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1 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
Chapitre X. Genre pastoral. La poésie pastorale est un petit tableau dramatique de la vie champêtre, dont les personna
d l’idylle et l’églogue : le mot idylle veut dire petite pièce, petit tableau  ; et le mot églogue, pièce de choix. La différenc
re sainte nous offre d’admirables modèles de la vie pastorale dans le tableau de l’existence des patriarches. Le livre de Ruth
e, monotone et fade, s’est embellie et agrandie sous sa plume par des tableaux touchants et des scènes attendrissantes de famill
une sorte d’épilogue sur les laboureurs qui laisse bien loin tous les tableaux champêtres anciens et modernes27. 27. Princip
2 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312
e créateur. Vernet Vingt-cinq tableaux2, mon ami ! vingt-cinq tableaux  ! et quels tableaux ! c’est comme le Créateur, po
et Vingt-cinq tableaux2, mon ami ! vingt-cinq tableaux ! et quels tableaux  ! c’est comme le Créateur, pour la célérité ; c’e
cevoir qu’un espace limité de l’horizon, et vous jurerez que c’est un tableau de Vernet, qu’on a pris sur son chevalet et trans
à elle-même ; incompréhensible, soit qu’il emploie pour éclairer ses tableaux l’astre du jour ou celui de la nuit, la lumière n
cela gouverner le monde, et il a tort. Vernet appelle cela faire des tableaux , et il a raison2. Portrait de Diderot Moi
s Paysages. — Deux autres Marines. — Une Tempête, et plusieurs autres tableaux sous un même numéro. — Quelques-uns de ces tablea
plusieurs autres tableaux sous un même numéro. — Quelques-uns de ces tableaux se voient encore au Musée français. (Note de l’éd
ces lumières, aucune de ses scènes accidentelles qui ne fit seule un tableau précieux. » 1. Michel Van-Loo, célèbre peintre
3 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
stribution des circonstances, des temps, des lieux, des personnes, un tableau dont toutes les parties soient saisissables d’un
lair, précis, vraisemblable ; et l’on vous passera tout, digressions, tableaux , portraits, réflexions. J’ai déjà dit comment on
bien dans l’action tous les éléments descriptifs, que le drame et le tableau ne fassent plus qu’un. C’est là l’idéal du genre.
ent plus qu’un. C’est là l’idéal du genre. Mais encore faut-il que le tableau vienne en son lieu. Jugez-vous une description né
p vivement préoccupé de l’action, ne comprenne pas l’utilité de votre tableau , ou n’y accorde qu’une médiocre attention, quelqu
rvatrice et à une raison assez vaste pour contenir sans confusion des tableaux entiers l’acquisition de subtils et nombreux proc
he surtout au moral. La description colorée, énergique, qui fait d’un tableau une scène vivante, comme, par exemple, la tirade
d tout à l’heure Massillon nous montrait, en frissonnant lui-même, le tableau terrible du jugement dernier. Vous verrez, quand
4 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
le parallèle ; 4° le dialogue ; 5° l’allégorie ; 6° la fable ; 7° les tableaux et descriptions. Nous commencerons par ces sept d
s vertus qu’il veut inspirer. Il admet dans cette vue les images, les tableaux , les descriptions ; mais le style n’en sera pas m
et se prépare à le recevoir ; il va voir si c’est un zéphir. Le petit tableau de l’orage est de main de maître ; il est court,
vrir la moralité ; elle se trouve dans le langage du roseau. § 7. Tableaux et Descriptions19. Préceptes du genre. La desc
ait. Elevée à son plus haut degré de perfection, elle prend le nom de tableau . La description et le tableau ne constituent pas
ré de perfection, elle prend le nom de tableau. La description et le tableau ne constituent pas, à parler rigoureusement, un g
voir une composition de quelque intérêt sans que la description ou le tableau viennent y prendre plus ou moins de place. Mais i
la pensée principale d’un auteur. Si vous voulez maintenant faire un tableau d’une description, vous tâcherez, au moyen de l’h
enser, parler et agir. Ce n’est qu’à ces conditions que vous ferez un tableau . Voir Canevas n° 100 à 135. Décomposition. Il ser
serait inutile de rechercher une disposition dans les descriptions et tableaux . Ici on ne s’occupera que des détails et du style
vers les forêts solitaires. La grandeur, l’étonnante mélancolie de ce tableau , ne sauraient s’exprimer dans des langues humaine
hristianisme.) ANALYSE. Cette brillante description mérite le nom de tableau  ; car on y reconnaît la touche d’un peintre habil
aux. Voilà les deux héros en présence, ici commence un des plus beaux tableaux que possède notre langue. Figurons-nous une vaste
s’en détacher ainsi ; sauf ces réserves la fin du drame est digne du tableau précédant ; les petites circonstances rehaussent
voir une différence entre la démonstration et l’hypotypose, c’est le tableau  ; l’éthopée, c’est le caractère ; la prosopograph
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
on n’est plus la simple définition d’un objet ; c’est la peinture, le tableau de cet objet ; et ce tableau est si animé, cette
ition d’un objet ; c’est la peinture, le tableau de cet objet ; et ce tableau est si animé, cette peinture est si vive, que l’o
endue plus considérable, plus de richesse et de magnificence dans les tableaux , comme on peut le voir dans l’Énéide. 349. En quo
ble avantage de varier et d’animer la description. Non seulement deux tableaux opposés de ton et de couleur se font valoir l’un
de ton et de couleur se font valoir l’un l’autre ; mais, dans le même tableau , ce mélange d’ombre et de lumière détache les obj
. Est-il bon de mettre en relief l’objet le plus important ? Dans un tableau , les personnages sont toujours disposés de manièr
rare de voir un beau paysage sans quelque figure humaine qui anime le tableau . Le principe essentiel ici, dit excellemment M. M
entiel ici, dit excellemment M. Mazure, c’est d’animer et d’élever le tableau par la présence de l’homme avec ses sentiments et
ille a exprimé cette règle dans les vers suivants : Souvent dans vos tableaux placez des spectateurs ; Sur la scène des champs
facile et coulante, des épithètes qui ajoutent une nouvelle force au tableau et servent à rendre les images plus complètes et
pas permis, sous prétexte de donner à son style de l’énergie et à son tableau de la couleur locale, de présenter des expression
fini dans les détails, comme il est facile de le voir par l’étude des tableaux divers qu’un même sujet a produits. Que l’on comp
cile à trouver, à cause de la simultanéité des différentes parties du tableau  : cette mobilité est celle que l’on remarque dans
cure un moyen plus commode de passer en revue les diverses parties du tableau . Enfin, la description peut faire partie d’un ouv
oétique, la description historique présente cependant quelquefois des tableaux vivants dans les bons auteurs, comme on peut le v
admet les traits les plus frappants, les couleurs les plus vives, les tableaux les plus animés, le style le plus brillant, en un
nsi dire un corps et non pas seulement des membres isolés, offrent un tableau ressemblant, parlent à l’imagination et peignent
r La Fontaine : Vous l’avez vu naguère… ; l’idylle du Ruisseau, et le tableau du printemps et de l’hiver, par Mme Deshoulières.
e, Virgile et les grands écrivains français nous offrent une foule de tableaux de la dernière vigueur et de la plus grande vérit
trop, pas un mot inutile : tout est nécessaire pour la perfection du tableau . 399. Qu’est-ce que l’intérêt dans la narration ?
es, les temps, les lieux, les personnes, que tout cela ne fasse qu’un tableau , où l’esprit voie tous les objets sans les confon
le, présenté avec des détails, des circonstances, des réflexions, des tableaux imaginaires, mais vraisemblables et intéressants.
s’efforce le plus souvent de faire de chacun de ses récits autant de tableaux animés, brillants et pathétiques. Ces qualités se
6 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
e pas à telle ou telle circonstance, mais qui tend à l’effet total du tableau  : c’est une des plus grandes difficultés ; mais c
nces qui ajoutent à l’effet général. Ce que sont les couleurs dans un tableau , les lignes tracées dans un parterre, les sons da
de longues et de brèves, et qu’il s’y soit asservi dans le magnifique tableau qui termine l’oraison funèbre du Grand Condé. « 
t reçues, etc. ». (Fléchier). Harmonie grave et majestueuse, dans un tableau du même genre. « Au premier bruit de ce funeste
t est mort, etc. » (Fléchier). Harmonie du Style périodique, dans un tableau imposant. « Celui qui règne dans les cieux, et d
7 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
nue, comme l’épopée, le drame, la fable, etc., mais dans une série de tableaux rangés de manière à former une espèce de galerie,
e série de tableaux rangés de manière à former une espèce de galerie, tableaux qui ne sont liés ensemble que par une idée, un se
habile, qui sauve les lacunes par les transitions, et qui dispose les tableaux de la manière la plus intéressante. 263. Le genre
urrait plaire, si elle était seule ; elle ressemblerait du moins à un tableau de paysage. Mais cent descriptions de suite ne re
e : Dans l’art d’intéresser consiste l’art d’écrire. Souvent dans vos tableaux placez des spectateurs, Sur la scène des champs a
e La présence de l’homme est nécessaire aux arts ; C’est lui dans vos tableaux que cherchent nos regards. Que si l’homme est abs
tableaux que cherchent nos regards. Que si l’homme est absent de vos tableaux rustiques, Quel peuple d’animaux sauvages, domest
animés D’un cœur vraiment ému jaillissent enflammés. Dans ses hideux tableaux Rome entière respire : Le juge vend la loi, le Sé
nstituent la plus grande partie de l’intérêt, et qu’ils n’offrent des tableaux touchants et pathétiques. Ces poésies de pure inv
icité de l’apologue. Ovide excelle dans la manière de diversifier ses tableaux et son langage : rien n’égale sa flexibilité d’im
ble comme l’étonnante variété de ses couleurs toujours adaptées à des tableaux toujours divers, tantôt nobles et imposants jusqu
8 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »
t ce qui en peut procurer ici-bas, que l’orateur trace en ces mots le tableau du néant de l’homme. « Qu’est-ce que cent ans, q
eut ? Bossuet va nous l’apprendre. Après avoir rapidement esquissé le tableau de nos connaissances et des découvertes qui honor
a nature ? Tu peux ajouter quelques couleurs pour orner cet admirable tableau . Mais comment pourrais-tu faire remuer tant soit
rapporte pas sèchement des passages, mais des traits qui forment des tableaux  ; et il fond si bien les pensées de l’Écriture av
9 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
ois à fausser le jugement. Première partie. Descriptions1. 1. Tableau du printemps. Plan. Vous commencez par dire qu
me sera cher. Souvent je quitterai la ville pour venir y rêver. 3. Tableau de la fin de l’automne. Plan. Les beaux jours
it chacun de ces cinq objets au moment de son plus grand éclat. 4. Tableau d’un incendie à Rome. Plan. Le feu prend penda
rend pendant la nuit dans la place de Saint-Pierre à côté du Vatican. Tableau général de l’incendie. Ici, c’est un jeune homme
t, le péril cesse. Ce sujet n’est autre chose que la description d’un tableau de Raphaël, qui se voit à Rome au Vatican. Raphaë
ive émotion, et sont pour vous une source féconde de sentiments et de tableaux . Vous rencontrez un ancien ami de votre enfance e
. Je m’arrêtai sur le bord d’un lac, puis je m’assis dans un bosquet. Tableau . Une voix vint frapper mon oreille. A la clarté d
10. Amour du lieu natal. Plan. J’ai vu l’Italie, qui est si belle. Tableau , énumération. J’ai vu les riches cités de l’Angle
dessin ainsi changé, il devine le retour et le repentir de son fils. Tableau de réconciliation. 29. Les deux souhaits. S
préfère volontiers un homme à un enfant. L’échange est accepté. Deux tableaux feront contraste : d’une part, la désolation à la
uisse de ces sites sauvages. À son passage s’oppose un large torrent. Tableau . Le guide, pour passer, lui offre de le prendre s
accepter de l’argent sans blesser leur délicatesse. Deux marchands de tableaux allèrent à la vente par son ordre et se disputère
Ils enchérissaient avec vivacité l’un sur l’autre, et enfin les deux tableaux furent adjugés à l’un d’eux pour vingt mille fran
, dans la Palestine, sauve un lion des étreintes d’un dragon furieux. Tableau du combat du lion et du dragon ; arrivée du cheva
. Le lion reconnaissant devient pour son sauveur un compagnon fidèle. Tableau  ; détails sur la manière dont il accompagne et se
t-il païen ? C’est ce que va décider le sort des armes. Vous ferez le tableau de cette bataille, et vous en imaginerez les circ
vière d’Ocker9 déborde, à quelques lieues de la ville de Brunswick10. Tableau de l’inondation : les habitants de la contrée son
seul pour se promener, rêvant à des vers, s’est égaré dans les bois. Tableau du lieu sauvage où il se trouve. Tout à coup des
n. Il y voit un jeune guerrier expirant pour la défense de sa pairie. Tableau . Le sylphe prend une goutte du sang généreux qui
e ; mais, atteinte elle-même par le mal, elle rend le dernier soupir. Tableau . Le sylphe recueille ce soupir et va l’offrir aux
e tomber, et c’est Carloman qui est atteint par le trait de Leuthold. Tableau de la douleur générale ; désespoir de Leuthold, q
termina la vie du jeune prince. 80. Salvator Rosa. Il existe un tableau célèbre de Salvator Rosa, dont voici l’esquisse :
xiste un tableau célèbre de Salvator Rosa, dont voici l’esquisse : Le tableau représente une solitude d’un aspect sauvage et su
e seront pas méprisés et que la vie du jeune homme sera respectée. Ce tableau de Salvator Rosa représente une aventure de sa je
conde, peuvent trouver place des développements pleins d’intérêt, des tableaux pittoresques, un dialogue animé, quelques discour
alla s’établir à Rome à l’âge de vingt ans ; il y mourut en 1673. Les tableaux de ce grand artiste sont remarquables par une har
s’y associant. A ces peintures riantes et gracieuses succéderont des tableaux d’une couleur sombre et funèbre ; l’accident fata
attend à l’assaut pour le lendemain, et on se prépare à le repousser. Tableau de l’intérieur du château de Chalus. Un guerrier
fureur s’exhale en cris et en menaces terribles contre son meurtrier. Tableau . On vient lui apprendre que le château est emport
lui adresse quelques paroles bienveillantes et généreuses, et expire. Tableau . Chalus est un chef-lieu de canton du département
vers la ville où leurs amis les attendent. La tempête les en éloigne. Tableau d’une nuit sombre et orageuse. La barque est obli
is. Les deux jeunes inconnus sont introduits dans la salle du festin. Tableau  ; joie des convives. Bientôt les Anglais, échauff
l’Écosse. Ce chant irrite Robert et Edmond ; leur indignation éclate. Tableau de la confusion qui succède à l’allégresse de la
ier ; mais là, à la tête de tout le clergé, est l’évêque de Cracovie. Tableau . L’évêque la prie de l’écouter un moment : elle y
eurs physionomies sinistres. L’église s’est éclairée de toutes parts. Tableau . Mais la chapelle retirée où priait Ilfrid est re
ateur énonce la demande qu’il adresse aux juges et la justifie par le tableau des malheurs dont Chéops a accablé l’Égypte. Con
de renoncer à tous ces faux plaisirs, qui usent et abrègent la vie. ( Tableaux , préceptes, etc.) Il lui prédit les suites qu’aur
10 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre V. Du Roman. »
la fiction, de polir l’esprit et de former le cœur, en présentant un tableau de la vie humaine. Censurer les ridicules et les
son roman. On dit que d’Urfé a voulu, sous cette image, présenter un tableau des intrigues de la cour de Henri IV. Il serait t
Blas 130, le Diable boiteux et autres de Lesage 131 ; ils offrent un tableau de tous les états de la vie, le portrait ou la sa
11 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
re aurait pu la prendre pour la statue de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne romaine 2 Rome, 10 janvier 1804
es s’inclinaient sous la pluie du ciel. Pendant que je contemplais ce tableau , mille idées confuses se pressaient dans mon espr
ers les forêts solitaires1. La grandeur, l’étonnante mélancolie de ce tableau , ne sauraient s’exprimer dans les langues humaine
e anse retirée du fleuve3. Les deux rives du Meschacebé présentent le tableau le plus extraordinaire. Sur le bord occidental, d
étudié le Primatice ; il est peintre et statuaire. Girodet, dans son tableau si connu, n’a fait que copier littéralement le po
grandeur sont au fond du paysage, et c’est là qu’est véritablement le tableau . Même effet dans les Bestiaux passant une rivière
onneront pour vous à cette petite composition un charme pénétrant. Le tableau appelé un Paysage représente une vaste campagne c
12 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
elle c’est peu ; lorsque le corps sommeille Elle aime à retracer les tableaux de la veille. Je la vois au héros présenter des l
Et d’espoir tour à tour et de crainte suivie, Ou dore ou rembrunit le tableau de la vie. Chênedollé Avis. Sous quelle forme c
urir. Delille. Avis. Indiquez d’abord quelques figures. — Où est le tableau qui peint l’obéissance du chien. — Ne pourriez-vo
ions. Soignez celle du pauvre selon le monde. Vous pouvez en tirer un tableau pathétique ; cela vous sera facile eu songeant à
arbare, les autres plus doux20 — Le Temps déroule devant la déesse le tableau des événements21 — … Elle rend ses arrêts — … et
ages de ses compagnes. — Monologue de la grue, ton gémissant. — Petit tableau du départ des grues, souffrances de la blessée pe
n, où commence le dénouement. Mettez la fable en quelques lignes. Tableaux et descriptions → Préceptes du genre, tome 1er
e soleil sous F horizon et disparaître comme par enchantement tout le tableau . La lune viendra avec son cortège d’étoiles couro
ée Dieu m’a découvert une retraite favorable à mes vues ; ce riant tableau d’une solitude qu’aimait à se créer mon imaginati
us si cette composition est animée, et si c’est une description ou un tableau . Pourquoi y remarque-t-on peu de tropes ? et quel
borner à faire remarquer tes plus saillantes - D’abord s’agit-il d’un tableau ou d’une description ? Choisissez quelques métaph
plus belle et mettez-la en style classique. Montrez-nous deux petits tableaux touchants qui se trouvent dans le morceau. Vous f
paraît une description et pourquoi. Ne contient-elle pas deux petits tableaux  ? Faites remarquer avec quel art l’auteur, dans l
ux petits tableaux ? Faites remarquer avec quel art l’auteur, dans le tableau des îles flottantes, observe le précepte de copie
houx. Avis. Faites une courte dissertation sur la description et le tableau . Vous vous souvenez que cette seconde composition
tion n’est autre chose que la perfection de la première, et qu’il y a tableau sous deux conditions principales : 1º C’est que l
e toile. Examinez si l’ivresse du pauvre contient une série de petits tableaux qu’un peintre pourrait tracer sur une toile, et s
rrait tracer sur une toile, et si l’auteur, en les unissant a fait un tableau divertissant. Voyez si dans la peinture de la nat
au vaisseau et l’embrase. L’autre brûlot incendie un autre vaisseau. Tableau . L’incendie se propage, les canons échauffés tire
oupent les câbles, et les navires se réfugient en pleine mer. Nouveau tableau , Une tempête éclate, les vaisseaux s’abordent dan
ne fille qu’il a vue dans la maison des pauvres cultivateurs. — Petit tableau des joies de son enfance. —  Maintenant coupable
les abîmes souterrains — … Acclamations et fureur des Araucaniens — … Tableau d’une belle nuit — … Une déité céleste fend les n
e au combat. — Tancrède met pied à terre. —  Nœud. Combat acharné. —  Tableau brillant. Choc des épées, agitation des pieds, de
rpents — … Molina sait que leur venin est le plus subtil des poisons. Tableau de la frayeur de Molina. — Le jour vient — … Cet
du narrateur. — Rage, ironie, soif de vengeance du côté d’Habibrach — Tableau des efforts terribles du côté du nain pour faire
génie sourit et fait jaillir une source aux pieds d’Hamet — … (Petit tableau des bienfaits de Veau sur les plantes.) Raschid d
t à la vie dont il avait déjà fait le sacrifice. Avis. Vous aurez un tableau difficile à faire dans le nœud. C’est celui des t
, et son père est sauvé. Avis. Dans l’exposition vous ferez un court tableau des angoisses des familles pendant le règne de la
se préparait ; le courroux du ciel semblait présager quelque crime. ( Tableau des indices précurseurs de l’orage.) Caïn travail
ïn irrité frappe son frère au front, puis s’épouvante de son action. ( Tableau des frayeurs du meurtrier.) Abel expire, l’orage
ent leur reconnaissance par leurs cris et leurs gestes. Mais ce riant tableau disparaissait avec le village. Un jour, le prince
s de cette ville, venaient d’apprendre la détermination du vainqueur. Tableau de leur désolation. Nœud. Déjà Lysandre, au mili
ociles à la voix du Seigneur, ils seront comblés de ses bénédictions. Tableau du bonheur d’un peuple libre et protégé de Dieu E
au contraire ils sont rebelles aux lois divines, ils seront maudits. Tableau d’un peuple malheureux, et en butte à la vengeanc
son industrie, soit par sa vigilance. L’avocat continue en faisant le tableau désolant d’une famille privée de son chef ; les f
l’équateur, le cèdre du Liban mêle au saule de la Norvège, etc. 33. Tableau de la faim. 34. Portrait pittoresque des villes
res humaines. 35. Lutte de l’eau et du feu au sein des volcans. 36. Tableau d’un beau jour se levant sur une mer sans rivages
levant sur une mer sans rivages. 37. Lutte de l’homme avec l’Océan, tableau d’un naufrage. 38. Instabilité des empires oppos
e l’officier. (Cet officier était le comte de Carnewart.) 101. Petit tableau d’une panique générale. 102. Paroles de Charles.
