nue en France au lendemain de la Terreur, elle y réveilla l’esprit de
société
, jusqu’au jour où sa royauté de salon parut dange
ue ou abstrait, n’a pas retenu toute la flamme de sa parole1. Une
société
de province 2 La naissance, le mariage et la
aissance, le mariage et la mort composaient toute l’histoire de notre
société
, et ces trois événements différaient là moins qu’
our d’une table à thé plusieurs heures par jour, après dîner, avec la
société
de ma belle-mère. Elle était composée de sept fem
ouvoir ombrageux. 1. Comparez la petite ville par La Bruyère (de la
société
), p. 117. Ed. Hémardinquer. Corinne disait encore
née par la mécanique, elle aurait très-bien rempli mon emploi dans la
société
. « D’abord j’essayai de ranimer cette société end
mpli mon emploi dans la société. « D’abord j’essayai de ranimer cette
société
endormie : je leur proposai de lire des vers, de
ues à prendre. » 1. Comparez la petite ville par La Bruyère (de la
société
), p. 117. Ed. Hémardinquer. Corinne disait encore
née par la mécanique, elle aurait très-bien rempli mon emploi dans la
société
. « D’abord j’essayai de ranimer cette société end
mpli mon emploi dans la société. « D’abord j’essayai de ranimer cette
société
endormie : je leur proposai de lire des vers, de
la part qui revient à chacun dans la bonne ou la mauvaise fortune des
sociétés
, l’art magistral de classer les idées, de les fai
à ces habitudes, à cette vie agricole qui faisaient la vigueur de la
société
américaine. Les voyages, la chasse, l’exploration
plus hautes comme les plus simples. Né dans les premiers rangs de la
société
coloniale, élevé dans les écoles publiques, au mi
s dans une situation désintéressée. En 1754, il entre à peine dans la
société
et dans la carrière des armes. C’est un officier
ions mémorables, les chefs-d’œuvre, les grands hommes, c’est là votre
société
familière. Vivez, vivez longtemps au milieu d’ell
humaine, où l’âme de l’homme a été troublée aussi profondément que la
société
. Nous en sommes sortis travaillés de maladies con
es désirs modérés, de la tempérance et de l’énergie. Il faudra que la
société
apprenne de vous à régler ses prétentions sans ab
e. Il faut y chercher son portrait en même temps que le tableau de la
société
qu’il éblouit sans la rendre meilleure. En condam
e au bout de la ville, pour souper le lendemain à l’autre bout. D’une
société
de trois ou quatre intimes amis il faut voler1 à
. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la
société
humaine3 dont notre ignorance et notre faiblesse
ieur, que ce sont là de petits malheurs particuliers, dont à peine la
société
s’aperçoit. Qu’importe au genre humain que quelqu
ne fut un détestable assassin que dans le temps où il fut privé de la
société
des gens de lettres. Avouez que Pétrarque et Bocc
il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer la
société
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douce
par conséquent, attentifs à leur conduite, pourront vivre ensemble en
société
. Ils cultiveront les beaux-arts, par lesquels les
ssassine pas pour voler votre argent4. Dès lors, tous les liens de la
société
sont rompus ; tous les crimes secrets inondent la
isonnements ne peuvent pas plus sur lui que sur un loup affamé. « Une
société
particulière d’athées qui ne se disputent rien, e
s par le milieu social sur les écrivains, et par les écrivains sur la
société
qui les vit naître. Il anime et vivifie tous les
x, non ce faux zèle, cette pieuse imposture, dont Molière vengeait la
société
, mais un esprit grave et sincère, nourri par la m
vait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des
sociétés
mourantes. Massillon était inspiré par l’élégance
i les lueurs hardies d’une civilisation irrégulière et la pompe d’une
société
polie, il était à la fois Démosthène, Chrysostome
par état en opposition avec les mœurs, qu’il est le contre-pied de la
société
, et que, pour plaire au public, il ne doit pas du
s ouvrages et les succès se comptaient par centaines. Au milieu d’une
société
placée tout entière sur le même niveau, mais mobi
tions. Votre théâtre s’est rapproché de ces proverbes de salon, où la
société
se peint d’autant mieux qu’elle les fait elle-mêm
, et comme chrétiens. Comme hommes, c’est-à-dire, comme membres de la
société
, nous devons savoir la meilleure manière de nous
e dans la vie civile. Nous naissons tous pour la patrie et pour la
société
. Dans quelque rang que le ciel nous ait placés, n
us commande la nature. Ce sont là les obligations qui nous lient à la
société
, et à chacun des individus qui la composent. Mais
nce. L’homme y apprend à combiner tous les rapports qui le lient à la
société
, et à déduire de ces rapports tous les devoirs au
tabliroit sur des fondemens inébranlables la paix et l’harmonie de la
société
. Les avantages que nous retirons de la connoissan
ue) une religion est absolument nécessaire pour le bien général de la
société
, pour le bien particulier de chaque individu ; et
oltaire a si bien exprimée dans ces vers : C’est le sacré lien de la
société
, Le premier fondement de la sainte équité, Le fre
norantes, égare les esprits de la multitude et bouleverse l’ordre des
sociétés
. L’éloquence de la tribune varie autant que les c
ou procureur, est de poursuivre le coupable pour venger la loi et la
société
outragées. On donne aussi au tribunal le nom de p
discours d’un magistrat public, dans le but de requérir, au nom de la
société
, le châtiment d’un coupable ; 3° les mémoires, di
académique comprend les discours prononcés dans les académies ou les
sociétés
savantes. Ce genre a surtout pour but de plaire ;
on de Patru en 1640. Cet avocat fit un discours de remerciements à la
société
des quarante immortels, et il fut tellement goûté
nue en France au lendemain de la terreur, elle y réveilla l’esprit de
société
, jusqu’au jour où sa royauté de salon parut dange
eçoit que le rang qu’il occupe. Le roi des Francs ne paraît point en
société
; l’on y rencontre toute la famille royale, mais
que le cri universel forçât à des changements. Les conversations des
sociétés
ont une portée sérieuse, et c’est par elles que l
ue c’est par considération pour son âge ; il semble qu’ils soient une
société
de bienfaisance et qu’ils donnent la préférence a
mains en triomphant de cette crainte, les plus simples rapports de la
société
deviennent des services qu’une âme fière ne peut
our nos défauts, nous lie à elles, et fait que nous goûtons dans leur
société
une douceur qui se change en un ennui avec le res
; et, ne pouvant atteindre à leur mérite, nous nous honorons de leur
société
, pour faire penser du moins qu’il n’y a pas loin
d’Adam, au-dessus même des Césars et des rois de la terre, dans cette
société
immortelle de bienheureux qui seront tous rois, e
e part à la recherche que font les hommes des plaisirs, du jeu, de la
société
. Celui qui aime le travail a assez de soi-même. «
ions mémorables, les chefs-d’œuvre, les grands hommes, c’est là votre
société
familière. Vivez, vivez longtemps au milieu d’ell
humaine, où l’âme de l’homme a été troublée aussi profondément que la
société
. Nous en sommes sortis travaillés de maladies con
es désirs modérés, de la tempérance et de l’énergie. Il faudra que la
société
apprenne de vous à régler ses prétentions sans ab
te de cet étroit horizon, et se prépare à marquer sa place dans cette
société
haletante où tous, ayant les mêmes droits dans le
’a tiré de sa mort antérieure ? Qui a fait d’une peuplade barbare une
société
régulière et civilisée1 ? Qui, messieurs, qui ? E
a bénédiction du grand Esprit. Voulez-vous d’autres scènes prises aux
sociétés
vieillies ? Un peuple, après avoir tenu longtemps
« L’éloquence de la tribune est à la fois l’arme et la parure d’une
société
éclairée. De tous les dons du talent, c’est le pl
s ? C’est sans doute afin qu’unis entre eux par ce lien aimable de la
société
, ils puissent en quelque sorte prêter leur voix à
licité. Être double et dissimulé est un mérite qui honore. Toutes ces
sociétés
sont empoisonnées par le défaut de sincérité. La
z la finesse de son jugement et son talent d’écrire. Devoirs de la
société
et de l’amitié. La complaisance est nécessaire
la société et de l’amitié. La complaisance est nécessaire dans la
société
, mais elle doit avoir des bornes : elle devient u
entendre par les honnêtes gens les personnes bien élevées et de bonne
société
. Cette expression est toujours prise dans ce sens
9, jusqu’à cette autre année non moins mémorable de 1830 ! La vieille
société
française du dix-huitième siècle, si polie, mais
os sanglant sort tout à coup un génie extraordinaire qui saisit cette
société
agitée, l’arrête, lui donne à la fois l’ordre, la
r, mais à la scène éternelle que Dieu a dressée en mettant l’homme en
société
avec ses passions grandes ou petites, basses ou g
ie siècle a plus d’un point de contact avec le xvie . « Comme jamais
société
, dit M. Villemain, n’avait été plus violemment di
compagnie, sans être entendues des autres ; 3° d’un certain ramage de
société
qui a quelquefois son agrément et sa finesse, et
qu’on nomme sociale, probablement parce qu’elle est celle de toute la
société
, un peu plus intelligible que celle de la chimie
cet immonde argot, les jargons de la troisième espèce, les ramages de
société
, sont un parler charmant ; ce qui ne nous empêche
s rôles de père, de général, de roi ; ces peintures imparfaites de la
société
et des passions humaines les intéressent souvent
œurs publiques un caractère de stoïcisme en rapport avec le but de la
société
. Le théâtre antique, avec ce caractère religieux
agédie ; il choisit ses personnages autour de nous ; il représente la
société
telle qu’elle est ; enfin, il est l’expression de
sophe sérieux et observateur, qui connait à fond le cœur humain et la
société
, qui en saisit les côtés faibles et les traduit s
pèces de comique ; le haut comique, ou le comique noble, qui peint la
société
élevée, les vices polis, les ridicules de la bonn
ope. Le comique bourgeois, qui peint les mœurs et les ridicules de la
société
moyenne : c’est le plus fécond et le plus facile
n ne comprend point l’intelligence sans la parole, ni l’homme sans la
société
. L’hypothèse de l’homme isolé et brut semble inad
ropres forces n’y suffisent point. Dans les anciens âges du monde, la
société
est constituée de sorte qu’un petit nombre d’homm
ors commence cette guerre intestine, et toujours subsistante dans les
sociétés
, entre les classes supérieures et les classes ass
ntes et les habitudes morales qui le rendent capable d’entrer dans la
société
libre. Il faut, pour franchir chaque degré de la
é morale et intellectuelle, l’épreuve continue après l’événement ; la
société
reste agitée et convulsive jusqu’à ce que les vai
efusées ou retardées, soit que les progrès aient été trop rapides, la
société
semble, non plus s’amender et se perfectionner, m
s lois ait pu être soudaine et facile. L’Évangile n’a point fondé une
société
, n’a point donné un code ; il s’est adressé à l’h
avait tranquillité de conscience dans la conservation de cet état de
société
; il y avait révolte plutôt que réclamation dans
s mieux, cette sanctification de la conscience humaine, la marche des
sociétés
reste soumise aux mêmes règles. Les émancipations
besoins de son temps, les besoins réels, actuels, ce qu’il faut à la
société
contemporaine pour vivre et se développer réguliè
sur l’état positif, les instincts communs, les vœux déterminés de la
société
; en combinaisons lointaines et arbitraires ; il
e révolutionnaire, la destinée extérieure et intérieure, l’État et la
société
avaient été également compromis. Replacer la Fran
lier d’autrui ! Ce qui rendra ta peine encore plus pesante, C’est la
société
stupide et malfaisante Qui dans ce val d’exil ave
mateur auprès de Turgot et de Necker, honteux de ses réformes dans la
société
brillante et légère de Marie-Antoinette ; constit
ntrôle régulier du gouvernement par le pays : la révolution menace la
société
jusque dans la propriété et dans la famille, et f
me. En disparaissant, le principe d’autorité semble porter contre les
sociétés
ce jugement qu’un prophète met dans la bouche de
e, d’oublier les abîmes où l’esprit révolutionnaire allait briser les
sociétés
. Pour ne point méconnaître le caractère de ces ho
les littérateurs et les artistes. Une ère nouvelle commença alors. La
société
moderne n’existait pas aux mêmes conditions que l
reste-t-il encor qui puisse être emporté, Sinon les fondements de la
société
? — Croyez-vous que la crise approche de son term
ons-en le chemin à ce siècle emporté ; C’est là qu’est le salut de la
société
. Remettez en honneur le soc de la charrue, Repeup
e loi qui se joue de la foi donnée et reçue est le renversement de la
société
. L’obéissance ne lui est pas due ; car, dit Bossu
; l’année précédente, le sacrilège. Ainsi, dans la religion, dans la
société
, dans le gouvernement, elle retourne en arrière.
