ui ont besoin d’être mis à un régime sain et substantiel. Il faut
souffrir
les humeurs incommodes Ce n’est pas assez pou
es trop froids. Ceux-ci contrediront sans raison, ceux-là ne pourront
souffrir
qu’on les contredise en rien. Plusieurs seront en
enversent et font sortir notre âme de son assiette ? Il faut donc les
souffrir
avec patience et sans s’émouvoir, si nous voulons
iter des avantages que l’on reçoit de leur société doit se résoudre à
souffrir
en patience les incommodités qui y sont jointes.
s n’en avons point de nous choquer de ce qu’ils font, et que, si nous
souffrons
d’eux, nous les faisons souffrir à notre tour. Ce
de ce qu’ils font, et que, si nous souffrons d’eux, nous les faisons
souffrir
à notre tour. Ces maux de nos semblables, si nous
faire l’aumône. Il s’exprime ainsi : Les temps sont mauvais ; chacun
souffre
; et n’est-il pas alors de la prudence de penser
e réprouvée, une prudence charnelle et ennemie de Dieu. Tout le monde
souffre
et est incommode, j’en conviens ; car jamais le f
les temps sont mauvais. Et que concluez-vous de là ? Si tout le monde
souffre
, les pauvres ne souffrent-ils pas ? Et si les sou
Et que concluez-vous de là ? Si tout le monde souffre, les pauvres ne
souffrent
-ils pas ? Et si les souffrances des pauvres se tr
être réduits les pauvres mêmes ? Or, à qui est-ce à assister ceux qui
souffrent
plus, si ce n’est pas à ceux qui souffrent moins
est-ce à assister ceux qui souffrent plus, si ce n’est pas à ceux qui
souffrent
moins ? Est-ce donc bien raisonner de dire que vo
; il se glisse dans l’estomac et s’y endort2. Alors on croit ne plus
souffrir
; mais on porte au dedans de soi un poids affreux
es, et que j’avais toujours été forcé d’interrompre en me disant : Je
souffre
trop, je recommencerai demain ; le quatrième a ét
emblait à peine à la convalescence. Mais l’égalité de son humeur n’en
souffrit
aucune atteinte. Valétudinaire aimable, il faisai
, pour en amasser, Il ne faut épargner ni crime, ni parjure ; Il faut
souffrir
la faim et coucher sur la dure, Eût-on plus de tr
es tas de blé vivre de seigle et d’orge ; De peur de perdre un liard,
souffrir
qu’on vous égorge. — Et pourquoi cette épargne en
sans crime Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis
souffrir
ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire, et
it par Jésus-Christ, Combattant pour l’Église, a, dans l’Église même,
Souffert
plus d’un outrage et plus d’un anathème. Plein du
rop ; retranchez-le, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en
souffre
. Un auteur qui a trop d’esprit, et qui en veut to
flatter. En le lisant, on l’aime et on le plaint, comme un malade qui
souffre
, même quand il a le rire sur les lèvres. Cette bo
de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Lorsque plus tard, las de
souffrir
, Pour renaître ou pour en finir, J’ai voulu m’exi
est juste, il est bon ; sans doute il vous pardonne : Tous vous avez
souffert
, le reste est oublié. Si le ciel est désert, nous
Dès qu’il redescend en lui-même, Il t’y trouve ; tu vis en lui. S’il
souffre
, s’il pleure, s’il aime, C’est son Dieu qui le ve
fant : tout le reste est sottise, enflure et vanité. Madame de Chevry
souffre
encore. Nous ne savons rien de nouveau, rien qui
pour moi ; je vous renverrais ce que vous me prêteriez ; j’aime mieux
souffrir
. Mais faites en sorte qu’on m’envoie tout l’argen
son lui a déplu ; toute la journée sera orageuse, et tout le monde en
souffrira
. Il fait peur, il fait pitié ; il pleure comme un
’un moment ; par la raison qu’il les a aimées, il ne les saurait plus
souffrir
. Les parties2 de divertissements, qu’il a tant dé
flatte, il insinue, il ensorcelle tous ceux qui ne pouvaient plus le
souffrir
. Il avoue son tort, il rit de ses bizarreries ; i
aquelle on me pût soupçonner de cette folie, je serais très-marri2 de
souffrir
qu’il fût publié. Jamais mon dessein ne s’est éte
que je voyais touchés de mon déplaisir. Ainsi je m’assure que vous me
souffrirez
mieux si je ne m’oppose point à vos larmes, que s
apport entre la perte d’une main et d’un frère3 ; vous avez ci-devant
souffert
la première sans que j’aie jamais remarqué que vo
rtune de votre tante qui a fait celle de votre père et la vôtre. Vous
souffrez
qu’on vous rende des respects qui ne vous sont po
n vous rende des respects qui ne vous sont point dus ; vous ne pouvez
souffrir
qu’on vous dise qu’ils sont par rapport à moi ; v
, qui, en effet, êtes peu de chose, et l’estime de votre prochain. Je
souffrais
bien, l’autre jour, de tout ce que vous fîtes à m
plus légère : Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on
souffre
est un soulagement. Confucius l’a dit ; suivons t
urir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique,
Souffrait
sans être plaint : il en souffrait bien plus. L’a
un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en
souffrait
bien plus. L’aveugle, à qui tout pouvait nuire, É
e à contredire les autres avec chaleur ne vient que de ce que nous ne
souffrons
qu’avec peine qu’ils aient des sentiments différe
ne manière impérieuse de dire ses sentiments, que peu de gens peuvent
souffrir
, tant parce qu’elle représente l’image d’une âme
paix avec les hommes, d’éviter de les blesser ; il faut encore savoir
souffrir
d’eux, lorsqu’ils font des fautes à notre égard :
rtune de votre tante qui a fait celle de votre père et la vôtre. Vous
souffrez
qu’on vous rende des respects qui ne vous sont po
n vous rende des respects qui ne vous sont point dus ; vous ne pouvez
souffrir
qu’on vous dise qu’ils sont par rapport à moi ; v
, qui, en effet, êtes peu de chose, et l’estime de votre prochain. Je
souffrais
bien, l’autre jour, de tout ce que vous fîtes à m
euries aussi petites que sont celles de Lucques et de Genève. Elle ne
souffrait
rien de servile dans l’esprit des artisans ; elle
onclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il
souffre
et qu’il fait souffrir, l’exhorte de donner par l
in par une mort volontaire à tant de maux qu’il souffre et qu’il fait
souffrir
, l’exhorte de donner par là à toute la terre la s
s : car quel est l’homme qui peut gouverner sagement, s’il n’a jamais
souffert
, et s’il n’a jamais profité des souffrances où se
les captives, les gages de votre tendresse traînés en esclavage, pour
souffrir
les insultes et les outrages d’un vainqueur barba
s dans la guerre contre Cinna, étant encore bien jeune ? Combien j’ai
souffert
en Sicile et en Afrique, avant même d’avoir attei
pas, ces Athéniens, se plaindre aujourd’hui des maux qu’ils ont fait
souffrir
! N’est-il pas juste de subir les lois qu’on a po
ous, nous sommes toujours les mêmes, et si nous sommes sages, nous ne
souffrirons
pas qu’on outrage nos alliés, et puisqu’on n’hési
es traits, et nous ne craindrons pas d’endurer pour la liberté ce que
souffrit
Sagonte assiégée par le cruel Carthaginois. » Tr
rtout à ne pas demeurer au-dessous de ceux qui m’ont précédé, et à ne
souffrir
aucun affaiblissement dans notre puissance. Tout
ituation de Syracuse est telle que notre seule ressource est de faire
souffrir
à nos ennemis ce que nous souffrions nous-mêmes.
notre seule ressource est de faire souffrir à nos ennemis ce que nous
souffrions
nous-mêmes. Les guerres ne se font pas au-dedans
edoublés me pressent de leur tendre une main secourable, et de ne pas
souffrir
qu’un empire si glorieux, qui nous a été laissé p
prêts à marcher volontairement à la mort, que des hommes capables de
souffrir
la douleur avec résignation. Pour moi, j’approuve
auvre et peu étendue, mais elle est féconde en héros qui sauront tout
souffrir
, tout essayer pour la liberté, pour la défense de
t n’est-ce pas pour cette étrange inégalité que nos ancêtres n’ont pu
souffrir
les rois et la monarchie ? Croit-on que le seul n
es. Vous ne me faites point injure, parce que je suis disposée à tout
souffrir
pour sa gloire ; mais votre crime s’élevant contr
els, Édouard voulait compenser sur moi la mort des cinq autres, je ne
souffrirais
pas seulement la corde, mais la roue, les tenaill
s. — On fait venir le blé des provinces d’outre-mer, pour que Rome ne
souffre
pas de la famine. « Quand je songe, mon ami, com
ang, s’occupe de guerres, de ruines, d’embrasements et de massacres ;
souffre
impatiemment que des armées qui tiennent la campa
us les moments de la vie ; il est plus dur de l’appréhender que de la
souffrir
. L’inquiétude, la crainte, l’abattement, n’éloign
s événements : naître, vivre et mourir : il ne se sent pas naître, il
souffre
à mourir, et il oublie de vivre. Ibid. 1. No
moins de l’éprouver soi-même, à moins de s’identifier avec celui qui
souffre
et se plaint, afin de souffrir et de se plaindre
à moins de s’identifier avec celui qui souffre et se plaint, afin de
souffrir
et de se plaindre comme lui ? Or, voilà ce qui es
tre ensevelie : Jusque-là vous servir fera mes plus doux soins ; Nous
souffrirons
ensemble et nous souffrirons moins. Ce dernier t
s servir fera mes plus doux soins ; Nous souffrirons ensemble et nous
souffrirons
moins. Ce dernier trait est charmant : celui de
ne sera plus rien pour moi. Je suis malade, je me mets en ménage ; je
souffre
comme un damné. Je brocante3, j’achète des magots
e était une bonne plaisanterie ; mais, puisque la chose est sérieuse,
souffrez
que je vous parle sérieusement. J’ai soixante-sei
ncore mieux pour notre nation des lauriers que des olives. Je ne puis
souffrir
les ricanements des étrangers2, quand ils parlent
; retranchez-le, il ne manque de rien, il n’y a que la vanité qui en
souffre
. Un auteur qui a trop d’esprit, et qui en veut to
tière ; Tel est son sort affreux : qui pourrait aujourd’hui, Quand il
souffre
pour nous, se voir heureux sans lui ? Voltaire.
tre toujours en présence de son Dieu ; n’entreprendre, ne réussir, ne
souffrir
, ne mourir que pour lui : voilà saint Louis, voil
voix éplorée, Il raconte à l’ombre adorée Les longs tourments qu’il a
soufferts
. Il veut fuir l’ingrate Ausonie ; Des talents il
ière : Qu’il garde votre nom et vous soit consacré ; Ce livre où j’ai
souffert
, ce livre où j’ai pleuré, Ainsi que tout mon cœur
our de votre tête ! Sur ce lit de douleurs où, le cœur résigné, Vous
souffrez
vaillamment pour que Dieu nous pardonne, Avant le
ient, aussi tranquille que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il
souffre
avec constance, et peut-être avec courage, les ch
es se consument dans les inquiétudes d’un besoin toujours renaissant.
Souffrir
et patienter sont souvent leurs seules ressources
et pour en amasser. Il ne faut épargner ni crime ni parjure ; Il faut
souffrir
la faim et coucher sur la dure ; Eût-on plus de t
es tas de blé vivre de seigle et d’orge ; De peur de perdre un liard,
souffrir
qu’on vous égorge. — Et pourquoi cette épargne en
r ta tête, au printemps rajeunie, Je devine, ô géant ! ce que tu dois
souffrir
. Car j’ai pour les forêts des amours fraternelle
rends ma parole. Sosie. N’importe. Je ne puis m’anéantir pour toi, Et
souffrir
un discours si loin de l’apparence. Être ce que j
’un si glorieux père, Je suis même encor loin des traces de ma mère !
Souffrez
que mon courage ose enfin s’occuper ; Souffrez, s
es traces de ma mère ! Souffrez que mon courage ose enfin s’occuper ;
Souffrez
, si quelque monstre a pu vous échapper, Que j’app
. Mon cœur, désespéré d’un an d’ingratitude, Ne peut plus de son sort
souffrir
l’incertitude : C’est craindre, menacer et gémir
ner, et je t’y vais offrir ?… Non, tu ne mourras point, je ne le puis
souffrir
. Racine Dévouement patriotique Le Vieil H
ui pourrait m’empêcher De combattre un avis où vous semblez pencher ;
Souffrez
-le d’un esprit jaloux de votre gloire, Que vous a
les, seigneur, sans qu’elles vous possèdent36. Loin de vous captiver,
souffrez
qu’elles vous cèdent, Et faites hautement connaît
tre ; Qui le sert, pour esclave, et qui l’aime, pour traître ; Qui le
souffre
a le cœur lâche, mol, abattu, Et pour s’en affran
er la foi qu’il vient de me donner. Néarque. Ce zèle est trop ardent,
souffrez
qu’il se modère. Polyeucte. On n’en peut avoir tr
plus elle mérite. Néarque. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de
souffrir
. Polyeucte. On souffre avec regret quand on n’ose
e. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de souffrir. Polyeucte. On
souffre
avec regret quand on n’ose s’offrir. Néarque. Mai
le nécessaire ! Harpagon. Paix ! Me Jacques. Monsieur, je ne saurais
souffrir
les flatteurs ; et je vois que ce qu’il en fait,
nte. Ris tant que tu voudras. Je suis pour le bon sens, et ne saurais
souffrir
les ébullitions de cerveau de nos marquis de Masc
nimal. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire, Son fils ne
souffre
plus qu’on lui parle d’affaire. Il nous le fait g
fermez dans les vagues déclamations que vous avez lancées contre moi,
souffrez
que j’ajoute un mot : Dans tous les pays, dans to
es qui avaient livré leur patrie après avoir violé tous les serments,
souffraient
des peines moins cruelles que ces hypocrites. Les
re ; Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on
souffre
est un soulagement. Dans une ville de
urir. Notre paralytique, Couché sur un grabat dans la place publique,
Souffrait
sans être plaint : il en souffrait bien plus.
