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1 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
IV. Genre didactique. § 20. Définition. — Division du chapitre. —  Traités de sciences. — Histoire de ces ouvrages. Dida
chose. Ces ouvrages sont assez nombreux ; on y distingue surtout les traités , les articles de critique, et les dialogues philo
ticles de critique, et les dialogues philosophiques ou oratoires. Les traités , qu’on pourrait appeler des livres purement didac
tre chose que l’ordre dans l’enseignement. Celui qui veut composer un traité doit s’imaginer d’abord qu’on ne prend la plume q
d défaut encore que ce qui est dit au commencement, ou au milieu d’un traité , eût besoin d’être éclairci par ce qui est dit à
e, et avoir le plus de clarté qu’il est possible37. Le style, dans un traité , n’est pas moins important que la méthode. L’aute
ût de ceux à qui il donne des leçons. Il faut, en un mot, que dans un traité tout soit proportionné à la capacité des esprits
nt l’esprit très pénétrant38. On ne peut donner ici, comme modèle, un traité entier ; je placerai, du moins, quelques lignes d
rofesseur de philosophie et d’éloquence à Athènes, on trouve un petit traité sur la manière d’écrire l’histoire, qui est un ch
osé un grand nombre d’ouvrages. Le seul qui nous soit parvenu est son Traité du sublime, traité admirable par la justesse et l
d’ouvrages. Le seul qui nous soit parvenu est son Traité du sublime, traité admirable par la justesse et la sagesse des réfle
les plus beaux exemples de la véritable éloquence, a montré, dans son traité intitulé Orator, le vrai modèle de l’orateur. Dan
ans, il publia son Institution de l’orateur, ouvrage considérable, et traité le plus complet que nous ayons des anciens sur l’
ayons des anciens sur l’éloquence39. Il est inutile de parler de nos traités . Nous en avons en France sur toutes les matières,
s seuls qui sussent faire un livre. C’est surtout quand il s’agit des traités que l’art de disposer les matières paraît dans to
des ouvrages. Je l’emprunte à l’abbé Desfontaines. Il s’agit de deux traités qui parurent à peu près dans le même temps, et do
s le même temps, et dont l’un est resté plus célèbre que l’autre : le Traité des études de Rollin, et les Règles de l’éloquenc
étoriciens aient des points dogmatiques. Les deux premiers volumes du Traité des études, de M. Rollin, ont paru si pleins d’er
rès mauvais goût. Me sera-t-il permis de hasarder mon jugement sur le Traité des études, de M. Rollin ? Cet auteur me paraît e
sées. Son style est vif et élégant ; mais il y a peu d’ordre dans son traité . Ses fréquentes contradictions font de la peine à
aisanterie délicate. Chez les Latins, Cicéron nous a laissé les beaux traités de l’Amitié, de la Vieillesse, de la Nature des d
é, de la Vieillesse, de la Nature des dieux, qui sont en dialogue. Le traité de l’Orateur est aussi un grand dialogue divisé e
2 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
critiques anciens et modernes, qu’il a su habilement fondre dans ces traités , compléter les uns par les autres et mettre parfa
é. — Toutes les fois que j’en ai l’occasion, je dis bien haut que vos traités sont les meilleurs que je connaisse. Quelques esp
esseur, un asile honorable et bienfaisant dans vos ouvrages. Après le traité de la Poésie, le traité du Style, et bientôt la R
le et bienfaisant dans vos ouvrages. Après le traité de la Poésie, le traité du Style, et bientôt la Rhétorique. Le traité du
traité de la Poésie, le traité du Style, et bientôt la Rhétorique. Le traité du Style, comme celui de la Poésie, présente, à m
re à ignorer quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent Traité de littérature. Je le recommanderai bien volontie
juillet 1879. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature entre les mains, je me suis mis à
le Vicaire général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre Traité de littérature : je veux aujourd’hui vous remerci
Monsieur le Grand-Vicaire, Je viens de prendre connaissance de votre Traité de rhétorique. Faut-il vous dire qu’il m’a ravi e
nt la vérité. Depuis trois ou quatre ans, je suis à la piste d’un bon Traité de rhétorique écrit en vue d’un petit séminaire.
3 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
Préface Le célèbre auteur du Traité des Études désirait qu’on se servît d’une rhétori
éables. Toutefois, au moins pour ce qui concerne la poésie, aucun des traités que nous connaissons ne nous a paru répondre comp
et l’aridité, et ressemblent plutôt à des tables analytiques qu’à des traités destinés aux classes supérieures ; d’autres enfin
à ces inconvénients. Notre but constant a été d’offrir aux élèves un traité clair, exact, méthodique, complet et en même temp
trois unités, les effets des spectacles dramatiques. Voulant faire un traité vraiment didactique et élémentaire, nous avons ad
s semblé regrettable pour l’utilité pratique qui manque à beaucoup de traités … » Enfin, nous avons tenu à faire un ouvrage aus
, nous avons tenu à faire un ouvrage aussi complet que peut l’être un traité classique. A ceux donc qui pourraient trouver not
4 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
e ces allusions, très-rares dans la Poétique, aux auteurs qui avaient traité les mêmes questions avant Aristote. Alcméon.] Suj
ui avaient traité les mêmes questions avant Aristote. Alcméon.] Sujet traité par Sophocle, Euripide, Astydamas, Théodecte, Nic
gathon  et, sous forme de drame satyrique, par Achæus. Oreste.] Sujet traité par Euripide, par Théodecte (Aristote, Rhétorique
us, et par un tragique de date inconnue, Timésithée. Méléagre.] Sujet traité par Euripide, par Antiphon, et par Sosiphane, poë
oëte de la pléiade tragique, contemporain d’Aristote. Télèphe.] Sujet traité par Eschyle, Euripide, Agathon, Iophon, Cléophon
5 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XX. » pp. 117-119
Chapitre XX. Ammonius, dans son commentaire sur le Traité d’Aristote περὶ Ἑρμηνείας, renvoie à ce chapitre
ement qu’Aristote a voulu parler ici de l’accent circonflexe. Voy. le traité d’Accentuation grecque que j’ai publié avec M. Ch
ette édition  Denys le Thrace, ch. xxv, avec ses commentateurs, et le traité spécial d’Apollonius, dans les Anecdota græca de
composés. On trouve chez Aristote des observations semblables dans le traité Du Langage, chap. ii et iv. Voyez sur la finale δ
μία  cf. III, 12. C’est exactement la doctrine qu’on retrouve dans le traité Du Langage, et que commente Ammonius dans un pass
6 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
tique, tout soit proportionné à la capacité des esprits médiocres, et traité dans une juste étendue. L’écrivain doit même reve
philosophie et de littérature. Le seul qui nous soit parvenu, est son Traité du sublime. Il est admirable par la justesse et l
rofesseur de philosophie et d’éloquence à Athènes, on trouve un petit Traité sur la manière d’écrire l’histoire, qui est un ch
ssent, soit pour la manière dont ces objets y sont présentés, sont le Traité des études par Rollin ; les Réflexions sur la poé
vrage, dit que s’il avait pu le connaître lorsqu’il travaillait à son Traité des études, la plume lui serait tombée des mains.
is de Pompignan. Gail en a traduit aussi quelques-uns. Les admirables Traités de la vieillesse, de l’amitié, de la nature des D
7 (1881) Rhétorique et genres littéraires
plus célèbres furent Gorgias, Protagoras, Hippias, Polus. Premiers traités de rhétorique, leur transformation On fait rem
art oratoire environ au cinquième siècle avant J.-C. Ils s’appelèrent Traités de Rhétorique. Plus tard, en prenant de l’extensi
e abrégée, de la Rhétorique. Les uns et les autres sont de véritables Traités de style, de composition et même, de critique lit
les dernières années de la Renaissance et au dix-septième siècle. Les traités de ce genre se multiplièrent au dix-huitième. Not
e 334 — 322 Rhétorique ; — Poétique. Denys d’Halicarnasse 54 ? — 7 Traité de l’arrangement des mots. Après J.-C. Plutar
l’arrangement des mots. Après J.-C. Plutarque 40 ? — 120 ? Pas de traité spécial de Rhétorique ; nombreuses pensées et obs
la manière d’écrire l’histoire. Longin 213 ? — 273 Rhétorique ; —  Traité du sublime. 2° Romains (Imitateurs des Grecs.)
ttre à l’Académie française. XVIIIe siècle. Rollin 1661 — 1741 Traité des études (livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1
— 1741 Traité des études (livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1756 Traité des tropes. L’Abbé Girard 1677 — 1748 Précep
ictor) 1789 — 1865 Nouvelle Rhétorique. Jullien 1798 — 1881 Petit traité de rhétorique et de littérature. Géruzez 1799 —
ce du sentiment. C’est le secret des passions oratoires. (Cf. Rollin, Traité des Études, livre IV, ch. iii, § 7.) Par les pass
partage du sujet en plusieurs points ou subdivisions qui doivent être traités successivement par l’orateur. Elle doit être comp
ion ; 3° la péroraison ou conclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études, livre V, chap. i. Ex. Rapport sur le
Tortue, etc. Le nœud de l’intrigue dans une narration est quelquefois traité sous forme de dialogue, mais il faut que celui-ci
a été employé par les anciens et les modernes dans un grand nombre de traités philosophiques, moraux, littéraires et scientifiq
re, académique, religieux, etc. [Bibliographie] Outre les traités anciens et modernes sur la rhétorique que nous av
ue : Vaudeville, Opéra-comique, etc. 4° Didactique et philosophique Traités religieux, philosophiques, littéraires, artistiqu
au matin l’onde Et L’orage y gronde Le soir, etc. (Le père Mourgues, Traité de la poésie française.) Au moyen âge, le lai fu
onnet était tellement commune au xviie  siècle que Lancelot, dans son Traité de versification française, déclarait qu’il n’y a
vers 160), — dans Fénelon, Lettre à l’Académie, § 6, son projet d’un Traité sur la tragédie, etc. Drame Le drame est un
’à la fin), — dans Fénelon (Lettre à l’Académie, § 7, son projet d’un Traité sur la comédie), etc. Trois sortes de comédie
instruire. Au point de vue scientifique, ils n’ont pas la valeur des traités spéciaux ; au point de vue poétique, ils manquent
brégé des règles de la versification française. — Voir aussi le Petit traité de poésie française, par Th. de Banville, auquel
iphe, acrostiche, bouts rimes, etc. [Bibliographie] Outre les Traités anciens et modernes sur la poésie, et en particul
. Albert : La Poésie, in-12, 1874, 2e édit. ; Th. de Banville, Petit traité de poésie française, in-12 ; F. de Grammont, Les
re de Bossuet ; sous sa modeste forme, elle est supérieure à un lourd traité de philosophie ou à un livre d’histoire écrit d’u
de l’Académie, et du prince régnant. Voltaire est le premier qui ait traité un point de littérature, innovation bientôt suivi
e genre historique devint même chez les rhéteurs un chapitre de leurs Traités sur l’art oratoire. De là cet usage des harangues
ce, aux dix-septième et dix-huitième siècles, le P. Le Bossu dans son traité sur le Poème épique, l’abbé d’Aubignac dans celui
alités, sa division Le genre didactique en prose comprend tous les traités de philosophie, de métaphysique, de littérature,
diviser les ouvrages didactiques en deux classes principales : 1° les traités , c’est-à-dire les livres purement didactiques ; 2
vres purement didactiques ; 2° les œuvres variées, qui, sans être des traités proprement dits, se rattachent plus ou moins par
moins par le fond et par la forme au genre didactique. 1° On appelle traités des ouvrages purement didactiques, où l’écrivain
s vérités, des règles trouvées par l’observation et l’expérience. Ces traités prennent, en général, le nom de l’objet spécial d
ont ils s’occupent. Ex. la Rhétorique et la Poétique d’Aristote, — le Traité des études de Rollin, etc. 2° Il est difficile, p
lue, et surtout une énumération des œuvres variées qui, sans être des traités proprement dits, contiennent cependant des leçons
t, l’écrivain nous les présente sous forme de dissertation morale, de traité , de dialogue philosophique, d’essais, de notices,
modernes. Diverses sortes d’auteurs didactiques Les auteurs de traités didactiques ou d’œuvres variées qui s’y rattachen
publicistes, 4° économistes, 5° moralistes, 6° critiques, auteurs de traités purement didactiques. On appelle philosophes les
es sur ces différentes parties de la philosophie ou même ceux qui ont traité quelque point relatif à l’une d’elles sont des ph
, Locke, Kant, Hegel, etc. Dialogue philosophique Au lieu du traité purement didactique, et pour donner plus de vivac
la métaphysique et la science, etc. Auteurs d’œuvres variées et de traités didactiques On doit ajouter aux philosophes le
les Pensées et Maximes de Joubert, etc. 5° Les critiques, auteurs de traités purement didactiques, recherchent et exposent les
H. d’Urfé, dans le Télémaque de Fénelon et dans quelques pages de son Traité sur l’existence de Dieu, a reparu au dix-huitième
moires, Biographie, Histoire et critique littéraire, Bibliographie. Traités didactiques proprement dits. Traités : 1° religi
ue littéraire, Bibliographie. Traités didactiques proprement dits. Traités  : 1° religieux, 2° philosophiques, 3° littéraires
Œuvres mêlées de prose et de vers [Bibliographie] Outre les traités anciens et modernes que nous avons cités, dans l’
8 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
carteront jamais du chemin de la vertu. Nous avons de la même dame un Traité de l’amitié, trop bien fait pour ne pas intéresse
e ce sentiment délicieux. Un militaire ne doit pas manquer de lire le Traité de la valeur, par Saint-Réal. Il est plein de goû