13 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233
re lequel on voyait se lever l’aurore. Dieu nous donna, dans ce petit tableau , une idée des grâces dont il a paré la nature2.
re aurait pu la prendre pour la statue de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne romaine 2 Rome, 10 janvier 180
ers les forêts solitaires1. La grandeur, l’étonnante mélancolie de ce tableau , ne sauraient s’exprimer dans les langues humaine
étudié le Primatice ; il est peinture et statuaire. Girodet, dans son tableau si connu, n’a fait que copier littéralement le po
des sommets de rochers isolés au milieu de la mer. 6. Il donne à son tableau les grâces d’une pastorale. 1. C’est bien recher
14 (1839) Manuel pratique de rhétorique
frayer. 1° Énonciation de la proposition. 2° Développement tiré du tableau de la triste existence que mènent les habitants,
ereux ? Le saint évêque s’empresse de prévenir cette objection par le tableau effrayant de la triste situation où déjà sont réd
ur des habitants d’Antioche ; c’est pour cela qu’il fait un si triste tableau de leur situation. Il s’agissait d’établir que l’
inant et en méditant son sujet, l’orateur y trouve des pensées et des tableaux propres à faire sur son âme les mêmes impressions
s sens. Il faut donc d’abord que l’orateur se représente vivement les tableaux ou les situations que le sujet peut fournir ; mai
, et dans chaque discours il y a plusieurs parties dont chacune a ses tableaux et ses pensées. L’élocution, qui n’est que la con
ions adroites, par des gradations ménagées, il ne sait pas amener les tableaux frappants, les mouvements décisifs qui doivent po
ar une imagination riche et féconde, étendent et finissent plus leurs tableaux . Ceux-ci, graves et austères, dédaignent les orne
cette partie consiste à partager le discours en un certain nombre de tableaux , qui d’un côté diffèrent par les traits ou les fi
prise séparément, il faut surtout les considérer réunies dans un même tableau , et remarquer en quoi chacune contribue à l’effet
activité, et relâcher de la discipline nécessaire ? » On sent que le tableau est chargé, les difficultés exagérées, le soldat
finirait-il de même ? non, sans doute ; mais en conservant le fond du tableau qui est vrai, la convenance exigerait qu’il en ad
r toutes les richesses d’une imagination féconde ; l’orateur dans ses tableaux doit se tenir plus près de la vérité, mais il a b
apostrophe pleine de noblesse et de fierté par laquelle il termine le tableau des exploits de Turenne dans la guerre formée par
? Quelles sont ces mœurs efféminées ? Que signifient ces statues, ces tableaux , ces édifices ? Insensés, qu’avez-vous fait ? Vou
z-vous de renverser ces amphithéâtres, brisez ces marbres, brûlez ces tableaux , chassez ces esclaves qui vous subjuguent, et don
rendre pour l’accord du style avec le sujet dans toute l’étendue d’un tableau , ou même d’un discours. Nous considérerons seulem
itions liées entre elles pour former un sens complet, un ensemble, un tableau . Dans le discours, les idées étant liées par des
uments ou preuves ; ou de séduire et de flatter l’imagination par des tableaux qui l’attachent ; ou d’élever l’âme par des idées
t n’est pas, il est vrai, de la même rapidité, de la même force ; des tableaux plus simples ou plus riants succèdent à des image
15 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
es vers et le grand nombre des élisions concourent à la perfection du tableau  : Δεινὸν δ᾽ ἀμφ᾽ Ἀχιλῆα κυκώμενον ἵστατο κῦμα, Ὤ
άδις ῥέε, δεῦε δὲ γαῖαν. (Od. Ι-289). Virgile enchérit encore sur le tableau d’Homère : Vidi egomet, duo de numero cùm corpor
poètes s’attachent à tout peindre, afin qu’il n’y ait pas, dans leur tableau , un seul trait qui ne contribue à faire ressortir
    Lympha fugax trepidare rivo. Comme tout est achevé dans ce petit tableau  ! Quel choix heureux, quelle justesse dans l’expr
16 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VIII. De l’Oraison funèbre. »
ci l’orateur n’avait plus, pour soutenir et pour animer sa marche, le tableau toujours intéressant des troubles des nations, de
aux jeunes gens comme un modèle de figure : mais ce qui suit, mais ce tableau où le désordre de la douleur est si bien exprimé,
ble approche ; le trait le plus frappant manque encore à cet éloquent tableau du néant de tout ce que notre erreur appelle et c
y a de plus parfait dans ce genre. Étudions le grand peintre dans un tableau d’un caractère tout opposé, et nous allons y trou
17 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
sa chute a fait un vide immense. 74. L’image se distingue-t-elle du tableau et de la description ? D’après Longin, on a comp
s sous le nom d’image tout ce qu’en poésie on appelle descriptions et tableaux . Mais, en parlant du coloris du style, on attache
les plus intéressants et avec ses couleurs les plus vives, diffère du tableau , dit Marmontel à qui nous empruntons une grande p
à qui nous empruntons une grande partie de cet article, en ce que le tableau n’a qu’un moment et qu’un lieu fixe. La descripti
u’un moment et qu’un lieu fixe. La description peut être une suite de tableaux , et le tableau peut être un composé d’images. L’i
u’un lieu fixe. La description peut être une suite de tableaux, et le tableau peut être un composé d’images. L’image est le voi
lquefois même un seul suffit. La mort de Laocoon, par Virgile, est un tableau  ; la peinture des serpents qui viennent l’étouffe
deux beaux vers de Corneille, Sur les noires couleurs d’un si triste tableau , Il faut passer l’éponge ou tirer le rideau, n’a
de les confondre, et dont il peut se servir pour nuancer et finir ses tableaux . — On pourrait être tenté de confondre tutus et s
18 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
t quelques études, savent par cœur, et nous citent déjà cet admirable tableau d’une des plus belles comparaisons de Virgile :
spire la plus douce sensibilité, et le trait implumes qui complète le tableau et arrête si délicieusement le cœur sur l’image l
ieu reproduits. (Lefranc). Voyez comme chacun des traits de ce petit tableau a son caractère de justesse et de vérité : comme
piré aux poètes d’aucun temps, qui puisse approcher, même de loin, du tableau que nous allons mettre sous les yeux du lecteur.
que et du sublime de conception, pour apprécier l’effet de semblables tableaux . Quant à ceux qui se prosterneraient devant ces s
19 (1873) Principes de rhétorique française
e et littéraire. Quoi ! l’on rirait d’un sot qui prétendrait faire un tableau sans avoir appris à dessiner et à peindre, et l’o
énie, quand Clytemnestre a exalté sa propre colère par l’épouvantable tableau de Calchas qui déchirera le sein de la jeune fill
ttu de verges.   Au lieu de cette sécheresse, quelle émotion dans le tableau tracé par Cicéron ! On frappait de verges sur la
e. » C’est ce que Buffon voulait encore exprimer quand, à la suite du tableau des perplexités auxquelles le manque de dispositi
à l’œuvre d’un homme à la fois modeste et éclairé ? Ovide a laissé le tableau du contraste entre l’attitude d’un i orateur habi
brefs et précis. Après avoir préparé les esprits et les cœurs par un tableau sublime de la toute-puissance de Dieu, Bossuet in
, les temps, les lieux, les personnes si clairement qu’on en forme un tableau où l’esprit distingue tous les objets sans jamais
concours du dessin et de l’action qui fait le charme et l’intérêt du tableau . Cependant, on ne saurait assez vite faire connaî
a peinture des choses, des lieux et des personnes. IL Le portrait ou tableau des traits et du caractère donne ta vie et l’inté
I. La description des lieux vient fournir le cadre et le fond même du tableau . IV. Choisir avec soin le point de vue le plus a
l’eau, exposé au feu et pendu dans l’air. Ce dernier trait achève le tableau  ; il est révoltant et refroidit jusqu’au ridicule
. Corneille veut prouver l’énormité du crime de Cinna ; en faisant le tableau de l’ingratitude qui égare son protégé, Auguste d
ge. Sans doute, l’écrivain qui veut rendre un sentiment profond ou un tableau pittoresque doit multiplier les traits qui pourro
re. L’imagination-du peintre invente d’abord les principaux traits du tableau  ; son jugement dispose et range chaque chose à sa
la fleur, | qu’elle a effacé pour ainsi dira sous le pinceau même un tableau | qui s’avançait à la perfection avec une incroya
ui a réuni toutes les extraites des choses humaines20 ; tel encore le tableau de l’ambition des rois dans le sermon de Massillo
e21. On peut encore citer comme un beau modèle du style périodique le tableau des bienfaits de la philosophie tracé de main de
ment grands et illustres. Le tour descriptif. Buffon a dit, dans son tableau de la mer : Là sont ces contrées orageuses où l
est désespéré. Est-il une description plus complète que ce touchant tableau tracé par la mémoire émue de Josabeth : Des prin
s circonstances    de temps, de lieu, de manière, propres à rendre le tableau plus complet et plus intéressant. II. C’est surto
aquelle Fénelon ajoute un charme poétique et une émotion touchante au tableau de la mort : L’enfant tombe dans son sang ; ses
x admirés. Le parallèle est un genre difficile. Pour conserver à son tableau la symétrie qui naît des similitudes ou des contr
ce petit oiseau, cette petite merveille 31. De même Bossuet, dans le tableau de la toute-puissance divine, remplace le nom mêm
ut, j’y souscris et suis prêt à me taire. De même Polyeucte, dans le tableau du paganisme, procède par accumulation : Des cri
combattre par la raillerie le préjugé de la couleur, termine ainsi le tableau des tortures infligées aux nègres ; Ceux dont il
amation se produit par un mouvement naturel. Ainsi Laplace traçant le tableau de l’histoire de l’astronomie conclut ainsi le ré
emple intéressant dans la Rhétorique à Herennius. Il le place dans un tableau trop fidèle des horreurs de la guerre civile, alo
exagèrent, passent le vrai dans la nature, et, au lieu d’en tracer le tableau , en font le roman. Il est allé lui-même jusqu’à l
de vos réputations. On ne remonte pas à une base, mais à une source. Tableau immense où nous tenons à la fois dans nos mains l
es n’a mieux justifié l’allusion cruelle du mot galithomas que par ce tableau où nous tenons les extrémités d’une chaîne et où
la conjonction, la disjonction se trouvent réunies dans cet admirable tableau de Racine : J’ai vu ce même enfant dont je suis
e ne sais où Le héron au long bec emmanché d’un long cou. ou dans ce tableau de Bossuet : L’univers allait s’enfonçant dans l
avantages de cette qualité nouvelle. De même Fléchier, pour passer du tableau des grandes espérances que donnait Turenne au réc
dans cette phrase où il fait passer le lecteur, du récit du combat au tableau de la victoire : Mais la victoire va devenir plu
rôle des demi-teintes dans la peinture. Les peintres admettent-ils un tableau sans demi-teintes ? 4. Des alliances de mots. — 
Lisez les lettres de Mme de Sévigné ; que de récits, ou plutôt que de tableaux  ; l’écrivain nous fait voir les choses qu’elle dé
çant, leur colere survivant à la mort ; ce dernier trait gâte tout le tableau . — De même, Sénèque le tragique s’est paré d’une
naît aussi d’une image évoquée par le poëte ou l’orateur ; témoin ce tableau de la mort du sage ; Rien ne trouble sa fin, c’e
goûtent dans ce dernier cas un plaisir vraiment littéraire. Dans les tableaux de la nature tracés par le physicien, le zoologis
ces directrices de l’orateur. 7. De l’histoire. — L’’histoire est le tableau des événements dont les hommes ont jugé bon de co
e Roman est le récit d’aventures et de passions imaginaires. C’est un tableau de la vie morale, dont les événements intéressent
t de la façon suivante : 1° Compositions littéraires.  Descriptions — Tableaux — Narrations — Fables — Lettres — Rapports — Disc
attentive. Leçon XLVII. Compositions littéraires. — Descriptions. Tableaux . — Narrations. — Fables. 1. De la description.
s. Tableaux. — Narrations. — Fables. 1. De la description. — 2. Du tableau . — 3. Exemples de description et de tableau. — 4.
e la description. — 2. Du tableau. — 3. Exemples de description et de tableau . — 4. De la narration. — 5. Modèle de narration.
ascendante qui rende la peinture de plus eu plus intéressante. 2. Du tableau . — La description devient un tableau, quand les d
lus eu plus intéressante. 2. Du tableau. — La description devient un tableau , quand les détails en sont ordonnés en vue d’un e
t nouveau. Delille a dit avec raison et avec goût : Souvent dans vos tableaux placez des spectateurs, Sur la scène des champs a
La présence de l’homme est nécessaire aux arts : C’est lui, dans vos tableaux , que cherchent nos regards. Ces observations dél
tions délicates qui marquent la différence entre la description et le tableau ont été commentées et justifiées par Marmontel da
au battu par la tempête et sur le point de faire naufrage. D’abord ce tableau ne se présente à votre pensée que dans un lointai
qui gémissent et menacent de s’entr’ouvrir.,.. Voulez-vous rendre ce tableau plus touchant et plus terrible encore, ajoutez un
nspirer la confiance qu’il n’a plus 3. Modèles de description et de tableau . — Chateaubriand nous a laissé un modèle de descr
t la peinture d’une action. Elle se distingue de la description et du tableau par le mouvement dramatique dont elle ne saurait
suivent et qui résument tout ce qui se rapporte ù la description, au tableau , à la narration et à la fable : I. Choisir pour t
contraste. III. Introduire l’homme avec ses passions pour donner au tableau un mouvement dramatique. IV. Discerner dans le s
par conséquent bien plus difficile que la description physique ou le tableau . Par exemple, c’est faire un caractère que de pei
lanthrope, etc. Les règles générales relatives à la description et au tableau peuvent être transportées du monde physique au mo
d’abord quels sont les traits vraiment distinctifs indispensables au tableau , de les choisir et de les mettre en lumière, évit
nt ; le caractère principal du modèle doit servir de point central au tableau . IV. L’éloge ne doit dire que la vérité dans un s
ensées, par la forme du style ; elles nous présentent par ce moyen un tableau de Part ou tout est grâce et vérité. Joignez à ce
20 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
Celles de Rome d’Ardène offrent en général des images riantes et des tableaux qui sont dans la nature. On trouve des grâces dan
e point de vue, leur condition réelle ne peut fournir que le sujet de tableaux tristes, désagréables et affligeants. Ce n’est do
cène variée des campagnes doit seule fournir au poète le sujet de ses tableaux et de ses images. Encore même faut-il que dans ce
les, que Huber a traduites en français. Elles offrent les plus riants tableaux de la vie champêtre : le ton en est simple et naï
touchant, ces sublimes pinceaux, Dont le chantre d’Abel220 anime ses tableaux  ; Veux-tu les demander à ces esprits futiles ? Sy
e fassent la plus grande partie de l’intérêt, et qu’ils n’offrent des tableaux touchants et pathétiques. Tout doit y être animé
oldat effréné. Voyez quelles grandes et nobles idées accompagnent ce tableau si brillant, et avec quelle véhémence de style el
e poète met dans la bouche de Junon un discours plein des plus riches tableaux , et où l’on voit une peinture énergique de l’état
ec transport les chefs-d’œuvre de sa toute-puissance, et en offre les tableaux les plus brillants et les plus magnifiques. C’est
main immortelle, Mieux que la Déesse aux cent voix318, Saura dans un tableau fidèle Immortaliser tes exploits. L’avenir faisan
c’est le sentiment qu’il peint avec les couleurs les plus douces. Ses tableaux , sans être trop riches, sont toujours frais et ri
Circé327 est un chef-d’œuvre. Peut-on rien ajouter à la beauté de ce tableau , où il représente cette magicienne ayant recours
n’expriment souvent qu’un sentiment de l’âme, ou ne présentent qu’un tableau gracieux. La délicatesse et la naïveté en font le
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre III. Du Sublime dans les Compositions littéraires. »
orreur, ne se découvrent aux yeux des mortels et des immortels. » Le tableau est complet ; il n’y a pas un trait faible ou inu
æpè etiam immensum cœlo venit agmen aquarum, etc. et surtout dans le tableau magnifique qui la termine. C’est Homère lui-même,
t sert à mes desseins. La confidente de Médée fait à sa maîtresse un tableau énergique de sa position, et le termine en lui di
rs, plus de cette précision énergique qui ajoute à l’effet général du tableau , que dans la traduction du poète français. La for
22 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
rs ce cercle étroit rassemble ! Tout s’y peint tour à tour. Le mobile tableau Frappe un nerf qui l’élève et le porte au cerveau
aveugle, un mot va te confondre : Tu n’aperçois encor que le coin du tableau , Le reste t’est caché sous un épais rideau1… Mais
de littérature de La Harpe (IIIe partie, liv. I, ch. II, § 21) et le Tableau de la littérature au dix-huitième siècle par M. V
t les Tusculanes, liv. I. 1. On trouvera au chant III de ce poëme un tableau bien tracé, d’après Lucrèce, Virgile et Manilius,
23 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
nt, un peu mou et trop adouci. Bernardin de Saint-Pierre, en certains tableaux , nous en offre l’idéal. Plus ordinairement, il s’
de notre langue19. » Cette page nous avertirait au besoin que dans ce tableau c’est la philosophie, avant tout, dont il importe
bbé Barthélémy ; mais la fiction qu’il imagine refroidit l’intérêt du tableau qu’il veut retracer. Le succès même du Voyage du
ns doute des œuvres remarquables ; mais les genres eux-mêmes, dans le tableau des lettres, resteraient à une place secondaire.