un grabat dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en
souffrait
bien plus. L’aveugle, à qui tout pouvai
t d’un faste hautain, Le sage sait braver les rigueurs du destin ; Il
souffre
sans murmure, il jouit en silence ; Son cœur dans
eux qui parlent. Il faut leur donner le temps de se faire entendre et
souffrir
même qu’ils disent des choses inutiles. Bien loin
erdre beaucoup avec le temps, sans que sa gloire personnelle doive en
souffrir
; le mérite des ouvrages du second doit croître e
Il n’est pas importun : plein de sa défiance, Rarement des mortels il
souffre
la présence. Ami des champs, ami des asiles secre
e épouse ou d’un fils ? L’infortuné qu’il est ! à son heure dernière,
Souffre
à peine une main qui ferme sa paupière ; Pas un a
e chose qu’il y ait en aucune langue. A-t-il une piqûre au doigt ? il
souffre
un martyre sans égal. Et ne croyez pas qu’il joue
mieux de l’avenir que du passé. Je sais ce que votre absence m’a fait
souffrir
; je serai encore plus à plaindre, parce que je m
solitaires. Je bénirai le jour où je cesserai, en mourant, d’avoir à
souffrir
, et surtout de souffrir par vous ; mais ce sera e
le jour où je cesserai, en mourant, d’avoir à souffrir, et surtout de
souffrir
par vous ; mais ce sera en vous souhaitant un bon
voix éplorée, Il raconte à l’ombre adorée Les longs tourments qu’il a
soufferts
. Il veut fuir l’ingrate Ausonie, Des talents il
à tes douleurs, égaler ma misère, Mais souviens-toi des maux que dut
souffrir
ta mère, Et tu prendras pitié de mo
heure, et ne pouvant mourir, Ils ne sont immortels que pour toujours
souffrir
. Corneille (Trad. de l’Imitation de Jésus-Chris
s événements : naître, vivre et mourir : il ne se sent pas naître, il
souffre
à mourir, et il oublie de vivre. La Bruyère.
s’en ferait avec raison des crimes. Mais parce qu’on ignore ce qu’ils
souffrent
, parce qu’on ne veut pas s’en instruire, parce qu
rtant pas sans douleur ni tristesse ; mon cœur en est blessé, mais je
souffre
ces maux comme étant dans l’ordre de la Providenc
nous voudrions pouvoir éternellement retenir, et que nous ne pouvons
souffrir
entre nos mains. Nous regarderions comme un insen
le immortalise ceux qui l’ont aimée, illustre les chaînes de ceux qui
souffrent
pour elle, attire des honneurs publics aux cendre
; nous ne devrions donc chercher dans les hommes que la vérité, et ne
souffrir
qu’ils voulussent nous plaire que par elle ; en u
parle avec cette liberté. Recevez les louanges qui vous sont dues, et
souffrez
que l’on rende à César ce qui appartient à César.
t que le prince aimait beaucoup à rire aux dépens des autres, mais ne
souffrait
pas les représailles. Saint-Évremond, après avoir
lle qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bien tout ce que je
souffris
? Les réveils de la nuit ont été noirs5, et le ma
ux tables, et ne point se charger de tout le reste ; il jura qu’il ne
souffrirait
plus que M. le Prince en usât ainsi ; mais c’étai
, inventif. 1. La belle expression ! 2. Henriette de Coulanges, qui
souffrait
d’une hydropisie. 3. Son mari venait d’être tué.
te des écrivains distingués. Il sentira vivement leurs fautes ; il en
souffrira
. Mais, tandis qu’il les blâme avec une austère fr
; et dans les sujets empruntés à l’histoire, la vérité des peintures
souffrit
souvent de cette préoccupation involontaire de l’
ement se contente d’approuver et de condamner ; mais le goût jouit et
souffre
. Il est au jugement ce que l’honneur est à la pro
pièces. Outre que chacune d’elles exige un talent particulier, on n’y
souffre
pas les moindres inégalités, les plus légers défa
Ainsi, tout doit être exact, poli, châtié dans ce petit poème. On n’y
souffre
ni le moindre écart du sujet, ni un vers faible o
e et vous d’un succès admirable Rendez également nos peuples réjouis,
Souffrez
que je compare à vos faits inouïs Ceux de ce gran
liée à la première. La règle, que je viens d’exposer, est sûre, et ne
souffre
que deux exceptions : Emploi de l’article.
n’emploie pas l’article avant un nom précédé de son adjectif. Elle ne
souffre
à cet égard aucune difficulté, quand ce nom est a
raillerie, signifie savoir bien railler. Entendre raillerie, signifie
souffrir
les railleries sans se fâcher. Le, quelquefoi
ien loin de l’affirmer. Ces règles, concernant ces quatre pronoms, ne
souffrent
, en général, aucune difficulté. On peut néanmoins
ocès ont ruiné votre ami. Exceptions à cette règle. Cette règle
souffre
quelques exceptions. Les voici : 1°. Quand ces su
essions. Cette règle, concernant les participes des verbes actifs, ne
souffre
point d’exceptions, ou en souffre tout au plus un
es participes des verbes actifs, ne souffre point d’exceptions, ou en
souffre
tout au plus une seule. C’est quand le participe
t faire, joints à un infinitif. Le verbe laisser, signifie permettre,
souffrir
, ne pas empêcher une chose ; et le verbe faire, s
ectif, qui signifie, disposé à quelque chose, en état de faire, ou de
souffrir
quelque chose. Près de combattre, signifie, sur l
d’aucune fête, Dit-elle ; que fais-tu ? pourquoi veux-tu mourir ? Tu
souffres
. On me dit que je peux te guérir ; Vis, et formon
onclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il
souffre
et qu’il fait souffrir, l’exhorte de donner par l
in par une mort volontaire à tant de maux qu’il souffre et qu’il fait
souffrir
, l’exhorte de donner par là à toute la terre la s
veau des plus grandes destinées, il eût pu s’ignorer lui-même sans en
souffrir
, et trouver dans la culture de ses terres la sati
il n’a pu faire un homme ! » Ces temps sont loin de nous. À force de
souffrir
, Le peuple s’est levé pour vaincre ou pour mourir
âches envies. Nous passons près des rois tout le temps de nos vies, À
souffrir
des mépris et ployer les genoux ; Ce qu’ils peuve
Sa sagesse n’a pu le garantir de faire des fautes irréparables. Il a
souffert
le mal qu’il ne méritait pas, et celui que son im
appliquant au prochain la mesure de leur innocence, ils pensent qu’il
souffre
sans le mériter. Ils aiment à rire, ce qui fait a
: une âpre inquiétude Me tourmente… Mon cœur fléchit de lassitude… Je
souffre
!… Mais il parle !… et bientôt… et soudain, Un to
: sa mort va vous l’ouvrir. ACHILLE. Juste ciel ! puis-je entendre et
souffrir
ce langage ? Est-ce ainsi qu’au parjure on ajoute
, fut frappé dans un temple. Quinze ans il opprima : quinze ans on le
souffrit
: Il outrage une femme, et ce jour, il périt. VAL
ages, Quittent le noble orgueil d’un sang si généreux Jusqu’à pouvoir
souffrir
que tu règnes sur eux ? Corneille. Projet
roublé, C’est rester trop longtemps de mon doute accablé ; C’est trop
souffrir
la vie et le poids qui me tue. Eh ! qu’offre donc
sérable ; Je lui rends en terreur l’ennui dont il m’accable ; Et pour
souffrir
tous deux nous vivrons réunis, L’un de l’autre ty
; Enfin, n’en parlons plus : qu’en un profond oubli Tout ce que j’ai
souffert
demeure enseveli ; Je veux en accuser la seule de
’amour à l’égoïsme, Développer l’essor des instincts généreux, Ne pas
souffrir
qu’en France il soit un malheureux, Fonder l’égal
n, que je travaille. Ami du peuple hier, je le suis aujourd’hui. J’ai
souffert
, j’ai lutté, j’ai haï comme lui ; Misère, oubli,
re esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir je
souffre
le martyre : Il faut suer sans cesse à chercher q
e à le remplacer ; votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard, et que vous seriez comptables de to
e désir de vous obéir doivent vous inspirer. Que la cause de Louis ne
souffre
pas des omissions forcées de ses défenseurs ; que
erre. Mais songeons-nous un seul instant qu’il y a des malheureux qui
souffrent
et peut-être vont périr ; de là ce spectacle nous
nt remis, parce qu’elle a beaucoup aimé. — Venez à moi, vous tous qui
souffrez
et qui êtes oppressés, et je vous ranimerai. Pren
force pour soutenir le martyre ; qu’il y eut trente-sept papes qui le
souffrirent
l’un après l’autre, sans que la certitude de cett
plus qu’indifférent. Entendez par je vous rendrai heureux, — je vous
souffrirai
tant que j’aurai besoin de vous. Soupez avec moi
etc., a madame Daniel Lefèvre. Chère madame, Notre pauvre ami a bien
souffert
; il va un peu mieux ; il boit, il mange, il dort
e appelés seulement philosophes, c’est-à-dire amis de la sagesse, ont
souffert
la persécution, l’exil, quelquefois sur un trône
our essuyer des pleurs ; D’un mouchoir garni de dentelles. Le pauvre
souffre
… vite une offrande, un secours, Une quête à l’égl
t des anges du Seigneur, » Ne faites pas battre vos ailes. Le pauvre
souffre
encor… chantez pour lui ce soir, Fauvette aux yeu
cœur bien fait de recevoir sans rendre ; si, en nourrissant ceux qui
souffrent
, vous ne semblez occupé que d’étouffer des plaint
pect, non-seulement comme un égal, mais comme un supérieur, puisqu’il
souffre
ce que peut-être nous ne souffririons pas, puisqu
, mais comme un supérieur, puisqu’il souffre ce que peut-être nous ne
souffririons
pas, puisqu’il est parmi nous comme un envoyé de
mais l’homme utile que vous supposez. Dans nos croyances, l’homme qui
souffre
sert Dieu, il sert par conséquent la société comm
ent les satisfaire. Il a aussi, comme eux, cette sensibilité qui fait
souffrir
tout être créé quand les inclinations de sa natur
facilement, ils jouissent ; quand elle s’accomplit difficilement, ils
souffrent
. Elle s’accomplit également chez les êtres doués
un nouveau phénomène se produit : non-seulement ils jouissent ou ils
souffrent
, selon que leur destination s’accomplit facilemen
pe des plaisirs, et la coupe mortelle ; Et mon âme, qui veut vivre et
souffrir
encor, Reprend vers la lumière un généreux essor,
es dieux, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je
souffre
, il est trop tard ; le monde s’est fait vieux. Un
est juste, il est bon ; sans doute il vous pardonne. Tous, vous avez
souffert
, le reste est oublié. Si le ciel est désert, nous
Dès qu’il redescend en lui-même, Il t’y trouve ; tu vis en lui. S’il
souffre
, s’il pleure, s’il aime, C’est son Dieu qui le ve
’honnêteté. Je sais qu’il y a des esprits dont la délicatesse ne peut
souffrir
aucune comédie ; qui disent que les plus honnêtes
ste ; mais, supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété
souffrent
des intervalles, et que les hommes aient besoin d
nte. Ris tant que tu voudras. Je suis pour le bon sens, et ne saurais
souffrir
les ébullitions de cerveau de nos marquis de Masc
s de gens qui se présentent de leur bon gré à la mort que de ceux qui
souffrent
virilement la douleur8. L’empereur Othon fut vain
helieu16. Je vous avoue que j’aime à me venger, et qu’après avoir
souffert
durant deux mois que vous vous soyez moqué de la
NTE. Ris tant que tu voudras. Je suis pour le bon sens, et ne saurais
souffrir
les ébullitions de cerveau de nos marquis de Masc
amais eu de loi qui ait permis aux particuliers de tuer, et qui l’ait
souffert
, pour se garantir d’un affront, et pour éviter la
e le gré des malintentionnés ; car il est certain qu’ils ne sauraient
souffrir
qu’il se défende si bien. Il a fort bien répondu
nt de sa toute-puissance et de sa souveraine sagesse. Car le Christ a
souffert
et est mort de la seule manière qui pouvait conve
ce n’est presque pas un sujet d’admiration pour nous. Mais qu’un Dieu
souffre
, qu’un Dieu expire dans les tourments, qu’un Dieu
vincit mundum, fides nostra. Il est vrai, chrétiens : Jésus-Christ a
souffert
, et il est mort. Mais en vous parlant de sa mort
disposés à l’écouter avec respect, et je prétends que Jésus-Christ a
souffert
et qu’il est mort en Dieu, c’est-à-dire d’une man
l s’en passe218. Celui-là est bon, qui fait du bien aux autres : s’il
souffre
pour le bien qu’il fait, il est très bon ; s’il s
autres : s’il souffre pour le bien qu’il fait, il est très bon ; s’il
souffre
de ceux à qui il fait ce bien, il a une si grande
le monde s’accoutume à en voir faire la comparaison. Quelques-uns ne
souffrent
pas que Corneille, le grand Corneille, lui soit p
son lui a déplu : toute la journée sera orageuse, et tout le monde en
souffrira
. Il fait peur, il fait pitié : il pleure comme un
’un moment : par la raison qu’il les a aimées, il ne les saurait plus
souffrir
. Les parties de divertissement qu’il a tant désir
latte, il s’insinue, il ensorcelle tous ceux qui ne pouvaient plus le
souffrir
; il avoue son tort, il rit de ses bizarreries, i
; retranchez-le261, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en
souffre
. Un auteur qui a trop d’esprit, et qui en veut to
ècle et Jésus-Christ est ignoré ; ils ne savent que prier, se cacher,
souffrir
, espérer. Ô aimable simplicité ! ô foi vierge ! ô
tant de peuples qu’ils attaquèrent, il y en a bien peu qui n’eussent
souffert
toutes sortes d’injures, si on avait voulu les la
égnerez : croyez un homme qui doit être agréable aux dieux, puisqu’il
souffre
pour la vertu. » Cependant Alexandre ayant appris
es se consument dans les inquiétudes d’un besoin toujours renaissant.
Souffrir
et patienter sont souvent leurs seules ressources
ré soi, pitié des infortunés : quand on est témoin de leur mal, on en
souffre
. Les plus pervers ne sauraient perdre tout à fait
pire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage qui sait agir,
souffrir
et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Qu
ses terrains et ses aspects, qu’elle offre toutes sortes de sites et
souffre
toutes sortes de cultures. On y trouve des champs
Employer la flamme et le fer436 ? Qu’un débordement de licence Ferait
souffrir
à l’innocence Toute sorte de cruautés, Et que nos
ages, Quittent le noble orgueil d’un sang si généreux Jusqu’à pouvoir
souffrir
que tu règnes sur eux ? Parle, parle, il est temp
n cœur, et le touche aujourd’hui. LADISLAS, à part. Que la vieillesse
souffre
et fait souffrir autrui529 ! Oyons530 les beaux a
uche aujourd’hui. LADISLAS, à part. Que la vieillesse souffre et fait
souffrir
autrui529 ! Oyons530 les beaux avis qu’un flatteu
désir de l’être ; Et ce désir, dit-on, peu discret et trop prompt, En
souffre
avec ennui le bandeau sur mon front. Vous plaigne
rui même et passe à votre frère ; Votre jalouse humeur ne lui saurait
souffrir
La liberté d’aimer ce qu’il me voit chérir : Son
l’apprenne : J’aurais mal profité de l’usage et du temps ! LADISLAS.
