e. Informé du complot, Cicéron, en présence même de Catilina, dans le
temple
de Jupiter Stator où le sénat était assemblé, dén
à la république tout entière que tu en veux ouvertement ; ce sont les
temples
des dieux immortels, les demeures des hommes, la
lus, cet homme généreux, ni mon titre de consul, ni la sainteté de ce
temple
n’auraient empêché, et à juste titre, le sénat de
ontre les fureurs de ce monstre et de ses complices les autels et les
temples
des autres dieux, les maisons de la ville, ses re
r failli être assassiné dans ma maison, je convoquai le sénat dans le
temple
de Jupiter Stator : je révélai tout aux pères con
sents au milieu de vous, ils couvrent de leur divine protection leurs
temples
et vos maisons. C’est à eux, Romains, que vous de
es citoyens à se rendre, avec leurs femmes et leurs enfants, dans les
temples
des dieux pour leur adresser des actions de grâce
fondée et agrandie, l’a préservée de la ruine. La ville entière, ses
temples
, ses sanctuaires, ses maisons, ses remparts étaie
jurés et leurs dénonciateurs étaient conduits, à travers le Forum, au
temple
de la Concorde, la statue du dieu était dressée s
non seulement dans vos maisons et vos demeures, mais encore dans les
temples
et dans les sanctuaires des dieux immortels, la f
me qui les a déjoués ; c’est par lui que le Capitole, par lui que ces
temples
, par lui que cette ville, par lui que vous tous a
femmes, vos enfants, les vestales, aux outrages les plus cruels ; les
temples
, les sanctuaires, cette belle patrie, notre mère
de tous les âges ; ils remplissent le Forum, ils remplissent tous les
temples
qui entourent le Forum, ils remplissent toutes le
plus obscurs d’entre eux. Quel est, en effet, le citoyen pour qui ces
temples
, l’aspect de cette ville, la possession de la lib
à vous le feu de Vesta, ce feu perpétuel et éternel, à vous tous les
temples
, tous les sanctuaires des dieux, à vous les murai
ervation de vos autels et de vos foyers, de vos sanctuaires et de vos
temples
, de la ville entière avec ses monuments et vos ma
ummius enleva à cette ville les statues des Muses qui étaient dans le
temple
de la Félicité, et quelques monuments profanes, i
t peintre. Je crois que, soupçonnés dans leur patrie d’avoir pillé le
temple
d’Apollon, la crainte du châtiment leur fit prend
que j’étais chez moi, rêveur et mélancolique, ai rive un satellite du
temple
de Vénus : il me signifie l’ordre de faire dans l
acer dans le Capitole ; mais ne pouvant l’y poser alors, parce que ce
temple
n’était pas encore achevé, ils ne voulurent pas l
qu’il avait été fait pour orner, non la demeure des mortels, mais le
temple
le plus majestueux de l’univers. Les officiers, c
ans l’intention d’orner le Capitole, comme l’exigent la majesté de ce
temple
et la grandeur du nom romain. Si vous montrez de
un bienfait du sénat et du peuple romain, votre gloire réside dans ce
temple
; votre nom, consacré avec cet édifice, jouira d’
mé avait été excité par la providence des dieux, non pour détruire le
temple
du grand Jupiter, mais pour avertir les mortels d
s et consacré au grand Jupiter ? ce qui devait éclairer et décorer le
temple
du plus grand des dieux ne servira-t-il qu’à écla
artient ? Serons-nous étonnés maintenant qu’il ait pillé à Athènes le
temple
de Minerve, à Délos celui d’Apollon, celui de Jun
ui n’a point respecté le Capitole ; qui a empêché les rois d’orner ce
temple
, que tous les particuliers s’empressent d’embelli
qui fut enfin rétablie par la valeur du grand Scipion dans son ancien
temple
et dans son premier culte ? Après cet indigne enl
De plus, la ville d’Agrigente ne vous a-t-elle point vu enlever du
temple
d’Esculape, ce temple si saint et si révéré, un a
’Agrigente ne vous a-t-elle point vu enlever du temple d’Esculape, ce
temple
si saint et si révéré, un autre monument du vainq
édiles et aux questeurs de faire la garde pendant la nuit auprès des
temples
. Verrès n’osait pas faire un coup d’éclat à Agrig
ui plaisait. Il y a dans cette même ville, assez près de la place, un
temple
d’Hercule, très fréquenté, et célèbre par la dévo
, Timarchide, à la tête d’une troupe d’esclaves armés, marche vers ce
temple
, à la faveur des ténèbres de la nuit, et veut en
nuit, et veut en forcer l’entrée. Les sentinelles et les gardiens du
temple
crient et appellent au secours : ils résistent d’
ui mit sous la main ; la ville se rassembla en peu de temps auprès du
temple
. Depuis plus d’une heure, les ouvriers travaillai
hez eux pour un dieu, et il est le principal objet de leur culte. Son
temple
est dans la campagne, près du chemin qui conduit
avec beaucoup d’art. Verrès, à cause du grand respect qu’on a pour ce
temple
, n’osa la demander aux Assoriens ; mais il charge
s ; mais il chargea Hiéron et Tlépolème de l’enlever. Ceux-ci vont au
temple
pendant la nuit, à la tête d’une troupe bien armé
ampagne accourent ; Tlépolème est repoussé, et rien ne fut emporté du
temple
, qu’une petite statue de bronze. Il y a dans la v
le, qu’une petite statue de bronze. Il y a dans la ville d’Enguium un
temple
consacré à la Mère des dieux. Non seulement je cr
es crimes plus considérables que Verrès a commis en ce genre. Dans ce
temple
se voyaient des cuirasses et des casques de bronz
re davantage de Verrès ? il prit tout, enleva tout, ne laissa dans le
temple
que les traces de son sacrilège et le glorieux so
dépouilles des ennemis, les monuments des généraux, les ornements des
temples
, vont désormais perdre ces beaux titres et faire
r le luxe des particuliers, mais pour la décoration des villes et des
temples
, afin que la postérité les regardât comme les mon
s de Verrès enlèvent secrètement, pendant la nuit, cette statue de ce
temple
si saint et si ancien. Le lendemain, les jeunes e
si ancien. Le lendemain, les jeunes et les anciennes prêtresses de ce
temple
, femmes vertueuses et de qualité, dénoncent aux m
ère dont la statue a été enlevée : elles répondent qu’on a vu dans le
temple
les esclaves du préteur. L’affaire, qui déjà n’ét
protection efficace ? Quoi ! vous envoyez des esclaves pour piller un
temple
où les hommes libres n’ont pas même la permission
nd elle parle à Verrès, quand elle lui indique les moyens de voler le
temple
de la déesse ? Mais faut-il être surpris que des
Non, et entre plusieurs autres exemples, apprenez comment il pilla un
temple
très ancien et fort célèbre. Dans la première act
étoffes à l’usage des femmes. Assez près de cette ville est un ancien
temple
de Junon, bâti sur un promontoire. Il a toujours
orte qu’une armée navale de Masinissa ayant abordé aux environs de ce
temple
, l’amiral y enleva des dents d’ivoire d’une grand
de les faire remettre et restituer. » Il y avait de plus dans le même
temple
beaucoup d’ivoire, un grand nombre d’images de la
? Les députés de l’île de Malte disent hautement qu’il a dépouillé le
temple
de Junon, cette chapelle si respectable ; que ce
s soupçons qu’il est cité en justice ? Les dieux ont été enlevés, les
temples
profanés, les villes dépouillées. Il ne s’est lai
dans l’auguste collège des décemvirs, et quoique cette déesse eût un
temple
magnifique à Rome, on les fit partir pour Enna ;
our ce saint lieu on croyait l’aller visiter elle-même plutôt que son
temple
. Je ne vous fatiguerai pas plus longtemps, je cra
oration de tous les peuples de l’univers, que Verrès a enlevée de son
temple
et de ses autels. Vous qui avez vu Enna, vous ave
et de ses autels. Vous qui avez vu Enna, vous avez remarqué dans deux
temples
différents deux statues de marbre, l’une de Cérès
d’une antiquité supérieure à celle de toutes les autres statues de ce
temple
: Verrès enleva celle-ci, et néanmoins il parut p
anmoins il parut peu content de cette prise. Vis-à-vis de la porte du
temple
, dans une vaste place, sont deux grandes et magni
rconstances se présentent à la fois ; je vois d’un même coup d’œil ce
temple
, ce lieu et ce culte. Je me rappelle ce jour où,
e la divinité de Cérès, l’ancienneté de son culte, la sainteté de son
temple
, fussent vengées par le supplice de cet homme aus
is Cérès elle-même. En effet, Enna paraît moins une ville que tout un
temple
de la déesse ; ses habitants croient qu’elle rési
ais d’Hiéron, où logent aujourd’hui nos préteurs. On y voit plusieurs
temples
: les deux plus beaux sont celui de Diane et celu
n superbe prytanée, un vaste édifice pour les assemblées du sénat, un
temple
magnifique en l’honneur de Jupiter Olympien : le
oisième ville se nomme Tycha, parce qu’il y avait autrefois un ancien
temple
de la Fortune ; on y voit une très belle académie
temple de la Fortune ; on y voit une très belle académie et plusieurs
temples
: c’est le quartier le plus vivant et le plus peu
a ville Neuve : à son extrémité, on trouve un très beau théâtre, deux
temples
admirables, l’un consacré à Cérès, l’autre à Pros
aux Syracusains. Ce qui fut transporté à Rome, nous le voyons dans le
temple
de l’Honneur, dans celui de la Vertu, et en d’aut
e du préteur avec les troupes et la victoire du général. LV. Le
temple
de Minerve est dans l’île dont je vous ai parlé :
était fort bien représenté en peinture ; les murailles intérieures du
temple
étaient revêtues de ces tableaux : on ne pouvait
n, il n’y toucha point. Quoique tout ce qu’il y avait de beau dans ce
temple
eût, par la longue paix dont avait joui la Sicile
et toutes défigurées. Marcellus, qui avait fait vœu de consacrer deux
temples
à Rome s’il se rendait maître de Syracuse, ne vou
i à la Vertu, qui n’adore que l’Amour et Vénus, a voulu dépouiller le
temple
de Minerve : l’un s’est fait un scrupule d’enrich
autre a fait transporter dans une maison de débauche les ornements du
temple
de la chaste Minerve. Il enleva encore du même te
es ornements du temple de la chaste Minerve. Il enleva encore du même
temple
vingt-sept tableaux d’une rare beauté, où l’on vo
que ne l’avaient été aucun des précédents ! Ces derniers ornaient les
temples
des dieux ; Verrès renverse leurs monuments, et e
conquête et son butin. LVI. Que vous dirai-je des portes de ce
temple
? Je crains que ceux qui n’ont pas vu les choses
en plaisait. Ainsi ces portes, faites particulièrement pour orner le
temple
, ne paraissent plus, dans l’état où il les a lais
qu’un veut-il voir des ouvrages dans ce genre, qu’il se transporte au
temple
de la Félicité, au Capitole, au portique de Métel
édiles. Verrès gardera-t-il toutes ces richesses ? les ornements des
temples
et des villes rempliront-ils ses maisons à Rome e
’Apollon, si sainte et si respectable, ne l’avez-vous pas arrachée du
temple
d’Esculape ? Tout le monde l’allait voir pour sa
int par votre ordre que la statue d’Aristée fut publiquement ravie du
temple
de Bacchus ? Quoi ! cette vénérable, cette magnif
tor, que les Grecs appellent Urion, ne l’avez-vous pas enlevée de son
temple
? Et ce magnifique buste de marbre de Paros que n
ifique buste de marbre de Paros que nous allions voir avec plaisir au
temple
de Proserpine, n’avez-vous pas eu la hardiesse de
ils attribuent la découverte de l’olivier, était honoré dans le même
temple
que ce dieu. LVIII. À l’égard de ce Jupiter
Jupiter Impérator, comprenez-vous quels hommages il recevait dans son
temple
? Pour vous en faire une juste idée, souvenez-vou
fût préteur de la Sicile. Flamininus, à la vérité, fit enlever de son
temple
celle de Macédoine ; mais ce ne fut que pour la f
trangers allaient voir et adorer, le sacrilège Verrès l’a arrachée du
temple
de Jupiter. Pour vous parler encore de la modérat
les supprimerai. Je ne vous dirai donc point qu’il a enlevé dans les
temples
de Syracuse des tables de marbre, de très belles
s de conduire les étrangers et de leur faire voir le trésor de chaque
temple
font leur démonstration d’une manière toute diffé
ur a causé et ne leur cause encore tant de douleur que ce pillage des
temples
et des villes. En vain Verrès dira, suivant sa co
pour leur Europe assise sur un taureau, pour ce fameux Satyre de leur
temple
de Vesta, et pour tant d’autres excellentes statu
je vous ai déjà parlé ; qu’il avait pillé leur ville, dépouillé leurs
temples
; que de l’héritage d’Héraclius qu’il avait accor
ent inscrits de cette manière : « Telle et telle chose manque dans le
temple
de Minerve, telle autre dans celui de Jupiter ou
ne l’inquiétât point pour certaines pièces qui n’étaient plus dans le
temple
: » tous en effet furent déchargés, et l’on n’inq
apostrophe véhémente aux dieux dont l’infâme préteur a dépouillé les
temples
sans respect même pour leur divinité. [Discou
e de religion à Jupiter, à Junon, à Minerve : que la conservation des
temples
et de la ville tout entière est commise à mes soi
lui ? Le murmure qui s’éleva dans la nombreuse assemblée du sénat au
temple
de Bellone n’eut-il pas quelque chose de divin ?