vait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des
sociétés
mourantes. Massillon était inspiré par l’élégance
i les lueurs hardies d’une civilisation irrégulière et la pompe d’une
société
polie, il était à la fois Démosthène, Chrysostome
hauteurs de la terre et fécondé les siècles, en déposant au sein des
sociétés
le germe puissant de la civilisation, en faisant
inon l’homme vertueux, dans ces temps de la vieillesse, du déclin des
sociétés
, où l’invasion du luxe avec toutes ses recherches
égère enveloppe, tandis qu’elle va merveilleusement à la taille de la
société
nouvelle, qui succède à la grande société du dix-
leusement à la taille de la société nouvelle, qui succède à la grande
société
du dix-septième siècle. Elles sont mortes les pas
ent enfanter. Montesquieu, embrassant dans ses méditations toutes les
sociétés
et toutes les législations, condamné pour tout pe
r, que ce sont là de ces petits malheurs particuliers dont à peine la
société
s’aperçoit. Qu’importe au genre humain que quelqu
ne fut un détestable assassin que dans le temps où il fut privé de la
société
des gens de lettres. Avouez que Pétrarque et Bocc
il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer la
société
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douce
er une planète du système planétaire. Je vous l’ai déjà dit : dans la
société
des nations, comme dans celle des individus, il d
ndra longtemps, suivant les apparences, un des premiers rangs dans la
société
des nations. D’autres peuples, ou pour mieux dire
Christ ne se fait pas chercher ; il se montre tout vivant dans cette
société
chrétienne qui vous environne, il est devant vous
, membre de trente-trois académies étrangères et de quatre-vingt-deux
sociétés
de province, mon nom n’a rien à craindre du temps
de tenir de près un homme aussi dangereux pour sa famille que pour la
société
. Vous pouvez m’en croire, chère madame, la scienc
oncours et du travail de tous ses enfants, et dans la mécanique de la
société
il n’y a point de ressort inutile. Entre le minis
oint quelquefois à la plus rude austérité, et s’il entre hardiment en
société
avec elle pour se détruire, parce que, dans le mê
nelon. Éloge de la philosophie Depuis les premiers jours des
sociétés
humaines jusqu’à la venue de Jésus-Christ, tandis
tés certaines et nécessaires sur lesquelles reposent la famille et la
société
, toutes les vertus privées et publiques, et cela
er ses plaisirs. Toutefois, elle est, plus que l’avarice, fatale à la
société
: elle dissipe, elle ôte à l’industrie les capita
les peuples estimables. Ozanam 105. Amour de la patrie La
société
humaine demande qu’on aime la terre où l’on habit
st tout un monde ; c’est plus que le génie d’un grand homme, c’est la
société
tout entière. Il y a là un horizon, un grand jour
n, plus de cet esprit dont il a. besoin. C’est l’atmosphère, c’est la
société
qui convient à ce jeune âge, à ses pensées, à ses
socialistes, de dénoncer l’aumône comme un des détestables abus de la
société
chrétienne. Car, disent-ils, l’aumône insulte le
e les oblige pas, c’est un règlement qui les laisse quittes envers la
société
; ce n’est pas la charité, c’est la justice. Nous
s’acheter, ni se vendre, ni se tarifer à prix d’argent, et que si la
société
rétribue ceux qui les rendent, elle se propose no
s croyances, l’homme qui souffre sert Dieu, il sert par conséquent la
société
comme celui qui prie. Il accomplit à nos yeux un
terton a rattaché à son personnage une théorie sur les devoirs que la
société
est tenue de remplir envers les poètes : elle doi
c’est de rêver. — Hélas ! la rêverie n’est pas une profession que la
société
puisse reconnaître et récompenser. — Elle a tort,
sure que l’on approfondit l’étude de notre ancienne histoire et de la
société
telle qu’elle était organisée dans les siècles ca
te et une appréciation plus sérieuse des formes matérielles que cette
société
avait créées pour lui servir de manifestations ex
us nobles besoins ; il est de jour en jour moins satisfait dans notre
société
moderne. Je m’imagine qu’un de nos barbares aïeux
essaire vers lequel les idées et les mœurs entraînent chaque jour les
sociétés
modernes, et qui voudraient sincèrement préparer
les républiques démocratiques que dans toutes les autres. Comment la
société
pourrait-elle manquer de périr si, tandis que le
En voulez-vous la preuve ? Qu’est-il sorti du christianisme et de la
société
chrétienne ? La liberté moderne, les gouvernement
païenne, et la philosophie moderne est essentiellement la fille d’une
société
chrétienne. Je fais donc profession de croire que
de manifeste vivant contre les inégalités, justes ou injustes, de la
société
. Un homme se croit-il placé au-dessous de son mér
iles à la vie humaine, ne respirent que le bien public, la patrie, la
société
, et cette admirable civilité qui fait le bon cito
upaient sa pensée ; il conçut l’ambition d’aller fonder en Russie une
société
nouvelle dont il devait être le législateur. Accu
ais qui témoignaient de son zèle pour le perfectionnement moral de la
société
humaine. Aussi quand Louis XVI, en 1792, le nomma
ui tendaient à rejeter Dieu de la nature, pour l’exiler ensuite de la
société
. Tel fut l’égarement des esprits à cette époque,
a plupart de nos comédies. Il n’est pas possible que l’histoire ou la
société
actuelle fournisse au poète une action propre à ê
e sur le théâtre un tragique puisé dans les classes inférieures de la
société
. Il arrive tous les jours, dans les conditions mé
ive, au caractère aux mœurs, à la manière de vivre des hommes dans la
société
ordinaire. En un mot, la comédie diffère de la tr
is dans la vie commune et la classe moyenne, ou la basse classe de la
société
; par le style et le ton du dialogue, qui doit êt
poussé au-delà des limites naturelles. Par exemple, un avare, dans la
société
, ne donne ses preuves d’avarice que de loin en lo
e succès qu’il a obtenu ; mais les mœurs françaises, nos habitudes de
société
, le ton de notre conversation, notre langue enfin
a fécondité d’invention pour tout ce qui contribue aux plaisirs d’une
société
civilisée. 144. Batteux, Définition du drame e
Hérodote lire son histoire. « Sous d’autres rapports, cette forme de
société
fournissait peu à l’imitation des mœurs privées e
au onzième siècle, et circule partout, dans toutes les classes de la
société
, tant il est profondément national : c’est l’œuvr
re ses plus grandes ressources. La position élevée des femmes dans la
société
moderne, leur action puissante dans la vie privée
opriété, héritant de la grande, deviendra le plus ferme rempart de la
société
, qui n’est mise en péril que par ceux qui ne poss
eille et au lendemain de ces émotions populaires qui menaçaient notre
société
d’un affreux cataclysme ! Quelle résignation, que
eux, et où l’on réussit presque à se croire de leur siècle et de leur
société
! Bossuet, La Bruyère, Racine, Boileau, quelle ép
s le cœur comme on a leurs noms dans la bouche, et se faire d’eux une
société
tendre et familière. » Je rencontre encore ce pa
Les lettrés, au dix-huitième siècle, prennent un rang nouveau dans la
société
. La monarchie, absolue en principe, les ménage, l
es idées françaises sera sensible sur les gouvernements comme sur les
sociétés
. « La littérature italienne porte tellement l’emp
core où par son action elle atteindra aux dernières profondeurs de la
société
française. Après l’éclat des Lettres philosophiqu
out relever ensuite sur un plan nouveau, type définitif et absolu des
sociétés
humaines. Mais leur discipline ne se maintient pa
faveur du sentiment religieux, qu’il distingue du dogme. Il frappe la
société
de ses éloquentes invectives, et la société, dit
ue du dogme. Il frappe la société de ses éloquentes invectives, et la
société
, dit Villemain, « devient plus folle que jamais d
ère d’être un essai de rapprochement entre les diverses parties de la
société
française. La victoire de l’esprit nouveau n’est
ot, c’est, évidemment, dans tous les rangs et à tous les degrés de la
société
française, un désir et un effort communs pour fai
es obscurités de l’avenir. De graves avertissements sont donnés à une
société
qui menait gaiement les funérailles d’un passé qu
pour l’endormir. Sous son ministère, et de son aveu, il se forma deux
sociétés
de sciences morales et politiques, l’une, il est
s que rencontra Montesquieu, et dont il anima son génie21. » Ces deux
sociétés
sont, en effet, le point de départ du mouvement d
ante du dix-huitième siècle, la croyance que l’homme, la vérité et la
société
sont faits l’un pour l’autre, sont dignes l’un de
chissement des esprits, veut les faire servir au renouvellement de la
société
. Elle aura donc quelque chose de plus hardi, de p
cle ne connaissait pas, et qui intéressent les fondements mêmes de la
société
? Le cardinal de Retz avait écrit des troubles de
précédente : la Révolution et le Christianisme ; ils estiment qu’une
société
nouvelle doit créer une littérature nouvelle, ils
nt le plus profondément médité sur les problèmes nouveaux imposés aux
sociétés
démocratiques. La critique littéraire, classique
aissé une œuvre immense, inégale, tableau souvent amer et cruel de la
société
contemporaine ; mais n’a-t-il pas au moins autant
is elle la force en visant à l’agrandir. Elle s’en prend surtout à la
société
, et déprime des classes entières, pour faire valo
soutenaient que la littérature doit être la vivante expression de la
société
et du temps, quand ils refusaient d’accepter cett
t d’accepter cette étrange séparation, établie par Boileau, entre une
société
chrétienne et une poésie qui resterait mythologiq
omme et à l’origine de tous ses actes ; le droit de punir enlevé à la
société
, comme une usurpation et un mensonge ; la sanctio
aisé de reconnaître qu’il n’est pas fait pour lui seul, mais pour la
société
. La Providence l’a destiné à y remplir quelque em
me, le rendent aussi un instrument propre à procurer le bonheur de la
société
. C’est la vertu qui lui donne le goût de la vérit
otre état, aux événements imprévus, aux bienséances inévitables de la
société
, que reste-t-il pour vous, pour Dieu, pour l’éter
e vie, grand Dieu ! Pour une âme destinée à vous servir, appelée à la
société
immortelle de votre Fils et de vos Saints, enrich
l’orgie de la Régence. » Les Lettres persanes, en effet, amusèrent la
société
parisienne avant de la faire réfléchir. Les hardi
rs rapports que les lois ont avec la nature, l’origine, les mœurs des
sociétés
pour lesquelles elles ont été établies, "L’auteur
ngue ces institutions, il examine celles qui conviennent le plus à la
société
et à chaque société ; il en cherche l’origine, il
s, il examine celles qui conviennent le plus à la société et à chaque
société
; il en cherche l’origine, il en découvre les cau
tille, puis exiler au sortir de sa prison. Il passa en Angleterre. La
société
anglaise, encore mal connue en France, fut pour V
aux, où la duchesse du Maine consolait sa disgrâce politique dans une
société
choisie de libres esprits. Le séjour de Voltaire
réunissent contre vous. Il y a dans Paris un grand nombre de petites
sociétés
où préside toujours quelque femme qui, dans le dé
. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la
société
humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse
r, que ce sont là de ces petits malheurs particuliers dont à peine la
société
s’aperçoit. Qu’importe au genre humain que quelqu
ne fut un détestable assassin que dans le temps où il fut privé de la
société
des gens de lettres. Avouez que Pétrarque et Bocc
il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer la
société
dont tant d’hommes méchants corrompent les douceu
pire. Des Époques de la Nature. Cinquième Époque. Naissance de la
société
. Les premiers hommes, témoins des mouvements c
térêt national, l’ordre, la police et les lois ont dû succéder, et la
société
prendre de la consistance et des forces. Néanmoin
ance qui n’a pu s’acquérir qu’après l’établissement de quelque grande
société
dans les terres paisibles. Ibid. Septième et der
dans les terres paisibles. Ibid. Septième et dernière Époque. La
société
fondée sur la nature. « Dans le premier âge, a
osophes austères, sauvages par tempérament, ont reproché à l’homme en
société
. Rehaussant leur orgueil individuel par l’humilia
des exemples ? peut-on même supposer qu’il y eût des vertus avant la
société
? peut-on dire de bonne foi que cet état sauvage
l’homme citoyen civilisé ? Oui, car tous les malheurs viennent de la
société
; et qu’importe qu’il y eût des vertus dans l’éta
ssez nombreuses, soumises à des chefs ; que d’autres, en plus petites
sociétés
, ne sont soumis qu’à des usages ; qu’enfin les pl
ire, un monarque, une famille, un père, voilà les deux extrêmes de la
société
: ces extrêmes sont aussi les limites de la natur
e l’espèce humaine n’a pu durer et se multiplier qu’à la faveur de la
société
; que l’union des pères et mères aux enfants est
sant entendre. Pour peu qu’il prospère, il sera bientôt le chef d’une
société
plus nombreuse, dont tous les membres auront les