le et pédagogique ; chez Voltaire il est une arme de parti. Le roman, tableau de la vie humaine, peinture des caractères et des
alzac, le plus illustre de tous, a laissé une œuvre immense, inégale, tableau souvent amer et cruel de la société contemporaine
n n’est-elle pas de se placer à quelque distance ? Alors seulement le tableau s’ordonne, l’ensemble se dessine, les saillies s’
leur a donné du goût et du sentiment pour l’harmonie. De même un beau tableau charme et enlève un spectateur, qui n’a aucune id
us français que Gil Blas : français par la vie sociale dont il est le tableau , par la marche rapide de la narration, par l’iron
léchir. Les hardiesses frondeuses et la liberté trop vive de certains tableaux , ce fut là ce qui plut d’abord à l’esprit du sièc
e la réalité avait de trop rude, dans la crainte d’altérer dans leurs tableaux l’harmonie des couleurs, et le dix-septième siècl
rand chœur de musique ; ses yeux ne distinguent point d’abord dans un tableau les gradations, le clair-obscur, la perspective,
prend peu à peu l’esprit des bons artistes. On s’accoutume à voir des tableaux avec les yeux de Le Brun190, du Poussin, de Le Su
l individuel par l’humiliation de l’espèce entière, ils ont exposé ce tableau , qui ne vaut que par le contraste, et peut-être p
ses romans libertins, sut gré à J. J. Rousseau de lui offrir d’autres tableaux , sur lesquels l’œil pouvait s’arrêter sans que le
nos maux en soutenant que tout est bien, et vous chargez tellement le tableau de nos misères, que vous en aggravez le sentiment
se251. » L’esquisse. Les esquisses ont communément un feu que le tableau n’a pas. C’est le moment de chaleur de l’artiste,
t moins à mon choix. Il en est à peu près de même de l’esquisse et du tableau . Je vois dans le tableau une chose prononcée ; co
n est à peu près de même de l’esquisse et du tableau. Je vois dans le tableau une chose prononcée ; combien dans l’esquisse y s
oirs, et qui lui rend injures pour reproches. On le voit au centre du tableau  : il a l’air violent, insolent et fougueux ; il a
sais quel effet cette courte et simple description d’une esquisse de tableau fera sur les autres ; pour moi, j’avoue que je ne
vantes. Vernet257. Vingt-cinq tableaux258 mon ami ! vingt-cinq tableaux  ! et quels tableaux ! c’est comme le Créateur, po
7. Vingt-cinq tableaux258 mon ami ! vingt-cinq tableaux ! et quels tableaux  ! c’est comme le Créateur, pour la célérité ; c’e
qu’un espace limité de la grande toile, et vous jurerez que c’est un tableau de Vernet, qu’on a pris sur son chevalet et trans
it, la lumière naturelle ou les lumières artificielles à éclairer ses tableaux  ; toujours harmonieux, vigoureux et sage, tel que
cela gouverner le monde, et il a tort. Vernet appelle cela faire des tableaux , et il a raison262. Ibid., p. 310 et suivantes.
pondre. Le premier ministre des finances ne vous a-t-il pas offert le tableau le plus effrayant de notre situation actuelle ? N
Regardez, continua Corinne, ces statues placées sur les tombeaux, ces tableaux en mosaïque, patientes et fidèles copies des chef
décrit seulement en peintre : il attache plus de prix maintenant aux tableaux qu’il nous présente qu’aux émotions qu’il éprouve
plus grand succès, donné l’exemple d’appliquer la couleur locale aux tableaux que l’imagination emprunte aux souvenirs de l’his
pé de l’art avec lequel Chateaubriand a entremêlé et opposé, dans des tableaux pleins d’éclat, la peinture de l’empire romain da
vins qui élevèrent le temple sur les débris duquel j’étais assis ? Ce tableau de l’Attique, ce spectacle que je contemplais, av
s ses lettres, idéalisé la guerre. Il se plaît, au contraire, par des tableaux d’un trait dur et froid, à nous en donner l’idée
plus d’un sens, il ne faut pas tout vous dire ; mais, par le coin du tableau dont je vous crayonne un trait, vous jugerez aisé
bliques, où se rencontrent, au milieu de menaçantes visions, quelques tableaux d’une douceur qui repose. En changeant d’opinions
uvait les couleurs sévèrement brillantes qui convenaient le mieux aux tableaux de cette époque. Il semblait que Guizot préludât,
triotisme se réfugiant sur les flottes victorieuses de Blake, tout ce tableau de l’Angleterre rassasiée de guerres civiles et d
caractères des ouvrages qui résument l’enseignement de Villemain : le Tableau de la Littérature au moyen âge et l’Histoire de l
autres œuvres de Villemain : dans l’étude sur Pindare, comme dans le Tableau de l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle, da
par son génie, assez créés par sa présence, pour pouvoir achever ses tableaux  ; mais lui seul était peintre. Ses plus ingénieux
le, comme Rousseau en représentait avec énergie la pensée politique. Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
comme les artistes : Quelle poésie ! s’écrie-t-on à la vue d un beau tableau , d’une noble mélodie, d’une statue vivante et exp
toujours pur et correct, la ligne menée avec finesse et fermeté, les tableaux de M. Mignet manquent un peu de ces jeux d’ombre
ie de son sujet ; il excelle à porter tour à tour sur chaque point du tableau une lumière égale, qui ne dissimule et n’exagère
nation qui lui rend le passé comme présent et sensible. De là tant de tableaux , de portraits, si pleins de vie, de couleur et de
asque, nous ne datons plus. » Histoire de France, tome II, liv. III ( Tableau de la France). Fin et résultats du règne de Lo
estauration, deux couronnes académiques par un Éloge de Bossuet et le Tableau de la Littérature française au seizième siècle. E
r le mouvement romantique, et la pensée qui l’inspirait en traçant le Tableau historique et critique de la Poésie française et
très diverse et mêlée, où l’on reconnaissait à la fois, dans quelques tableaux de bonheur domestique et d’amour idéal, l’influen
ue des lettres que de leur histoire, et fait plus de portraits que de tableaux . » M. Nisard marque bien le caractère de la trois
la diversité, la liberté, l’histoire mêlée aux lettres, la beauté des tableaux , la vie des portraits, les rapprochements de la l
, qui le défendit contre les malveillances de la critique. « C’est un tableau de Raphaël, a dit Chateaubriand, merveilleusement
vait été inspiré par un passage des Géorgiques 676 il voulut faire le tableau dont Virgile avait esquissé les premiers traits.
lettre éloquente, qui semble la préface de l’Itinéraire, a retracé le tableau de cette malheureuse contrée, que tant de souveni
es-uns des souvenirs de cette époque ; mais la sombre grandeur de ces tableaux s’affaiblit et s’amollit sous le pinceau de Delil
tique, qui est le sien ; il note tout ce qui le frappe, le sujet d’un tableau qu’il ébauche, un simple trait, un détail express
impétueux, inattendus, nouveaux, L’expression de flamme aux magiques tableaux Qu’a trempés la nature en ses couleurs fertiles,
ce et de la légèreté ; un trait suffit au poète pour indiquer tout un tableau , charmant et complet dans ses petites proportions
s douleurs. Une autre comédie, la Princesse Aurélie (1828), sorte de tableau satirique du gouvernement parlementaire, ne fut p
les maîtres de l’art classique, l’intérêt toujours renouvelé de leurs tableaux . Cette critique ne regarde pas seulement le théât
uché seulement a l’écorce du vice ; Nul piège ne l’attire à son riant tableau  ; Elle est pleine d’oubli pour les choses passées
ion, les envahissements de la nature par l’industrie. Malgré quelques tableaux d’une âpre énergie, le poème est déjà inférieur a
des strophes d’une mélancolie pénétrante. La Vie rurale est le riant tableau de la campagne, de la Provence surtout, avec son
comme dans les Sonnets capricieux, on trouverait à détacher de petits tableaux de genre, d’une touche facile, d’un frais coloris
ture fragile ; C’est l’hiver, quand je lis, devant un feu de bois, Le tableau du printemps dans un vers de Virgile ! Sonnets c
nt dans l’atelier les esquisses prises au dehors, dont ils feront des tableaux  : emportez de Paris de vigoureuses ébauches, pour
audi au Théâtre Français, a tracé, avec un talent sobre et sévère, le tableau des joies et des tristesses de la famille ; il a
n’est pas encore fatigué. François Coppée 869, le Passant. 1. Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
. Les Caractères, De la Cour. 3. Les Caractères, De la Ville. 4. Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
uve, Premiers Lundis, tome III : Les Poètes français. 16. Villemain, Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
ère aujourd’hui que le synonyme d’écrivain politique. 21. Villemain, Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
térature française au dix-huitième siècle, 15e leçon. 22. Villemain, Tableau de la\ Littérature française au dix-huitième sièc
 III : Origines de la Langue, pages 105 et suivantes. 24. Villemain, Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
âtre de la Révolution (1789-1799), par Henri Welschinger, 1881. 27. Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
Littérature française au dix-huitième siècle, 48e leçon. 28. Merlet, Tableau de la Littérature française (1800-1815). V. Intro
de la Littérature française (1800-1815). V. Introduction, p. 3. 29. Tableau de la Littérature française (1800-1815), p. v. 3
aphie des Romanciers célèbres, la onzième leçon de Villemain, dans le Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, et la C
uc de Saint-Simon. — Lettres et dépêches sur l’Ambassade d’Espagne. —  Tableau de la Cour d’Espagne en 1721. (1 vol. in-8°, Quan
sur Montesquieu : son Éloge, par d’Alembert ; la xive et xve leçon du Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, de Vill
 La modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau  ; elle lui donne de la force et du relief. » 133
e de Villemain intitulée : De Symmaque et de saint Ambroise, dans son Tableau de l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle.
— Poussin (1594-1665). Le musée du Louvre renferme trente-neuf de ses tableaux . — Le Sueur (1617-1655), dont le chef-d’œuvre est
1655), dont le chef-d’œuvre est- la Vie de Saint-Bruno, en vingt-deux tableaux , au musée du Louvre. — Quinault (1635-1688), créa
ais, livre II, chapitre XII. 208. Lire, sur Buffon : la 22e leçon du Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
rardin, 2 vol., 1875 ; les 23e, 24e, 25e leçons de Villemain, dans le Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
née par M. As-sézat, chez Garnier frères (1876). — Lire sur Diderot : Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
urs fois dans ses Salons sur cette comparaison entre l’esquisse et le tableau . Ainsi, dans le Salon de 1767 : « L’esquisse est
de 1767 : « L’esquisse est l’ouvrage de la chaleur et du génie, et le tableau l’ouvrage du travail, de la patience, des longues
es empruntées à la vie ordinaire. 254. Cette esquisse est devenue le tableau connu sous le nom de la Malédiction paternelle. I
serait intéressant de relever les différences qui existent entre les tableaux eux-mêmes et la description de Diderot faite sur
Diderot faite sur l’esquisse. 255. Sorte de fauteuil. 256. Les deux tableaux sont au Louvre. — Boucher (1704-1770) est, en eff
les principaux ports de mer du royaume. Il exécuta plus de deux cents tableaux . 258. Vue du Port de Dieppe (au Louvre, n° 606)
ufrage au clair de lune. — Marine au coucher du soleil. — Sept petits Tableaux de paysage, etc. 259. Jusqu’à l’endroit où… 260
des édifices, des ruines, etc., qui entrent dans la composition d’un tableau et surtout d’un paysage. 261. Peintre de genre,
aysage. 261. Peintre de genre, né à Paris en 1699, mort en 1779. Ses tableaux se distinguent par la vérité de l’expression et l
Gilbert en 1857. — Lire sur Vauvenargues : Villemain, la 16e leçon du Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
aumarchais : Beaumarchais, sa Vie et son Temps, par M. de Loménie ; —  Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
langes de Littérature ancienne et moderne ; — Villemain, 45e leçon du Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
tième siècle, par L. de Loménie. — Sur Mirabeau lui-même : Villemain, Tableau de la Littérature française du dix-huitième siècl
(Paris, 1821 et 1844). — Lire sur Mme de Staël, la dernière leçon du Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
en Lorraine, mort en 1682. La galerie du Louvre possède seize de ses tableaux . M. Émile de Montégut, dans un livre récent : Poè
. Mengs, né à Aussig (Bohème) en 1728, mort à Rome en 1779. Outre des tableaux célèbres, qui l’ont fait surnommer le Raphaël de
à Guizot l’historien anglais Lingard. 432. Le 12 mai 1641. 433. Un tableau de M. Paul Delaroche retrace ce touchant épisode.
r cette ville d’avoir renversé ses statues. Voir, à ce sujet, dans le Tableau , de l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle, l
nt la passion de la reine d’Écosse, et on exposa dans les églises des tableaux qui en retraçaient toutes les circonstances. Sur
vres écrits pour consoler Stagiro sont analysés par Villemain dans le Tableau de l’Eloquence chrétienne au quatrième siècle, pa
man pastoral, l’Astrée, qui, sous le voile de l’allégorie, offrait le tableau de la société contemporaine. Pellisson et La Font
rpe, Cours de Littérature, siècle de Louis XIV, chap. ix ; Villemain, Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle (2e leço
leurs est un charme de plus. » 587. Lire, sur Crébillon : Villemain, Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, 2e leço
e ses tragédies dans le Cours de Littérature de La Harpe ; Villemain, Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècl
Sylvain Bailly. Villemain a parlé de Gresset dans la 12e leçon de son Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle. Plus ré
t la Philosophie au dix-huitième siècle. Voir 2e partie, § iv. 652. Tableau historique de l’État et des Progrès de la Littéra
r, par les beaux vers du poète, celui-ci composa sur le même sujet un tableau , qui eut un grand succès et fut acheté par madame
riptif qui, en donnant trop d’importance aux parties secondaires d’un tableau , en affaiblit les grandes lignes. 693. Il n’est
Chénier, 1874. — Lire, sur André Chénier : Villemain, la 58e leçon du Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle ; Nisard
e, tome IV, chap. iv ; Sainte-Beuve, le chapitre sur Regnier, dans le Tableau de la Poésie française au seizième siècle, Portra
passe encore son père (Iliade, ch. VI, vers 476 et suiv.). 716. Quel tableau  ! comme tous les traits se pressent, s’accumulent
ers heureux qui sont d’un vrai poète et d’un peintre, de ces coins de tableaux frais et riants, à condition qu’ils ne se prolong
e de cette scène : « Si la vérité peut manquer sur quelques points du tableau , cette vérité se fait sentir en d’autres endroits
24 (1881) Rhétorique et genres littéraires
Rhétorique Tableau synthétique de la rhétorique Invention Di
. Mémoire. APPENDICE Exercices de rhétorique. Narration, Description, Tableau , Portrait, Parallèle, Éloge, Discours, Allégorie,
chacun desquels ils assignaient ses qualités respectives. En voici le tableau  : 1° Style simple. 2° Style tempéré. 3° Style
 ; la périphrase est une figure d’imagination, quand elle renferme un tableau d’une étendue restreinte, ou une figure de raison
uelquefois le nom d’épiphonème à l’exclamation, quand elle termine un tableau , un récit, un raisonnement par une réflexion. Ell
peut classer ainsi les principaux : 1° Narration, 2° Description, 3° Tableau , 4° Portrait, 5° Parallèle,    6° Éloge, 7° Disco
i la peinture d’une action. Elle se distingue de la description et du tableau par le mouvement dramatique. Il ne s’agit point i
sse en terrasse ; etc. (Art poétique, chant I, vers 51 et 52.) 3° Tableau La description devient un tableau quand le cad
chant I, vers 51 et 52.) 3° Tableau La description devient un tableau quand le cadre embrasse un ensemble d’objets. Ex.
andeur et décadence des Romains). Le parallèle procède aussi par deux tableaux symétriques, mais distincts, et, pour ainsi dire,
parabole, etc. Description. scientifique, littéraire. Lettre. Tableau . Rapport. Portrait. Dialogue. moral, philos
és anciens et modernes sur la rhétorique que nous avons cités dans le tableau de son histoire abrégée (p. 5 et 6), nous indique
in-12, 1878, etc. Littérature Étude des genres littéraires. Tableau synthétique POÉSIE PROSE Versification :
uxquelles ils sont soumis ; 2° l’Histoire littéraire, c’est-à-dire le tableau et l’appréciation des œuvres composées par les éc
e, les sentiments joyeux de l’âme ou ses angoisses infinies. Voici le tableau de ces petits poèmes, dont quelques-uns ont une f
ne faible et artificielle imitation, c’est-à-dire une chose morte. Tableau synoptique des principales épopées PEUPLES.
matique, tragique et comique prennent plusieurs formes, dont voici le tableau  : Genres Tragique. Comique. Tragédie. Dram
it. 3° La comédie à tiroir consiste dans une série de portraits ou de tableaux amenés successivement sur la scène au moyen d’une
forme, l’églogue et l’idylle. Idylle L’idylle (εἱδύλλιον, petit tableau ) diffère de l’églogue en ce qu’elle n’a généralem
ns ont mis à la mode, sinon la poésie pastorale, du moins le goût des tableaux champêtres dans des œuvres en prose : Ex. les scè
nstitut. Leur sujet est tantôt l’éloge d’un grand écrivain, tantôt le tableau littéraire, scientifique ou économique de la Fran
ée. Ex. les éloges de Montaigne et de Montesquieu par Villemain, — le Tableau de la littérature française au seizième siècle pa
nd elle ne se contente pas de faire la biographie des écrivains et le tableau littéraire d’une époque, mais lorsqu’elle appréci
suivant les sujets qu’elle traite et le genre d’esprit de l’écrivain ( Tableaux littéraires, études et portraits, monographies, e
rofessées par les différentes écoles. Philosophes proprement dits ( tableau synoptique des principaux) Les sages et les éc
êque (Science du beau), etc. (Voir pour de plus amples détails, notre Tableau de l’histoire abrégée de la rhétorique, p. 2 et 3
aussi par nature et par nécessité, car on ne peut faire connaître un tableau ou une statue autrement que par une description.