Souffrez
… VENCESLAS. Encore un mot, et p
vous rend encore aimable, Et que votre bon astre en ces mêmes esprits
Souffre
ensemble pour vous l’amour et le mépris. Par le s
és dans les ruisseaux des halles ? BÉLISE. Il est vrai que l’on sue à
souffrir
ses discours : Elle y met Vaugelas en pièces tous
re, tout à l’heure. ARISTE. J’y cours tout de ce pas. CHRYSALE. C’est
souffrir
trop longtemps ; Et je m’en vais être homme à la
ls sachent plaire au plus puissant des rois, Qu’à Chantilly Condé les
souffre
quelquefois ; Qu’Enghien en soit touché ; que Col
qui hait l’injustice, Qui, sous la loi du riche impérieux Ne
souffre
point que le pauvre gémisse, Est le plus
ns connue, L’un et l’autre consul vous avaient prévenue, Madame. Mais
souffrez
que je retourne exprès. AGRIPPINE. Non, je ne tro
nseur la triste diligence : D’une mère facile affectez l’indulgence ;
Souffrez
quelques froideurs sans les faire éclater, Et n’a
le (sa langue et son goût parurent, surtout au déclin de sa carrière,
souffrir
de son séjour à l’étranger), il a cependant conse
s : L’âme d’un vrai héros, tranquille, courageuse, Sait comme il faut
souffrir
d’une vie orageuse Le flux et le refl
oit d’un vin vieux qui rajeunit les sens. Avec toi l’on apprend à
souffrir
l’indigence, À jouir sagement d’une honnête opule
ous ! Afin que l’indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre qui
souffre
à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe
e, chargé de chaînes ; on lui brûlera les yeux ; enfin, quand il aura
souffert
mille maux, il sera attaché sur une croix, et on
ernements, la civilisation et la société. La forme doit naturellement
souffrir
chez lui de ce que le fond a de mélangé et de tro
ent les grimaces des Seize, et ne leur pardonnaient pas les maux dont
souffrait
le pays. C’étaient le chanoine Pierre Le Roy, le
leur pays, et fussent plustost morts que de recevoir un reproche, ou
souffrir
qu’on eust faict tort à quelqu’un. J’ay ouy conte
le immortalise ceux qui l’ont aimée, illustre les chaînes de ceux qui
souffrent
pour elle, attire des honneurs publics aux cendre
; nous ne devrions donc chercher dans les hommes que la vérité, et ne
souffrir
qu’ils voulussent nous plaire que par elle ; en u
style simple, mais du style bas : le ton de la bonne compagnie ne les
souffre
point. Il faut surtout éviter les grandes fautes
cher que ses jours. La grandeur fut égale de part et d’autre ; Barry
souffrit
la mort ; et sa femme, après avoir défendu la pla
d on écrit à une personne à qui l’on doit du respect, la politesse ne
souffre
pas qu’on la charge de faire des complimens à une
de séparer les pensées d’avec les paroles, et que la probité pouvait
souffrir
ces complaisances mutuelles, qui, étant devenues
ie sont ses armes. L’envie est une passion désordonnée qui ne peut
souffrir
ni grâce ni vertu dans les âmes : il n’y a point
éau de Dieu » dans son voisinage ; la plus cruelle persécution qu’ait
soufferte
le monde, et que raconte l’histoire, est venue pe
on les touche on les renverse ? Il y a des corps qui ne peuvent plus
souffrir
les remèdes et qui ne sont plus capables de guéri
quelle on me pût soupçonner de cette folie, je serais très-marri51 de
souffrir
qu’il fût publié. Jamais mon dessein ne s’est éte
ifier mes intérêts aux leurs. J’ai de la condescendance pour eux ; je
souffre
patiemment leurs mauvaises humeurs :135 seulement
nécessaire ! HARPAGON. Paix. maître jacques. Monsieur, je ne saurais
souffrir
les flatteurs ;198et je vois que ce qu’il en fait
de Pierre.) La fatuité Je suis pour le bon sens, et ne saurais
souffrir
les ébullitions de cerveaux de nos marquis de Mas
re que les feux de ses yeux réduisent votre cœur en cendre ; que vous
souffrez
nuit et jour pour elle les violences d’un263… m.
otre grandeur et de notre misère, il associe l’accent d’un cœur qui a
souffert
. De là, ce style incomparable qui se colore, s’éc
lle qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bien tout ce que je
souffris
? Les réveils de la nuit ont été noirs398, et le
ux tables, et ne point se charger de tout le reste ; il jura qu’il ne
souffrirait
plus que M. le Prince en usât ainsi ; mais c’étai
ar où ? par quelle porte490 ? quand sera-ce ? en quelle disposition ?
souffrirai
-je mille et mille douleurs, qui me feront mourir
nesse égarée.. Aveugles admirateurs de leurs ouvrages, ils ne peuvent
souffrir
ceux des autres ; ils tâchent, parmi les grands,
utres616 ont ; ainsi, il a le plaisir que donne l’honneur, sans faire
souffrir
aux autres les incommodités que donne l’orgueil.
e pas longtemps. L’envie lui déplaît, mais elle ne l’afflige pas ; il
souffre
avec peine une injustice, mais.il la pardonne. Ma
s’en ferait avec raison des crimes. Mais parce qu’on ignore ce qu’ils
souffrent
, parce qu’on ne veut pas s’en instruire, parce qu
Si cela est, madame, vous êtes prédestinée ; car vous avez beaucoup à
souffrir
. Vous êtes la première femme du monde ; mais il n
s qu’on ne lui passe. Je cède enfin775, et je disparais, incapable de
souffrir
plus longtemps Théodecte et ceux qui le souffrent
parais, incapable de souffrir plus longtemps Théodecte et ceux qui le
souffrent
. Acis ou le diseur de Phébus Que dites vous
son lui a déplu : toute la journée sera orageuse, et tout le monde en
souffrira
. Il fait peur, il fait pitié ; il pleure comme un
’on moment : par la raison qu’il les a aimées, il ne les saurait plus
souffrir
. Les parties 813 de divertissements, qu’il a tant
latte, il s’insinue, il ensorcelle tous ceux qui ne pouvaient plus le
souffrir
. Il avoue son tort, il rit de ses bizarreries ; i
derrière, comme se jouant sur son dos ; mais comme Bacchus ne pouvait
souffrir
un rieur malin, toujours prêt à se moquer de ses
fant : tout le reste est sottise, enflure et vanité. Madame de Chevry
souffre
encore. Nous ne savons rien de nouveau, rien qui
rmettra pas que la douleur vous tente au-dessus de ce que vous pouvez
souffrir
; mais il tirera votre progrès de l’épreuve. Aban
oix, qui sera précieuse pour vous, si vous la portez bien. Apprenez à
souffrir
; en l’apprenant, on apprend tout. Que sait celui
mauvais, mais qui était corrompu par la vanité et par la mollesse. Il
souffrait
rarement qu’on lui parlât, et jamais qu’on osât l
ne sera plus rien pour moi. Je suis malade, je me mets en ménage ; je
souffre
comme un damné. Je brocante1147, j’achète des mag
ncore mieux pour notre nation des lauriers que des olives. Je ne puis
souffrir
les ricanements des étrangers1171, quand ils parl
ent, aussi tranquille, que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il
souffre
avec constance, et peut-être avec courage, les ch
ses terrains et ses aspects, qu’elle offre toutes sortes de sites, et
souffre
toutes sortes de cultures. On y trouve des champs
pire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage qui sait agir,
souffrir
et mourir sans faiblesse et sans ostentation ! Qu
ût pas tant pris de peine à me conserver étant petit, je n’aurais pas
souffert
tant de maux étant grand. Soyez persuadée que je
il se glisse dans l’estomac et s’y endort1504. Alors on croit ne plus
souffrir
; mais on porte au dedans, de soi un poids affreu
es, et que j’avais toujours été forcé d’interrompre en me disant : Je
souffre
trop, je recommencerai demain ; le quatrième a ét
s républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables do
souffrir
ce que vous avez souffert : grâces vous en soient
ts de la liberté, étaient seuls capables do souffrir ce que vous avez
souffert
: grâces vous en soient rendues, soldats ! La pat
al, un bien triste devoir en vous l’annonçant ; mais il est mort sans
souffrir
et avec honneur : c’est la seule consolation qui
le de demande et d’action de grâces pour son père ? Quand les animaux
souffrent
, quand ils craignent, ou quand ils ont faim, ils
ion que le zèle de la vérité, que l’amour de leurs semblables, et ont
souffert
la persécution, l’exil, quelquefois sur un trône,
résistible, d’exprimer ce qu’il éprouve, qu’il est homme de génie. Il
souffre
de contenir les sentiments ou les images ou les p
rte : « Charles-Baptiste ! le Christ reçoive ton âme ! — Vivre, c’est
souffrir
. — Tu vas clans un lieu — où il n’y a ni soleil n
France par le traité des Pyrénées (1659). 107. Auprès de... 108. On
souffre
, pour Corneille, de l’humilité qu’il met en ses p
Fronde. 124. D’ailleurs. Il entend par là les événements dont il a
souffert
. 125. Attache, c’est-à-dire d’attention. 126.
» 141. Il y en a qui sont braves à coups d’épée, et qui ne peuvent
souffrir
les coups de mousquets. La Rochefoucauld.
uente, celle d’un penseur qui connaît à fond la misère humaine, et en
souffre
, parce qu’il aime les hommes. 326. Maisons des
xpression ! 472. Henriette de Coulanges, marquise de la Trousse, qui
souffrait
d’une hydropisie. 473. Son mari venait d’être tu
de la nature put avoir lieu à mon égard ; je me flattais de ne jamais
souffrir
un si grand mal ; je le souffre et le sens dans t
égard ; je me flattais de ne jamais souffrir un si grand mal ; je le
souffre
et le sens dans toute sa rigueur. Je mérite votre
urtant pas sans douleur ni tristesse ; mon cœur en est blessé mais je
souffre
ces maux comme étant dans l’ordre de la Providenc
iblesses que la médiocrité traine après soi ? » Il avait aussi, lui,
souffert
de sa pauvreté. 745. Prévenu des ministres, c’e
une occasion unique, pour percer. L’homme de mérite avait secrètement
souffert
. Le ressentiment qu’il en a gardé se laisse voir
ie la pensée : « lui parler » est moins que « le contredire ; » il le
souffrait
, mais « rarement ; » tandis qu’il ne souffrait «
e contredire ; » il le souffrait, mais « rarement ; » tandis qu’il ne
souffrait
« jamais qu’on osât le contredire. » « Qu’on le c
ts, et les petits ont la vie si dure qu’on les écorche sans les faire
souffrir
. » 1261. Montbard (Côte-d’Or), fut la résidence
emblait à peine à la convalescence. Mais l’égalité de son humeur n’en
souffrit
aucune atteinte. Valétudinaire aimable, il faisai
Voici quelques pensées de Napoléon : Il y a autant de vrai courage à
souffrir
avec constance les peines de l’âme, qu’à rester f
Église paroissiale de la Sainte-Trinité, à Cherbourg : Lorsque Jésus
souffrait
pour tout le genre humain, La Mort, en l’abordant
i étouffé dans les replis d’une affreuse vipère, et sa race orpheline
souffre
la faim, chassée du nid paternel. » 1781. On a
; = allez-vous entendre la grand-messe ? = c’est grand-pitié de voir
souffrir
cet homme. Les noms substantifs ne sont ordinaire
ion que le sujet produit, et dont un objet étranger peut recevoir, ou
souffrir
l’impression : = l’homme sensible et compatissant
n produite par le sujet, mais dont l’impression ne peut être reçue ou
soufferte
par aucun objet : = les arbres fleurissent, et la
verbe une action que fait le père, et dont l’enfant peut recevoir ou
souffrir
l’impression. Je pourrais dire en effet, sans cha
rrigé par le père. Alors l’impression de cette action serait reçue ou
soufferte
par l’enfant. Donc ce verbe corriger est un verbe
arler, expriment des actions, dont l’impression ne peut être reçue ou
soufferte
; par conséquent ils sont des verbes neutres, et
otre grandeur et de notre misère, il associe l’accent d’un cœur qui a
souffert
. De là ce style incomparable qui se colore, s’éch
uente, celle d’un penseur qui connaît à fond la misère humaine, et en
souffre
, parce qu’il aime les hommes. 5. Maisons des ch
essaire ! Harpagon. Paix. Maître Jacques. Monsieur, je ne saurais
souffrir
les flatteurs8 ; et je vois que ce qu’il en fait,
l’Avare.) La fatuité Je suis pour le bon sens, et ne saurais
souffrir
les ébullitions de cerveau de nos marquis de Masc
ez que les feux de ses yeux réduisent votre cœur en cendre ; que vous
souffrez
nuit et jour pour elle les violences d’un1… M.
le monde s’accoutume à en voir faire la comparaison. Quelques-uns ne
souffrent
pas que Corneille, le grand Corneille, lui soit p
utres qui ont une fade attention à ce qu’ils disent, et avec qui l’on
souffre
dans la conversation de tout le travail de leur e
u moins lui soit3 contraire. Non content de n’être pas sincère, il ne
souffre
pas que personne le soit ; la vérité blesse son o
L’homme de mérite et aussi l’homme de lettres en avaient cruellement
souffert
. Le juste ressentiment qu’il en a gardé se laisse
Ces sortes de gens ont une fade attention à ce qu’ils disent, et l’on
souffre
avec eux, dans la conversation, de tout le travai
gardons le ciel, et nous versons des pleurs. Toi, mon dernier enfant,
souffre
ma plainte amère ; Le ciel n’enferme pas tout l’a
asse, Et la voix de la mer se tait devant ma voix. Lorsque mon peuple
souffre
ou qu’il lui faut des lois J’élève mes regards, v
as le prêtre ? Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Vous
souffrez
qu’il vous parle ! et vous ne craignez pas Que du
de nous est désormais impossible ; je ne puis la supporter ; je ne la
souffrirai
pas, je ne saurais la tolérer. Assurément, nous d
te d’un mal plus grave et plus violent. Il en est de même du mal dont
souffre
la république ; calmé un instant par le châtiment
me suis tu, j’ai supporté bien des choses, fait bien des concessions,
souffert
bien des maux pour vous épargner des craintes. Ma
dre que, portant la parole pour le public, il ne dissimule ce qu’il a
souffert
comme particulier. J’avais prévu cet inconvénient
inué dans une ville ses droits de souveraineté ; les Siciliens en ont
souffert
, en ce que ces soixante mille boisseaux n’ont pas
ts de sa famille, de porter même le scrupule jusqu’au point de ne pas
souffrir
que le nom d’un étranger y soit inscrit, et vous
ments de sa vertu, si vous en abandonnez le soin ? non seulement vous
souffrirez
qu’on les enlève, mais vous en protégerez encore
et revêtu de la première magistrature. On comprend aisément ce qu’il
souffrait
, attaché ainsi nu sur le bronze et exposé au froi
ce qu’ils voulaient ; et ils disaient que, pour tout le reste, ils le
souffraient
et n’en demandaient pas la punition. Leur douleur
orant leurs femmes, il les a accablés de maux qu’ils n’ont point eu à
souffrir
dans un temps où ils avaient tout à craindre, et
es et des villes rempliront-ils ses maisons à Rome et à la campagne ?