s toutes les situations et sous tous les climats, tend également à la
société
: c’est un effet constant d’une cause nécessaire,
jusqu’à ce qu’on les rappelle. Ils prennent aisément des habitudes de
société
, mais jamais des mœurs. Ils n’ont que l’apparence
e vous répondre, et qui le serait encore moins d’établir avec vous la
société
que vous lui proposez. Vous m’honorez en pensant
es de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m’en formais une
société
charmante, dont je ne me sentais pas indigne ; je
nt dans la dispute, quand je croyais n’être que nerveux et concis. En
société
, quand je pensais être libre et disert, peut-être
tion, dont Rousseau avait singulièrement abusé, entre la nature et la
société
, la première tout innocente et toute pure, la sec
4. Venu à Paris en 1778, à l’âge de vingt-quatre ans, il fréquenta la
société
des hommes de lettres et connut particulièrement
e une grande pénétration pour découvrir les maux et les défauts de la
société
; mais il n’en cherchait point le remède. On eût
érature du Consulat et de l’Empire réfléchira, en effet, l’état de la
société
elle-même, telle qu’elle est sortie du dix-huitiè
celui des Bonald et des Joseph de Maistre, n’aura pas non plus sur la
société
une action réelle et profonde, parce qu’il blesse
t d’éléments opposés le point d’accord et d’équilibre qui assure à la
société
moderne son progrès régulier ? De nobles esprits
’avènement de la critique nouvelle, agrandie par l’étude comparée des
sociétés
et des littératures étrangères, échauffée par l’a
e l’imagination, grâce plus originale que celle que donne l’esprit de
société
; enfin, une sensibilité quelquefois fantastique,
s plus distingués, ont l’habitude d’interroger et de répondre, que la
société
n’y compte pour presque rien ; mais l’influence d
romain dans sa décadence, du monde barbare dans sa rudesse, et de la
société
chrétienne dans sa première innocence. A partir d
nres de littérature qui semblent appartenir à certaines époques de la
société
: ainsi, la poésie convient plus particulièrement
vaux, de vos amusements littéraires, de vos efforts unis à ceux d’une
société
savante pour hâter le progrès des lumières, et ra
s. Chaque fois que l’auteur a repris son sujet, les révolutions de la
société
en Gaule depuis la chute de l’empire romain, il a
e ces sévères travaux, il publia une série d’études brillantes sur la
société
française au dix-septième siècle (Mme de Longuevi
seul règle les jugements et les actions, soit des individus soit des
sociétés
? Il s’agit ici d’une question de fait : voyons d
e mal cependant, et me porte préjudice à moi-même, et même aussi à la
société
. Si donc le genre humain pense comme Helvétius, i
cette action produise les meilleurs résultats pour moi comme pour la
société
. Voilà une très bonne action dans le système d’He
ation, et quelquefois rend l’action suspecte. A-t-elle été utile à la
société
, sans être utile à son auteur, le genre humain ad
les termes de la question. Pourquoi entre les diverses classes de la
société
française cette hostilité séculaire qui se marqua
ur peindre dans la variété de ses aspects toutes les classes de cette
société
confuse et mêlée : « Frédègonde, l’idéal de la ba
x, de portraits, si pleins de vie, de couleur et de relief, toute une
société
qui se ranime, et dont l’histoire a pour nous l’i
grandes révolutions, point de tyrannies, point de proscriptions : une
société
aimable et douce, ayant le goût des lettres, livr
de ce rôle est déjà une allégorie satirique du gouvernement et de la
société
à cette époque. Ce qui fera l’éternel à-propos de
de manifeste vivant contre les inégalités, justes ou injustes, de la
société
. Un homme se croit-il placé au-dessous de son mér
tis eos. » [S. Math., 7). Montrer que le christianisme a renouvelé la
société
, en lui révélant des vertus qu’elle ne connaissai
lement à quelques héros, mais une obéissance telle qu’il la faut à la
société
pour vivre, telle que Sparte l’avait dans ses bea
eur cadre social, avec les principes et les pouvoirs dirigeants de la
société
; contentes d’elles-mêmes, — entendons-nous bien,
nd on vit dans une perpétuelle instabilité publique, et qu’on voit la
société
changer plusieurs fois à vue, on est tenté de ne
e l’histoire générale, s’applique à faire ressortir l’influence de la
société
sur les auteurs, des auteurs sur la société. La s
ssortir l’influence de la société sur les auteurs, des auteurs sur la
société
. La seconde sorte de critique, celle de Sainte-Be
la fermeté des doctrines littéraires et la vérité des peintures de la
société
romaine sous l’empire. Mais combien d’autres livr
ofondes de composition. Notre écolier de talent entre dans un état de
société
où l’autorité et l’indépendance appartiennent aux
en renouvelle pour ainsi dire l’éloge. Quelque idéal que se fasse une
société
d’une condition désirable sans les lettres, toute
à Paris en 1671, élevé au collège du Plessis, engagé ensuite dans des
sociétés
frivoles, d’un esprit mordant, d’un orgueil irrit
celles de Molière634, il montra combien il avait étudié avec fruit la
société
de son temps, combien il en savait reproduire les
ous m’avoûrez du moins que sa vie est heureuse. On épuise bientôt une
société
; On sait tout votre esprit, vous n’êtes plus fêt
c’est là son bonheur, c’est être misérable. Etranger au milieu de la
société
, Et partout fugitif, et partout rejeté, Vous conn
les mêmes gens, L’union des plaisirs, des goûts, des sentiments, Une
société
peu nombreuse, et qui s’aime, Où vous pensez tout
ue d’un intérêt supérieur, ce poème fut accueilli avec faveur par une
société
qui avait perdu le sens de la grande poésie, cell
efroidir la marche de l’action sont applaudies avec enthousiasme ; la
société
va chercher au théâtre la formule des idées qui a
ette poésie du monde naissant, orbis infantis, n’est plus celle d’une
société
vieillie et raffinée. Après avoir épuisé tous les
élation du génie rêveur de l’Allemagne, et surtout l’état moral de la
société
, à peine sortie de la crise révolutionnaire, enco
poésie provençale, M. Saint-René Taillandier a montré comment dans la
société
moderne se répondent et se tempèrent deux mouveme
s caractères, et la sévérité trop absolue du poète à l’égard de notre
société
. Malgré d’illustres exemples, il est rare qu’un p
reste-t-il encor qui puisse être emporté, Sinon les fondements de la
société
? — Croyez-vous que la crise approche de son term
fermier-général, protégea les lettres et composa quelques ouvrages de
société
qui sont restés anonymes. 199. Madame du Deffant
olithes. 216. Cf. ce que dit Lucrèce des commencements de la vie de
société
, et particulièrement de la découverte du feu. De
attaquaient en toute occasion : Voltaire, le bon Dieu ; Rousseau, la
société
. De même que Voltaire reproche au bon Dieu le tre
n Dieu le tremblement de terre de Lisbonne, Rousseau le reproche à la
société
. Le passage est curieux. » 245. « La Lettre sur
garnie qui fournissait des bains de toutes sortes. Les gens de bonne
société
, de passage à Paris ou à Versailles, allaient log
ssi n’avons-nous rien gagné ?… Il est vrai de dire que, dans la haute
société
, les mœurs sont plus pures, les vertus domestique
n s’en prend à tout de n’être pas heureux, à Dieu et aux hommes, à la
société
et à ceux qui la gouvernent. Que votre voix ne se
observateur attentif des autres et de soi-même, de la nature et de la
société
, il respecte avant tout les apparences… » Ce jug
l’Astrée, qui, sous le voile de l’allégorie, offrait le tableau de la
société
contemporaine. Pellisson et La Fontaine le goûtèr
humaine est renversée, et il n’y a plus aucune trace d’ordre dans la
société
Il est ridicule de s’en prendre à la volonté, qui
sérieux que les sujets entièrement inventés. Si donc l’histoire ou la
société
contemporaine fournit au poète une action qui pui
n difficile, cette action se passant communément dans le cercle d’une
société
, d’une famille. Les intérêts, les qualités, les a
emblables, à la prospérité de nos villes, à tous les mouvements de la
société
publique. La noblesse de ce sentiment le rend dig
d’une manière plaisante les mœurs, les défauts ou les ridicules de la
société
, dans le dessein de les corriger. 504. Comment la
risée des autres, ou qui les rendent incommodes et désagréables è la
société
. 505. Quel doit être le but moral de la comédie ?
s les traits d’un caractère, distribués entre plusieurs membres de la
société
. C’est ainsi que les caractères du Misanthrope, d
ar une peinture familière et chargée des ridicules et des vices de la
société
. Les petites pièces de ce genre ont été introduit
er l’art de saisir ces transformations si rapides et si variées de la
société
qui échappent à un œil inattentif, et qui fournis
tives de l’esprit humain qui se cachent sous le vernis uniforme de la
société
.polie, les forcer, par l’art de la composition,
ne cause de perversion, comme une source de dépravation au sein de la
société
. On comprend par là combien il est difficile à un
a pour l’homme un moyen pins sûr d’arriver à la vertu, ajoute que la
société
serait bien à plaindre, si elle n’avait d’autre f
e. Il faut y chercher son portrait en même temps que le tableau de la
société
qu’il éblouit sans la rendre meilleure. Il est ju
. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la
société
humaine4, dont notre ignorance et notre faiblesse
, que ce sont là de ces petits malheurs particuliers, dont à peine la
société
s’aperçoit. Qu’importe au genre humain que quelqu
ne fut un détestable assassin que dans le temps où il fut privé de la
société
des gens de lettres. Avouez que Pétrarque et Bocc
il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer la
société
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douce
réunissent contre vous1. Il y a dans Paris un grand nombre de petites
sociétés
où préside toujours quelque femme qui, dans le dé
ns amertume. — Mon Dieu ! que j’ai d’envie de vous embrasser ! Adieu,
société
charmante qui valez mieux que tous les royaumes.
s, de la pratique desquelles dépendent l’harmonie et le bonheur de la
société
civile. Quand l’esprit est frappé des charmes de
éfère-t-il pas l’humble silence de la retraite, à l’éclat bruyant des
sociétés
! Les Belles-Lettres servent, comme l’a si bien d
on (1817-1823). Dans ce livre, dont l’idée répondit aux besoins d’une
société
inquiète, apparaissait déjà sous le docteur ortho
la morale importe plus que les intérêts des peuples. L’individu et la
société
sont responsables avant tout de l’héritage célest
. » 1. Fénelon a dit : « Dieu a mis les hommes ensemble dans une
société
où ils doivent s’aimer et s’entre-secourir comme
être sensible, manifeste, et inviolablement régnant dans toute cette
société
de ses enfants bien-aimés. Chacun d’eux ne doit j
a connaissance de certaines convenances établies par les usages de la
société
. Il ne convient d’en traiter que dans un ouvrage
es particuliers. Nos fautes sont nombreuses dans la vie, parce que la
société
est exigeante, et qu’on blesse souvent les conven
re qu’on est au milieu d’un salon, et qu’on expose un fait devant une
société
choisie. Avec cette pensée, on écrira parfaitemen
pour persuader, d’avoir la main aussi prompte que la langue. Dans les
sociétés
polies, où la parole n’est que l’éclair qui annon
ôt assistez à cette scène qui vous peindra au vif les orages de cette
société
tumultueuse. Agamemnon a eu un songe trompeur qui
eulement à la gloire militaire et au butin qui en est le fruit. Telle
société
, telle éloquence. Songez que chez tous les peuple
ner les petits par la crainte et les grands par la flatterie. Dans la
société
nouvelle, en effet, il n’y a plus ni grands ni pe
ondition était la plus nécessaire de toutes ; un simple tableau de la
société
athénienne vous fera comprendre qu’elle était aus
ences que des généralisations. Je suppose que, les actionnaires d’une
société
industrielle étant réunis en assemblée générale p
le, et manquer de l’éloquence nécessaire à un orateur. Pour gérer une
société
, il suffit d’avoir de la probité, de l’applicatio
il s’était exercé silencieusement à la pratique des affaires dans la
société
des philosophes et dans l’étude approfondie de Th
toutes les raisons d’aimer la vie, quittant gaîment les délices de la
société
pour des fatigues qui font frémir la nature ; hum
étincelle de rage partout autour de lui ; né pour les douceurs de la
société
, comme pour les dangers de la guerre ; aussi poli
mariage de Julie d’Angennes, fille de celle-ci, le rendez-vous de la
société
élégante et lettrée, pour se défendre et justifie
us les défauts opposés aux qualités de l’homme aimable, de l’homme de
société
, après avoir joué tant d’autres ridicules, il lui
ant la Révolution française ; le gouvernement, l’administration et la
société
. (Chambéry, juillet 1891.) Vous supposerez qu’un
pes de 1789. Montrer comment l’introduction de ces principes dans les
sociétés
modernes en a modifié le caractère. (Poitiers, av
pes de 89 ? – Montrer comment l’introduction de ces principes dans la
société
française en a profondément modifié le caractère.
