tir. L’archaïsme s’accommode mieux avec la fable et les autres genres
simples
qu’avec les genres élevés qui s’éloignent trop de
e qu’on emploie des termes pompeux et recherchés pour dire des choses
simples
et communes. En voici des exemples : Platon a dit
les. Cette qualité du style convient à tous les sujets, même aux plus
simples
; et Boileau fait un devoir aux écrivains de dire
dant comme toutes les matières que l’on traite sont, ou dans un genre
simple
, ou dans un genre plus élevé, ou dans un genre su
rhéteurs, qu’il n’y a que trois espèces générales de style : le style
simple
, le style tempéré ou fleuri, et le style sublime
tyle sublime ; et trois genres de compositions littéraires : le genre
simple
, le genre tempéré et le genre sublime. Dans les t
es qualités particulières que demande chaque genre. § I. — Du style
simple
. 135. Qu’est-ce que le style simple ? Le styl
haque genre. § I. — Du style simple. 135. Qu’est-ce que le style
simple
? Le style simple est celui dont on se sert pour
— Du style simple. 135. Qu’est-ce que le style simple ? Le style
simple
est celui dont on se sert pour exprimer sans rech
a en juger par les exemples suivants. 137. Citez des modèles de style
simple
. Nous citerons comme modèles en ce genre, l’hist
enfant : c’est pour ton bien. 138. A quels sujets convient le style
simple
? Le style simple s’emploie généralement dans le
r ton bien. 138. A quels sujets convient le style simple ? Le style
simple
s’emploie généralement dans les ouvrages didactiq
en un mot, dans tous les sujets où l’on parle sérieusement de choses
simples
et communes. 139. Quels sont les qualités propres
es simples et communes. 139. Quels sont les qualités propres au style
simple
? Les qualités propres au style simple sont la n
les qualités propres au style simple ? Les qualités propres au style
simple
sont la naïveté, la finesse, la délicatesse et la
né et d’imprévu. Elle consiste dans le choix de certaines expressions
simples
d’une molle douceur, et qui paraissent nées d’ell
e finesse affectée, qui est produite par un désir extrême de paraître
simple
et naturel et qu’on nomme marivaudage. Aux auteur
e la délicatesse du style ? La délicatesse du style est l’expression
simple
et naïve des choses délicatement senties, c’est-à
une concision excessive. 151. Quels sont les défauts voisins du style
simple
? Outre la grossièreté ou bassesse, la puérilité
ns de parler, nous signalerons encore, comme défauts voisins du style
simple
, la négligence, la froideur et la sécheresse. La
é ou fleuri ? Le style tempéré, plus ample et plus orné que le style
simple
, moins énergique et moins éclatant que le style s
st essentiellement rapide, et peut ne pas s’élever au-dessus du style
simple
, comme dans ces paroles de Nisus, qui veut mourir
unie et polie, elle aime la parure et les ornements ; le sublime est
simple
, souvent même rude et négligé ; la légèreté et la
l’âme ; il est indépendant de la sublimité du style, car il est très
simple
, au moins pour les pensées et les sentiments, com
ettent plus facilement les magnificences de l’élocution. Quoi de plus
simple
que ces paroles de l’Écriture : Dixitque Deus :
anti, il n’est plus. Mais cette idée est rendue par les mots les plus
simples
. Ce dernier vers est par conséquent sublime, sans
vent-ils se trouver dans le même ouvrage ? Ces distinctions du genre
simple
, du genre tempéré et du genre sublime ne pouvaien
ions sont toujours, et de leur nature, des mots régissants. Régime
simple
, régime composé. Il y a deux sortes de régimes
, dont il est très important de bien saisir la différence ; le régime
simple
ou absolu, et le régime composé ou relatif. Le ré
gime simple ou absolu, et le régime composé ou relatif. Le régime est
simple
, quand il y a un rapport direct entre le mot régi
ve souvent qu’un nom substantif, quoique de le précède, est en régime
simple
, parce qu’alors de n’est que le particule. C’est
précède, peut répondre à la question qui ? ou quoi ? il est en régime
simple
; et de est alors particule. Quand ce même nom pe