souffrirez
-vous plus longtemps, ô juges, les plaisirs et les
choses, que nous méprisons, est incompréhensible : aussi nos ancêtres
souffraient
volontiers l’abondance de ces ornements chez nos
éservé la Sicile des dangers de la guerre et des maux qu’elle pouvait
souffrir
de la part des esclaves révoltés. Quel parti pren
tait noble, et celle d’Eschrion, d’une naissance au-dessus du commun,
souffrirent
impatiemment que la fille du comédien Isidore fût
itions des villes. Dépositions des villes… XXV. Peut-on, juges,
souffrir
un tel homme, une telle impudence, une telle auda
aient eu la tête tranchée, mais que le chef des pirates n’avait point
souffert
ce supplice. Verrès, troublé par les reproches de
e année qu’ils ont été pris, sont demeurés chez vous tant que je l’ai
souffert
, je veux dire, tant que l’a permis Glabrion, qui,
lui frappait les yeux à coups de verge ; mais, si près de sa mort, il
souffrait
avec patience, et disait à haute voix ce qu’il a
ble où sont réduits nos alliés ? ou ces cruels tourments qu’il a fait
souffrir
à des innocents, font-ils sur vos cœurs la même i
s aujourd’hui par le peuple romain ; car depuis plusieurs années nous
souffrons
en silence que l’argent de tous les peuples passe
ains de quelques avares gouverneurs. Nous paraissons d’autant plus le
souffrir
et le permettre tranquillement, qu’aucun de ces c
ublique, le détail de tous les tourments que des citoyens romains ont
soufferts
toucherait le cœur des barbares. Notre empire est
erdre la tête et la vie ? Ne suffit-il pas à nos négociants d’avoir à
souffrir
de la fortune tant de dangers inévitables ; faut-
urs sur nos gardes, toujours appliqués. Sommes-nous haïs ; il faut le
souffrir
. Il se présente des travaux ; il faut les support
elles exigent, chacune dans son espèce, un talent particulier, on n’y
souffre
pas les moindres inégalités, les plus légers défa
bes. Tout doit être exact, poli, châtié dans ce petit ouvrage. On n’y
souffre
ni le moindre écart du sujet, ni un vers faible o
eurs. L’enjouement et la liberté en font le principal caractère. On y
souffre
cependant les traits brillants d’une imagination
a lire. Ce sont vos louanges qui me gâtent ; il est juste que vous en
souffriez
; d’ailleurs, j’aime beaucoup mieux vous écrire r
Sa sagesse n’a pu le garantir de faire des fautes irréparables. Il a
souffert
le mal qu’il ne méritait pas, et celui que son im
beaucoup plus bornée que la nature morale, soit pour jouir, soit pour
souffrir
. L’âme, dans ses douleurs, est patiente et variée
et variée, parce qu’elle est immortelle ; tandis que le corps, après
souffrir
, ne sait que mourir : c’est la seule variété et l
ri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à
souffrir
; Je vous défendrais de l’orage ; Mais vous naiss
s que je parte sans elle2 ; Il me reste à pourvoir un arrière-neveu ;
Souffrez
qu’à mon logis j’ajoute encore une aile3 Que vou
as une ne s’endort à ce bruit si flatteur. Je ne les blâme point ; je
souffre
cette humeur : Elle est commune aux dieux, aux mo
es affections amères sur de très-petits sujets ; ils ne veulent point
souffrir
le mal, et aiment à en faire ; ils sont déjà des
il touche. Où son moi n’est pas en action, soit pour jouir, soit pour
souffrir
, l’homme n’est pas.La terre ne me dit tout ce qu’
op ; retranchez-le, il ne manque rien ; il n’y a que la vanité qui en
souffre
. Un auteur qui a trop d’esprit, et qui en veut to
mme raison le reproche intérieurement avec un empire absolu. Il ne le
souffre
pas ; et il sait borner la folie la plus impudent
nlevez la portion qui m’est due. Ce soleil ne se couche jamais, et ne
souffre
aucun nuage que ceux qui sont formés par nos pass
udes épreuves. D’ailleurs, quand le cœur est malade, tout le corps en
souffre
. Je crains pour vous les discussions d’affaires,
ré soi, pitié des infortunés ; quand on est témoin de leur mal, on en
souffre
. Les plus pervers ne sauraient perdre tout à fait
ntes contemplations que les intelligences célestes. Mais un corps qui
souffre
ôte à l’esprit sa liberté ; désormais je ne suis
s événements : naître, vivre et mourir ; il ne se sent pas naître, il
souffre
à mourir, et il oublie de vivre. » 2. Chateau
e, qui languit, qui se désespère, qui n’est plus à elle-même quand il
souffre
, dans quelle lumière a-t-elle vu qu’elle eût néan
é, Côte à côte d’un pauvre on m’avait inhumé, Et que n’en pouvant pas
souffrir
le voisinage, En mort de qualité je lui tins ce l
ux-ci de Racine : Avant que tous les Grecs vous parlent par ma voix,
Souffrez
que j’ose ici me flatter de leur choix, Et qu’à v
surtout dans les vers alexandrins, pour éviter la monotonie. Elle ne
souffre
point que les vers marchent toujours de deux en d
é tué d’un coup de canon4, en combattant à son bord. Il est mort sans
souffrir
, et de la mort la plus douce, la plus enviée par
ntage encore. Le duc d’Istrie est mort de la plus belle mort2 et sans
souffrir
. Il laisse une réputation sans tache ; c’est le p
es ; sans cela nous serions toujours dans les larmes, et le devoir en
souffrirait
. » 1. Cette lettre avait un caractère privé. 2
onclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il
souffre
et qu’il fait souffrir, l’exhorte de donner par l
in par une mort volontaire à tant de maux qu’il souffre et qu’il fait
souffrir
, l’exhorte de donner par là à toute la terre la s
euries aussi petites que sont celles de Lucques et de Genève. Elle ne
souffrait
rien de servile dans l’esprit des artisans ; elle
opposition des intérêts de ceux qui sont logés dans le même palais ne
souffrent
pas qu’ils fassent leurs confidences et ouvrent l
nt ennemies et non pas sensibles : nous ne les sentons plus, nous les
souffrons
. Trop de jeunesse et trop de vieillesse empêchent
ous avons une si grande idée de l’âme de l’homme, que nous ne pouvons
souffrir
d’en être méprisés et de n’être pas dans l’estime
es accablée144 ! Que fait votre paresse pendant tout ce fracas ? Elle
souffre
, elle se retire dans quelque petit cabinet, elle
force pour soutenir le martyre ; qu’il y eut trente-sept papes qui le
souffrirent
l’un après l’autre, sans que la certitude de cett
andales du dedans, demeure immortelle. Pour vaincre, elle ne fait que
souffrir
; et elle n’a pas d’autres armes que la croix de
i mendierait-elle un secours humain, elle qui se contente d’obéir, de
souffrir
, de mourir, son règne, qui est celui de son époux
r faire la guerre saintement que des exhortations pour la bien faire.
Souffrez
donc, messieurs, que, laissant là le corps, pour
elui d’une modération qu’on ne fera qu’admirer. « Quand les dieux ont
souffert
que Sylla se soit334 impunément fait dictateur da
ait de grandes choses sous son règne, mais c’est lui qui les faisait.
Souffrez
donc, milord, que je tâche d’élever à sa gloire u
ne maladie cruelle affaiblissait le prince ; cet état, ce qu’il avait
souffert
, et tout ce qu’il avait à craindre, mettait le co
nnaît, dans les pages qu’il a laissées, l’accent d’une belle âme, qui
souffre
de manquer d’espace et de carrière, qui, faute de
Sa sagesse n’a pu le garantir de faire des fautes irréparables. Il a
souffert
le mal qu’il ne méritait pas, et celui que son im
rir. Nous réservons notre indulgence pour les parfaits. La générosité
souffre
des maux d’autrui, comme si elle en était respons
la foi qu’il vient de me donner404. NÉARQUE. Ce zèle est trop ardent,
souffrez
qu’il se modère. POLYEUCTE. On n’en peut avoir tr
plus elle mérite. NÉARQUE. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de
souffrir
. POLYEUCTE. On souffre avec regret quand on n’ose
E. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de souffrir. POLYEUCTE. On
souffre
avec regret quand on n’ose s’offrir. NÉARQUE. Mai
trie, et montrer qui nous sommes ; Puissé-je vous donner l’exemple de
souffrir
, Comme vous me donnez celui de vous offrir ! POLY
ans ce séjour de gloire et de lumière, Ce Dieu tout juste et bon peut
souffrir
ma prière, S’il y daigne écouter un conjugal amou
ce tourment, c’est mourir à toute heure. Tirez-moi de ce trouble, ou
souffrez
que je meure, Et que mon déplaisir430, par un cou
n ! redoutez-vous Quelque sinistre effet encor de mon courroux ? J’ai
souffert
cet outrage avec que patience. ANTIOCHUS, prenant
as que je parte sans elle ; Il me reste à pourvoir un arrière-neveu ;
Souffrez
qu’à mon logis j’ajoute encore une aile. Que vous
offre pour offre et serments pour serments. ALCESTE. Non, je ne puis
souffrir
cette lâche méthode Qu’affectent la plupart de vo
ends tout doucement les hommes comme ils sont : J’accoutume mon âme à
souffrir
ce qu’ils font ; Et je crois qu’à la cour, de mêm
ciel écrasé, si je mens ! Et, pour vous confirmer ici mes sentiments,
Souffrez
qu’à cœur ouvert, monsieur, je vous embrasse Et q
à-dessus parler en homme sage, Et je vous en estime encore davantage.
Souffrons
donc que le temps forme des nœuds si doux ; Mais,
laît d’autant plus, que plus il se découvre. Mais la seule vertu peut
souffrir
la clarté : Le vice, toujours sombre, aime l’obsc
écrits. C’est là qu’à la faveur de vos frères chéris, Peut-être enfin
soufferts
comme enfants de ma plume, Vous pourrez vous sauv
es lévites. JOAD. Ô mon fils ! de ce nom j’ose encor vous nommer676 !
Souffrez
cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m’ar
fois se soustraire à un hymen odieux et se venger des maux qu’elle a
soufferts
de cette famille, n’hésite pas à profiter de la p
L’indigent se méfie. — Il n’est plus de danger. — L’homme est né pour
souffrir
. — Il est né pour changer. — Il change d’infortun
tes les tyrannies qui naîtront d’un esclavage passager, mais une fois
souffert
. » 337. M. de Barante, dans le Tableau de la lit
imer ; on pourrait ajouter, à l’exemple du maître. Au moins Louis XIV
souffrait
-il beaucoup plus qu’Oronte la vérité sur ce point
’écueils, nous péririons sans être plaints, ou nous échapperions pour
souffrir
encore. Tu deviens le port tranquille où l’on se
e. Comme Dieu, en son sein, parmi ses flots d’azur. Elle ne
souffre
rien d’impur. Immense comme lui, toujours pleine
e Iphigénie. Achille, à Agamemnon. Juste ciel ! puis-je entendre et
souffrir
ce langage ? Est-ce ainsi qu’au parjure on ajoute
es dons. Le saint que tu promets et que nous attendons ? Non, non, ne
souffre
pas que ces peuples farouches, Ivres de notre san
que je voyais touchés de mon déplaisir. Ainsi je m’assure que vous me
souffrirez
mieux si je ne m’oppose point à vos larmes, que s
apport entre la perte d’une main et d’un frère1 : vous avez ci-devant
souffert
la première sans que j’aie jamais remarqué que vo
i veut d’un si beau sang souiller un si beau jour. Albe ne pourra pas
souffrir
un tel spectacle ; Et Rome, par ses pleurs, y met
ndigence, voilà ce qui nous reste !… Jusques à quand, braves amis, le
souffrirez
-vous ? Un trépas généreux n’est-il pas préférable
te d’elles-mêmes. Peut-on en effet, pour peu que l’on pense en homme,
souffrir
sans indignation que leurs richesses excèdent la
esprit de femme, et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir, je
souffre
le martyre : Il faut suer sans cesse à chercher q
, eut le malheur qu’on ne la loua pas4. Cette foule de gens dont vous
souffrez
visite, Votre galanterie, et les bruits qu’elle e
cette négligence Qui de leurs beaux talents te nourrit l’excellence.
Souffre
que dans leurs arts s’avançant chaque jour, Par l
tre toujours en présence de son Dieu ; n’entreprendre, ne réussir, ne
souffrir
, ne mourir que pour lui : voilà Saint Louis, voil
d’autant plus besoin de son exactitude, que la grandeur de vos idées
souffre
moins la gêne et l’esclavage. Il ne vous coûte po
e était une bonne plaisanterie ; mais, puisque la chose est sérieuse,
souffrez
que je vous parle sérieusement. J’ai soixante-sei
rop ; retranchez-le, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en
souffre
. Un auteur qui a trop d’esprit, et qui en veut to
e. Mais songeons-nous un seul instant qu’il y a là des malheureux qui
souffrent
et peut-être vont périr ; dès là1 ce spectacle no
il n’y en a pas une qui ne m’ait déchiré le cœur, et je n’aurais pas
souffert
davantage si j’eusse creusé moi-même la fosse de
é avec admiration l’habile et savante économie. Aussi, quoi qu’en dût
souffrir
sa popularité, il n’hésita pas à combattre la min
iatement du moins. Votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard, et que nous serions comptables de t
l avait encore une part active dans les scènes des passions, quand il
souffrait
lui-même par le cœur, ses écrits produisaient une
xistence matérielle, et plus l’on diminue, dira-t-on, la puissance de
souffrir
. Cet argument séduit un grand nombre d’hommes ; i
donien mettait la phalange bien au-dessus de la légion, et ne pouvait
souffrir
que l’on comparât César à Alexandre. « C’est à ma
mes compagnons : il se plaint, bien qu’il sommeille. Tu vis donc, tu
souffres
: voilà l’homme. Minuit et demi. Le repos continu
s républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de
souffrir
ce que vous avez souffert ; grâces vous en soient
ts de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez
souffert
; grâces vous en soient rendues, soldats ! La pat
chaîner nos aigles, eux qui n’ont jamais pu en soutenir les regards ?