25 (1853) Éléments de la grammaire française « Table des matières. »
inatif du verbe 30 Système métrique 69 Tables de multiplication 72 Tableau des temps primitifs 96 Tableau des temps primiti
ique 69 Tables de multiplication 72 Tableau des temps primitifs 96 Tableau des temps primitifs des verbes irréguliers 98 Te
26 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
e une peine exemplaire. Placé entre ces deux nécessités, la vérité du tableau et les exigences de la morale, ne pouvant ni fair
-ci, c’est la péroraison suppliante, commiseratio ; il termine par le tableau le plus pathétique des douleurs de son client, d’
é qui doivent animer le prédicateur, lui permettent de multiplier les tableaux terribles ou touchants, énergiques ou tendres, de
dialogue, amplification, quand elle est demandée par la grandeur des tableaux ou l’entrainement des passions, argumentation qui
27 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des figures » pp. 324-354
Tableau des figures II Les rhéteurs ont analysé les l
celui de la pensée. figures de pensées. Rappelons-nous que ce tableau n’est pas un code, mais un recueil d’analyses cur
rimait d’abord qu’une stupeur inquiète, s’assombrir à chaque trait du tableau . Sûr désormais de tenir la vérité, il force à des
n. — Le poëte, qui veut surtout peindre, fait de ses comparaisons des tableaux . L’orateur, qui veut surtout persuader, n’emploie
28 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
ie champêtre des premiers hommes dut les engager à chanter les riants tableaux de la campagne et les objets qui y ont rapport. I
simple. Il se place surtout dans les descriptions. Tel est, outre le tableau déjà cité : Fortunate senex, le passage suivant d
cène variée des campagnes doit seule fournir au poète le sujet de ses tableaux et de ses images. Le naturel dans les couleurs es
mée : ordinairement elle n’admet même pas d’action, et consiste en un tableau gracieux présentant des images, des récits, une r
29 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
qu’indiquer en passant, et se borne à présenter dans l’éloignement le tableau affligeant de la guerre civile. Il y a autant d’a
fait moi-même ». Le même orateur fait de la modestie de son héros le tableau suivant : « Il revenait de ses campagnes triomph
lui qu’on n’oubliât ses victoires et ses triomphes ». Voici le même tableau dans Fléchier. « Qui fit jamais de si grandes ch
30 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
uel il écrit. Ô vous donc, qui voulez présenter aux siècles futurs le tableau des siècles passés, cherchez la vérité dans sa pr
du danger est exprimée dans chaque parole de l’historien ; et jamais tableau n’a paru plus fini dans l’histoire, ni touché de
es motifs de ses actions, et former, sous des traits bien marqués, un tableau de ses faiblesses et de ses vertus. Les réflexion
ines. C’est de là que, suivant l’ordre des temps, il nous présente le tableau le mieux dessiné, le plus énergique, le plus vrai
vec goût, une narration nette, rapide et pleine de chaleur : c’est le tableau le plus brillant et le plus vrai de ces funestes
de La Curne de Sainte-Palaye 121 sur l’ancienne chevalerie. C’est un tableau détaillé, très instructif, et fort bien présenté
ouvellement des sciences et des arts, et doit en même temps offrir un tableau de ce qu’ils ont produit dans les différents sièc
31 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
, il fut forcé à s’éclairer comme le dernier citoyen ». À ce premier tableau de l’éducation physique de Marc-Aurèle, succède l
ains rapports, que l’orateur avait adopté, le personnage principal du tableau , tout amenait naturellement ici, ce qui eût été f
heureusement imaginé dans cette scène, d’ailleurs si intéressante. Le tableau de la mort de Marc-Aurèle termine l’ouvrage de la
au. Quel effet, dit avec raison La Harpe, produirait sur la toile le tableau qui termine l’ouvrage, si le pinceau d’un grand a
32 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
oppement des connaissances, nous trouvons dans ces mêmes harangues un tableau fidèle et des mœurs du siècle et du caractère par
Darius, où il fait précisément des Macédoniens opposés aux Perses, le tableau que Sandanis fait ici des Perses et des Lydiens.
ant à leur tête. (Henriade, Ch. 3). Quelle différence entre ces deux tableaux , et comme le choix et l’arrangement des mots sont
Attique, et dont Thucydide et Lucrèce, après lui, nous ont laissé des tableaux si tristement fidèles. Découragés, abattus par le
rits, essaya cependant encore de les détourner de leur projet, par le tableau raisonné des difficultés qu’elle présentait. Répl
33 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
cœur droit53. § 27. Histoire profane. L’Histoire profane est le tableau des siècles passés présenté aux siècles à venir p
comme la suite. Le Discours de Bossuet n’est que le dessin d’un grand tableau où lui seul aurait pu mettre la couleur et ajoute
es motifs de ses actions, et former, Sous des traits bien marqués, un tableau de ses faiblesses et de ses vertus. Les réflexion
tingués dans ces divers genres. Ainsi, elle peut offrir au lecteur le tableau de ce que les inventions des hommes ont produit,
cet, puis par Cuvier et ses successeurs, elle offre assurément un des tableaux les plus complets et les plus intéressants des pr
’élégance du style, soit aux pensées grandes et vigoureuses, soit aux tableaux vivement colorés ; et c’est ce qui leur donne un
34 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
lors que les travaux et la gaieté des cultivateurs animaient tous ces tableaux . Voulez-vous, madame, une esquisse des scènes qui
plus d’un sens, il ne faut pas tout vous dire ; mais, par le coin du tableau dont je vous crayonne un trait, vous jugerez aisé
n sur la foi des traditions. Raphaël respire encore et parle dans ses tableaux . La Fontaine m’est mieux connu que si, lui vivant
35 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
re. L’imagination du peintre invente d’abord les principaux traits du tableau  ; son jugement met ensuite chaque partie à sa pla
aîtres. Pourquoi un connaisseur reconnaît-il au premier coup d’œil un tableau de Raphaël, de Michel-Ange, de Rembrandt ou de Ru
asse passer. Voyez comme Racine sait ennoblir les détails d’un hideux tableau  : Et je n’ai plus trouvé qu’un horrible mélange
s belle encor que la beauté. Reboul, notre poète boulanger, offre un tableau rempli d’une grâce suave dans son élégie de l’Ang
cession non interrompue jusqu’au terme qu’on s’est fixé. Examinez ces tableaux , pleins d’harmonie, chefs-d’œuvre de composition
vent pour produire de grands effets. C’est une prosopopée que ce beau tableau de Racine : La terre s’en émeut, l’air en est in
? Quelles sont ces mœurs efféminées ? Que signifient ces statues, ces tableaux , ces édifices ? Insensés, qu’avez-vous fait ? Vou
36 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
il est sérieux, solennel, et cherche à émouvoir la sensibilité par le tableau de la douleur : c’est la tragédie ; tantôt il est
historique ou imaginaire. Le but de la tragédie est d’émouvoir par le tableau des passions et du malheur ; elle emploie pour ce
éprouve de se sentir à l’abri des malheurs dont on lui représente le tableau . « Ce n’est pas, dit un spirituel critique16, qu
rment, nous émeuvent et nous attendrissent sans nous inquiéter. » Le tableau du malheur, dans la tragédie, a aussi un effet mo
es traits isolés ; il rassemble tous les traits épars, pour tracer un tableau complet, où il n’y ait plus rien à ajouter. C’est
37 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre lII. »
c’est toujours un sentiment d’amour ou de haine. L’épopée, qui est un tableau héroïque des sentiments humains, laisse dans l’âm
trer : c’est ainsi qu’Homère est universel, et que ses poèmes sont le tableau complet de son époque. L’épopée a besoin d’une vé
er. Le poème doit être semé de descriptions éclatantes et variées, de tableaux et de portraits où se déploient la vivacité, la c
38 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre II. Du Sublime dans les Choses. »
te à nous sous la forme la plus simple, dans le vaste, dans l’immense tableau que nous offre la nature. Telles sont ces plaines
s qu’il se précipite avec l’impétuosité et le fracas d’un torrent, le tableau deviendra sublime. Les ténèbres, la solitude, le
39 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
s’il arrêtait complaisamment son pinceau sur toutes les lignes de son tableau pour faire éclater la richesse de son coloris, l’
ue le récit historique met en réflexions, l’oraison funèbre le met en tableau . Elle transforme ce jeune homme en un Alexandre,
plicité d’un témoignage sincère, si vous forcez les couleurs de votre tableau , si vous laissez trop percer le désir de passionn
ntes : son argumentation prend un corps et ses preuves deviennent des tableaux . Il ne démontre pas, il peint, il personnifie ses
rt peut varier à son gré, comme le peintre nuance les couleurs de ses tableaux . Le geste suit tous ces mouvements, comme l’ombre
corps, sa gradation et ses nuances. Avez-vous lu dans Beaumarchais le tableau de la calomnie : « D’abord un bruit léger, rasant
. Cicéron, De Oratore. 20. Trad. de M. Victor Leclerc. 21. Voir le Tableau des arguments. 22. Voir le Tableau des figures.
M. Victor Leclerc. 21. Voir le Tableau des arguments. 22. Voir le Tableau des figures. 23. Fénelon, Dialogues sur l’éloqu
40 (1852) Précis de rhétorique
s bras ? 20. Que faut-il observer dans la position du corps ? Voir le Tableau synoptique ci-contre. (21e Leçon) — Tableau s
on du corps ? Voir le Tableau synoptique ci-contre. (21e Leçon) — Tableau synoptique résumant tous les préceptes précédents
3° le Parallèle, 4° le Dialogue, 5° l’Allégorie, 6° la Fable, 7° les Tableaux et Descriptions, 8° la Narration proprement dite.
ts. On termine en réduisant l’apologue à quelques lignes. § VII. —  Tableaux et Descriptions. 14. La description sert à rep
ait. Élevée à son plus haut degré de perfection, elle prend le nom de tableau . 15. La description et le tableau ne constituent
de perfection, elle prend le nom de tableau. 15. La description et le tableau ne constituent pas précisément un genre particuli
latante, au moyen surtout de contrastes qui le font ressortir. 18. Le tableau ne s’obtient qu’en pressant le récit, et en donna
potypose, et à la coupe resserrée des phrases. 19. En décomposant les tableaux et descriptions, on ne tiendra aucun compte du fo
sert la description ? — 15. Mais il me semble que les descriptions et tableaux ne sont que des ornements ? — 16. À quelles sourc
est le style convenable à la description ? — 18. Comment s’obtient un tableau  ? — 19. Comment décomposer les tableaux et descri
n ? — 18. Comment s’obtient un tableau ? — 19. Comment décomposer les tableaux et descriptions ? (26e Leçon) — [Genres de na
angue militaire, et précisez soit genre de style. (30e Leçon.) — Tableau synoptique des divers genres de composition qu’on
longe ? — Les souvenirs portés | sur les ailes d’un songe. — Dans ces tableaux trompeurs, | par eux seuls animés, — Il reprend s
41 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
lippes. De nos jours, Alfred de Vigny demande que la tragédie soit un tableau large de la vie, au lieu du tableau resserré de l
y demande que la tragédie soit un tableau large de la vie, au lieu du tableau resserré de la catastrophe d’une intrigue ; et Al
inconvénient est très bien évité dans Cinna, parce que le magnifique tableau que vient de faire le chef des conjurés répand su
n même de l’innocence, du fond d’un naturel heureux : tels furent les tableaux que présenta la tragédie. On vit sur le théâtre l
enfants prêts à périr ou dans les eaux ou dans les flammes, sont des tableaux très pathétiques ; les hôpitaux, les prisons et l
Là, profitant de l’étendue de son théâtre, elle agrandit et varie ses tableaux , se répand dans la fiction, et manie à son gré to
si à chaque acte, parce qu’il faut plaire aux yeux par la variété des tableaux . Ainsi, à l’éclat d’un palais enchanté succédera
e. Le bas comique peint les mœurs du peuple. Il peut avoir, comme les tableaux flamands, le mérite du coloris, de la gaieté. Il
nnent soudain la fuite, et les deux acteurs, restés en présence, font tableau par leur stupéfaction et leur mutuelle colère. Le
et emporte avec elle. Il ne songe qu’au moment présent ; il abonde en tableaux délicats, gracieux, en plaisanteries fines, décen
42 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
ours sur les Grecs anciens et modernes. Ce grand contraste offrait un tableau qui appartenait de droit à la poésie ; aussi est-
aits, ces caractères, Ces âmes de héros si tendres et si fières ; Ces tableaux tour à tour et touchants et pompeux ; Leur accord
une grande sensation, et elle la produisit. Des émotions fortes, des tableaux absolument neufs, de nouveaux cieux, une terre no
de bonheur que de justesse ; qui donnent à des vers charmants, à des tableaux pleins de mouvement et de variété, l’exactitude d
s étranges fictions, se trouvaient des beautés du premier ordre ; des tableaux charmants contrastaient avec les peintures les pl
43 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
s agréable et le fait paraître moins long, grâce aux incidents et aux tableaux divers qui y sont introduits à propos. D’ailleurs
minie et Clorinde ; et, dans les derniers chants du Paradis perdu, le tableau présenté à Adam de la suite de ses descendants. C
rivains chrétiens et les annales de l’Église, nous offrent encore les tableaux les plus poétiques et les plus émouvants. Et, en
ntelligence plus complète de l’action, et en plaçant sous ses yeux le tableau des intérêts opposés dont la complication va form
u style, telles sont les principales qualités des descriptions et des tableaux épiques. Homère excelle dans la description des b
sse, par le Tasse, et le siège de Paris, par Voltaire. Cependant, ces tableaux , pour ne pas ralentir l’action, doivent céder la
44 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
pête, un paysage, il n’est pas toujours nécessaire qu’il en ait vu le tableau . Dante n’a point vu Ugolin dans la tour de la Fai
l au Vatican, dans les fresques qui décorent les églises, et dans les tableaux qui masquent la nudité des murailles. La sculptur
entes à la lecture du Cid, à la vue d’une belle nuit constellée, d’un tableau de Raphaël ou de la coupole de Saint-Pierre ; d’a
45 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523
, d’accord avec le pur charme de la vérité. » 1. L’éloquence de ce tableau est dans le contraste entre la folie des fureurs
t collines ; on l’appelle quelquefois la ville aux sept collines. 1. Tableau achevé, qu’envierait Virgile. Cette idylle rustiq
mouvement de la phrase poétique. 7. Bizarre, mais expressif. 8. Le tableau est composé avec un art exquis. Remarquez dans ce
ent religieux et philosophique relève ici les plus humbles détails du tableau . 2. L’idéal est ici dans la réalité. 3. Compare
46 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
t cette faculté de l’âme qui nous représente les objets sous forme de tableau avec toutes leurs circonstances intéressantes. C’
ns Je travail d’un artiste ; et s’ils jugent sainement du mérite d’un tableau , ils sont meilleurs juges encore en ce qui concer
ne l’est pas, plus sensible, s’il ne l’est pas assez. Ce n’est ni un tableau , ni une description achevée ; c’est un coup de pi
st l’arrangement des parties, dit Le Batteux, qui fait la beauté d’un tableau , la solidité d’un édifice, la force d’une armée r
rme beaucoup de sens en peu de mots, ou quand elle forme une sorte de tableau . Salluste, parlant de Catilina, qui fut trouvé su
ouvelle avec les couleurs de son premier objet et forme une espèce de tableau . On demandait à Agésilas pourquoi Lacédémone n’av
t commencer avec la phrase pour ne finir qu’avec elle. C’est comme un tableau à double face qui, sous des images connues, nous
insister. Cette figure a le double avantage de resserrer dans un même tableau des choses qu’on a l’air d’écarter, et de fortifi
t de conclusion à un récit ou à un raisonnement. Virgile dit après le tableau des infortunes d’Énée : Tantæ molis erat romanam
a. (Æn., vi.) Les poètes français sont parfois admirables dans leurs tableaux . Ils peignent : La fatigue : Dans un chemin mont
la Genèse, dans leur noble et touchante naïveté, nous présentent des tableaux que les écrivains profanes ne pourront jamais éga
e borne pas à caractériser l’objet dont on parle, elle en présente le tableau avec des couleurs si vraies, des traits si nature
conquêtes, on ne verra que les maux de la guerre, et l’on tracera un tableau tout différent. 329 Si l’objet est changeant et m
scription aussitôt que son but est atteint. Le poète peut élargir ses tableaux , parce qu’il s’adresse surtout à l’imagination et
grandes ressources pour celui qui fait une description. Comme dans un tableau le talent du peintre consiste à opposer les ombre
tion aux élèves, et qu’ils n’ont ni à raconter un fait ni à tracer un tableau , ni à converser par écrit, ni à l’aire un discour
que de la détourner de sa première destination. Sans doute, dans ses tableaux et dans ses chants, le poète peut bien représente
’ode (ὠδή) ou le genre lyrique. Si vous voulez offrir en spectacle le tableau d’une grande entreprise, ou une série de personna
t un ton modéré qui n’exclut pas l’enthousiasme et l’inspiration. Les tableaux , sans être jamais trop riches, doivent être toujo
ïsme de ses martyrs, la pureté de ses vierges, offrent d’ailleurs les tableaux les plus émouvants. 454. Il y a plusieurs précaut
le nº xvi). Personnages de l’épopée. 463. Comme l’épopée est le tableau d’une grande entreprise, trois sortes de personna
oriques, pourvu qu’ils soient bien amenés et qu’ils fassent partie du tableau général de l’action. 477. Puisque l’épopée est un
dans leur ensemble et leur but principal. 482. Le poème badin est le tableau d’une action plaisante. C’est une sorte de jeu d’
nes détachées. Ces pièces se composent d’une suite de portraits ou de tableaux qui n’ont entre eux aucune liaison et qui sont am
rigue, ni dénouement. Ainsi, dans une pièce en quatre actes et quinze tableaux il y a quinze changements de scène ou de décorati
; chez les Allemands, Gessner. On peut citer aussi, comme un charmant tableau du genre pastoral, l’histoire de Ruth, qui forme
u vainqueur ;         Autour de moi le sang bouillonne.         À ces tableaux mon cœur frissonne Et la pitié plaintive a crié d
au loin rouler ses eaux pompeuses, Détournerait les yeux de ce riche tableau         Et de ces eaux majestueuses, Pour entendr
47 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
chose n’est pas ; puis vient l’esquisse de ce qu’elle est ; c’est un tableau opposé à l’autre. Antécédents. Adjoints et con
créance ni pardon. » Voyez ce que peut l’imagination dans cet autre tableau de Didon mourante. Rien de plus frappant, de mieu
souvent, si effrontément profanées par cet impie. » Certes tous ces tableaux , tous ces développements doivent avoir pour résul
oit, une double tâche à remplir : la première, c’est de grouper en un tableau raccourci, mais bien serré, bien net, bien lucide
c’est en quoi consiste l’élocution. Qu’un peintre veuille composer un tableau , il se préoccupera d’abord du dessin, il observer
eur prête ce vif coloris si propre à faire de riches peintures et des tableaux parlants, de telle sorte que, par le changement s
sert à orner et à embellir le discours, figures vives et brillantes, tableaux animés, sentiments doux et délicats, choix et har
vine, Et du ciel ébranlé la majesté s’incline. Virgile, abrégeant le tableau , dit : Annuit et totum nutu tremefecit Olympum.
