IV. Genre didactique. § 20. Définition. — Division du chapitre. —
Traités
de sciences. — Histoire de ces ouvrages. Dida
chose. Ces ouvrages sont assez nombreux ; on y distingue surtout les
traités
, les articles de critique, et les dialogues philo
ticles de critique, et les dialogues philosophiques ou oratoires. Les
traités
, qu’on pourrait appeler des livres purement didac
tre chose que l’ordre dans l’enseignement. Celui qui veut composer un
traité
doit s’imaginer d’abord qu’on ne prend la plume q
d défaut encore que ce qui est dit au commencement, ou au milieu d’un
traité
, eût besoin d’être éclairci par ce qui est dit à
e, et avoir le plus de clarté qu’il est possible37. Le style, dans un
traité
, n’est pas moins important que la méthode. L’aute
ût de ceux à qui il donne des leçons. Il faut, en un mot, que dans un
traité
tout soit proportionné à la capacité des esprits
nt l’esprit très pénétrant38. On ne peut donner ici, comme modèle, un
traité
entier ; je placerai, du moins, quelques lignes d
rofesseur de philosophie et d’éloquence à Athènes, on trouve un petit
traité
sur la manière d’écrire l’histoire, qui est un ch
osé un grand nombre d’ouvrages. Le seul qui nous soit parvenu est son
Traité
du sublime, traité admirable par la justesse et l
d’ouvrages. Le seul qui nous soit parvenu est son Traité du sublime,
traité
admirable par la justesse et la sagesse des réfle
les plus beaux exemples de la véritable éloquence, a montré, dans son
traité
intitulé Orator, le vrai modèle de l’orateur. Dan
ans, il publia son Institution de l’orateur, ouvrage considérable, et
traité
le plus complet que nous ayons des anciens sur l’
ayons des anciens sur l’éloquence39. Il est inutile de parler de nos
traités
. Nous en avons en France sur toutes les matières,
s seuls qui sussent faire un livre. C’est surtout quand il s’agit des
traités
que l’art de disposer les matières paraît dans to
des ouvrages. Je l’emprunte à l’abbé Desfontaines. Il s’agit de deux
traités
qui parurent à peu près dans le même temps, et do
s le même temps, et dont l’un est resté plus célèbre que l’autre : le
Traité
des études de Rollin, et les Règles de l’éloquenc
étoriciens aient des points dogmatiques. Les deux premiers volumes du
Traité
des études, de M. Rollin, ont paru si pleins d’er
rès mauvais goût. Me sera-t-il permis de hasarder mon jugement sur le
Traité
des études, de M. Rollin ? Cet auteur me paraît e
sées. Son style est vif et élégant ; mais il y a peu d’ordre dans son
traité
. Ses fréquentes contradictions font de la peine à
aisanterie délicate. Chez les Latins, Cicéron nous a laissé les beaux
traités
de l’Amitié, de la Vieillesse, de la Nature des d
é, de la Vieillesse, de la Nature des dieux, qui sont en dialogue. Le
traité
de l’Orateur est aussi un grand dialogue divisé e
critiques anciens et modernes, qu’il a su habilement fondre dans ces
traités
, compléter les uns par les autres et mettre parfa
é. — Toutes les fois que j’en ai l’occasion, je dis bien haut que vos
traités
sont les meilleurs que je connaisse. Quelques esp
esseur, un asile honorable et bienfaisant dans vos ouvrages. Après le
traité
de la Poésie, le traité du Style, et bientôt la R
le et bienfaisant dans vos ouvrages. Après le traité de la Poésie, le
traité
du Style, et bientôt la Rhétorique. Le traité du
traité de la Poésie, le traité du Style, et bientôt la Rhétorique. Le
traité
du Style, comme celui de la Poésie, présente, à m
re à ignorer quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent
Traité
de littérature. Je le recommanderai bien volontie
juillet 1879. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre
Traité
de littérature entre les mains, je me suis mis à
le Vicaire général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre
Traité
de littérature : je veux aujourd’hui vous remerci
Monsieur le Grand-Vicaire, Je viens de prendre connaissance de votre
Traité
de rhétorique. Faut-il vous dire qu’il m’a ravi e
nt la vérité. Depuis trois ou quatre ans, je suis à la piste d’un bon
Traité
de rhétorique écrit en vue d’un petit séminaire.
Préface Le célèbre auteur du
Traité
des Études désirait qu’on se servît d’une rhétori
éables. Toutefois, au moins pour ce qui concerne la poésie, aucun des
traités
que nous connaissons ne nous a paru répondre comp
et l’aridité, et ressemblent plutôt à des tables analytiques qu’à des
traités
destinés aux classes supérieures ; d’autres enfin
à ces inconvénients. Notre but constant a été d’offrir aux élèves un
traité
clair, exact, méthodique, complet et en même temp
trois unités, les effets des spectacles dramatiques. Voulant faire un
traité
vraiment didactique et élémentaire, nous avons ad
s semblé regrettable pour l’utilité pratique qui manque à beaucoup de
traités
… » Enfin, nous avons tenu à faire un ouvrage aus
, nous avons tenu à faire un ouvrage aussi complet que peut l’être un
traité
classique. A ceux donc qui pourraient trouver not
e ces allusions, très-rares dans la Poétique, aux auteurs qui avaient
traité
les mêmes questions avant Aristote. Alcméon.] Suj
ui avaient traité les mêmes questions avant Aristote. Alcméon.] Sujet
traité
par Sophocle, Euripide, Astydamas, Théodecte, Nic
gathon et, sous forme de drame satyrique, par Achæus. Oreste.] Sujet
traité
par Euripide, par Théodecte (Aristote, Rhétorique
us, et par un tragique de date inconnue, Timésithée. Méléagre.] Sujet
traité
par Euripide, par Antiphon, et par Sosiphane, poë
oëte de la pléiade tragique, contemporain d’Aristote. Télèphe.] Sujet
traité
par Eschyle, Euripide, Agathon, Iophon, Cléophon
Chapitre XX. Ammonius, dans son commentaire sur le
Traité
d’Aristote περὶ Ἑρμηνείας, renvoie à ce chapitre
ement qu’Aristote a voulu parler ici de l’accent circonflexe. Voy. le
traité
d’Accentuation grecque que j’ai publié avec M. Ch
ette édition Denys le Thrace, ch. xxv, avec ses commentateurs, et le
traité
spécial d’Apollonius, dans les Anecdota græca de
composés. On trouve chez Aristote des observations semblables dans le
traité
Du Langage, chap. ii et iv. Voyez sur la finale δ
μία cf. III, 12. C’est exactement la doctrine qu’on retrouve dans le
traité
Du Langage, et que commente Ammonius dans un pass
tique, tout soit proportionné à la capacité des esprits médiocres, et
traité
dans une juste étendue. L’écrivain doit même reve
philosophie et de littérature. Le seul qui nous soit parvenu, est son
Traité
du sublime. Il est admirable par la justesse et l
rofesseur de philosophie et d’éloquence à Athènes, on trouve un petit
Traité
sur la manière d’écrire l’histoire, qui est un ch
ssent, soit pour la manière dont ces objets y sont présentés, sont le
Traité
des études par Rollin ; les Réflexions sur la poé
vrage, dit que s’il avait pu le connaître lorsqu’il travaillait à son
Traité
des études, la plume lui serait tombée des mains.
is de Pompignan. Gail en a traduit aussi quelques-uns. Les admirables
Traités
de la vieillesse, de l’amitié, de la nature des D
plus célèbres furent Gorgias, Protagoras, Hippias, Polus. Premiers
traités
de rhétorique, leur transformation On fait rem
art oratoire environ au cinquième siècle avant J.-C. Ils s’appelèrent
Traités
de Rhétorique. Plus tard, en prenant de l’extensi
e abrégée, de la Rhétorique. Les uns et les autres sont de véritables
Traités
de style, de composition et même, de critique lit
les dernières années de la Renaissance et au dix-septième siècle. Les
traités
de ce genre se multiplièrent au dix-huitième. Not
e 334 — 322 Rhétorique ; — Poétique. Denys d’Halicarnasse 54 ? — 7
Traité
de l’arrangement des mots. Après J.-C. Plutar
l’arrangement des mots. Après J.-C. Plutarque 40 ? — 120 ? Pas de
traité
spécial de Rhétorique ; nombreuses pensées et obs
la manière d’écrire l’histoire. Longin 213 ? — 273 Rhétorique ; —
Traité
du sublime. 2° Romains (Imitateurs des Grecs.)
ttre à l’Académie française. XVIIIe siècle. Rollin 1661 — 1741
Traité
des études (livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1
— 1741 Traité des études (livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1756
Traité
des tropes. L’Abbé Girard 1677 — 1748 Précep
ictor) 1789 — 1865 Nouvelle Rhétorique. Jullien 1798 — 1881 Petit
traité
de rhétorique et de littérature. Géruzez 1799 —
ce du sentiment. C’est le secret des passions oratoires. (Cf. Rollin,
Traité
des Études, livre IV, ch. iii, § 7.) Par les pass
partage du sujet en plusieurs points ou subdivisions qui doivent être
traités
successivement par l’orateur. Elle doit être comp
ion ; 3° la péroraison ou conclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin,
Traité
des études, livre V, chap. i. Ex. Rapport sur le
Tortue, etc. Le nœud de l’intrigue dans une narration est quelquefois
traité
sous forme de dialogue, mais il faut que celui-ci
a été employé par les anciens et les modernes dans un grand nombre de
traités
philosophiques, moraux, littéraires et scientifiq
re, académique, religieux, etc. [Bibliographie] Outre les
traités
anciens et modernes sur la rhétorique que nous av
ue : Vaudeville, Opéra-comique, etc. 4° Didactique et philosophique
Traités
religieux, philosophiques, littéraires, artistiqu
au matin l’onde Et L’orage y gronde Le soir, etc. (Le père Mourgues,
Traité
de la poésie française.) Au moyen âge, le lai fu
onnet était tellement commune au xviie siècle que Lancelot, dans son
Traité
de versification française, déclarait qu’il n’y a
vers 160), — dans Fénelon, Lettre à l’Académie, § 6, son projet d’un
Traité
sur la tragédie, etc. Drame Le drame est un
’à la fin), — dans Fénelon (Lettre à l’Académie, § 7, son projet d’un
Traité
sur la comédie), etc. Trois sortes de comédie
instruire. Au point de vue scientifique, ils n’ont pas la valeur des
traités
spéciaux ; au point de vue poétique, ils manquent
brégé des règles de la versification française. — Voir aussi le Petit
traité
de poésie française, par Th. de Banville, auquel
iphe, acrostiche, bouts rimes, etc. [Bibliographie] Outre les
Traités
anciens et modernes sur la poésie, et en particul
. Albert : La Poésie, in-12, 1874, 2e édit. ; Th. de Banville, Petit
traité
de poésie française, in-12 ; F. de Grammont, Les
re de Bossuet ; sous sa modeste forme, elle est supérieure à un lourd
traité
de philosophie ou à un livre d’histoire écrit d’u
de l’Académie, et du prince régnant. Voltaire est le premier qui ait
traité
un point de littérature, innovation bientôt suivi
e genre historique devint même chez les rhéteurs un chapitre de leurs
Traités
sur l’art oratoire. De là cet usage des harangues
ce, aux dix-septième et dix-huitième siècles, le P. Le Bossu dans son
traité
sur le Poème épique, l’abbé d’Aubignac dans celui
alités, sa division Le genre didactique en prose comprend tous les
traités
de philosophie, de métaphysique, de littérature,
diviser les ouvrages didactiques en deux classes principales : 1° les
traités
, c’est-à-dire les livres purement didactiques ; 2
vres purement didactiques ; 2° les œuvres variées, qui, sans être des
traités
proprement dits, se rattachent plus ou moins par
moins par le fond et par la forme au genre didactique. 1° On appelle
traités
des ouvrages purement didactiques, où l’écrivain
s vérités, des règles trouvées par l’observation et l’expérience. Ces
traités
prennent, en général, le nom de l’objet spécial d
ont ils s’occupent. Ex. la Rhétorique et la Poétique d’Aristote, — le
Traité
des études de Rollin, etc. 2° Il est difficile, p
lue, et surtout une énumération des œuvres variées qui, sans être des
traités
proprement dits, contiennent cependant des leçons
t, l’écrivain nous les présente sous forme de dissertation morale, de
traité
, de dialogue philosophique, d’essais, de notices,
modernes. Diverses sortes d’auteurs didactiques Les auteurs de
traités
didactiques ou d’œuvres variées qui s’y rattachen
publicistes, 4° économistes, 5° moralistes, 6° critiques, auteurs de
traités
purement didactiques. On appelle philosophes les
es sur ces différentes parties de la philosophie ou même ceux qui ont
traité
quelque point relatif à l’une d’elles sont des ph
, Locke, Kant, Hegel, etc. Dialogue philosophique Au lieu du
traité
purement didactique, et pour donner plus de vivac
la métaphysique et la science, etc. Auteurs d’œuvres variées et de
traités
didactiques On doit ajouter aux philosophes le
les Pensées et Maximes de Joubert, etc. 5° Les critiques, auteurs de
traités
purement didactiques, recherchent et exposent les
H. d’Urfé, dans le Télémaque de Fénelon et dans quelques pages de son
Traité
sur l’existence de Dieu, a reparu au dix-huitième
moires, Biographie, Histoire et critique littéraire, Bibliographie.