ffes, les esclaves, les ornements enlevés dans les villes et dans les
temples
. Ces bonnes gens craignent que ces vols ne soient
oluptueux Verrès, plein d’enjouement et de grâces, fit placer dans le
temple
de Vénus un Cupidon d’argent pris sur les biens d
eilleur des dieux ; un présent vraiment royal, digne de votre auguste
temple
, digne du Capitole et de cet asile de toutes les
es de Malte et de Samos ; et vous aussi, Minerve, il a pillé vos deux
temples
les plus célèbres, l’un dans Athènes, d’où il enl
si, Latone, Apollon et Diane, vous qui avez à Délos, je ne dis pas un
temple
, mais, suivant la tradition et la religion des ho
ous aussi, mère des dieux, dont il a dépouillé chez les Enguiniens le
temple
si auguste, si vénéré ; il n’y reste plus aujourd
s. Les monuments de la victoire de ce grand homme et les ornements du
temple
n’y existent plus. Arbitres et témoins qui présid
llux, que l’on voit dans le lieu le plus fréquenté du prétoire, votre
temple
est devenu une source de profits et de larcins po
er ni même regarder. Celui que dans Enna il ôta de sa place et de son
temple
était si artistement travaillé, qu’en le voyant o
Pour ne pas l’exposer, lui-même il se hasarde. Mais tout s’apprête au
temple
; et vous avez promis… Andromaque. Oui, je m’y t
. Mais plutôt le perfide a bien d’autres pensées : Triomphant dans le
temple
, il ne s’informe pas Si l’on souhaite ailleurs sa
ux, Le plus fier des mortels, et le plus amoureux. Je l’ai vu vers le
temple
, où son hymen s’apprête, Mener en conquérant sa n
hœnix même en répond, qui1 l’a conduit exprès Dans un fort éloigné du
temple
et du palais. Voilà dans ses transports le seul s
rra. Mais que t’a dit Oreste ? Cléone. Oreste avec ses Grecs dans le
temple
est entré. Hermione. Hé bien ! à me venger n’est
ons. C’est à moi seule à me rendre justice. Que de cris de douleur le
temple
retentisse : De leur hymen fatal troublons l’évén
on courage Se fît de ce complot une funeste image, J’ai couru vers le
temple
, où nos Grecs dispersés Se sont jusqu’à l’autel d
leur a servi d’exemple : Je les ai pour vous seule entraînés dans le
temple
, Madame ; et vous pouvez justement vous flatter D
n rentrant dans ces lieux nous l’avons rencontrée Qui courait vers le
temple
, inquiète, égarée. Elle a trouvé Pyrrhus porté pa
s rejeté mes fautes derrière toi. — Le Seigneur m’a sauvé : aussi son
temple
saint retentira tous les jours de ma vie des chan
Dans les souffrances du corps. …………………………… J’irai, Seigneur, dans vos
temples
, Réchauffer par mes exemples Les mortels les plu
peuple inhumain, À l’aspect de l’Euphrate il pleure le Jourdain : Ses
temples
, ses festins, les beaux jours de sa gloire, Revie
s cœurs ! » Quoi ! ne verrons-nous plus les tombes paternelles, » Tes
temples
, tes banquets, tes fêtes solennelles ? » Ne pourr
re, et du hameau l’exemple, Sa voix résonne encore sous les voûtes du
temple
; Et souvent sa ferveur, aux marches des autels,
e française. Les voici : Ô moment solennel ! ce peuple prosterné, Ce
temple
dont la mousse a couvert les portiques, Ses vieux
iges de son ancienne splendeur. On y voit quelques restes de l’ancien
temple
de Minerve, un des plus beaux édifices de l’unive
ur, dans l’île de ce nom, et que d’ailleurs, il y était adoré dans un
temple
magnifique. Cette île, autrefois si fameuse, et l
ui avait élevé à Éphèse, dans l’Asie mineure (aujourd’hui Natolie) un
temple
qui passait pour une des sept merveilles du monde
d’un lion), ses statues, ses labyrinthes, et le nombre infini de ses
temples
. Elle est aujourd’hui habitée par des Maures, des
ante, femme du grand-prêtre Joïada ou Joad. Élevé secrètement dans le
temple
, il fut reconnu roi à l’âge de sept ans, par les
Salomon le marbre et les pierres nécessaires pour la construction du
temple
de Jérusalem. Loire, fleuve qui partage la Franc
étaient très belliqueux. Mathan, prêtre de Baal. Il fut tué dans le
temple
de ce faux dieu, par les ordres du grand prêtre J
unition du sacrilège que cette nymphe commit avec Neptune dans un des
temples
de Minerve. Minos, roi de l’île de Crète (aujour
ercule. Il s’introduisit ensuite dans la ville de Troie, et enleva du
temple
de Minerve le Palladium, statue de cette déesse.
l n’a plus contribué à former les connaisseurs délicats, à élargir le
temple
du goût, en sorte qu’il devienne une église unive
, il ne s’agit véritablement de rien sacrifier, de rien déprécier. Le
temple
du goût, je le crois, est à refaire ; mais en le
is à aucun degré prétendre à être architecte1 ou ordonnateur d’un tel
temple
, je me bornerai à exprimer quelques vœux, à conco
es aimeraient souvent à se rencontrer devant le portique du principal
temple
(car il y en aurait plusieurs dans l’enceinte), e
aux murmures des vents dans les forêts, ou à la voix de Dieu dans son
temple
! L’architecte bâtit, pour ainsi dire, les idées
es ai vues en détail soit à Rome, soit à Naples, excepté pourtant les
temples
de Pœstum, que je n’ai pas eu le temps de visiter
ans ces lieux, plantaient la vigne et conduisaient la charrue dans le
temple
des Stoïciens et les salles de l’Académie 1. Le s
numents répandus dans les provinces de l’empire romain : le véritable
temple
de Sérapis à Alexandrie, la véritable Académie à
que hommage. Voilà le sacrifice immense, universel ! L’univers est le
temple
, et la terre est l’autel. Citons encore ces vers
nt inconnu aux anciens ; et saint Augustin les défie de montrer aucun
temple
, aucune assemblée, où, par l’ordre et au nom de l
orreur du luxe. L’empereur Julien s’était proposé d’établir, dans ses
temples
, un cours de prédications, formé sur le plan des
thène. L’officier lui apprend que Démosthène s’est empoisonné dans un
temple
de Neptune, pour échapper au vainqueur. Rien de p
e protègent aujourd’hui : et si Neptune lui-même ne peut défendre son
temple
contre toi, s’il ne rougit pas de livrer Démosthè
Rome, l’an 30 avant J.-C., il ferma, en donnant la paix au monde, le
temple
de Janus, qui, depuis 205 ans, avait été toujours
Cythérée, nom que l’on donne souvent à Vénus, parce qu’elle avait un
temple
dans l’île de Cythère (aujourd’hui Cérigo), dans
n et la forêt Noire. G Gloire (la), divinité poétique, dont le
temple
n’était ouvert qu’aux hommes qui avaient fait de
Titus prit Jérusalem l’an 70 de J.-C., et la détruisit, ainsi que le
temple
. Au commencement du siècle suivant, l’empereur Ad
is de Syrie, et profita d’un court intervalle de paix pour réparer le
temple
de Jérusalem, où il fit élever un nouvel autel à
us ses environs. La cabane de Philémon et de Baucis fut changée en un
temple
, dont ils furent les prêtres suivant le souhait q
vieille, pour persuader à Pomone de l’épouser. On lui avait élevé un
temple
à Rome ; et l’on célébrait ses fêtes au mois d’oc
e de Milon ? « C’est un beau nom que la chambre de justice ; mais le
temple
de la clémence, que les Romains élevèrent à cette
plus grand, et un plus beau nom encore. Si cette vertu n’offre pas un
temple
à votre majesté, elle lui promet du moins l’empir
te phrygien, celle-ci est une des plus remarquables. Il y a un grand
temple
, qui est appuyé sur une colonne, entourée de douz
lanche, l’autre noire. Ésope expliqua cette énigme, en disant que le
temple
est le monde ; la colonne, l’année ; que les vill
re des Lys. Bientôt nos vœux seront remplis : L’Hymen approche de son
temple
; L’Hymen au bruit de mille voix, Perce la foule
Couronnent nos tendres amants : Les Dieux ont gravé leurs serments Au
Temple
immortel de Mémoire184. Remonte, Hymen, remonte
e devant le peuple, il a pour piédestal les rostres, pour horizon les
temples
des dieux et les arcs de triomphe bâtis avec les
le Capitole ou invoquer la sainte Vesta et l’antique Janus, dont les
temples
se dressent aux avenues du forum. Il peut aussi (
e transporter ailleurs le tribunal, et de dérober aux juges la vue du
temple
qui leur rappelle la gloire de l’accusé. Un brave
e l’emporte sur l’éloquence du tribun qui l’accuse. Le peuple suit au
temple
l’illustre aristocrate, et, en le dispensant de r
re et la fin de l’univers… — Puis, à sa voix prophétique, la voûte du
temple
se déchire, les cieux s’entr’ouvrent, Jésus-Chris
s têtes ; que Jésus-Christ va paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’attend
s entriez ; je vous demande donc : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de celle assemblée, la plus auguste de
rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu’on vienne à ses solennités.
Temple
, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jér
ivinité ; elle est consacrée au fêtes religieuses, aux solennités des
temples
. 2° Dithyrambe. Le dithyrambe était un hymn
e les cachots vidés s’ouvrent partout d’eux-même, Que de Dieu dans le
temple
on rétablit l’emblème. *** Pendant que l’univer
es autels : Que ne peut la frayeur sur l’esprit des mortels ! Dans le
temple
des Juifs un instinct m’a poussée, Et d’apaiser l
à cet aspect, Et donne à la frayeur ce qu’il doit au respect. Dans le
temple
aussitôt le prélat plein de gloire Va goûter les
e ton espoir frivole es-tu désabusé ? Il laisse en mon pouvoir et ton
temple
et ta vie. Je devrais sur l’autel où ta main sacr
ple à la fois, Etablit d’Apollon les rigoureuses lois, ( Voltaire, le
Temple
du Goût.) 18. Voici un de ces passages curieu
t le jour les conduit Est pour eux un soleil au milieu de la nuit. Le
temple
, à sa faveur, est ouvert par Boirude : Ils passen
pour amuser nos yeux5, Dit-il, le temps est cher, portons-le6 dans le
temple
; C’est là qu’il faut demain qu’un prélat7 le con
grait parfois Boileau, ne tardait pas à s’en repentir. Il a, dans son
Temple
du goût, rendu hommage à ce maître en l’art d’écr
oit au machicoulys3, luy tyra vn coup de canon, et le attainct par la
temple
dextre4 furieusement : toutesfoys ne luy feist po
droite. Au dix-septième siècle, l’Académie conseillait encore de dire
temple
et non tempe. Temple vient du neutre pluriel temp
me siècle, l’Académie conseillait encore de dire temple et non tempe.