it un signe d’assentiment et de ce signe il ébranle tout l’Olympe. Le tableau grec a plus de majesté. C’est à ce modèle-là que
ias, le grand statuaire auquel nous devons le Jupiter Olympien. Autre tableau sorti du même pinceau et où s’accumulent les trai
immortels, hideuse, infecte et objet d’horreur pour les siens. » Le tableau est complet : il n’y a pas un trait faible ou inu
léments, plus d’une image d’un sublime réel. Rien d’imposant comme ce tableau où le père des humains apparaît au sein des nues,
use. Les nuages, la nuit, l’éclair, la foudre forment son cortège. Le tableau est imposant. S’assied a du mouvement. Mais ce br
n plus, le récit d’un événement triste, comme d’une aventure gaie, le tableau d’un objet hideux, comme d’un objet aimable. Ajou
it une beauté parce qu’ici c’est la place que leur assigne l’objet du tableau qu’ils occupent. Il y a mouvement, gradation de m
sope, le cèdre superbe, le figuier stérile, toute la poésie, tous les tableaux de l’Écriture sont là. Chaque nom renferme un mys
d’hypotypose. Éthopée. L’éthopée décrit les mœurs. Elle fait le tableau des vertus ou des vices, des qualités ou des défa
? quelles sont ces mœurs efféminées ? que signifient ces statues, ces tableaux , ces édifices ? Insensés ! qu’avez-vous fait ? vo
z-vous de renverser ces amphithéâtres, brisez ces marbres, brûlez ces tableaux , chassez ces esclaves qui vous subjuguent et dont
iés à l’infini dans leur expression, forment ce qu’on peut appeler le tableau de la pensée. Les yeux. Les yeux, peut-être
48 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
pondre. Le premier ministre des finances ne vous a-t-il pas offert le tableau le plus effrayant de notre situation actuelle ? N
fois qu’un lieu où il n’y a ni spectacle, ni édifices, ni musique, ni tableaux  ; c’était un rassemblement de commérages, une col
anque tout à la fois d’intérêt pour les sciences, la littérature, les tableaux et la musique, où l’imagination enfin n’occupe pe
Regardez, continua Corinne, ces statues placées sur les tombeaux, ces tableaux en mosaïque, patientes et fidèles copies des chef
ts, qu’on peut contempler Rome de tous les côtés, et voir toujours un tableau frappant dans la perspective opposée. Oswald ne p
décrit seulement en peintre : il attache plus de prix maintenant aux tableaux qu’il nous présente qu’aux émotions qu’il éprouve
supérieures du poème, la beauté de la pensée générale, les brillants tableaux si heureusement opposés du monde barbare dans sa
aine, et semblait appuyée sur le mont Hymette, qui faisait le fond du tableau . Elle présentait, dans un assemblage confus, les
a pauvre fille de Mégare100, avait vu mourir la brillante Aspasie. Ce tableau de l’Attique, ce spectacle que je contemplais, av
du vaisseau : Est in conspectu Tenedos. Je promenais mes yeux sur ce tableau , et les ramenais malgré moi à la tombe d’Achille.
trop souvent d’une érudition incomplète et superficielle, et dans les tableaux qu’il traçait il sacrifiait volontiers les détail
sévèrement brillantes qui convenaient le mieux aux graves et austères tableaux de cette époque. Il semblait que M. Guizot prélud
triotisme se réfugiant sur les flottes victorieuses de Blake, tout ce tableau de l’Angleterre rassasiée de guerres civiles et d
ractères des ouvrages qui résument l’enseignement de M. Villemain, le Tableau de la littérature au moyen âge et l’Histoire de l
retouchée dans les loisirs d’une retraite laborieuse, est devenue le tableau complet de cette grande époque. D’autres œuvres i
par son génie, assez créés par sa présence, pour pouvoir achever ses tableaux  : mais lui seul était peintre. Ses plus ingénieux
comme les artistes : Quelle poésie ! s’écrie-t-on à la vue d’un beau tableau , d’une noble mélodie, d’une statue vivante et exp
toujours pur et correct, la ligne menée avec finesse et fermeté, les tableaux de M. Mignet manquent un peu de ces jeux d’ombre
tie de son sujet, il excelle à porter tour à tour sur chaque point du tableau une lumière égale qui ne dissimule et n’exagère r
, qui le défendit contre les malveillances de la critique. « C’est un tableau de Raphaël, a dit M. de Chateaubriand, merveilleu
it été inspiré par un passage des Géorgiques 306 : il voulut faire le tableau dont Virgile avait esquissé les premiers traits,
lettre éloquente qui semble la préface de l’Itinéraire, a retracé le tableau de cette malheureuse contrée que tant de souvenir
s-uns des souvenirs de cette époque ; niais la sombre grandeur de ces tableaux s’affaiblit et s’amollit sous le pinceau de Delil
ères : Ah ! plaignez leur destin, mais félicitez-vous ; De vos riches tableaux le tableau le plus doux, À ces infortunés vous le
plaignez leur destin, mais félicitez-vous ; De vos riches tableaux le tableau le plus doux, À ces infortunés vous le devrez peu
râces, fit ce progrès sur lui-même. Quand on parcourt son remarquable Tableau de la littérature française depuis 1789, on reste
ce et de la légèreté ; un trait suffit au poète pour indiquer tout un tableau , charmant et complet dans ses petites proportions
s douleurs. Une autre comédie, la Princesse Aurélie (1828), sorte de tableau satirique du gouvernement parlementaire, ne fut p
mporte. L’œil même qui te fuit te retrouve partout. Toujours dans nos tableaux tu jettes ta grande ombre ; Toujours Napoléon, éb
uché seulement à l’écorce du vice ; Nul piège ne l’attire à son riant tableau  ; Elle est pleine d’oubli pour les choses passées
ent dans l’atelier les esquisses prises au dehors dont ils feront des tableaux  : emportez de Paris de vigoureuses ébauches, pour
de Corinne. Que de belles pages à détacher encore ! que d’admirables tableaux bien dignes d’une lecture méditée : Corinne au Ca
e lassera pas de citer et de relire, mériterait d’être rapprochée des tableaux du même genre dans Homère et Virgile. Ce rapproch
vants : la rencontre d’Eudore et de Cymodocée (liv. I, à la fin) ; le tableau de la famille chrétienne de Lasthénès, et la visi
pays. On peut lire à la fin de la première partie de l’Itinéraire un tableau du despotisme cruel et ridicule des Turcs. 102.
Lingard, dont le récit est impartial. 133. Le 12 mai 1641. 134. Un tableau de M. Paul Delaroche retrace ce touchant épisode.
n’a jamais su à quelle recommandation se rapportait ce mot. 139. Ce tableau , d’une simplicité sobre et grave, pénètre l’âme d
ons dans le IVe volume de l’Histoire de ta Révolution d’Angleterre le tableau de la mort de Cromwell. « La mort de Cromwell, a
arles terminait les deux premiers. Morts terribles l’une et l’autre ! tableaux dignes d’un Tacite, et dans lesquels la plume élo
ir cette ville d’avoir renversé ses statues. Voir à ce sujet, dans le Tableau de l’éloquence chrétienne au quatrième siècle, le
res, de M. Léon Feugère. 170. M. Sainte-Beuve parle en ces termes du Tableau de la littérature au dix-huitième siècle : « Il y
nt ralentir la marche du récit, et cependant aucun trait ne manque au tableau , tout y est indiqué avec une rapidité précise qui
nt la passion de la reine d’Écosse, et on exposa dans les églises des tableaux qui en retraçaient toutes les circonstances. Sur
épublique et, un peu plus tard, l’empire au Premier Consul. » 273. Tableau historique de l’état et des progrès de la littéra
ur par les beaux vers du poète, celui-ci composa sur le même sujet un tableau qui eut un grand succès et fut acheté par Mme de
riptif qui, en donnant trop d’importance aux parties secondaires d’un tableau , en affaiblit les grandes lignes. 333. Il n’est
ers heureux qui sont d’un vrai poète et d’un peintre, de ces coins de tableaux frais et liants, à condition qu’ils ne se prolong
aux ténèbres ! Pourquoi nous cacher les horizons lumineux ? 446. Ce tableau d’un sombre éclat est sans doute d’un effet puiss
e de cette scène : « Si la vérité peut manquer sur quelques points du tableau , cette vérité se fait sentir en d’autres endroits
49 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
début, quoique le psaume 103 nous présente, après un grand nombre de tableaux sublimes, une conclusion très animée, et remplie
sport les chefs-d’œuvre de la toute-puissance divine, et en offre les tableaux les plus brillants et les plus magnifiques. 193.
chants joyeux, les scènes touchantes et aimables, les pensées et les tableaux gracieux. Quoi de plus vivant, de plus délicieux
c’est le sentiment qu’il peint avec les couleurs les plus douces. Ses tableaux , sans être trop riches, sont toujours frais et ri
n qui s’est illustré dans ce genre, et qu’Horace a souvent imité. Les tableaux les plus riants de la nature, les mouvements les
-d’œuvre de la poésie française . Peut-on rien ajouter à la beauté du tableau où le poète représente cette magicienne ayant rec
50 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre premier. Des caractères essentiels de la poésie » pp. 9-15
ouvoir les usines. Mais l’âme du poète ne peut rester insensible à ce tableau  ; ces bois qui se dépouillent en gémissant de leu
ième caractère de la poésie, l’idéal. Sans doute le poète compose ses tableaux avec les éléments que lui fournit la nature ; mai
51 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
la pompe des princes, du 5e — Il est content chez lui de les voir en tableau . (Bacon.) PÉRIODE RONDE A 3 MEMBRES. 1er — Il e
igoureusement grammatical, vous aurez encore, grâce à l’antithèse, un tableau frappant, mais la rapidité du style et la grâce d
s ouvrages de Cicéron. Il y a à Anvers de beaux Rubens, pour de beaux tableaux de Rubens. Cet écrivain a une belle main, pour di
conséquent. A vécu veut donc dire est mort. Vous voulez me donner ce tableau  ; vos instances me touchent, je me rends. On se r
 et rend cette figure très remarquable. X. Hypotypose. — Image. —  Tableau . 19. L’hypotypose n’est un trope que parce qu’
, Le flot qui l’apporta recule épouvanté. Etc., etc. Quand on lit ce tableau , on ne songe guère à l’hypotypose ; c’est cependa
dans l’accumulation, d’introduire un trait qui pourrait défigurer le tableau , c’est-à-dire modifier l’idée principale, au lieu
’analyse des auteurs. Je vais placer leurs traits distinctifs dans le tableau synoptique suivant.   Le sublime. Comprend
omporte alors comme un peintre qui fait paraître sur le devant de son tableau les personnages principaux, et relègue sur les ar
ension, et il est facile d’apercevoir l’art de l’écrivain qui fait un tableau magnifique de toute la puissance de Darius, pour
traducteur ordinaire, qui ne conserverait point eu agissant ainsi au tableau de Quinte-Curce le contraste magique de deux pens
cteur moderne a réussi, au moyen de l’inversion, à conserver au grand tableau de l’historien latin sa physionomie sévère et gra
c’est peindre en maître. Une vaste solitude occupe tout le devant du tableau . On y voit Darius qui fuit vaincu et malheureux.
52 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
préceptes sont presque toujours renfermés dans des descriptions, ses tableaux non moins variés que brillans, son style toujours
s, la beauté de la poésie : c’est une très-belle copie d’un fort beau tableau . On ne peut refuser à la traduction en vers du mê
ue celle de Virgile : mais elle est douce, harmonieuse et variée. Ses tableaux sont gracieux, ses descriptions charmantes ; et l
s tout l’ordre qu’on pourroit desirer. Mais on y trouve de fort jolis tableaux . Nous avons quelques poëmes qu’on peut absolument
difficile de trouver ailleurs un coloris plus doux et plus frais, des tableaux plus gracieux et plus variés, une poésie plus élé
ts à-la-fois. L’œil seroit choqué de voir deux événemens dans un même tableau . Si l’on présentoit sur le théâtre plusieurs acti
nstruction, parce qu’il ne peut y arriver, qu’en offrant également le tableau des vices et celui des vertus, en faisant contras
opes, de plusieurs hypocrites, de plusieurs avares. Aussi ce sont des tableaux achevés qui nous plaisent, qui nous frappent, qui
seul trait vraiment caractéristique, le personnage étoit manqué ; le tableau n’étoit pas fini. Le poëte doit avoir soin d’obse
nnent de se passer dans la scène d’Eraste et de Lucile. On y verra le tableau le plus vrai de la nature dans toute sa simplicit
mot son modèle. Il montre un goût pur et exquis dans le choix de ses tableaux , un art infini dans la manière dont il en dispose
ette action, mais à bien dessiner ces caractères, à bien colorier ces tableaux  ; et c’est ce qu’a fait Molière. On lui reproche
ont d’un caractère qui a été inconnu jusqu’à lui. Ce sont de charmans tableaux , qui offrent dans le lointain une peinture naïve
plus exacte vérité. On ne peut pas y désirer plus de coloris dans les tableaux , plus de délicatesse dans les nuances. Elle est s
si à chaque acte, parce qu’il faut plaire aux yeux par la variété des tableaux . Ainsi à l’éclat d’un palais enchanté, succédera
trainant et monotone. Il ne faut donc pas que le poëte étende trop un tableau , développe trop un sentiment ; il suffit qu’il le
faut donc pas que le poëte, sous prétexte d’être concis, accumule les tableaux et les sentimens : le musicien voulant tout peind
peindre, tout exprimer, ne peindroit, n’exprimeroit rien. Mais chaque tableau , chaque sentiment doit être séparé par des interv
re séparé par des intervalles et des silences. On cite pour modèle de tableaux détachés, ces beaux vers du début des Elémens. L
entir que ce genre veut des passions douces, des sentimens naïfs, des tableaux gracieux, et un style qui soit toujours conforme,
ferment des actions particulières, des événemens, des situations, des tableaux dans lesquels ces trois intérêts se trouvent réun
plus sublimes beautés. Que de peintures fortes et touchantes, que de tableaux brillans et magnifiques, que de grands traits de
an par une seule embouchure. Enfin le poëme épique a été comparé à un tableau où l’on voit une figure principale qui frappe par
ec tout ce qu’elles peuvent avoir d’utile et d’attrayant. Ce sont ces tableaux divers ou opposés entr’eux, et que le poëte expos
noit, étoit la proie du soldat avide ». Quelle belle horreur dans ce tableau  ! Et cependant cette traduction de l’abbé des Fon
u dans la foule des morts ». Le poëme de la Henriade abonde en riches tableaux . La description de l’assaut livré à la ville de P
les rebelles, Il moissonne en courant leurs troupes criminelles. Les tableaux ne saursient être trop variés dans l’épopée. Tous
vues jaillir du sein d’un rocher et serpenter dans des prairies : ces tableaux jadis si rians, ne servent plus qu’à nourrir leur
rable dans tous les détails, écrit d’un style enchanteur, et plein de tableaux tour à tour sublimes et rians. C’est l’heureux fr
n croissant ; les caractères y sont variés et toujours soutenus ; les tableaux , les peintures diversifiées, s’y succèdent avec u
la plus grande énergie. Milton a copié ce poëte dans plusieurs de ces tableaux  ; et il paroît même qu’il a pris dans la Sarcothé
grand maître, tels que la mort de Coligny, la bataille de Coutras, le tableau de Rome, le départ de Jacques Clément, l’attaque
53 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
te à cette belle scène quelques ornements analogues au ton général du tableau , comme un pont jeté sur la rivière, la fumée qui
aturelle avec les idées qu’ils représentent, tandis qu’une statue, un tableau offrent une ressemblance parfaite avec l’objet im
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
politique, qui, en remettant sous les yeux du peuple qui l’entend le tableau de la gloire et de la prospérité passées d’Athène
me moi, et la grandeur de la patrie qui arme votre bras, n’est pas un tableau qu’il suffise de contempler sous le pinceau de l’
55 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
ts qu’il touche, et dont il cueille la fleur. Il excelle à tracer des tableaux littéraires où l’on admire un savoir attrayant, d
rendre encore son goût plus pur et plus sévère ; cet enchaînement de tableaux historiques, d’anecdotes racontées avec l’esprit
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
ls pittoresques de sa correspondance. 3. Ce coup de pinceau vaut un tableau . 4. Cet archevêque d’ancien régime ne serait plu
le aujourd’hui. 1. Écrasés par les roues. 2. Cette esquisse vaut un tableau . 3. J’aurais, ce me semble, ajourné ce détail qu
le que votre piété mérite. » 1. Ce trait fait sourire 2. C’est le tableau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant
57 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
esseurs que la ressource de glaner après lui. Il excelle à tracer des tableaux littéraires où l’on admire un savoir attrayant, d
ssemble le plus, une comédie vive, dégagée, pressée, non pas un grand tableau d’art, qu’on aurait peu le loisir d’étudier, mais
rendre encore son goût plus pur et plus sévère ; cet enchaînement de tableaux historiques, d’anecdotes racontées avec l’esprit
58 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
Térence a un genre tout différent de Plaute : sa comédie n’est que le tableau de la vie civile ; tableau où les objets sont cho
férent de Plaute : sa comédie n’est que le tableau de la vie civile ; tableau où les objets sont choisis avec goût, disposés av
au, ou du moins l’emploi nouveau d’un mot ancien : on les appelle des tableaux . C’est le changement de la scène entière qui se p
présents sur le théâtre174 ; on imagina de le remplacer par le mot de tableau . Ainsi une pièce en quatre actes et en quinze tab
r par le mot de tableau. Ainsi une pièce en quatre actes et en quinze tableaux signifie qu’il y a quinze changements de scène ou
59 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
sur chaque poète, les notions nécessairement très resserrées dans le tableau d’ensemble qui précède chaque siècle. Enfin nous
uterpe m’allaita.     Adieu, vieille forest, adieu testes sacrees, De tableaux et de fleurs autrefois honorees, Maintenant le de
jaunes, rouges et perses185, Ne me pouvant saouler186, ainsi qu’en un tableau , D’admirer la nature et ce qu’elle a de beau, Et
chanter avril et mai ; — il traduit Anacréon (1555), dont les petits tableaux sont faits, comme on a dit, pour être gravés sur
nt même plus. — Depuis que Sainte-Beuve l’a remis en lumière en 1828 ( Tableau de la Poésie française au xvie  siècle), ses biza
e nos temples vivans466 sortira ton renom. « Tel est en cet estat le tableau de l’eglise ; Elle a les fers aux pieds, sur la g
quelques passages de poètes dont les noms ont trouvé place dans notre tableau de la poésie au xvie  siècle, et dont les uns tou
tous lieux et en tous temps, et groupe à tous les plans de ses nobles tableaux , de nobles figures autour des figures principales
olutions sanglantes de l’empire de Byzance. Tel est l’ensemble de ses tableaux , telles sont la physionomie de ses personnages et
 ? La satire ne sert qu’à rendre un fat illustre : C’est une ombre au tableau qui lui donne du lustre. En le blâmant enfin, j’a
n rameuse. De ses trois tragédies romaines, Britannicus (1669) est un tableau vigoureux d’après Tacite. Bérénice (1670), une « 
souvenir, Pourra suivre le fil d’une histoire si belle, Et laisser un tableau digne des mains d’Apelle Aux siècles à venir ? Q
eux pour modèles, Et de leurs vernis infidèles Obscurcis tes brillans tableaux . Flatté de plaire aux goûts volages, L’esprit es
ant son trône inaltérable Sur les empires écroulés ! Eût-il, sans ce tableau magique Dont son noble cœur est flatté, Rompu le
siasme à son appel : Sainte-Beuve (1804-1869), qui publia en 1828 des Tableaux de la poésie française et du Théâtre français au
auvre et content, sans lui demander rien. Le début du Grillon est un tableau d’intérieur simple et gracieux ; Au coin de l’ât
omme Paul Delaroche, son contemporain et son ami, auteur d’un célèbre tableau des « Enfants d’Édouard », auquel il a dédié le d
e m’assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N’éprouve devant eux ni char
ons, qui ont fait deviner à son imagination et mis dans sa poésie ces tableaux retrouvés des régions bibliques, et qui ont toujo
(Premières poésies. Le saule, fragment. — Charpentier, éditeur.) Tableaux I. Combat de louves Comme on voit dans l
e, celui qui fera vivre la partie la plus originale de son œuvre, ses tableaux de voyages, est un art achevé de peindre et de gr
tracé d’abord une image légère dans l’idylle de Marie (1831),puis un tableau étendu dans l’épopée rustique des Bretons (1846),
de nous, sur la limite des temps antiques et de l’ère chrétienne, les tableaux que la nature et la foi offraient à son pinceau.