Souffrirons
-nous qu’ils héritent du fruit de nos glorieux tra
que nous avons été les maîtres des nations ; mais nous ne devons pas
souffrir
qu’aucune se mêle de nos affaires. Qui prétendrai
prix : « Soyez sûr, lui écrivit-il, sur ma parole de roi, que vous ne
souffrirez
ni dans votre vie, ni dans votre fortune, ni dans
n calcul d’intérêt ait engendré de pareils sacrifices ; il n’a jamais
souffert
qu’on transformât ses héros et ses martyrs en mar
édegonde fut saisie des cruelles angoisses de cœur que la nature fait
souffrir
aux mères, et, sous le poids de l’anxiété materne
ur laquelle elle a été faite, c’est son bonheur, c’est son bien. Elle
souffre
donc, et non-seulement elle souffre, mais elle s’
son bonheur, c’est son bien. Elle souffre donc, et non-seulement elle
souffre
, mais elle s’étonne et s’indigne : car, comme ell
J’ose pour mes enfants implorer vos bontés. Des hauteurs de Livie ils
souffriront
peut-être ; Mais, nés du sang d’Auguste, ils ont
lez venger ? Est-ce Germanicus qu’on s’apprête à juger ? TIBÈRE. J’ai
souffert
la demande ; écoutez la réponse : Ce n’est point
, elle s’abaissait souvent à de trop grossières trivialités pour être
soufferte
en bonne compagnie. Si parfois elle s’essayait à
il en suit les libres les plus secrètes, il s’écoute penser, jouir et
souffrir
. Alors se développe surtout la poésie lyrique, ri
uler, l’aquilon pour courir, Les soleils pour brûler, et l’homme pour
souffrir
. « Que j’ai bien accompli cette loi de mon être
hes de la tour, Les étangs, les troupeaux avec leur voix cassée, Tout
souffre
et tout se plaint. La nature lassée À besoin de s
e lui fait envie ; Sage et douce, elle prend patiemment la vie ; Elle
souffre
le mal sans savoir qui le fait, Tout en cueillan
at d’un manteau de soie, Dans la vitesse d’un cheval ! Pour quiconque
souffre
et travaille, Qu’il s’en revienne ou qu’il s’en a
grâce Ont besoin qu’on les débarrasse De la vieille rouille du corps.
Souffrent
-elles moins pour se taire ? Enfant ! regardons so
dieux451, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je
souffre
, il est trop tard ; le monde s’est fait vieux Une
l est juste, il est bon ; sans doute il vous pardonne. Tous vous avez
souffert
, le reste est oublié. Si le ciel est désert, nous
appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens ; tu
souffres
, ami. Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque
qui donc, parmi ceux qui parlent de courage, Eût, sans ployer un peu,
souffert
le même orage ? Le malheur, — c’est tout simple,
, une figure pleine de noblesse et de grâce. Oswald aurait beaucoup à
souffrir
du rapprochement. Comme tous les caractères mous
ordonnateur. 41. La pensée est que le malheureux n’a pas seulement à
souffrir
de celui qui l’a offensé, mais qu’il voit tout le
e Chateaubriand s’était embarqué à Constantinople pour Jérusalem : il
souffrait
d’accès de fièvre depuis son départ d’Athènes. 1
s et la faire jaillir de nos lèvres, il faut nous parler de l’âme qui
souffre
et qui appelle notre âme à son secours. 447. Le
n Oraison funèbre du grand Condé a : « Il n’y a point d’astre qui ne
souffre
quelque éclipse ; et le plus brillant de tous, qu
se ; et le plus brillant de tous, qui est le soleil, est celui qui en
souffre
de plus grandes et de plus sensibles. Mais deux c
s le Prêtre ? Quoi ! fille de Davidb, vous parlez à ce traître ? Vous
souffrez
qu’il vous parle ? et vous ne craignez pas Que du
des rois, Par cette triste bouche elle empruntait ma voix3 Sire, ne
souffrez
pas que, sous votre puissance, Règne devant vos y
n côté le moindre obstacle arrive… Dorante. Pour vous mieux assurer,
souffrez
que je vous suive. Géronte. Demeure ici, demeure
, I, 5 : Les princes sont des dieux sujets aux lois des hommes : Ils
souffrent
comme nous, ils sont ce que nous sommes. On ajou
le coup qui vous abat, abat les âmes les plus fortes. Ce que la vôtre
souffre
, il n’y a qu’une mère qui puisse le savoir, et un
ns. J’étais bien loin d’y être préparée ! je me flattais de ne jamais
souffrir
un si grand mal. Je le souffre, et je le sens dan
réparée ! je me flattais de ne jamais souffrir un si grand mal. Je le
souffre
, et je le sens dans toute sa rigueur. Je mérite v
i-bas tout est mal, Tout, sans exception, au physique, au moral. Nous
souffrons
en naissant, pendant la vie entière, Et nous souf
au moral. Nous souffrons en naissant, pendant la vie entière, Et nous
souffrons
surtout à notre heure dernière. Nous sentons, tou
erdre beaucoup avec le temps, sans que sa gloire personnelle doive en
souffrir
; le mérite des ouvrages du second doit croître e
nsensés ! vous ne comprenez donc pas qu’il n’est personne qui veuille
souffrir
sans raison, ou qui puisse supporter ses tourment
, entraînés par le courant d’air, descendent en tournoyant au fond du
souffre
, et des carcajoux se suspendent par leurs longues
nspira un nouveau courage, et leur était un gage assuré que quiconque
souffre
pour Jésus-Christ aura part à la gloire du Dieu v
t termina sa vie par une mort glorieuse. Blandine fut la dernière qui
souffrit
comme une mère pleine de tendresse pour ses enfan
leine de tendresse pour ses enfants ; elle avait exhorté ses frères à
souffrir
avec patience, et les avait envoyé devant elle au
vouaient qu’il ne s était jamais rencontre parmi eux de femme qui eût
souffert
une si étrange et si longue suite de tourments.
ance. Les uns veillent à ce que les grandes lois qu’il a établies, ne
souffrent
aucune atteinte ; les autres servent d’intermédia
rappa la poitrine, car il était bon et sensible, et il venait de voir
souffrir
par sa faute une créature innocente. Quel était
sé par la faim, levèrent tout-à-coup, et me dirent : « Mon père nous
souffrirons
beaucoup moins, si tu veux nourrir de nous. Tu no
rer vos exploits. O nuit qui les caches dans le secret de tes ombres,
souffre
que je déchire le voile épais dont tu les couvris
z-moi de ne lui rien ôter de sa parure et de ses vêtements, de ne pas
souffrir
que des étrangers osent porter la main sur elle,
mme je te veux… comme je te veux, malheureux que je suis ! et vous le
souffrez
, ô mon Dieu ! écoute… détourne la tête… Tu ne sa
, en même temps, il me remit trente-six livres. Monsieur, lui dis-je,
souffrez
que je vous représente que c’est trop pour un ouv
dit. » Il fallut lui couper le bras qui ne tenait presque à rien. Il
souffrit
cela sans desserrer les dents, et, après l’opérat
ffrir. L’aurore la trouva sur la terre étendue... Elle avait cessé de
souffrir
. On compte que depuis, au bord du précipice, Alor
— Vous êtes chrétiens ? mais où sont les persécutions que vous voulez
souffrir
, le sang que vous voulez donner pour mériter ce n
urir de pied ferme, que de vous sauver par ce moyen. Votre Majesté ne
souffrirait
jamais qu’on dise qu’un cadet de la maison de Lor
u voudras ; tu seras maître de tes actions. Mais tant que je respire,
souffre
la compagnie de ta mère, crains d’encourir la dis
es. Vous ne me faites point injure, parce que je suis disposée à tout
souffrir
pour sa gloire ; mais votre crime s’élevant contr
que les armes de notre roi triomphent partout avec tant d’éclat ; ne
souffrons
pas qu’elles périssent entre nos mains ; faisons,
’avoir déshonoré notre victoire par une barbare cruauté ? Quoi ! vous
souffrirez
que votre gloire soit ainsi flétrie dans tout l’u
Lusignan à sa fille. Forme. Un vieillard à cheveux blancs, qui a
souffert
tous les maux d’une longue captivité, pleuré ses
répétition : c’est le sang , que c’est une chose sacrée qui ne peut
souffrir
de profanation. Elle est issue de rois, de héros,
le éplorée nous redemande le fruit le plus précieux de sa fécondité ;
souffrirez
-vous qu’un soleil brûlant consume et dévore l’uni
La terre est indigne de toi, Là jamais entière allégresse, L’âme y
souffre
de ses plaisirs, Les cris de joie ont leur triste
es remontrances pressantes qui en sollicitent le remède ? Un cœur qui
souffre
a-t-il besoin de maître pour savoir comment il fa
t la violence, l’injustice, la perfidie, et tout ce qu’on ne peut pas
souffrir
soi-même. L’éducation fortifia ces sentiments de
s caprices. On lui laissa sentir qu’il était homme ; et l’habitude de
souffrir
fut la première leçon qu’il reçut. La course, la
euples ; car il est plus affreux sans doute de faire le mal que de le
souffrir
. Dans ce moment, je délibérai si je ne renoncerai
s personnalités injurieuses qu’on doit toujours s’interdire. Qui peut
souffrir
par exemple que Lebrun le lyrique, dise en parlan
eurs. L’enjouement et la liberté en sont le principal caractère. On y
souffre
cependant les traits brillants d’une imagination
aleur de ces œuvres. Cette règle qui s’imposait à nous a dû cependant
souffrir
quelques exceptions. Nous avons restreint ou supp
armes, espée et pistolets font bien contre leur profession qui est de
souffrir
la force, non de la faire… Ne vault l’argument do
des juges Messieurs, vous voyez les maulx que ce pauvre peuple a
soufferts
durant ces divisions : lors il ne pensoit, sinon
oient, mugissoient, marchoient, et voyoient. Comment peuvent ses yeux
souffrir
de voir tuer, escorcher, demembrer une pauvre bes
ans, pour trouver quelque repos, aprés tant et tant de peines par moy
souffertes
pendant le temps de cinquante cinq ans que j’ay p
e bas courage. Encore, parmy ceux qui ont demouré, vous ne voulez pas
souffrir
que quatre ou cinq disent ce qu’ils pensent, et l
helemi s’en souviennent bien, et ne peuvent croire que ceux qui l’ont
soufferte
l’ayent mise en oubli. Encores si les choses hont
que ce soit, il faut que vous me les prêtiez, et gardez-vous bien de
souffrir
que quelque autre vous enlève sur la moustache ce
ovembre 1636. Je vous avoue que j’aime à me venger, et qu’après avoir
souffert
durant deux mois que vous vous soyez moqué de la
laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je serois très-marri de
souffrir
qu’il fût publié. Jamais mon dessein ne s’est éte
opposition des intérêts de ceux qui sont logés dans le même palais ne
souffrent
pas qu’ils fassent leurs confidences et ouvrent l
iment ne s’excite en nous par sa représentation que quand nous voyons
souffrir
nos semblables, et que leurs infortunes nous en f
naturellement jaloux, envieux, et malin à l’égard des autres ; il ne
souffre
qu’avec peine qu’ils aient quelque avantage, parc
ne manière impérieuse de dire ses sentiments, que peu de gens peuvent
souffrir
, tant parce qu’elle représente l’image d’une âme
eux qui parlent. Il faut leur donner le temps de se faire entendre et
souffrir
même qu’ils disent des choses inutiles. Bien loin
a multitude ; mais si cette liberté ne veut pas être contrainte, elle
souffre
toutefois d’être dirigée. Vous êtes, Messieurs, u
noître à fond les misères des provinces, et surtout ce qu’elles ont à
souffrir
sans que Votre Majesté en profite, tant par les d
t cru pouvoir s’élever au-dessus des Pères ; l’un et l’autre n’ont pu
souffrir
qu’on les contredît ; et leur éloquence n’a été e
tout. Mais il est question de justifier cela devant Dieu, qui ne peut
souffrir
ces téméraires attentats de l’ambition humaine, e
re pas longtemps. L’envie lui déplaît, mais elle ne l’afflige pas. Il
souffre
avec peine une injustice, mais il la pardonne. Ma
l supérieur que je vais désormais plaider sa cause. Que Votre Majesté
souffre
et qu’elle m’écoute, s’il lui plaît, non pas avec
de supplices ; je ne me plains point de la colère de Votre Majesté ;
souffrez
seulement que je me plaigne de ses bontés. Quand
oir engager avec les Hollandais une garantie que l’Angleterre ne peut
souffrir
sans préjudice : c’étoit presque la même chose en
lle qui me représentoit la mienne. Comprenez-vous bien tout ce que je
souffris
? Les réveils de la nuit ont été noirs, et le mat
force pour soutenir le martyre ; qu’il y eut trente-sept papes qui le
souffrirent
l’un après l’autre, sans que la certitude de cett
ui donner aucun bien qu’elle désire, et il n’y a aucun mal qu’elle ne
souffrit
de bon cœur pour vous faire connoître les vérités
nstance très-essentielle du rare bonheur dont il a joui. M. Newton ne
souffrit
beaucoup que dans les derniers vingt jours de sa
ceur, ne vouloit point de résistance. Aussi n’auroit-il pas longtemps
souffert
de compagnon ; s’il fût revenu à la cour et entré
. Car c’est elle qui porte toutes les charges, qui a toujours le plus
souffert
, et qui souffre encore le plus ; et c’est sur ell
qui porte toutes les charges, qui a toujours le plus souffert, et qui
souffre
encore le plus ; et c’est sur elle aussi que tomb
i consiste cette partie du Peuple si utile et si méprisée, qui a tant
souffert
, et qui souffre tant à l’heure que j’écris ceci…
partie du Peuple si utile et si méprisée, qui a tant souffert, et qui
souffre
tant à l’heure que j’écris ceci… …………………………………………
mauvais, mais qui était corrompu par la vanité et par la volupté. Il
souffrait
rarement qu’on lui parlât, et jamais qu’on osât l
agent mon temps avec la maladie. Je n’ai point de temps à moi, car je
souffre
et je travaille sans cesse. Cela fait une vie ple
énérations sont faibles, les travaux sont suspendus, et la culture en
souffre
. La patience est encore une vertu que les campagn
elui d’une modération qu’on ne fera qu’admirer. « Quand les dieux ont
souffert
que Sylla se soit impunément fait dictateur dans
pire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage qui sait agir,
souffrir
et mourir, sans foiblesse et sans ostentation ! Q
ntes contemplations que les intelligences célestes. Mais un corps qui
souffre
ôte à l’esprit sa liberté : désormais je ne suis
ses terrains et ses aspects, qu’elle offre toutes sortes de sites et
souffre
toutes sortes de cultures. On y trouve des champs
Sa sagesse n’a pu le garantir de faire des fautes irréparables. Il a
souffert
le mal qu’il ne méritoit pas, et celui que son im
a lire. Ce sont vos louanges qui me gâtent ; il est juste que vous en
souffriez
; d’ailleurs, j’aime beaucoup mieux vous écrire r