s ? (Rennes, avril 1889.) Les droits naturels de la personne dans les
sociétés
humaines. – Le fondement du droit – ses rapports
nez l’honneur. 2. Dépeignez la triste situation qui est faite dans la
société
à l’homme qui a perdu l’honneur. 3. Que pensez-vo
.) Montrer comment le goût des sciences naît et se développe dans la
société
française au xviii e siècle. Marquer l’influence
selon son état et ses connaissances, est tenu de payer sa dette à la
société
. Montrez la moralité de cette loi. (Paris, août 1
août 1878.) La loi du travail. Vous direz le rôle du travail dans les
sociétés
, sa place dans la morale, sa nécessité, sa dignit
applications du principe de la Séparation des pouvoirs. (1887.) I. La
société
européenne et le régime féodal au moyen âge, part
sciences ont-elles faits au xviii e siècle ? – Faire le tableau de la
société
française avant la Révolution, d’après les livres
l’esprit de Voiture et l’éloquence de Balzac. La dispersion de cette
société
d’élite se produisit à temps. A tout prendre, l’H
omiques nous offrent également des images exactes de l’homme et de la
société
. Mais le poète parle à un auditoire nombreux ; il
le royaume, et elle fait sentir son action à toutes les classes de la
société
. Cette action se développe encore sous Louis XIV
e langage qu’on parle dans le salon de Célimène est celui de la haute
société
. Philinte est un homme d’esprit et un homme bien
ire et plaire. Ce n’est point un caprice, un tour de force, un jeu de
société
, c’est un œuvre sérieuse. Je regrette qu’il ne vo
sortait pas facilement. Chaque condition formait une sorte de petite
société
dont les membres avaient entre eux plus d’une res
a aussi ses mœurs ; c’est elle surtout qui est partagée « en diverses
sociétés
qui sont comme autant de petites républiques » do
es. Ils vivent dans les Caractères d’une vie plus intense que dans la
société
. Les traits dont leur physionomie est formée n’ap
a rendu au public bien au delà de ce que celui-ci lui avait prêté. La
société
ne lui avait offert qu’une matière confuse ; il a
fable avait pris naissance. On la retrouve à l’origine de toutes les
sociétés
humaines, chez les Chinois, chez les Indous ; ell
ine est une épopée en ce qu’elle est la peinture, non seulement de la
société
du xvii e siècle, mais encore de la société humai
ture, non seulement de la société du xvii e siècle, mais encore de la
société
humaine de tous les pays et de tous les temps. Le
lime ! Les vers de Racine se ressentent du milieu où le poète a vécu,
société
polie, raffinée où les instincts vicieux eux-même
plus grandes ; enfin, que le plaisir ne peut se trouver que dans une
société
nombreuse et non dans l’isolement. Agricola. – I
point par la vie sociale et par une culture littéraire déjà longue ;
société
polie qui aimait les plaisirs de l’esprit ; chez
es générales de leur suprématie : espoir et désir de réformes dans la
société
, – dans la vie politique, – découvertes scientifi
de son temps ? – Rappeler à propos du chapitre V de La Bruyère (De la
société
et de la conversation), l’heureuse influence exer
ne femme, digne de ce rôle, préside. – A quelles conditions de telles
sociétés
auront-elles cette influence heureuse ? De quels
mps, au dépérissement qui ne peut être contesté de la poésie parmi la
société
polie et raisonneuse du xviii e siècle, le puissa
Virgile. – On a souvent dit que la littérature est l’expression de la
société
. Expliquez cette pensée. Vous prendrez pour exemp
urde, mais s’il ne les a pas, il ne « vaut point tout son prix ». Une
société
qui ne vivrait que d’évidence, qui ne manierait q
s vérités abstraites, froides et mortes, des vérités sans corps ; une
société
où la raison régnerait en tyran, qui ne laisserai
ne laisserait aucune place au cœur, au sentiment, serait vraiment une
société
barbare. Le beau, le bien, le vrai lui-même en se
à pourquoi les relations seraient plus faciles, plus douces, dans une
société
composée exclusivement de « lettrés » que dans un
, dans une société composée exclusivement de « lettrés » que dans une
société
où dominerait l’esprit géométrique. L’instinct de
re de vivre, aux mœurs publiques. L’utile n’est point, dans une telle
société
, la préoccupation dominante, le bien-être n’y pas
e siècle qui, né à la suite des plus profondes transformations de la
société
française, voyait la poésie ressusciter du milieu
té, sur la littérature française, au xvii e siècle, l’influence de la
société
polie, et particulièrement des femmes ? – A parti
s étudie peut-être pas assez dans leurs rapports entre eux et avec la
société
. Les connaissances sont plutôt juxtaposées qu’enc
olés dans un vaste pays mal exploré encore. Causer agréablement de la
société
polie, des femmes, du genre épistolaire, des salo
t de vastes pays où le goût n’est jamais parvenu ; ce sont ceux où la
société
ne s’est point perfectionnée, où les hommes et le
des êtres animés, sont défendus par la religion. Quand il y a peu de
société
, l’esprit est rétréci, sa pointe s’émousse, il n’
re a compris qu’un trait vif et court suffisait à ses peintures de la
société
; mais avant lui, tout le xvii e siècle a compris
, dit-il, qu’à former de beaux esprits et des rhéteurs, inutiles à la
société
, tandis que les sciences nourrissent l’esprit de
» (Anthoine, A travers nos écoles.) – La Bruyère dit (chap. V, De la
société
et de la conversation) : « L’esprit de la conver
le portrait de la femme charitable. – Dites quel est son rôle dans la
société
. – Expliquer et apprécier cette pensée de Mme Rol
rez, indiquez celles qui vous paraissent surtout nécessaires dans une
société
démocratique. « La santé d’abord, puis la fortun
(D) Ne devoir rien à personne. C’est-à-dire rompre tout lien avec la
société
, se détacher de toute chose, vivre pour soi. 2e P
nt, à la faveur d’un style naïf et pittoresque, où s’agite une petite
société
qu’il connaît et qu’il aime, celle des animaux, i
unies dans le caractère de sa fille ? Corrigé1. Si tu veux que la
société
répande sur ton âme plus de plaisirs ou de consol
Préambule. – Il semble, tout d’abord, que la famille d’une part, la
société
de l’autre, n’aient pas le droit de forcer l’enfa
sère, vice, infériorité dans la lutte pour la vie. B. Trot causé à la
société
, qui est privée d’un membre utile, et chargée d’u
gée d’une bouche inutile. 2e Paragraphe. – A défaut de la famille, la
société
doit intervenir. Pourquoi ? A. Elle a la responsa
si a ses affluents. » – On dit souvent que l’école est l’image de la
société
. – Montrez en quoi cela est vrai et comment les e
es machines et leurs produits répandent dans toutes les classes de la
société
. L’industrie est une partie considérable de la ci
, la mère des muses. (Douai.) l’agriculture. L’agriculture offre aux
sociétés
des ressources plus assurées et plus faciles que
n’ait été en honneur ; elle est une des bases les plus solides de la
société
. Confiance d’un ami pour son ami. Services récipr
ncipe dans l’un des sentiments les plus nécessaires au maintien de la
société
, à savoir, le besoin d’estime. L’amour de la gloi
lle réalisable, elle serait funeste : elle détruirait les liens de la
société
. L’homme ne verrait plus que lui au monde, ne ser
are ses facultés ». Développer ces idées. Concours de 1888. Les
sociétés
modernes sont en progrès évident sur celles qui l
Encyclopédie. Le rôle personnel assigné aux savants dans les diverses
sociétés
a subi des contrastes non moins singuliers : aprè
ré de justes distinctions ; il est membre correspondant de toutes les
sociétés
savantes ; il a fait, depuis 1819, plusieurs voya
nçais. – Ses qualités, – son rôle dans l’histoire, – sa place dans la
société
. – Comparer l’existence du montagnard – et de l’h
ec l’âge. 3° L’homme ne peut rester oisif : il doit ses services à la
société
en échange de ceux qu’il en reçoit. 4° S’il se dé
formes, – leurs aptitudes, – l’emploi qu’on en fait. – Utilité de la
société
protectrice des animaux. – Décrire un paysage où
dans la nature (exemples), et en lui parlant de nos devoirs envers la
société
. – Expliquer ce proverbe : « L’oisiveté est comme
mandée par l’auteur. Montrez-nous sa nécessité, ses avantages dans la
société
, en prenant des exemples, guerre, épidémies, ince
ES BOURSES BOURSE DE L’ÉTAT Montrer le rôle de la Géographie dans les
sociétés
modernes, surout au point de vue commercial. Les
selon son état et ses connaissances, est tenu de payer sa dette à la
société
. Montrer la moralité de cette loi. La loi du tra
e pitié, d’une charité pratiquement aimantes. Elle le rend utile à la
société
qui vit non pas seulement de l’œuvre des grands e
u téléphone pour le commerce. – Influence de la Banque et des grandes
Sociétés
de Crédit sur le commerce. Qu’est-ce qu’un mus
si considérable augmente chaque jour, soit parce qu’elle comprend des
sociétés
jeunes et fécondes, comme les Etats-Unis d’Amériq
sse profonde des indigènes1. Au bout d’un siècle, là-bas, vivrait une
société
de dix à douze millions d’hommes de langue frança
utilitaire. Ils répondent à l’esprit des programmes. 1. Siège de la
société
: 27, rue Saint-Guillaume ; M. P. Foncin, secréta
er une planète du système planétaire. Je vous l’ai déjà dit : dans la
société
des nations, comme dans celle des individus, il d
ndra longtemps, suivant les apparences, un des premiers rangs dans la
société
des nations. D’autres peuples, ou, pour mieux dir
aume Penn aux émigrants puritains venus en Amérique pour y fonder une
société
nouvelle (1682). (11 novembre 1881). • Un vieux c
traits de satire acérés et mordants. Les peintures trop fidèles de la
société
où a vécu Pétrone font du Satyricon une œuvre où
r une complaisance évidente à reproduire les turpitudes morales de la
société
la plus corrompue qui fut jamais. La versificatio
Fénelon ; ce fut lui qui, après la mort de Richelieu (1642), prit la
société
, dont il était membre, sous sa haute protection,
mnie pas l’humanité ; il peint sans ménagement, mais sans colère, une
société
corrompue et des âmes dégradées. Il ne dénigre pa
de son temps, et que n’admettait pas la condition des femmes dans la
société
grecque. On le voit, tous ces reproches et d’autr
vie ! Et La Fontaine parle pour tous, il n’exclut aucune classe de la
société
. Quant à son style, on a épuisé pour le caractéri
serve, c’est le monde des humbles, des petits ; c’est la nature et la
société
tout entière. Les types principaux de la société
’est la nature et la société tout entière. Les types principaux de la
société
au milieu de laquelle il vivait se reconnaissent
olière va donc fonder une comédie qui puisera tous ses traits dans la
société
contemporaine, comédie toute d’observation, toute
Pendant le moyen âge, la littérature en France est l’expression d’une
société
où la vie seigneuriale d’une part, la religion de
d siècle. Pascal, prenant parti dans une querelle qui passionnait la
société
cultivée du temps, ne croit pouvoir porter un cou
ion publique ? « Saint-Évremond, dit un fin critique, est l’homme de
société
par excellence… La plupart de ses plus célèbres o
Saint-Évremond). Partout où nous portons nos regards, nous voyons la
société
du xviie siècle se refléter dans les œuvres des
e au public ce qu’ils lui ont emprunté. On comprend comment une telle
société
, où la culture intellectuelle tient une si grande
du plus modeste salon, — on comprend, disons-nous, comment une telle
société
a pu produire et faire prospérer une telle littér
mauvaises mœurs, non seulement de tous les temps, mais surtout de la
société
au sein de laquelle elle se développe. Le poète t
romaine est universelle, au-dedans l’esclavage, cette plaie de notre
société
, nous ronge lentement. Dans Rome, règne la tyrann
ur humain. On a cherché dans son œuvre de perpétuelles allusions à la
société
qu’il observe et au milieu de laquelle il vit ; c
cette cour princière, où il observera à loisir les mœurs de la haute
société
. À cet avantage s’ajoute celui de la sécurité qui
s intéresseront toujours, car ils ne sont pas seulement l’image de la
société
au sein de laquelle vivait leur auteur, ils nous
ence nulle part11. § X. Origine de la poésie. À l’origine des
sociétés
, l’homme est encore enfant ; il sent plus qu’il n
’est avec un ton inspiré. Bientôt le prestige héroïque disparaît ; la
société
atteint l’âge mûr. L’homme agit par lui-même ; c’
ance, à la jeunesse, à l’âge mûr, à la vieillesse de l’homme ou de la
société
. Il ne faudrait pas, sans doute, vouloir applique
fournissent l’Écriture sainte, l’histoire naturelle, les sciences, la
société
, etc. ? J’en dirai autant de deux figures que que
là le vice radical de certains ouvrages écrits du point de vue d’une
société
ou d’une coterie. Chacun, à charge de revanche, b
les pénétrer, il faut avoir la clef. Ceci retombe dans les jargons de
société
dont j’ai parlé plus haut. L’allusion verbale, en
sion. Je me rappelle un buisson qui établit une maison de commerce en
société
avec un canard ; ce buisson a des comptoirs, des
et surtout le Mariage de Figaro (1784) furent l’image satirique d’une
société
qui courait gaiement à une révolution où elle dev
de manifeste vivant contre les inégalités, justes ou injustes, de la
société
. Un homme se croit-il placé au-dessous de son mér
ur plus grave ne passionna plus vivement de meilleurs juges, dans une
société
brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la foi
en repos d’une impunité souveraine. On lie, à force de grimaces, une
société
étroite avec tous les gens du parti. Qui en choqu
nce. — L’épopée ironique de Renart inaugure la satire populaire de la
société
religieuse et féodale. Si Rutebeuf a de nobles ac
civilisation disparue que retrouve avec une sorte d’enthousiasme une
société
ravie par la découverte d’un monde inconnu. Pourt
car ce fut, avec la Réforme, la cause maîtresse qui agit alors sur la
société
. Mais les conséquences de cette double révolution
res, faiseurs de tours) tenaient un rang inférieur. Originaires de la
société
romaine, ils composaient deux c’asses : les uns,
lents et de l’esprit ; mais il a de plus son système sur l’état de la
société
: il croit que les rangs sont bien distribués, qu
même plus loin aujourd’hui : il a un plan complet de réforme pour la
société
, et le principe fondamental de cette réforme est
re foi du monde : ce sont ses plaintes d’hier sur la condition que la
société
fait aux pauvres, sur l’injustice et la dureté de
trafiquant de la fable, il attribue ses malheurs à la fortune et à la
société
. » (La Fontaine et les fabulistes, Michel Lévy.)
