son avenir, et prend rengagement de le traiter comme son fils. La guinée est une pièce d‘or angl
isit un des enfants et l’immole ; Childebert ne pouvant se résoudre à traiter de même le second, Clotaire l’y force en le menaç
ciel et envers vous. Je ne suis plus digne d’être appelé votre fils ; traitez -moi comme l’un des serviteurs qui sont à vos gage
. Il fit surtout valoir contre lui l’extrême rigueur avec laquelle il traitait son fils Titus, qu’il tenait à la campagne, occup
94 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
s manières de les choquer, j’en ai parlé dans d’autres discours où je traite de cette matière. » (Trad. de Racine.) C’est auss
95 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
es. 3. Le prince Charles répondit qu’il n’avait pas de pouvoirs pour traiter . Sept mois après, l’Autriche était contrainte de
96 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
de déplacé. Le style de la narration varie suivant le sujet que l'on traite  : la tragédie veut un style noble et pittoresque 
r apaiser mon sang et mon ombre plaintive, Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive, Qu'il lui rende…..  » A ce mot, ce hé
ra que faiblement. » (Châteaubriand.) Quel que soit le sujet que l'on traite , quelles que soient les figures que l'on emploie,
rs, l'idylle se borne à décrire leurs jeux, leurs querelles, etc., ou traite un autre sujet ; car tout ce qui se rattache aux
pelle hors-d'œuvre des morceaux qui ne tiennent pas au sujet que l'on traite . Les pièces où des pensées minces sont ornées de
97 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre premier. »
opulaire, il faut commencer par bien concevoir le sujet que l’on veut traiter  ; le considérer avec soin sous tous les rapports,
98 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
ne juge point à propos d’entrer dans cette question, que peut-être il traitait dans ce que nous avons perdu. Au reste, cette rés
99 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
qui n’arrive pas souvent, surtout dans les compagnies nombreuses. Je traite rarement ce triste sujet avec vous ; mais ne t’y
100 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
t pas sans gloire que, renonçant à l’imitation des Grecs, ils osèrent traiter sur la scène, dans la tragédie comme dans le genr
ncement, 362et qu’il soit-fidèle à lui-même. 363Il est difficile de traiter (de créer) 364d’une manière-propre-et-déterminée
s il n’espère-pas 425pouvoir jeter-de-l’éclat, 426 si elles étaient traitées . 427Et il ment (il invente) de telle-manière, 4
tres, et surtout de la poésie ; — enfin, dans la troisième partie, il traite de la poésie dramatique et de la difficulté de ré
irions, quelques préceptes d’une haute raison. Cette question qu’il a traitée plus d’une fois, la difficulte de bien écrire, lu
s des deux épîtres à Auguste et à Florus ; mais nous avons préféré la traiter ici complétement, à propos de l’Épître aux Pisons
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