é de la valeur, par Saint-Réal. Il est plein de goût et de raison. Le Traité de la gloire, par Sacy, ne doit pas être négligé,
toire de Louis, dauphin de France, père de Louis XVI, on a imprimé un Traité de la connoissance des hommes, que le P. Griffet,
avoit composé par l’ordre de ce digne héritier du trône. Après avoir traité de la connoissance des hommes en général, et déve
injustice, ou de l’absurdité, ou de l’imposture et de la calomnie. Le Traité de l’existence de Dieu, par Fénélon, est le premi
ngeur est au ciel ; apprenez à trembler. Nous devons lire ensuite le Traité de la vérité de la religion chrétienne, par Ae. C
ages du délire ou de la mauvaise foi. Il faut joindre à cet excellent traité les Pensées sur la religion, par Pascal, homme de
9 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
ssort très-bien de l’exemple donné plus bas par Aristote : les sujets traités dans les huit ou dix tragédies qu’il cite, se suc
essous neuf ou dix titres de tragédies. Le Jugement des armes.] Sujet traité par Eschyle, et d’après lui, en latin, par Accius
ar Pacuvius. Voy. Hermann, Opuscules, VII, p. 362. Néoptolème.] Sujet traité par Sophocle, sous le titre des Scyriens ou des S
pide peuvent donner une idée du sujet de ces tragédies. Sinon.] Sujet traité par Sophocle. L’Épéus d’Euripide devait offrir à
10 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
ntion de m’astreindre au mécanisme auquel on soumet ordinairement les traités de Rhétorique. La méthode a été poussée si loin,
ni d’utile : car, depuis Aristote et Quintilien, qui les premiers ont traité de la Rhétorique, les préceptes n’ont varié que d
s avant nous ? Pour décider cette question, il suffit de comparer nos traités de Rhétorique aux institutions oratoires de Quint
ssion de Quintilien. Mais si le système est dans la théorie, dans nos traités , il n’est point suivi dans la pratique, dans nos
11 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
s supérieures de la sagesse chrétienne, Fénelon a laissé d’excellents traités philosophiques et religieux, d’éloquents sermons
pas à pas. Virgile. Vous n’avez point suivi Homère quand vous avez traité les amours de Didon. Ce quatrième livre est tout
nd écrivain, jusque-là non édités et très-dignes de l’être. 1. « Le Traité de l’existence de Dieu est l’un des ouvrages les
ice de M. Villemain.) On peut rapprocher de plusieurs chapitres de ce traité les Lettres philosophiques de Fénelon, « ce que n
ce titre : Examen critique des écrivains de la Grèce. 2. Cf. Longin, Traité du Sublime, chap. xxxviii ; Cicéron, Brutus, chap
ui semble lui avoir été dérobée. Nous n’avons dans notre langue aucun traité de l’art oratoire qui renferme plus d’idées saine
12 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
e ces jeunes gens éprouve une invincible répugnance pour les Manuels, Traités , Cours, et en général pour tous les écrits élémen
ssortir le vrai sens, l’application réelle et présente. Assurément un traité de géométrie n’est pas une lecture plus récréativ
nt un traité de géométrie n’est pas une lecture plus récréative qu’un traité de rhétorique, mais l’élève comprend toujours la
ennuyeux et inutile : voilà les deux griefs qu’articulent contre les traités de rhétorique ceux même auxquels ils sont destiné
éorie d’un art l’histoire universelle de cet art. Ce que j’aime en un traité de ce genre, c’est une méthode régulière, mais se
13 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVIII. » pp. 115-116
le mot μέρος un peu plus bas dans ce même chapitre. Les Ajax.] Sujet traité par Eschyle, par Sophocle, par Astydamas, par Thé
Æschyli tragœdiis fata Ajacis et Teucri complexis. Les Ixion.] Sujet traité par Eschyle, par Sophocle, par Euripide et par Ti
plusieurs exemples dans le théâtre d’Eschyle, où un seul sujet était traité en trois tragédies destinées au même concours (vo
14 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
όφος ἡμᾶς ϰινεῖ  Les couleurs ébranlent l’organe de la vue.] Voyez le traité De l’Ame, II, 7 et 8. Sont comme des actes.] Aris
s leurs rapports.] Sur le sens que nous donnons au mot λόγος, voy. le traité de Pachymère dans la Notice de Vincent, p. 401 et
xte : ἤ ὅτι ἡδὺ [μᾶλλον] τὸ θεωρεῖν ἤ τὸ μανθάνειν], et il renvoie au traité De la Sensation, chap. iv : Οὐ γὰρ ϰατὰ τὸ μανθάν
ythme, sur la poésie lyrique et le vers dochmiaque (1846)  Analyse du Traité de métrique et de rhythmique de saint Augustin, i
15 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74
s d’Aristote, par exemple avec ceux des Météorologiques et des petits traités qui suivent le Traité de l’âme. Presque tous les
le avec ceux des Météorologiques et des petits traités qui suivent le Traité de l’âme. Presque tous les genres de musique qui
. Les dialogues Socratiques.] Athénée, XI, p. 505, cite un passage du traité d’Aristote Sur les Poëtes, où l’auteur faisait à
16 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123
tion des mots.] Ὀνομάτων σύνθεσις a-t-il ici le même sens que dans le traité de Denys d’Halicarnasse Ὀνομάτων συνθέσεως, ou ce
n édition des Synonymes grecs d’Ammonius, p. 184-204  les deux petits traités sur le Barbarisme et le Solécisme, publiés par Bo
Sur les licences analogues dans la versification française, voyez le traité de M. L. Quicherat, livre I, chap. viii. Dans un
17 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
posant votre Poétique, vous avez voulu offrir aux jeunes étudiants un traité clair, méthodique, complet en même qu’élémentaire
re à ignorer quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent Traité de littérature. Je le recommanderai bien volontie
le Vicaire général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre Traité de littérature : je veux aujourd’hui vous remerci
juillet 1879. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature entre les mains, je me suis mis à
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
ise4. Un accroissement d’États en Italie pour Votre Majesté ? Mais le traité de Campo-Formio a donné à Votre Majesté ce qui a
sté veut la paix, elle est faite3 : exécutons, de part et d’autre, le traité de Campo-Formio, et consolidons, par des clauses
nties favorables aux petites puissances, et expliquer les articles du traité de Campo-Formio que l’expérience aurait montrés d
nouvelle qu’elle ne lui appartienne2. (Moniteur universel.) 1. Le traité de Campo-Formio venait d’être ratifié par le Dire
ses souverains, François II et Alexandre Ier. Cette victoire amena le traité de Presbourg. 1. Napoléon avait ainsi parlé à
teurs de la Confédération. 2. Fier sans être provocateur. 3. Par le traité de Campo-Formio. 4. Le roi d’Angleterre, Georges
. Le roi d’Angleterre, Georges III, était électeur de Hanovre. 5. Ce traité donnait à l’Autriche la Dalmatie, l’Istrie, les É
19 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
érature demandées par le règlement nouveau qu’il s’agit d’ajouter aux traités ordinaires de rhétorique, et pour lesquelles nous
prose, et d’abord celle des discours prononcés : c’est proprement le traité de rhétorique ; puis l’étude du genre épistolaire
çaise et sa Poétique française en deux volumes. En réduisant ces deux traités , en les débarrassant du fatras métaphysique auque
20 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
règles de l’éloquence. On pourrait d’ailleurs, dans ce cas, mettre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme liv
estions qui, malgré leur importance, trouvent rarement place dans les traités élémentaires, ont été de notre part l’objet d’un
s classes comme exercices pratiques. Mais, sous prétexte de rendre ce traité complet, ne lui avons-nous pas donné une étendue
21 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
s immortels ouvrages ont servi de guides à tous ceux qui, depuis, ont traité ces sujets. Mais il serait imprudent de se jeter
déterminer à lire ses ouvrages. Il lui préfère Longin. Toutefois, le Traité du Sublime ne paraît être qu’un fragment d’un plu
t d’un plus important ouvrage, et la lecture attentive de ce précieux traité semble justifier l’opinion émise par quelques cri
Blair n’ont pas la sécheresse presque toujours inséparable de pareils traités  ; elles sont instructives et agréables, et de bel
tend par sublime de diction. Le sublime de diction. Après avoir traité du sublime dans les objets physiques, nous arrivo
re de frappants exemples. Les Iroquois et les Illinois rédigent leurs traités et leurs actes publics avec des métaphores plus h
emblerait bien difficile, comme l’a fort bien observé un auteur qui a traité ce sujet, de donner une idée exacte de ce que sig
eux de mots et un arrangement ou construction mal conçue. Après avoir traité , dans le dernier chapitre du choix des mots, nous
t brisent l’unité. De la construction de la phrase. Après avoir traité de la clarté et de l’unité, qualités essentielles
. Les auteurs anciens, et particulièrement Cicéron et Quintilien, ont traité cette matière avec un soin qui va jusqu’à la minu
nasse, l’un des plus judicieux critiques de l’antiquité, a composé un traité sur la construction des mots, où il s’applique se
e sur la construction des phrases on pourrait exiger que le sujet fût traité d’une manière plus complète. Dans nos temps moder
derne ne peut raisonnablement espérer d’y parvenir. Cicéron, dans son traité intitulé Orator, s’exprime ainsi : Conciones sæp
res. Ce sujet a toujours fixé l’attention de tous les auteurs qui ont traité de la rhétorique et de la composition. Un des ouv
ine du langage figuré, est sans contredit celui de Dumarsais intitulé Traité des Tropes, pour servir d’introduction à la rhéto
imagination. Elle prend alors le nom de métaphore outrée. Après avoir traité à peu près complètement de la métaphore, je n’ai
opopées, semblables à celle-ci, peuvent être employées, même dans les traités de morale et ouvrages de simple raisonnement ; et
ré, vous vous feriez bientôt vous-mêmes un autre Philippe. » (Longin, Traité du sublime, traduction de Boileau.) Cette forme i
us reste à parler comme complément des qualités secondaires dont j’ai traité jusqu’à présent. Chaque sujet exige un style part
stration ne m’arrêtera pas longtemps. Chacun sent, par exemple, qu’un traité de philosophie n’admet trait pas le style d’un di
re, le mémoire à consulter, les sujets les plus arides, un sermon, un traité philosophique, s’ils sont écrits dans un style cl
licité de la composition, opposée à une trop grande variété de sujets traités . Le précepte suivant d’Horace se rapporte à ce ge
n doit rechercher l’éloquence. Longin en particulier, à la fin de son Traité du sublime, cherchant la raison pourquoi il y ava
s discours d’Isocrate et sur quelques autres orateurs de la Grèce, un traité complet, qui est, suivant mon opinion, l’écrit le
style abondant et harmonieux qu’Isocrate a introduit. Dans un de ses traités (Orat. ad M. Brut.), Cicéron nous informe que Bru
e aujourd’hui sans émotion. On peut voir ce qu’en dit Longin dans son Traité du Sublime, traduction de Boileau. Après la mort
quence. Éloquence romaine. Cicéron. Éloquence moderne. Après avoir traité de l’origine et des divers états de l’éloquence p
appeler éloquence leurs discours oratoires. Quoique Cicéron, dans son traité de claris Oratoribus, parle avec estime du premie
Démosthène. Dans ses réflexions sur la rhétorique et la poésie, petit traité qui accompagne habituellement ses dialogues sur l
condamner ou d’absoudre. Cette division existe dans tous les anciens traités de rhétorique ; elle est suivie et copiée par les
nécessaires à l’orateur. De l’éloquence de la chaire. J’ai déjà traité de l’éloquence des assemblées populaires et de l’
elle et jamais affectée les inspire à l’orateur. Mais nous avons déjà traité avec détail de l’emploi des figures, nous y renvo
outes ses parties. Introduction, narration, explication. J’ai traité dans les chapitres précédents de tout ce qui est
aussi bien servir d’entrée en matière à toute autre histoire, ou à un traité sur un objet quelconque, et, quoique élégantes, e
e ; ce serait une division fort absurde, par exemple, si, après avoir traité des avantages de la vertu, on se proposait de mon
s un mauvais effet. Ces subdivisions peuvent être convenables dans un traité de logique ; mais elles donnent au discours une a
e et Quintilien, et ce que Cicéron a écrit sur cette matière dans son traité de Inventione, ses topiques et son second livre d
des règles pour les mettre en jeu. Aristote, en particulier, dans son traité de Rhétorique, discute avec beaucoup de profondeu
nature des passions. Sous le rapport philosophique, la lecture de ce traité peut être avantageuse ; mais je doute que cette c
du sujet et de l’orateur. Prononciation et débit. Après avoir traité les parties principales de l’art oratoire, il me
son débit. Moyens de se perfectionner dans l’art oratoire. J’ai traité complètement des différents genres d’éloquence, d
et intellectuelles du jeune orateur. Plusieurs critiques français ont traité avec succès de l’éloquence. Fénelon, Rollin, Batt
écrivains puissent être d’une grande utilité, aucun d’eux ne forme un traité complet d’art oratoire. Les essais d’institutions
tant, et y introduisit le raisonnement et le bon sens. C’est dans son traité de rhétorique que l’on peut trouver quelques-unes
uvrage le plus important qu’il nous ait transmis sur ce sujet est son traité de Oratore, divisé en trois livres ; aucune des œ
res idées de Cicéron sur l’éloquence. L’Orator ad Brutum est aussi un traité important ; et, en général, les ouvrages de rhéto
22 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « OBSERVATIONS DE L'AUTEUR. » p. 