vent la majesté de son sujet, il découvre les principaux ressorts des
sociétés
; il forme des vœux généreux d’humanité, de justi
a patrie ; d’ailleurs, une noble ambition est un sentiment utile à la
société
, lorsqu’il se dirige bien. Comme le monde physiqu
e opposées qu’elles nous paraissent, concourent au bien général de la
société
, comme des dissonances dans la musique concourent
renommée par son esprit et sa beauté, recevait chez elle la meilleure
société
de Florence, et Montesquieu y était très-assidu p
égère enveloppe, tandis qu’elle va merveilleusement à la taille de la
société
nouvelle, qui succède à la grande société du dix-
leusement à la taille de la société nouvelle, qui succède à la grande
société
du dix-septième siècle. Elles sont mortes les pas
ent enfanter. Montesquieu, embrassant dans ses méditations toutes les
sociétés
et toutes les législations, condamné pour tout pe
ujours se souvenir, et combiner les idées que l’on a acquises dans la
société
, dans la lecture, dans l’étude ; il n’y a que les
out le monde sait, et nous permettent de figurer avec honneur dans la
société
. C’est pour cela que dans l’éducation même des je
agne et ses charmes enivrants ; si nous voulons peindre l’homme et la
société
avec les vertus, les passions ou les travers qui
et surtout le Mariage de Figaro (1784) sont l’image peu flattée d’une
société
qui court gaiement à une révolution où elle périr
aller penser du bien en petite loge, à condition d’en dire du mal en
société
. Les plaisirs du vice et les honneurs de la vertu
e de manifeste vivant contre les inégalités justes ou injustes, de la
société
. Un homme se croit-il placé au-dessous de son mér
er une planète du système planétaire. Je vous l’ai déjà dit : dans la
société
des nations, comme dans celle des individus, il d
ndra longtemps, suivant les apparences, un des premiers rangs dans la
société
des nations. D’autres peuples, ou, pour mieux dir
ropre transformation, elle a commencé le rajeunissement de toutes les
sociétés
vieillies, la France semble avoir fait deux parts
le matin2. Dans le tourbillon accéléré qui entraîne le monde et les
sociétés
modernes, tout change, tout s’agrandit et se modi
ent pas nous inspirer de jalousie : trop de choses nous séparent ; la
société
moderne obéit à des conditions trop différentes ;
, viennent encore et jusqu’à la fin se succéderont alentour ; mais la
société
en masse s’est portée ailleurs et fréquente d’aut
es est traître et tyrannique ; ils promettent toutes les vertus de la
société
, et ils ne font de la société qu’un trafic dans l
ils promettent toutes les vertus de la société, et ils ne font de la
société
qu’un trafic dans lequel ils veulent tout attirer
ffets, sur des matières encore plus importantes que les devoirs de la
société
. Mon bon propos a été donc, Madame, de vous deman
en. Si la politesse et la discrétion, nécessaires pour le repos de la
société
, demandent que les hommes se tolèrent mutuellemen
puis croire que je l’aie perdu. Oh ! qu’il y a de réalité dans cette
société
intime ! (Id., ibid., 198.) 1. Cette lettre es
nt-il les beautés. Recherchons la première source des désordres de la
société
, nous trouverons que tous les maux des hommes leu
s de la nature des hommes dignes de les habiter6. Je m’en formais une
société
charmante dont je ne me sentais pas indigne ; je
passion n’est pas assez dominante pour me déterminer seule à fuir la
société
des hommes. Je suis né avec un amour naturel pour
ques que je rassemble autour de moi, qu’avec ceux que je vois ; et la
société
dont mon imagination fait les frais dans ma retra
qui me restaient encore. » 1. Je lis ailleurs : « J’aimerais la
société
comme un autre, si je n’étais sûr de m’y montrer
bel esprit, heureux et habile, dont le souvenir est inséparable de la
société
polie au milieu de laquelle s’épanouirent ses agr
queues ; du milieu de tout cela, il sortit quelque question de notre
société
, à quoi ne m’étant pas assez pressée de répondre,
, il devint précepteur chez M. de Caumartin, qui lui fit connaître la
société
la plus choisie. Des vers latins adressés à Mazar
s visites qu’on se rend, les lettres qu’on s’écrit, et le commerce de
société
inévitable entre gens indifférents, sont des cont
ur plus grave ne passionna plus vivement de meilleurs juges, dans une
société
brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la foi
oins, à son insu, les mœurs de son temps. Il lui fallait parler à une
société
polie son propre langage, et lui plaire par le di
qu’il rie, qu’il adoucisse son tempérament, qu’il aime les jeux de la
société
, qu’il prenne plaisir à aimer les hommes et à se
qu’il a de plus cher. La médisance est un mal inquiet qui trouble la
société
; qui jette la dissension dans les cités ; qui dé
our nos défauts, nous lie à elles, et fait que nous goûlons dans leur
société
une douceur qui se change en un ennui avec le res
; et, ne pouvant atteindre à leur mérite, nous nous honorons de leur
société
, pour faire penser du moins qu’il n’y a pas loin
sprit sur les lois, cependant il découvre les principaux ressorts des
sociétés
; il forme des vœux généreux de justice et d’huma
e. Il faut y chercher son portrait en même temps que le tableau de la
société
qu’il éblouit sans la rendre meilleure. En condam
vue. Femmes contre femmes, petits-maîtres1139 contre petits-maîtres,
sociétés
contre sociétés ; les cafés sont comblés de gens
tre femmes, petits-maîtres1139 contre petits-maîtres, sociétés contre
sociétés
; les cafés sont comblés de gens qui disputent ;
e au bout de la ville, pour souper le lendemain à l’autre bout. D’une
société
de trois ou quatre intimes amis il faut voler1144
par conséquent, attentifs à leur conduite, pourront vivre ensemble en
société
. Ils cultiveront les beaux arts, par lesquels les
ssine pas pour voler votre argent1183. Dès lors, tous les liens de la
société
sont rompus ; tous les crimes secrets inondent la
difier. L’un a donc bien plus de part que l’autre aux agréments de la
société
. Le serin chante en tout temps ; il nous récrée d
t où règnent l’abondance et la pauvreté1322. Là, je rassemblerais une
société
plus choisie que nombreuse d’amis1323 aimant le p
e vous répondre, et qui le serait encore moins d’établir avec vous la
société
que vous lui proposez. Vous m’honorez1384 en pens
homme par conséquent inutile aux autres hommes, qui pèse à la petite
société
qu’il tyrannise, qui est vain, avantageux1409, mé
et surtout le Mariage de Figaro (1784) furent l’image satirique d’une
société
qui courait gaiement à une révolution où elle dev
Terreur, il compta parmi les représentants les plus délicats de cette
société
polie qui s’étonna de renaître au milieu des ruin
nue en France au lendemain de la Terreur, elle y réveilla l’esprit de
société
, jusqu’au jour où sa royauté de salon parut dange
e ou abstrait, n’a pas retenu toute la flamme de sa parole1519. Une
société
de province La naissance, le mariage et la mor
aissance, le mariage et la mort composaient toute l’histoire de notre
société
, et ces trois événements différaient là moins qu’
our d’une table à thé plusieurs heures par jour, après dîner, avec la
société
de ma belle-mère. Elle était composée de sept fem
igne brillant d’alliance et de réconciliation entre la religion et la
société
française. Ce livre réhabilita tout ce qu’avaient
dire l’avilissement au dehors, une inquiétude vague se répand dans la
société
, le besoin de la conservation l’agite, et, promen
s par le milieu social sur les écrivains, et par les écrivains sur la
société
qui les vit naître. Il anime et vivifie tous les
uffrant, c’est-à-dire l’univers. Il ne s’adressait pas seulement à la
société
, mais à l’homme intérieur, à l’homme moral ; il l
magne.) Les lumières de la raison Depuis les premiers jours des
sociétés
humaines jusqu’à la venue de Jésus-Christ, tandis
tés certaines et nécessaires sur lesquelles reposent la famille et la
société
, les vertus privées et publiques, et cela par le
r, mais à la scène éternelle que Dieu a dressée en mettant l’homme en
société
avec ses passions grandes ou petites, basses ou g
it réservé à la révolution française, appelée à changer la face de la
société
européenne, de produire un homme qui attirerait a
Devenu quelque temps pacifique, il jette par ses lois les bases de la
société
moderne, puis se laisse emporter à son bouillant
ubliais mon temps ; je me croyais presque le commensal et l’ami de la
société
des Rochers1727. Et vingt ans plus tard, dans les
histoire de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un mot de la
société
française et du cœur humain. En parlant non comme
pricieuse du peuple qui lui donne sa forme. Notre sol est comme notre
société
: il a beaucoup de physionomie ; on y reconnaîtra
te les applaudissements par la dextérité du discours. Vous êtes cette
société
future où nous vivons presque plus que dans la nô
t, je me prends à envier un tel fils à ses parents, et je félicite la
société
de ce qu’il lui est né un homme. Vos maîtres ne v
en renouvelle pour ainsi dire l’éloge. Quelque idéal que se fasse une
société
d’une condition désirable sans les lettres, toute
s détours. 129. Les Honnêtes gens, ou les gens bien élevés, et de la
société
polie. 130. On voit par ce trait que nous avons
es ont toutes leur mérite particulier, et font la joie de toute notre
société
; ce que vous mettez pour adresse sur la dernière
de nouvelles marques de son tendre attachement, avec l’agrément de la
société
. Il est bien vrai, Monsieur, il faut une force pl
en repos d’une impunité souveraine. On lie, à force de grimaces, une
société
étroite avec tous les gens du parti Qui en choque
lents et de l’esprit ; mais il a de plus son système sur l’état de la
société
; il croit que les rangs sont bien distribués, qu
même plus loin aujourd’hui : il a un plan complet de réforme pour la
société
, et le principe fondamental de cette réforme est
ure foi du monde, ce sont ses plaintes d’hier sur la condition que la
société
fait aux pauvres, sur l’injustice et la dureté de
trafiquant de la fable, il attribue ses malheurs à la fortune et à la
société
. » (La Fontaine et les fabulistes, Michel Lévy.)