Temple
vient du neutre pluriel tempora. 5. Ne lui fit p
t si justes 137. C’est un beau nom que la Chambre de Justice, mais le
temple
de Clémence, que les Romains élevèrent à cette ve
us grand et un plus beau nom encore. Si cette vertu n’offre encore un
temple
à Votre Majesté, elle lui promet du moins l’empir
même de l’agneau qui est venu pacifier le ciel et la terre ; dans un
temple
consacré au chef d’une légion sainte279 qui sut p
t elles furent ensevelies dans les débris de leurs villes et de leurs
temples
. Il ne reste donc plus rien de tous ces superbes
contribué403. Polyeucte, devenu chrétien, veut entraîner Néarque au
temple
pour y renverser les idoles. Acte II, scène VI
sez-vous aller ? POLYEUCTE. Au
temple
, où l’on m’appelle. NÉARQUE. Quoi ! vous mêlez au
Je les veux renverser, Et mourir dans leur
temple
, ou les y terrasser. Allons, mon cher Néarque, al
On souffre avec regret quand on n’ose s’offrir. NÉARQUE. Mais dans ce
temple
enfin la mort est assurée. POLYEUCTE. Mais dans l
triompher Dieu : qu’il dispose du reste. Polyeucte est entré dans le
temple
: il a troublé le sacrifice et renversé les image
est l’exemple qu’à suivre offrent vos immortels417. J’ai profané leur
temple
et brisé leurs autels ; Je le ferais encor, si j’
celle de ses propres enfants. Antiochus, l’un d’eux, avait conduit au
temple
Rodogune, qui allait devenir son épouse, et la cé
es yeux que des objets d’horreur, De mépris d’eux et de leurs
temples
, D’avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne su
p de plaisir je mêle un peu de gloire. J’irais plus haut peut-être au
temple
de mémoire, Si dans un genre seul j’avais usé mes
es d’airain603, Mit des superbes rois la dépouille en sa main, De son
temple
détruit vengea sur eux l’injure : Babylone paya n
es yeux de paix, Nous rendit et nos lois et nos fêtes divines ; Et le
temple
déjà sortait de ses ruines. Mais, de ce roi si sa
ers. UNE ISRAELITE, seule. Relevez, relevez les superbes portiques Du
temple
où notre Dieu se plaît d’être adoré : Que de l’or
principaux officiers des rois de Juda). ABNER. Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’usage antiqu
és ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du
temple
, orné partout de festons magnifiques, Le peuple s
eint d’une mitre étrangère, Ce lévite à Baal prête son ministère : Ce
temple
l’importune, et son impiété Voudrait anéantir le
Lorsque la troisième heure aux prières rappelle636, Retrouvez-vous au
temple
avec ce même zèle. Dieu pourra vous montrer par d
pe jamais. Allez : pour ce grand jour il faut que je m’apprête, Et du
temple
déjà l’aube blanchit637 le faîte. ABNER. Quel ser
avec rapidité. Nous savons que Joas héritier du trône, existe dans le
temple
: le grand prêtre se prépare à déclarer sa naissa
prépare à déclarer sa naissance. Cependant Athalie force l’entrée du
temple
des Juifs. Quelles sont les causes de cette étran
effroi vous glace ? Parmi vos ennemis que venez-vous chercher ? De ce
temple
profane osez-vous approcher ? Avez-vous dépouillé
autels : Que ne peut la frayeur sur l’esprit des mortels645 ! Dans le
temple
des Juifs un instinct m’a poussée, Et d’apaiser l
leurs discours ils portent la licence : Ils vivent cependant, et leur
temple
est debout. Mais je sens que bientôt ma douceur e
é. ATHALIE. Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre ? JOAS. Ce
temple
est mon pays : je n’en connais point d’autre. ATH
mi des loups cruels prêts à me dévorer. ATHALIE. Qui vous mit dans ce
temple
? JOAS.
prie, on le contemple ! JOAS. Tout profane exercice est banni de son
temple
. ATHALIE. Quels sont donc vos plaisirs ? JOAS.
h, Azarias, suivi du chœur et de lévites. JOAD. Hé bien ! Azarias, le
temple
est-il fermé ? AZARIAS. J’en ai fait devant moi f
CHŒUR. Hé ! pourrions-nous, seigneur, nous séparer de vous ? Dans le
temple
de Dieu sommes-nous étrangères ? Vous avez près d
uvons du moins immoler notre vie. Quand vos bras combattront pour son
temple
attaqué, Par nos larmes du moins il peut être inv
de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois663, En ce
temple
où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du sole
rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu’on vienne à ses solennités :
Temple
, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusa
ces de larmes Pour pleurer ton malheur ? AZARIAS. Ô saint
temple
! JOSABETH. Ô David ! L
x est bientôt jetée la terreur. Un lévite accourt : il annonce que le
temple
est menacé, qu’Athalie le fait investir de ses tr
e la reine : qu’on lui livre Éliacin avec les trésors de David, et le
temple
subsistera. Joad feint de céder. Athalie recevra
, Alvarez, peut-être un dieu vengeur, Nos chrétiens, ma faiblesse, au
temple
m’ont conduite, Sûre de ton trépas, à cet hymen r
l se traîne783 ; et souvent sur la pierre il s’endort À la porte d’un
temple
, en invoquant la mort. — Que m’as-tu dit ! La fou
a scène se passe, sans nuire à l’unité de lieu : ici, une partie d’un
temple
; là, le vestibule d’un palais, une place publiqu
igrait parfois Boileau, ne tardait pas à s’en repentir. Il a, dans le
Temple
du goût, rendu hommage à ce maître en l’art d’écr
, le jour de l’action et le lieu de la scène, qui est le vestibule du
temple
. Ce qui suit n’est pas moins propre à éclairer le
et sans pitié, et ne lui laisse pour dernier foyer que le seuil d’un
temple
où il invoque la mort ! 784. Détail heureux qui
te est obscure par suite de la construction ou inversion forcée : Au
temple
suspendues, le feu du sanctuaire éclairait les ar
l’orgueil par de justes exemples, Baiser avec respect le pavé de tes
temples
. 4° Par une expression plus noble rapprochée du
pour son âme… ; la première scène d’Athalie : Oui, je viens dans son
temple
…, et la prophétie de Joad : Cieux, écoutez ma voi
par Soumet ; un passage de la Prière, de Lamartine : L’univers est le
temple
…, et une strophe de la Méditation sur le génie, a
oltaire ses articles Goût et Style du Dictionnaire philosophique, son
Temple
du Goût, et quelques passages de ses lettres où i
gothique, que la barbarie avait introduit pour les palais et pour les
temples
: on a rappelé le dorique, l’ionique et le corint
t par un beau choix de paroles, qui fassent aimer les solennités, les
temples
, qui y fassent courir : qu’on ne les cherche pas
t apercevoir que je me suis trompé. Voltaire (1694-1778.) Le
Temple
du Goût Le cardinal, oracle de la France61 N
à ce portrait, me dit un jour qu’il voulait que j’allasse avec lui au
Temple
du Goût. C’est un séjour, me dit-il, qui ressembl
c lui au Temple du Goût. C’est un séjour, me dit-il, qui ressemble au
Temple
de l’Amitié, dont tout le monde parle, où peu de
ère. Je leur criai de loin par la portière : N’allez-vous pas dans le
Temple
du Goût Vous décrasser ? Nous, messieurs ? point
doreurs, de faux connaisseurs, de flatteurs. Ils tournaient le dos au
Temple
du Goût. D’un air content l’orgueil se reposait,
être quitte pour ce petit retardement, et que nous allions arriver au
temple
sans autre mauvaise fortune ; mais la route est p
u travers de bien des aventures pareilles que nous arrivâmes enfin au
Temple
du Goût. Jadis en Grèce on en posa Le fondement
ement ferme et durable, Puis jusqu’au ciel on exhaussa Le faîte de ce
temple
aimable. L’univers entier l’encensa. Le Romain, l
Dans ce séjour s’apprivoisa. Le musulman, plus implacable, Conquit le
temple
, et le rasa. En Italie on ramassa Tous les débris
ité méprisa Cette architecture si belle Richelieu vint, qui répara Le
temple
abandonné par elle. Louis le Grand le décora : Co
ttira Des beaux-arts la troupe immortelle. L’Europe jalouse admira Ce
temple
en sa beauté nouvelle ; Mais je ne sais s’il dure
beauté nouvelle ; Mais je ne sais s’il durera. Je pourrais décrire ce
temple
, Et détailler les ornements Que le voyageur y con
ue nos très-gothiques aïeux Entassaient autour des murailles De leurs
temples
, grossiers comme eux : Il n’a point les défauts p
Et dont le connaisseur se raille. Il est plus aisé de dire ce que ce
temple
n’est pas que de faire connaître ce qu’il est. J’
it embrassait sa structure, Jamais surpris, et toujours enchanté. Le
temple
était environné d’une foule de virtuoses, d’artis
si impérieusement à de petites sociétés, ne sont point reçus dans ce
temple
, malgré les dîners qu’ils donnent aux beaux espri
lez, frère Garassus, lui dit la Critique ; allez, barbare ; sortez du
Temple
du Goût : sortez de ma présence, Visigoth moderne
llit de joie à l’aspect d’un homme qui était depuis longtemps dans ce
temple
, tantôt à une place, tantôt à une autre. C’était
i j’ai fait tant d’épigrammes ! Quoi ! le bon Goût souffrira dans son
temple
l’auteur des Lettres du ch. d’Her...., d’une Pass
Bussy. Madame de Sévigné, qui est aimée de tous ceux qui habitent le
temple
, me dit que son cher cousin, homme de beaucoup d’
lé trop souvent de lui-même. Mais son fils, son aimable fils, Dans le
temple
est toujours admis, Lui qui, sans flatter, sans m
reçoit aussi leurs ennemis, et il est assez plaisant de voir dans ce
temple
Bourdaloue qui s’entretient avec Pascal sur le gr
rès-impolis pour la commodité de la rime. Je ne m’arrêtai pas dans ce
temple
à voir les seuls beaux esprits. Vers enchanteurs
aine, qui avait conservé la naïveté de son caractère, et qui, dans le
Temple
du Goût, joignait un sentiment éclairé à cet heur
genre du Poussin n’est point celui de Téniers, ni l’architecture d’un
temple
celle d’une maison commune, ni la musique d’un op
u Champ de Mars sur un tambour ; c’est les avoir gravés à toujours au
temple
de mémoire. Les siècles les plus reculés sauront
n, Burrhus. Mithridate, etc. Mais puisque cela me conduit à parler du
Temple
du Goût, je suis bien aise d’avoir occasion de di
especte d’ailleurs plus que personne, je déclare que tout le reste du
Temple
du Goût m’a frappé par la vérité des jugements, p
om d'Oreste. 102. Dans la tragédie de Marianne. 103. 1. Dans son
Temple
du Goût, Voltaire, après avoir parlé de Pierre C
sur vos têtes ; Jésus-Christ paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
… je vous le demande donc : si Jésus-Christ parais
temple… je vous le demande donc : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée pour nous juger, po
es villes de la Grèce ; il a été jugé le prince des orateurs. — 6. Le
temple
de Diane à Éphèse était le plus fameux, le plus g
ves par des remèdes dangereux. — 13. Salomon, fils de David, bâtit un
temple
à Dieu. — 14. Le baume est préféré à tous les par
nts à Ptolémée, roi d’Égypte. — 8. Verrès, préteur romain, enleva des
temples
les plus sacrés de la Sicile les statues des dieu
titutions nouvelles de Rome sous les rois. Numa Pompilius bâtit un
temple
à Janus, et tourna vers la religion les esprits f
en son pouvoir, institua les Féries Latines, et bâtit au Capitole un
temple
à Jupiter. version 60. De moribus Romanorum
Les traits des Sagontins avaient un fer long de trois pieds. — 4. Le
temple
d’Esculape était à cinq mille pas d’Épidaure. — 5
la peinture fut de bonne heure en honneur : Fabius Pictor peignit le
temple
du Salut l’an quatre cent cinquante de la fondati
remier des Romains qui ait soumis les Juifs et qui soit entré dans le
temple
du droit de la victoire. — 7. Caton fit sa premiè
ttante de Chemmis, qui porte des bois sacrés, des forêts, et un vaste
temple
d’Apollon, et qui va çà et là, selon qu’elle est
2. Xerxès envoya quatre mille hommes armés à Delphes, pour piller le
temple
d’Apollon, comme s’il eût fait la guerre non-seul
Syracuse, s’étant emparé de la Grèce après sa victoire, dépouilla les
temples
, et se moqua des dieux ; il se faisait en effet u
personne ne prononçât jamais le nom de celui qui avait mis le feu au
temple
de Diane à Éphèse. — 2. Il fut décrété par le sén
i Éphestion. — 2. Alexandre ordonna que son corps fût enterré dans le
temple
de Jupiter Hammon. — 3. Annibal reçut des Carthag
ndent qu’on mette de la nourriture devant la statue, et qu’ensuite le
temple
soit scellé par le roi, à condition qu’ils seraie
pourvu que la même condition fût imposée à Daniel. En conséquence, le
temple
est scellé du sceau du roi, après que Daniel, à l
e la poussière sur le pavé. Le lendemain, le roi, étant entré dans le
temple
, remarqua que ce qu’il avait fait servir à l’idol
avait servi à l’idole. Aussi le roi les fit tous mettre à mort, et le
temple
et la statue furent renversés. Chapitre III.