Traités
didactiques proprement dits. Traités : 1° religi
ue littéraire, Bibliographie. Traités didactiques proprement dits.
Traités
: 1° religieux, 2° philosophiques, 3° littéraires
Œuvres mêlées de prose et de vers [Bibliographie] Outre les
traités
anciens et modernes que nous avons cités, dans l’
carteront jamais du chemin de la vertu. Nous avons de la même dame un
Traité
de l’amitié, trop bien fait pour ne pas intéresse
e ce sentiment délicieux. Un militaire ne doit pas manquer de lire le
Traité
de la valeur, par Saint-Réal. Il est plein de goû
é de la valeur, par Saint-Réal. Il est plein de goût et de raison. Le
Traité
de la gloire, par Sacy, ne doit pas être négligé,
toire de Louis, dauphin de France, père de Louis XVI, on a imprimé un
Traité
de la connoissance des hommes, que le P. Griffet,
avoit composé par l’ordre de ce digne héritier du trône. Après avoir
traité
de la connoissance des hommes en général, et déve
injustice, ou de l’absurdité, ou de l’imposture et de la calomnie. Le
Traité
de l’existence de Dieu, par Fénélon, est le premi
ngeur est au ciel ; apprenez à trembler. Nous devons lire ensuite le
Traité
de la vérité de la religion chrétienne, par Ae. C
ages du délire ou de la mauvaise foi. Il faut joindre à cet excellent
traité
les Pensées sur la religion, par Pascal, homme de
ssort très-bien de l’exemple donné plus bas par Aristote : les sujets
traités
dans les huit ou dix tragédies qu’il cite, se suc
essous neuf ou dix titres de tragédies. Le Jugement des armes.] Sujet
traité
par Eschyle, et d’après lui, en latin, par Accius
ar Pacuvius. Voy. Hermann, Opuscules, VII, p. 362. Néoptolème.] Sujet
traité
par Sophocle, sous le titre des Scyriens ou des S
pide peuvent donner une idée du sujet de ces tragédies. Sinon.] Sujet
traité
par Sophocle. L’Épéus d’Euripide devait offrir à
ntion de m’astreindre au mécanisme auquel on soumet ordinairement les
traités
de Rhétorique. La méthode a été poussée si loin,
ni d’utile : car, depuis Aristote et Quintilien, qui les premiers ont
traité
de la Rhétorique, les préceptes n’ont varié que d
s avant nous ? Pour décider cette question, il suffit de comparer nos
traités
de Rhétorique aux institutions oratoires de Quint
ssion de Quintilien. Mais si le système est dans la théorie, dans nos
traités
, il n’est point suivi dans la pratique, dans nos
s supérieures de la sagesse chrétienne, Fénelon a laissé d’excellents
traités
philosophiques et religieux, d’éloquents sermons
pas à pas. Virgile. Vous n’avez point suivi Homère quand vous avez
traité
les amours de Didon. Ce quatrième livre est tout
nd écrivain, jusque-là non édités et très-dignes de l’être. 1. « Le
Traité
de l’existence de Dieu est l’un des ouvrages les
ice de M. Villemain.) On peut rapprocher de plusieurs chapitres de ce
traité
les Lettres philosophiques de Fénelon, « ce que n
ce titre : Examen critique des écrivains de la Grèce. 2. Cf. Longin,
Traité
du Sublime, chap. xxxviii ; Cicéron, Brutus, chap
ui semble lui avoir été dérobée. Nous n’avons dans notre langue aucun
traité
de l’art oratoire qui renferme plus d’idées saine
e ces jeunes gens éprouve une invincible répugnance pour les Manuels,
Traités
, Cours, et en général pour tous les écrits élémen
ssortir le vrai sens, l’application réelle et présente. Assurément un
traité
de géométrie n’est pas une lecture plus récréativ
nt un traité de géométrie n’est pas une lecture plus récréative qu’un
traité
de rhétorique, mais l’élève comprend toujours la
ennuyeux et inutile : voilà les deux griefs qu’articulent contre les
traités
de rhétorique ceux même auxquels ils sont destiné
éorie d’un art l’histoire universelle de cet art. Ce que j’aime en un
traité
de ce genre, c’est une méthode régulière, mais se
le mot μέρος un peu plus bas dans ce même chapitre. Les Ajax.] Sujet
traité
par Eschyle, par Sophocle, par Astydamas, par Thé
Æschyli tragœdiis fata Ajacis et Teucri complexis. Les Ixion.] Sujet
traité
par Eschyle, par Sophocle, par Euripide et par Ti
plusieurs exemples dans le théâtre d’Eschyle, où un seul sujet était
traité
en trois tragédies destinées au même concours (vo
όφος ἡμᾶς ϰινεῖ Les couleurs ébranlent l’organe de la vue.] Voyez le
traité
De l’Ame, II, 7 et 8. Sont comme des actes.] Aris
s leurs rapports.] Sur le sens que nous donnons au mot λόγος, voy. le
traité
de Pachymère dans la Notice de Vincent, p. 401 et
xte : ἤ ὅτι ἡδὺ [μᾶλλον] τὸ θεωρεῖν ἤ τὸ μανθάνειν], et il renvoie au
traité
De la Sensation, chap. iv : Οὐ γὰρ ϰατὰ τὸ μανθάν
ythme, sur la poésie lyrique et le vers dochmiaque (1846) Analyse du
Traité
de métrique et de rhythmique de saint Augustin, i
s d’Aristote, par exemple avec ceux des Météorologiques et des petits
traités
qui suivent le Traité de l’âme. Presque tous les
le avec ceux des Météorologiques et des petits traités qui suivent le
Traité
de l’âme. Presque tous les genres de musique qui
. Les dialogues Socratiques.] Athénée, XI, p. 505, cite un passage du
traité
d’Aristote Sur les Poëtes, où l’auteur faisait à
tion des mots.] Ὀνομάτων σύνθεσις a-t-il ici le même sens que dans le
traité
de Denys d’Halicarnasse Ὀνομάτων συνθέσεως, ou ce
n édition des Synonymes grecs d’Ammonius, p. 184-204 les deux petits
traités
sur le Barbarisme et le Solécisme, publiés par Bo
Sur les licences analogues dans la versification française, voyez le
traité
de M. L. Quicherat, livre I, chap. viii. Dans un
posant votre Poétique, vous avez voulu offrir aux jeunes étudiants un
traité
clair, méthodique, complet en même qu’élémentaire
re à ignorer quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent
Traité
de littérature. Je le recommanderai bien volontie
le Vicaire général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre
Traité
de littérature : je veux aujourd’hui vous remerci
juillet 1879. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre
Traité
de littérature entre les mains, je me suis mis à
ise4. Un accroissement d’États en Italie pour Votre Majesté ? Mais le
traité
de Campo-Formio a donné à Votre Majesté ce qui a
sté veut la paix, elle est faite3 : exécutons, de part et d’autre, le
traité
de Campo-Formio, et consolidons, par des clauses
nties favorables aux petites puissances, et expliquer les articles du
traité
de Campo-Formio que l’expérience aurait montrés d
nouvelle qu’elle ne lui appartienne2. (Moniteur universel.) 1. Le
traité
de Campo-Formio venait d’être ratifié par le Dire
ses souverains, François II et Alexandre Ier. Cette victoire amena le
traité
de Presbourg. 1. Napoléon avait ainsi parlé à
teurs de la Confédération. 2. Fier sans être provocateur. 3. Par le
traité
de Campo-Formio. 4. Le roi d’Angleterre, Georges
. Le roi d’Angleterre, Georges III, était électeur de Hanovre. 5. Ce
traité
donnait à l’Autriche la Dalmatie, l’Istrie, les É
érature demandées par le règlement nouveau qu’il s’agit d’ajouter aux
traités
ordinaires de rhétorique, et pour lesquelles nous
prose, et d’abord celle des discours prononcés : c’est proprement le
traité
de rhétorique ; puis l’étude du genre épistolaire
çaise et sa Poétique française en deux volumes. En réduisant ces deux
traités
, en les débarrassant du fatras métaphysique auque
règles de l’éloquence. On pourrait d’ailleurs, dans ce cas, mettre le
Traité
de la poésie entre les mains des élèves comme liv
estions qui, malgré leur importance, trouvent rarement place dans les
traités
élémentaires, ont été de notre part l’objet d’un
s classes comme exercices pratiques. Mais, sous prétexte de rendre ce
traité
complet, ne lui avons-nous pas donné une étendue
s immortels ouvrages ont servi de guides à tous ceux qui, depuis, ont
traité
ces sujets. Mais il serait imprudent de se jeter
déterminer à lire ses ouvrages. Il lui préfère Longin. Toutefois, le
Traité
du Sublime ne paraît être qu’un fragment d’un plu
t d’un plus important ouvrage, et la lecture attentive de ce précieux
traité
semble justifier l’opinion émise par quelques cri
Blair n’ont pas la sécheresse presque toujours inséparable de pareils
traités
; elles sont instructives et agréables, et de bel
tend par sublime de diction. Le sublime de diction. Après avoir
traité
du sublime dans les objets physiques, nous arrivo
re de frappants exemples. Les Iroquois et les Illinois rédigent leurs
traités
et leurs actes publics avec des métaphores plus h
emblerait bien difficile, comme l’a fort bien observé un auteur qui a
traité
ce sujet, de donner une idée exacte de ce que sig
eux de mots et un arrangement ou construction mal conçue. Après avoir
traité
, dans le dernier chapitre du choix des mots, nous
t brisent l’unité. De la construction de la phrase. Après avoir
traité
de la clarté et de l’unité, qualités essentielles
. Les auteurs anciens, et particulièrement Cicéron et Quintilien, ont
traité
cette matière avec un soin qui va jusqu’à la minu
nasse, l’un des plus judicieux critiques de l’antiquité, a composé un
traité
sur la construction des mots, où il s’applique se
e sur la construction des phrases on pourrait exiger que le sujet fût
traité
d’une manière plus complète. Dans nos temps moder
derne ne peut raisonnablement espérer d’y parvenir. Cicéron, dans son
traité
intitulé Orator, s’exprime ainsi : Conciones sæp
res. Ce sujet a toujours fixé l’attention de tous les auteurs qui ont
traité
de la rhétorique et de la composition. Un des ouv
ine du langage figuré, est sans contredit celui de Dumarsais intitulé
Traité
des Tropes, pour servir d’introduction à la rhéto
imagination. Elle prend alors le nom de métaphore outrée. Après avoir
traité
à peu près complètement de la métaphore, je n’ai
opopées, semblables à celle-ci, peuvent être employées, même dans les
traités
de morale et ouvrages de simple raisonnement ; et
ré, vous vous feriez bientôt vous-mêmes un autre Philippe. » (Longin,
Traité
du sublime, traduction de Boileau.) Cette forme i
us reste à parler comme complément des qualités secondaires dont j’ai
traité
jusqu’à présent. Chaque sujet exige un style part
stration ne m’arrêtera pas longtemps. Chacun sent, par exemple, qu’un
traité
de philosophie n’admet trait pas le style d’un di
re, le mémoire à consulter, les sujets les plus arides, un sermon, un
traité
philosophique, s’ils sont écrits dans un style cl
licité de la composition, opposée à une trop grande variété de sujets
traités
. Le précepte suivant d’Horace se rapporte à ce ge
n doit rechercher l’éloquence. Longin en particulier, à la fin de son
Traité
du sublime, cherchant la raison pourquoi il y ava
s discours d’Isocrate et sur quelques autres orateurs de la Grèce, un
traité
complet, qui est, suivant mon opinion, l’écrit le
style abondant et harmonieux qu’Isocrate a introduit. Dans un de ses
traités
(Orat. ad M. Brut.), Cicéron nous informe que Bru
e aujourd’hui sans émotion. On peut voir ce qu’en dit Longin dans son
Traité
du Sublime, traduction de Boileau. Après la mort
quence. Éloquence romaine. Cicéron. Éloquence moderne. Après avoir
traité
de l’origine et des divers états de l’éloquence p
appeler éloquence leurs discours oratoires. Quoique Cicéron, dans son
traité
de claris Oratoribus, parle avec estime du premie
Démosthène. Dans ses réflexions sur la rhétorique et la poésie, petit
traité
qui accompagne habituellement ses dialogues sur l
condamner ou d’absoudre. Cette division existe dans tous les anciens
traités
de rhétorique ; elle est suivie et copiée par les
nécessaires à l’orateur. De l’éloquence de la chaire. J’ai déjà
traité