uefois permis de manger de la viande en carême ; viande est en régime
simple
, et de est particule, parce qu’on peut dire : il
tés opposées, il faut, avant chaque adjectif, répéter l’article, soit
simple
, soit particulé : = les pauvres et les riches cit
ur, ne se disent point des choses inanimées, quand ils sont en régime
simple
, ou en régime composé. On ne dira pas, en parlant
ous leur fruit. 2°. Lorsque le substantif de ce pronom, est le régime
simple
du verbe qui a pour sujet, ou le substantif auque
ifférentes espèces de verbes. Tous les verbes actifs ont un régime
simple
; et la plupart ont de plus un régime composé. =
st gouverné par un bon roi. Les verbes neutres n’ont jamais de régime
simple
. Il y en a qui en ont un composé : = il ne faut n
souper, dormir, etc. Il y a des verbes réciproques qui ont un régime
simple
; et alors le pronom, avec lequel ils se conjugue
sé ; et alors le pronom, avec lequel ils se conjuguent, est en régime
simple
: = c’est un devoir de s’abstenir des plaisirs dé
verbe, de quelque espèce qu’il soit, ne peut avoir deux régimes, soit
simples
, soit composés. Ainsi il y a une faute dans ce ve
endrai. parce que vous, et ce, qui signifie la chose, sont en régime
simple
du verbe informer. Il aurait fallu dire : ne vous
er, est actif, suivant l’Académie, et veut, par conséquent, un régime
simple
: = il faut aider les pauvres dans leur nécessité
njoindre, donner charge de faire quelque chose, a deux régimes ; l’un
simple
, qui est celui de la chose ; l’autre composé, qui
s toute autre signification, ce verbe n’a qu’un régime. Ce régime est
simple
, lorsque commander signifie, en matière de guerre
hauteur. On ne peut donc pas le faire actif, en lui donnant un régime
simple
. Il y a donc une faute dans ces vers de Racine :
e, répandre de la clarté, il est actif, et par conséquent a un régime
simple
: = le soleil éclaire la terre. Mais lorsqu’il si
ez monsieur. Il faut dire : éclairez à monsieur. Élever, a un régime
simple
et un régime composé. Mais ce dernier veut toujou
n, il ne laisse pas que d’être honnête homme. Pardonner, a un régime
simple
, qui est celui de la chose, et un régime composé
et l’a remis en grâce. Satisfaire, signifiant contenter, a un régime
simple
: = cet enfant satisfait son père et sa mère : =
peu suivie, mais en se rappelant toujours ce que c’est que le régime
simple
, c’est-à-dire, celui qui n’est pas précédé d’une
mais ni genre ni nombre, dans les verbes actifs suivis de leur régime
simple
, ni dans les verbes neutres qui se conjuguent ave
ire être, et dans les verbes réciproques, qui n’ayant point de régime
simple
, ne pourraient jamais se construire avec l’auxili
avec lequel se conjuguent ces verbes réciproques, n’est pas en régime
simple
, puisqu’on ne pourrait pas les changer en actifs,
, et dans les verbes réciproques, le participe, précédé de son régime
simple
, en prend toujours le genre et le nombre. Il faut
auxiliaire avoir ou être : 3°. que ce nom ou ce pronom soit en régime
simple
. Voici d’abord des exemples pour les verbes actif
es noms substantifs livre, beauté, ouvrages, contrées, sont en régime
simple
: ils sont régis par l’auxiliaire et les particip
re phrase, je dis montrée, parce que le pronom relatif que, en régime
simple
, et régi par le participe qu’il précède, est au f
ntécédent valeur. Je dis remplis, parce que le pronom nous, en régime
simple
, et qui précède ce participe, par lequel il est r
it être également observée, quand le participe, précédé de son régime
simple
, est immédiatement suivi ou d’un substantif, ou d
Il aurait dû dire, vus. Le participe s’accorde encore avec son régime
simple
qui le précède, quoique le sujet soit mis après l
’elle, d’eux, d’elles, de cela. Par conséquent il n’est jamais régime
simple
; et par cette raison, il n’influe point sur le p
effet, la règle établie est invariable, toutes les fois que le régime
simple
qui précède, est régi par l’auxiliaire joint au p
ue, la, les, qui précèdent ces participes, et qui en sont les régimes