OBSERVATIONS DE L'AUTEUR. La dernière édition de ce Traité d’élégance et de versification latine, malgré l’a
que nous inspire un travail sérieux, cette troisième édition de notre Traité d’élégance et de versification à la critique des
23 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVII. Genre épistolaire. »
de confondre avec les lettres véritables des ouvrages complets, soit traités philosophiques ou didactiques, soit romans, qui s
ue l’imagination et la manière d’être de chaque individu ; nous avons traité cette matière au complet dans la première partie
24 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
ur l’esprit de la reine-régente. C’est à lui que nous devons ces deux traités si avantageux pour la France ; celui de Westphali
Westphalie, signé en 1648, et celui des Pyrénées, en 1659. Ce dernier traité fut, suivant le président Hénault, le fruit des r
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
t presque toutes sur des sujets trop vagues ou trop étendus pour être traités avec avantage dans les bornes que les convenances
e M. de Chateaubriand occupe et conservera un rang à part, et qu’il a traité un genre dans lequel il n’est point à désirer qu’
ut ce qui caractérise la marche du génie. L’ouvrage enfin fut reçu et traité par les appréciateurs éclairés, avec cette espèce
e, d’éloquence, une poétique enfin de tous les beaux arts, au lieu de traités théologiques sur la nécessité et la vérité de la
ui n’y avaient point encore été entendues. Mais la première base d’un traité quelconque, est que les intérêts des parties cont
’autre. Or, dans cette alliance de la philosophie et de la poésie, le traité ne fut pas maintenu longtemps dans son intégrité 
26 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
tte pièce d’Hellé, dont le sujet, du reste, tenait à ceux du Phrixus, traité par Euripide, et de l’Athamas, traité par Sophocl
este, tenait à ceux du Phrixus, traité par Euripide, et de l’Athamas, traité par Sophocle et par Xénoclès. Voilà pourquoi, etc
27 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
sous le nom d’Aristote : Logique. — L’Organon, groupe formé par les traités suivants : Catégories. De l’Élocution. Premières
(sûrement apocryphe). Physique et Physiologie. — Leçons de physique. Traité du ciel. De la génération. Les Météorologiques. T
s de physique. Traité du ciel. De la génération. Les Météorologiques. Traité du monde (sûrement apocryphe). De l’âme. De la se
maque, en 10 livres. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres. Traité des vertus. Des vertus et des vices. La Politique
ont de relatif soit à la méthode générale du Stagirite, soit aux deux traités qu’on va lire. Il est bon de déterminer tout d’ab
erprétation de la Poétique. C’est aussi l’éditeur et traducteur de ce traité auquel notre travail doit le plus, bien qu’il ait
e en doute l’utilité, dans notre temps, d’une étude approfondie de ce traité , il suffirait, pour être détrompé, de relire le t
t et fort, où l’on se pique de préférer des raisons à des phrases, le traité d’Aristote doit être le livre classique de tous c
ateur, une éthique de l’orateur, et que c’est ce qui doit composer un traité de rhétorique, Cependant de ces deux choses, les
re IIIe de la Rhétorique, Aristote établit que personne avant lui n’a traité de l’action oratoire, et le paragraphe où il déte
la pensée générale qui a présidé à la composition de l’ouvrage. « Un traité de rhétorique, dit-il, doit être rédigé tout enti
nt du vue de l’opinion, etc. » (L. III, ch. i, § 5.) Quant au plan du traité , L. Spengel a cherché à démontrer que, pour le li
période comprise entre 334 et 324. Parmi les modernes, Max Schmidt a traité le sujet ex professo. (Commentatio de tempore quo
s la Rhétorique, et par conséquent a dû composer, antérieurement à ce traité , les Premières Analytiques, les Méthodiques (ouvr
etorica, t. I, p. 10), d’après H. Usener (Mus. rhen., xx, p. 133), ce traité aurait eu pour exégètes Eustathe, Métrophane, Nic
gues précités, il faut considérer ces auteurs comme ayant composé des traités de rhétorique, ou, ajouterons-nous, des commentai
nsia, t. I, p. 245-312. Étienne a composé aussi un commentaire sur le traité aristotélique de l’Élocution et sur les Éthiques.
ns publiés, d’autres inédits, et parmi ceux-ci, un commentaire sur le traité de l’âme dont un manuscrit, le seul connu en Fran
notera seulement ici que, dans les premières lignes, il considère ce traité comme dédié à Théodecte, mais il ne dit pas sur q
llection de manuscrits grecs, donna aussi, en 1837, une édition de ce traité avec traduction française. Spengel dit de la prem
r de donner à une tragédie les proportions d’une épopée. — Des sujets traités dans les chants du chœur. I. Il y a, dans toute
enfin par l’acuité, la gravité et leur intermédiaire. C’est dans les traités de métrique qu’il convient de considérer ces dive
osition146, serait évidemment intolérable si un mauvais poète l’avait traité  ; mais Homère a beaucoup d’autres qualités pour d
des mieux policées, ces rhéteurs n’auraient rien à mettre dans leurs traités . V. Parmi tous les hommes, les uns pensent que le
l n’est pas exact de dire, comme le font quelques-uns de ceux qui ont traité de la rhétorique, — que la probité de l’orateur n
u’il s’agisse des hommes, des paroles ou des actions. Mais nous avons traité séparément la question des choses plaisantes dans
cédentes385. Dans les pages relatives aux discours délibératifs, on a traité de la grandeur des biens et, généralement, du plu
d’une application indéterminée, mais ceux qui ont trait au sujet même traité dans le discours et en se renfermant, le plus sou
t là un lieu d’enthymème et une variété qui constitue tout le premier traité de Théodore. XXIX. Un autre se tire du nom, comme
, à bien la considérer, elle paraît être futile ; seulement, comme un traité de rhétorique doit d’un bout à l’autre être rédig
se rapporte à notre objet505. Quant à l’autre, on en a parlé dans le traité sur la Poétique 506. Chapitre II Sur les qu
de l’élégance, ce sont d’autres termes qui ont été expliqués dans le traité de la Poétique. En effet, la substitution d’un mo
assions et les mœurs, et cela dans une juste proportion avec le sujet traité . II. Il y aura juste proportion si l’on ne parle
décret de Miltiade617. » Iphicrate, sur ce que les Athéniens avaient traité avec ceux d’Épidaure et les habitants de la côte,
ne paix faite dans ces conditions630. » — C’est comme de dire : « Les traités , ce sont des trophées bien plus glorieux que ceux
nt pour un faible avantage et par l’effet d’un hasard, tandis que les traités sont le fruit de toute la guerre631. » En effet,
que les traités sont le fruit de toute la guerre631. » En effet, les traités c’est comme les trophées : ils sont, les uns et l
ion est vaine et frivole ; c’est ainsi que procède Lycimnius dans son traité , où il emploie les dénominations de ἐπούρωσις (im
rs et dans les poèmes épiques (l’exorde) est comme un aperçu du sujet traité , afin que l’on voie d’avance de quoi il s’agit et
ilà pourquoi ce n’est qu’après avoir combattu ou bien tous les points traités , ou les plus importants, ou ceux que l’auditoire
ir en sentences : « Il faut que les hommes de sens712 contractent des traités pendant qu’ils sont heureux ; car, dans ces condi
enant, sous forme d’enthymème : « En effet, si c’est au moment où les traités sont le plus utiles et le plus profitables qu’il
et le plus profitables qu’il faut les conclure, il faut conclure des traités pendant que la fortune est prospère. » Chapitr
is le passage annoncé ne se retrouve pas dans ce qui nous reste de ce traité . En 1858, M. Barthélemy Saint-Hilaire, dans sa tr
reuse qu’elles ont en présence de la réalité. » M. Egger a de nouveau traité , en passant, cette question de la catharsis dans
sons des tragédies. 71. Probablement dans les Διδασκαλίαι et dans le traité περὶ τραγῳδιῶν, ouvrages mentionnés par Diogène L
e point de vue. Nous adoptons la vulgate. 252. Aristote a composé un traité des vertus et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 25
philolog., p. 62. 422. Cp. Topiques, ii, 3, 2, éd. Buhle, où il est traité non pas du mot ὀρθός, mais de καλόν. Peut-être fa
ισις, le jeu de l’orateur comme du comédien, τοῦ ὑποκρίτου. 494. Ont traité de l’action poétique. Sur Glaucon, cp. Poétique,
28 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
intilien, ou se reporter à ce que Cicéron a écrit à ce sujet dans son traité de l’Invention, dans ses Topiques, et dans le sec
n desquelles on pouvait les produire. Aristote, dans sa Rhétorique, a traité de la nature des passions avec autant de profonde
antage sur ce sujet, malgré toute son importance. Quintilien, qui l’a traité avec beaucoup de sens, se donne la peine de nous
. Lecture XXXIII. De la prononciation ou du débit. Après avoir traité de tout ce qui concerne l’éloquence ou l’art de p
. Lecture XXXIV. Moyens de faire des progrès en éloquence. J’ai traité complètement des différents genres de discours, d
arle ou qui déclame en public, que d’un homme qui écrit un livre. Ses traités de politique (car ce sont les seuls dont je veuil
s reste maintenant à examiner de quelle utilité peut être l’étude des traités de critique et de rhétorique pour ceux qui veulen
e soumettre aux règles du bon sens et du raisonnement. C’est dans son Traité de Rhétorique que les écrivains postérieurs ont p
profond sur le cœur de l’homme et sur les passions ; quoique dans ce traité , comme dans ses autres écrits, sa grande concisio
tention. Le plus considérable de ses écrits sur cette matière est son traité de l’Orateur, divisé en trois livres. Dans aucun
ucun de ses ouvrages il n’a porté la perfection plus loin que dans ce traité . Le dialogue en est élégant, les caractères parfa
. L’ouvrage intitulé l’Orateur, et adressé à M. Brutus, est encore un traité fort important. Dans tous ses écrits, en général,
forme par elle-même un tout subordonné à l’ensemble, lequel peut être traité d’une manière très complète, et se rapporter très
e, dans la Vie d’Agricola, en parlant de la manière dont celui-ci fut traité par Domitien, fait l’observation suivante : Prop
actuellement quelques remarques sur ceux qui, parmi les modernes, ont traité ce genre avec le plus de talent. C’est incontesta
st soumis à des règles fixes et clairement déterminées. Nous en avons traité avez assez d’étendue dans les deux Lectures précé
crivains de l’antiquité, comme Platon et Cicéron, nous ont laissé des traités philosophiques composés avec élégance et remplis
quoiqu’en général il serait dangereux d’imiter son style. Le célèbre Traité sur l’entendement humain, par M. Locke, peut être
es de goût, celle d’un dialogue ou d’une conversation. Les principaux traités de philosophie des anciens sont présentés de cett