de l’éloquence des assemblées populaires et de l’
elle et jamais affectée les inspire à l’orateur. Mais nous avons déjà
traité
avec détail de l’emploi des figures, nous y renvo
outes ses parties. Introduction, narration, explication. J’ai
traité
dans les chapitres précédents de tout ce qui est
aussi bien servir d’entrée en matière à toute autre histoire, ou à un
traité
sur un objet quelconque, et, quoique élégantes, e
e ; ce serait une division fort absurde, par exemple, si, après avoir
traité
des avantages de la vertu, on se proposait de mon
s un mauvais effet. Ces subdivisions peuvent être convenables dans un
traité
de logique ; mais elles donnent au discours une a
e et Quintilien, et ce que Cicéron a écrit sur cette matière dans son
traité
de Inventione, ses topiques et son second livre d
des règles pour les mettre en jeu. Aristote, en particulier, dans son
traité
de Rhétorique, discute avec beaucoup de profondeu
nature des passions. Sous le rapport philosophique, la lecture de ce
traité
peut être avantageuse ; mais je doute que cette c
du sujet et de l’orateur. Prononciation et débit. Après avoir
traité
les parties principales de l’art oratoire, il me
son débit. Moyens de se perfectionner dans l’art oratoire. J’ai
traité
complètement des différents genres d’éloquence, d
et intellectuelles du jeune orateur. Plusieurs critiques français ont
traité
avec succès de l’éloquence. Fénelon, Rollin, Batt
écrivains puissent être d’une grande utilité, aucun d’eux ne forme un
traité
complet d’art oratoire. Les essais d’institutions
tant, et y introduisit le raisonnement et le bon sens. C’est dans son
traité
de rhétorique que l’on peut trouver quelques-unes
uvrage le plus important qu’il nous ait transmis sur ce sujet est son
traité
de Oratore, divisé en trois livres ; aucune des œ
res idées de Cicéron sur l’éloquence. L’Orator ad Brutum est aussi un
traité
important ; et, en général, les ouvrages de rhéto
OBSERVATIONS DE L'AUTEUR. La dernière édition de ce
Traité
d’élégance et de versification latine, malgré l’a
que nous inspire un travail sérieux, cette troisième édition de notre
Traité
d’élégance et de versification à la critique des
de confondre avec les lettres véritables des ouvrages complets, soit
traités
philosophiques ou didactiques, soit romans, qui s
ue l’imagination et la manière d’être de chaque individu ; nous avons
traité
cette matière au complet dans la première partie
ur l’esprit de la reine-régente. C’est à lui que nous devons ces deux
traités
si avantageux pour la France ; celui de Westphali
Westphalie, signé en 1648, et celui des Pyrénées, en 1659. Ce dernier
traité
fut, suivant le président Hénault, le fruit des r
t presque toutes sur des sujets trop vagues ou trop étendus pour être
traités
avec avantage dans les bornes que les convenances
e M. de Chateaubriand occupe et conservera un rang à part, et qu’il a
traité
un genre dans lequel il n’est point à désirer qu’
ut ce qui caractérise la marche du génie. L’ouvrage enfin fut reçu et
traité
par les appréciateurs éclairés, avec cette espèce
e, d’éloquence, une poétique enfin de tous les beaux arts, au lieu de
traités
théologiques sur la nécessité et la vérité de la
ui n’y avaient point encore été entendues. Mais la première base d’un
traité
quelconque, est que les intérêts des parties cont
’autre. Or, dans cette alliance de la philosophie et de la poésie, le
traité
ne fut pas maintenu longtemps dans son intégrité
tte pièce d’Hellé, dont le sujet, du reste, tenait à ceux du Phrixus,
traité
par Euripide, et de l’Athamas, traité par Sophocl
este, tenait à ceux du Phrixus, traité par Euripide, et de l’Athamas,
traité
par Sophocle et par Xénoclès. Voilà pourquoi, etc
sous le nom d’Aristote : Logique. — L’Organon, groupe formé par les
traités
suivants : Catégories. De l’Élocution. Premières
(sûrement apocryphe). Physique et Physiologie. — Leçons de physique.
Traité
du ciel. De la génération. Les Météorologiques. T
s de physique. Traité du ciel. De la génération. Les Météorologiques.
Traité
du monde (sûrement apocryphe). De l’âme. De la se
maque, en 10 livres. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres.
Traité
des vertus. Des vertus et des vices. La Politique
ont de relatif soit à la méthode générale du Stagirite, soit aux deux
traités
qu’on va lire. Il est bon de déterminer tout d’ab
erprétation de la Poétique. C’est aussi l’éditeur et traducteur de ce
traité
auquel notre travail doit le plus, bien qu’il ait
e en doute l’utilité, dans notre temps, d’une étude approfondie de ce
traité
, il suffirait, pour être détrompé, de relire le t
t et fort, où l’on se pique de préférer des raisons à des phrases, le
traité
d’Aristote doit être le livre classique de tous c
ateur, une éthique de l’orateur, et que c’est ce qui doit composer un
traité
de rhétorique, Cependant de ces deux choses, les
re IIIe de la Rhétorique, Aristote établit que personne avant lui n’a
traité
de l’action oratoire, et le paragraphe où il déte
la pensée générale qui a présidé à la composition de l’ouvrage. « Un
traité
de rhétorique, dit-il, doit être rédigé tout enti
nt du vue de l’opinion, etc. » (L. III, ch. i, § 5.) Quant au plan du
traité
, L. Spengel a cherché à démontrer que, pour le li
période comprise entre 334 et 324. Parmi les modernes, Max Schmidt a
traité
le sujet ex professo. (Commentatio de tempore quo
s la Rhétorique, et par conséquent a dû composer, antérieurement à ce
traité
, les Premières Analytiques, les Méthodiques (ouvr
etorica, t. I, p. 10), d’après H. Usener (Mus. rhen., xx, p. 133), ce
traité
aurait eu pour exégètes Eustathe, Métrophane, Nic
gues précités, il faut considérer ces auteurs comme ayant composé des
traités
de rhétorique, ou, ajouterons-nous, des commentai
nsia, t. I, p. 245-312. Étienne a composé aussi un commentaire sur le
traité
aristotélique de l’Élocution et sur les Éthiques.
ns publiés, d’autres inédits, et parmi ceux-ci, un commentaire sur le
traité
de l’âme dont un manuscrit, le seul connu en Fran
notera seulement ici que, dans les premières lignes, il considère ce
traité
comme dédié à Théodecte, mais il ne dit pas sur q
llection de manuscrits grecs, donna aussi, en 1837, une édition de ce
traité
avec traduction française. Spengel dit de la prem
r de donner à une tragédie les proportions d’une épopée. — Des sujets
traités
dans les chants du chœur. I. Il y a, dans toute
enfin par l’acuité, la gravité et leur intermédiaire. C’est dans les
traités
de métrique qu’il convient de considérer ces dive
osition146, serait évidemment intolérable si un mauvais poète l’avait
traité
; mais Homère a beaucoup d’autres qualités pour d
des mieux policées, ces rhéteurs n’auraient rien à mettre dans leurs
traités
. V. Parmi tous les hommes, les uns pensent que le
l n’est pas exact de dire, comme le font quelques-uns de ceux qui ont
traité
de la rhétorique, — que la probité de l’orateur n
u’il s’agisse des hommes, des paroles ou des actions. Mais nous avons
traité
séparément la question des choses plaisantes dans
cédentes385. Dans les pages relatives aux discours délibératifs, on a
traité
de la grandeur des biens et, généralement, du plu
d’une application indéterminée, mais ceux qui ont trait au sujet même
traité
dans le discours et en se renfermant, le plus sou
t là un lieu d’enthymème et une variété qui constitue tout le premier
traité
de Théodore. XXIX. Un autre se tire du nom, comme
, à bien la considérer, elle paraît être futile ; seulement, comme un
traité
de rhétorique doit d’un bout à l’autre être rédig
se rapporte à notre objet505. Quant à l’autre, on en a parlé dans le
traité
sur la Poétique 506. Chapitre II Sur les qu
de l’élégance, ce sont d’autres termes qui ont été expliqués dans le
traité
de la Poétique. En effet, la substitution d’un mo
assions et les mœurs, et cela dans une juste proportion avec le sujet
traité
. II. Il y aura juste proportion si l’on ne parle
décret de Miltiade617. » Iphicrate, sur ce que les Athéniens avaient
traité
avec ceux d’Épidaure et les habitants de la côte,
ne paix faite dans ces conditions630. » — C’est comme de dire : « Les
traités
, ce sont des trophées bien plus glorieux que ceux
nt pour un faible avantage et par l’effet d’un hasard, tandis que les
traités
sont le fruit de toute la guerre631. » En effet,
que les traités sont le fruit de toute la guerre631. » En effet, les
traités
c’est comme les trophées : ils sont, les uns et l
ion est vaine et frivole ; c’est ainsi que procède Lycimnius dans son
traité
, où il emploie les dénominations de ἐπούρωσις (im
rs et dans les poèmes épiques (l’exorde) est comme un aperçu du sujet
traité
, afin que l’on voie d’avance de quoi il s’agit et
ilà pourquoi ce n’est qu’après avoir combattu ou bien tous les points
traités
, ou les plus importants, ou ceux que l’auditoire
ir en sentences : « Il faut que les hommes de sens712 contractent des
traités
pendant qu’ils sont heureux ; car, dans ces condi
enant, sous forme d’enthymème : « En effet, si c’est au moment où les
traités
sont le plus utiles et le plus profitables qu’il
et le plus profitables qu’il faut les conclure, il faut conclure des
traités
pendant que la fortune est prospère. » Chapitr
is le passage annoncé ne se retrouve pas dans ce qui nous reste de ce
traité
. En 1858, M. Barthélemy Saint-Hilaire, dans sa tr
reuse qu’elles ont en présence de la réalité. » M. Egger a de nouveau
traité
, en passant, cette question de la catharsis dans
sons des tragédies. 71. Probablement dans les Διδασκαλίαι et dans le
traité
περὶ τραγῳδιῶν, ouvrages mentionnés par Diogène L
e point de vue. Nous adoptons la vulgate. 252. Aristote a composé un
traité
des vertus et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 25
philolog., p. 62. 422. Cp. Topiques, ii, 3, 2, éd. Buhle, où il est
traité
non pas du mot ὀρθός, mais de καλόν. Peut-être fa
ισις, le jeu de l’orateur comme du comédien, τοῦ ὑποκρίτου. 494. Ont
traité
de l’action poétique. Sur Glaucon, cp. Poétique,
intilien, ou se reporter à ce que Cicéron a écrit à ce sujet dans son
traité
de l’Invention, dans ses Topiques, et dans le sec
n desquelles on pouvait les produire. Aristote, dans sa Rhétorique, a
traité
de la nature des passions avec autant de profonde
antage sur ce sujet, malgré toute son importance. Quintilien, qui l’a
traité
avec beaucoup de sens, se donne la peine de nous
. Lecture XXXIII. De la prononciation ou du débit. Après avoir
traité
de tout ce qui concerne l’éloquence ou l’art de p
. Lecture XXXIV. Moyens de faire des progrès en éloquence. J’ai
traité
complètement des différents genres de discours, d
arle ou qui déclame en public, que d’un homme qui écrit un livre. Ses
traités
de politique (car ce sont les seuls dont je veuil
s reste maintenant à examiner de quelle utilité peut être l’étude des
traités
de critique et de rhétorique pour ceux qui veulen
e soumettre aux règles du bon sens et du raisonnement. C’est dans son
Traité
de Rhétorique que les écrivains postérieurs ont p
profond sur le cœur de l’homme et sur les passions ; quoique dans ce
traité
, comme dans ses autres écrits, sa grande concisio
tention. Le plus considérable de ses écrits sur cette matière est son
traité
de l’Orateur, divisé en trois livres. Dans aucun
ucun de ses ouvrages il n’a porté la perfection plus loin que dans ce
traité
. Le dialogue en est élégant, les caractères parfa
. L’ouvrage intitulé l’Orateur, et adressé à M. Brutus, est encore un
traité