simples
. Nous nous sommes réunis à propos : = avant que
te, défendues, parce que les pronoms, nous, vous se, sont les régimes
simples
de ces participes qu’ils précèdent. C’est comme s
ipe, il s’accorde aussi, comme dans les verbes actifs, avec le régime
simple
qui le précède. En voici un exemple, qui réunissa
actifs ; et le participe doit prendre le genre et le nombre du régime
simple
, dont il est précédé. Ainsi de même qu’il faut di
n infinitif, il faut voir, comme dans les verbes actifs, si le régime
simple
qui précède, dépend du participe, ou du verbe qui
-dire, elle a laissé séduire, mener, battre elle. Tel est le principe
simple
et unique, mais fixe et invariable, qui répand la
neutre auquel il est joint, régit lui-même le nom ou pronom en régime
simple
qui les précède, et dont par conséquent il doit p
’esprit. Ainsi le nom ou pronom qui les précède, et qui est en régime
simple
, ne se rapporte pas uniquement au participe fait,
équivoque à un nom ou à un pronom substantif, qui est en régime, soit
simple
, soit composé ; comme dans ces vers de Racine, et
s qui ne sont pas précédés de en, se rapportent fort bien à un régime
simple
: ils peuvent alors se tourner par un autre temps
pas correcte, lorsque la conjonction et y est placée entre le régime
simple
d’un verbe, et le sujet d’un autre verbe ; comme
and on a voulu établir d’après eux les distinctions de style sublime,
simple
et tempéré 67. D’abord, pourquoi ces catégories e
ainsi, les kermesses de Teniers appartiendraient sans doute au style
simple
, et les grandes pages de Rubens au sublime. Or il
ge ordinaire et est semée d’ornements, tandis que celle de Lysias est
simple
, et celle d’Isocrate moyenne, pour ainsi dire, et
les dehors, comme il dit lui-même, ce qu’il entend par le sublime, le
simple
et le tempéré. Mais les périphrases qu’il emploie
t de dire plus encore que l’art d’écrire. Comment parle-t-il du style
simple
? Après l’avoir comparé à une beauté négligée qui
rte et animée, ne s’accorderaient pas non plus avec ce ton modeste et
simple
; mais il n’exclut pas les autres figures de mots
voix une véhémence qu’on ne doit attendre ni exiger de lui ; il sera
simple
dans son débit comme dans son style… Son action n
s que là où l’on s’élève aux vues générales, on ne peut garder un ton
simple
et vulgaire. Que Voltaire traite un sujet sérieux
nvisager les choses ; mais il est bien évident que s’il a pris le ton
simple
ou tempéré, qui est celui de la plaisanterie, c’e
de de se faire un style, ne demandera plus lequel il doit prendre, du
simple
, du sublime ou du tempéré ; lequel des trois cons
urût est sublime, mais n’appartient pas plus au ton sublime qu’au ton
simple
, car cet admirable eri de dévouement à l’honneur
us communes, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. Sans le style, il est impossible qu’il y ait un
e assez superficielle de certains genres, distingue quatre styles, le
simple
, le gracieux, le sublime, le sombre. Vous voyez l
table conversation par écrit entre absent. Cette définition juste et
simple
contient tous les préceptes. Le ton naturel est d
uand le tour s’y est formé, cela compose un style parfait. » Quelque
simple
que soit ce précepte, quelque facile qu’il soit à
stances exceptionnelles, il n’y a qu’un parti à prendre, c’est d’être
simple
et court dans l’expression des vœux, et de faire,
le toutes les fleurs du langage et les maximes philosophiques. Soyons
simples
, sincères, naturels ; et pour y parvenir, mettons
parlons point des demandes que les amis peuvent se faire. Elles sont
simples
, franches et même brusques quelquefois-mais la bo
evra inspirer le ton et les développements convenables. Le style sera
simple
, sa plus grande élégance viendra de la franchise,
de recommandation n’exige pas de réponse pour l’ordinaire : c’est un
simple
laissez passer. Canevas n° 20 à 23. § 9. Lettr
evas n° 27 à 29. Décompositions. L’analyse des lettres est fort
simple
. Les figures sont clairsemées dans une correspond
. C’est une expansion de sentiments naturels, une suite d’expressions