’Argos. Comme elle devait se rendre, pour un sacrifice solennel, à un
temple
situé assez loin de la ville, et que l’attelage s
’huile, et s’attelèrent au joug. La prêtresse, étant ainsi arrivée au
temple
dans un char traîné par ses fils, pria, dit-on, l
onius et Agamède firent une prière du même genre. Après avoir bâti un
temple
à Delphes en l’honneur d’Apollon, ils invoquèrent
las rentra dans sa patrie huit ans après être parti de Troie. — 4. Le
temple
de Jérusalem fut achevé en quatre ans, six ans ap
Les Agrigentins ont dans leur ville, près de la place publique, un
temple
d’Hercule, très-saint et très-vénéré parmi eux ;
troupe d’esclaves armés vint tout à coup, par son ordre, attaquer ce
temple
au milieu de la nuit. Les gardiens qui y veillaie
rme qui lui tombait sous la main. Aussi, en un instant, on accourt au
temple
de tous les quartiers de la ville. Il y avait plu
ur ne pas retourner absolument les mains vides vers ce déprédateur de
temples
. Les affaires des Siciliens ne vont jamais si mal
isons de campagne aussi vastes que des cités entières, de visiter les
temples
que nos ancêtres, les plus religieux de tous les
ortels, ont bâtis aux dieux. Mais ils donnaient pour ornement à leurs
temples
la piété, et à leurs demeures privées, la gloire.
le faire périr d’un seul coup. (1). Érostrate avait mis le feu à ce
temple
pour rendre son nom immortel. (1). Néron était j
fie en latin pourceau, verrat. (1). Voyez page 335, note1 (1). Ces
temples
étaient d’une grande simplicité. (1). Dans la tr
une grande et belle institution que d’avoir réuni les hommes dans un
temple
pour les instruire de leurs devoirs ; d’avoir éta
es tombeaux. Ne doutons pas que les objets extérieurs, l’appareil des
temples
et des cérémonies n’influent beaucoup sur les hom
les, deux étant masculines et deux féminines. Oui, je viens dans son
temple
, adorer l’éternel ; Je viens, selon l’usage antiq
est doux de porter ses pas religieux Dans le fond du vallon, vers ce
temple
rustique, Dont la mousse a couvert le modeste por
t, dans Athalie ? Le peuple saint en foule inondait les portiques Du
temple
orné partout de festons magnifiques. Parce qu’il
ernier vers avant le premier, et a fait deux vers irréprochables. Du
temple
orné partout de festons magnifiques Le peuple sai
Athalie. Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre ? Joas. Ce
temple
est mon pays ; je n’en connais point d’autre. At
des loups cruels prêts à me dévorer5. Athalie. Qui vous mit dans ce
temple
? joas. Une femme inconnue, Qui ne dit point son
prie, on le contemple ? Joas. Tout profane exercice est banni de son
temple
. Athalie. Quels sont donc vos plaisirs ? Joas.
service aussi précaire. Quand les consuls regardaient le Capitole, le
temple
de Jupiter se montrait à eux au-dessus des destin
rve des âmes, elle en fortifie d’autres. Mais, là où la patrie est un
temple
vide, qui n’attend rien de nous que le silence et
se des gardes, il a quelque chose de durable et de saint à garder. Un
temple
lui offre sous une image sensible le dieu qui a f
le catholicisme a hérité du paganisme ; mais le Panthéon est le seul
temple
antique à Rome qui soit conservé tout entier, le
s’arrêtèrent sur la place du Panthéon pour admirer le portique de ce
temple
et les colonnes qui le soutiennent. Corinne fit o
ments : en tout genre, nous autres modernes, nous disons trop10. « Ce
temple
, continua Corinne, fut consacré par Agrippa, le f
maître. Cependant ce maître eut la modestie de refuser la dédicace du
temple
; et Agrippa se vit obligé de le dédier à tous le
statues se trouvaient sous une autre forme ; et sur le frontispice du
temple
on lit encore : Agrippa l’a consacré. Auguste don
dans la postérité sa gloire s’en est bien trouvée. « Entrons dans le
temple
, dit Corinne ; vous le voyez, il reste découvert
ennent encore la tête levée. » Elle se tut, et ses pas, en sortant du
temple
, étaient plus lents et ses regards plus rêveurs.
de Caligula, et que Sixte-Quint a fait transporter ensuite au pied du
temple
de Saint-Pierre ; ce contemporain de tant de sièc
te sensation est en harmonie avec celle que fait naître l’aspect d’un
temple
majestueux. La peinture, la sculpture, imitant le
se ; arrêtez-vous, avant de soulever le rideau qui couvre la porte du
temple
: votre cœur ne bat-il pas à l’approche de ce san
éon : Je la placerai dans les airs. Et, en effet, Saint-Pierre est un
temple
posé sur une église. Il y a quelque alliance des
de l’esprit, humain eux-mêmes paraissent des ornements superflus ! Ce
temple
est comme un monde à part. On y trouve un asile c
’altère jamais. Une église souterraine est bâtie sous le parvis de ce
temple
; les papes et plusieurs souverains des pays étra
, en lui mettant une auréole sur la tête. L’expression générale de ce
temple
caractérise parfaitement le mélange des dogmes so
es ils passent si rapidement, et ne se survivent que par le génie. Ce
temple
est une image de l’infini ; il n’y a point de ter
ipion, lorsque, repoussant la calomnie par la gloire, il alla dans le
temple
pour rendre grâces aux dieux des victoires qu’il
e, on voit à droite et à gauche deux églises bâties sur les ruines du
temple
de Jupiter Férétrien et de Jupiter Capitolin. En
e dans lequel est venu se perdre le sien indique moins le ministre du
temple
que le père laborieux du troupeau. Il sort de sa
la citadelle ; la ruine que je voyais sur-cette colline était donc le
temple
de Minerve-Chalciœcos75, puisque celui-ci était d
us du sol, annoncent, vers le milieu de ce plateau, les fondements du
temple
de Minerve-Chalciœcos, où Pausanias se réfugia va
es à recevoir des statues ou des urnes. Est-ce un tombeau ? est-ce le
temple
de Vénus armée ? Ce dernier devait être à peu prè
arallèlement au cours du fleuve, on placera la tribu des Limnates, le
temple
de Lycurgue, le palais du roi Démarate, la tribu
s et celle des Messoates, un des Lesché79, le monument de Cadmus, les
temples
d’Hercule, d’Hélène, et le Plataniste80. J’ai com
. Comme je pouvais choisir, j’ai donné à l’un de ces débris le nom du
temple
d’Hélène ; à l’autre, celui du tombeau d’Alcmar81
déterminé ainsi pour la Fable, et n’ai reconnu pour l’histoire que le
temple
de Lycurgue. J’avoue que je préfère au brouet noi
es tombeaux de Pausanias et de Léonidas, le Lesché des Crotanes et le
temple
de Diane Isora. Enfin, si l’on ramène ses regards
erspective ; et plus loin, sur le chemin d’Amyclée, on rencontrait le
temple
des Dioscures86 et des Grâces. Cette description
nfus, les chapiteaux des Propylées96, les colonnes du Parthénon et du
temple
d’Érechthée, les embrasures d’une muraille chargé
finit dans ce monde. Où sont allés les génies divins qui élevèrent le
temple
sur les débris duquel j’étais assis ? Ce soleil,
celui de la poésie. Mais la poésie bâtit à son gré des palais et des
temples
comme l’architecture ; elle tes fait simples ou m
demander à Œdipe, son père, réfugié avec sa fille Antigone auprès du
temple
des Euménides285, le pardon de ses offenses. Œdi
lieu, sa triste majesté, Ce palais de la nuit, cette sombre cité, Ces
temples
où le Christ vit ses premiers fidèles, Et de ces
re inspirant Cicéron ; Nos dieux réfugiés dans l’âme de Caton ; Leurs
temples
, le sénat, et notre gloire antique Avec lui s’exi
aînez sur vos pas des peuples, des cités ! On voit les tribunaux, les
temples
, désertés ! Pourquoi ? Ces dieux, dont Rome adore
jeune homme, un chrétien, glisse sur l’onde amère. Il remplit dans le
temple
un humble ministère : Ses soins parent l’autel ;
ruauté Veut convertir les cœurs par le glaive et les flammes, Dans le
temple
où tes saints prêchaient la vérité, Où de leur bo
Mais Oreste, à qui cette princesse avoit été promise, le tua dans un
temple
d’Apollon.
fs dispersés dans son empire, de retourner en Judée, et de rebâtir le
temple
de Jérusalem, ainsi que le prophète Isaïe l’avoit
béien, mais d’un patricien et d’un préteur ». 84. « Il se rendit au
temple
de Castor ; il annonça au consul des auspices con
une violence de ne pouvoir achever de mourir ? d’avoir ensanglanté un
temple
, lui tribun, du peuple ? Est-ce une violence de n
les mœurs ce que la nature y avait laissé de trop rude. On allait au
temple
pour demander les faveurs des dieux : ce n’était1
re ou de la vanité des peuples. Les rois de Perse avaient détruit les
temples
des Grecs, des Babyloniens et des Egyptiens : il
cependant assigner à ce genre les sermons qui se prononcent dans nos
temples
, puisqu’ils ont pour but ordinaire d’inspirer l’a
il., IV, 1.) Sa voix, dit La Harpe, au moment où elle s’élève dans le
temple
de la justice, est comme un premier jugement. De
tribune d’Athènes, Cicéron dans celle de Rome, et Massillon dans nos
temples
. On peut définir les passions, considérées relati
s’ouvrir sur vos têtes, J.-C. paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
; et que vous n’y êtes assemblés que pour l’atten
osition où je souhaite que vous entriez : si J.-C. paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée, la plus auguste de
e monde, Dieu, maître du ciel et de la terre, n’habite point dans les
temples
bâtis par les hommes. Les ouvrages de leurs mains
a pensée : « À ces cris, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du
temple
s’ébranlèrent, le Jourdain se troubla, et tous se
e genre du Poussin n’est pas celui de Téniers, ni l’architecture d’un
temple
celle d’une maison commune : aussi chaque genre d
., IV, 621.) 5º La topographie nous fait voir le lieu de la scène, un
temple
, un palais, un paysage, etc. Telle est celle de l
pervers, tout rempli de pensées funestes et criminelles, s’élance du
temple
de Jupiter, le visage trempé de sueur, l’œil en f
sa main sacrilège à ceux qui se réjouissent avec lui, et retourne au
temple
de Jupiter. » L’accumulation, figure que son nom
omme une colonne dont la masse solide paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, lorsque ce grand édifice qu’elle soutena
’Halicarnasse dans ses Antiquités : Il y avait sur le mont Aventin un
temple
consacré à Junon, et l’on racontait que la déesse
ces ruines sacrées : là, sur l’Aventin, s’élève encore tout entier le
temple
de Junon, déesse aujourd’hui propice, qui de l’Ét
Dieu du ciel, qui m’a fait roi de la terre, m’ordonne de relever son
temple
de Jérusalem, et de rendre aux captifs leur liber
de la captivité ont quelque douceur, lorsqu’on les chante auprès des
temples
de la patrie. Assis sur les bords des fleuves de
a tête altière, pareille au Liban couvert de ses antiques forêts. Ses
temples
étaient de marbre, l’encens fumait toujours sur s
’a donné tous les royaumes de la terre ; il a commandé de relever son
temple
à Jérusalem qui est en Judée. Vous tous qui êtes
r le toit de leurs pères ! Ils entendaient au loin le fracas de leurs
temples
renversés et de Jérusalem qui s’écroulait. Comme
é : nous allons donc revoir ces lieux où fut le palais de David et le
temple
de Salomon. Nous irons donc pleurer encore sur le
eu de ses ruines ; le Liban nous a prêté ses cèdres odoriférants ; le
temple
s’est élevé, appuyé sur cent colonnes d’airain ;
sacrés ; l’encens fume toujours sur ses autels, mais ce n’est plus le
temple
de Salomon. Filles de Sion, reprenez vos cantique
er ma vieillesse ; réunissez-vous sous un chef pacifique qui ferme le
temple
de Janus, qui me fasse oublier Domitien et mes ma
Et ses bandeaux sacrés, et la flamme immortelle Qui veillait dans son
temple
et brûlait devant elle. Fontanes (Trad. de l’Én
saint Paul, les ouvriers qui gagnaient leur vie en faisant de petits
temples
d’argent de la Diane d’Éphèse s’assemblèrent, et
non-seulement, dit-il, nous courons fortune de tout perdre ; mais le
temple
de la grande Diane va tomber dans le mépris ; et
religion rendait illustres, comme la ville d’Éphèse qui devait à son
temple
ses privilèges, et l’abord des étrangers dont ell
inte-Marie-Majeure, sur le mont Esquilin. Élevée près des ruines d’un
temple
de Diane, au lieu où furent les jardins de Mécène
u’à peine Leurs ossements blanchis dans les champs d’Ascalon. De ses
temples
détruits et cachés sous les herbes Sion vit relev
ces murs sacrés conquis par nos ancêtres. Ciel ! si vous aviez vu ce
temple
abandonné, Du Dieu que nous servons le tombeau pr
s ces moments affreux ranimant notre audace. Au milieu des débris des
temples
renversés, Des vainqueurs, des vaincus, et des mo
ur, j’entrerai dans votre maison et je vous adorerai dans votre saint
temple
. » Et son âme s’envola dans le saint temple qu’il
adorerai dans votre saint temple. » Et son âme s’envola dans le saint
temple
qu’il ôtait digne d’habiter. Chateaubriand.