fort important. Dans tous ses écrits, en général,
forme par elle-même un tout subordonné à l’ensemble, lequel peut être
traité
d’une manière très complète, et se rapporter très
e, dans la Vie d’Agricola, en parlant de la manière dont celui-ci fut
traité
par Domitien, fait l’observation suivante : Prop
actuellement quelques remarques sur ceux qui, parmi les modernes, ont
traité
ce genre avec le plus de talent. C’est incontesta
st soumis à des règles fixes et clairement déterminées. Nous en avons
traité
avez assez d’étendue dans les deux Lectures précé
crivains de l’antiquité, comme Platon et Cicéron, nous ont laissé des
traités
philosophiques composés avec élégance et remplis
quoiqu’en général il serait dangereux d’imiter son style. Le célèbre
Traité
sur l’entendement humain, par M. Locke, peut être
es de goût, celle d’un dialogue ou d’une conversation. Les principaux
traités
de philosophie des anciens sont présentés de cett
aractérisés que ceux de Platon. Quelques-uns cependant, comme dans le
traité
de l’Orateur, sont agréables et bien conduits. Il
M. Harris et quelques autres auteurs, ont écrit de cette manière des
traités
de philosophie ; mais cela ne suffit pas pour met
des traités de philosophie ; mais cela ne suffit pas pour mettre ces
traités
au nombre des compositions épistolaires. Bien qu’
ques, cependant elle n’entre pour rien dans un grand nombre de sujets
traités
par les poètes, dans ces descriptions, par exempl
sujets charmants pourrait admettre la poésie pastorale, s’ils étaient
traités
par un poète habile. Occupons-nous maintenant de
dignité, et que dans tous les siècles un grand nombre d’écrivains ont
traité
avec succès. Ce qui caractérise particulièrement
s qu’il a choisis, que par la manière brusque et rapide dont il les a
traités
, que malgré la beauté de son expression, nous le
De la poésie didactique et de la poésie descriptive. Après avoir
traité
de la poésie pastorale et de la poésie lyrique, n
ffère donc que par la forme, et non par son but et par sa nature, des
traités
en prose de morale, de philosophie et de critique
sances et la profondeur de son jugement. Ce genre de poésie peut être
traité
de différentes manières. Ou le poète choisit un s
de poésie, l’on place au premier rang les ouvrages qui renferment un
traité
régulier sur quelque sujet utile, sérieux ou phil
i, qu’ils soient aussi strictement observés dans un poème que dans un
traité
en prose ; cependant il faut qu’ils y dominent as
’exposer les règles de la poésie dramatique, on trouvera que c’est un
traité
beaucoup plus complet et plus régulier, que si on
de la peste, et plusieurs développements particuliers que l’auteur a
traités
avec une élégance remarquable, et sur lesquels il
sur certains caractères ; le poète ne se propose point d’en former un
traité
régulier en s’astreignant aux lois rigoureuses de
nd la matière qui va nous occuper, pourront lire avec fruit le savant
traité
du docteur Lowth, intitulé De sacra Poesi Hebræor
Le poète, en effet, ne songe pas à établir en philosophe le plan d’un
traité
moral ; son génie s’enflamme à l’idée d’une actio
encore ils y forment un très bel ornement lorsqu’ils sont habilement
traités
. Voici les règles qu’il convient de suivre à cet
leux qui n’aurait pas manqué d’y paraître déplacé, quelque habilement
traité
qu’il pût être. L’on ne pouvait sensément faire i
à regarder la Henriade comme son chef-d’œuvre, et il me semble avoir
traité
la tragédie avec beaucoup plus de succès que l’ép
ets aussi simples, et même en apparence aussi pauvres, sont cependant
traités
par Sophocle avec tant d’art, qu’ils deviennent,
ral, de celle des Grecs, des Français et des Anglais. Après avoir
traité
de la tragédie sous le rapport de l’action, nous
d’œil sur l’histoire de ses progrès, et sur la manière dont il a été
traité
chez les différentes nations. L’on pense générale
; l’expression sublime est dans la réticence. Voici comme Marmontel a
traité
l’article Sublime dans ses Éléments de Littératur
comparé des anciens et des modernes. Tome II, page 51. Voltaire a
traité
trois fois cette question curieuse. D’abord, il e
t bizarre ; Pour Danchet elle est fort avare, Mais Racine en fut bien
traité
Tibulle était guidé par elle ; Mais pour notre am
sage ; il faut qu’il conserve un air de vraisemblance, et qu’il soit
traité
avec goût. Les critiques les plus judicieux n’ont
ême plus ou moins, comme tous les autres, selon qu’il est bien ou mal
traité
. « Il est inférieur à la comédie et à la tragédie
scènes qui n’en offrent plus ou moins : quelques-unes ne sont que des
traités
de morale dialogués. C’est aller à l’utile sans d
Voici comme s’exprime un auteur du dix-septième siècle qui a écrit un
traité
en vers sur le geste et la voix de l’orateur : L
Latins et des Anglais. 16. Ce sujet est très bien développé dans le
traité
de lord Monboddo sur l’Origine et les progrès du
e, l’Homme des champs, chant IV.) 29. L’auteur qui, de nos jours, a
traité
le plus sévèrement Homère, M. de Lamotte, accorde
it quel genre est le meilleur, je répondrais : Celui qui est le mieux
traité
. » (Voltaire.) 54. « Ce Lachapelle était un rec
1. Qu’est-ce que la Poétique ? La Poétique ou l’Art poétique est un
traité
de l’art de la poésie. On donne ce nom à la colle
rincipaux ou grands genres, et genres secondaires. Par conséquent, ce
traité
se divisera en deux parties : dans la première, n
’est ainsi que Garnier, dans son Histoire de France, désapprouvant un
traité
que signa Louis XII avec César Borgia, au nom du
subjugué la Chine. Le P. Bougeant, jésuite, dans sa belle Histoire du
traité
de Westphalie, à laquelle on a réuni celle des gu
e on a réuni celle des guerres et des négociations qui précédèrent ce
traité
. Ces deux ouvrages contiennent l’exposé de l’état
encement du dix-septième siècle jusqu’en 1648, époque où ce mémorable
traité
fut signé. L’auteur y montre partout des talents
arquis de Torcy, pour servir à l’histoire des négociations, depuis le
traité
de Riswick en 1697, jusqu’à la paix d’Utrecht, en
f d’Eresse, ville de Lesbos, et disciple d’Aristote, nous a laissé un
Traité
des plantes, très curieux, traduit aussi en latin
toute composition littéraire. De là cette division si connue dans les
traités
sur les belles-lettres : invention, disposition,
bares et choquants pour l’oreille. Dans un ouvrage scientifique ou un
traité
de philosophie, on est forcé de parler le langage
jet qu’on ne puisse développer sous forme de lettre ; mais les divers
traités
religieux, philosophiques et littéraires, où l’on
plupart des maisons d’éducation, on met entre les mains des élèves un
traité
spécial pour l’Art épistolaire. Nous laisserons d
que proprement dit. 543. Le poème didactique proprement dit est un
traité
régulier qui roule sur un sujet religieux, scient
ttéraire. Il trace les règles de l’art qu’il veut enseigner comme les
traités
en prose, mais il a sur eux l’avantage de la vers
l’enchaînement des idées, mais un ordre moins rigoureux que dans les
traités
en prose ; 3º embellir le sujet de tous les charm
er cette guerre. On élève des autels au milieu des armées. On fait un
traité
par lequel Lavinie doit être le prix du vainqueur
38. Le style est-il dépendant du savoir ? 39. Comment divisez-vous le
traité
du style ? 40. Qu’est-ce que bien écrire et d’où
, ch. iii ; Ernest Hello, Le Style. 4. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, ch. viii ; Rollin, Traité des études,
. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii ; Rollin,
Traité
des études, liv. III, ch. iii; le P. Bouhours, La
l’abbé Tuet, Guide des humanistes. 5. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, ch. viii ; Quintilien, Institution or
la composition, IIIe part., ch. ii. 6. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, ch. xv ; Marmontel, Élém. de litt., a
ch. i, ii, iii : Blair, Leçons de littérature, IIIe partie ; Rollin,
Traité
des études, liv. III, ch. iii ; Crevier, Rhétoriq
ittérature, section Ire, chap. iii. 9. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, chap. xvi-xxx ; Cicéron, De oratore,
r, Leçons de littérature, IIIe part., leç. 14, 15 et 16 ; De Calonne,
Traité
de la narration, IIIe part. 10. Auteurs à consul
Traité de la narration, IIIe part. 10. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, ch. xxxvii, xxxviii ; Cicéron, Orator
sublime, ch. xxxvii, xxxviii ; Cicéron, Orator, nºs 162-236 ; Rollin,
Traité
des études, liv. II, ch. xi, art. 2 ; Le Batteux,
de littérature, sect. 1re, ch. v. 11. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, chap. xiii et xiv ; Quintilien, Insti
s, chap. iv et v ; Marmontel, art. Imitation. Traduction ; Dom Jamin,
Traité
de la lecture. 12. Le Guide du jeune littérateu
on ; Collombet, Cours de littérature, sect. Ire, ch. vi ; De Calonne,
Traité
de la narration ; Fresse-Montval, Traité de la na
t. Ire, ch. vi ; De Calonne, Traité de la narration ; Fresse-Montval,
Traité
de la narration et de l’analyse littéraire. 16.
n ; Collombet, Cours de littérature, ch. vi, art. ii. 17. Voir notre
Traité
de l’art épistolaire. 18. Auteurs à consulter :
uits à un même principe, 3e partie ; Blair, Lecture xxxviii ; Rollin,
Traité
des études, liv. II ; Marmontel, art. Poésie, Poè
eçons de rhétorique, leç. xxxviii ; Marmontel, art. Vers ; Quicherat,
Traité
de la versification française. 22. Auteurs à con
. 22. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 6e
traité
; Marmontel, Éléments de littérature, art. Lyriqu
. 23. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 4e
traité
; Rollin, Traité des études, liv. II, de la lectu
consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 4e traité ; Rollin,
Traité
des études, liv. II, de la lecture d’Homère ; Bla
. 24. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 5e
traité
; Blair, leç. xlv, xlvi ; Marmontel, articles Dra
25. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 7e
traité
; Blair, Leçons de rhétorique, leç. xl ; Marmonte
. 27. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 8e
traité
; Marmontel, Éléments de littérature, art. Épigra
e but, et les détours, et les écueils du chemin. « Ce n’est point aux
traités
de rhétorique, dit Quintilien, qu’on doit l’inven
st que les rhéteurs ne se servent que d’exemples plus vieux que leurs
traités
, et empruntés aux orateurs, sans rien dire de nou
e. Et c’est pour cela, et aussi parce que ces trois objets, pour être
traités
à fond, demanderaient un autre livre tout entier,
arranger dans l’ordre où elles peuvent former des ouvrages. Le Petit
traité
des formes des figures et des qualités du style e
acune a les siens propres ; les anciens, qui ne songeaient dans leurs
traités
qu’aux discours du barreau, les rapportaient à si
n un jour. Rappelez seulement les victoires, les prises de place, les
traités
glorieux, les magnificences, les événements pompe
ndre, des obstacles à lever, enfin des mémoires, des conventions, des
traités
à dresser29. Les discours relatifs à ces grands i
et extrinsèques. 5. Domairon, Rhét, des Preuves. 6. Voyez le Petit
traité
des figures, § 40, p. 80. 7. Petit traité des f
uves. 6. Voyez le Petit traité des figures, § 40, p. 80. 7. Petit
traité
des figures, lieu cité. 8. Petit traité des fig
es, § 40, p. 80. 7. Petit traité des figures, lieu cité. 8. Petit
traité
des figures, § 33, p. 114. 9. La question consis
de littérature. 30. Domairon, Rhét, Discours politiques. 31. Petit
traité
des figures et des formes de style, § 61, p. 148.