aractérisés que ceux de Platon. Quelques-uns cependant, comme dans le traité de l’Orateur, sont agréables et bien conduits. Il
M. Harris et quelques autres auteurs, ont écrit de cette manière des traités de philosophie ; mais cela ne suffit pas pour met
des traités de philosophie ; mais cela ne suffit pas pour mettre ces traités au nombre des compositions épistolaires. Bien qu’
ques, cependant elle n’entre pour rien dans un grand nombre de sujets traités par les poètes, dans ces descriptions, par exempl
sujets charmants pourrait admettre la poésie pastorale, s’ils étaient traités par un poète habile. Occupons-nous maintenant de
dignité, et que dans tous les siècles un grand nombre d’écrivains ont traité avec succès. Ce qui caractérise particulièrement
s qu’il a choisis, que par la manière brusque et rapide dont il les a traités , que malgré la beauté de son expression, nous le
De la poésie didactique et de la poésie descriptive. Après avoir traité de la poésie pastorale et de la poésie lyrique, n
ffère donc que par la forme, et non par son but et par sa nature, des traités en prose de morale, de philosophie et de critique
sances et la profondeur de son jugement. Ce genre de poésie peut être traité de différentes manières. Ou le poète choisit un s
de poésie, l’on place au premier rang les ouvrages qui renferment un traité régulier sur quelque sujet utile, sérieux ou phil
i, qu’ils soient aussi strictement observés dans un poème que dans un traité en prose ; cependant il faut qu’ils y dominent as
’exposer les règles de la poésie dramatique, on trouvera que c’est un traité beaucoup plus complet et plus régulier, que si on
de la peste, et plusieurs développements particuliers que l’auteur a traités avec une élégance remarquable, et sur lesquels il
sur certains caractères ; le poète ne se propose point d’en former un traité régulier en s’astreignant aux lois rigoureuses de
nd la matière qui va nous occuper, pourront lire avec fruit le savant traité du docteur Lowth, intitulé De sacra Poesi Hebræor
Le poète, en effet, ne songe pas à établir en philosophe le plan d’un traité moral ; son génie s’enflamme à l’idée d’une actio
encore ils y forment un très bel ornement lorsqu’ils sont habilement traités . Voici les règles qu’il convient de suivre à cet
leux qui n’aurait pas manqué d’y paraître déplacé, quelque habilement traité qu’il pût être. L’on ne pouvait sensément faire i
à regarder la Henriade comme son chef-d’œuvre, et il me semble avoir traité la tragédie avec beaucoup plus de succès que l’ép
ets aussi simples, et même en apparence aussi pauvres, sont cependant traités par Sophocle avec tant d’art, qu’ils deviennent,
ral, de celle des Grecs, des Français et des Anglais. Après avoir traité de la tragédie sous le rapport de l’action, nous
d’œil sur l’histoire de ses progrès, et sur la manière dont il a été traité chez les différentes nations. L’on pense générale
; l’expression sublime est dans la réticence. Voici comme Marmontel a traité l’article Sublime dans ses Éléments de Littératur
comparé des anciens et des modernes. Tome II, page 51. Voltaire a traité trois fois cette question curieuse. D’abord, il e
t bizarre ; Pour Danchet elle est fort avare, Mais Racine en fut bien traité Tibulle était guidé par elle ; Mais pour notre am
sage ; il faut qu’il conserve un air de vraisemblance, et qu’il soit traité avec goût. Les critiques les plus judicieux n’ont
ême plus ou moins, comme tous les autres, selon qu’il est bien ou mal traité . « Il est inférieur à la comédie et à la tragédie
scènes qui n’en offrent plus ou moins : quelques-unes ne sont que des traités de morale dialogués. C’est aller à l’utile sans d
Voici comme s’exprime un auteur du dix-septième siècle qui a écrit un traité en vers sur le geste et la voix de l’orateur : L
Latins et des Anglais. 16. Ce sujet est très bien développé dans le traité de lord Monboddo sur l’Origine et les progrès du
e, l’Homme des champs, chant IV.) 29. L’auteur qui, de nos jours, a traité le plus sévèrement Homère, M. de Lamotte, accorde
it quel genre est le meilleur, je répondrais : Celui qui est le mieux traité . » (Voltaire.) 54. « Ce Lachapelle était un rec
29 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — De la Poétique » pp. 2-4
1. Qu’est-ce que la Poétique ? La Poétique ou l’Art poétique est un traité de l’art de la poésie. On donne ce nom à la colle
rincipaux ou grands genres, et genres secondaires. Par conséquent, ce traité se divisera en deux parties : dans la première, n
30 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
’est ainsi que Garnier, dans son Histoire de France, désapprouvant un traité que signa Louis XII avec César Borgia, au nom du
subjugué la Chine. Le P. Bougeant, jésuite, dans sa belle Histoire du traité de Westphalie, à laquelle on a réuni celle des gu
e on a réuni celle des guerres et des négociations qui précédèrent ce traité . Ces deux ouvrages contiennent l’exposé de l’état
encement du dix-septième siècle jusqu’en 1648, époque où ce mémorable traité fut signé. L’auteur y montre partout des talents
arquis de Torcy, pour servir à l’histoire des négociations, depuis le traité de Riswick en 1697, jusqu’à la paix d’Utrecht, en
f d’Eresse, ville de Lesbos, et disciple d’Aristote, nous a laissé un Traité des plantes, très curieux, traduit aussi en latin
31 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
toute composition littéraire. De là cette division si connue dans les traités sur les belles-lettres : invention, disposition,
bares et choquants pour l’oreille. Dans un ouvrage scientifique ou un traité de philosophie, on est forcé de parler le langage
jet qu’on ne puisse développer sous forme de lettre ; mais les divers traités religieux, philosophiques et littéraires, où l’on
plupart des maisons d’éducation, on met entre les mains des élèves un traité spécial pour l’Art épistolaire. Nous laisserons d
que proprement dit. 543. Le poème didactique proprement dit est un traité régulier qui roule sur un sujet religieux, scient
ttéraire. Il trace les règles de l’art qu’il veut enseigner comme les traités en prose, mais il a sur eux l’avantage de la vers
l’enchaînement des idées, mais un ordre moins rigoureux que dans les traités en prose ; 3º embellir le sujet de tous les charm
er cette guerre. On élève des autels au milieu des armées. On fait un traité par lequel Lavinie doit être le prix du vainqueur
38. Le style est-il dépendant du savoir ? 39. Comment divisez-vous le traité du style ? 40. Qu’est-ce que bien écrire et d’où
, ch. iii ; Ernest Hello, Le Style. 4. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii ; Rollin, Traité des études,
. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii ; Rollin, Traité des études, liv. III, ch. iii; le P. Bouhours, La
l’abbé Tuet, Guide des humanistes. 5. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii ; Quintilien, Institution or
la composition, IIIe part., ch. ii. 6. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xv ; Marmontel, Élém. de litt., a
ch. i, ii, iii : Blair, Leçons de littérature, IIIe partie ; Rollin, Traité des études, liv. III, ch. iii ; Crevier, Rhétoriq
ittérature, section Ire, chap. iii. 9. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, chap. xvi-xxx ; Cicéron, De oratore,
r, Leçons de littérature, IIIe part., leç. 14, 15 et 16 ; De Calonne, Traité de la narration, IIIe part. 10. Auteurs à consul
Traité de la narration, IIIe part. 10. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xxxvii, xxxviii ; Cicéron, Orator
sublime, ch. xxxvii, xxxviii ; Cicéron, Orator, nºs 162-236 ; Rollin, Traité des études, liv. II, ch. xi, art. 2 ; Le Batteux,
de littérature, sect. 1re, ch. v. 11. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, chap. xiii et xiv ; Quintilien, Insti
s, chap. iv et v ; Marmontel, art. Imitation. Traduction ; Dom Jamin, Traité de la lecture. 12. Le Guide du jeune littérateu
on ; Collombet, Cours de littérature, sect. Ire, ch. vi ; De Calonne, Traité de la narration ; Fresse-Montval, Traité de la na
t. Ire, ch. vi ; De Calonne, Traité de la narration ; Fresse-Montval, Traité de la narration et de l’analyse littéraire. 16.
n ; Collombet, Cours de littérature, ch. vi, art. ii. 17. Voir notre Traité de l’art épistolaire. 18. Auteurs à consulter :
uits à un même principe, 3e partie ; Blair, Lecture xxxviii ; Rollin, Traité des études, liv. II ; Marmontel, art. Poésie, Poè
eçons de rhétorique, leç. xxxviii ; Marmontel, art. Vers ; Quicherat, Traité de la versification française. 22. Auteurs à con
. 22. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 6e  traité  ; Marmontel, Éléments de littérature, art. Lyriqu
. 23. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 4e  traité  ; Rollin, Traité des études, liv. II, de la lectu
consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 4e traité ; Rollin, Traité des études, liv. II, de la lecture d’Homère ; Bla
. 24. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 5e  traité  ; Blair, leç. xlv, xlvi ; Marmontel, articles Dra
25. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 7e  traité  ; Blair, Leçons de rhétorique, leç. xl ; Marmonte
. 27. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de littérature, 8e  traité  ; Marmontel, Éléments de littérature, art. Épigra
32 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
e but, et les détours, et les écueils du chemin. « Ce n’est point aux traités de rhétorique, dit Quintilien, qu’on doit l’inven
st que les rhéteurs ne se servent que d’exemples plus vieux que leurs traités , et empruntés aux orateurs, sans rien dire de nou
e. Et c’est pour cela, et aussi parce que ces trois objets, pour être traités à fond, demanderaient un autre livre tout entier,
33 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
arranger dans l’ordre où elles peuvent former des ouvrages. Le Petit traité des formes des figures et des qualités du style e
acune a les siens propres ; les anciens, qui ne songeaient dans leurs traités qu’aux discours du barreau, les rapportaient à si
n un jour. Rappelez seulement les victoires, les prises de place, les traités glorieux, les magnificences, les événements pompe
ndre, des obstacles à lever, enfin des mémoires, des conventions, des traités à dresser29. Les discours relatifs à ces grands i
et extrinsèques. 5. Domairon, Rhét, des Preuves. 6. Voyez le Petit traité des figures, § 40, p. 80. 7. Petit traité des f
uves. 6. Voyez le Petit traité des figures, § 40, p. 80. 7. Petit traité des figures, lieu cité. 8. Petit traité des fig
es, § 40, p. 80. 7. Petit traité des figures, lieu cité. 8. Petit traité des figures, § 33, p. 114. 9. La question consis
de littérature. 30. Domairon, Rhét, Discours politiques. 31. Petit traité des figures et des formes de style, § 61, p. 148.