s, Les Dieux naissent de ton ciseau. « Quel est ce
temple
au dôme immense, Ce temple où tous les a
n ciseau. « Quel est ce temple au dôme immense, Ce
temple
où tous les arts rivaux, Unis pour décorer sa pom
nait à tous l’exemple. Son peuple, pour l’entendre, accourait dans le
temple
; Il parlait, et les cœurs s’ouvraient tous à sa
aire : On me disait : « Il dort ; » et je versais des pleurs. Mais du
temple
voisin quand la cloche sacrée Annonça qu’un morte
des échafauds qu’on venait de construire. Quand elle fut parvenue au
temple
d’Apollon Pythien, on détacha le voile suspendu a
au navire, et l’on se rendit à la citadelle, où il fut déposé dans le
temple
de Minerve. Sur le soir, je me laissai entraîner
front Au lieu de ma couronne un éternel affront : Je vous conduis au
temple
où son hymen s’apprête ; Je vous ceins du bandeau
ez-y ; je vous laisse, et je viendrai vous prendre Pour vous mener au
temple
où ce fils doit m’attendre ; Et là vous me verrez
ensez-vous aller ? Polyeucte. Au
temple
, où l’on m’appelle. Néarque. Quoi ? vous mêler au
Je les veux renverser, Et mourir dans leur
temple
, ou les y terrasser. Allons, mon cher Néarque, al
On souffre avec regret quand on n’ose s’offrir. Néarque. Mais dans ce
temple
enfin la mort est assurée. Polyeucte. Mais dans l
erve des âmes, elle on fortifie d’autres. Mais là où la patrie est un
temple
vide, qui n’attend rien de nous que le silence et
celui de la poésie. Mais la poésie bâtit à son gré des palais et des
temples
, comme l’architecture, elle les fait simples ou m
x, et dans une tranquillité publique, des citoyens entraient dans les
temples
, allaient voir des femmes ou visitaient leurs ami
e sentiment de l’homme dans sa beauté et sa liberté. Sa maison est le
temple
en petit ; le temple est sa maison agrandie, orné
e dans sa beauté et sa liberté. Sa maison est le temple en petit ; le
temple
est sa maison agrandie, ornée proportionnée à sa
ctions et ses puissances, qui sont grandes. On n’entre point dans ses
temples
, bien préparé, sans en sortir asservi. Le diffici
rène se transporte à grands frais en Épidaure, voit Esculape dans son
temple
, et le consulte sur tous ses maux. D’abord elle s
s assassins. Communication : Si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
pour vous juger, je suis bien persuadé que le plu
n où je souhaite que vous entriez, si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
pour nous juger, croyez-vous que le plus grand no
avons vu, doit toujours être élidé ; exemple : Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel. L’e muet précédé d’une voyelle
Craignez d’un vain plaisir les trompeuses amorces. Boileau. Du
temple
, orné partout de festons magnifiques, Le peuple s
dans lequel est venu se perdre le sien, indique moins le ministre du
temple
que le père laborieux du troupeau. Il sort de sa
que hommage. Voilà le sacrifice immense, universel ! L’univers est le
temple
, et la terre est l’autel. 1. Bossuet dit : (
ain sacré tremble et s’agite (C. Delavigne). L’ivoire pleure dans les
temples
(Virgile). Quelquefois, quand on ne veut pas nomm
que sera-ce de le mettre en croix ? » (Cicéron.) J’ai profané leur
temple
et brisé leurs autels, Je le ferais encore si j’a
Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du
temple
, orné partout de festons magnifiques, Le peuple s
e des élus : Je vous le demande : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée la plus auguste de
omme une colonne dont la masse solide paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, lorsque ce grand édifice fond sur elle s
peindre le recueillement et le bonheur que l’âme pieuse goûte dans le
temple
du Seigneur, Lamartine emploie les comparaisons s
contre lui-même : Murs que j’ai relevés, palais, tombez en cendre !…
Temple
, que pour jamais tes voûtes se renversent !… Que
omme une colonne dont la masse solide paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, 2. Lorsque ce grand édifice qu’elle sout
répété, Dont j’apprends que partout les belles sont jalouses ? Qu’aux
temples
, aux festins, les mères, les épouses, Ne sauraien
ds du vieillard, gémis, implore, presse ; Adjure cieux et mers, dieu,
temple
, autel, déesse ; Pars ; et si tu reviens sans les
te la route n’est tracée Que des débris des nations : Trônes, autels,
temples
, portiques, Peuples, royaumes, républiques, Sont
êtes Par les foudres du Sinaï, Par la verge de ses prophètes, Par les
temples
d’Adonaï ! Foulant ses jougs, brisant ses maîtres
ant aux regards de l’homme Les fondements du pouvoir, comme Ceux d’un
temple
mystérieux ; Là, jetant au vent populaire, Comme
e au sommet des monts, plonge au fond des abîmes, Et souvent fonde un
temple
où manquait un tombeau. Elle apporte leur palme
de Dieu. V. Hugo, La Liberté Tu n’as rien toi, Tyrol, ni
temples
ni richesse, Ni poètes ni dieux, tu n’as rien, ch
d ; peut-être sans exemple. Les déesses du Styx l’attendaient hors du
temple
, Et n’osaient le poursuivre en ces lieux redoutés
ez-moi, rendez-moi ma victime enlevée ; Qu’Apollon le rejette ; et du
temple
vomi, Qu’il rencontre partout votre autel ennemi
, en offrit un exemple : Hipparque, autre Tarquin, fut frappé dans un
temple
. Quinze ans il opprima : quinze ans on le souffri
ssance. Quel était ton dessein, et que prétendais-tu Après m’avoir au
temple
à tes pieds abattu ? Affranchir ton pays d’un pou
C’est l’exemple qu’à suivre offrent vos immortels. J’ai profané leur
temple
et brisé leurs autels ; Je le ferais encor, si j’
qu’un commencement de l’œuvre expiatoire. La vertu me paraît comme un
temple
sacré : Si la porte par où l’on sort n’a qu’un de
trine. Jusqu’à présent j’ai publié les justices du Très-Haut dans des
temples
couverts de chaume ; j’ai prêché les rigueurs de
r sur vos têtes, Jésus-Christ paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’attend
s entriez ; je vous demande donc : Si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée, la plus auguste de
volution pour eux : qui croient follement qu’on a envoyé Louis XVI au
Temple
pour les intrôner eux-mêmes aux Tuileries ? Savez
évention ; que cet acte solennel n’est point une vaine forme ; que le
temple
de la liberté est aussi celui de l’impartialité q
celui de la poésie. Mais la poésie bâtit à son gré des palais et des
temples
, comme l’architecture ; elle les fait simples ou
ncipes ne rencontraient pas d’adversaires : ils élevaient la voûte du
temple
, sans craindre qu’aucune main fût assez hardie po
’Égypte on découvre de superbes portiques qui ne conduisent plus à un
temple
que les siècles ont détruit, de vastes débris, de
nt encore quand il se montre homme de génie. Villemain 89. Le
Temple
du Goût On nous fit voir ensuite la bibliothè
aine, qui avait conservé la naïveté de son caractère, et qui, dans le
Temple
du Goût, joignait un sentiment éclairé à cet heur
re goûter le beau et aimer le bien. S. de Sacy 90. Le nouveau
Temple
du Goût Le Temple du Goût, je le crois, est à
imer le bien. S. de Sacy 90. Le nouveau Temple du Goût Le
Temple
du Goût, je le crois, est à refaire ; mais en le
ais à aucun degré prétendre à être architecte ou ordonnateur d’un tel
temple
, je me bornerai à exprimer quelques vœux, à conco
es aimeraient souvent à se rencontrer devant le portique du principal
temple
(car il y en aurait plusieurs dans l’enceinte), e
ntrevoir dans les cieux ; La création, sa conquête, N’est qu’un vaste
temple
à ses yeux. Dès qu’il redescend en lui-même, Il
dessiller nos yeux ; et nous plaçâmes le monstre fatal à l’entrée du
Temple
de Minerveb. » Voici encore une bien belle excla
à Joad le jeune Éliacin, et les trésors qu’elle croit cachés dans le
Temple
, lui dit : Je devrais sur l’autel où ta main sac
Dieu avait fait pour manifester sa puissance, semblait être devenu un
temple
d’idoles . En voici une autre du grand Corneille
à Carthage. J’ai vu un embrasement général dévorer nos maisons et nos
temples
. Échappés de ces flammes et couchés plusieurs jou
eut assassiné sa mère, on baisa sa main parricide, et l’on courut aux
temples
remercier les dieux. Ne te laisse pas non plus éb
à Milon les déclarations des esclaves interrogés dans le vestibule du
temple
de la Liberté. Quels sont ces esclaves ? vous le
ton espoir frivole es-tu désabusé ? « Il laisse en mon pouvoir et ton
temple
et ta vie. « Je devrais sur l’autel où ta main sa
r son autel consument tous les jours ? « Né ministre du dieu qu’en ce
temple
on adore, « Peut-être que Mathan le servirait enc
au dieu nouveau qu’elle avait introduit, « Par les mains d’Athalie un
temple
fut construit. « Jérusalem pleura de se voir prof
e la fermeté de la reine d’Angleterre aux colonnes qui soutiennent un
temple
ruineux ; le grand Condé à un fleuve majestueux ;
ses autels. Que ne peut la frayeur sur l’esprit des mortels ! Dans le
temple
des Juifs un instinct m’a poussée, Et d’apaiser l
e épouvanté. Tout fuit, et sans s’armer d’un courage inutile, Dans le
temple
voisin, chacun cherche un asile ; Hippolyte lui s
mme une colonne, dont la masse solide paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, lorsque le grand édifice qu’elle soutena
juger par ce passage de l’Épître à sa muse, où Gresset représente le
temple
de la Faveur, la vanité des hommes qui courtisent
s une île enchantée, Près du séjour de l’inconstant Protée, Il est un
temple
élevé par l’Erreur, Où la brillante et volage Fav
né les mortels vertueux ; L’Opinion, la Mode et le Caprice Ouvrent le
temple
et nomment les heureux. En leur offrant la coupe
ciel, il faut mourir ! Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le
temple
, le hameau, les champs de Vaucouleurs, Et
Dieu ! j’ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J’ai vu tomber ton
temple
et périr ta mémoire ; Dans un cachot affreux aban
En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce
temple
envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu’
Chien dénonciateur. 2. Un voleur, s’étant glissé la nuit dans le
temple
d’Esculape, à Athènes, enleva tout l’or et l’arge
a par ses aboiements. L’animal, s’apercevant qu’aucun des gardiens du
temple
ne l’entendait, se mit à poursuivre le voleur. Le
d’Agrigente. 15. Il y a dans Agrigente, non loin de la place, un
temple
d’Hercule, très-saint et très-révéré dans ce pays
temple d’Hercule, très-saint et très-révéré dans ce pays ; et dans ce
temple
, la statue de ce dieu en airain : on ne peut guèr
esclaves armés, Timarchide à leur tête, vient tout à coup attaquer ce
temple
. Les sentinelles et les gardiens poussent un cri.