es traducteurs furent forcés d’avouer qu’il manquait à leur langue un
traité
de littérature aussi succinct, aussi clair, et en
i le détermina à se livrer à ce travail. Certainement, parmi tous les
traités
de rhétorique et de belles-lettres que nous possé
lui une excellente traduction d’un ouvrage aussi recommandable que ce
Traité
de rhétorique, dont personne ne pouvait mieux que
ultat de ses idées et de ses réflexions sur chacun des sujets qu’il a
traités
, et la majeure partie de ce travail est tout à fa
els avantages elles peuvent retirer de l’étude qui fait l’objet de ce
traité
. Pour elles, la rhétorique n’est pas tant un art
er par Alexandre après une honorable défense, comment il voulait être
traité
, il répondit, En roi . César dit au pilote qui,
composition. Lecture IV. Du sublime dans le style. APRÈS avoir
traité
de la grandeur et du sublime dans les objets exté
s ne pas être obligé de dire que le célèbre critique Longin, dans son
traité
sur ce sujet, a trop souvent pris le mot sublime
là le plan que devait suivre un auteur qui se proposait de publier un
traité
de rhétorique ou. des beautés du style en général
ue ou. des beautés du style en général, et non celui de l’auteur d’un
traité
du sublime ; car de ces cinq divisions, les deux
l’on crût que par cette censure je veuille rabaisser le mérite de son
traité
, car je ne connais aucun critique ancien ou moder
que, comme l’observe fort plaisamment le docteur Arbuthnot, dans son
traité
on the Art of sinking 10, il a représenté la mont
à donner la préférence, nous trouvons toujours des écrivains qui ont
traité
les sujets qui nous plaisent le plus. Si l’éloque
pleines d’images. Les Iroquois et les Illinois se servent, dans leurs
traités
et dans toutes leurs transactions politiques, de
ne ou d’un auteur, rarement il l’indique par son propre nom. Dans son
traité
intitulé Avis à un auteur, il consacre deux ou tr
ogue consommé ; » c’est encore ainsi que, dans un autre endroit de ce
traité
, pour désigner Homère, Socrate et Platon, il les
mondes de Fontenelle : « Le premier, dit-il, n’a pu finir son savant
traité
sans faire le panégyrique de la science moderne,
te de la précédente.] De la construction des phrases. Après avoir
traité
de la clarté et de l’unité, après avoir montré co
e phrase de Milton comme un exemple d’harmonie: elle est tirée de son
Traité
sur l’Éducation : We shall conduct you to a hill
l’un des critiques les plus judicieux de l’antiquité, qui a écrit un
traité
sur la composition des mots dans une période, ne
ns, enfin, les sons en rapport avec le sens. Chacun de ces points est
traité
avec autant d’exactitude que de goût, et son livr
lequel les anciens devaient s’y appliquer davantage. Cicéron dans son
traité
de l’Orateur, nous dit : Conciones sæpe exclamar
rté dans les mots seulement, et ensuite dans les phrases ; j’ai aussi
traité
de l’ornement que donne au style une construction
a place importante que les tropes et les figures ont occupée dans les
traités
de rhétorique, le soin admirable que l’on a mis à
nable d’introduire une métaphore vile ou triviale. On trouve, dans le
Traité
de Dean Swift, une collection complète et origina
issent du sujet même et l’embellissent toujours. J’ai voulu donner un
traité
presque complet de la métaphore et des règles qui
urtes personnifications peuvent être très bien placées, même dans des
traités
de morale, ou dans des ouvrages de pur raisonneme
nt très bien s’appliquer à toutes les autres. Je crois avoir donné un
traité
complet de la métaphore, la plus commune de toute
omparaisons, qu’elles ne sont pas, commes les figures dont nous avons
traité
dans les Lectures précédentes, l’expression des p
faible, énergique, sec, uni, soigné, élégant, fleuri. Après avoir
traité
avec quelque étendue des figures du langage, de l
dente, que je ne m’arrêterai pas à la prouver. Chacun sent bien qu’un
traité
de philosophie, par exemple, ne peut pas être écr
ivain. Ce sont assurément deux genres de composition bien différents,
traités
en effet d’une manière bien différente ; cependan
preuve de plus de capacité. Tous ses sujets, sérieux ou badins, sont
traités
en maître. Il connaissait mieux que qui que ce fû
on lira toujours avec plaisir un sermon ou un ouvrage de philosophie
traité
de cette manière. Dire qu’un style est élégant, c
ai commencé à faire connaître les caractères généraux du style ; j’ai
traité
du style concis et développé, nerveux et faible.
sidérerait comme un de nos meilleurs écrivains, si les sujets qu’il a
traités
avaient toujours été à la hauteur de sa manière d
a d’éloquence que dans un État libre. Longin surtout, à la fin de son
Traité
du Sublime, donne un beau développement à cette i
les harangues d’Isocrate et sur celles de quelques orateurs grecs, un
traité
que je regarde comme un des meilleurs morceaux de
ver à ce que nous appelons l’éloquence ; et lorsque Cicéron, dans son
Traité
des orateurs célèbres, attribue quelque mérite à
. Et pourquoi cela ? parce qu’il n’avait pas eu l’avantage de lire le
traité
d’Aristote sur la rhétorique, où, dit notre criti
rateurs comme Cicéron et Démosthène apprennent autre part que dans un
traité
de rhétorique l’art de connaître les hommes et de
se, la flatterie, le firent enfin disparaître. Le forum, où s’étaient
traités
de si grands intérêts, fut désormais désert. On p
t absoudre ou condamner. Cette division, suivie dans tous les anciens
traités
de rhétorique, a été adoptée par les modernes qui
coutent. C’est là que sont bien placées ces figures hardies dont j’ai
traité
plus haut, et que j’ai considérées comme le langa
depuis longtemps accoutumé à de pareilles bassesses. Il avait fait un
traité
avec Oppianicus, et lui avait demandé une somme q
sujets de ses discours sont nobles et imposants par eux-mêmes ; mais,
traités
si souvent, ils sont devenus familiers à tout le
seulement alors, il pourra chercher à connaître comment d’autres ont
traité
le même sujet. Par ce moyen, sa méthode et ses pr
iis eussent également convenu à toute autre histoire, ou même à tout
traité
quelconque, et quoiqu’ils aient véritablement des
fin produisent toujours un mauvais effet. Elles peuvent convenir à un
traité
de logique ; mais elles donnent à un discours de
la musique ou la peinture, a été bien prouvée par M. Harris dans son
Traité
sur la musique et la poésie. Le principal avantag
6. Voyez Dissertation sur la formation des langues, par Adam Smith. —
Traité
sur l’origine et les progrès du langage, 6 vol. —
pes de Grammaire, par Dumarsais. — Grammaire générale et raisonnée. —
Traité
de la formation mécanique des langues, par le pré
oin ses recherches sur ce sujet, est le président de Brosses dans son
Traité
de la formation mécanique des langues. Les lettre
imèrent les chefs des cinq nations du Canada lorsqu’ils conclurent un
traité
de paix avec les Anglais : « Nous sommes heureux
gage ; mais il est probable, ainsi que l’a prouvé le savant auteur du
Traité
sur l’origine et les progrès du langage (t. I, p.
la plus exacte, peuvent consulter l’Hermès de M. Harris, ainsi que le
Traité
sur l’origine et les progrès du langage, t. II, p
ir apporté la plus grande attention à la construction des phrases. Le
traité
de Démétrius de Phalère Περὶ ἐρμηνείας [Sur l’int
ngement des mots, que souvent elles nous sembleraient minutieuses. Le
traité
de Denys d’Halicarnasse, Περὶ συνθέσεως ὀνομάτων
ù règne un morne effroi. (Trad. de Delille.) 42. Tous ceux qui ont
traité
de la rhétorique ou de la composition ont beaucou
véritable instruction, est M. Dumarsais, dont l’ouvrage est intitulé
Traité
des Tropes pour servir d’introduction à la Rhétor
même oraison, il apostrophe l’île des Faisans, devenue célèbre par le
traité
des Pyrénées et le mariage d’une princesse d’Espa
nité du siècle, décriés et calomniés ! combien de dévots de bonne foi
traités
d’hypocrites, d’intrigants et d’intéressés ! comb
ier le douloureux état, combien sont négligés ! combien sont durement
traités
! combien manquent de tout, pendant que le riche
a en quelque sorte sa rhétorique ou sa poétique particulière. Que de
traités
du poëme épique ! que de volumes sur la tragédie
composition en prose. Ainsi, à propos du récit, par exemple, point de
traité
sur la manière d’écrire l’histoire ou le roman, m
ve jusqu’à la synthèse : ainsi plusieurs des dialogues de Platon, des
traités
de Condillac, des ouvrages de Bernardin de Saint-
entation. Pour cette dernière partie nous pourrions donc renvoyer aux
traités
ex professo sur la matière. On comprend maintenan
èce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un
traité
de logique ; mais ce peu de mots peut suffire, ce
ication beaucoup plus répandue. Aristote, et après lui la plupart des
traités
de rhétorique, divisent l’éloquence en trois genr
te que lorsqu’on a touehé le but. « Italiam ! Italiam !…. je finis le
traité
des fiefs où la plupart des auteurs l’ont commenc
e conclusion, tracées par la raison et les rhéteurs. 60. Aristote a
traité
celle question dans la Poétique. 61. Remarques
Providence. Je m’étonnerais tort qu’aucun poëte tragique n’ait encore
traité
ce sujet, si je n’en trouvais un motif suffisant
us parler des règles de la Rhétorique : vous les trouverez dans vingt
traités
, et vos maîtres vous les expliqueront mieux que m
n’ont pas subi de changement, que tous les modernes qui ont fait des
traités
de Rhétorique ont copié les anciens, et que, pour
irconstances, à la nature du procès, au caractère de l’auditoire. Les
traités
ne les enseignent pas, le bon sens les trouve et
çaise, tome III, p. 180-240 Batteux, Principes de la Littérature, Ve
traité
et l’article Tragédie dans les Éléments de Marmo
Observation que l’on retrouve souvent dans Aristote, surtout dans ses
traités
de morale. Voyez aussi dans la Physique, II, 6, u
l’éloquence est affaire d’expérience et non de théorie. III les
traités
de cicéron Ce que n’avaient pu faire les éléga
s Romains. Mais celui de tous qui a le mieux connu son sujet et qui a
traité
le plus éloquemment de l’éloquence, c’est sans co
st reproduit, que je sache, à aucune autre époque, et qui donne à ses
Traités
un prix inestimable. Ce mot de Traités ne doit pa
tre époque, et qui donne à ses Traités un prix inestimable. Ce mot de
Traités
ne doit pas vous effrayer. La méthode de Cicéron
our y parvenir, il y a autant d’avis différents que d’auteurs qui ont
traité
cette matière. Pourquoi ? Parce que ces moyens so
z de ses forces pour rejeter les conseils de l’expérience. Jamais les
traités
de l’art militaire n’ont formé un grand capitaine
a vie des peuples et les relations des particuliers : droit des gens,
traités
, commerce, industrie, politique, histoire, morale
, la santé, le présent et l’avenir, ai-je relu dans mes promenades ce
Traité
des devoirs de Cicéron2, le code le plus parfait
ition Hachette). 2. Ailleurs M. de Sacy juge ainsi Cicéron : « Son
traité
sur les devoirs, De Officiis, restera l’ouvrage d
berté n’ont pas fléchi. Dans ses lettres, dans ses discours, dans ses
traités
de philosophie et de rhétorique, tout respire je
la noblesse. » Égal à tous les emplois, signalé à Louis XIV par son
Traité
de l’éducation des jeunes filles (1687), chef-d’œ
de Cicéron, au commencement du IIe Dialogue. Voyez aussi dans Rollin,
Traité
des Études, livre IV, chap I, art. 1, § 3, Jugeme
avec celle de Démosthène. Le parallèle des deux orateurs a encore été
traité
par Fénelon dans un des Dialogues des Morts (le x
ns, par Quintilien, Institutiones Oratoriœ, x, I, 106, et par Longin,
Traité
du Sublime, section xii ; chap. x de la traductio
Lyon, et martyr sous l’empereur Septime Sévère en 202. Il a écrit un
traité
des Hérésies, en cinq livres ; il n’en reste que
que fondées que soient les objections opposées à l’abbé d’Olivet, son
Traité
des longues et des brèves renferme bien des remar
les deux rhéteurs latins ne négligent pas l’harmonie ; l’un, dans le
Traité
de l’orateur, l’autre, au livre IX des Institutio
vertu de l’harmonie, opposez l’un à l’autre deux écrivains qui aient
traité
la même pensée, l’un dans un langage harmonieux,
inir la quatrième sorte de critique1. Celle-ci se rapproche plus d’un
traité
; elle a la prétention de régler les plaisirs de
, nous avons involontairement en vue le genre tel que La Fontaine l’a
traité
. Cependant Ésope, Phèdre, ses deux modèles dans l
par des fables devenues classiques. Il publia en 1765 le Laocoon, ou
traité
des Limites de la peinture et de la poésie. 2.
eut un jour, dit Monteil, huit ou dix alphabets différents, quarante
traités
d’orthographe, trente systèmes de prononciation o
ginaires. Il les développe avec une complaisance systématique dans un
Traité
célèbre composé de trois livres où, considérant l
utres. Tel est l’emploi d’icel (ecce-ille), et d’icest, celui, celle,
traités
comme adjectifs démonstratifs dans ces locutions
re édition d’Anacréon, des traductions de Théocrite et de Pindare, le
Traité
de la conformité du françois avec le grec (1569),
ce dévot personnage. 1. Maigret, grammairien qui publia en 1542 un
Traité
touchant le commun usage de l’écriture, et en 155
pour ancien ; jadis pour autrefois ; soudain pour aussitôt, etc. Les
traités
spéciaux de versification donnent la liste de ces
à part. 68. Domairon, Poét., de la Poésie en général. 69. Petit
traité
des figures, § 68, p. 175.
n du mot : il peut être tout entier d’imagination ; mais il doit être
traité
selon les règles de la vérité. Si vous me dites d
ni dégoûtants, Le poète veut dire évidemment que tout sujet peut être
traité
convenablement, si on le prend dans la nature, et
ecter, même par les hommes vicieux. Je suis bien surpris qu’aucun des
traités
de Rhétorique que l’on met entre les mains de la
ors, se présenteront à lui comme les signes d’idées déjà connues.