ire que je voudrais guérir ! Il n’y a que le vrai consolateur dont la
société
puisse vous consoler. Demeurons donc en silence a
monde, il n’appartient plus à son pays ; toutes ses relations avec la
société
cessent. Pour lui, le calcul par le temps huit, e
e part à la recherche que font les hommes des plaisirs, du jeu, de la
société
. Celui qui aime le travail a assez de soi-même.
in Fontenelle, Florian et Gessner, poëtes bucoliques, au milieu d’une
société
raffinée. L’imagination aime à se dépayser. Voyez
Oui, le principe de toute autorité est dans la famille. Les premières
sociétés
se firent à son image. 1072. Voici une bien bel
onnements ne peuvent pas plus sur lui que sur un loup affamé. « Une
société
particulière d’athées qui ne se disputent rien, e
Horace parlant de son père. Joubert a dit : « Il est une classe de la
société
où les enfants pieux ne savent pas que leurs pare
1366. Il vaut mieux se faire agréer que de se faire valoir. Dans la
société
, on parle de ce qu’on effleure. Dans l’intimité,
oir ombrageux. 1521. Comparez la petite ville par la Bruyère (de la
société
), p. 117. Ed. Hemardinquer. Corinne disait encore
née par la mécanique, elle aurait très-bien rempli mon emploi dans la
société
. « D’abord j’essayai de ranimer cette société e
li mon emploi dans la société. « D’abord j’essayai de ranimer cette
société
endormie : je leur proposai de lire des vers, de
e pénal serait ridicule, le jury incompétent, et l’organisation de la
société
absurde. « Heureusement pour le bien public et
nt peint par Delille en ces vers : Voyez ce mortel orgueilleux De la
société
tyran impérieux, Devant lui sans cesse en extase
leurs noms ; De vos amis ? les siens sont tous gens de mérite ; De la
société
c’est la brillante élite ; D’un vice ? il fut tou
ession de lui-même. « Il serait beau que l’attention entrât dans la
société
par les lycées, et dans nos maisons par nos enfan
s ; les écrivains en sont les héros. On y fait voir l’influence de la
société
sur les auteurs, des auteurs sur la société : c’e
it voir l’influence de la société sur les auteurs, des auteurs sur la
société
: c’est proprement l’histoire des affaires de l’e
eul de son esprit ne mérite guère plus d’estime qu’un oisif, dans une
société
où tout le monde travaille. De même avant d’être
force se disputent le monde : le droit, qui institue et conserve les
sociétés
; la force, qui subjugue et pressure les nations.
trainte perpétuelle, les hommes qui forment ce troupeau qu’on appelle
société
, placés dans les mêmes circonstances, feront tous
blies partout comme autant de témoins de la force et de l’union de la
société
; mille autres monuments de puissance et de gloir
r et se dispersent dans les campagnes2. Le cygne 1 Dans toute
société
, soit des animaux, soit des hommes, la violence f
es anses les plus écartées ; puis, quittant sa solitude, revenir à la
société
, et jouir du plaisir qu’il paraît prendre et goût
soupe au bout de la ville, pour souper le lendemain à l’autre. D’une
société
de trois ou quatre intimes amis, il faut voler à
qu’il rie, qu’il adoucisse son tempérament, qu’il aime les jeux de la
société
, qu’il prenne plaisir à aimer les hommes et à se
es est traître et tyrannique ; ils promettent toutes les vertus de la
société
, et ils ne font de la société qu’un trafic dans l
ils promettent toutes les vertus de la société, et ils ne font de la
société
qu’un trafic dans lequel ils veulent tout attirer
et de la piété même. La médisance règne en tous lieux, et fait de la
société
comme un champ de bataille, où mille coups mortel
e, le tableau des désordres que cause « ce mal inquiet qui trouble la
société
, qui désunit les amitiés les plus étroites, qui e
le roman de mœurs, on représente exactement les mœurs générales de la
société
où l’on vit. Tel est le Gil Blas, tels sont les a
littérateurs, et qui font souvent le sujet de la conversation dans la
société
polie ; une seule épithète suffit presque toujour
x jeunes gens des deux sexes qu’il appartient d’être l’ornement de la
société
; qu’il nous soit permis de leur demander si, apr
e. § II. Les Langues Cependant les hommes se multiplièrent, les
sociétés
se formèrent, et les villes parurent. Les mœurs c
s et l’industrie humaine ont porté le langage ; mais, à l’origine des
sociétés
, quand les hommes vivaient sans lois, sans demeur
ications plus étendues et plus fréquentes eurent commencé à former la
société
humaine, comment s’y prit-on pour assigner à chaq
elles ; le style devint plus précis, et en même temps plus simple, la
société
, en se perfectionnant, laissa moins carrière à l’
ne. La grammaire lit dans le langage ce que la loi avait fait dans la
société
: elle mit chaque chose à sa place, et assura l’o
que la révolution française a exercée sur le langage : « Comme jamais
société
n’avait été plus violemment dissoute etmêlée, com
esprits solides etconstants. Comme la vertu est le fondement de toute
société
, ils l’ont soigneusement cultivée. Leur principal
erchant celle du langage. (Introduction, § 1er.) A cette époque où la
société
était à peine formée, il arriva souvent qu’au lie
uer le goût et les bienséances ; et même, sans sortir du cercle de la
société
la plus intime, vous avez encore besoin de savoir
lui paraître immortelle et divine. « Quel que soit le désordre de nos
sociétés
, cet instinct céleste se plaît toujours avec les
vait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des
sociétés
mourantes. Massillon était inspiré par l’élégance
i les lueurs hardies d’une civilisation irrégulière et la pompe d’une
société
polie, il était à la fois Démosthènes, Chrysostom
s par leurs paroles ou par leurs écrits : ils ne peuvent être dans la
société
que de brillantes exceptions. Je ne parle pas non
er l’art de bien dire, car elles exercent une grande influence sur la
société
; et toute personne appelée à des communications
lon, comme, au sortir d’un monde bruyant, on jouit avec délices d’une
société
intime. Si vous entamez une discussion, je n’ai p
me bien dire est toujours bien dire, et que, pour parler même dans la
société
la moins nombreuse, il faut des idées, et des mot
l’organe de la parole, de contrefaire le muet, pour être bienvenu en
société
; ce moyen d’ailleurs ne serait pas toujours infa
e savant, dans un langage simple et méthodique, ne mettrait-il pas la
société
où il se trouve au courant des découvertes nouvel
t les grandes idées de justice, d’ordre, de morale, sur lesquelles la
société
repose, et qui doivent revenir dans l’entretien h
ncer aucune parole qui ne soit inspirée par une conviction réelle. La
société
n’est point un théâtre, où chacun puisse prendre
onie. L’uniformité est mortelle en conversation. On rencontre dans la
société
des hommes qui sont atteints d’une tristesse éter
he. Fuyez les grands mots et les grandes phrases : on n’écoute pas en
société
ceux qui ont le malheur de parler comme un, et qu
acun ait son tour ; ainsi le veut la justice. » En effet, on vient en
société
pour échanger ses idées, et non pour entendre un
a conversation ; il disait en parlant d’un homme qui brillait dans la
société
: « Il me bat dans la chambre, mais il n’est pas
uvrage se rendre dignes un jour d’occuper une place dans une pareille
société
! Puissent-ils montrer toujours, dans leurs parol
ur nous en un demi-siècle, des croyances abandonnées et reprises, des
sociétés
détruites et refaites ; les excès des peuples, le
l, qui porta en Allemagne toutes les grâces de sa patrie. L’esprit de
société
est le partage naturel des Français : c’est un mé
git les individualités renfermées sous les noms collectifs, humanité,
société
, et l’objet où elles tendent toutes par des chemi
sible de l’état de nature, à s’éloigner le plus possible de l’état de
société
. » Que cette proposition soit ou non un paradoxe,
ubliant pas qu’il s’adresse spécialement ici aux hautes classes de la
société
; que, s’il parle des autres hommes, ce n’est que
sprit sur les lois, cependant il découvre les principaux ressorts des
sociétés
; il forme des vœux généreux de justice et d’huma
Oui, le principe de toute autorité est dans la famille. Les premières
sociétés
se firent à son image 2. Voici une bien belle l
es anses les plus écartées ; puis, quittant sa solitude, revenir à la
société
, et jouir du plaisir qu’il paraît prendre et goût
soupe au bout de la ville, pour souper le lendemain à l’autre. D’une
société
de trois ou quatre intimes amis, il faut voler à
89 jusqu’à cette autre année non moins mémorable de 1830 ! La vieille
société
française du dix-huitième siècle, si polie, mais
os sanglant sort tout à coup un génie extraordinaire qui saisit cette
société
agitée, l’arrête, lui donne à la fois l’ordre, la
connaissance du cœur humain, l’observation vraie et pénétrante de la
société
. Mais un autre ouvrage, qui devait ajouter encore
cet esprit de critique orgueilleuse et étroite. L’étude comparée des
sociétés
et des littératures étrangères, l’admiration dési
fallut vivre sous le ciel froid et sombre de l’Angleterre et dans la
société
monotone et guindée d’une petite ville. Elle retr
aissance, le mariage et la mort composaient toute l’histoire de notre
société
, et ces trois événements différaient là moins qu’
our d’une table à thé plusieurs heures par jour, après dîner, avec la
société
de ma belle-mère. Elle était composée de sept fem
res usages du pays. Je passais quelquefois des jours entiers dans les
sociétés
de ma belle-mère, sans entendre dire un mot qui r
plus parfaite immobilité : singulier contraste entre la nature et la
société
! Tous les âges avaient des plaisirs semblables :
née par la mécanique, elle aurait très bien rempli mon emploi dans la
société
. Comme il y a partout en Angleterre des intérêts
ents, il n’y avait aucun avantage. D’abord j’essayai de ranimer cette
société
endormie : je leur proposai de lire des vers, de
; mon esprit se remplissait, malgré moi, de petitesses, car, dans une
société
où l’on manque tout à la fois d’intérêt pour les
d’étroit, de susceptible et de contraint qui rend les rapports de la
société
tout à la fois pénibles et fades. Il n’y a là de
t votre œil vous intercepte le soleil ; il en est de même aussi de la
société
dans laquelle on vit : ni l’Europe ni la postérit
e l’imagination, grâce plus originale que celle que donne l’esprit de
société
; enfin une sensibilité quelquefois fantastique,
s plus distingués, ont l’habitude d’interroger et de répondre, que la
société
n’y compte pour presque rien ; mais l’influence d
t dans le salon du duc et de la duchesse de Weimar, en présence d’une
société
aussi éclairée qu’imposante ; il lisais très bien
é, dont l’un est nécessaire à la sécurité et l’autre à la dignité des
sociétés
modernes ? Préoccupés de ces redoutables question
s. Chaque fois que l’auteur a repris son sujet, les révolutions de la
société
en Gaule depuis la chute de l’empire romain, il a
onie, les principes et les éléments divers, bons ou mauvais, de notre
société
. J’ai retracé le réveil et le progrès chrétien ;
tique, celle qui s’érige en doctrine, est la plus dangereuse pour les
sociétés
humaines, car elle se complaît en elle-même et me
irs de ces sévères travaux nous valurent les brillantes études sur la
société
française au dix-septième siècle (Mme de Longuevi
seul règle les jugements et les actions, soit des individus, soit des
sociétés
? Il s’agit ici d’une question de fait : voyons d
ne mal cependant, et me porte préjudice à moi-même, et même aussi à a
société
. Si donc le genre humain pense comme Helvétius, i
cette action produise les meilleurs résultats pour moi comme pour la
société
. Voilà une très bonne action dans le système d’He
ation, et quelquefois rend l’action suspecte. A-t-elle été utile à la
société
, sans être utile à son auteur, le genre humain ad
les termes de la question. Pourquoi entre les diverses classes de la
société
française cette hostilité séculaire qui se marqua
ur peindre dans la variété de ses aspects toutes les classes de cette
société
confuse et mêlée : « Frédegonde, l’idéal de la ba
ue d’un intérêt supérieur, ce poème fut accueilli avec faveur par une
société
qui avait perdu le sens de la grande poésie, cell
efroidir la marche de l’action sont applaudies avec enthousiasme ; la
société
va chercher au théâtre la formule des idées qui a
ette poésie du monde naissant, orbis infantis, n’est plus celle d’une
société
vieillie et raffinée. Après avoir épuisé tous les
génie tendre et rêveur de l’Allemagne, et surtout l’étal moral de la
société
à peine sortie de la crise révolutionnaire, encor
e roman ce réquisitoire inexorable contre les lois qui gouvernent les
sociétés
. Il faut donc effacer le mot impie qui sert d’épi
s caractères, et la sévérité trop absolue du poète à l’égard de notre
société
. Malgré d’illustres exemples, il est rare qu’un p
ressait surtout à ceux qui nient l’importance de la religion pour les
sociétés
et les individus. M. de Lamennais combattait moin
us, grand seigneur et bel esprit, le plus brillant représentant de la
société
gallo-romaine du cinquième siècle. 200. Général
observateur attentif des autres et de soi-même, de la nature et de la
société
, il respecte avant tout les apparences… » Ce juge
populaire étalée par Shakespeare, et qui certes ne fera pas peur à la
société
polie du dix-huitième siècle. C’est un personnage
iné, en 1474. Son intrépidité dans les combats, et ses vertus dans la
société
civile, le firent surnommer le. Il servit en Ital
ppants du sublime. Les premiers siècles du monde, qui nous offrent la
société
dans toute sa rudesse primitive, étaient, sans do
s comme leurs pensées, et rien n’arrêtait leur essor. À mesure que la
société
a fait des progrès en civilisation, le génie et l
ne maudissent qu’avec une inépuisable profusion de figures. Dans les
sociétés
civilisées, ce style est plus familier aux divers
et auxquels renonce le poëte lui-même, à mesure qu’il avance dans la
société
et se mêle à la vie active et réelle. Walter Scot
, et où règnent l’abondance et la pauvreté2. Là, je rassemblerais une
société
plus choisie que nombreuse d’amis3aimant le plais
vous répondre , et qui le serait encore moins d’établir avec vous la
société
que vous lui proposez. Vous m’honorez1 en pensant
son concours, les Orphée, les Linus réunirent autrefois les premières
sociétés
humaines, et les civilisèrent par la puissance de
en emploie une fort plaisante pour peindre le babil d’une dame de sa
société
. « Madame de Buri, dit-elle, fait fort joliment
espèces de lettres que l’on est appelé à écrire dans ses relations de
société
. Section V. — Différentes espèces de Lettres
Vol. II, nº 139. 12° Des Lettres de Devoirs et de Sentiments La
société
, les liens de parenté nous obligent à des devoirs
litaires. Tant d’éléments sont nécessaires, dans notre état actuel de
société
, à la formation d’un penseur, d’un écrivain inven
sse d’esprit qu’on ne trouve et qu’on n’apprend à trouver que dans la
société
. Sans espérer que notre élève sera un de ces phén
faibli des agitations de votre cœur. Ainsi se modifient les goûts des
sociétés
aux différents degrés de leur enfance, de leur ad
lles des temps modernes. Exercez-vous fréquemment à la parole dans la
société
des jeunes gens de votre âge : des discussions su
e forme poétique qui pût leur servir d’expression ; mais, quand cette
société
a disparu pour faire place à une civilisation plu
pièce dont les personnages sont empruntés à toutes les classes de la
société
. On y représente les événements les plus funestes
d’Honoré d’Urfé, et devient l’objet d’un véritable engouement dans la
société
romanesque de l’hôtel de Rambouillet. Fausse et f
lle a été devancée par le langage poétique. En effet, à l’origine des
sociétés
, lorsque l’écriture n’existait pas encore, on a d
e académique et savante est celle qui a pour théâtre les académies et
sociétés
savantes. Elle appartient au genre démonstratif o
jour, il est admis officiellement à l’Académie française ou dans une
société
savante et auquel répond le directeur président.