34 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
es traducteurs furent forcés d’avouer qu’il manquait à leur langue un traité de littérature aussi succinct, aussi clair, et en
i le détermina à se livrer à ce travail. Certainement, parmi tous les traités de rhétorique et de belles-lettres que nous possé
lui une excellente traduction d’un ouvrage aussi recommandable que ce Traité de rhétorique, dont personne ne pouvait mieux que
ultat de ses idées et de ses réflexions sur chacun des sujets qu’il a traités , et la majeure partie de ce travail est tout à fa
els avantages elles peuvent retirer de l’étude qui fait l’objet de ce traité . Pour elles, la rhétorique n’est pas tant un art
er par Alexandre après une honorable défense, comment il voulait être traité , il répondit, En roi . César dit au pilote qui,
composition. Lecture IV. Du sublime dans le style. APRÈS avoir traité de la grandeur et du sublime dans les objets exté
s ne pas être obligé de dire que le célèbre critique Longin, dans son traité sur ce sujet, a trop souvent pris le mot sublime
là le plan que devait suivre un auteur qui se proposait de publier un traité de rhétorique ou. des beautés du style en général
ue ou. des beautés du style en général, et non celui de l’auteur d’un traité du sublime ; car de ces cinq divisions, les deux
l’on crût que par cette censure je veuille rabaisser le mérite de son traité , car je ne connais aucun critique ancien ou moder
que, comme l’observe fort plaisamment le docteur Arbuthnot, dans son traité on the Art of sinking 10, il a représenté la mont
à donner la préférence, nous trouvons toujours des écrivains qui ont traité les sujets qui nous plaisent le plus. Si l’éloque
pleines d’images. Les Iroquois et les Illinois se servent, dans leurs traités et dans toutes leurs transactions politiques, de
ne ou d’un auteur, rarement il l’indique par son propre nom. Dans son traité intitulé Avis à un auteur, il consacre deux ou tr
ogue consommé ; » c’est encore ainsi que, dans un autre endroit de ce traité , pour désigner Homère, Socrate et Platon, il les
mondes de Fontenelle : « Le premier, dit-il, n’a pu finir son savant traité sans faire le panégyrique de la science moderne,
te de la précédente.] De la construction des phrases. Après avoir traité de la clarté et de l’unité, après avoir montré co
e phrase de Milton comme un exemple d’harmonie: elle est tirée de son Traité sur l’Éducation : We shall conduct you to a hill
l’un des critiques les plus judicieux de l’antiquité, qui a écrit un traité sur la composition des mots dans une période, ne
ns, enfin, les sons en rapport avec le sens. Chacun de ces points est traité avec autant d’exactitude que de goût, et son livr
lequel les anciens devaient s’y appliquer davantage. Cicéron dans son traité de l’Orateur, nous dit : Conciones sæpe exclamar
rté dans les mots seulement, et ensuite dans les phrases ; j’ai aussi traité de l’ornement que donne au style une construction
a place importante que les tropes et les figures ont occupée dans les traités de rhétorique, le soin admirable que l’on a mis à
nable d’introduire une métaphore vile ou triviale. On trouve, dans le Traité de Dean Swift, une collection complète et origina
issent du sujet même et l’embellissent toujours. J’ai voulu donner un traité presque complet de la métaphore et des règles qui
urtes personnifications peuvent être très bien placées, même dans des traités de morale, ou dans des ouvrages de pur raisonneme
nt très bien s’appliquer à toutes les autres. Je crois avoir donné un traité complet de la métaphore, la plus commune de toute
omparaisons, qu’elles ne sont pas, commes les figures dont nous avons traité dans les Lectures précédentes, l’expression des p
faible, énergique, sec, uni, soigné, élégant, fleuri. Après avoir traité avec quelque étendue des figures du langage, de l
dente, que je ne m’arrêterai pas à la prouver. Chacun sent bien qu’un traité de philosophie, par exemple, ne peut pas être écr
ivain. Ce sont assurément deux genres de composition bien différents, traités en effet d’une manière bien différente ; cependan
preuve de plus de capacité. Tous ses sujets, sérieux ou badins, sont traités en maître. Il connaissait mieux que qui que ce fû
on lira toujours avec plaisir un sermon ou un ouvrage de philosophie traité de cette manière. Dire qu’un style est élégant, c
ai commencé à faire connaître les caractères généraux du style ; j’ai traité du style concis et développé, nerveux et faible.
sidérerait comme un de nos meilleurs écrivains, si les sujets qu’il a traités avaient toujours été à la hauteur de sa manière d
a d’éloquence que dans un État libre. Longin surtout, à la fin de son Traité du Sublime, donne un beau développement à cette i
les harangues d’Isocrate et sur celles de quelques orateurs grecs, un traité que je regarde comme un des meilleurs morceaux de
ver à ce que nous appelons l’éloquence ; et lorsque Cicéron, dans son Traité des orateurs célèbres, attribue quelque mérite à
. Et pourquoi cela ? parce qu’il n’avait pas eu l’avantage de lire le traité d’Aristote sur la rhétorique, où, dit notre criti
rateurs comme Cicéron et Démosthène apprennent autre part que dans un traité de rhétorique l’art de connaître les hommes et de
se, la flatterie, le firent enfin disparaître. Le forum, où s’étaient traités de si grands intérêts, fut désormais désert. On p
t absoudre ou condamner. Cette division, suivie dans tous les anciens traités de rhétorique, a été adoptée par les modernes qui
coutent. C’est là que sont bien placées ces figures hardies dont j’ai traité plus haut, et que j’ai considérées comme le langa
depuis longtemps accoutumé à de pareilles bassesses. Il avait fait un traité avec Oppianicus, et lui avait demandé une somme q
sujets de ses discours sont nobles et imposants par eux-mêmes ; mais, traités si souvent, ils sont devenus familiers à tout le
seulement alors, il pourra chercher à connaître comment d’autres ont traité le même sujet. Par ce moyen, sa méthode et ses pr
iis eussent également convenu à toute autre histoire, ou même à tout traité quelconque, et quoiqu’ils aient véritablement des
fin produisent toujours un mauvais effet. Elles peuvent convenir à un traité de logique ; mais elles donnent à un discours de
la musique ou la peinture, a été bien prouvée par M. Harris dans son Traité sur la musique et la poésie. Le principal avantag
6. Voyez Dissertation sur la formation des langues, par Adam Smith. —  Traité sur l’origine et les progrès du langage, 6 vol. —
pes de Grammaire, par Dumarsais. — Grammaire générale et raisonnée. —  Traité de la formation mécanique des langues, par le pré
oin ses recherches sur ce sujet, est le président de Brosses dans son Traité de la formation mécanique des langues. Les lettre
imèrent les chefs des cinq nations du Canada lorsqu’ils conclurent un traité de paix avec les Anglais : « Nous sommes heureux
gage ; mais il est probable, ainsi que l’a prouvé le savant auteur du Traité sur l’origine et les progrès du langage (t. I, p.
la plus exacte, peuvent consulter l’Hermès de M. Harris, ainsi que le Traité sur l’origine et les progrès du langage, t. II, p
ir apporté la plus grande attention à la construction des phrases. Le traité de Démétrius de Phalère Περὶ ἐρμηνείας [Sur l’int
ngement des mots, que souvent elles nous sembleraient minutieuses. Le traité de Denys d’Halicarnasse, Περὶ συνθέσεως ὀνομάτων
ù règne un morne effroi. (Trad. de Delille.) 42. Tous ceux qui ont traité de la rhétorique ou de la composition ont beaucou
véritable instruction, est M. Dumarsais, dont l’ouvrage est intitulé Traité des Tropes pour servir d’introduction à la Rhétor
même oraison, il apostrophe l’île des Faisans, devenue célèbre par le traité des Pyrénées et le mariage d’une princesse d’Espa
35 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bourdaloue 1632-1704 » pp. 89-93
nité du siècle, décriés et calomniés ! combien de dévots de bonne foi traités d’hypocrites, d’intrigants et d’intéressés ! comb
ier le douloureux état, combien sont négligés ! combien sont durement traités  ! combien manquent de tout, pendant que le riche
36 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
a en quelque sorte sa rhétorique ou sa poétique particulière. Que de traités du poëme épique ! que de volumes sur la tragédie
composition en prose. Ainsi, à propos du récit, par exemple, point de traité sur la manière d’écrire l’histoire ou le roman, m
ve jusqu’à la synthèse : ainsi plusieurs des dialogues de Platon, des traités de Condillac, des ouvrages de Bernardin de Saint-
37 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
entation. Pour cette dernière partie nous pourrions donc renvoyer aux traités ex professo sur la matière. On comprend maintenan
èce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de logique ; mais ce peu de mots peut suffire, ce
ication beaucoup plus répandue. Aristote, et après lui la plupart des traités de rhétorique, divisent l’éloquence en trois genr
38 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
te que lorsqu’on a touehé le but. « Italiam ! Italiam !…. je finis le traité des fiefs où la plupart des auteurs l’ont commenc
e conclusion, tracées par la raison et les rhéteurs. 60. Aristote a traité celle question dans la Poétique. 61. Remarques
Providence. Je m’étonnerais tort qu’aucun poëte tragique n’ait encore traité ce sujet, si je n’en trouvais un motif suffisant
39 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
us parler des règles de la Rhétorique : vous les trouverez dans vingt traités , et vos maîtres vous les expliqueront mieux que m
n’ont pas subi de changement, que tous les modernes qui ont fait des traités de Rhétorique ont copié les anciens, et que, pour
irconstances, à la nature du procès, au caractère de l’auditoire. Les traités ne les enseignent pas, le bon sens les trouve et
40 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
çaise, tome III, p. 180-240  Batteux, Principes de la Littérature, Ve traité   et l’article Tragédie dans les Éléments de Marmo
Observation que l’on retrouve souvent dans Aristote, surtout dans ses traités de morale. Voyez aussi dans la Physique, II, 6, u
41 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
l’éloquence est affaire d’expérience et non de théorie. III les traités de cicéron Ce que n’avaient pu faire les éléga
s Romains. Mais celui de tous qui a le mieux connu son sujet et qui a traité le plus éloquemment de l’éloquence, c’est sans co
st reproduit, que je sache, à aucune autre époque, et qui donne à ses Traités un prix inestimable. Ce mot de Traités ne doit pa
tre époque, et qui donne à ses Traités un prix inestimable. Ce mot de Traités ne doit pas vous effrayer. La méthode de Cicéron
our y parvenir, il y a autant d’avis différents que d’auteurs qui ont traité cette matière. Pourquoi ? Parce que ces moyens so
z de ses forces pour rejeter les conseils de l’expérience. Jamais les traités de l’art militaire n’ont formé un grand capitaine
a vie des peuples et les relations des particuliers : droit des gens, traités , commerce, industrie, politique, histoire, morale
42 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
, la santé, le présent et l’avenir, ai-je relu dans mes promenades ce Traité des devoirs de Cicéron2, le code le plus parfait
ition Hachette). 2. Ailleurs M. de Sacy juge ainsi Cicéron : « Son traité sur les devoirs, De Officiis, restera l’ouvrage d
berté n’ont pas fléchi. Dans ses lettres, dans ses discours, dans ses traités de philosophie et de rhétorique, tout respire je
43 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
la noblesse. » Égal à tous les emplois, signalé à Louis XIV par son Traité de l’éducation des jeunes filles (1687), chef-d’œ
de Cicéron, au commencement du IIe Dialogue. Voyez aussi dans Rollin, Traité des Études, livre IV, chap I, art. 1, § 3, Jugeme
avec celle de Démosthène. Le parallèle des deux orateurs a encore été traité par Fénelon dans un des Dialogues des Morts (le x
ns, par Quintilien, Institutiones Oratoriœ, x, I, 106, et par Longin, Traité du Sublime, section xii ; chap. x de la traductio
Lyon, et martyr sous l’empereur Septime Sévère en 202. Il a écrit un traité des Hérésies, en cinq livres ; il n’en reste que
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256
que fondées que soient les objections opposées à l’abbé d’Olivet, son Traité des longues et des brèves renferme bien des remar
les deux rhéteurs latins ne négligent pas l’harmonie ; l’un, dans le Traité de l’orateur, l’autre, au livre IX des Institutio
vertu de l’harmonie, opposez l’un à l’autre deux écrivains qui aient traité la même pensée, l’un dans un langage harmonieux,
45 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
inir la quatrième sorte de critique1. Celle-ci se rapproche plus d’un traité  ; elle a la prétention de régler les plaisirs de
, nous avons involontairement en vue le genre tel que La Fontaine l’a traité . Cependant Ésope, Phèdre, ses deux modèles dans l
par des fables devenues classiques. Il publia en 1765 le Laocoon, ou traité des Limites de la peinture et de la poésie. 2.
46 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
eut un jour, dit Monteil, huit ou dix alphabets différents, quarante traités d’orthographe, trente systèmes de prononciation o
ginaires. Il les développe avec une complaisance systématique dans un Traité célèbre composé de trois livres où, considérant l
utres. Tel est l’emploi d’icel (ecce-ille), et d’icest, celui, celle, traités comme adjectifs démonstratifs dans ces locutions 
re édition d’Anacréon, des traductions de Théocrite et de Pindare, le Traité de la conformité du françois avec le grec (1569),
ce dévot personnage. 1. Maigret, grammairien qui publia en 1542 un Traité touchant le commun usage de l’écriture, et en 155
47 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
pour ancien ; jadis pour autrefois ; soudain pour aussitôt, etc. Les traités spéciaux de versification donnent la liste de ces
à part. 68. Domairon, Poét., de la Poésie en général. 69. Petit traité des figures, § 68, p. 175.