E PÂTRE. Je cherche autour de nous ces gémissantes voix Et ces mornes tableaux , et ce deuil que tu vois : Un large rayon d’or fl
perdu souvent de longues heures À contempler, rêveur, le merveilleux tableau Qui rayonne, qui tremble et rit au fond de l’eau 
ils antérieurs, nous rencontrons à chaque page, gravés et peints, des tableaux saisissants de la Grèce et de la Judée antique, d
vait peindre, au moins esquisser d’une touche brillante un vif et gai tableau . 59. On imputait à Marot des Adieux satiriques a
lé, Panjas ; il a à cette occasion des sonnets qui sont de véritables tableaux de genre, et qui rappellent à leur manière les sa
nesse), — cadres disparates et grimaçants qui renferment de charmants tableaux de détail. 165. Cf. Élégie contre les Bûcherons
e, le mouvement de l’inspiration lyrique. 238. Voilà en deux vers un tableau parfait : fond, personnage, attitude, tout y est.
ement. Or dedans ceste gallerie couverte se monstroit une infinité de tableaux , faits de la main de quelque gentil ouvrier : ent
Entre ces colonnes sont mises les graces de ce miroir, enchassees en tableau fort bien elabouré de petites vignettes, lierres
280. Sic. Voyez plus bas la note. 281. On remarque les traits d’un tableau champêtre épars de ces vers tour facile et coulan
s de pitié. — Accoler, mettre les bras autour du col. 284. Encore un tableau qui fait un contraste touchant avec celui des dan
Colletet, le poète crotté de Boileau, raconte, nous dit Sainte-Beuve ( Tableau de la poésie française au xvie  siècle) à la suit
’amateur de prunes ; c’est l’esquisse, moins l’intention ironique, du tableau de La Bruyère (XIII), Horace, Epod. II : Ut garn
t comme perlee. Pelletier du Mans (voir les Poètes du xvie  siècle, tableau préliminaire) : Alors que la vermeilhe aurore Le
échanges). 480. Les images précises, les contrastes crus de te court tableau sont plus expressifs et aussi éloquents que les i
sobres et nets y peignent la nature ! Quelles esquisses charmantes de tableaux rustiques et domestiques ! En voici quelques autr
musique. — Voir Saint-Marc Girardin, Cours de littér. dram., LI. — Un tableau célèbre de Gérôme représente Corneille lisant à Q
abord faire produire un gain à la terre, puis paître. 1033. Ce petit tableau est un modèle de grâce et de fraîcheur. Cf. Virgi
r des bergers et avait sur vécu. (Voir, à l’École des beaux-arts, les tableaux , prix du concours pour l’École de Rome, de MM. Ba
usion à l’innovation de la tragédie en prose, ou drame (voir supra le Tableau de la poésie au xviiie  siècle). 1108. « Y a-t
des vers grecs ; mais j’oserai donner une légère esquisse de ce petit tableau … » Et, à la suite de sa traduction. Voltaire ajo
it J.-B. Rousseau. 1161. Mercier (1740-1814), célèbre depuis par son Tableau de Paris (1781), avait, dans un Essai sur l’art d
adémie. 1166. Voir nos Prosateurs. 1167. Qui n’est rien moins qu’un tableau raisonné des connaissances humaines. 1168. Le mo
pour les colorer. 1193. Ier chant. L’art de changer les paysages en tableaux  ; les jardins libres et les jardins réguliers, ou
tal ; VII, VIII, le règne animal). À la fin du Ier chant se trouve le tableau , souvent cité, du coin de feu ; dans le VI, le ca
t vu en Arcadie, en Italie, en Sicile (Bucoliq., LXXVI) les lieux des tableaux et des scènes qu’il rêve ; son imagination, plein
tinisme : unguis, unguia, sabot [des Centaures]. 1241. Ce dramatique tableau est esquissé en quelques vers dans l’Odyssée, XXI
es Idylles, fidèles au sens du mot (εἰδύλλιον, petite image) sont des tableaux courts, mais aussi achevés. Telle la Jeune Tarent
sses poétiques : « J’en pourrai faire un quadro », un cadre, un petit tableau , et l’esquisse attendait dans son portefeuille ou
ge de la mort qui attendait le poète. — On voit, au centre du célèbre tableau de M. Muller (Le Dernier appel des condamnés) Ché
xprimée sur le visage de l’Empereur le pinceau de Meissonier dans son tableau intitulé 1813. — Mais ici Spem vultu simulat, pr
ent quelque chose de plus net et de plus précis. Par exemple, dans le tableau des Laboureurs, le mot usuel et champêtre vient s
es travaux et des instruments agricoles, tout y a, avec la poésie des tableaux de Léopold Robert, la vérité rustique de ceux de
beuse. Il faut en tempérer l’impression par la vue du simple et grand tableau de L. David, que la gravure a popularisé. 1343.
es autres poètes romantiques, Je sentiment très vif de l’harmonie des tableaux de la nature et des œuvres de l’art. À chaque pag
e sur la route des siècles ; de distance en distance, il y suspend un tableau , une « petite épopée » (sous-titre de la première
rien la chaîne du récit se continue ininterrompue ; chez le poète les tableaux sont espacés et se détachent, sur les vides qui l
369. Est-il nécessaire de signaler à l’attention le dessin parfait du tableau qui encadre entre les larges et éclatantes perspe
allégorie originale et touchante, développée en un large récit et en tableaux successifs. C est le « drame » de la bouteille. L
leur nom allemand à la ville de Baden. 1405. Voilà un drame en deux tableaux . Et quelle âpre éloquence dans la brièveté du sec
hèvre au cytise embaumé. 1410. Voyez dans l’Aveugle de Chénier des tableaux intercalés ainsi dans une énumération. 1411. Tr
elle à esquisser en un ou deux traits, à la fois larges et précis, un tableau que l’imagination du lecteur saisit au passage et
t donne un exemple de sa « manière ». On rencontre çà et là de petits tableaux parfaits. En voici deux. Le premier est pris sur
rge développement des périodes précédentes, et, arrêtant les yeux sur tableau final, le fixe dans l’imagination. 1445. Ces pl
eurs de la poésie, ce livre est achevé au pied du Christ. » 1485. Tableau pur, calme et grand ; vers colorés et pleins, d’u
de son mari, mort le jour même de ses noces. 1488. Comparez avec ce tableau celui des funérailles de Louise (Brizeux, Marie).
n trait et d’une expression sont semblables. Le rond et la couleur du tableau , la saison et le ciel diffèrent. 1489. Le maître
colie quand « les arbres s’effeuillent », mais qui se plaît mieux aux tableaux des travaux rustiques égayés sous le soleil arden
supprimer à rassembler son régime ? Mais il donne au drame un fond de tableau sévère et grand, et en élargit le cadre. — Philip
et harmonique, des vers de Saint-Amant, p. 310, n. 2. 1535. Dans ce tableau , la sobriété du trait et la précision du vers, co
citée plus bas : Bords du Gange, soleil levant. — Virgile, dont tout tableau vrai et vivant de la nature rappelle le souvenir
543. Voilà un de ces vers amples et éclatants qui donnent le ton d’un tableau . 1544. Voyez une note plus haut : Juin. 1545. S
Son imagination rassemble et groupe ces traits et reconstitue tout un tableau de la vie de la tribu dans le désert. Voilà l’art
uit et du désert ; il offre d’ailleurs un contraste frappant entre le tableau et le cadre. Bivouac nocturne dans le désert. L
t l’étrange bivac que la nuit enveloppé Dans un cadre d’Asie offre un tableau d’Europe. Les pieds heurtent souvent les sabres a
cette vigoureuse esquisse de la nature septentrionale à la suite des tableaux frais ou éclatante des mondes asiatique et africa
60 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
outer encore. Lorsqu’il ne s’agit que d’exposer un fait, de tracer un tableau rapide, de s’abandonner à un sentiment, dans cert
toutes ces esquisses, et les faire entrer de gré ou de force dans des tableaux réels. Mais cela n’empêche pas ces travaux prélim
rselle. De l’énumération relève tout l’artifice des descriptions, des tableaux , des portraits, des parallèles, une grande partie
61 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
e, et où il revint cependant pour mourir. M. Villemain, en traçant le tableau du dix-huitième siècle, s’est naturellement beauc
blait pas avoir regardé la nature extérieure. Il y a de plus, dans ce tableau d’une nature paisible et heureuse, opposé aux scè
econnaissant la voix d’un de ses anciens compagnons d’armes, forme un tableau plein d’un intérêt de religion et de chevalerie a
62 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
s endroits et ne branleront pas à ceux qui sont bons ; qui, voyant un tableau ou écoutant un concert de musique, blâment de mêm
si touchantes, qu’il doit être respecté avec ses défauts. Ce sont des tableaux de Léonard de Vinci qu’on aime encore avoir à côt
intérieur : mais lorsque l’âme est agitée, la face humaine devient un tableau vivant, où les passions sont rendues avec autant
vrir de haillons et de tendre la main, à l’exemple des mendiants. Ces tableaux , où l’on ne retrouvait plus l’empreinte de la mai
ni les Tuileries, En leurs superbes galeries, N’ont point un si riche tableau . Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment
nir, Je redouble en leur cœur l’ardeur de le punir : Je leur fais des tableaux de ces tristes batailles, Où Rome par ses mains d
 Combattaient seulement pour le choix des tyrans495. « J’ajoute à ces tableaux la peinture effroyable « De leur concorde impie,
de ce morceau, des considérations pleines d’intérêt de M. Villemain ( Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, xve  le
nelle ; la troisième, historique et philosophique contient le sublime tableau des révolutions des empires. 113. Louis XIV, lor
s sèchement des passages, mais il présente des traits qui forment des tableaux  ; et il fond si bien les pensées de l’Écriture av
 Jean Chrysostome sur l’aumône, et traduites par M. Villemain dans le Tableau de l’éloquence chrétienne au quatrième siècle, in
145. Quelle belle et vive opposition ! quel saisissant et pathétique tableau  ! l’éloquence humaine saurait-elle aller au-delà 
x rapprochement pour montrer la distance « de l’ébauche vigoureuse au tableau achevé ». 161. Pour faciliter aux élèves l’intel
s, si on leur disait qu’un pédant est presque tout le contraire de ce tableau  ; qu’un pédant est un homme plein de lui-même qui
toujours est prête à s’admirer. 190. Pour animer ses récits ou ses tableaux , La Bruyère introduit à tout moment dans son livr
ription du parc de Chantilly ; et il paraît que tous les traits de ce tableau étaient encore reconnaissables en 1789. On sait q
onte. 278. « Au milieu du troisième siècle, dit M. Villemain dans le Tableau de l’éloquence chrétienne au quatrième siècle, l’
année, dans la salle extérieure de la Sorbonne, Rollin, en traçant le tableau du plan d’éducation suivi par l’Université, avait
que continue de chefs-d’œuvre ». Il mentionne en particulier ces deux tableaux comme « également parfaits », et cite le premier,
ge avait été fait une première fois par d’Alembert), en outre dans le Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 14e et
usement M. Villemain. L’imagination de l’auteur a d’ailleurs, dans ce tableau , singulièrement modifié la vérité historique. Cal
par ses cruautés une célébrité odieuse. 330. M. de Barante, dans le Tableau de la littérature française au dix-huitième siècl
esprit et surtout cet amour immense des louanges et de la mode. À ce tableau il oppose la situation et le rôle qui étaient dig
nie du Christianisme, IIIe partie, liv. III, chap. vi ; M. Villemain. Tableau de la littérature au dix-huitième siècle. 332. R
la réception de Thomas Corneille, frère du grand poète, a retracé le tableau de la scène française avant l’apparition de Corne
’homme n’a pas toujours parlé ainsi en présence des grands et sévères tableaux de la nature sauvage. Il serait curieux, par exem
stoire naturelle du second, liv. VIII. 382. Ce portrait du héron, le tableau de sa misère supportée avec une insouciance résig
Mercure de France, numéro du 5 octobre 1778 ; M. Villemain, dans son Tableau , plusieurs fois cité, de la littérature au dix-hu
Barthélemy la quatrième et la cinquième leçon du troisième volume du Tableau de la littérature française au dix-huitième siècl
é justement au cadre adopté par Barthélémy de rétrécir la grandeur du tableau , en y mêlant les incidents sans intérêt d’une fic
t bien la précédente. Cela est plein de vie et de mouvement. Comme ce tableau de la paix est plein et achevé ! comme les quatre
age frappante de la fin ! Il faut voir dans Tibulle (Élég., I, 11) un tableau de la paix d’une couleur moins forte, et qui n’es
écorce a sa langue pressée. 462. Avant que d’avoir… 463. « Beau tableau en deux vers, dit André Chénier. C’est l’assurger
impitoyable bourreau. L’ébauche de Malherbe est devenue un admirable tableau  : C’était un bel enfant qui fuyait de la terre ;
e montre dans cette pièce le même que dans Horace, et l’ordonnance du tableau est cette fois bien supérieure : les trois unités
re littéraire du siècle, et plus l’on sera frappé de la perfection du tableau . Chaque trait de cette pièce est une peinture viv
e du personnage de Narcisse avec l’Iago de Shakespeare dans Othello : Tableau de la Littérature au xviiie  siècle. 740. Empois
du au sujet de Rousseau (IIe part., liv. Ier, ch  9), il faut voir le Tableau de la littérature au dix-septième siècle par M. V
, troublera bientôt cette confiante prospérité du méchant, et tout le tableau de ce bonheur passe devant ses yeux sans séduire
de littérature de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 5, sect. 2 et le Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, par M. 
dont elle ne s’est jamais écartée. 800. M. Villemain, en traçant le tableau du dix-huitième siècle s’est naturellement beauco
avail. Sur cette tragédie voy. la 35e leçon, de M. Villemain dans son Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle ; on peu
rosateur), Gust. Planche, etc. Voyez particulièrement la 53e leçon du Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, et la R
63 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
Tableau des arguments I La forme principale du raison
s et des arts) le passage qui commence par ces mots : — Opposons à ce tableau celui des mœurs du petit nombre de peuples, etc.