re sacrée, profane Au point de vue des éléments qui constituent la
société
, on a divisé l’histoire en deux grandes parties :
n trois grandes périodes : 1° Histoire ancienne, depuis l’origine des
sociétés
dans l’antique Orient jusqu’à la chute de l’empir
le roman est en général, sous des formes diverses, la peinture de la
société
contemporaine des romanciers. Il a presque toujou
eligieux, antisocial. 5° Le roman de mœurs a pour objet de peindre la
société
où il se produit ; il en est souvent la satire. E
les Grecs et les Romains, à cause du rôle effacé de la femme dans les
sociétés
antiques, se développe en France au moyen âge, à
ues en vers ou en prose sont une peinture de toutes les classes de la
société
d’alors. Ex. Les romans de la Table Ronde, le rom
la Table Ronde, le roman de la Rose, celui du Renart, etc. Dans notre
société
moderne, le rôle de la femme a changé avec les mœ
rtus, des travaux qui ont illustré les empires et servi ou embelli la
société
, il devance l’histoire et peut prendre un ton plu
défendre nos biens, notre réputation dans les simples discussions de
société
, dans les contestations commerciales, qui n’about
cteur. Rien n’est plus vrai pourtant. Sans doute on ne prend point en
société
le ton de la déclamation publique, parce qu’une a
ce n’est suivre ni les préceptes des anciens, ni les exigences de la
société
moderne. En effet, Quintilien, le premier des rhé
ifique. Cette division est plus adaptée à nos mœurs et à l’état de la
société
. 22. Il n’entrera dans la pensée de personne de
e qui, sous le nom de Caractères, présentent la satire générale de la
société
, je veux que, comme chez la Bruyère, ils entrent
l est l’acte d’une bête féroce, que le suicide est un crime contre la
société
et contre Dieu, que l’homme ne doit pas se nourri
si, d’après cela, l’éloquence avait fait plus de bien que de mal à la
société
: boni ne, an mali plus attulerit hominibus, et
qui ont pour objet l’humanité, la patrie, les hautes doctrines de la
société
, tous les ouvrages didactiques, religieux, moraux
ellent adage : Noblesse oblige ; c’est-à-dire les prérogatives que la
société
attache à une haute naissance exigent de ceux à q
et dites-moi, la main sur la conscience, si vous rencontrez une seule
société
qui puisse dire : Je suis solide sur mes fondemen
nduite des choses humaines et aux grands faits de l’histoire et de la
société
: ce sont les seuls qui nourrissent l’éloquence,
prits qui pensent qu’elle est plus nuisible qu’utile au bonheur de la
société
. 355. Nous diviserons en deux parties les observa
ains que se trouvent remis les intérêts sacrés de la famille et de la
société
. Les faire valoir en toute occasion, les défendre
nce au nom de l’autorité publique pour requérir, dans l’intérêt de la
société
, une sentence ou une peine contre les délits et l
cadémique, ainsi nommée parce qu’elle a pour théâtre les académies ou
sociétés
littéraires, comprend les discours de réception,
ai que le style est l’homme, si la littérature est l’expression de la
société
, il y a un rapport intime entre le bon goût et le
ncer aucune parole qui ne soit inspirée par une conviction réelle. La
société
n’est point un théâtre où chacun puisse prendre l
he. Fuyez les grands mots et les grandes phrases : on n’écoute pas en
société
ceux qui ont le malheur de parler comme un livre,
il, que dans les entretiens familiers chacun ait son tour : on est en
société
pour échanger ses idées, et non pour entendre un
u’il enseigne, de leur importance pour le bonheur de l’homme et de la
société
, il lui arrive souvent de les exposer avec cette
gouvernements de la banqueroute ; mais il serait là banqueroute de la
société
entière ; parce que ; Messieurs ; et ici j’appell
la divinité du sacrifice, ces idées ne sont plus aujourd’hui dans la
société
civile, elles sont dans les temples où l’on adore
sacrifice. La charge du soldat est de veiller à l’indépendance de la
société
civile ; la charge du prêtre est de veiller à l’i
té civile ; la charge du prêtre est de veiller à l’indépendance de la
société
religieuse. Le devoir du prêtre est de mourir, de
. Savez-vous ce que vous prétendez faire, quand vous voulez sauver la
société
avec vos économies, sans licencier l’armée ? Vous
les seules conformes aux principes de l’équité, de l’honnêteté, de la
société
, de la conscience ; 2º sur les motifs les plus dé
age contient la Doctrine de saint François de Sales, les Règles de la
société
de Jésus, les lettres de saint Ignace, de saint F
age qui tourne à sa propre gloire, et à l’avantage des mœurs et de la
société
. Il s’agit d’abord d’inventer des événements qui
homme par conséquent inutile aux autres hommes, qui pèse à la petite
société
qu’il tyrannise, qui est vain, avantageux.2, méch
étudier aussi dans les autres, dans les assemblées publiques, dans la
société
intime, enfin, dans les écrivains qui ont su le m
jargon, ou l’emploi du langage corrompu de certaines fractions de la
société
. Elle évite aussi le purisme qui est l’exagératio
es malheureux que les tempêtes y ont jetés, et on n’y peut espérer de
société
que par les naufrages ; encore même, ceux qui ven
nseils d’arrondissement, les conseils des villes et des communes, les
sociétés
et associations particulières donnent lieu, à tou
in ici, savoir : 1º les éloges historiques prononcés dans le sein des
sociétés
savantes, par les membres survivants, sur leurs c
ons sur la marche actuelle des sciences et sur leurs rapports avec la
société
, lues par Cuvier dans la première séance annuelle
bel esprit, heureux et habile, dont le souvenir est inséparable de la
société
polie au milieu de laquelle s’épanouirent ses agr
dire l’avilissement au dehors, une inquiétude vague se répand dans la
société
, le besoin de la conservation l’agite, et, promen
système sublime à l’homme est nécessaire ; C’est le sacré lien de la
société
, Le premier fondement de la sainte équité, Le fre
des Français Est l’exemple du monde, et vaut tous les Anglais. De la
société
les douceurs désirées Dans vingt États puissants
Terreur, il compta parmi les réprésentants les plus délicats de cette
société
polie qui s’étonna de renaître au milieu des ruin
es mœurs corrompues, lutter contre les travers et les ridicules de la
société
, pour venger la morale et la raison, critiquer sa
dans ses justes bornes, ce genre de poésie ne peut qu’être utile à la
société
et aux lettres ; car, dit Boileau : La satire, e
èvre, la brebis et le lion, a manqué à la vraisemblance, parce que la
société
de pareils animaux est impossible. On comprend ai
histoire de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un mot de la
société
française, et du cœur humain. En parlant non comm
ix unanime, quelle serait la position d’un jeune homme, dans la bonne
société
, s’il n’était pas initié à la connaissance des pr
oésie, on doit s’armer contre les ridicules, les vices généraux de la
société
, et faire des épigrammes morales, telles que cell
r là que ces sortes de chansons peuvent être de quelque avantage à la
société
. Voici deux couplets d’un vaudeville de Panard, q
de silence et de paix, le curé doit peu s’éloigner pour se mêler aux
sociétés
bruyantes du voisinage ; il ne doit que dans quel
et d’une sagesse divine, dans les études sérieuses, parmi les livres,
société
morte du solitaire ; le soir, quand le marguillie
romperie ; estat = très souvent : profession, condition, classe de la
société
; heur (racine augurium) = bonheur ; part = endro
e, embrassoit l’univers comme sa ville, jectoit ses cognoissances, sa
société
et ses affections à tout le genre humain ; non pa
: Plutarque a les opinions platoniques, doulces et accommodables à la
société
civile ; L’aultre les a stoïcques et epicuriennes
ront pas. Le chapitre surtout des moyens de conserver la paix dans la
société
est un chef-d’œuvre, auquel on ne trouve rien d é
efoucauld, c’est la sienne. Les Maximes furent, dans les salons de la
société
polie où vécut et vieillit La Rochefoucauld après
illi, où il fut introduit jeune encore, et dans d’autres salons de la
société
polie, avant de se révéler orateur par la prédica
, à qui ils ôtent les manières du monde, le savoir-vivre, l’esprit de
société
, et qu’ils renvoient ainsi dépouillés à leur cabi
rté et de la religion naturelles ; Montesquieu cherche les lois de la
société
; Buffon, les lois de la nature. Dans la première
e met en état de juger sainement des ouvrages qui paroissent, de lier
société
avec les gens d’esprit, d’entrer dans les meilleu
en nous apprenant à nous en servir ; enfin une science d’usage et de
société
, qui n’amasse que pour répandre, et qui n’acquier
t de vastes pays où le goût n’est jamais parvenu : ce sont ceux où la
société
ne s’est point perfectionnée ; où les hommes et l
s êtres animés, sont défendus par la religion523. Quand il y a peu de
société
, l’esprit est rétréci, sa pointe s’émousse, il n’
ilosophes et les gens de lettres, il se fit une route à part. À cette
société
raffinée qui tombait en dissolution, et croyait s
es de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m’en formois une
société
charmante dont je ne me sentois pas indigne ; je
l’éternité, sans m’y ennuyer un moment, quoique je n’y eusse d’autre
société
que celle du receveur, de sa femme et de ses dome
e vous répondre, et qui le seroit encore moins d’établir avec vous la
société
que vous lui proposez. Vous m’honorez en pensant
crivit dans ses nombreux ouvrages tant de rêves pour le bonheur de la
société
, l’utopiste de la paix universelle, le créateur d
, la ville, les gens d’affaires ne m’avoient pas trompé. Mes soldats,
société
d’honnêtes gens plus purs et plus délicats que le
laire de l’histoire, avec M. Villemain, et replace l’écrivain dans la
société
qui l’a produit. Doctrinale avec M. Νisard, elle
rnent la pensée des peines individuelles ; elles créent pour nous une
société
, une communication avec les écrivains qui ne sont
éable. Il faut l’avouer aussi, le goût et l’enivrement de l’esprit de
société
rendent singulièrement incapable d’application et
té ; et comment néanmoins peut-il y avoir de la grâce et du charme en
société
, si l’on n’y permet pas cette douce moquerie qui
ls finiraient par ne plus se retrouver. Le talent et l’habitude de la
société
servent beaucoup à faire connaître les hommes : p
possible, la grâce et la vérité pour y parvenir. Le tact qu’exige la
société
, le besoin qu’elle donne de se mettre à la portée
ger sa pensée brillamment et rapidement est ce qui réussit le plus en
société
; on n’a pas le temps d’y rien attendre. Nulle ré
rbent leur cime sur mon passage. Est-ce sur le front de l’homme de la
société
, ou sur le mien, qu’est gravé le sceau immortel d
nres de littérature qui semblent appartenir à certaines époques de la
société
: ainsi la poésie convient plus particulièrement
’avilissement au dehors, alors une inquiétude vague se répand dans la
société
; le besoin de sa conservation l’agite, et promen
le ravoir, je donnerais la seule chemise qui me reste707. C’était ma
société
, mon unique entretien dans les haltes et les veil
son ami. De l’athéisme L’athée même participe aux biens que la
société
conserve ; protégé quelque temps par l’ordre même