art d’espérer. Le sentiment de nos forces les augmente. Qui sait tout
souffrir
peut tout oser. Diderot (1713-1784) Not
s en France. De l’allégorie dans la peinture574 Je ne saurois
souffrir
, à moins que ce ne soit dans une apothéose, ou qu
nsolens. Le bon vieillard, qui a aimé ses enfans, mais qui n’a jamais
souffert
qu’on lui manquât, fait effort pour se lever ; ma
e à le remplacer ! Votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard, et que vous seriez comptables de to
bien d’avoir plus de renommée que ceux qui gouvernaient ! Pouvait-on
souffrir
qu’on fît plus d’attention à l’auteur, aux quatri
dans les ténèbres, et sans témoins de sa valeur ; nous, dont la mort
soufferte
pour la liberté ne peut être que glorieuse, solen
à l’assaut, pourquoi ne remercierait-il pas de même Dieu qui le fait
souffrir
? Je ne sais comment cela se fait, mais il est ce
s comment cela se fait, mais il est cependant sûr que l’homme gagne à
souffrir
volontairement, et que l’opinion même l’en estime
i beau et si estimable, une légère couleur de déclamation. Tout homme
souffre
parce qu’il est homme, parce qu’il serait Dieu s’
homme souffre parce qu’il est homme, parce qu’il serait Dieu s’il ne
souffrait
pas, et parce que ceux qui demandent un homme imp
vre et mourir ici comme une huître attachée à son rocher ? » Alors je
souffrais
beaucoup ! j’avais la tête chargée, fatiguée, apl
alveillance qui ne cause de la douleur qu’aux âmes douces, et ne fait
souffrir
que ceux qui ne le méritent pas. Enfin relevons-n
aut en convenir, hommes n’ont été mis à une pareille épreuve et n’ont
souffert
un tel supplice. Si dans ce moment ils eussent ét
s républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de
souffrir
ce que vous avez souffert : grâces vous en soient
ts de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez
souffert
: grâces vous en soient rendues, soldats ! La pat
aux gens d’à présent des faits, des choses d’aujourd’hui ; je ne puis
souffrir
les pamphlets. — Et vous aimez les Provinciales,
e de demande et d’actions de grâces pour son père ? Quand les animaux
souffrent
, quand ils craignent, ou quand ils ont faim, ils
ède le serf est le bien du maître. Pendant que Jacques travaillait et
souffrait
, ses maîtres se querellaient entre eux, par vanit
Angleterre. Mais, vers les derniers jours de fructidor, il commença à
souffrir
des douleurs insupportables. On souhaitait qu’il
les jours s’écouler sans qu’il reparût, désespérait de le voir, et en
souffrait
sans se plaindre. Au lieu de l’arrivée de Berthie
dut être impuissant parce qu’il fut tardif. Charles-Quint, obligé de
souffrir
le protestantisme lorsqu’il était encore faible,
un jour chez un homme qui a beaucoup vécu, beaucoup fait et beaucoup
souffert
. Il tenait à la main un livre qu’il venait de fer
humain, tout est dit, ou plutôt tout se devine, et combien le père a
souffert
de l’absence de son fils, et quels vœux il a fait
s le repète, il n’y a que moi pour improviser. — Sotte coutume ! — Je
souffre
beaucoup de chanter ainsi. Cela me rappelle tous
e : « Charles-Baptiste ! le Christ reçoive ton âme ! — Vivre, c’est
souffrir
. — Tu vas dans un lieu — où il n’y a ni soleil ni
Ay je passé parmy tant de dangers, Tant traversé de pays estrangers,
Souffert
la faim, la soif, le chaut, le froid, Et devant t
sac, le seul filz de ma mere : Je suis Isac qui tien de vous la vie :
Souffrirez
vous qu’elle me soit ravie ? Et touteffois si vou
ir au Seigneur, me voila, Me voila prest, mon pere, et à genoux, Pour
souffrir
tout, et de Dieu et de vous. Mais qu’ay je faict,
. J’ay à Rome soumis tant de riches provinces. ANTOINE. Rome, ne peut
souffrir
commandement de Princes. CÉSAR. Qui s opposera pl
ir, où le sort trop cruel vous convie. Vivez tant que nature icy vous
souffrira
. Elle vient assez tost… (Antigone ou la piété 3
t palle, Non de peur de la mort venue avant saison, Mais pour l’ennuy
souffert
en sa longue prison, Lors tous les assistans émeu
d vivre avecques eux il ne nous est permis : Il te faut donc, Esther,
souffrir
en leur souffrance Ou bien les délivrer avec ta d
nce. Dieu auroit-il sans fin esloigné sa merci ? Qui a peché sans fin
souffre
sans fin aussi. La clemence de Dieu fait au ciel
les planettes Descend ce changement cause de tant de maus ? Peut bien
souffrir
Gérés emmener les chevaus Du labour à la guerre,
servage, M’en rendant possédé, plustost542 que possesseur. J’ay veu
souffrir
le pauvre et vers son indigence Mon secours au be
ILÈNE. Je ne me vis jamais si touché de pitié ; Il me faut malgré moy
souffrir
leur amitié. Sus donc, mes chers enfans, qu’aux n
la fais bonne. Seyez-vous, et quittons ces petits différens. D. LOPE.
Souffrez
qu’auparavant il nomme ses parens. Nous ne contes
xpirer il tâche d’éblouir, Et ne frappe les yeux que pour s’évanouir.
Souffre
, quoi qu’il en soit, que mon âme ravie Te consacr
répas vient tout guérir : Mais ne bougeons d’où nous sommes : Plutôt
souffrir
que mourir, C’est la devise des hommes842. (Fab
oupe tout entière : Tente tout, au hasard de gâter la matière ; On le
souffre
, excepté tes contes d’autrefois. » J’ai presque e
ujours consenti, Et je ne m’en suis pas, grâce au ciel, repenti. J’ai
souffert
qu’elle ait vu les belles compagnies, Les diverti
le confesse, D’un esprit bien posé, bien tranquille, bien doux, Pour
souffrir
qu’un valet de chansons me repaisse ! SOSIE. Si v
eux que je n’aie aucun sujet de plainte Sur cet arrêt affreux dont je
souffre
l’atteinte ! Ah ! leur pouvoir se joue avec trop
ourir. De cent maux le trépas délivre : Qui cherche à vivre Cherche à
souffrir
. Venez tous sur nos sombres bords ; Le repos qu’o
chir les genous Devant un dieu fragile, et fait d’un peu de bouc, Qui
souffre
, et qui vieillit pour mourir comme nous ? Romps
s l’horizon. Tu crains ta liberté. Quoy ! n’est-tu pas lassée D’avoir
souffert
soixante ans de prison ? Tes désordres sont gran
on azur, Et qu’avecque plaisir je ferme la paupière Pour n’en pouvoir
souffrir
la trop vive lumière ! Vous qui, malgré l’hiver,
he Celuy qui cy maintenant dort Fit plus de pitié que d’envie, Et
souffrit
mille fois la mort Ayant que de perdre la vie. Pa
Caton, d’une âme plus égale, Sous l’heureux vainqueur de Pharsale Eût
souffert
que Rome pliât ; Mais, incapable de se rendre, Il
enu, Être approuvé du moins de ses graves confrères ; Mais on ne peut
souffrir
ces bruyans téméraires, Sur la scène du monde ard
boit d’un vin vieux qui rajeunit les sens. Avec toi Ton apprend à
souffrir
l’indigence, À jouir sagement d’une honnête opule
er un ami : On est tantôt au nord, et tantôt au midi. Je ne puis plus
souffrir
cette humeur vagabonde, Et vous ferez tout seul l
!… Des femmes d’un caprice et d’une fausseté ! Des prétendus esprits
souffrir
la suffisance, Et la grosse gaîté de l’épaisse op
sité Est-il dans la même âme avec la probité ? Et parmi vos amis vous
souffrez
qu’on le nomme !… (Ibid., IV, 4.) II A
abeilles. Parmi tous ces débris, où j’ai souvent erré, Où j’ai joué,
souffert
, aimé, rêvé, pleuré, Mon heureuse jeunesse, en vi
te. Enfin, n’en parlons plus. Qu’en un profond oubli Tout ce que j’ai
souffert
demeure enseveli. Je veux en accuser la seule des
sérable ; Je lui rends en terreur l’ennui dont il m’accable ; Et pour
souffrir
tous deux nous vivons réunis, L’un de l’autre tyr
ous, si ce n’est pour mourir ? Pourquoi pour la justice ai-je aimé de
souffrir
? Pourquoi dans cette mort qu’on appelle la vie,
asse, Et la voix de la mer se tait devant ma voix. Lorsque mon peuple
souffre
, ou qu’il lui faut des lois, J’élève mes regards,
appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des deux. Viens ; tu
souffres
, ami. Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque
s lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j’ai
souffert
un dur martyre, Et le moins que j’en pourrais dir
, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît, tant qu’il n’a pas
souffert
. C’est une dure loi, mais une loi suprême, Vieill
je répète en comptant mes souffrances : Pauvre Gilbert, que tu devais
souffrir
! Ils me disaient : Fils des Muses, courage ! No
! mes doigts laissent tomber la plume : Pauvre Gilbert, que tu devais
souffrir
! Si seulement une voix consolante Me répondait
ns remarquer l’absence d’un convive !… Pauvre, Gilbert, que tu devais
souffrir
! J’ai bien maudit le jour qui m’a vu naître ; M
e onde, à voir tes prés fleurir, À vivre sans penser, pour vivre sans
souffrir
. LE PÂTRE. Ami, qu’un Dieu propice à ma voix te d
me tourmente1482, Que je voudrais jeter tout mon être à ce vent ! Je
souffre
, ami, tu vois que je suis bien vivant. LE PÂTRE.
vent ! Je souffre, ami, tu vois que je suis bien vivant. LE PÂTRE. Tu
souffres
d’un corps faible et d’une âme impuissante ; Ce m
n, fut frappé dans un temple. Quinze ans il opprima, quinze ans on le
souffrit
: Il outrage une femme, et, ce jour, il périt1501
s’est lui-mesme ici dépeint. Accoutumez-vous à la vue D’un homme qui
souffre
et se plaint Bien qu’il eust d’extremes souffran
ces, On vit aller des patiences Plus loin que la sienne n’alla. S’il
souffrit
des maux incroyables. Il s’en plaignit, il on par
cevoir. Il dit à Mercure (I, 2) : Je ne puis m’anéantir pour toi. Et
souffrir
un discours si loin de l’apparence. Être ce que j
e tragique de Racine. 971. Corneille, Nicomède, II, 3 : Prusias.
Souffrez
qu’il ait l’honneur de répondre pour moi. Nicom.
l’exécution, elle a des espérances, des joies, des déceptions ; elle
souffre
, elle triomphe, elle se torture, elle s’indigne,
rtu, d’amitié, nous apprennent qu’ Il vaut encor mieux
Souffrir
le mal que de le faire ; (La Brebis et le Chien
de la poétique nouvelle, chante en son nom ce qu’il sent et ce qu’il
souffre
; mais l’éloquence du cœur ne les fait-elle pas f
courbe l’épaule ; « Avoir livré bataille à tous les éléments ; Avoir
souffert
la faim, la soif, tous les tourments, Toutes les
Et c’est un long sujet de murmure et de plainte, Quand son joug n’est
souffert
que par nécessité2. La croix Oui, la cr
ans ce séjour de gloire et de lumière, Ce Dieu tout juste et bon peut
souffrir
ma prière, S’il y daigne écouter un conjugal amou
on propre sentiment ; Prends sa vertu pour guide en ton aveuglement ;
Souffre
que de toi-même elle obtienne ta vie, Pour vivre
expressions dures ou seulement trop fortes. La bonne compagnie ne les
souffre
point, et il importe au critique de faire voir qu
ire, moi à qui on s’est confié ? Tu veux que je le sache et que je le
souffre
? Ah ! Ménas, mon pauvre Ménas, pourquoi me l’as-
oujours ouverte à tout ce qui est imitation et mode ? Notre langue ne
souffre
point ces ombres qui se placent entre notre pensé
c’est quelquefois le dernier ami ; celui-là du moins est éprouvé. Il
souffre
nos humeurs, il joue avec la même grâce pour le v
s, parce qu’elle est brève dans virgĭnis, sanguĭnis, etc. Cette règle
souffre
néanmoins plusieurs exceptions que l’usage appren
ATTcaractere]ramis ; Ζέφυρος, Zĕph[ATTcaractere]rus, etc. Cette règle
souffre
aussi des exceptions. Ainsi : 1. Les finales en o
s ! » Afin que l’indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre qui
souffre
à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe
e lui fait envie ; Sage et douce, elle prend patiemment la vie ; Elle
souffre
le mal sans savoir qui le fait. Moi, je sais mieu
vivant que la vie, et plus fort que la mort. *** Et j’aurais moins
souffert
(pardonne à mon remord, Seigneur ! ) d’en voir s
; sa mort va vous l’ouvrir. ACHILLE. Juste ciel ! puis-je entendre et
souffrir
ce langage ? Est-ce ainsi qu’au parjure on ajoute
t sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime Mais je ne puis
souffrir
ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire, et
uvelle a commencé, époque où ne domine d’abord que le souvenir du mal
souffert
: le testament du roi est annulé, et la joie du p
anqua pas de m’éblouir ; mais peu à peu mes yeux s’accoutumèrent à le
souffrir
. Nous passâmes auprès de Pontferrada, et nous all
ndre le vrai sens de mes paroles, que dites-vous ? Quel aveuglement !
Souffrez
que je vous représente l’état malheureux… Oh ! Mo
il fallait assurer le droit des pairs. Maintenant qu’il ne peut plus
souffrir
d’atteinte, j’ai cru pouvoir rendre par grâce au
faisaient ombrage ; dans la suite, ils n’y purent réussir. Il fallut
souffrir
qu’Attila soumît toutes les nations du nord : il
e défendre par aucun moyen contre la chaleur trop grande, que même il
souffre
beaucoup dans les climats que les animaux du midi
ent, aussi tranquille, que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il
souffre
avec constance, et peut-être avec courage, les ch
enfant misérable en ne l’exposant qu’aux incommodités qu’il veut bien
souffrir
? Je fais son bien dans le moment présent en le l
l ne pouvait mieux faire241 ? » Que me dit maintenant votre poème ? «
Souffre
à jamais, malheureux. S’il est un Dieu qui t’ait
issent : car on ne saurait voir pourquoi tu existes, si ce n’est pour
souffrir
et mourir242. » Je ne sais ce qu’une pareille doc
phez paisiblement sur la nature de l’âme ; et, si le corps ou le cœur
souffre
, vous avez Tronchin pour médecin et pour ami ; vo
palliatif actuel, que comme un dédommagement à venir. Non, j’ai trop
souffert
en cette vie pour n’en pas attendre une autre. To
olents. Le bon vieillard, qui a aimé ses enfants, mais qui n’a jamais
souffert
qu’aucun d’eux lui manquât, fait effort pour se l
ascal, de n’être pas un homme qui observe à loisir, mais un homme qui
souffre
, et qui met toute son âme dans ses écrits. Là cep
a pratiquer sans qu’elle offense. Peu de gens ont assez de fonds pour
souffrir
la vérité et pour la dire276. Ceux qui n’ont que
é avec admiration l’habile et savante économie. Aussi, quoi qu’en dût
souffrir
sa popularité, il n’hésita pas à combattre la min
iatement du moins. Votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard, et que nous serions comptables de t
sommes-nous pas attachés par tous les liens de l’amour et du devoir ?