rencontrait. Aussi, de tous les quartiers de la ville, on accourt au
temple
en un instant. Déjà, depuis plus d’une heure, un
issant d’en faire le sujet de ses plaisanteries. Après avoir pillé le
temple
de Proserpine à Locres, comme il s’en retournait
ollon, son père, n’en avait pas. Il fit également enlever dans divers
temples
des tables d’argent et d’or ; et comme, selon l’u
utres villes de la Judée. Les Pharisiens défendirent quelque temps le
temple
avec acharnement ; enfin, déterminés à mourir, il
it-on, son conseil, et mit d’abord en délibération s’il détruirait un
temple
dont la construction avait tant coûté. Quelques-u
et Titus était de ce sentiment, qu’il fallait avant tout renverser ce
temple
, pour anéantir plus sûrement deux religions, cell
ait le Ciel), on abattit le saint édifice. C’est la dernière ruine du
temple
, la dernière captivité des Juifs. Depuis ce jour,
roit, se relèvent dans un autre ; qui ne sont point renfermés dans un
temple
, dans une place publique, dans une ville, dans un
sible chars][texte coupé]e gradins, pour jouir du spectacle. Tous les
temples
étaient [illisible chars][texte coupé]uverts et d
ouer et se perdre sur des bancs de sable. A ces ouvrages, ajoutez des
temples
majestueux, parmi lesquels se distingue particuli
orgueillit à jamais, l’univers ne voit rien de plus imposant. Dans ce
temple
existait une bibliothèque d’un prix inestimable,
pour tout ce qui était beau. Version V. Alexandre va visiter le
temple
d’Ammon. 5. Alexandre pénètre jusqu’au cœur d
dans ces vastes déserts….. Version VI. Alexandre va visiter le
temple
d’Ammon. (Suite.) 6. Déjà l’on approchait du l
ris lamentables, surtout ceux des femmes, lorsque, passant à côté des
temples
, objets de leur vénération, elles les voyaient in
eure. Cependant (comme le roi en avait donné l’ordre), on épargna les
temples
des dieux. Version XXVII. Quelques particul
aient sa couche grossière. Jupiter tenait à peine tout entier dans un
temple
étroit ; et dans la main de Jupiter la foudre éta
ils accumulèrent tous les honneurs : César eut ses images autour des
temples
; au théâtre, une couronne décorée de rayons ; un
on maître, et de la lui conserver de tout son pouvoir. Je descends du
temple
, et je me rends à Athènes : prosterné devant Mine
de la sagesse ? Vit-on jamais, de nos jours, personne entrer dans un
temple
, et s’engager par un vœu, pour acquérir l’éloquen
it être l’éducation du futur orateur. 184 5. Alexandre va visiter le
temple
d’Ammon. 186 6. Suite du même sujet. 188 7. Pat
Joas, héritier du trône de Juda, qui a été secrètement élevé dans le
temple
. Voilà le commencement que le spectateur apprend
re cette reine : voilà le milieu ou le nœud. Athalie, attirée dans le
temple
par le grand prêtre, tombe dans le piège qui lui
e chant du bouc. Ces chants ne se renfermaient pas seulement dans les
temples
; on les promenait dans les bourgades ; on traîna
nes de faire entendre leurs accents sous les voûtes séculaires de nos
temples
; et leur inspiration nous a semblé de nature à f
st pour eux la cause de la guerre ? Leur unique but est de piller les
temples
, de détruire la race humaine. Habitués à combattr
ne dans la ville ? de la ville dans ta maison ? de ta maison dans les
temples
? Pardonne, ô mon fils, pardonne et à moi et à la
Amilcar. Amilcar vient d’amener son fils, âgé de neuf ans, dans le
temple
consacré aux mânes de Didon ; il lui parle ainsi
ité suprême nous suivra partout et l’empire nous accompagne. Quand le
temple
du Capitole fut embrasé par les torches gauloises
urmonter leurs passions et à se contenter de peu ? La profanation des
temples
, le vol avec effraction, la trahison, voilà des f
de farouches soldats, les murailles détruites de fond en comble, les
temples
des dieux dépouillés, anéantis par le feu, les ca
davres des vieillards et des femmes, en détruisant nos pénates et les
temples
de nos dieux indignés ? Il faut bien le dire héla
tés : ne sont-ce pas eux qui abattent les autels, qui démolissent les
temples
, qui profanent indignement la Terre-Sainte où les
ciel, il faut mourir ! Tu ne reverras plus les riantes montagnes, Le
temple
, le hameau, les champs de Vaucouleurs,
as s’en faire accroire, J’eus l’air de vouloir m’afficher Aux murs du
temple
de mémoire ; Aux sots vous sûtes tous cacher ; Je
eut assassiné sa mère, on baisa sa main parricide, et l’on courut aux
temples
remercier les dieux. Ne te laisse pas éblouir par
n Dieu, j’ai combattu soixante ans pour ta gloire. J’ai vu tomber ton
temple
et périr ta mémoire ; Dans un cachot affreux aban
’emploi qu’il fit de son talent, et il a droit à un médaillon dans le
temple
de Mémoire2. Aventures de voyage. À madem
te la France ; de cette foule consternée qui, se précipitant dans les
temples
, interrompait par ses sanglots les prières publiq
e la lune, des montagnes et des plaines, des lions et des vagues, des
temples
et des palais. Elles sont faites pour relever l’i
le immense… Subjectifications : Quand vos bras combattront pour son
temple
attaqué, Par vos larmes du moins il peut être inv
’être que des sentiers agréables, quoique raboteux, qui conduisent au
temple
des Muses. Celle-ci est la grande et belle route,
suivre jusqu’au bout, arrive-t-il plus glorieux et plus triomphant au
temple
sacré, où la couronne immortelle l’attend dans un
u le glorieux titre de législateur du Parnasse. Voltaire dit dans son
Temple
du Goût : Là régnoit Despréaux, leur maître en l
et de tous les charmes de la poésie. Voici ce que Voltaire, dans son
Temple
du Goût, fait dire à Lucrèce qui s’adresse au car
cier des victoires qu’a remportées l’empereur Décie. Il entre dans le
temple
; et à la vue de tout un peuple, en présence des
éfense contre cette reine ; voilà le milieu. Athalie, attirée dans le
temple
par le grand-prêtre, est mise à mort par son ordr
, sort du palais, et va recevoir le baptême. Il entre ensuite dans le
temple
avec Néarque son ami, et brise pendant le sacrifi
int du vestibule de l’appartement du grand-prêtre, lequel est dans le
temple
de Jérusalem. Dans Andromaque, dans Britannicus,
u la promesse qu’elle ira le joindre et l’accepter pour époux dans un
temple
qui est près de Trezène. Thésée survient ; et les
sance. Quel étoit ton dessein, et que prétendois-tu, Après m’avoir au
temple
à tes pieds abattu ? Affranchir ton pays d’un pou
agédie de Polyeucte. Néarque. Où pensez-vous aller ? Polyeucte. Au
temple
où l’on m’appelle. Néarque. Quoi ! vous méler au
leurs autels. Polyeucte. Je les veux renverser, Et mourir dans leur
temple
ou les y terrasser. Allons, mon cher Néarque, all
souffre avec regret, quand on n’ose s’ouffrir. Néarque. Mais dans ce
temple
enfin la mort est assurée. Polyeucte. Mais dans
Dragon(c), ce dieu des Philistinsd, Lorsque du Dieu des Dieux, en son
temple
apportée, A ses yeux éblouis l’arche(a) fut prése
t pour moi des offrandes, si moi-même j’ai suspendu aux voûtes de vos
temples
les dépouilles des forêts, faites que je dissipe
ate. Les deux héros vont à Carthage sans être vus, et entrent dans le
temple
. Leurs compagnons étant arrivés, Enée se montre,
re, Si le charme des sens ne le force à se taire. Pensez-vous qu’à ce
temple
un Dieu soit limité ; Qu’il ait dans ces déserts
aînait toute sa fureur contre la nouvelle doctrine qui renversait les
temples
et brisait les idoles de ses dieux. La grâce divi
onceront à leur race Vos célestes vérités. J’irai, Seigneur, dans vos
temples
, Réchauffer par mes exemples Les mortels les plus
res le même service qu’Auguste quand il préserva du feu l’Énéide. Le
Temple
du Goût. — Ce petit écrit, moitié prose, moitié v
ire et où l’on savait louer sans flatterie. Nous ne disons pas que le
Temple
du Goût soit une satire, mais il faut bien avouer
taire, ne pouvant pas se donner à lui-même la première place dans son
temple
, ne s’en donne aucune. L’apparition de cet ouvrag
urieux, et donné en spectacle au public dans une comédie intitulée le
Temple
du Goût, composée par Romagnesi, et que tout Pari
’inclinait d’un air sanctifié Et laissait là son monde édifié. Le
Temple
de la Faveur. (Épître III.) Au sein des mers,
s une île enchantée, Près du séjour de l’inconstant Protée, Il est un
temple
élevé par l’Erreur, Où la brillante et volage Fav
né les mortels vertueux ; L’opinion, la Mode et le Caprice Ouvrent le
temple
et nomment les heureux. En leur offrant la coupe
e suffire à moi-même en volant à la gloire, Et chercher la fortune au
temple
de Mémoire. M. Baliveau. Où la vas-tu chercher ?
ortune au temple de Mémoire. M. Baliveau. Où la vas-tu chercher ? Ce
temple
prétendu (Pour parler ton jargon) n’est qu’un pay
terre a quitté les bords. De ton flambeau la clarté pure Me guide au
temple
où la nature Cache ses augustes trésors. Grand D
e la mousse environne, Et la cloche d’airain à l’accent monotone ; Ce
temple
où chaque aurore entend de saints concerts Sortir
s la fête de la mort. Vieillards, femmes, enfants accouraient vers le
temple
: Là préside un mortel dont la voix et l’exemple
rait, humblement incliné. Ô moment solennel ! ce peuple prosterné, Ce
temple
dont la mousse a couvert les portiques ; Ses vieu
tendre : Il doit moins se prouver qu’il ne doit se sentir199 Mais du
temple
à grands flots se hâtait de sortir La foule qui,
nait à tous l’exemple. Son peuple, pour l’entendre, accourait dans le
temple
; Il parlait, et les cœurs s’ouvraient tous à sa
jeune homme, un chrétien, glisse sur l’onde amère. Il remplit dans le
temple
un humble ministère : Ses soins parent l’autel ;
ruauté Veut convertir les cœurs par le glaive et les flammes, Dans le
temple
où tes saints prêchaient la vérité, Où de leur bo
ue hommage. Voilà le sacrifice immense, universel ! L’univers est le
temple
, et la terre est l’autel ; Les cieux en sont le d
s la voûte d’azur avec ordre semés, Sont les sacrés flambeaux pour ce
temple
allumés. Et ces nuages purs qu’un jour mourant co
nte et s’évapore Jusqu’au trône du Dieu que la nature adore. Mais ce
temple
est sans voix. Où sont les saints concerts ? D’où
. Le Tyrol. (La Coupe et les Lèvres.) … Tu n’as rien, toi, ni
temples
ni richesse, Ni poètes ni dieux ; tu n’as rien, c
se des vallons ses hôtes merveilleux, Les dieux aimaient des bois les
temples
séculaires, La hache a fait tomber les chênes et
rs sur Voltaire. 127. Journal de Paris, 14 mars 1724. 128. Voir le
Temple
de Mémoire, scène. 129. Voir les Mémoires du pré
s du riche et du puissant. Que l’on se transporte maintenant dans un
temple
, au pied des autels, sous les yeux de Dieu même,
où la nature semble offrir à Dieu son hommage. Le monde entier est le
temple
consacré à la prière. La terre est l’autel, le ci
me, les étoiles sont les flambeaux, les nuages sont l’encens. Mais ce
temple
est muet. Qui chantera l’hymne sacrée ? C’est moi
t et de pierres. Il réunit dans ce parc des édifices de toute sorte :
temple
grec, pagode indienne, tour chinoise en porcelain
voix s’élève à toi au milieu du silence de la nuit. L’univers est ton
temple
. Comment des insensés ont-ils pu te méconnaître !