48 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
n du mot : il peut être tout entier d’imagination ; mais il doit être traité selon les règles de la vérité. Si vous me dites d
ni dégoûtants, Le poète veut dire évidemment que tout sujet peut être traité convenablement, si on le prend dans la nature, et
ecter, même par les hommes vicieux. Je suis bien surpris qu’aucun des traités de Rhétorique que l’on met entre les mains de la
49 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ors, se présenteront à lui comme les signes d’idées déjà connues. Traité de rhétorique. Sommaire. Définition. — Éloque
i elle suffit en toutes circonstances. — Origine de l’art. — Premiers traités de Rhétorique. — Définition du Discours. — Divers
cours. — Divers Genres, etc. — Division. [Introduction.] Tout traité commence par la définition et la division de l’ob
ultiver et à perfectionner les beaux-arts, ont donné les premiers des traités de rhétorique. Les Romains, qui ont imité les Gre
’art de la parole. Mais quelque bons que puissent être ces différents traités , il faut toujours remonter aux sources, qui, chez
s, sauf quelques légères modifications. Questions. Par quoi tout Traité doit-il commencer ? — Qu’est-ce que la Rhétorique
s ? — Comment ont-ils été transmis ? — Quel peuple donna les premiers Traités de rhétorique ? — Qu’ont écrit, à Rome, sur cet a
e la vérité rigoureuse. Dans l’oraison funèbre de Turenne, Fléchier a traité cette figure de deux manières différentes. Pour r
n’ont jamais surpris dans un mouvement irrégulier, etc. » Boileau a traité cette figure d’une manière gracieuse et plaisante
e Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d’Achab les res
ce livre utile aux élèves et surtout aux professeurs 3. L’excellent traité des Synonymes de l’abbé Girard pourra être d’un u
50 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
sont les seuls qui doivent ici nous intéresser. Tels sont de nombreux traités sur la soumission à la volonté de Dieu, sur les j
, mais d’une âme si forte et si élevée. « Je suis ravie, dit-elle, du Traité des moyens de conserver la paix avec les hommes :
51 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
morale la plus élevée. (Montpellier, novembre 1888.) Nicole, dans son Traité de la Comédie (1659), avait fort maltraité le thé
que nous, me soulevaient le cœur. » (Clermont, août 1883.) Dans son traité d’éducation intitulé Émile, J.-J. Rousseau s’indi
tpellier, avril 1889.) Lettre du prince de Condé à Louis XIV, lors du traité des Pyrénées, pour solliciter sa rentrée en grâce
ennes, l’Angleterre, la France, la Hollande et l’Allemagne, depuis le traité d’Utrecht (1713) jusqu’à nos jours. (Lyon, juille
française a-t-elle produit ses chefs d’œuvre ? Quels sujets a-t-elle traités de préférence ? Quels personnages, quels devoirs,
octobre 1879). Racontez sommairement le règne de Louis XIV depuis le traité de Ryswick jusqu’à la mort du roi. (Paris, octobr
1879). Donnez une idée de la cour de Louis XIV à Versailles, après le traité de Nimègue (1678). Montrez le grand roi, dans son
la première fois à Paris en 1640. Corneille en a emprunté le sujet au traité de Sénèque sur la clémence où il raconte la scène
un acte de réparation et de justice vraiment digne de lui. Sujets traités Lettre de Vaugelas à un de ses amis de prov
Je n’ai pas dit la vérité aux rois, face à face, et ils ne m’ont pas traité comme Callisthène, mais Lysimaque recouvra ses di
deur, diplomate, ministre. Vous avez formé des alliances, préparé des traités , vous avez vu la guerre, écrivez vos mémoires et
aque, Ilermione et Monime ! Une seule idée domine dans le Projet d’un traité sur la Tragédie et même dans toute la Lettre à l’
s deux adversaires se communiquant leurs idées personnelles, le sujet traité pourra être envisagé de diverses manières. L’un a
it inspirée pour élever sa fille et son fils des idées de l’auteur du Traité sur l’éducation des filles et du Télémaque. On su
s verront la voie par où elles doivent passer. Au vrai, c’est tout un traité du style que les auteurs des rapports offrent au
on pas montré ? dans les sermons de Bossuet et de Bourdaloue, dans le Traité des passions de Descartes, dans les chefs-d’œuvre
on des néologismes ? Ce sujet n’a pas été, tant s’en faut, compris ni traité aussi bien qu’il nous était permis de l’espérer. 
ependant, et d’un intérêt facile à comprendre, n’a été convenablement traité dans ses diverses parties que par un assez petit
ière de la duchesse de Beauvilliers que Fénelon composa, en 1687, son Traité de l’éducation des filles. Avant la publication d
687, son Traité de l’éducation des filles. Avant la publication de ce traité , Fénelon, dans ses lettres à la Duchesse ou dans
s une forme charmante, toute une doctrine, toute une méthode, tout un traité de rhétorique qu’il est indispensable d’étudier d
. (Picard et Kaan.) On y trouve un grand nombre de sujets indiqués et traités par des professeurs. Concours de 1883. (Or
individus a fait défaut. Une de nos agrégées, chargée de raconter les traités intervenus entre la France et l’Europe de 1795 à
é d’élocution, mais elle n’a pas trouvé un mot de blâme pour l’inique traité de Campo Formio, pour la rupture du traité d’Amie
mot de blâme pour l’inique traité de Campo Formio, pour la rupture du traité d’Amiens, pour tant d’actes de folle ambition si
re ou le baccalauréat, il était bien évident que le sujet devait être traité à l’aide de la linguistique moderne, et c’est ain
ère représentation d’Andromaque. Ce sujet avait été fort agréablement traité , parce qu’il était restreint. Les études, les lec
s, il est vrai, n’ont guère parlé ni du style ni de la langue, et ont traité de La Fontaine en général, de l’agrément de ses f
s d’agrégation. Dans les copies les plus faibles le sujet est surtout traité d’une façon vague et superficielle. Le plan a été
. Non seulement le sujet était généralement bien connu, mais il a été traité avec une exactitude et une précision suffisantes.
aie ? La discussion ne vaut-elle pas par elle-même, et selon le sujet traité , et selon la manière dont elle est menée, et selo
galté de style existant par elle-même, en dehors du genre et du style traités , en dehors de la pensée de l’écrivain, nous ne la
fallait une science minutieuse des limites et des caractères du genre traité , une unité savante dans l’ensemble de l’œuvre, un
té dans la vie scolaire et dans les occupations du ménage. – Dans son traité De l’éducation des filles, Fénelon demande qu’on
d’une main prodigue. Le plan, le dessin d’un ouvrage méthodique, d’un traité systématique n’existe pas chez lui. Mais on écout
. – Histoire littéraire. – A supposer que tous les mémoires, tous les traités spéciaux qui déroulent à nos yeux l’histoire litt
genres cultivés par les écrivains. C’est ainsi qu’on y trouve tout un traité de poésie. Un jeune poète commençait-il à tourner
faut, et, loin de relever le sexe, ne servent qu’à le déshonorer. » ( Traité des études.) – La Rochefoucauld a dit que la pré
es. – Parfois quelques sujets d’un caractère scientifique ont dû être traités . Nous renvoyons aux écoles scientifiques pour les
en général, pouvoir donner les principales dates des batailles et des traités contenus dans le cours inscrit au programme, mais
ls ne devront pas se contenter de puiser leurs connaissances dans des traités à l’usage des classes, mais prendre des notes dan
dition est inutile. Il s’agit simplement de savoir les batailles, les traités , dont tout homme bien élevé est tenu de pouvoir p
panneaux de cette tapisserie, en indiquant le sujet qui pouvait être traité sur chacun d’eux. Il sera bon d’ajouter au récit
e savez-vous sur Mazarin ? A quelles guerres a-t-il participé ? Quels traités a-t-il signés ? A-t-il protégé les arts ? Éco
andidats. Il fallait ne pas le raconter par le menu, ne pas citer les traités , les batailles, les dates, mais le dominer, en sa
rine et pour la défense de la France. – Catherine II, au lendemain du traité d’Iassy (1792), écrit au gouverneur des provinces
gent l’alliance de la Russie en 1718. PLAN. 1er Paragraphe. – Les traités d’Utrecht ont changé l’équilibre des États : la F
et de chroniques comme ceux de MM. H. de Parville, Grandeau, etc, des traités de vulgarisation comme ceux de J. Fabre. Ils appr
et des conquêtes réalisées par Richelieu. Mazarin est là. En 1659, le traité des Pyrénées a déjà été signé avant l’avènement p
n Allemagne ; à sa mort, Louis XIV est trop heureux d’avoir signé les traités d’Utrecht. 3° Paragraphe. – Henri IV a Sully – P
 La frontière française du Nord et de l’Est depuis 1780. – Les grands traités de paix du règne de Louis XIV. – Les grands trait
780. – Les grands traités de paix du règne de Louis XIV. – Les grands traités de paix du règne de Louis XV. – Comment s’est fai
n de la langue française à l’étranger et aux colonies. Le sujet y est traité avec une ampleur et une éloquence qui consacrèren
bicoques allemandes à la possession assurée du Canada, signaient des traités « non en marchands, mais en rois ». Et c’est ains
4 Programme de la classe de Quatrième moderne 66 Plans 69 Sujets traités 85 Devoirs d’élèves 131 ENSEIGNEMENT SECONDAIR
52 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
er cette antiquité que nous révérons dans les autres. (Préface sur le Traité du vide. 1647-1651.) Misère de l’homme Qu
vait créé les mathématiques : qui, à seize, avait fait le plus savant traité des coniques qu’on eût vu depuis l’antiquité ; qu
oyal a contribué à la ruine de la scolastique. 3. Voir dans Bossuet ( Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même.) le ch
53 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
res. Il s’est publié bien des Manuels de rhétorique, après les grands traités de critique, tels que la Lettre et les Dialogues
e, tels que la Lettre et les Dialogues de Fénelon sur l’Éloquence. le Traité des Études de Rollin, les Leçons de de Rhétorique
pas née de l’art, mais que l’art était né de l’éloquence. » (Rollin, Traité des Études, iii, 1.)2 2° Utilité pratique et bu
les jeunes gens à s’y rendre attentifs, à l’étudier et à l’imiter. » ( Traité des Études, liv. III, chap. iii, § 7.) Il est fâ
rieuse du discours et les obligeant de se rendre comme malgré eux. » ( Traité des Études, liv. III, chap. iii, 7.) Toutes les
eunes gens, pour les former à la manière de bien faire un rapport. » ( Traité des Études, liv. IV, chap. i, 1, vi). Il n’y a p
à leur gré : Le destin des États est arbitre du leur, Et l’ordre des traités règle tout dans leur cœur. C’est lui que suit le
es les plus brutes et les plus irrégulières y trouvent leur place. » ( Traité des Études, liv. III, chap, iii, § iv.) On voit
Rollin l’a développée, d’après les anciens dans le troisième livre du Traité des études (ch. III, articles i à iv). Nous lui e
s le privilège exclusif des chefs-d’œuvre oratoires. Fénelon, dans le Traité de l’Existence de Dieu, égalait l’abondance et l’
s anciens ou modernes. Voici comme les définit Dumarsais, auteur d’un traité complet des figures appelées Tropes : « Qu’est-c
ême fonds de pensée, sans avoir d’autre modification particulière. » ( Traité des Tropes, art. 1.) Nous croyons que le critiqu
54 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
er ici, par la raison bien simple qu’il n’entre pas dans le plan d’un traité de littérature d’enseigner à traduire. Qu’il nous
adation, par similitude ou comparaison, et par expolition. Nous avons traité de la comparaison et de la gradation à l’article
55 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
ue proprement dit, qui occupe le plus haut rang dans ce genre, est un traité régulier roulant sur un sujet religieux, philosop
ique. 250. La poésie didactique présente-t-elle des avantages sur les traités en prose ? La poésie offre, en ce genre, des ava
i voit-on la poésie prêter ses ornements et sa forme aux plus anciens traités didactiques. Tels sont les Proverbes, l’Ecclésias
idactique ; non à la vérité sous une forme aussi stricte que dans les traités écrits en prose, mais de manière cependant à mont
56 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
t, et que le style oratoire, par exemple, ne peut pas être celui d’un traité philosophique. Mais ce qui n’est pas également se
genre de composition fort différent, et tous deux sont supérieurement traités dans leur genre : il est facile cependant d’y rec
57 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
es plus heureuses de La Fontaine. 4. Ce sujet a été très-fréquemment traité avant La Fontaine : il ne devait plus l’être aprè
une analyse de cette fable. 1. On trouve le même sujet précédemment traité dans les Nouvelles de Bon. des Perriers (la XIVe)
58 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
au temps où nous vivons. Elle ne doit pas non plus, à l’imitation des traités de Cicéron et de Quintilien, ramener perpétuellem
ière les beaux endroits de Cicéron, de Quintilien, de Longin, etc… » ( Traité des études, l. III, c. i.) Fénélon avait dit ava
ire, Dumarsais, Marmontel, Laharpe, H. Blair, le cardinal Maury et le Traité de l’art d’écrire que M. Andrieux, de l’Académie
de nos colléges. Crevier est accusé, sans doute avec raison, d’avoir traité , dans sa Rhétorique, du genre judiciaire sans con
serait entreprendre un ouvrage immense et vouloir réunir dans un seul traité tout ce que peuvent renfermer d’utile une infinit
un seul traité tout ce que peuvent renfermer d’utile une infinité de traités volumineux. Je me suis attaché à ce qu’il y a de
os et les nerfs, mais qui les supposent et ne peuvent en tenir lieu ( Traité des études, tom. 2.) Il est important, sans doute
ettait toutes ces violences, manquait-il à la justice, violait-il les traités , rompait-il la paix, ou non ? Fallait-il, ou non,
l’éclat de la tiare : Dès long-temps votre amour pour la religion Est traité de révolte et de sédition. Du mérite éclatant cet
examine ce qu’il fallait penser du parti de Pompée, demandait d’être traité avec une extrême délicatesse. Tubéron avait taxé
e la rhétorique. » (Art. de penser, 3e. part., ch. 19.) Quintilien a traité excellemment l’art des bienséances dans le chapit
re en plusieurs points, quels sont ces points, quel est celui qu’il a traité le premier, le second, etc. Tout le monde convien
ose au sénat de Carthage de livrer aux Romains Annibal, violateur des traités  ; Et Vibius Virius, lorsqu’il exhorte les sénateu
ion est donc le partage du sujet en plusieurs points qui doivent être traités les uns après les autres, dans l’ordre marqué par
Denys d’Halicarnasse les appelle l’austère, le fleuri, et le moyen. ( Traité de l’arrangement des mots, ch. 21 et suivans.) Le
qu’il traite, de sorte qu’il puisse les tempérer l’un par l’autre. » ( Traité des ét., tom. II.) Ce qu’il faut en penser. Ce
arle de près à notre âme par le rapport des sons avec les paroles. » ( Traité du Sublime, c. 32.) Les anciens y mettaient la
es ombres pour donner du relief, et tout ne doit pas être lumière. » ( Traité des ét., tome II.) Il est un autre moyen de succ
on dirait bien : « J’ai vécu long-temps avec lui, et je l’ai toujours traité avec la même cordialité ; » parce que la préposit
art des règles que nous venons de rappeler sont tirées de l’excellent traité de l’art d’écrire par Condillac. Unité. 2°. Si
porte, mais que c’est la passion qui le force à parler sur-le-champ. ( Traité du Sub., ch. 18.) Exemples de tours énergiques.