Souffrons
plutôt, souffrons avec une résignation réfléchie
tachés par tous les liens de l’amour et du devoir ? Souffrons plutôt,
souffrons
avec une résignation réfléchie ; si nous savons u
e et à mourir ici comme une huître attachée à son rocher ? » Alors je
souffrais
beaucoup : j’avais la tête chargée, fatiguée, apl
l avait encore une part active dans les scènes des passions, quand il
souffrait
lui-même par le cœur, ses écrits produisaient une
xistence matérielle, et plus l’on diminue, dira-t-on, la puissance de
souffrir
. Cet argument séduit un grand nombre d’hommes ; i
mes compagnons : il se plaint, bien qu’il sommeille. Tu vis, donc tu
souffres
: voilà l’homme. Minuit et demi. Le repos continu
lon qui écrit ainsi à l’un de ses amis. Il ne faut pas se plaindre de
souffrir
ce que tant d’autres ont souffert. La fin d’aille
amis. Il ne faut pas se plaindre de souffrir ce que tant d’autres ont
souffert
. La fin d’ailleurs, quelle qu’elle soit, est touj
prix : « Soyez sûr, lui écrivit-il, sur ma parole de roi, que vous ne
souffrirez
ni dans votre vie, ni dans votre fortune, ni dans
n calcul d’intérêt ait engendré de pareils sacrifices ; il n’a jamais
souffert
qu’on transformât ses héros et ses martyrs en mar
édégonde fut saisie des cruelles angoisses de cœur que la nature fait
souffrir
aux mères, et, sous le poids de l’anxiété materne
ur laquelle elle a été faite, c’est sou bonheur, c’est son bien. Elle
souffre
donc, et non seulement elle souffre, mais elle s’
sou bonheur, c’est son bien. Elle souffre donc, et non seulement elle
souffre
, mais elle s’étonne et s’indigne : car, comme ell
les jours s’écouler sans qu’il reparût, désespérait de le voir, et en
souffrait
sans se plaindre. Au lieu de l’arrivée de Berthie
ther, Childe-Harold, les Renés purs, sont des malades pour chanter et
souffrir
, pour jouir de leur mal, des romantiques plus ou
nt se méfie. » — « Il n’est plus de danger. » — « L’homme est né pour
souffrir
. » — « Il est né pour changer. — « Il change d’in
poix brûlante agitée en ses veines Ressuscite un flambeau mourant, Je
souffre
, mais je vis. Par vous, loin de mes peines, D’esp
urs noms, pour chanter leur supplice ! Allons, étouffe tes clameurs ;
Souffre
, ô cœur gros de haine, affamé de justice, Toi, ve
, elle s’abaissait souvent à de trop grossières trivialités pour être
soufferte
en bonne compagnie. Si parfois elle s’essayait à
il en suit les fibres les plus secrètes, il s’écoute penser, jouir et
souffrir
. Alors se développe surtout la poésie lyrique, ri
uler, l’aquilon pour courir, Les soleils pour brûler, et l’homme pour
souffrir
. « Que j’ai bien accompli cette loi de mon être ;
hes de la tour, Les étangs, les troupeaux avec leur voix cassée, Tout
souffre
et tout se plaint. La nature lassée A besoin de s
e lui fait envie ; Sage et douce, elle prend patiemment la vie ; Elle
souffre
le mal sans savoir qui le fait. Tout en cueillant
dieux826, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je
souffre
, il est trop tard ; le monde s’est fait vieux. Un
l est juste, il est bon ; sans doute il vous pardonne. Tous vous avez
souffert
, le reste est oublié. Si le ciel est désert, nous
appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens ; tu
souffres
, ami. Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque
mour à l’égoïsme ; Développer l’essor des instincts généreux ; Ne pas
souffrir
qu’en France il soit un malheureux ; Fonder l’éga
, que je travaille. Ami du peuple hier, je le suis aujourd’hui ; J’ai
souffert
, j’ai lutté, j’ai haï comme lui ; Misère, oubli,
qui donc, parmi ceux qui parlent de courage, Eût. Sans ployer un peu,
souffert
le même orage ? Le malheur, — c’est tout simple,
on verbe ne manque pas de marcher derrière, suivi d’un adverbe qui ne
souffre
rien entre deux, etc. » Rappelons, d’ailleurs, qu
sont point considérés ; mais quelqu’un de vos bons serviteurs peut-il
souffrir
que leurs intrigues s’ourdissent sous votre nom,
i que la régente a fort maltraité Votre Altesse et qu’elle lui a fait
souffrir
d’énormes injustices ; mais quel déplaisir vous a
e est fait pour tout oser, et qu’un peuple esclave est fait pour tout
souffrir
. Ce monstre périt enfin par les coups de Cassius
pire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage qui sait agir,
souffrir
et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? C
la perte des villes, et qu’au milieu de cette Athènes qui ne pouvait
souffrir
de maîtres, ils étaient plus maîtres que les rois
iance du bien public, leurs plaisirs dispendieux et inutiles. Ils lui
souffrirent
toutes ces hardiesses, pareils au patient qui liv
la vérité, c’est-à-dire s’il s’adressait à des hommes capables de la
souffrir
. Mais où les trouver ces hommes ? La plupart sont
me de leur gouvernement ?… Et les Grecs voient ces choses, et ils les
souffrent
, pareils à des gens qui regarderaient tomber la g
battans Une seconde fois s’égorger dans ses champs. Deux fois le ciel
souffrit
que ces fatales plaines S’engraissassent du sang
entences, les pensées morales trop généralisées n’y sont pas non plus
souffertes
, à moins qu’elles ne soient naturellement dictées
est sur le point de partir, et voulant rompre ce départ, l’a priée de
souffrir
qu’elle entretînt ce soir Valère sous le nom d’Is
e esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir, je
souffre
le martyre. Il faut suer sans cesse à chercher qu
que j’avois à craindre. Mais ne présumez pas que, sans être vengé, Je
souffre
le dépit de me voir outragé. Je sais que sur les
’attacher à imiter, à quelques expressions près qui ne seroient point
souffertes
aujourd’hui sur notre théâtre. Mais observons ici
rner, et je t’y vais offrir ! Non, tu ne mourras point, je ne le puis
souffrir
. Le succès d’une tragédie dépend en grande parti
eau, Qui fait cheoir les méchans sous la main d’un bourreau ? Romains
souffrirez
-vous qu’on vous immole un homme, Sans qui Rome au
ages, Quittent le noble orgueil d’un sang si généreux Jusqu’à pouvoir
souffrir
que tu règnes sur eux ? Parle, parle, il est temp
r la foi qu’il vient de me donner. Néarque. Ce zèle est trop ardent,
souffrez
qu’il se modère. Polyeucte. On n’en peut trop av
plus elle mérite. Néarque. Il suffit, sans chercher d’attendre et de
souffrir
. Polyeucte. On souffre avec regret, quand on n’o
e. Il suffit, sans chercher d’attendre et de souffrir. Polyeucte. On
souffre
avec regret, quand on n’ose s’ouffrir. Néarque.
ors tout le palais retentit de ce cri de douleur ; Ae. Admète ne peut
souffrir
la vie, que le destin lui rend à ce prix. Alcide,
vent y paroître. Mais ces deux poëmes ont cela de commun, qu’ils n’en
souffrent
point d’inutiles. Dans l’épopée, tous doivent fac
rses que le courroux de la Déesse put lui susciter. Il eut beaucoup à
souffrir
des fureurs de la guerre, tandis qu’il transporto
onner la Taprobane (b) de leur audace ; eux dont le courage patient à
souffrir
des travaux au-delà des forces humaines, établit
ourage, On voit en un instant des abîmes ouverts, De noirs torrens de
souffre
répandus dans les airs, Des bataillons entiers, p
Livre. Enée aborde à Cumes. La Sybille lui annonce tout ce qu’il doit
souffrir
avant de s’établir en Italie, et le conduit aux e
’amour à l’égoïsme, Développer l’essor des instincts généreux, Ne pas
souffrir
qu’en France il soit un malheureux, Fonder l’égal
que je travaille. Ami du peuple, hier, je le suis aujourd’hui ; J’ai
souffert
, j’ai lutté, j’ai haï comme lui ; Misère, oubli,
t et dissolu ; et au tort et à la douleur, qu’il ne peut honnestement
souffrir
, insensible. Je ne vois pas maintenant personne q
’a aucun, rapport avec lui. Après l’apparition d’une comète, la terre
souffre
quelques grands désastres ; on attribue à la comè
rle ainsi devant les magistrats qui sont ses juges : Juges intègres,
souffrez
que je tombe à vos pieds, non pour vous adresser
e dans l’infortune que vous lui retracez la peinture des maux qu’il a
soufferts
ou qu’il est exposé à souffrir. Vous produirez su
retracez la peinture des maux qu’il a soufferts ou qu’il est exposé à
souffrir
. Vous produirez surtout une impression profonde e
e sermon, elle permet d’embrasser tous les besoins de l’auditoire, et
souffre
les détails les plus simples et les plus familier
ter dans les bornes d’une exacte et rigoureuse vérité. La religion ne
souffre
pas que, à la face des autels et au milieu des sa
entraîne, et sont incapables d’y résister. Avides d’honneurs, ils ne
souffrent
pas le mépris, et leur ressentiment éclate dès qu
nceté, ils jugent les autres d’après eux-mêmes, et s’imaginent qu’ils
souffrent
injustement. Ils aiment la gaieté et par conséque
les vieillards parce qu’ils sont faibles, et se voient exposés à tout
souffrir
; or, c’est une des causes dont la pitié dérive.
êt, la bonne cause avec la mauvaise, où les astres les plus brillants
souffrirent
presque tous quelque éclipse, et les plus fidèles
-nous à ce surcroît de peu de jours ? Quelques maux de plus à voir, à
souffrir
, peut-être à faire nous-mêmes ; et pourquoi ? pou
nce a beau s’étourdir, le pécheur n’est pas heureux, c’est la loi. Il
souffre
surtout à ces moments solennels où la solitude l’
pporter les calomnies, les révoltes, les attentats. Mais sa douceur à
souffrir
tout et à pardonner tout le faisait aimer de ceux
iatement du moins. Votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard et que nous serions comptables de to
d’un homme peut inventer, et de ce que la sensibilité d’un autre peut
souffrir
. Et vous avez voulu parler des droits de la natur
alomnier, après l’avoir empêchée autrefois de me défendre. Et tu l’as
souffert
! qu’est devenue ta tendresse ? qu’est devenu ton
otre grandeur et de notre misère, il associe l’accent d’un cœur qui a
souffert
. De là ce style incomparable qui se colore, s’éch
ous avons une si grande idée de l’âme de l’homme, que nous ne pouvons
souffrir
d’en être méprisés et de n’être pas dans l’estime
ourir de pied ferme que de vous sauver par ce moyen. Votre Majesté ne
souffrirait
jamais qu’on dît qu’un cadet de la maison de Lorr
te bien. Nous sentons et nous pesons vite ce que les autres nous font
souffrir
et supporter ; mais nous ne songeons guère à ce q
frir et supporter ; mais nous ne songeons guère à ce que nous faisons
souffrir
et supporter aux autres. Réfléchissez longtemps s
bien ! dit-il, mon cher, vous arrivez à propos. Depuis longtemps, je
souffre
beaucoup d’un ulcère qui s’est logé profondément
les mains des nourrices, de peur d’ajouter aux douleurs qu’elle avait
souffertes
dans l’enfantement, les soins laborieux et pénibl
amis de l’étude et des lettres négliger leurs intérêts et leur santé,
souffrir
tout pour la science, tant elle les captive, et s
elles embûches à l’argent, il n’attentait à la vie de personne, et ne
souffrait
point qu’on tuât ceux qui tombaient entre ses mai
quelque chose, sa bonté prévenante aimant à devancer les prières. Il
souffrait
sans s’offenser que les gens de la dernière class
48. J’admire souvent Auguste, plutôt pour les plaisanteries qu’il a
souffertes
, que pour celles dont il est l’auteur : car il y
un être misérable et abject, cette victime de la fortune, et nous ne
souffrons
pas qu’on nous reproche le joug que nous faisons
procès : ce fut toutefois sans que les intérêts de la partie adverse
souffrissent
aucun tort. Version LXIV. De l’Apologue.
nce si étrange ralentissait le feu de l’orateur. Depuis longtemps, il
souffrait
de ce dégoût, de cette insensibilité dans une aff
exte coupé]es bras, quand il tombait de si haut. César, ai-je dit, le
souffrit
[illisible chars][texte coupé]atiemment, sans mêm
étaient résolus à tout [illisible chars][texte coupé]durer ; mais ils
souffraient
surtout du manque de vivres. Ils [illisible chars
s à fortifier son corps contre toutes les épreuves qu’il peut avoir à
souffrir
, on cite encore cette pratique de Socrate. Il se
n : jamais il ne prêtera sciemment son ministère à l’injustice, et ne
souffrira
pas que ce port tutélaire de l’éloquence soit ouv
le maître de la terre et des hommes, vivre avec une sévère économie,
souffrir
longtemps la faim, puis se contenter d’une nourri
ontradictions ; le menteur vaniteux, par sa fausseté. Vous ne pourrez
souffrir
qu’un soupçonneux vous craigne, qu’un entêté l’em
de légères peines, et les bons défendus sans que leur fortune dût en
souffrir
. Et, quoiqu’il sortît quelquefois de ses fonction
présence m’accompagne dans tous mes voyages, et que je n’aie point à
souffrir
si souvent le cuisant regret que me cause votre a
r, put lui paraître moins révoltante ; car il n’était point destiné à
souffrir
, de son ennemi vainqueur, un traitement plus impi
leur émotion par des larmes. Il faudra tirer cet effet, ou de ce qu’a
souffert
la personne pour qui l’on parle, ou de ce qu’elle
de ce qu’a souffert la personne pour qui l’on parle, ou de ce qu’elle
souffre
actuellement, ou des maux qui l’attendent si elle
gement se contente d’approuver ou de condamner, mais le goût jouit ou
souffre
. Il est au jugement ce que l’honneur est à la pro
des conseils que des lois invariables et inflexibles. Presque toutes
souffrent
des exceptions. Le mérite de l’écrivain n’aurait
rs toiles sur nos lances et nos boucliers. Cette image ne serait pas
soufferte
dans la haute poésie française. 80. Pour s’assure
, C’est ce qu’on appelle constance ; Et dans ceux qui les ont
soufferts
, Cela s’appelle patience. 92. La propriété d
tout marqués de cicatrices et plus faibles qu’ils n’étaient d’abord.