de ses réformes, l’attaquèrent ; il fut forcé de se réfugier dans un
temple
. Un jeune homme, nommé Alcandre, plus violent que
idas rentre victorieux dans Lacédémone. Cléombrote se réfugie dans un
temple
. Léonidas l’y suit avec des soldats et veut l’imm
ins, l’un riant et semé de fleurs, l’autre escarpé et conduisant à un
temple
magnifique qui se perd dans les nues ; il entend
l’ancienne Grèce était la croyance aux oracles. On appelait ainsi des
temples
, ou autres lieux sacrés, où l’on venait interroge
élanthe. Sujet. Mélanthe, célèbre médecin d’Athènes, étant dans un
temple
le premier jour de l’an, demanda aux dieux de fai
par une longue suite de miracles, et la seule où le vrai Dieu eût un
temple
et des adorateurs ; 2° afin que les Juifs, dans l
Persanes (1721) où il se jouait autour d’importantes questions, et le
Temple
de Gnide (1725), erreur d’un génie qui se trompai
’on n’avait plus les mêmes magistrats, les mêmes murailles, les mêmes
temples
, les mêmes sépultures, on ne vit plus Rome des mê
; 4° le colosse de Rhodes ; 5° le Jupiter olympien de Phidias ; 6° le
temple
de Diane à Éphèse ; 7° le tombeau de Mausole, roi
et différents palais consacrés par les augures. Templum, pris pour un
temple
, était plus vaste que delubrum, qui n’était qu’un
our un temple, était plus vaste que delubrum, qui n’était qu’un petit
temple
, ou même une partie de temple. Au Capitole était
e que delubrum, qui n’était qu’un petit temple, ou même une partie de
temple
. Au Capitole était un temple dans lequel il y ava
u’un petit temple, ou même une partie de temple. Au Capitole était un
temple
dans lequel il y avait trois petits temples, delu
mple. Au Capitole était un temple dans lequel il y avait trois petits
temples
, delubra, renfermés dans la même enceinte. Delubr
proprement un lieu consacré par les augures pour la construction d’un
temple
. On appelait aussi fana les maisons consacrées pa
Paries, murus, mœnia. Paries se dit ordinairement des murs d’un
temple
, d’une maison. Interiores templi parietes. Cic. —
’emploi qu’il fit de son talent, et il a droit à un médaillon dans le
temple
de Mémoire. Apologie de Richelieu Toutes
aire ; On me disait : « Il dort ; » et je versais des pleurs. Mais du
temple
voisin, quand la cloche sacrée Annonça qu’un mort
olennelles actions de grâces, et qu’on tend aux voûtes sacrées de ses
temples
les drapeaux déchirés et sanglants qu’on a pris s
nferme. Maître absolu des cieux et de la terre, il n’habite point les
temples
que la main de l’homme a élevés ; et celui qui di
rve des âmes, elle en fortifie d’autres. Mais, là où la patrie est un
temple
vide, qui n’attend rien de nous que le silence et
qui ravissent le royaume des cieux, ou entrent triomphalement dans le
temple
de Mémoire ; mais sa muse n’a donné que de bons e
er ce qui est beau ; il se propose surtout de plaire aux esprits. Les
temples
consacrés à Dieu, le palais de la justice ou de l
que avant qu’il ait parlé. Sa voix, au moment où elle s’élève dans le
temple
de la justice, est déjà comme un premier jugement
solennelles actions de grâces et qu’on pend aux voûtés sacrées de ses
temples
les drapeaux déchirés et sanglants qu’on a pris s
s’ouvrir sur vos têtes, J. C. paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
; et que vous n’y êtes assemblés que pour l’atten
osition où je souhaite que vous entriez : si J. C. paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée, la plus auguste de
monde, Dieu, maître du ciel et de la terre, n’habite point dans les
temples
bâtis par les hommes ; les ouvrages de leurs main
est doux de porter ses pas religieux Dans le fond du vallon, vers le
temple
rustique Dont la mousse a couvert le modeste port
cine a exprimée dans ce beau début d’Athalie : Oui je viens dans son
temple
adorer l’Éternel. peut se rendre encore sous les
Éternel. Comment ne pas venir adorer l’Éternel ? Laissez-moi dans son
temple
adorer l’Éternel. Il va sans dire que de toutes
illon les emploie avec autorité : Si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée... croyez-vous que
fs : Comme une colonne dont la masse paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, lorsque ce grand édifice fond sur elle s
moment. Racine. Polyeucte, courant au martyre : J’ai profané leur
temple
et brisé leurs autels, Je le ferais encor si j’av
Qui te l’a dit ?... Tantôt c’est Joad indigné de voir Mathan dans le
temple
des Juifs : Où suis-je ? De Baal ne vois-je pas
n sort du vôtre… Je vous demande : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
… pour nous juger… Croyez-vous que le plus grand n
nversion, il suffit de transposer les deux beaux vers de Racine : Du
temple
, orné partout de festons magnifiques, Le peuple s
son ventre enfermée, Et que des animaux les sales intestins Soient un
temple
adorable où parlent les destins. DuRyer. Pen
es. Les mots intestins forment une antithèse ridicule et brutale avec
temple
adorable. Les périphrases de Voltaire, un peu
onde ; Les lieux les plus riants sans lui nous touchent peu, C’est un
temple
désert qui demande son Dieu. Avec lui mouvement,
r rua vieillesse ; réunissez-vous sons un chef pacifique qui ferme le
temple
de Janus, qui me fasse oublier Domitien et mes ma
lit, sans que vous ayez envoyé demander par un laquais, au bedeau du
Temple
, s’il m’avait enterré ou non. N’ai-je pas raison
à la campagne un reste de lumière. La peur, l’airain sonnant dans les
temples
sacrés Font entrer à grands îlots les peuples éga
dans lequel est venu se perdre le sien, indique moins le ministre du
temple
, que le père laborieux du troupeau. Il sort de sa
ieu, sa triste majesté, Le palais de la nuit, cette sombre cité ; Ces
temples
où le Christ vit ses premiers fidèles, Et de ces
s remparts : Marche, à ta voix l’anglais fuira de toutes parts, Et le
temple
de Reims verra dans son enceinte, Sur le front de
s merveilles des arts. Les femmes tremblantes se précipitent dans les
temples
; les enfants répondent par des cris aux gémissem
ger prouve qu’il est chevalier et de noble lignage. Le saint ordre du
Temple
ne permet pas à ses champions de combattre des in
pêle-mêle des combattants, ces meurtres odieux, cette profanation du
temple
, tout est admirablement rendu, et cet effet saisi
onie allait aux pieds des autels épouser Mérope, Egyste entre dans le
temple
, se précipite sur le tyran et l’immole ainsi qu’E
est mon fils ! Les amis de la reine voient au secours d’Egyste, et le
temple
devient le théâtre du plus sanglant combat. Au mi
et qu’on dise qu’un peuple qui, le premier, a dans sa ville érigé un
temple
à la Miséricorde, n’en a point trouvé dans la vot
els qu’ils conviennent au discours passionné. Vois ces murs, vois ce
temple
, tourne les yeux, c’est ici le Calvaire, c’est là
os têtes, que Jésus-Christ va paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’atten
sa prosopopée, en parlant de nouveau de la présence de J.-C. dans le
temple
; il y est pour faire le discernement des boucs
contenaient beaucoup plus d’habitants qu’il n’y a d’auditeurs dans le
temple
où parle Massillon, et pourtant il ne s’y trouva
s cinq villes maudites étaient des hommes chargés d’iniquités ; en ce
temple
, il n’y a que des chrétiens qui craignent Dieu et
popée du commencement, il avait oublié que Jésus-Christ était dans le
temple
, qu’il était descendu pour juger l’assemblée, et
eur et de foi, comme si la foudre fût tombée tout-à-coup au milieu du
temple
. » La même chose arriva dans la chapelle de Versa
omptitude et l’activité qui rôdent sans cesse et caracolent autour du
temple
de la fortune ; jour et nuit en embuscade, pour s
udory. Versification. Morceaux Poétiques. N° 252 — Le
Temple
. Qu’il est doux, quand du soir l’étoile solit
est doux de porter ses pas religieux Dans le fond du vallon, vers ce
temple
rustique Dont la mousse a couvert le modeste port
d’Israël ! À ces cris, Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du
temple
s’ébranlèrent ; le Jourdain se troubla, et tous s
. Digne fruit de vingt ans de travaux somptueux, Auguste bâtiment,
temple
majestueux, Fais briller à jamais, dans ta noble
uds de laine des Péruviens, les clous plantés par les Romains dans le
temple
de Minerve. La seconde comprend les caractères al
ns étant encore dans les bras de sa mère. Son berceau a été fatal aux
temples
et aux autels, a ébranlé les fondements de l’idol
est si grand et si haut, Que, si comme nos dieux il n’a place en nos
temples
, Tout ce qu’on lui peut faire est moins qu’il ne
c force dès le premier moment. Ainsi, un général vient de mourir : le
temple
s’ouvre, ses voûtes retentissent d’accents lugubr
mais, tombée en la puissance des Philistins, elle avait paru dans le
temple
de Dagon, et depuis errait indécemment dans les c
d’Israël ? » À ces cris, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du
temple
s’ébranlèrent, le Jourdain se troubla, et tous se
ux, tous sont nécessaires. Les colonnes sont faites pour soutenir les
temples
et les portiques : se peut-il rien de plus élégan
l’écoulement des eaux : on en trouva un, et le dôme, en protégeant le
temple
, ajouta à son imposante grandeur. En sorte que si
autre cette évocation du Christ apparaissant tout à coup au milieu du
temple
, devant les yeux épouvantés des fidèles, avec la
hant soulève des tourbillons dépoussiéré — … Le peuple court dans les
temples
— … La grêle tombe — … Le fermier consterné voit
es mourants. On veut fuir on revient et la foule pressée D’un bout du
temple
à l’autre est vingt fois repoussée. De ses flots
Dieu ! J’ai combattu soixante ans pour ta gloire, J’ai vu tomber ton
temple
et périr la mémoire ; Dans un cachot affreux aban
En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce
temple
, envahis par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu q
os têtes, que Jésus-Christ va paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’attend
s entriez ; je vous demande donc : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée, la plus auguste de
n est de même de la prosopopée, qui rend présent Jésus-Christ dans le
temple
; elle continue jusqu’à la fin. Ces deux mouvemen
préceptes du genre, tome 1er, page 537. COMPOSITIONS N° 252. — Le
Temple
Quand l’étoile solitaire du soir, précédant le
st doux118 de porter ses pas religieux dans le fond du vallon vers ce
temple
rustique dont la mousse a couvert le portique mod
C’est l’exemple qu’à suivre offrent vos immortels. J’ai profané leur
temple
, et brisé leurs autels ; Je le ferais1 encor, si
on humaine ; il s’attaque aux folies païennes. Avant de construire le
temple
nouveau, il faut renverser les idoles 1. Je le
giques et allégoriques, inspirées du Roman de la Rose, par exemple le
Temple
de Cupido (1545), dédié à François Ier, qu’il réu
rsecuter ? Ils ont tout pour Satan, et rien pour te porter463. « Les
temples
du payen, du Turc, de l’idolastre, Haussent dedan
ta gloire on contemple, Pour marchepied la terre, et le ciel pour un
temple
. Où te chassera l’homme, o Dieu victorieux ? Tu p
as tousjours ton marchepied en terre ? Ne veux-tu plus avoir d’autres
temples
sacrez Qu’un blanchissant amas d’os de morts mass
r tes merveilles ? As-tu esteint en nous ton sanctuaire ? Non, De nos
temples
vivans466 sortira ton renom. « Tel est en cet es
it au libertinage d’esprit et au culte de la poésie dans le palais du
Temple
bâti par le commandeur de Souvré, épicurien éméri
p de plaisir je mêle un peu de gloire. J’irois plus haut peut-être au
temple
de mémoire, Si dans un genre seul j’avois usé mes
entation de Bajazet, Voltaire les a indiquées spirituellement dans le
Temple
du Goût ; Châteaubriand dans le Génie du Christia
aissé par Voltaire, plus sévère cette fois que Boileau, à la porte du
Temple
du Goût. Segrais a eu le mérite, non pas de retro
incible Agite tous ses sens, Le regard furieux, la tête échevelée, Du
temple
fait mugir la demeure ébranlée Par ses cris impui
t ce périlleux exemple Que nous pourrons, comme eux, arriver jusqu’au
temple
De l’Immortalité1059. (Odes, III, 1.) La
stinés, Mordus, mordans, chansonneurs, chansonnés, Nourris de vent au
temple
de Mémoire, Peuple crotté qui dispense la gloire.