Traité
de rhétorique. Sommaire. Définition. — Éloque
i elle suffit en toutes circonstances. — Origine de l’art. — Premiers
traités
de Rhétorique. — Définition du Discours. — Divers
cours. — Divers Genres, etc. — Division. [Introduction.] Tout
traité
commence par la définition et la division de l’ob
ultiver et à perfectionner les beaux-arts, ont donné les premiers des
traités
de rhétorique. Les Romains, qui ont imité les Gre
’art de la parole. Mais quelque bons que puissent être ces différents
traités
, il faut toujours remonter aux sources, qui, chez
s, sauf quelques légères modifications. Questions. Par quoi tout
Traité
doit-il commencer ? — Qu’est-ce que la Rhétorique
s ? — Comment ont-ils été transmis ? — Quel peuple donna les premiers
Traités
de rhétorique ? — Qu’ont écrit, à Rome, sur cet a
e la vérité rigoureuse. Dans l’oraison funèbre de Turenne, Fléchier a
traité
cette figure de deux manières différentes. Pour r
n’ont jamais surpris dans un mouvement irrégulier, etc. » Boileau a
traité
cette figure d’une manière gracieuse et plaisante
e Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David
traité
tous les neveux Comme on traitait d’Achab les res
ce livre utile aux élèves et surtout aux professeurs 3. L’excellent
traité
des Synonymes de l’abbé Girard pourra être d’un u
sont les seuls qui doivent ici nous intéresser. Tels sont de nombreux
traités
sur la soumission à la volonté de Dieu, sur les j
, mais d’une âme si forte et si élevée. « Je suis ravie, dit-elle, du
Traité
des moyens de conserver la paix avec les hommes :
morale la plus élevée. (Montpellier, novembre 1888.) Nicole, dans son
Traité
de la Comédie (1659), avait fort maltraité le thé
que nous, me soulevaient le cœur. » (Clermont, août 1883.) Dans son
traité
d’éducation intitulé Émile, J.-J. Rousseau s’indi
tpellier, avril 1889.) Lettre du prince de Condé à Louis XIV, lors du
traité
des Pyrénées, pour solliciter sa rentrée en grâce
ennes, l’Angleterre, la France, la Hollande et l’Allemagne, depuis le
traité
d’Utrecht (1713) jusqu’à nos jours. (Lyon, juille
française a-t-elle produit ses chefs d’œuvre ? Quels sujets a-t-elle
traités
de préférence ? Quels personnages, quels devoirs,
octobre 1879). Racontez sommairement le règne de Louis XIV depuis le
traité
de Ryswick jusqu’à la mort du roi. (Paris, octobr
1879). Donnez une idée de la cour de Louis XIV à Versailles, après le
traité
de Nimègue (1678). Montrez le grand roi, dans son
la première fois à Paris en 1640. Corneille en a emprunté le sujet au
traité
de Sénèque sur la clémence où il raconte la scène
un acte de réparation et de justice vraiment digne de lui. Sujets
traités
Lettre de Vaugelas à un de ses amis de prov
Je n’ai pas dit la vérité aux rois, face à face, et ils ne m’ont pas
traité
comme Callisthène, mais Lysimaque recouvra ses di
deur, diplomate, ministre. Vous avez formé des alliances, préparé des
traités
, vous avez vu la guerre, écrivez vos mémoires et
aque, Ilermione et Monime ! Une seule idée domine dans le Projet d’un
traité
sur la Tragédie et même dans toute la Lettre à l’
s deux adversaires se communiquant leurs idées personnelles, le sujet
traité
pourra être envisagé de diverses manières. L’un a
it inspirée pour élever sa fille et son fils des idées de l’auteur du
Traité
sur l’éducation des filles et du Télémaque. On su
s verront la voie par où elles doivent passer. Au vrai, c’est tout un
traité
du style que les auteurs des rapports offrent au
on pas montré ? dans les sermons de Bossuet et de Bourdaloue, dans le
Traité
des passions de Descartes, dans les chefs-d’œuvre
on des néologismes ? Ce sujet n’a pas été, tant s’en faut, compris ni
traité
aussi bien qu’il nous était permis de l’espérer.
ependant, et d’un intérêt facile à comprendre, n’a été convenablement
traité
dans ses diverses parties que par un assez petit
ière de la duchesse de Beauvilliers que Fénelon composa, en 1687, son
Traité
de l’éducation des filles. Avant la publication d
687, son Traité de l’éducation des filles. Avant la publication de ce
traité
, Fénelon, dans ses lettres à la Duchesse ou dans
s une forme charmante, toute une doctrine, toute une méthode, tout un
traité
de rhétorique qu’il est indispensable d’étudier d
. (Picard et Kaan.) On y trouve un grand nombre de sujets indiqués et
traités
par des professeurs. Concours de 1883. (Or
individus a fait défaut. Une de nos agrégées, chargée de raconter les
traités
intervenus entre la France et l’Europe de 1795 à
é d’élocution, mais elle n’a pas trouvé un mot de blâme pour l’inique
traité
de Campo Formio, pour la rupture du traité d’Amie
mot de blâme pour l’inique traité de Campo Formio, pour la rupture du
traité
d’Amiens, pour tant d’actes de folle ambition si
re ou le baccalauréat, il était bien évident que le sujet devait être
traité
à l’aide de la linguistique moderne, et c’est ain
ère représentation d’Andromaque. Ce sujet avait été fort agréablement
traité
, parce qu’il était restreint. Les études, les lec
s, il est vrai, n’ont guère parlé ni du style ni de la langue, et ont
traité
de La Fontaine en général, de l’agrément de ses f
s d’agrégation. Dans les copies les plus faibles le sujet est surtout
traité
d’une façon vague et superficielle. Le plan a été
. Non seulement le sujet était généralement bien connu, mais il a été
traité
avec une exactitude et une précision suffisantes.
aie ? La discussion ne vaut-elle pas par elle-même, et selon le sujet
traité
, et selon la manière dont elle est menée, et selo
galté de style existant par elle-même, en dehors du genre et du style
traités
, en dehors de la pensée de l’écrivain, nous ne la
fallait une science minutieuse des limites et des caractères du genre
traité
, une unité savante dans l’ensemble de l’œuvre, un
té dans la vie scolaire et dans les occupations du ménage. – Dans son
traité
De l’éducation des filles, Fénelon demande qu’on
d’une main prodigue. Le plan, le dessin d’un ouvrage méthodique, d’un
traité
systématique n’existe pas chez lui. Mais on écout
. – Histoire littéraire. – A supposer que tous les mémoires, tous les
traités
spéciaux qui déroulent à nos yeux l’histoire litt
genres cultivés par les écrivains. C’est ainsi qu’on y trouve tout un
traité
de poésie. Un jeune poète commençait-il à tourner
faut, et, loin de relever le sexe, ne servent qu’à le déshonorer. » (
Traité
des études.) – La Rochefoucauld a dit que la pré
es. – Parfois quelques sujets d’un caractère scientifique ont dû être
traités
. Nous renvoyons aux écoles scientifiques pour les
en général, pouvoir donner les principales dates des batailles et des
traités
contenus dans le cours inscrit au programme, mais
ls ne devront pas se contenter de puiser leurs connaissances dans des
traités
à l’usage des classes, mais prendre des notes dan
dition est inutile. Il s’agit simplement de savoir les batailles, les
traités
, dont tout homme bien élevé est tenu de pouvoir p
panneaux de cette tapisserie, en indiquant le sujet qui pouvait être
traité
sur chacun d’eux. Il sera bon d’ajouter au récit
e savez-vous sur Mazarin ? A quelles guerres a-t-il participé ? Quels
traités
a-t-il signés ? A-t-il protégé les arts ? Éco
andidats. Il fallait ne pas le raconter par le menu, ne pas citer les
traités
, les batailles, les dates, mais le dominer, en sa
rine et pour la défense de la France. – Catherine II, au lendemain du
traité
d’Iassy (1792), écrit au gouverneur des provinces
gent l’alliance de la Russie en 1718. PLAN. 1er Paragraphe. – Les
traités
d’Utrecht ont changé l’équilibre des États : la F
et de chroniques comme ceux de MM. H. de Parville, Grandeau, etc, des
traités
de vulgarisation comme ceux de J. Fabre. Ils appr
et des conquêtes réalisées par Richelieu. Mazarin est là. En 1659, le
traité
des Pyrénées a déjà été signé avant l’avènement p
n Allemagne ; à sa mort, Louis XIV est trop heureux d’avoir signé les
traités
d’Utrecht. 3° Paragraphe. – Henri IV a Sully – P
La frontière française du Nord et de l’Est depuis 1780. – Les grands
traités
de paix du règne de Louis XIV. – Les grands trait
780. – Les grands traités de paix du règne de Louis XIV. – Les grands
traités
de paix du règne de Louis XV. – Comment s’est fai
n de la langue française à l’étranger et aux colonies. Le sujet y est
traité
avec une ampleur et une éloquence qui consacrèren
bicoques allemandes à la possession assurée du Canada, signaient des
traités
« non en marchands, mais en rois ». Et c’est ains
4 Programme de la classe de Quatrième moderne 66 Plans 69 Sujets
traités
85 Devoirs d’élèves 131 ENSEIGNEMENT SECONDAIR
er cette antiquité que nous révérons dans les autres. (Préface sur le
Traité
du vide. 1647-1651.) Misère de l’homme Qu
vait créé les mathématiques : qui, à seize, avait fait le plus savant
traité
des coniques qu’on eût vu depuis l’antiquité ; qu
oyal a contribué à la ruine de la scolastique. 3. Voir dans Bossuet (
Traité
de la connaissance de Dieu et de soi-même.) le ch
res. Il s’est publié bien des Manuels de rhétorique, après les grands
traités
de critique, tels que la Lettre et les Dialogues
e, tels que la Lettre et les Dialogues de Fénelon sur l’Éloquence. le
Traité
des Études de Rollin, les Leçons de de Rhétorique
pas née de l’art, mais que l’art était né de l’éloquence. » (Rollin,
Traité
des Études, iii, 1.)2 2° Utilité pratique et bu
les jeunes gens à s’y rendre attentifs, à l’étudier et à l’imiter. » (
Traité
des Études, liv. III, chap. iii, § 7.) Il est fâ
rieuse du discours et les obligeant de se rendre comme malgré eux. » (
Traité
des Études, liv. III, chap. iii, 7.) Toutes les
eunes gens, pour les former à la manière de bien faire un rapport. » (
Traité
des Études, liv. IV, chap. i, 1, vi). Il n’y a p
à leur gré : Le destin des États est arbitre du leur, Et l’ordre des
traités
règle tout dans leur cœur. C’est lui que suit le
es les plus brutes et les plus irrégulières y trouvent leur place. » (
Traité
des Études, liv. III, chap, iii, § iv.) On voit
Rollin l’a développée, d’après les anciens dans le troisième livre du
Traité
des études (ch. III, articles i à iv). Nous lui e
s le privilège exclusif des chefs-d’œuvre oratoires. Fénelon, dans le
Traité
de l’Existence de Dieu, égalait l’abondance et l’
s anciens ou modernes. Voici comme les définit Dumarsais, auteur d’un
traité
complet des figures appelées Tropes : « Qu’est-c
ême fonds de pensée, sans avoir d’autre modification particulière. » (
Traité
des Tropes, art. 1.) Nous croyons que le critiqu
er ici, par la raison bien simple qu’il n’entre pas dans le plan d’un
traité
de littérature d’enseigner à traduire. Qu’il nous
adation, par similitude ou comparaison, et par expolition. Nous avons
traité
de la comparaison et de la gradation à l’article
ue proprement dit, qui occupe le plus haut rang dans ce genre, est un
traité
régulier roulant sur un sujet religieux, philosop
ique. 250. La poésie didactique présente-t-elle des avantages sur les
traités
en prose ? La poésie offre, en ce genre, des ava
i voit-on la poésie prêter ses ornements et sa forme aux plus anciens
traités
didactiques. Tels sont les Proverbes, l’Ecclésias
idactique ; non à la vérité sous une forme aussi stricte que dans les
traités
écrits en prose, mais de manière cependant à mont
t, et que le style oratoire, par exemple, ne peut pas être celui d’un
traité
philosophique. Mais ce qui n’est pas également se
genre de composition fort différent, et tous deux sont supérieurement
traités
dans leur genre : il est facile cependant d’y rec
es plus heureuses de La Fontaine. 4. Ce sujet a été très-fréquemment
traité
avant La Fontaine : il ne devait plus l’être aprè
une analyse de cette fable. 1. On trouve le même sujet précédemment
traité
dans les Nouvelles de Bon. des Perriers (la XIVe)
au temps où nous vivons. Elle ne doit pas non plus, à l’imitation des
traités
de Cicéron et de Quintilien, ramener perpétuellem
ière les beaux endroits de Cicéron, de Quintilien, de Longin, etc… » (
Traité
des études, l. III, c. i.) Fénélon avait dit ava
ire, Dumarsais, Marmontel, Laharpe, H. Blair, le cardinal Maury et le
Traité
de l’art d’écrire que M. Andrieux, de l’Académie
de nos colléges. Crevier est accusé, sans doute avec raison, d’avoir
traité
, dans sa Rhétorique, du genre judiciaire sans con
serait entreprendre un ouvrage immense et vouloir réunir dans un seul
traité
tout ce que peuvent renfermer d’utile une infinit
un seul traité tout ce que peuvent renfermer d’utile une infinité de
traités
volumineux. Je me suis attaché à ce qu’il y a de
os et les nerfs, mais qui les supposent et ne peuvent en tenir lieu (
Traité
des études, tom. 2.) Il est important, sans doute
ettait toutes ces violences, manquait-il à la justice, violait-il les
traités
, rompait-il la paix, ou non ? Fallait-il, ou non,
l’éclat de la tiare : Dès long-temps votre amour pour la religion Est
traité
de révolte et de sédition. Du mérite éclatant cet
examine ce qu’il fallait penser du parti de Pompée, demandait d’être
traité
avec une extrême délicatesse. Tubéron avait taxé
e la rhétorique. » (Art. de penser, 3e. part., ch. 19.) Quintilien a
traité
excellemment l’art des bienséances dans le chapit
re en plusieurs points, quels sont ces points, quel est celui qu’il a
traité
le premier, le second, etc. Tout le monde convien
ose au sénat de Carthage de livrer aux Romains Annibal, violateur des
traités
; Et Vibius Virius, lorsqu’il exhorte les sénateu
ion est donc le partage du sujet en plusieurs points qui doivent être
traités
les uns après les autres, dans l’ordre marqué par
Denys d’Halicarnasse les appelle l’austère, le fleuri, et le moyen. (
Traité
de l’arrangement des mots, ch. 21 et suivans.) Le
qu’il traite, de sorte qu’il puisse les tempérer l’un par l’autre. » (
Traité
des ét., tom. II.) Ce qu’il faut en penser. Ce
arle de près à notre âme par le rapport des sons avec les paroles. » (
Traité
du Sublime, c. 32.) Les anciens y mettaient la
es ombres pour donner du relief, et tout ne doit pas être lumière. » (
Traité
des ét., tome II.) Il est un autre moyen de succ
on dirait bien : « J’ai vécu long-temps avec lui, et je l’ai toujours
traité
avec la même cordialité ; » parce que la préposit
art des règles que nous venons de rappeler sont tirées de l’excellent
traité
de l’art d’écrire par Condillac. Unité. 2°. Si
porte, mais que c’est la passion qui le force à parler sur-le-champ. (
Traité
du Sub., ch. 18.) Exemples de tours énergiques.