des choses, que ne le feraient les mêmes noms au singulier. (Longin, Traité du Subl., ch. 19.) 3°. Un nombre certain pour un
é. Correctifs dont elle a besoin ordinairement. Dumarsais, dans son traité des tropes, insiste beaucoup sur les correctifs q
dans les orateurs, dans les historiens, etc… « Tel est ce passage du Traité de l’amitié où Cicéron vante les prérogatives de
ment susceptibles d’ornemens, de figures : il en est qui veulent être traités simplement, gravement ; et d’autres qui peuvent ê
curs. » (Rhét. l. III, c. 3.) Livre quatrième. Après avoir traité de tout ce qui concerne l’art de composer un disc
moyens de se former à l’éloquence et à l’art d’écrire. Nous avons traité des différens genres de discours, de leur composi
usages du sénat, de la discipline romaine, des droits des alliés, des traités , des conventions, des divers intérêts de l’empire
ron lui-même abandonne cette théorie, ouvrage de sa jeunesse, dans le traité de l’orateur. (L. II, nos. 103 et 113.) Quintilie
indiquer quelques-uns : Discours où Posthumius prouve la nullité du traité de Caudium. Injussu populi nego quidquam… (Tit L
 IX.) Discours de Flaminius pour convaincre Nabis d’avoir violé les traités . Quibus igitur amicitia violatur ?… (Ibid. l. XX
te dans le plaidoyer de Cicéron, pour A. Cluentius, que sa mère avait traité avec une cruauté inouïe. (N°. 11 et seq.) Disposi
s mots. Les anciens y mettaient la plus grande importance. (1). Les traités de Cicéron et de Quintilien sur l’art oratoire, s
IX, c. 4.) Denys d’Halicarnasse a donné sur l’arrangement des mots un traité qui a principalement pour objet l’harmonie que ce
59 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
s complices restés dans Rome. Il annonce à ces derniers qu’ils seront traités avec rigueur s’ils persistent dans leurs criminel
apologistes ? On connaîtra sans doute plus aisément comment vous avez traité ceux qui vous haïssent, vous accusent et vous pou
es ont été taxées au-dessus de leur force. Vous avez dû, suivant leur traité avec nous, leur ordonner de fournir un vaisseau :
ent encore naturellement poussés, ils se l’attachèrent d’abord par un traité de commerce, et ensuite par une association. Mess
on a coutume d’y écrire l’avis des premiers sénateurs. Lisez : « On a traité de ce qui concerne S. Péducéus. » Le sénatus-cons
Verrès, vous qui êtes si intègre et si fidèle dans l’observation des traités , avez-vous commandé aux peuples de Taurominium, q
n a pris la précaution de mettre expressément cette exception dans le traité d’alliance : « Qu’ils ne sont pas obligés de four
ns : « Qu’ils sont obligés d’en fournir ; » et que Verrès, malgré ces traités , a forcé les peuples de Taurominium de fournir un
ours dans la construction de ce navire que les Taurominiens dans leur traité  ? Qu’on lise les traités. Traités d’alliance des
n de ce navire que les Taurominiens dans leur traité ? Qu’on lise les traités . Traités d’alliance des Mamertins et des Tauromin
avire que les Taurominiens dans leur traité ? Qu’on lise les traités. Traités d’alliance des Mamertins et des Taurominiens avec
ilèges des alliés et les monuments de l’alliance. Ceux qui, selon les traités , auraient dû envoyer à leurs frais et à leurs ris
heté de vous pour de l’argent le droit que nous avions sur eux par le traité et la condition que le sénat leur avait imposée.
os ancêtres à leur accorder cette faveur ? Cet article inséré dans le traité d’alliance fait avec leur ville laissait comme un
es ? Voilà les agents, les négociateurs qui interprètent l’esprit des traités , et qui en assurent l’exécution par leur autorité
vendeur. Mais vous qui vouliez qu’on vous prît pour un interprète des traités d’alliance, dites-nous pourquoi vous exigiez du b
les avez dispensés de fournir celui qu’ils devaient, en violation des traités . Ainsi vous avez agi en malhonnête homme deux foi
s droits attachés à notre empire, les secours qu’un long usage et les traités nous assuraient. Vous venez de voir, juges, comme
s Mamertins de fournir le vaisseau qu’ils devaient aux termes de leur traité d’alliance ; c’est pour vous que chez ce même peu
de le frapper sur les flancs, pour lui faire dire qu’il consignerait. Traité avec tant de fureur, enlevé comme mort, il expire
s, qui revenaient du fond de la Syrie et de l’Égypte, qui avaient été traités avec honneur chez les barbares, parce qu’ils étai
60 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
soit si frivole ? Ses objets sont sans doute moins importants que des traités entre des couronnes. Mais une pièce de théâtre, q
de leurs passions, plus d’art de combiner des choses opposées, qu’un traité qui fera la destinée des nations. Quelques gens d
. Voltaire est le premier, qui, dans son discours de réception, ait traité un sujet de littérature, sans s’être néanmoins af
ans l’Académie des belles-lettres. Tous les genres d’érudition y sont traités de la manière la plus satisfaisante, tant pour l’
tient, des dépêches qu’on expédie, des mémoires, des conventions, des traités qu’on dresse. Sujet des discours politiques.
61 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
. » Si nous ne pouvons mettre dans les mains de nos élèves les grands traités didactiques d’Aristote et de Cicéron, qu’ils conn
gues sur l’Éloquence rappellent si souvent le Gorgias de Platon et le traité de l’Orateur ; La Bruyère, critique subtil et ing
tacher beaucoup de prix, blâme Aristote et quelques autres de n’avoir traité des Lieux qu’après avoir donné les règles des Arg
éponses qu’on y oppose sont presque partout les mêmes. Le serment est traité de parjure. (Cicer., pro Rabirio Postumo, c. 13.)
la confirmation. Si, dans tout le corps de votre discours, vous aviez traité froidement votre sujet, il serait trop tard d’ent
du pathétique. Dans ces républiques où de grands intérêts étaient traités au milieu des assemblées de la nation, le ressort
rvation qu’il porta dans toutes les connaissances humaines. Cicéron a traité le même sujet avec sa propre expérience (de Orat.
les enfants doivent à leurs pères et mères, lors même qu’ils en sont traités avec dureté et avec injustice, rend très difficil
t voir un exemple de ce précepte dans le plaidoyer pour Cluentius 62, traité indignement par sa mère63. Cette règle regarde au
onc le partage du discours en divers points qui seront successivement traités . Ses principales règles sont, 1º qu’elle soit ent
n troisième se tire de ce que la religion a de plus sacré, la foi des traités , l’hospitalité, la reconnaissance. Voilà l’Invent
chaleur ; c’est le devoir de l’Élocution. Voyons comment Tite-Live a traité chaque partie. L’entrée, qui tient lieu d’exorde,
ait aucune circonstance omise, aucun mot qui ne porte : 1º la foi des traités confirmée par le serment et les sacrifices ; 2º l
end en trois mots les trois parties du premier motif ? fides, pour le traité  ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le r
en excitant dans l’âme les émotions propres au sujet que l’orateur a traité . 1º. La récapitulation (ἀνακεφαλαίωσις, enumerati
s, et nous en jugeons par sentiment. » Denys d’Halicarnasse, dans son traité de l’arrangement des mots, c. 11, a développé ain
i enjouement, lorsqu’il y a tant de sujets qui demandent à être ainsi traités en tout ou en partie, un homme qui, sans avoir pr
s à Cicéron. Il ne faut jamais perdre de vue cette idée en lisant ses traités sur l’art oratoire. Les grands génies ne cherchen
el de Marcellus, chap. 4, ipsam victoriam vicisse videris  ; dans le traité de l’Amitié, chap. 7, quocirca et absentes adsun
ocrate dans le Gorgias ; ou bien ils ont écrit sur notre art quelques traités , qu’ils ont intitulés de l’Art oratoire, comme si
, et que Cicéron (de Orat., II, 24) donne comme un exemple des sujets traités par les rhéteurs : Lex peregrinum vetat in murum
en huit livres. Boèce a commenté et développé en sept livres le court traité de Cicéron. 28. La Bruyère. 29. Aristote, Rhéto
62 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre III. » p. 77
nes du drame en Grèce. Sur ce point, nous ne pouvons que renvoyer aux traités spéciaux : Schneider, De Originibus tragœdiæ græc
63 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
] Comparez Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Comparez le traité De la Sensation, chap iii et iv. « Ce sont des id
64 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
ires qu’elles comportent, on en trouvera d’excellents modèles dans le Traité des Etudes de Rollin, et dans la Chrestomathie fr
que le professeur mette entre ses mains les livres, les discours, les traités les plus remarquables ; qu’il lui fasse observer
65 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
établir des distinctions de ce genre se trouve au commencement de son traité sur l’éloquence de Démosthène, traité qui nous es
e trouve au commencement de son traité sur l’éloquence de Démosthène, traité qui nous est d’ailleurs parvenu acéphale, comme o
66 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre II. » pp. 75-76
e, livre cité, p. 70)  d’où l’on peut conclure que ce sujet avait été traité dans le genre comique. On a des fragments du Cycl
67 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
enre n’a donc pas de bornes déterminées ; il peut comprendre tous les traités , réguliers ou non, sur la philosophie, sur la mor
68 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
sont utiles pour conduire au but que nous nous sommes proposé dans ce traité , qui est de se former le style ou de s’initier à
ssent en dépendre comme des parties subordonnées, enfin qu’ils soient traités assez brièvement pour ne pas arrêter la marche du
ue, Pascal, Bossuet et beaucoup d’autres, ont donné cette forme à des traités de philosophie, de religion, de morale, de politi
ou de littérature. Mais cela ne suffit pas pour mettre ces sortes de traités au rang des compositions épistolaires proprement
onne déterminée, mais qu’il les a écrites pour le public. Ce sont des traités ou des discours qui prennent le ton de dignité qu
ole de Cicéron : Faites qu’il s’aperçoive, à la manière dont il sera traité de vous en toutes choses, que ma recommandation n
69 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VIII. » pp. 96-97
, 1829), p. 64. Au moment de la réunion des Grecs.] Cet épisode était traité dans les Chants Cypriaques, dont l’analyse par le
70 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
destinent à la carrière d’orateur. Or, chacun de ces genres pour être traité à fond, demande des développements considérables
ênes, Se tournant quelquefois / et n’osant pas pleurer.   Petit traité de versification. La poésie étant un don de la
ut, et cette synecdoque ne serait du goût de personne. Aussi dans vos traités de rhétorique, afin d’embrasser tout l’art, êtes-
er l’imperfection de votre œuvre, lui donnez-vous le titre pompeux de traité de littérature. Ces beaux mots ne font point illu
aussi vaste que la littérature. Vos ouvrages restent donc de simples traités de Rhétorique, et c’est votre faute s’ils sont dé
71 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
essité, dans un sens imitatif, extensif, abusif. De tous ceux qui ont traité des figures, M. Fontanier a le mieux développé la
s seuls maîtres dans l’emploi de ces trois dernières figures. 105. Traité de la manière d’apprendre les langues. Paris, 176
72 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
pliquent aux divers genres d’éloquence. Dans la première partie de ce Traité , nous parlerons des règles générales, et dans la
sinon, j’exposerais ma pensée. Mais, puisque le sujet qu’ils ont déjà traité tant de fois se trouve encore aujourd’hui soumis
division est le partage du sujet en plusieurs points qui doivent être traités les uns après les autres. Ces points sont ordinai
tefois les divisions sont parfaitement marquées. Au reste, dans leurs traités didactiques, Cicéron et Quintilien recommandent b
’accessoire du principal, et on croit que le sujet est d’autant mieux traité qu’on a pris soin de tout dire. Pour éviter ces d
ortance, et c’est à ces préceptes que se bornaient autrefois tous les traités élémentaires. Néanmoins, dans ces derniers temps,
onnaissances quelque chose qui plaît et captive. Tous les sujets sont traités à leur tour, sinon avec profondeur, du moins avec
aient laissé de doutes et d’incertitudes dans son esprit. Après avoir traité de Dieu d’une manière digne, quoique confuse, il
lles grecques, ou y ramenait les bannis, violait-il la justice et les traités  ? Rompait-il la paix, ou non ? Fallait-il que, da
troisième se tire de ce que la religion a de plus sacré : la foi des traités , l’hospitalité, la reconnaissance. Voilà l’invent
ar la forme usitée dans l’école ? Mais voyons comment Tite-Live les a traités . Sous sa plume éloquente, tout devient fort, éner
ait aucune circonstance omise, aucun mot qui ne porte : 1º la foi des traités confirmés par les serments et par les sacrifices 
end en trois mots les trois parties du premier motif ! Fides, pour le traité  ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le r
2e sect. 11. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XI, c. i. Rollin, Traité des Études, l. III, ch. iii, § vi ; Maury, Essai,
à l’article des Figures de pensée. 26. Auteurs à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xv-xx ; Cicéron, Orator, 129-139 
. iv ; Principes de déclamation, par le P. Champeau, 2e partie Hamon. Traité de la prédication, 1 I, ch. ii. 29. Auteurs à co
e Paul sur la prédication) ; Gaichiès, Maximes sur la chaire ; Hamon, Traité de la prédication, l. I ; l’abbé Mullois, Cours d
l’éloquence. 40. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XII ; Rollin, Traité des études, l. IV, ch. i ; Blair, 4  part., leç. 