e suffire à moi-même en volant à la gloire, Et chercher la fortune au
Temple
de Mémoire. M. BALIVEAU. Où la vas-tu chercher ?
fortune au Temple de Mémoire. M. BALIVEAU. Où la vas-tu chercher ? Ce
Temple
prétendu (Pour parler ton jargon) n’est qu’un pay
néraire ; On me disait « il dort, » et je versais des pleurs. Mais du
temple
voisin quand la cloche sacrée Annonça qu’un morte
r de moi vont soulever tes pas. Efface, efface en ta course nouvelle,
Temples
, palais, mœurs, souvenirs et lois. Hennis d’orgue
Le cygne qui nage ou s’élance, Le frémissement des cyprès, Les vieux
temples
sur les collines, Les souvenirs dans les ruines,
Une Poétique nouvelle (1855) en trois chants (la nature, la cité, le
temple
) compléta par un essai théorique l’ensemble de se
dieux1475 « Mais c’est la pauvreté qui par moi vous profane, Saints
temples
des forêts, arbres que j’aime en vain ! Pour mes
, en offrit un exemple : Hipparque, autre Tarquin, fut frappé dans un
temple
. Quinze ans il opprima, quinze ans on le souffrit
il est dans l’air, conquérant invisible ; Il est dans les esprits, ce
temple
inaccessible. La lumière a pour tous jailli de mo
, Courba les monts lointains oscillant dans la brume ; Et le voile du
Temple
en deux parts éclata ; Et la terre entr’ouvrit so
r eu part à l’ombre, avoir part au danger. 466. Les cœurs sont les
temples
vivants de Dieu. 467. D’où la contraction gêne.
s, Zoïle de Quinault et flatteur de Louis. Il est moins âpre dans le
Temple
du Goùt : « Despréaux, par un ordre exprès du di
ion spirituelle des deux dernières strophes vaut-elle mieux : Là (au
Temple
) nous trouverons sans peine, Avec toi, le verre e
ment, etc. Il disserte en vers. Voltaire lui fait dire, à la porte du
Temple
du Goût : Ouvrez, Mes vers sont durs, d’accord,
qu’il a rassemblé une fois dans le cadre ingénieux, vers et prose, du
Temple
du Goût (Voir nos Morceaux choisis des Prosateurs
u’un peu traînante. (Le Mondain, satire.) Il place Boileau dans le
Temple
du Goût : Là régnait Despréaux, leur maître on l
’une mauvaise satire et d’une mauvaise ode, dont il avait dit dans le
Temple
du Goût : De la triste Equivoque il rougit d’êtr
e l’immortel. Du malheur imposant exemple, La Gloire l’admet dans son
temple
, Pour l’immoler sur son autel. Pourtant, fallût-
rts ! (auj. Montenvers) De neiges, de glaçons entassemens énormes, Du
temple
des frimas colonnades informes, Prismes éblouissa
1284. Le jeune malade est le poète lui-même. 1285. Esculape avait un
temple
à Épidaure et y rendait des oracles. — Entendez,
se tout entier d’un regard triomphant ! On baptise, on absout, et le
temple
se vide. Les deux femmes, alors, se croisant sous
e qui pleurait sourit au nouveau-né. (Soulary). Le Berceau. Quel
temple
pour son fils elle a rêvé neuf mois ! Comme elle
’asile : c’est ce qu’on appelle franchise. Le mot église est ici pour
temple
. 6. Du reste. 7. Il avait la main prompte. 8.
tous vénérables, comme rachetés d’un prix infini pour être faits les
temples
du Dieu vivant. Et ainsi elle croit que la mort d
e Wéser reçoit ses lois. Victorieux par mer et par terre, il ferme le
temple
de Janus. Tout l’univers vit en paix sous sa puis
ouvre les sépulcres, il ressuscite les morts, il déchire le voile du
temple
, il obscurcit le soleil : prodiges aussi surprena
endre les pierres, il a ouvert les tombeaux, il a déchiré le voile du
temple
. Il faut que la vue de sa croix fasse fendre nos
r sur vos têtes, Jésus-Christ paraître dans sa gloire au milieu de ce
temple
, et que vous n’y êtes rassemblés que pour l’atten
s entriez ; je vous demande donc : si Jésus-Christ paraissait dans ce
temple
, au milieu de cette assemblée, pour nous juger, p
s réprouvés, et qu’une voix du ciel viendrait nous en assurer dans ce
temple
, sans le désigner, qui de nous ne craindrait d’êt
t que par de l’argent ; les princes, pour en avoir, dépouillaient les
temples
, confisquaient les biens des plus riches citoyens
ssance. Quel était ton dessein, et que prétendais-tu Après m’avoir au
temple
à tes pieds abattu ? Affranchir ton pays d’un pou
Agite tous ses sens, Le regard furieux, la tête échevelée, Du
temple
fait mugir la demeure ébranlée, Par s
peine Leurs ossements blanchis dans les champs d’Ascalon778. De ses
temples
détruits et cachés sous les herbes Sion vit relev
tteste le ciel : il sait mon innocence. Aux bords de la Tamise, en un
temple
sacré, Où l’un de vos aïeux, Hercule, est adoré,
. La cérémonie nuptiale va donc s’accomplir. Déjà l’on s’est rendu au
temple
, lorsque tout change de face : un bruit se fait e
mourants, On veut fuir, on revient ; et la foule pressée D’un bout du
temple
à l’autre est vingt fois repoussée. De ces flots
, VIII, 4. 151. Comparez le vers de Racine (Athalie, I, 1) : Et du
temple
déjà l’aube blanchit le faîte, et celui d’Euripi
ses histoires. Montesquieu, Boileau, J.-B. Rousseau, Voltaire dans le
Temple
du goût, et de nos jours Chateaubriand, Fontanes
re innocente victime, de cet enfant royal qui périt dans la prison du
Temple
, livré à la merci d’un impitoyable bourreau. L’éb
grait parfois Boileau, ne tardait pas à s’en repentir. Il a, dans son
Temple
du goût, rendu hommage à ce maître en l’art d’écr
e faire des tragédies en prose. Voltaire dit du même auteur, dans son
Temple
du goût : Parmi les flots de la foule insensée,
ans ses débuts, il prit un malin plaisir à scandaliser les fidèles du
temple
classique par des écrits qui se ressentaient du v
lus au jugement, et est plutôt un produit de l’art. La description du
Temple
du goût donne une idée très juste du goût exquis
nnemi éloigné qu’ils daignent agir aujourd’hui, ce sont leurs propres
temples
, ce sont vos asiles qu’ils honorent d’une protect
mères de famille en proie à la brutalité d’un vainqueur forcené ; les
temples
des dieux, les maisons des particuliers abandonné
e sentiment de l’homme dans sa beauté et sa liberté. Sa maison est le
temple
en petit ; le temple est sa maison agrandie, orné
e dans sa beauté et sa liberté. Sa maison est le temple en petit ; le
temple
est sa maison agrandie, ornée, proportionnée à sa
les éloges funèbres continuèrent de se renfermer dans l’enceinte des
temples
, où la religion les avait consacrés, et où Bossue
ntrevoir dans les cieux : La création, sa conquête, N’est qu’un vaste
temple
à ses yeux. Dès qu’il redescend en lui-même, Il t
semblées, les noms de Jupiter et d’Olympien que l’on lui donna, et le
temple
de la déesse Persuasion, qu’elle-même, selon le d
d’Israël ! » À ces cris Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du
temple
s’ébranlèrent ; le Jourdain se troubla, et tous s
et l’on évitera les constructions forcées pareilles à celle-ci : Au
temple
suspendues, le feu du sanctuaire éclairait les ar
son ventre enfermée, Et que des animaux les sales intestins Soient un
temple
adorable où parlent les destins ? (Du Ryer.) Un
rois sont rejetés : Dieu ne veut plus qu’on vienne à ses solennités ;
Temple
, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jé
et marchai son égal. (Racine.) La majesté : Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’usage antiqu
La topographie (τόπος), ou description de lieu, consiste à décrire un
temple
, un palais, une ville, une scène de la nature, ou
! sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du
temple
, orné partout de festons magnifiques, Le peuple s
hate. Les deux héros vont à Carthage sans être vus et entrent dans le
temple
. Leurs compagnons étant arrivés, Énée se montre e
ensez-vous aller ? POLYEUCTE. Au
temple
ou l’on m’appelle. NÉARQUE, Quoi ! vous mêler aux
Je les veux renverser, Et mourir dans leur
temple
, ou les y terrasser. Allons, mon cher Néarque, al
n souffre avec regret, quand on n’ose s’offrir. NÉARQUE. Mais dans ce
temple
enfin la mort est assurée. POLYEUCTE. Mais dans l
plus profondément. » Nous dépendons tous des dieux, et, soit que son
temple
se taise, nous ne faisons rien que de son gré. L’
e d’Israël ? À ces cris, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du
temple
s’ébranlèrent, le Jourdain se troubla et tous ses
trine. Jusqu’à présent j’ai publié les justices du Très Haut dans des
temples
couverts de chaume ; j’ai prêché les rigueurs de
, ils fuient et cherchent un abri, effugiunt, teguntur. C’est dans le
temple
de la déesse, sous les pieds même de sa statue qu
omme une colonne dont la masse solide paraît le plus ferme appui d’un
temple
ruineux, lorsque ce grand édifice qu’elle soutena
lieux. Elle est comme un paysage soumis aux regards. C’est tantôt un
temple
, un palais, un monument, un antre, les sinuosités
e ton frivole espoir es-tu désabusé ? Il laisse en mon pouvoir et son
temple
et ta vie ; Je devrais, sur l’autel où ta main sa
nalèphe ou élision, arma amens ; en français. Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel.
que la foudre allume, Qui ne s’éteint plus, et consume Le bûcher, le
temple
et l’autel. Mais à l’essor de la pensée L’instin
rène se transporte à grands frais en Épidaure, voit Esculape dans son
temple
, et le consulte sur tous ses maux. D’abord elle s
e au sommet des monts, plonge au fond des abîmes, Et souvent fonde un
temple
où manquait un tombeau. Elle apporte leur palme
les, deux étant masculines et deux féminines. Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel ; Je viens, selon l’usage antiqu
est doux de porter ses pas religieux Dans le fond du vallon, vers ce
temple
rustique, Dont la mousse a couvert le modeste por
it dans Athalie ? Le peuple saint en foule inondait les portiques Du
temple
orné partout de festons magnifiques. Parce qu’il
ernier vers avant le premier, et a fait deux vers irréprochables. Du
temple
orné partout de festons magnifiques Le peuple sai
iration : « À ces cris, Jérusalem redoubla ses pleurs, les voûtes du
temple
s’ébranlèrent, le Jourdain se troubla, et tous se
très éloquente : Cicéron va cependant plus loin ; il s’adresse à ces
temples
, à ces tombeaux eux-mêmes, et les conjure de rend
dit-il, toute la nature rend hommage au Créateur : L’univers est le
temple
, et la terre est l’autel ; Les cieux en sont le d
s la voûte d’azur avec ordre semés, Sont les sacrés flambeaux pour ce
temple
allumés ; Et ces nuages purs qu’un jour mourant c
es. Ici tous les objets vous blessent, vous irritent. Abandonnez ce
temple
aux prêtres qui l’habitent. La syllabe muette de
Jamais de la nature il ne faut s’écarter. Oui, je viens dans son
temple
adorer l’Éternel. 105. Dans quel cas l’inversion
dont la vénalité de Démosthène et l’or du roi de Perse ont brûlé les
temples
, tué les enfants, et détruit les tombeaux ! Mais,
tous les dieux et toutes les déesses, dont ce brigand avait pillé les
temples
, et en appelant le ciel même à son aide contre so
si vous voulez, ne se ressemblent d’ailleurs en aucune façon. Dans le
Temple
de Gnide de Montesquieu, que vous devriez pouvoir
t d’abondance ; et, comme cet infidèle Héliodore, il ne vient dans le
temple
que parce qu’il a toujours ouï dire qu’il y trouv
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