sans foi, sans culte. On ne le tentera même pas. Depuis l’origine des
sociétés
, un pouvoir supérieur, qui n’est que la raison so
en viendront jusque-là. Elles mettront leur gloire à se séparer de la
société
où elles puisent la vie, et on les entendra chant
’intention comme dans ses effets, et dont l’influence a transformé la
société
française, et s’est étendue même sur les gouverne
r l’histoire de France, il a éclairé la vie civile et politique de la
société
gallo-romaine et franque ; dans ses cours publics
qui mettait ces masses d’hommes en mouvement. Aujourd’hui, dans cette
société
si régulière où nous sommes enfermés, il est diff
mporaire, peu en harmonie avec les tendances réelles et longues de la
société
, et commandé par la nécessité plutôt qu’établi da
demoiselle760 et à Mme de Sablé, peu à peu, enhardi par ses succès de
société
, s’en proposa de plus grands, et songea à paraîtr
it libre pour les affaires et pour les devoirs de ses places ou de la
société
, et surtout pour se livrer à ses affections de fa
fille, pleine de talents et de grâces, formaient encore pour lui une
société
douce : cette jeune femme périt d’une mort subite
buent chacune pour sa part à rendre meilleure la vie matérielle de la
société
, puisque c’est à cela que l’on borne leur utilité
nts qui me composent, et qui ne peuvent s’arranger avec les hommes en
société
et avec les places… Il y a dans mon âme naturelle
me il faut, le quod decet, varie avec les goûts et les opinions de la
société
elle-même. L’abbé Prévost est peut-être le dernie
Rome, il disparaît dans le citoyen. On dirait qu’au commencement des
sociétés
les institutions, soit religieuses, soit politiqu
XI. — Charpentier, éditeur.) Divorce entre la littérature et la
société
Il y a, dans la littérature, deux sortes de s
ts que l’homme trouve dans son cœur et qui sont le fond de toutes les
sociétés
; il y a les sentiments que l’homme trouve dans s
cer par d’autres affections, alors les livres ne représentent plus la
société
: ils représentent l’état de l’imagination. Or, l
tout ce qui n’est pas. Quand la guerre civile agite et ensanglante la
société
, l’imagination fait volontiers des idylles et prê
des idylles et prêche la paix et la vertu853. Quand, au contraire, la
société
s’apaise et se repose, l’imagination se reprend d
drames ; de là enfin cette littérature qui plaît d’autant mieux à la
société
qu’elle lui ressemble moins. La société autrefois
qui plaît d’autant mieux à la société qu’elle lui ressemble moins. La
société
autrefois aimait à trouver, dans la littérature,
le public ; mais elle consomme le divorce de la littérature d’avec la
société
, chacune allant de plus en plus où la poussent se
lant de plus en plus où la poussent ses besoins et ses penchants : la
société
à ses affaires et à ses labeurs chaque jour plus
aume Budé858 écrivaient d’une main et imprimaient de l’autre. Dans la
société
civile et politique, le même enthousiasme se mani
ses sentiments et ses idées, ses joies, ses douleurs et ses rêves, la
société
, ses misères et ses grandeurs, ses phases et ses
nité ; mon cœur se refuse à les croire. Je me représente toujours des
sociétés
d’amis sincères et vertueux ; je crois les voir e
u’un véritable apôtre de l’Évangile, peut devenir un homme utile à la
société
; et que celui qui, du haut de la tribune sacrée,
-là, et quiconque veut profiter des avantages que l’on reçoit de leur
société
doit se résoudre à souffrir en patience les incom
t à l’écrivain de tracer le portrait moral d’un individu pris dans la
société
. Il peint en général une qualité ou un vice, sans
hênes séculaires et à la tempête qui bouleverse les mers ; 2° dans la
société
, en peignant les événements qui se passent soit a
ain ; l’écrivain y découvre les ressorts secrets qui font mouvoir les
sociétés
, il étudie les mouvements les passions, il y sond
lent d’une tout autre nature. Il avait au plus haut point l’esprit de
société
; il tournait fort bien les vers : par là il méri
en renouvelle pour ainsi dire l’éloge. Quelque idéal que se fasse une
société
d’une condition désirable sans les lettres, toute
oins, à son insu, les mœurs de son temps. Il lui fallait parler à une
société
polie son propre langage, et lui plaire par le di
s’élance dans l’avenir, il le cherche en lui-même, il le demande à la
société
, à la nature, aux choses invisibles ; et, si quel
aire un moment. Ce sont des pièces de circonstance, des amusements de
société
, des jeux d’esprit : fleurs légères, qui ont parf
ire des lettres, des sciences et des arts ; raffermir l’existence des
sociétés
ébranlées ; travailler à l’utilité ou au bien gén
s par le milieu social sur les écrivains, et par les écrivains sur la
société
qui les vit naître. Il anime et vivifie tous les
bel esprit, heureux et habile, dont le souvenir est inséparable de la
société
polie au milieu de laquelle s’épanouirent ses agr
ur plus grave ne passionna plus vivement de meilleurs juges, dans une
société
brillante et voluptueuse qu’il exhortait à la foi
té qui n’est pas la licence ; nous lui avons laissé ses modes ; et la
société
, à Londres, gagnerait sans doute beaucoup à prend
de philosophie à Genève, correspondant de l’Académie de Berlin et des
Sociétés
royales de Londres et d’Édimbourg, s’aperçut que
s à la vertu. En effet, sa nécessité se fait tellement sentir, que la
société
, même la moins sévère, commande impérieusement à
nt que sur les vertus que doivent pratiquer tous les hommes réunis en
société
, et peuvent être mis entre les mains de tous les
u l’aimer dans leur enfance, et que leur cœur n’a pas été gâté par la
société
des méchants. Blair, qui l’avait chérie toute sa
arque certaine des progrès de la civilisation ; car, à mesure que les
sociétés
marchent vers leur perfectionnement et deviennent
ersation, que du rang distingué qu’elle nous permet d’occuper dans la
société
. Mais je serais fâché que nous ne pussions pas fo
r abréger le temps dont la lenteur l’accable, de se réfugier dans des
sociétés
perverses, ou de se livrer à de honteux plaisirs.
les de ténèbres et d’ignorance, ne peuvent faire autorité. Lorsque la
société
en est à ce point, le goût n’a pas encore de maté
nt un nouvel ouvrage. Les premières comme les dernières classes de la
société
peuvent se laisser éblouir par certaines beautés
ima avec autant de hardiesse que de franchise. Avec les progrès de la
société
, le génie et les mœurs éprouvèrent un changement
mposait alors de races errantes et dispersées qui ne connaissaient de
société
que celle de la famille ; association encore bien
mblerait que, pour qu’une langue se formât et se répandît ensuite, la
société
dût avoir déjà fait quelques progrès, et que les
ombre ; cependant il semble que le langage a précédé la formation des
sociétés
; car, quels nœuds eussent retenu cette immense r
besoins et leurs intentions ? Quoi qu’il en puisse être, soit que la
société
ait précédé le langage, soit qu’un assemblage de
ssemblage de mots ait formé une langue avant l’établissement d’aucune
société
, s’il s’agit de rendre raison des deux hypothèses
ieurs autres circonstances y contribuèrent encore. Dans l’enfance des
sociétés
, l’imagination et les passions exerçaient sur les
expressions bien plus énergiques que s’ils eussent vécu au sein d’une
société
avancée ; car alors leur imagination eût été plus
tions. Le style devint plus concis, et par conséquent plus simple. La
société
, en se perfectionnant, laissa moins d’influence à
croire encore que, dans les progrès successifs que les langues et la
société
firent ensemble, la raison a gagné tout ce qu’ont
’âme, et surtout de ces modifications si variées que nos relations de
société
ont apportées dans nos mœurs, dans notre esprit e
ugé à propos de mêler de temps en temps parmi les hommes assemblés en
société
un petit nombre, mais un bien petit nombre seulem
origine des figures concourent à produire cet effet à l’époque où les
sociétés
sortent de la barbarie. Les langues alors sont fo
es chez les écrivains des premiers âges ou des premières périodes des
sociétés
. L’expérience et les relations sociales calment l
iviale. Ils ne devraient prendre cette liberté que dans ces sortes de
sociétés
où l’on ne s’occupe d’aucune affaire importante,
r que s’ils parlaient dans un sens opposé à leur conviction. Dans ces
sociétés
où l’on ne s’occupe que de questions imaginaires,
i qu’en parlant à des assemblées composées des diverses classes de la
société
, le meilleur débit est le plus ferme et le plus a
devant une assemblée nombreuse et composée des diverses classes de la
société
, employer toutes les ressources de l’art oratoire
se : que ce soit devant une assemblée nombreuse, que ce soit dans une
société
privée, ce dont il s’agit toujours, c’est de parl
er à traiter de vive voix des affaires sérieuses. Les réunions et les
sociétés
où ils se livrent à cet exercice sont des établis
e préparer à figurer dans la suite sur un plus grand théâtre. Car ces
sociétés
publiques, où se rassemblent un grand nombre d’in
d’autre ambition que de faire parade de leurs prétendus talents, ces
sociétés
, dis-je, ne sont pas seulement inutiles, elles so
humain. On ne peut se refuser à admettre encore que les progrès de la
société
ne nous donnent quelques avantages sur les ancien
agances et sans obscénités, donnent des peintures assez fidèles de la
société
, soient pour l’esprit des récréations à la fois a
uples étaient bergers et chasseurs, enfin jusqu’au berceau même de la
société
. L’on a répété souvent, et c’était une opinion gé
la plus humble et la plus pauvre. Mais, aux temps de la formation des
sociétés
, les fêtes, les sacrifices, les assemblées publiq
uples ne se ressemblent jamais plus qu’à l’époque de la formation des
sociétés
. Ce sont les révolutions subséquentes qui apporte
mélangés dans la même composition. Ce n’est qu’avec les progrès de la
société
et des sciences qu’ils prirent successivement des
à l’expression de ses pensées. Tel était l’usage à cette époque de la
société
où le même homme était laboureur, maçon, guerrier
nir l’objet de la risée des autres, ou les rendent incommodes dans la
société
. La comédie, considérée comme une représentation
rendre surtout le vice ridicule, c’est être véritablement utile à la
société
. La plupart des vices résistent moins au ridicule
t des sujets à la muse tragique. Mais les bienséances exigées dans la
société
, les nuances délicates des caractères dans lesque
diversifiés par les nuances délicates qui les font distinguer dans la
société
, que marqués par ces oppositions tranchées ou ces
st absolument fondée que sur la mode et les usages introduits dans la
société
, vieillit beaucoup plus promptement qu’aucune aut
usions si dégoûtantes, qu’elle ne saurait être représentée devant une
société
honnête. Sa Rechute 49 mérite le même reproche, e
euse, on peut toujours la regarder comme une marque des progrès de la
société
vers la civilisation perfectionnée, lorsque des r
de l’accorder.” Cette maxime d’Aristote : “Pour n’avoir pas besoin de
société
, il faut être un Dieu ou une brute,” est encore s
vouent pas, puisque ces situations sont dans l’ordre de celles que la
société
peut quelquefois présenter. On n’a jamais tort d’
▲