64 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
les traits, les circonstances qui caractérisent la chose, et anime le tableau qu'elle en fait des couleurs les plus vives et le
propre à passer brusquement d'une idée à une autre : O terre, quels tableaux décorent tes campagnes ! vous, riants vallons ; v
e récit de leurs jeux, de leurs amours, de leurs querelles ; c'est le tableau de la campagne et de la vie champêtre. L'églogue
e veut plus d'action et de mouvement ; l'idylle, plus de récits et de tableaux  : l'églogue met en scène ses bergers, l'idylle se
la montagne, les objets abaissés de la plaine. » Descriptions et tableaux . Une description est la peinture douce et rian
ion est la peinture douce et riante, ou vive et animée d'un objet. Un tableau présente les détails les plus intéressants que po
 ; elle se rattache à l'histoire profane. L'histoire naturelle est un tableau abrégé des objets que renferme le monde ; elle se
ue. Le roman. Le roman est une fiction ingénieuse qui offre un tableau de la vie humaine. Les épisodes qui entrent dans
65 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
e zèle et la tendresse de mon ami ; qu’il me mette devant les yeux le tableau des souffrances qu’éprouve la personne en faveur
aculté que l’orateur doit s’adresser ; il faut qu’il lui présente des tableaux qui, par leur éclat et leur vraisemblance, produi
les messages que s’envoient les deux armées, tout augmente l’effet du tableau . Le matin, les consuls rentrent dans le camp et a
en même temps un de ceux dont l’exécution est le plus difficile. Ces tableaux sont en général regardés comme des preuves que do
n commençait à vouloir faire mieux ; on essaya quelques esquisses des tableaux de la vie et du caractère des hommes, l’on introd
s des raffinements qui leur sont étrangers. S’il ne nous offre pas le tableau d’une vie réelle, que ce tableau, du moins, ait q
étrangers. S’il ne nous offre pas le tableau d’une vie réelle, que ce tableau , du moins, ait quelque chose de vraisemblable. Te
s images n’ont rien d’original : c’est une continuelle répétition des tableaux que nous ont laissés Virgile et ceux des poètes a
rreur de ce spectacle ! Mais le dernier trait est le plus frappant du tableau . Nous sommes conduits à travers des scènes lugubr
. Parnell, est surtout remarquable par la beauté des descriptions. Le tableau de l’ermite quittant sa retraite pour visiter le
s ont senti toute l’importance ; aussi est-il rare de trouver un beau tableau de paysage sans quelque personnage qui anime la s
l’art de décrire. Virgile, dans le second livre de l’Énéide, fait un tableau si frappant du siège et de l’incendie de Troie, l
les de descriptions poétiques dans les batailles d’Homère et dans les tableaux que fait Milton des demeures célestes et des régi
si savante le pinceau de la nature. Il excelle, il est vrai, dans ses tableaux de mœurs et de caractère ; cependant ses scènes s
u Marchand de Venise, il offre en bien peu de mots à l’imagination un tableau plein de grâce et de naturel : How sweet the moo
raient sans grâce et sans vie. Aussi, pour apprécier la vérité de ses tableaux , il est nécessaire de nous placer dans la situati
t bien assortis ; l’animer par une grande variété de caractères et de tableaux , et, pendant tout le cours d’un long ouvrage, sou
ginable, si ses pensées sont faibles, si sa diction est lâche, si ses tableaux , dépourvus des couleurs de la poésie, n’ont rien
reuse expression du poète : toutes les circonstances de cet admirable tableau sont aussi touchantes et aussi naturelles qu’il e
ité, nous amuse par la diversité de mille incidents curieux, de mille tableaux pleins de naturel et de vérité, et nous instruit
ariété de scènes pleines de tendresse et de magnificence. À l’affreux tableau d’une ville livrée pendant la nuit aux flammes et
e éprouver le spectacle des régions infernales. Il règne dans tout ce tableau une philosophie sublime que le génie platonique d
da mieux que lui le talent de raconter et de décrire. Les scènes font tableau , les événements se passent sous nos yeux, et tout
les convenaient mieux au caractère de Fénelon. Il a mis dans tous les tableaux de ce genre un ton aimable et tendre qu’il serait
sublimes. La description de l’enfer et des légions d’anges déchus, le tableau du conseil infernal, l’apparition et la conduite
plus tendres. Lorsque la scène se passe dans les jardins d’Éden, les tableaux sont toujours riants et gracieux. Ses description
ages qui jouent un grand rôle sur la scène de la vie ; l’autre est le tableau des faiblesses, des travers et des folies des hom
’un auteur nous intéresse en faveur de la vertu, lorsqu’en traçant un tableau des vicissitudes de la vie, il excite notre compa
Représenter ainsi les passions en poésie, c’est produire l’effet d’un tableau où le peintre aurait fait sortir de la bouche de
grandes infortunes, ni les grands crimes des hommes ; elle retrace le tableau de leurs extravagances, de leurs vices ; elle sai
lque intrigue française ou espagnole, mais bien de nous présenter des tableaux dont les originaux se trouvent parmi nous, de pou
on peut l’exprimer ; le silence alors ressemble au voile qui, dans le tableau de Thimante, couvrait le visage d’Agamemnon ; ou
; ou ces feuillets déchirés par la Muse de l’histoire, dans le fameux tableau de Chantilly. C’est par le silence que, dans les
la férocité, la taille et le courage des Germains, est un exemple de tableau historique exécuté de la manière la plus simple,
artager son enthousiasme, que notre cœur s’épanche en présence de ses tableaux , et brûle des sentiments qu’il exprime. » Le repr
λουμένος Ὠκεανοῖο. (Iliados lib. V, v. 4.) 28. Souvent dans vos tableaux placez des spectateurs, Sur la scène des champs a
e La présence de l’homme est nécessaire aux arts ; C’est lui dans vos tableaux que cherchent nos regards. (Delille, l’Homme des
66 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
onde, c’est la peinture de la vie humaine, analyse fine et narquoise, tableau grossier, naïf, plein de naturel et de vérité. Ce
n pénétrant dans tous ses replis les plus cachés ; il affectionne les tableaux de famille, il entre dans tous les détails et les
67 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
de son style le sel d’un esprit gaulois. Il esquisse en se jouant des tableaux frais et souriants. Il est classique, par une fac
t une façon plaisante de dire : Je mourrai bientôt. 4. Ces vers font tableau  : le trait est sobre, net et précis. 5. C’est de
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
premiers dont l’imagination a subjugué celle des autres ». Aprés un tableau rapidement esquissé de l’état de la langue frança
rle goût et littérature : ce sont des traits hardis détachés du grand tableau de la nature, et présentés dans toute leur force
69 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
languissante, et le style paresseux, tandis que l’accumulation forme tableau non-seulement en cet en droit, mais encore dans l
inutile de faire remarquer la naïveté et la fidélité des trois petits tableaux que renferme cette lettre. Le premier est tracé p
les sonnettes, la litière, tout est là, rien n’est oublié. Ce second tableau est d’un autre genre : nous voilà au milieu d’une
, sans guides, sans secours, au milieu de la pluie. Enfin, le dernier tableau , qui n‘a que quatre traits, est fort pittoresque 
intérieur ; mais lorsque l’âme est agitée, la face humaine devient un tableau vivant, où les passions sont rendues avec autant
pelle, il revient ; je fais signe, il me suit. Les deux vers forment tableau mouvant ; on voit le chien qui va et vient au com
espèce de teinte semblable à celle que le temps répand sur les vieux tableaux . On remarquait qu’en quelques endroits sa robe av
peste, et prend une teinte gracieuse et mélancolique au moment où le tableau se termine.    Le lion, en ouvrant le conseil, pa
’agneau. La meilleure raison, c’est celle du plus fort. » Guyet. Tableaux et descriptions. Modèles. N° 100. — L
soir dans les couchants de ces parages ; ce paysage n’était point un tableau colorié : c’était une simple estampe, où se réuni
. Dieu m’a découvert une retraite favorable à mes vues : ce riant tableau d’une solitude qu’aimait à se créer notre imagina
t vu jaillir du sein d’un rocher et serpenter dans les prairies ; ces tableaux , jadis si riants, ne servent plus qu’à nourrir le
de l’homme éteint la demeure dernière. Un cimetière aux champs ! quel tableau  ! quel trésor ! Là ne se montrent point l’airain,
lle, Et qu’une vigne étreint de sa verte dentelle     ; Voilà tout le tableau  ; sept marches d’escalier ;    Sonore, chancelant
et majestueuse beauté. Girodet. Modèles de Décompositions de Tableaux ou Descriptions. N° 136. — Le combat du tau
les détails se sont présentés à notre imagination. Tel est l’effet du tableau . Les figures sont peu nombreuses, et c’est à pein
re en quelques mots le portrait du taureau ; mais admirons comment le tableau devient vivant quand le combat commence. Le style
ère l’étouffe, il tombe enfin épuisé de douleur, vous aurez encore un tableau plein de vie et de coloris ; mais rien ne disting
 Une bataille. Cette composition n’est pas seulement un magnifique tableau  ; c’est encore une réunion de petits tableaux des
seulement un magnifique tableau ; c’est encore une réunion de petits tableaux dessinés comme à part et figurant dans le tableau
réunion de petits tableaux dessinés comme à part et figurant dans le tableau principal qui, sans eux, serait incomplet. Ici c’
rangs d’un bataillon est neuve et repose un moment l’esprit après le tableau du commencement du combat. Celle de la mer qui se
ux torrents.  Le poète y réunit les deux espèces d’harmonie. C’est un tableau d’un autre genre, mais tout aussi imposant et gra
. Cela est tendre et mélancolique, et a son genre de mérite. Le petit tableau de ces deux amis qui meurent frappés du même coup
s petites circonstances rehaussent aussi d’une manière remarquable le tableau de ce cavalier tué par un boulet. Son coursier bo
rvations n’empêchent point cette composition d’être un des plus beaux tableaux de la poésie française. Elles prouveront que, pou
Voici une description à laquelle on serait tenté de donner le nom de tableau , à cause de sa perfection ; mais l’esprit se refu
aux. Ce n’est donc qu’une description, mais elle contient deux petits tableaux charmants. Le premier est le travail du temps, qu
l’hypotypose jette dans le style une rapidité entraînante. Le second tableau est à la fin ; il est extrêmement gracieux. Ces î
Les bonnes descriptions présentent assez ordinairement une suite de tableaux qui concourent tous à la perfection de ce genre d
minutieux détails, l’intelligence ne peut tout saisir, et l’effet du tableau étant manqué, il ne reste qu’une description ; il
l’excellence du style descriptif, et, l’on peut dire alors qu’il y a tableau . L’ivresse du pauvre est un de ces petits chefs-
milieu de ses chants d’allégresse. Tous ces détails forment autant de tableaux séparés que le talent de l’écrivain place les uns
le talent de l’écrivain place les uns à côté des autres pour faire un tableau général. Remarquons l’adresse du poète qui bannit
airement sobres, ils ne s’enivrent que quelquefois. Regardez donc mon tableau avec attention. Vers le soir. Dans les villes o
iné ; c’est le chef-d’œuvre de Le Brun. Toute l’église était parée de tableaux , de devises, et d’emblèmes, qui avaient rapport a
ns de Narrations. N° 222. — Mort de Polyphonte. Forme. — Le tableau qui commence cette narration a un caractère sévèr
grand nombre de beaux tropes qu’il est inutile de faire remarquer un tableau tracé de main de maître. Cette confusion étrange,
u jusqu’à l’adieu solennel, qui prépare le dénouement. Vient enfin le tableau du sacrifice, il est sombre et lugubre ; le drame
70 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
a présence consolante d’un Dieu contribuait efficacement à adoucir le tableau des misères humaines. C’est à l’école de Bossuet
églogue de Ruth, le modèle le plus accompli de ce genre d’écrire, le tableau le plus touchant de l’innocence des mœurs patriar
th heureuse, en lui disant adieu ». Il manquerait quelque chose à ce tableau divin, si le bonheur de la bonne Noémi n’en termi
71 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
adrent souvent que d’un seul côté ; le reste est là comme ornement au tableau , pour délasser l’esprit, pour varier le ton. Ce s
il faut qu’on aperçoive dans son style ce ton qui plaît dans un beau tableau . » Aujourd’hui enfin l’on demande encore mieux.
» Et dans son cinquième livre, quel charme n’ajoute pas l’allusion au tableau de la visite de Sophie dans l’atelier du menuisie
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
exe, s’il prête au développement, on peut le détailler et en faire un tableau par l’énumération des parties qui le composent. R
irconstances se développent avec art ; elles s’animent pour offrir un tableau pittoresque : la composition prend de la chaleur
73 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
les aciers brunis7. La main se réfléchit sur les meubles vernis ; Nul tableau sur les murs ne fait briller l’image D’un pays me
ce1, Et toujours d’âge en âge encor, je vois la France Contempler mes tableaux et leur jeter des fleurs. Jeune postérité d’un
74 (1875) Poétique
es bêtes hideuses, des cadavres, nous les voyons avec plaisir dans un tableau , lors même qu’ils sont rendus avec la plus grande
ci excellait dans la peinture des mœurs : on n’en voit point dans les tableaux de Zeuxis. Il en est de même des paroles et des p
mais qui puisse aussi être embrassée tout à la fois et faire un seul tableau dans l’esprit. Quelle sera la mesure de cette éte
arquée : comme dans les Cypriens de Dicéogène, où le héros, voyant un tableau , laisse échapper des larmes ; et, dans l’apologue
en ils doivent travailler les endroits faibles, qui ne fournissent ni tableau de mœurs ni pensées. Mais aussi quand il y a des
75 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
, choisis par le sort dans tous les rangs du peuple, quel trouble des tableaux pareils à celui-là auraient jeté dans les âmes, p
 : — « Voulez-vous conserver vos biens, vos maisons, vos statues, vos tableaux , votre vie et vos plaisirs que vous aimez plus en
e, nous aurons ici un jour une belle pépinière de petits Catilinas17. Tableaux satiriques, portraits chargés, saillies imprévues
76 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
ers temps de la République et aux premiers de l’Empire. Ce magnifique tableau du pouvoir et des avantages de l’art oratoire exp
sions sur leur art, mais ils passent des années entières à copier les tableaux des grands maîtres. » La meilleure leçon pour l’é
77 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
’est sur celle des circonstances que roulent presque tout entiers les tableaux , les descriptions, les récits, que le fond en soi
l était, et cette ombre fera en même temps ressortir les jours de son tableau . « M. le Tellier ne ressemble pas à ces âmes oisi
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
out par sa traduction des Géorgiques que Chateaubriand comparait à un tableau de Raphaël copié par Mignard. On lit encore avec
margelle, Et qu’une vigne étreint de sa verte dentelle, Voilà tout le tableau . 4. Aujourd’hui, les instituteurs ne se reconn
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
ons recouvrent les confidences d’une âme supérieure ; et l’Allemagne, tableau brillant d’une littérature dont l’étude fut pour
u respect sans crainte, de l’empressement sans avidité. Assurément ce tableau n’est pas nouveau pour un roi, toutes les cours s
80 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
r envie à la pompe des princes, Se contente60 chez lui de les voir en tableau . Il voit de toutes parts combler d’heur sa famil
rivale. Il n’y a de merveilleusement dramatique dans Rodogune que le tableau formé par le cinquième acte. Cette grande et trag
r son coup d’essai, de faire, d’après les Phéniciennes d’Euripide, le tableau de la plus affreuse haine qu’on ait jamais vue. C
le de Malc insérés dans ce recueil ne seront pas lus sans plaisir. Le tableau de Malc et de sa vertueuse compagne s’occupant du
rner en ridicule la conversion de son héros, et, à la place de grands tableaux , de fortes peintures, au lieu d’intérêt et de pat
à nos maux en soutenant que tout est bien, et il charge tellement le tableau de nos misères, qu’il en aggrave le sentiment132.
très remarquables par la simplicité de l’intrigue, par la vérité des tableaux , dont l’auteur avait puisé le secret dans l’étude
Thompson, à qui il emprunta souvent des images, des vers, et même des tableaux entiers. Plusieurs années avant de le livrer à l’
est comme si vous lisiez Racine dans la langue de Louis XV : on a des tableaux de Raphaël, copiés par Mignard ; tels sont les ta
XV : on a des tableaux de Raphaël, copiés par Mignard ; tels sont les tableaux de Virgile, calqués par l’abbé Delille174. » Le
à l’original : ce n’est, comme dit Collé, que « l’estampe morte d’un tableau plein de vie ». Il n’y a rien de plus opposé à la
ne et coquette ; L’habile arrangeur de palette N’a vu, pour son petit tableau , Les champs qu’à travers sa lorgnette Et par les
ure classique, le paysage tient à peu près la même place que dans les tableaux de Raphaël, dans la Belle Jardinière, par exemple
r les ans effacée, Qu’un gothique écrivain dans la pierre a tracée. Ô tableaux éloquents ! oh ! combien à mon cœur Plaît ce dôme
de mon repos, je vivais dans les champs. Et quel poète épris de leurs tableaux touchants, Quel sensible mortel des scènes de l’a
être faite en faveur de l’Amour maternel, petit poème qui présente un tableau charmant copié d’après la Mère de famille de Greu
ne soit pas irréprochablement chaste, il a pu dire : Jamais dans mes tableaux l’obscène nudité Ne vient effaroucher la pudique
 Est une lame de rasoir ;     Sous un Plutus une Lucrèce ;     Sur un tableau récemment peint               Je vois un pain,   
annonce, finissons….       Adieu chansons ! Ma fortune est faite. Tableau de Paris à cinq heures du matin. L’ombre s’év
s d’Édouard, tragédie en trois actes, représentée en 1835, et dont le tableau de son ami Paul Delaroche lui avait fait naître l
t employées avec bonheur. Les Ballades de C. Delavigne sont de petits tableaux charmants par l’art de la composition et par le f
poème descriptif autant que narratif. Cette idylle est luxuriante de tableaux et de descriptions, brillantes toujours, mais que
je m’assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N’éprouve devant eux ni char
ainsi dire, nulle part : on voit passer sous ses yeux une galerie de tableaux lugubres ; quand on quitte le livre, on a l’âme e
ueil intitulé : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme. C’était le tableau déchirant des souffrances morales d’un pauvre jeu
i déjà bien des monts et des flots, Et vu passer le monde en magiques tableaux  ; Quand plus tard vous auriez égaré vos voyages,
e ta ville natale, Artiste, tu peignis une toile fatale, Et tu fis le tableau de sa perversité Avec tant d’énergie et tant de v
uisses excelle à raffiner une peinture ; il ne présente pas de larges tableaux pris dans le vif. Sa simplicité est affectée, son
lement avant sa mort. Le sujet offrait peu d’éléments dramatiques. Ce tableau de la lutte de la science contre l’autorité, de l
n même temps toujours pittoresque et représentant les objets comme un tableau , Ponsard a tenté de faire partager ce goût sain à
ritablement énergique, indiscutable, que lorsqu’il retrace les divers tableaux de la nature orientale. Qu’il dépeigne, dans les
in. 103. Ceci est une pure traduction d’Horace (Od. II, xiv). 104. Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 2e leço
176. Chant IV, v. 449 et suiv. 177. Chant V, v. 196 et suiv. 178. Tableau de la littérature française, ch. vii. 179. Crit
us grand descriptif du siècle, Leconte de Lisle n’offre aussi que des tableaux purement terrestres. 190. Lire en particulier le
81 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
ie siècle, par Ronsard et la Pléiade ? (21 juillet 1883). • Faire un tableau sommaire de la littérature française au xvie siè
s contribué à fixer la langue française ? (16 août 1882). • Tracer le tableau du progrès de la littérature française sous le rè
cer de disparaître au siècle prochain ? (6 novembre 1882), • Faire le tableau de la carrière littéraire de Bossuet. (12 novembr
que Antiphon, Lysias, Isocrate. Voilà, dans ses traits principaux, le tableau de la littérature grecque au siècle de Périclès.