urs de littérature ; Marcel, Chefs-d’œuvre d’éloquence ; Grandperret, Traité de rhétorique, sect. ii, ch. i. 44. Auteurs à co
73 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
e nature, place le poème épique entre les deux. Ce serait là, pour un traité en prose, un désordre considérable ; dans un poèm
là l’immense difficulté de l’œuvre. C’est en vain que les auteurs de traités et de poétiques ont cherché à déterminer et à fai
e de l’épopée. 138. Batteux, de la Forme de l’épopée. 139. Batteux, Traité de la poésie épique, ch. 15, 16 et 17. 140. Voy
74 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
u circonstances en dehors de la cause, dans ceux dont nous avons déjà traité . Des qualités de l’exorde vous conclurez ses défa
exorde d’Isocrate dont Longin fait si justement la critique dans son Traité du sublime. Sans être aussi déplacé, le début ne
75 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
s laquelle il n’y a plus d’art. Souvent le sujet, pour être dignement traité , demande avec la noblesse de l’expression les ima
t les vilains. En conséquence les trois quarts du dictionnaire furent traités en gens de bas étage et de mauvaise compagnie ; l
76 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
métabole gagne à cette gradation ascendante ou descendante. J’ai déjà traité de la gradation ; celle que les mots représentent
e les hiéroglyphes qui reçoivent divers sens, selon les divers sujets traités . Il est certain que si M. Delille appelle un cure
77 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre V. Genre didactique et descriptif en vers. »
parler le langage de la vérité. Le poème didactique est une sorte de traité régulier sur un sujet sérieux et utile ; il s’att
78 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre V. Du Roman. »
rité que nous apprend le savant Huet129, évêque d’Avranches, dans son Traité de l’origine des romans. Ce serait donc une erreu
79 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
Tome troisième. 4. Division de l’Ecole. Les rhéteurs divisent leurs traités en quatre parties : 1° La Rhétorique en général,
80 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
s qui entrent dans ce morceau avec celles qui composent le même sujet traité par Pradon, et qu’ensuite il nous sera plus aisé
te, par Pradon. Vol. II, nº 9. Comme on le voit, les deux auteurs ont traité le même sujet. Ce n’est point sur le plan, sur la
81 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
la noblesse. » Égal à tous les emplois, signalé à Louis XIV par son Traité de l’éducation des jeunes filles (1687), chef-d’œ
aucun serment jusqu’à ce que Cambrai eût été cédé aux ennemis par un traité de paix ; et si le roi désirait que je quittasse,
82 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du Traité des études, pour donner aux jeunes gens de bons p
83 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
’ailleurs, que pouvait-on attendre d’une nation qui avait si rudement traité les citoyens de Mytilène, innocents de tout crime
la liberté aux prisonniers Athéniens, si vous faites avec Athènes un traité d’alliance, il sera bien évident que vous aurez t
aît de ses cendres, opprime la postérité de Cadmus en lui imposant un traité injuste : si les destins ne me permettent pas de
llerai pour Rome les destinées de Troie. Ni les dieux du ciel, ni les traités qui suspendent les combats, ni les sommets des Al
commet des injustices. « Ainsi, que ceux parmi vous qui regardent le traité comme rompu et les Athéniens comme coupables, se
s Lacédémoniens se partagèrent : le nombre de ceux qui déclaraient le traité rompu, fut beaucoup plus considérable. Traduit d
ers, que je garderai comme otages du pacte conclu, jusqu’à ce que les traités aient été ratifiés par un consentement général. E
de, roi des Parthes. Celui-ci prenant à témoin les dieux vengeurs des traités , confia le commandement d’une armée nombreuse à S
84 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
mise, dans toutes les rhétoriques, au premier rang des lieux communs traités avec une supériorité dont rien n’approche. « Qu’
85 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre II. Défense de Fouquet, par Pélisson. »
icorde, à cette équité royale, nous ne souhaitons pas même qu’il soit traité sans miséricorde et sans équité. Mais pour nous,
86 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
s sont toujours là pour fournir au besoin des modèles. La plupart des traités sur l’art d’écrire sont des rhétoriques où l’on e
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
ur traiter. Sept mois après, l’Autriche était contrainte de signer le traité de Campo-Formio. 1. Remarquez la délicatesse du
88 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
pris pour le salut de ce royaume ; ses voyages, ses négociations, ses traités , tout ce que sa prudence et son courage opposaien
s variations est un chef-d’œuvre de composition et de style. Dans son traité de la Connaissance de Dieu et de soi-même, il par
89 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
, ô fortune, et j’attends tes bienfaits, Dit César ; il n’est plus ni traité , ni refuge. Ce fleuve traversé, le glaive est not
90 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du Traité des études, pour donner aux jeunes gens de bons p
ichelieu a démoli la Rochelle et abattu l’hérésie, et que par un seul traité , comme par un coup de rets, il a pris trente ou q
Le Seigneur est le protecteur de ma vie, de qui aurai-je peur154 ? » Traité de la Concupiscence, chap. 32. Bourdaloue (16
s supérieures de la sagesse chrétienne, Fénelon a laissé d’excellents traités philosophiques et religieux, d’éloquents sermons
putation281. Il mourut à Paris en 1741. Rollin fait hommage de son Traité des études aux chefs de l’Université. 1. Après
rnes en qui règne pareillement le goût épuré de la saine éloquence. Traité des Études 288 : préface. Massillon (1663-174
un jour. Rappelez seulement les victoires, les prises de places, les traités glorieux, les magnificences, les événements pompe
s la paix de bonne foi, et que, dans le dessein d’envahir tout, leurs traités n’étaient proprement que des suspensions de guerr
’est au projet simplement arrêté, Quand de sa République il a fait le traité  ; Mais à l’effet entier je veux pousser l’idée Qu
u comte de Tufière est, à quelques exagérations près, fort habilement traité , et ceux qui l’entourent le font très bien ressor
à Dominique-Jean Goulu, général des Feuillants et auteur de plusieurs traités religieux. Il était ennemi de Balzac, et il avait
On peut citer, parmi ses nombreux appréciateurs, M. Villemain, qui a traité « de Pascal considéré comme écrivain et comme mor
devant ce verbe. — Ces pensées ont été rappelées par Nicole, dans son Traité de la Connaissance de soi-même, c. Ier. 64. Jama
gène, IV. 197. Voy., à ce sujet, le 33e chapitre de Longin, dans son Traité du Sublime : « Si l’on doit préférer le médiocre
ètes de l’âme sur le corps et du corps sur l’âme. Descartes, dans son Traité des passions, et Bossuet, dans son Traité sur la
l’âme. Descartes, dans son Traité des passions, et Bossuet, dans son Traité sur la connaissance de Dieu et de soi-même, ont d
tactu quasi colorari. » 288. Les critiques contradictoires dont le Traité des Études fut l’objet, lorsqu’il parut de 1726 à
e tous les siècles ; mais chacun des poètes ou des orateurs qui l’ont traité y ont laissé comme l’empreinte de leur génie ou d
illant de cette habileté du sénat romain à éluder les conditions d’un traité . Tite-Live, qui s’applique toujours à justifier s
l’absence des féciaux il ne pouvait y avoir, à proprement parler, un traité (fœdus), mais une simple convention (sponsio) (li
lui : I, 19. 394. On lira avec intérêt, dans ses Œuvres morales, le traité « contre la secte d’Épicure ». J.-J. Rousseau se
au admirait à tel point qu’il eût voulu, disait-il, être son valet, a traité avec plus de simplicité, mais aussi avec plus d’o
ivre de l’Éducation des filles. — N’y a-t-il pas, d’ailleurs, tout un traité de morale dans ce discours de Molière, chef-d’œuv
Tout ce brusque début, si favorable au genre de l’ode et au sujet ici traité , est, on le voit, emprunté aux anciens. — Cet app
e avait composé une épître adressée à Boileau, où il avait moins bien traité le satirique français qu’il ne traite ici le sati
en finissant lui a manqué. » 813. Chez les anciens, Euripide avait traité ce même sujet, et sa tragédie, qui portail le nom
91 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
hommes. 1. Madame de Lambert a dit : « Les enfants aiment à être traités en personnes raisonnables ; il faut entretenir en
92 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
r lequel il revient en plusieurs endroits de ses ouvrages. La Harpe a traité en détail la question des poèmes en prose, et, co
93 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
force et de crédit, après avoir été employé dans les plus importants traités et avoir assisté toujours honorablement dans le c
94 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Le Sage 1668-1747 » pp. 139-143
e trop bon pour le seigneur Gil Blas de Santillane, qui mérite d’être traité comme un prince. » Je fus bien aise qu’il eût rel
95 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
même faute dans la phrase suivante : s’il est vrai que ce prince ait traité les Catalans attachés à son ennemi, avec tant de
e non moins habite. Il fallait dire ; s’il est vrai que ce prince ait traité avec tant de hauteur, les Catalans attachés à son
es ne le sont point. Je conviens, dit du Marsais, dans son excellent traité des tropes, qu’on peut bien parler, sans jamais a
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
oits imitateurs, c’est qu’il possédait à fond tous les sujets qu’il a traités  ; c’est que bien loin d’affecter l’érudition, il
97 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
e dans ce genre, Fléchier, Fénelon, etc. (le cardinal de Retz a aussi traité ce sujet), qui ont prononcé, d’après un usage don
98 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
ans l’opinion commune au xviie  siècle, que Lancelot, à la fin de son Traité de versification française, n’hésite pas à dire :
99 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Sainte-Beuve 1804-1870 » pp. 291-295
ué dans le chapitre d’une cathédrale pour enseigner la théologie. Son Traité de la sagesse continue les traditions de Montaign
100 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
es livres de la Cité de Dieu de saint Augustin2. Jésus-Christ a ainsi traité les sages du monde : de cette sorte il a pacifié
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