des choses, que ne le feraient les mêmes noms au singulier. (Longin,
Traité
du Subl., ch. 19.) 3°. Un nombre certain pour un
é. Correctifs dont elle a besoin ordinairement. Dumarsais, dans son
traité
des tropes, insiste beaucoup sur les correctifs q
dans les orateurs, dans les historiens, etc… « Tel est ce passage du
Traité
de l’amitié où Cicéron vante les prérogatives de
ment susceptibles d’ornemens, de figures : il en est qui veulent être
traités
simplement, gravement ; et d’autres qui peuvent ê
curs. » (Rhét. l. III, c. 3.) Livre quatrième. Après avoir
traité
de tout ce qui concerne l’art de composer un disc
moyens de se former à l’éloquence et à l’art d’écrire. Nous avons
traité
des différens genres de discours, de leur composi
usages du sénat, de la discipline romaine, des droits des alliés, des
traités
, des conventions, des divers intérêts de l’empire
ron lui-même abandonne cette théorie, ouvrage de sa jeunesse, dans le
traité
de l’orateur. (L. II, nos. 103 et 113.) Quintilie
indiquer quelques-uns : Discours où Posthumius prouve la nullité du
traité
de Caudium. Injussu populi nego quidquam… (Tit L
IX.) Discours de Flaminius pour convaincre Nabis d’avoir violé les
traités
. Quibus igitur amicitia violatur ?… (Ibid. l. XX
te dans le plaidoyer de Cicéron, pour A. Cluentius, que sa mère avait
traité
avec une cruauté inouïe. (N°. 11 et seq.) Disposi
s mots. Les anciens y mettaient la plus grande importance. (1). Les
traités
de Cicéron et de Quintilien sur l’art oratoire, s
IX, c. 4.) Denys d’Halicarnasse a donné sur l’arrangement des mots un
traité
qui a principalement pour objet l’harmonie que ce
s complices restés dans Rome. Il annonce à ces derniers qu’ils seront
traités
avec rigueur s’ils persistent dans leurs criminel
apologistes ? On connaîtra sans doute plus aisément comment vous avez
traité
ceux qui vous haïssent, vous accusent et vous pou
es ont été taxées au-dessus de leur force. Vous avez dû, suivant leur
traité
avec nous, leur ordonner de fournir un vaisseau :
ent encore naturellement poussés, ils se l’attachèrent d’abord par un
traité
de commerce, et ensuite par une association. Mess
on a coutume d’y écrire l’avis des premiers sénateurs. Lisez : « On a
traité
de ce qui concerne S. Péducéus. » Le sénatus-cons
Verrès, vous qui êtes si intègre et si fidèle dans l’observation des
traités
, avez-vous commandé aux peuples de Taurominium, q
n a pris la précaution de mettre expressément cette exception dans le
traité
d’alliance : « Qu’ils ne sont pas obligés de four
ns : « Qu’ils sont obligés d’en fournir ; » et que Verrès, malgré ces
traités
, a forcé les peuples de Taurominium de fournir un
ours dans la construction de ce navire que les Taurominiens dans leur
traité
? Qu’on lise les traités. Traités d’alliance des
n de ce navire que les Taurominiens dans leur traité ? Qu’on lise les
traités
. Traités d’alliance des Mamertins et des Tauromin
avire que les Taurominiens dans leur traité ? Qu’on lise les traités.
Traités
d’alliance des Mamertins et des Taurominiens avec
ilèges des alliés et les monuments de l’alliance. Ceux qui, selon les
traités
, auraient dû envoyer à leurs frais et à leurs ris
heté de vous pour de l’argent le droit que nous avions sur eux par le
traité
et la condition que le sénat leur avait imposée.
os ancêtres à leur accorder cette faveur ? Cet article inséré dans le
traité
d’alliance fait avec leur ville laissait comme un
es ? Voilà les agents, les négociateurs qui interprètent l’esprit des
traités
, et qui en assurent l’exécution par leur autorité
vendeur. Mais vous qui vouliez qu’on vous prît pour un interprète des
traités
d’alliance, dites-nous pourquoi vous exigiez du b
les avez dispensés de fournir celui qu’ils devaient, en violation des
traités
. Ainsi vous avez agi en malhonnête homme deux foi
s droits attachés à notre empire, les secours qu’un long usage et les
traités
nous assuraient. Vous venez de voir, juges, comme
s Mamertins de fournir le vaisseau qu’ils devaient aux termes de leur
traité
d’alliance ; c’est pour vous que chez ce même peu
de le frapper sur les flancs, pour lui faire dire qu’il consignerait.
Traité
avec tant de fureur, enlevé comme mort, il expire
s, qui revenaient du fond de la Syrie et de l’Égypte, qui avaient été
traités
avec honneur chez les barbares, parce qu’ils étai
soit si frivole ? Ses objets sont sans doute moins importants que des
traités
entre des couronnes. Mais une pièce de théâtre, q
de leurs passions, plus d’art de combiner des choses opposées, qu’un
traité
qui fera la destinée des nations. Quelques gens d
. Voltaire est le premier, qui, dans son discours de réception, ait
traité
un sujet de littérature, sans s’être néanmoins af
ans l’Académie des belles-lettres. Tous les genres d’érudition y sont
traités
de la manière la plus satisfaisante, tant pour l’
tient, des dépêches qu’on expédie, des mémoires, des conventions, des
traités
qu’on dresse. Sujet des discours politiques.
. » Si nous ne pouvons mettre dans les mains de nos élèves les grands
traités
didactiques d’Aristote et de Cicéron, qu’ils conn
gues sur l’Éloquence rappellent si souvent le Gorgias de Platon et le
traité
de l’Orateur ; La Bruyère, critique subtil et ing
tacher beaucoup de prix, blâme Aristote et quelques autres de n’avoir
traité
des Lieux qu’après avoir donné les règles des Arg
éponses qu’on y oppose sont presque partout les mêmes. Le serment est
traité
de parjure. (Cicer., pro Rabirio Postumo, c. 13.)
la confirmation. Si, dans tout le corps de votre discours, vous aviez
traité
froidement votre sujet, il serait trop tard d’ent
du pathétique. Dans ces républiques où de grands intérêts étaient
traités
au milieu des assemblées de la nation, le ressort
rvation qu’il porta dans toutes les connaissances humaines. Cicéron a
traité
le même sujet avec sa propre expérience (de Orat.
les enfants doivent à leurs pères et mères, lors même qu’ils en sont
traités
avec dureté et avec injustice, rend très difficil
t voir un exemple de ce précepte dans le plaidoyer pour Cluentius 62,
traité
indignement par sa mère63. Cette règle regarde au
onc le partage du discours en divers points qui seront successivement
traités
. Ses principales règles sont, 1º qu’elle soit ent
n troisième se tire de ce que la religion a de plus sacré, la foi des
traités
, l’hospitalité, la reconnaissance. Voilà l’Invent
chaleur ; c’est le devoir de l’Élocution. Voyons comment Tite-Live a
traité
chaque partie. L’entrée, qui tient lieu d’exorde,
ait aucune circonstance omise, aucun mot qui ne porte : 1º la foi des
traités
confirmée par le serment et les sacrifices ; 2º l
end en trois mots les trois parties du premier motif ? fides, pour le
traité
; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le r
en excitant dans l’âme les émotions propres au sujet que l’orateur a
traité
. 1º. La récapitulation (ἀνακεφαλαίωσις, enumerati
s, et nous en jugeons par sentiment. » Denys d’Halicarnasse, dans son
traité
de l’arrangement des mots, c. 11, a développé ain
i enjouement, lorsqu’il y a tant de sujets qui demandent à être ainsi
traités
en tout ou en partie, un homme qui, sans avoir pr
s à Cicéron. Il ne faut jamais perdre de vue cette idée en lisant ses
traités
sur l’art oratoire. Les grands génies ne cherchen
el de Marcellus, chap. 4, ipsam victoriam vicisse videris ; dans le
traité
de l’Amitié, chap. 7, quocirca et absentes adsun
ocrate dans le Gorgias ; ou bien ils ont écrit sur notre art quelques
traités
, qu’ils ont intitulés de l’Art oratoire, comme si
, et que Cicéron (de Orat., II, 24) donne comme un exemple des sujets
traités
par les rhéteurs : Lex peregrinum vetat in murum
en huit livres. Boèce a commenté et développé en sept livres le court
traité
de Cicéron. 28. La Bruyère. 29. Aristote, Rhéto
nes du drame en Grèce. Sur ce point, nous ne pouvons que renvoyer aux
traités
spéciaux : Schneider, De Originibus tragœdiæ græc
] Comparez Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Comparez le
traité
De la Sensation, chap iii et iv. « Ce sont des id
ires qu’elles comportent, on en trouvera d’excellents modèles dans le
Traité
des Etudes de Rollin, et dans la Chrestomathie fr
que le professeur mette entre ses mains les livres, les discours, les
traités
les plus remarquables ; qu’il lui fasse observer
établir des distinctions de ce genre se trouve au commencement de son
traité
sur l’éloquence de Démosthène, traité qui nous es
e trouve au commencement de son traité sur l’éloquence de Démosthène,
traité
qui nous est d’ailleurs parvenu acéphale, comme o
e, livre cité, p. 70) d’où l’on peut conclure que ce sujet avait été
traité
dans le genre comique. On a des fragments du Cycl
enre n’a donc pas de bornes déterminées ; il peut comprendre tous les
traités
, réguliers ou non, sur la philosophie, sur la mor
sont utiles pour conduire au but que nous nous sommes proposé dans ce
traité
, qui est de se former le style ou de s’initier à
ssent en dépendre comme des parties subordonnées, enfin qu’ils soient
traités
assez brièvement pour ne pas arrêter la marche du
ue, Pascal, Bossuet et beaucoup d’autres, ont donné cette forme à des
traités
de philosophie, de religion, de morale, de politi
ou de littérature. Mais cela ne suffit pas pour mettre ces sortes de
traités
au rang des compositions épistolaires proprement
onne déterminée, mais qu’il les a écrites pour le public. Ce sont des
traités
ou des discours qui prennent le ton de dignité qu
ole de Cicéron : Faites qu’il s’aperçoive, à la manière dont il sera
traité
de vous en toutes choses, que ma recommandation n
, 1829), p. 64. Au moment de la réunion des Grecs.] Cet épisode était
traité
dans les Chants Cypriaques, dont l’analyse par le
destinent à la carrière d’orateur. Or, chacun de ces genres pour être
traité
à fond, demande des développements considérables
ênes, Se tournant quelquefois / et n’osant pas pleurer. Petit
traité
de versification. La poésie étant un don de la
ut, et cette synecdoque ne serait du goût de personne. Aussi dans vos
traités
de rhétorique, afin d’embrasser tout l’art, êtes-
er l’imperfection de votre œuvre, lui donnez-vous le titre pompeux de
traité
de littérature. Ces beaux mots ne font point illu
aussi vaste que la littérature. Vos ouvrages restent donc de simples
traités
de Rhétorique, et c’est votre faute s’ils sont dé
essité, dans un sens imitatif, extensif, abusif. De tous ceux qui ont
traité
des figures, M. Fontanier a le mieux développé la
s seuls maîtres dans l’emploi de ces trois dernières figures. 105.