atire toute politique. Les Épigrammes de Martial, renferment dans les tableaux licencieux qu’elles nous offrent, des traits de s
latter l’orgueil romain. Les prédictions d’Anchise à son fils sont un tableau flatteur de l’avenir de Rome ; le poète y a pris
et en grand peintre des passions humaines, les vivants et énergiques tableaux du sévère historien. Il tira largement parti de c
iade. Jean-Jacques Rousseau, qui nous a tracé dans ses Confessions le tableau de sa vie si tourmentée, si bizarre, n’a jamais c
la peste ; le poète, dans une sorte de prologue grave, nous trace un tableau effrayant du fléau ; puis le Lion tient conseil e
re parties ; 1º Histoire des événements politiques et militaires ; 2º Tableau du gouvernement intérieur ; 3º Progrès des lettre
ion oratoire de Bossuet dans l’oraison funèbre de Condé (chap. III) ; tableau animé de la Fronde Parlementaire (chap. IV) ; con
oisième partie, on mentionnera le chapitre XXXII, où Voltaire fait un tableau brillant de la Littérature au xviie  siècle. [
s les beautés de son divin langage. [3] (19 août 1884) Faire le tableau de la séance du Sénat, tenue à Rome le 8 novembre
e détails précis et d’expressions générales et nobles ; il en fait un tableau saisissant, où respirent l’enthousiasme et l’arde
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
moyen du langage, ce que l’on a conçu par le raisonnement : c’est le tableau fidèle de nos idées et de l’ordre dans lequel ell
expressives ; chaque phrase, chaque figure, contribueront à rendre le tableau plus frappant et plus complet. Tels sont, Corneil
83 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
es idées peut-être, mais point de style ; une esquisse, mais point de tableau  ; du dessin, mais point de couleur ; il ne faut d
terai de présenter aux jeunes gens, eurieux des termes techniques, le tableau des métaplasmes, ou altérations que peuvent subir
84 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
ge avait été fait une première fois par d’Alembert), en outre dans le Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 14e et
de : « Ces trois périodes, dit l’éminent écrivain, présentent tout le tableau de l’histoire du monde. Mais ce qui honore la sag
85 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
tion douloureuse de son âme. Ou voit avec quel plaisir il s’arrête au tableau de l’homme vertueux, avec quelle horreur il gliss
endrir sur leurs revers et pleurer avec nous sur leurs tombeaux. Quel tableau que celui de la mort de ce même Germanicus ! Quel
ayons à peine un asile pour nos Dieux domestiques ? Ils achètent des tableaux , des statues, des vases précieux ; ils détruisent
86 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
est exprimée avec clarté ; et, à mesure que le lecteur avance dans ce tableau si naturel, il saisit le plus heureux accord entr
voulons nous former une juste idée du style coupé, lisons l’admirable tableau que M. Villemain a tracé du commencement du règne
s grandes actions du jeune roi et devient flatteur. Voilà le brillant tableau qu’offrent les vingt premières années de ce règne
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
buts, ni déclin, et ses premiers croquis sont aussi étonnants que ses tableaux les plus achevés. Sa verve provoque sans efforts
tre fois par jour, il répétait sa harangue ; puis, passant du côté du tableau , il s’adressait une réponse gracieuse. On le surp
pas un mot, pas un geste où vous ne le reconnaissiez. Ce n’est pas le tableau de la nature, c’est la nature même ; elle est là,
88 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVII. Genre épistolaire. »
s hommes, mais encore toute la physionomie d’une époque : le meilleur tableau du règne de Louis XIV est certainement le recueil
89 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
us les recueils, elles les accompagnent. Nous voulons parler : 1° des tableaux littéraires qui ouvrent chaque siècle ; 2° des gr
ritent une place à la suite des écrivains les plus considérables. Les tableaux littéraires ont pour objet, dans notre pensée, de
dre général des portraits isolés : les notices sont ces portraits, le tableau est ce cadre. Il était utile de rassembler ces gr
vont, où ils se rencontrent, où ils se séparent. Réunis ainsi dans le tableau préliminaire du siècle qu’ils conduisent, chacun
ns secondaires pourront encore faire bonne figure, et complèteront le tableau du siècle. Hâtons-nous d’ajouter que c’est aux xv
pour fournir à notre moisson. Nous ne prétendons point que nos quatre tableaux littéraires, les portraits des grands écrivains q
n combinant de notre mieux cette double méthode de classement. Si les tableaux généraux sont utiles et les notices particulières
sobre d’appréciations purement littéraires. Nous avons pensé que les tableaux que nous offrons tout d’abord au lecteur, que les
vons recueilli et groupé les principales dans un appendice spécial au tableau des prosateurs du xvie  siècle, une des parties l
ce long âge, entre le sombre Calvin et le sceptique Montaigne. Notre tableau , forcément écourté en ses détails, mais complet e
eur de grande suitte et préjudice. Mais qui se présente comme dans un tableau cette grande image de nostre mere nature en son e
oit à dissimuler la douleur qu’elle en portoit en son cueur ; mais un tableau la descouvrit à la fin quoy qu’elle se fust au de
et son refuge au sortir de la mêlée de la vie. Tel est le plan de son tableau . Au centre, il a placé le roi (chap. x, du Souver
a vu et lu sort palpitant de sa plume et se grave sur le papier. Ses tableaux et ses innombrables portraits sont la vie même. U
(Hachette et Cie), par M. de Boislisle. Mort du « Grand Dauphin ». Tableau de la cour486 L’agonie sans connoissance dur
ique avec les trois mille pages de manuscrit dont il tirera plus d’un tableau pour le Génie du Christianisme, qu’il écrit dans
t jamais meilleur citoyen, sans le dire, sans le savoir » (Villemain, Tableau de la litt. au xviiie  siècle, xe leçon). Avan
and choeur de musique ; ses yeux ne distinguent point d’abord dans un tableau les gradations, le clair-obscur, la perspective,
prend peu à peu l’esprit des bons artistes. On s’accoutume à voir des tableaux avec les yeux de Le Brun, du Poussin, de Le Sueur
ainsi ceux qui peignent les batailles mettent sur le devant de leurs tableaux les choses que l’œil doit distinguer, et la confu
oirs, et qui lui rend injures pour reproches. On le voit au centre du tableau  : il a l’air violent, insolent et fougueux ; il a
sais quel effet cette courte et simple description d’une esquisse de tableau fera sur les autres ; pour moi, j’avoue que je ne
de ses indécentes et plates marionnettes que Greuze ses deux sublimes tableaux . (Ibid.) Beaumarchais (1732-1799) N
nce (1733) est un journal et un album des cartons qui deviendront des tableaux dans les Études de la Nature (1784), dans les Har
, Virgile a pris Homère pour modèle ; car le poème épique n’est qu’un tableau de toute la nature. Virgile répand toujours les d
ez me répondre. Le ministre des finances ne vous a-t-il pas offert le tableau le plus effrayant de notre situation actuelle ? N
(1717-1783), fils adoptif d’un pauvre vitrier, par le vaste et savant tableau des connaissances humaines, mis, sous le titre de
rer cette restauration plus durable dont l’Occident va nous offrir le tableau . (Condorcet, Tableau des progrès de l’esprit hu
la plus sombre sembloit éclairer de ses ténèbres cet incendie. Quels tableaux ont brillé affreusement à sa clarté ! Je vois tou
igieux silence, l’ouragan, l’incendie et la prière. Comment rendre un tableau qui s’est offert en ce moment à mes regards ! Sur
cendie, l’étouffe, et rend à la nuit toutes ses ténèbres. Ah ! que ce tableau de Raphaël, que l’on voit au Vatican, est admirab
entin par ses séjours dans le Sahara et le Sahel, Th. Gautier par les tableaux incomparables qu’il rapporte de l’Espagne, de l’I
hodes, leurs rapides progrès et leurs merveilleuses découvertes. Leur tableau échappe à notre sujet et à notre compétence : mai
ut parler à l’imagination, les détails peuvent plaire, ils rendent le tableau plus vrai ; mais quand il s’agit de rapporter un
vers les forêts solitaires. La grandeur, l’étonnante mélancolie de ce tableau , ne sauraient s’exprimer dans les langues humaine
troupe, et qui se dessinaient dans l’ombre, achevaient de donner à ce tableau le caractère le plus pittoresque, surtout lorsqu’
ée ; j’ai bonne provision d’esquisses, pourquoi n’en ferai-je pas des tableaux où se pourrait trouver quelque air de cette vérit
lors que les travaux et la gaieté des cultivateurs animaient tous ces tableaux . Voulez-vous, Madame, une esquisse des scènes qui
ien ce que c’est qu’un Barbare et la vie d’un Barbare. Sans doute ces tableaux sont un peu idéalisés. Il y avait dans ce besoin
la Révolution française de 1789 à 1814 (1824), résumé substantiel et tableau animé ; les Négociations relatives à la successio
commença par jouer son rôle dans l’école romantique, d’abord par son Tableau historique et critique de la poésie française au
iteur.) Nisard (né en 1806) Si la critique littéraire est un tableau historique chez Villemain, une analyse psychologi
de style sobre et fin. Son étude sur Lesueur (1843), qui contient un tableau critique de l’histoire de la peinture jusqu’au mi
nt, à ne consulter que le prix qu’ils vendaient l’un et l’autre leurs tableaux , le paysagiste avait pour le moment une incontest
s où ils essayèrent de lui frayer son chemin. Enfin, à l’extrémité du tableau , cette grande figure vêtue de noir, au front larg
sévère, est en quelque sorte le résumé et la pensée morale de tout le tableau . Les Coloristes873 Parvenus à l’autre ex
oupes bizarrement chiffonnées ressemblaient à ces étoffes des anciens tableaux , jaunes d’un côté et bleues de l’autre. Tout cela
d’hommes d’armes, de patriciens et de pages, personnel ordinaire des tableaux vénitiens. Dans les batailles, c’est un chaos ine
e l’Odyssée par son Télémaque. Il règne dans la portion supérieure du tableau une sérénité lumineuse, une atmosphère élyséenne
le ordonnance majestueuse ! quel goût véritablement antique ! Dans ce tableau sans rival, l’art de Phidias et d’Apelles est ret
ndité d’invention, originalité des caractères, variété et coloris des tableaux , inépuisable richesse de la langue. On a relevé l
ernelles, sans éprouver un étonnement religieux ; mais, dans ce vaste tableau qui m’entoure, j’ai des sites favoris et que j’ai
a retrouver plus tard, au milieu de ses enfants, les souvenirs et les tableaux qui avaient laissé des traces ineffaçables dans s
rojets, et posséder à soi tout seul, pendant des saisons entières, le tableau grandiose de la nature à tous les moments de sa v
e sur les Calvinistes (9 octobre 1562). « Il faut voir dans Monluc le tableau de la bataille de Ver pour prendre une juste idée
xviie et xviiie  siècles a régné souverainement l’allégorie dans les tableaux , les fresques, dans les plafonds de Versailles, d
plastiques. 582. Sorte de fauteuil. 583. Elles l’ont été. Les deux tableaux sont au Louvre. 584. Beaumarchais, engagé dans u
au passage, qui sont comme des tons préparés sur une palette pour des tableaux futurs. Voyez, par exemple, sur les formes et les
oulins fait ici, sous le nom du despotisme soupçonneux des Césars, le tableau du despotisme des Terroristes, et flétrit particu
On voit l’ingénieuse surprise menagée par l’écrivain au lecteur. — Ce tableau a été gravé, copié et reproduit en tapisserie de
. C’est le mot du temps. Entendez : ému et éloquent. 653. Les grands tableaux de la nature, des arts, de l’histoire, éveillent
scène fameuse du cap Misène (Ibid., XIII, 4 et 5), popularisée par le tableau de Gérard, trop longue pour être transcrite ici,
Isaïe. 661. Produite par la mal’aria. Voy. au musée du Luxembourg le tableau célèbre de Hébert, qui porte ce titre. 662. Virg
à Rome comme le Poussin, son ami. Le Louvre possède plusieurs de ses tableaux . 666. André Le Nôtre (1613-1700), de Paris, créa
À 40 kil. S. E. de Naples. 675. Cf. Martyrs, XIX. Des passages de ce tableau y sont reproduits textuellement. 676. Corneille,
de Chateaubriand a pu ajouter à la réalité : mais, littérairement, le tableau est achevé. Et c’est la même plume qui a peint le
anard sauvage. — Et en même temps il fuit à l’autre bout du salon ». ( Tableau de la litt. franç. au xviiie  siècle, XLIVe leç.)
ers de chiourme (équipage de foiçats, rameurs sur les galères). 886. Tableau d’Ingres (de Montauban, 1788-1867), destiné au pl
rni d’un galon. 902. Le pinceau de Fromentin en a reproduit dans ses tableaux (voir une Chasse au faucon, Musée du Luxembourg).
x des trois parties de Paris est précédée, dans ce chapitre : 1° d’un tableau des agrandissements successifs de la ville recula
ssifs de la ville reculant de siècle en siècle son enceinte ; 2° d’un tableau d’ensemble de Paris, composé alors de la Cité dan
967. L’expression du sentiment de la nature et la description de ses tableaux tiennent une grande place dans la littérature con
90 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
e. Sommaire. Cette dissertation sur la campagne sera partagée en deux tableaux . 1er Tableau : Le matin. Pour caractériser cette
ette dissertation sur la campagne sera partagée en deux tableaux. 1er  Tableau  : Le matin. Pour caractériser cette première part
nimer la scène, le berger répandant son troupeau dans la campagne. 2e  Tableau  : Le soir. La description sera toute différente.
hètes ou expressions pareilles, réunies sur le même sujet, forment un tableau agréable, pourvu qu’elles ne soient pas trop nomb
91 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
mantiques  car on ne peut leur reprocher d’avoir rassemblé en un seul tableau une plus grande quantité d’objets et d’événements
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
ue de pinceau ! Il entraîne, il maîtrise, il possède son lecteur. Tableau de la cour à la mort de monseigneur 1 Jamais
ructive que le jour de la mort de ce prince. J’en vois encore tout le tableau devant mes yeux. Nous avions soupé. La compagnie,
93 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
ant dans le vaste champ des productions littéraires, j’ai présenté un tableau raccourci des quatre siècles, appelés par excelle
94 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
r, dans le palais de ses pères, il se trahit par ses larmes devant un tableau qui représentait Télamon. (Virgile a imité ce tra
95 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VII. Satire. »
nité publique. Elle ne doit pas remuer la fange ni étaler de cyniques tableaux , sinon elle corrompt les mœurs au lieu de les cor
96 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
mot ou la phrase peint quelque chose à l’esprit. L’image est donc un tableau . Quand le style est revêtu d’images, il prend de
l’aspect des magnificences de la nature, qui ne soit ému par un beau tableau , par une musique harmonieuse ; chacun se plaît à
97 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
de femme par la croupe hideuse d’un monstre marin : devant un pareil tableau , pourriez-vous, ô mes amis, vous empêcher de rire
resse qu’à l’oreille, et il agit moins vivement sur l’esprit, que ces tableaux animés dont l’œil fidèle transmet directement à l
ans un long poëme ? Il en est de la poésie comme de la peinture : tel tableau , vu de près, vous charmera davantage ; tel autre
yez, Pisons, 14qu’il sera tout-à-fait-semblable 15isti tabulæ, à ce tableau , 16le livre 17vanæ dont les idées vaines (confu
) 906au peintre-de-caractères habile 907d’observer-avec-soin 908le tableau de la vie et des mœurs, 909et de tirer de-là 91
taient la pitié des passants en portant, suspendu sur la poitrine, un tableau qui représentait leur infortune. On se rappelle c
u ; virtute carentia tollet…. On sait que Boileau a réuni en un seul tableau ces deux portraits si habilement indiqués par Hor
98 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
aucoup d’exemples de ce genre dans la tragédie. » Comparez Villemain, Tableau du xviii e siècle, IIIe partie, v e leçon.
99 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
iné ; c’est le chef-d’œuvre de Le Brun. Toute l’église était parée de tableaux , de devises et d’emblèmes qui avaient rapport aux
des plaisirs. Cette vérité s’est vérifiée dans la princesse palatine. Tableau de la Fronde : quel fut le rôle de la princesse p
tes les parties de cet ouvrage ; de même qu’un peintre place dans son tableau le jour, en sorte que d’un seul endroit il distri
une image vive et bien terminée, et former de chaque suite d’idées un tableau harmonieux et mouvant, le ton sera non seulement
campagne est mon unique asile. Du lieu qui m’y retint veux-tu voir le tableau  ? C’est un petit village, ou plutôt un hameau538,
de Tibère, a tracé, en imitant Tacite, avec une énergie éloquente le tableau de l’odieuse tyrannie que Rome supportait en sile
excellent morceau de M. Villemain sur les unités et le théâtre grec : Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 43e leç
lèbre où Bossuet, imitant saint Basile (Hexaméron), fait un effrayant tableau de la rapidité de la vie humaine, dans son sermon
r, sur cet orateur et ce discours, l’opinion de M. Villemain dans son Tableau de l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle. Cf
et vertus du défunt, remplissait l’église : on ne voyait partout que tableaux , emblèmes, rébus, inscriptions emphatiques à sa l
ence chrétienne ne craint pas d’exposer dans leur cruelle réalité des tableaux aussi humiliants pour notre orgueil, parce qu’ell
pelé notre Tacite et rapproché de Bossuet, il faut voir M. Villemain, Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, M. Nisa
t il avait conservé toute sa confiance. Saint-Simon, dans l’admirable tableau des vertus et de la mort de ce jeune prince, rema
ge avait été fait une première fois par d’Alembert), en outre dans le Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 14e et
vage passager, mais une fois souffert. » 337. M. de Barante, dans le Tableau de la littérature française au dix-huitième siècl
esprit et surtout cet amour immense des louanges et de la mode. À ce tableau il oppose la situation et le rôle qui étaient dig
nie du Christianisme, IIIe partie, liv. III, chap. vi ; M. Villemain, Tableau de la littérature au dix-huitième siècle. 339. J
Génie du Christianisme, IIIe partie, liv. IV, chap. v ; M. Villemain, Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, 22e leç
n croire Cicéron, dont l’autorité semble irrécusable » : c. iv de son Tableau de la littérature française. — « Cela même est l’
563. C’est-à-dire à couvert par son caractère de magistrat. 564. Ce tableau est d’un comique excellent. Par quelle habile gra
ent un très heureux effet, en ajoutant un dernier trait à l’effrayant tableau qu’ils présentent. Ces chutes uniformes peignent
onnage. » Quelle variété de tons et de couleurs, quelle succession de tableaux terribles, mêlés d’une gracieuse peinture qui en
IV, les feuilletons de Geoffroy et une leçon de M. Villemain dans son Tableau de la Littérature au xviiie  siècle (c’est la 3e)
aillé trop imparfaitement ses vers. 708. M. Villemain, en traçant le tableau du dix-huitième siècle, s’est naturellement beauc
s de littérature de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 8, sect. 3), le Tableau de la Littérature au xviiie  siècle de M. Villema
mme Horace et Pindare » : on admirera surtout le trait qui termine le tableau , ce trait « qui est à la fois d’un si grand effet
vain Bailly. M. Villemain a parlé de Gresset dans la 12e leçon de son Tableau de la littérature au dix-huitième siècle. Plus ré
rosateur), Gust. Planche, etc. Voyez particulièrement la 58e leçon du Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, et la R
tails familiers, relevés par l’élégance de l’expression, donnent à ce tableau une couleur antique pleine de naturel. On se rapp
rpasse encore son père (Iliade, ch. VI, v. 476 et suiv.). 783. Quel tableau  ! comme tous les traits se pressent, s’accumulent
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre premier. »
u’on ne soit donc pas étonné que, dans des temps bien postérieurs, le tableau désolant des malheurs qu’avait entraînés l’abus d
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