simples
qu’il faudra faire remarquer, pour tâcher de se l
augmentent en vigueur. On pourrait réduire la lettre entière à cette
simple
phrase : Je vous prie de m’écrire, parce que je s
et déterminée. Un nom en effet, employé tout seul, ne présente que la
simple
idée de la chose qu’il exprime, et par conséquent
ons pour exemple une chose matérielle. Le mot pain ne présente que la
simple
idée de ce qu’on appelle pain, et par conséquent
uoi, le comment, etc. Ces substantifs n’ont pas de pluriel. Article
simple
, article particulé. L’article est simple, ou p
pas de pluriel. Article simple, article particulé. L’article est
simple
, ou particulé : simple, lorsqu’il précède tout se
le simple, article particulé. L’article est simple, ou particulé :
simple
, lorsqu’il précède tout seul le nom substantif ;
t antérieur, le plus-que-parfait, et le conditionnel passé ; au futur
simple
se rapporte le futur composé. Pour faire connaîtr
lieu : = j’aurais lu votre ouvrage, si j’en avais eu le temps. Futur
simple
. Le futur simple marque une chose qui sera ou se
lu votre ouvrage, si j’en avais eu le temps. Futur simple. Le futur
simple
marque une chose qui sera ou se fera : = la vertu
lâmé. eu. été. ils auraient ou ils eussent blâmé. eu. été. Futur
simple
. je blâmerai. aurai. serai. tu blâmeras. aura
onne du conditionnel présent, de l’imparfait de l’indicatif, du futur
simple
, et des temps qui prennent le verbe avoir, parce
Conditionnel passé. j’aurais ou j’eusse puni. reçu. rendu. Futur
simple
. je punirai. recevrai. rendrai. Futur compos
ditionnel passé. j’aurais ou j’eusse senti. tenu. couvert. Futur
simple
. je sentirai. tiendrai. couvrirai. Futur com
nnel passé. j’aurais ou j’eusse craint. plu. réduit. paru. Futur
simple
. je craindrai. plairai. réduirai. paraîtrai.
ue en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’on appelle verbes
simples
, d’autres qu’on appelle verbes composés. Les verb
le verbes simples, d’autres qu’on appelle verbes composés. Les verbes
simples
sont ceux qui servent à en former d’autres. Les v
former d’autres. Les verbes composés sont ceux qu’on forme d’un verbe
simple
, en y ajoutant une ou plusieurs syllabes. Ainsi,
ps et leurs terminaisons. Les temps dans les verbes sont également
simples
ou composés. Les temps simples sont ceux qui n’em
s temps dans les verbes sont également simples ou composés. Les temps
simples
sont ceux qui n’empruntent aucun des temps des ve
s et du participe : = j’avais fini ; = il était venu. Parmi les temps
simples
, on appelle temps primitifs, ceux qui servent à f
n dérivent. La voici. J’y joindrai les terminaisons propres aux temps
simples
: elles sont les mêmes dans tous les verbes. Du p
fini, j’ouïs. Imparfait du subjonctif, que j’ouïsse. Les autres temps
simples
n’en sont pas usités. Quérir, n’a que le présent
je frirais. Impératif, fris, sans autres personnes. Les autres temps
simples
ne sont pas usités. Luire et nuire font au parti
ronie : ici par marque la manière. Quoique la préposition soit un mot
simple
, cependant ces expressions, à couvert de, en prés
l’on dit, il faut s’occuper, la signification du mot s’occuper, sera
simple
et sans aucune circonstance. Mais si l’on dit, il
autant, pas, point, etc. L’adverbe est, comme la préposition, un mot
simple
. Cependant on met au nombre des adverbes, qu’on a
ion, comme de la préposition et de l’adverbe. Quoiqu’elle soit un mot
simple
et unique, il y a beaucoup d’expressions qu’on re
-il, pour être ainsi aimé ? Ce fut l’expression naïve de ce caractère
simple
, qui, n’ayant de faste ni dans la vertu ni dans l
re doute ? On s’était proposé un panégyrique, on n’a fait qu’un récit
simple
. Ô force de la vérité ! les éloges ne peuvent ven
grâces. Quel est le citoyen, qui, en voyant cet homme si grand et si
simple
, ne doive s’écrier du fond de son cœur : Si la fr
araît ne pas prétendre à l’éloquence, et cela est vrai. Cette manière
simple
et franche de louer était nouvelle, sans doute, e