Souffrons
donc, ajoute Quintilien, que ce que nous avons éc
e dénouement dans le récit du sacrifice d’Eudore. Ce jeune chrétien a
souffert
la torture et va souffrir la mort, lorsqu’il appr
du sacrifice d’Eudore. Ce jeune chrétien a souffert la torture et va
souffrir
la mort, lorsqu’il apprend que son épouse est con
place les acteurs de l’épopée ; bonnes, mais d’une bonté générale qui
souffre
quelque faiblesse et quelques défauts, si l’on ve
genre. Outre qu’elles exigent chacune un talent particulier, on, n’y
souffre
pas les moindres défauts. Si elles ne sont pas ir
e VI. Énée aborde à Cumes ; la Sybille lui annonce tout ce qu’il doit
souffrir
avant de s’établir en Italie ; elle le conduit au
er la foi qu’il vient de me donner. NÉARQUE. Ce zèle est trop ardent,
souffrez
qu’il se modère. POLYEUCTE. On n’en peut trop avo
plus elle mérite. NÉARQUE. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de
souffrir
. POLYEUCTE. On souffre avec regret, quand on n’os
E. Il suffit, sans chercher, d’attendre et de souffrir. POLYEUCTE. On
souffre
avec regret, quand on n’ose s’offrir. NÉARQUE. Ma
terre est indigne de toi. « Là, jamais entière allégresse : L’âme y
souffre
de ses plaisirs : Les cris de joie ont leur trist
il n’y en a pas une qui ne m’ait déchiré le cœur, et je n’aurais pas
souffert
davantage si j’eusse creusé moi-même la fosse de
ngue française est reconnue comme la plus claire qui existe ; elle ne
souffre
ni le vague ni l’obscurité ; elle n’aime pas l’in
terre est indigne de toi. « Là, jamais entière allégresse; « L’âme y
souffre
de ses plaisirs : « Les cris de joie ont leur tri
s : « On nous maudit, et nous bénissons ; on nous persécute, et nous
souffrons
; on nous dit des injures, et nous répondons par
ertain. Renonce à ton projet ; et, content de régner sur tes peuples,
souffre
que nous régnions sur les nôtres. Mais, sourd san
ient venus vous assiéger, et vous vous en repentez à présent que vous
souffrez
. — Abattus par des disgrâces aussi funestes qu’im
M’avez-vous, sans pitié, relégué dans ma cour3 ? On dit plus4 : vous
souffrez
, sans en être offensée, Qu’il vous ose, madame, e
mal6. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire : Son fils ne
souffre
plus qu’on lui parle d’affaire. Il nous le fait g
es libertés. Mais, monseigneur, vous en faites trop, pour le pouvoir3
souffrir
en silence ; et vous seriez injuste, si vous pens
ux qui parlent1. Il faut leur donner le temps de se faire entendre et
souffrir
même qu’ils disent des choses inutiles. Bien loin
omairon, doit être exact, poli ; châtié dans ce petit ouvrage. On n’y
souffre
ni le moindre écart du sujet, ni un vers faible o
te des écrivains distingués. Il sentira vivement leurs fautes ; il en
souffrira
. Mais, tandis qu’il les blâme avec une austère fr
plus noires, tantôt nous dévore des plus cruelles jalousies, qui fait
souffrir
à une âme comme une espèce d’enfer, et qui la déc
ive, plus riche que celle de Cicéron, c’est ce que personne ne pourra
souffrir
. Je lisais dernièrement le discours de C. Gracchu
début insinuant : Avant que tons les Grecs vous parlent par ma voix,
Souffrez
que j’ose ici me flatter de leur choix, Et qu’à v
urir de pied ferme, que de vous sauver par ce moyen. Votre Majesté ne
souffrirait
jamais qu’on dise qu’un cadet de la maison de Lor
os freres !,.. Vous alléguez le malheur des temps ! mais vos passions
souffrent
-elles de la misère publique ? retranche-t-elle qu
’énonce ces faits au moment où ils se passent : je veux, je pense, je
souffre
, je jouis. La pensée est encore juste, quand elle
ier des pages entières de ce genre : « On vit la duchesse d’Aiguillon
souffrir
, mais on ne l’entendit pas se plaindre ; elle fit
étiens : « On nous maudit, et nous bénissons ; on nous persécute nous
souffrons
; on nous dit des injures, et nous répondons par
is événements, naître, vivre et mourir : il ne se seul pas naître, il
souffre
à mourir, et il oublie de vivre. » « La plupart d
eau Qui fait choir les méchants sous la main d’un bourreau ? Romains,
souffrirez
-vous qu’on vous immole un homme Sans qui Rome auj
! que c’est assurément à cause des Juifs qui sont ici que nous avons
souffert
cet incendie ; ce sont eux qui nous portent malhe
at, plus le climat en est rude, ou, ce qui revient au même, plus on a
souffert
de persécutions dans ce pays, plus il a de charme
achement pour un vaisseau à bord duquel il était né, qu’il ne pouvait
souffrir
d’en être séparé un moment. Quand on voulait le p
e à le remplacer ; votez-le, parce que les circonstances publiques ne
souffrent
aucun retard, et que vous seriez comptables de to
ropre : « On ne doit pas, dit-il, en exclure les autres, mais on doit
souffrir
que dans les entretiens familiers, comme dans tou
hait ; il se laisse enthousiasmer, tromper, séduire ; il résiste, il
souffre
, il fait souffrir les autres ; ce sont des altern
sse enthousiasmer, tromper, séduire ; il résiste, il souffre, il fait
souffrir
les autres ; ce sont des alternatives sans fin ;
terreur : l’une a pour objet l’innocent, l’autre notre semblable qui
souffre
; car la pitié naît du malheur non mérité, et la
t toujours plus persuasive : on s’agite avec celui qui est agité ; on
souffre
, on s’irrite avec celui qui souffre, qui est irri
ite avec celui qui est agité ; on souffre, on s’irrite avec celui qui
souffre
, qui est irrité. C’est pour cela que la poésie de
-elle été toujours, si elle eût vécu ? Jugez-en par les maux que vous
souffrez
— Elle eût pu devenir mère d’une fille et ne pas
rait nécessaire ! — J’étais loin de m’attendre à ce malheur - — Je le
souffre
… Je suis digne de votre pitié — … Avis. Saisisse
née à ce sujet. Elle s’excuse et témoigne son repentir. Quand le cœur
souffre
, dit-elle, on se plaint à ceux qu’on aime. — Est-
ous dire sur l’inconstance de la fortune et sur l’honneur qu’il y a à
souffrir
courageusement ses disgrâces ; mais, dès vos prem
us soutiens qu’ici-bas tout est mal, au moral comme au physique. Nous
souffrons
en naissant, en vivant et en mourant, — au dedans
isonnements. Enfin, tout est misère, noirceur, sottise. — Avis. Que
souffrons
-nous au dedans de nous-mêmes ? Que souffrons-nous
, sottise. — Avis. Que souffrons-nous au dedans de nous-mêmes ? Que
souffrons
-nous à l’extérieur ? — Quels sont les fléaux de l
qui l’avaient raillée, trouvèrent la mort dans les flots. Justes, qui
souffrez
— … courage ! — … A l’autre bord il est une contr
e misère où je me suis précipité, sois-le du moins par tout ce que je
souffre
dans cet instant. Laisse tomber un regard sur mon
; de toi la terre est indigne. Là, jamais allégresse pleine, l’âme y
souffre
de ses joies, les cris d’allégresse ont leur chag
t, la bonne cause avec la mauvaise : où les astres les plus brillants
souffrirent
presque tous quelque éclipse, et les plus fidèles
smes dédaigneux et superbes. On comprend que Rabelais n’ait jamais pu
souffrir
celui qu’il appela « le démoniaque de Genève », c
uelque noble qu’il soit en lui-même, par cette autre puissance qui ne
souffre
jamais impunément d’éclipse, la vertu. Dès ses je
abeilles. Parmi tous ces débris, où j’ai souvent erré, Où j’ai joué,
souffert
, aimé, rêvé, pleuré, Mon heureuse jeunesse, en vi
eux qui parlent. Il faut leur donner le temps de se faire entendre et
souffrir
même qu’ils disent des choses inutiles. Bien loin
ince, car se il pressoit130 ses subjectz, toutes fois il n’eust point
souffert
que ung aultre l’eust faict, ne privé, ny estrang
Espagnols n’oublièrent pas cette injure. Or comme les Français, ayant
souffert
des extrémités incroyables de disette, étaient su
e pièce qu’il fut saisi d’un violent accès du mal de poitrine dont il
souffrait
depuis longtemps ; il mourut quelques heures aprè
684 qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bien tout ce que je
souffris
? Les réveils de la nuit ont été noirs, et le mat
nous fait sentir les maux de nos frères, entrer dans leurs intérêts,
souffrir
de tous leurs besoins. Au contraire l’esprit du m
s… Adieu, mon cher fils. Offrez bien au bon Dieu tout le mal que vous
souffrez
, et remettez-vous entièrement à sa sainte volonté
dit ». Il fallut lui couper le bras, qui ne tenait presque à rien. Il
souffrit
cela, sans desserrer les dents ; et après l’opéra
uités qu’on ne lui passe. Je cède enfin et je disparais, incapable de
souffrir
plus longtemps Théodecte et ceux qui le souffrent
parais, incapable de souffrir plus longtemps Théodecte et ceux qui le
souffrent
. (Id., ibid.) Les manies Le fleuriste a un
lades. On leur laisse chercher ce qui peut guérir leur goût ; on leur
souffre
quelques fantaisies aux dépens mêmes des règles,
t derrière comme se jouant sur son dos. Mais comme Bacchus ne pouvait
souffrir
un rieur malin, toujours prêt à se moquer de ses
ie été touché de la misère du peuple et de toutes les vexations qu’il
souffrait
. La connaissance que ses emplois lui donnaient de
mauvais, mais qui était corrompu par la vanité et par la volupté. Il
souffrait
rarement qu’on lui parlât, et jamais qu’on l’osât
ient, aussi tranquille que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il
souffre
avec constance, et peut-être avec courage, les ch
heure à la fatigue des voyages, il s’essaye à se passer du sommeil, à
souffrir
la faim, la soif et la chaleur ; en même temps il
it faire marcher un de mes camarades à ma place, et je ne l’eusse pas
souffert
; c’eût été me déshonorer. Je m’élançai donc. Mai
la vie augmenta. L’homme de labeur et sa famille commencèrent donc à
souffrir
beaucoup. Après avoir bientôt épuisé ses modiques
ous partagerons ce que je tiens de la bonté de Dieu. » La famille qui
souffrait
fut ainsi soulagée, jusqu’à ce qu elle pût elle-m
et qui en triompha ! car toute vérité a son calvaire, où il lui faut
souffrir
avant de triompher. Cet homme, c’est l’apôtre de
glaçons qui, s’attachant aux chairs, causaient de vives douleurs. Ils
souffraient
sans se plaindre, sans paraître même affectés, ta
avait pas comme eux la jeunesse et l’avantage d’un peu de repos pris,
souffrait
plus qu’eux, mais il avait la supériorité de son
si c’était possible. En ce moment son âme si bonne, quoique si rude,
souffrait
cruellement. Enfin, ayant attendu jusqu’à près de
ranquille que si nous eussions été riches pour toujours.... Celle qui
souffrait
sans distraction du mauvais état de nos affaires,
, toute la série des supplices, comme s’ils n’avaient auparavant rien
souffert
. Les instruments de ces tortures étaient comme éc
s faisant immortel Comme Charles le Grand, ou bien Charles Martel. Ne
souffrez
que les grands blessent le populaire ; Ne souffre
Charles Martel. Ne souffrez que les grands blessent le populaire ; Ne
souffrez
que le peuple au grand puisse déplaire. Gouvernez
e victoire ; Et pour tant de hauts faits je lui dois quelque gloire :
Souffrez
qu’il ait l’honneur de répondre pour moi. Nicomè
quis, m’a-t-il dit, prenant près de moi place, Comment te portes-tu ?
Souffre
que je t’embrasse2226. » Au visage sur l’heure un
ends ma parole. Sosie. N’importe, je ne puis m’anéantir pour toi, Et
souffrir
un discours si loin de l’apparence. Etre ce que j
esprit de femme, et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir, je
souffre
le martyre : Il faut suer sans cesse à chercher q
plus légère ; Le bien que l’on fait à son frère Pour le mal que l’on
souffre
est un soulagement. Confucius2551 l’a dit ; suivo
rir. Notre paralytique, Couché sur un grabat, dans la place publique,
Souffrait
sans être plaint : il en souffrait bien plus. L’a
un grabat, dans la place publique, Souffrait sans être plaint : il en
souffrait
bien plus. L’aveugle, à qui tout pouvait nuire, É
in de ta clémence ! Ils ont péché ; mais le ciel est un don ! Ils ont
souffert
; c’est une autre innocence ! Ils ont aimé ; c’es
! » Afin que l’indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre, qui
souffre
à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe
mbre, à sa tige on s’appuie. C’est, à lui de veiller, d’enseigner, de
souffrir
, De travailler pour tous, d’agir et de mourir ! V
que mélancolie. Ayant toujours aimé cet âge à la folie, Et ne pouvant
souffrir
de le voir maltraité, Je fus à la rencontre, et m
qui ne vit que pour lui. L’âme, rayon du ciel, prisonnière invisible,
Souffre
dans son cachot2781 de sanglantes douleurs. Du fo
reau qui les suit, Et qu’ainsi leur salut ne devienne leur perte, Ils
souffrent
sans gémir et se hâtent sans bruit. Hélas ! plus
33. Estoc, pointe de l’épée. 2734. Les acquêts sont ici (car le mot
souffre
, en jurisprudence, des sens plus spéciaux) les bi
res des villes d’Angleterre : Ma mère, que de maux en ces lieux nous
souffrons
! L’air de nos ateliers nous ronge les poumons, E
es tristes événements de 1870-1871, dont sa chère province eut tant à
souffrir
. Citons la conclusion d’une pièce dans laquelle l
ir que deux tables, et ne point se charger de tout ; il jura qu’il ne
souffrirait
plus que M. le prince en usât ainsi : mais c’étai
on les touche, on les renverse ? Il y a des corps qui ne peuvent plus
souffrir
les remèdes, et qui ne sont plus capables de guér
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