Traité
de la manière d’apprendre les langues. Paris, 176
pliquent aux divers genres d’éloquence. Dans la première partie de ce
Traité
, nous parlerons des règles générales, et dans la
sinon, j’exposerais ma pensée. Mais, puisque le sujet qu’ils ont déjà
traité
tant de fois se trouve encore aujourd’hui soumis
division est le partage du sujet en plusieurs points qui doivent être
traités
les uns après les autres. Ces points sont ordinai
tefois les divisions sont parfaitement marquées. Au reste, dans leurs
traités
didactiques, Cicéron et Quintilien recommandent b
’accessoire du principal, et on croit que le sujet est d’autant mieux
traité
qu’on a pris soin de tout dire. Pour éviter ces d
ortance, et c’est à ces préceptes que se bornaient autrefois tous les
traités
élémentaires. Néanmoins, dans ces derniers temps,
onnaissances quelque chose qui plaît et captive. Tous les sujets sont
traités
à leur tour, sinon avec profondeur, du moins avec
aient laissé de doutes et d’incertitudes dans son esprit. Après avoir
traité
de Dieu d’une manière digne, quoique confuse, il
lles grecques, ou y ramenait les bannis, violait-il la justice et les
traités
? Rompait-il la paix, ou non ? Fallait-il que, da
troisième se tire de ce que la religion a de plus sacré : la foi des
traités
, l’hospitalité, la reconnaissance. Voilà l’invent
ar la forme usitée dans l’école ? Mais voyons comment Tite-Live les a
traités
. Sous sa plume éloquente, tout devient fort, éner
ait aucune circonstance omise, aucun mot qui ne porte : 1º la foi des
traités
confirmés par les serments et par les sacrifices
end en trois mots les trois parties du premier motif ! Fides, pour le
traité
; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le r
2e sect. 11. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XI, c. i. Rollin,
Traité
des Études, l. III, ch. iii, § vi ; Maury, Essai,
à l’article des Figures de pensée. 26. Auteurs à consulter : Longin,
Traité
du sublime, ch. xv-xx ; Cicéron, Orator, 129-139
. iv ; Principes de déclamation, par le P. Champeau, 2e partie Hamon.
Traité
de la prédication, 1 I, ch. ii. 29. Auteurs à co
e Paul sur la prédication) ; Gaichiès, Maximes sur la chaire ; Hamon,
Traité
de la prédication, l. I ; l’abbé Mullois, Cours d
l’éloquence. 40. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XII ; Rollin,
Traité
des études, l. IV, ch. i ; Blair, 4 part., leç.
urs de littérature ; Marcel, Chefs-d’œuvre d’éloquence ; Grandperret,
Traité
de rhétorique, sect. ii, ch. i. 44. Auteurs à co
e nature, place le poème épique entre les deux. Ce serait là, pour un
traité
en prose, un désordre considérable ; dans un poèm
là l’immense difficulté de l’œuvre. C’est en vain que les auteurs de
traités
et de poétiques ont cherché à déterminer et à fai
e de l’épopée. 138. Batteux, de la Forme de l’épopée. 139. Batteux,
Traité
de la poésie épique, ch. 15, 16 et 17. 140. Voy
u circonstances en dehors de la cause, dans ceux dont nous avons déjà
traité
. Des qualités de l’exorde vous conclurez ses défa
exorde d’Isocrate dont Longin fait si justement la critique dans son
Traité
du sublime. Sans être aussi déplacé, le début ne
s laquelle il n’y a plus d’art. Souvent le sujet, pour être dignement
traité
, demande avec la noblesse de l’expression les ima
t les vilains. En conséquence les trois quarts du dictionnaire furent
traités
en gens de bas étage et de mauvaise compagnie ; l
métabole gagne à cette gradation ascendante ou descendante. J’ai déjà
traité
de la gradation ; celle que les mots représentent
e les hiéroglyphes qui reçoivent divers sens, selon les divers sujets
traités
. Il est certain que si M. Delille appelle un cure
parler le langage de la vérité. Le poème didactique est une sorte de
traité
régulier sur un sujet sérieux et utile ; il s’att
rité que nous apprend le savant Huet129, évêque d’Avranches, dans son
Traité
de l’origine des romans. Ce serait donc une erreu
Tome troisième. 4. Division de l’Ecole. Les rhéteurs divisent leurs
traités
en quatre parties : 1° La Rhétorique en général,
s qui entrent dans ce morceau avec celles qui composent le même sujet
traité
par Pradon, et qu’ensuite il nous sera plus aisé
te, par Pradon. Vol. II, nº 9. Comme on le voit, les deux auteurs ont
traité
le même sujet. Ce n’est point sur le plan, sur la
la noblesse. » Égal à tous les emplois, signalé à Louis XIV par son
Traité
de l’éducation des jeunes filles (1687), chef-d’œ
aucun serment jusqu’à ce que Cambrai eût été cédé aux ennemis par un
traité
de paix ; et si le roi désirait que je quittasse,
procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du
Traité
des études, pour donner aux jeunes gens de bons p
’ailleurs, que pouvait-on attendre d’une nation qui avait si rudement
traité
les citoyens de Mytilène, innocents de tout crime
la liberté aux prisonniers Athéniens, si vous faites avec Athènes un
traité
d’alliance, il sera bien évident que vous aurez t
aît de ses cendres, opprime la postérité de Cadmus en lui imposant un
traité
injuste : si les destins ne me permettent pas de
llerai pour Rome les destinées de Troie. Ni les dieux du ciel, ni les
traités
qui suspendent les combats, ni les sommets des Al
commet des injustices. « Ainsi, que ceux parmi vous qui regardent le
traité
comme rompu et les Athéniens comme coupables, se
s Lacédémoniens se partagèrent : le nombre de ceux qui déclaraient le
traité
rompu, fut beaucoup plus considérable. Traduit d
ers, que je garderai comme otages du pacte conclu, jusqu’à ce que les
traités
aient été ratifiés par un consentement général. E
de, roi des Parthes. Celui-ci prenant à témoin les dieux vengeurs des
traités
, confia le commandement d’une armée nombreuse à S
mise, dans toutes les rhétoriques, au premier rang des lieux communs
traités
avec une supériorité dont rien n’approche. « Qu’
icorde, à cette équité royale, nous ne souhaitons pas même qu’il soit
traité
sans miséricorde et sans équité. Mais pour nous,
s sont toujours là pour fournir au besoin des modèles. La plupart des
traités
sur l’art d’écrire sont des rhétoriques où l’on e
ur traiter. Sept mois après, l’Autriche était contrainte de signer le
traité
de Campo-Formio. 1. Remarquez la délicatesse du
pris pour le salut de ce royaume ; ses voyages, ses négociations, ses
traités
, tout ce que sa prudence et son courage opposaien
s variations est un chef-d’œuvre de composition et de style. Dans son
traité
de la Connaissance de Dieu et de soi-même, il par
, ô fortune, et j’attends tes bienfaits, Dit César ; il n’est plus ni
traité
, ni refuge. Ce fleuve traversé, le glaive est not
procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du
Traité
des études, pour donner aux jeunes gens de bons p
ichelieu a démoli la Rochelle et abattu l’hérésie, et que par un seul
traité
, comme par un coup de rets, il a pris trente ou q
Le Seigneur est le protecteur de ma vie, de qui aurai-je peur154 ? »
Traité
de la Concupiscence, chap. 32. Bourdaloue (16
s supérieures de la sagesse chrétienne, Fénelon a laissé d’excellents
traités
philosophiques et religieux, d’éloquents sermons
putation281. Il mourut à Paris en 1741. Rollin fait hommage de son
Traité
des études aux chefs de l’Université. 1. Après
rnes en qui règne pareillement le goût épuré de la saine éloquence.
Traité
des Études 288 : préface. Massillon (1663-174
un jour. Rappelez seulement les victoires, les prises de places, les
traités
glorieux, les magnificences, les événements pompe
s la paix de bonne foi, et que, dans le dessein d’envahir tout, leurs
traités
n’étaient proprement que des suspensions de guerr
’est au projet simplement arrêté, Quand de sa République il a fait le
traité
; Mais à l’effet entier je veux pousser l’idée Qu
u comte de Tufière est, à quelques exagérations près, fort habilement
traité
, et ceux qui l’entourent le font très bien ressor
à Dominique-Jean Goulu, général des Feuillants et auteur de plusieurs
traités
religieux. Il était ennemi de Balzac, et il avait
On peut citer, parmi ses nombreux appréciateurs, M. Villemain, qui a
traité
« de Pascal considéré comme écrivain et comme mor
devant ce verbe. — Ces pensées ont été rappelées par Nicole, dans son
Traité
de la Connaissance de soi-même, c. Ier. 64. Jama
gène, IV. 197. Voy., à ce sujet, le 33e chapitre de Longin, dans son
Traité
du Sublime : « Si l’on doit préférer le médiocre
ètes de l’âme sur le corps et du corps sur l’âme. Descartes, dans son
Traité
des passions, et Bossuet, dans son Traité sur la
l’âme. Descartes, dans son Traité des passions, et Bossuet, dans son
Traité
sur la connaissance de Dieu et de soi-même, ont d
tactu quasi colorari. » 288. Les critiques contradictoires dont le
Traité
des Études fut l’objet, lorsqu’il parut de 1726 à
e tous les siècles ; mais chacun des poètes ou des orateurs qui l’ont
traité
y ont laissé comme l’empreinte de leur génie ou d
illant de cette habileté du sénat romain à éluder les conditions d’un
traité
. Tite-Live, qui s’applique toujours à justifier s
l’absence des féciaux il ne pouvait y avoir, à proprement parler, un
traité
(fœdus), mais une simple convention (sponsio) (li
lui : I, 19. 394. On lira avec intérêt, dans ses Œuvres morales, le
traité
« contre la secte d’Épicure ». J.-J. Rousseau se
au admirait à tel point qu’il eût voulu, disait-il, être son valet, a
traité
avec plus de simplicité, mais aussi avec plus d’o
ivre de l’Éducation des filles. — N’y a-t-il pas, d’ailleurs, tout un
traité
de morale dans ce discours de Molière, chef-d’œuv
Tout ce brusque début, si favorable au genre de l’ode et au sujet ici
traité
, est, on le voit, emprunté aux anciens. — Cet app
e avait composé une épître adressée à Boileau, où il avait moins bien
traité
le satirique français qu’il ne traite ici le sati
en finissant lui a manqué. » 813. Chez les anciens, Euripide avait
traité
ce même sujet, et sa tragédie, qui portail le nom
hommes. 1. Madame de Lambert a dit : « Les enfants aiment à être
traités
en personnes raisonnables ; il faut entretenir en
r lequel il revient en plusieurs endroits de ses ouvrages. La Harpe a
traité
en détail la question des poèmes en prose, et, co
force et de crédit, après avoir été employé dans les plus importants
traités
et avoir assisté toujours honorablement dans le c
e trop bon pour le seigneur Gil Blas de Santillane, qui mérite d’être
traité
comme un prince. » Je fus bien aise qu’il eût rel
même faute dans la phrase suivante : s’il est vrai que ce prince ait
traité
les Catalans attachés à son ennemi, avec tant de
e non moins habite. Il fallait dire ; s’il est vrai que ce prince ait
traité
avec tant de hauteur, les Catalans attachés à son
es ne le sont point. Je conviens, dit du Marsais, dans son excellent
traité
des tropes, qu’on peut bien parler, sans jamais a
oits imitateurs, c’est qu’il possédait à fond tous les sujets qu’il a
traités
; c’est que bien loin d’affecter l’érudition, il
e dans ce genre, Fléchier, Fénelon, etc. (le cardinal de Retz a aussi
traité
ce sujet), qui ont prononcé, d’après un usage don
ans l’opinion commune au xviie siècle, que Lancelot, à la fin de son
Traité
de versification française, n’hésite pas à dire :
ué dans le chapitre d’une cathédrale pour enseigner la théologie. Son
Traité
de la sagesse continue les traditions de Montaign
es livres de la Cité de Dieu de saint Augustin2. Jésus-Christ a ainsi
traité
les sages du monde : de cette sorte il a pacifié
▲