quille du cabinet, et trouver froid, par conséquent, ce qui n’est que
simple
et médiocrement orné. L’effet de ces deux discour
e ces deux discours serait presque nul à la tribune, et cela est tout
simple
; ils n’ont point été composés pour elle ; mais i
raits et caractères se rencontrent à chaque instant. La raison en est
simple
. Dans l’histoire, un personnage se développe et s
t ou s’élèvent suivant la nature des sujets ; le langage y est tantôt
simple
, naïf, léger, badin, plaisant ; tantôt grave, nob
à 69. Décomposition. Dans la forme, on examinera si l’exposition est
simple
, quels sont les ornements qui en relèvent la viva
ANALYSE. Forme. — L’exposition est ce qu’elle doit être, claire et
simple
. Une plaideuse ruinée explique ses malheurs à un
Quand nous disons d’un homme cruel, c’est un tigre, nous faisons une
simple
métaphore ; L’allégorie continue l’image, en repr
n, le nœud, le dénouement et la moralité. Réduisez la fable à sa plus
simple
expression. Voir Canevas n° 98 à 99. Modèle de
vanité de sa position présente. Pour réduire toute la fable à sa plus
simple
expression, il suffirait de dire : Un jour le chê
ent s’élève et déracine le chêne. Il est plus facile sous cette forme
simple
et découvrir la moralité ; elle se trouve dans le
u morceau ou vous l’encadrerez, et du genre dans lequel vous écrirez.
Simple
narrateur, historien, vous vous contenterez de qu
ts les plus intimes de la pensée. Votre œuvre ne se verra pas sur une
simple
toile ; ce sera un diorama (ouvrage à double vue)
ours sur l’histoire universelle, à plus forte raison faut-il dans une
simple
narration avoir un but unique auquel on rapporter
nger. Ecrit presque toujours pour les enfants, le conte veut un style
simple
, léger, familier et à la portée du premier âge.
gments propres à leur servir de modèle en ce genre ? La raison en est
simple
. C’est qu’un auteur n’écrit guère que pour faire
épistolaire raconte un fait dans une lettre. Elle se distingue d’une
simple
nouvelle en ce qu’elle ne se borne point à dire q
te, heureusement, pour la peur » je mande une nouvelle sous une forme
simple
, sans détails, sans ornements. Mais Madame de Sév
lus ordinairement un événement religieux, qu’admet volontiers une foi
simple
et pure. L’écrivain doit s’identifier ici avec l’
, si la narration badine et la narration épistolaire sont familières,
simples
et enjouées ; si la narration légende fait respir
e. Ce dénouement tragique est digne de l’exposition. Réduit à sa plus
simple
expression, le récit se renfermerait dans ces deu
iantes de la nature, une juste abondance, une douce gaieté, des mœurs
simples
et pures ; il admet des passions douces et modéré
qu’elle était dans des temps plus anciens, où les mœurs étaient plus
simples
: c’était une vie aisée et abondante, avec l’ingé
es manières des peuples avancés dans la civilisation ; où ils étaient
simples
et naïfs, sans être grossiers et sans exciter un
langage, sur cette scène champêtre. Les mœurs de bergers doivent être
simples
, pures et exemptes crimes. Les bergers peuvent av
réflexions pompeuses et magnifiques. Dans les discours tout doit être
simple
, doux, naïf. gracieux. Le caractère et le style d
La naïveté du style consiste dans le choix de certaines expressions
simples
, pleines de molle douceur, et qui paraissent nées
l’agrément qu’elles peuvent recevoir, sans toutefois sortir du genre
simple
. Il se place surtout dans les descriptions. Tel e
par églogue ? L’églogue qui, comme l’idylle, est une représentation
simple
et naïve de la vie des champs dans ce qu’elle a d
l’idylle, telle que nous l’entendons aujourd’hui, sans cesser d’être
simple
, doit être noble et élégante : Telle, aimable en
stingue trois sortes de mots, au point de vue étymologique : les mots
simples
ou primitifs, les dérivés et les composés. Les
es mots simples ou primitifs, les dérivés et les composés. Les mots
simples
ou primitifs sont, si l’on peut dire ainsi, les p
e nouvelles syllabes. Ainsi le mot fons, fontaine, source, est un mot
simple
d’origine celtique, von ou fon, source, fontaine.
source, fontaine. — Animus (du grec ανεµοσ, vent, souffle) est un mot
simple
formé de la racine primitive an ou han, qui désig
esprit, courage, intention, désir, etc. — Acus, aiguille, est un mot
simple
formé de la racine primitive ac qui sert à désign
mme de mérite. Les mots dérivés sont ceux qui ont été formés des mots
simples
par l’addition de nouvelles lettres ou de nouvell
de gerere, porter, et lanam, laine. Le verbe eo, je vais, est un mot
simple
; joignez-y différentes prépositions, et vous aur
qu’il y a d’écrivains au monde. Le style est donc, suivant l’auteur,
simple
, naturel, naïf, délicat, gracieux, fin, élégant,
donner en peu de mots une grande idée de la simplicité. Dans le style
simple
, aucune expression n’est plus prétentieuse que l’
que n’entend ni le lecteur ni l’auteur. La seconde est du galimatias
simple
, c’est-à-dire une chose que le lecteur n’entend p
style, quand on se sert de périphrases pour exprimer des choses fort
simples
. Un jeune avocat plaidant pour un meunier, s’écri
semblage régulier des mots par lesquels on énonce sa pensée. Elle est
simple
quand elle est absolue par elle-même et qu’elle n
donc ! Nous allons apprendre ce que nous savons déjà, des choses fort
simples
. Les figures sont des tours particuliers donnés a
e donné beaucoup de travail à l’écrivain, lui paraît la chose la plus
simple
du monde. La métaphore n’est la plus belle des fi
en, que pour remplir une place vacante, et quand elle chasse le terme
simple
, elle est obligée de valoir mieux. Il suit de l
table. » La bougie et la chandelle ne sont point étonnées ; mais ce
simple
mot amène de suite dans l’esprit un rapport de co
irconlocution est une figure par laquelle on substitue à l’expression
simple
d’une idée une expression plus développée. Elle d
ne tournure plus propre à l’expression des passions que les tournures
simples
et naturelles. La plupart des figures oratoires s
nné de grands noms, quoique elles appartiennent aux procédés les plus
simples
de l’élocution. Ici il faut encore retenir surtou
e son à propos. On s’en sert surtout quand deux idées réunies par une
simple
conjonction ne sembleraient pas en harmonie parfa
nde se récria d’admiration. Et pourtant ce beau passage est dû il une
simple
antithèse de mots, tant est puissant le jeu des f
aisent, instruisent et touchent, et sachons les faire servir comme la
simple
parole au triomphe de ces deux choses, les seules
aminer le fond de cette strophe on reconnaîtra que mise en prose très
simple
elle offrirait un exemple admirable du sublime :
ssitôt exécuté ; où trouverait-on des expressions plus fortes et plus
simples
, jointes à une telle sublimité de pensées ? Le su
ouliez-vous qu’il fit contre trois ? il répond : Qu’il mourût, et ce
simple
mot est le sublime de l’honneur et de l’amour de
eux. Toutefois, la pompe convient à peu près à tout, excepté au style
simple
et le poète dit aussi : On peut être à la fois e
Ce qui est grand. Ce qui est éclatant. La pompe. Tout excepté le
simple
. Ce qui est brillant. La noblesse. Ce qui a
e varier leur style. Soyez donc varié. Que vos écrits soient tantôt
simples
, tantôt relevés, ici lents, là rapides ; mélangez
e de ces quatre petites phrases. Cela était facile, il a préféré être
simple
et couper son style. Elle se promenait souvent s
le. » C’est bien là une période à deux membres et à deux incises. De
simple
et coupé, le style est devenu élégant et nombreux
omplète, vague, elle ne mérite plus le nom d’épithète, ce n’est qu’un
simple
adjectif. Dans le réduit obscur d’une alcôve enf
age. Quand vous aurez à exprimer une idée ou un peu abstraite ou trop
simple
, quand vous voudrez donner de la vie à vos descri
isant ; elle provoque le sourire, mais elle s’étend à tout ce qui est
simple
et vrai en même temps. Sous ce dernier rapport, l
amis de mon Dieu ; j’ai porté la douleur et l’épouvante dans ces âmes
simples
et fidèles, que j’aurais dû plaindre et consoler.
Les procédés d’analyse ne doivent point effrayer les élèves. Ils sont
simples
par eux-mêmes ; d’ailleurs je les aiderai par des
On distingue deux sortes d’enflures : l’une consiste dans des pensées
simples
et vulgaires qu’un esprit faux s’efforce de rendr
lus souvent sont : le concis, l’abondant, le grave. Le véhément, le
simple
, le familier, le comique ou grotesque, l'élégant,
agédie et l’éloquence pathétique l’emploient de préférence. [Style
simple
, style familier, style grotesque] Style simpl
férence. [Style simple, style familier, style grotesque] Style
simple
, — Peu d’ornements, point de tournures affectées,
imple, — Peu d’ornements, point de tournures affectées, de claires et
simples
phrases et non des périodes, expressions propres,
iné de manière à ne point tomber dans la négligence, tel est le style
simple
. Style familier. — C’est la fleur du langage pop
quelquefois et souvent effacez. 11. On divise le style en style
simple
, style tempéré et style sublime. Le style simple
se le style en style simple, style tempéré et style sublime. Le style
simple
convient aux sujets ordinaires ; le style tempéré
lication, il s’en suivrait qu’un genre de discours put être tellement
simple
, qu’il ne pût comporter ni sublime ni même aucun
ue nous ne faisons guère d’hexamètres que quand nous sortons du style
simple
. Enfin on multiplia les épisodes, et on perfectio
mpagné dans ses diverses parties de formes dramatiques, et non par un
simple
récit, qui, en excitant la terreur et la pitié, a
s les plus vives répandues sur une table feraient moins d’effet qu’un
simple
crayon qui donne la figure. En un mot, la tragédi
ou ce qui convient au sujet. Cette partie se traite ou dans le genre
simple
et familier, ou dans le genre oratoire ; autrefoi
ble, qui seul fait et constitue le poète. Parmi les fables ou actions
simples
, les épisodiques sont les moins bonnes. J’entends
bles de la poésie. Chapitre X. Différence des fables. De l’action
simple
et de l’action implexe. Les fables sont simpl
ables. De l’action simple et de l’action implexe. Les fables sont
simples
ou implexes : car les actions dont les fables son
ont les imitations sont évidemment l’une ou l’autre. J’appelle action
simple
celle qui, étant une et continue, comme on l’a di
ique est celle des personnes, il s’ensuit qu’il y a la reconnaissance
simple
, quand l’un des personnages reconnaît l’autre don
ie, pour avoir toute sa perfection possible, doit être implexe et non
simple
, et être l’imitation du terrible et du pitoyable
es célèbres de familles semblables. Une fable bien composée sera donc
simple
plutôt que double, quoi qu’en disent quelques-uns
orale, comme les Phtiotides et Pélée 11 ; enfin la quatrième, qui est
simple
et unie, comme les Phorcides et Prométhée, et tou
à Agathon. Dans les pièces où il y a péripétie seulement, et dans les
simples
, les poètes font quelquefois leur dénouement par
du nom. Des métaphores. Des figures de grammaire. Il y a des noms
simples
, nommés ainsi, parce qu’ils ne sont pas composés
L’épopée a encore les mêmes espèces que la tragédie ; car elle est ou
simple
, ou implexe, ou morale, ou pathétique. Elle a les
ela le premier, et de la manière convenable. La fable de l’Iliade est
simple
et pathétique : celle de l’Odyssée est implexe, m
ocle : Aussitôt ce qui était immortel devint mortel, et ce qui était
simple
auparavant devint mixte. — Par ambiguïté : La
positions : aussi devons-nous distinguer trois espèces de genres : le
simple
, le tempéré et le sublime. Il ne faut pas croire
onviennent plus particulièrement à chacun d’eux. Section I. — Genre
simple
Le Genre simple comprend le Style simple, le S
ticulièrement à chacun d’eux. Section I. — Genre simple Le Genre
simple
comprend le Style simple, le Style naïf, le Style
eux. Section I. — Genre simple Le Genre simple comprend le Style
simple
, le Style naïf, le Style familier. § I. Style s
prend le Style simple, le Style naïf, le Style familier. § I. Style
simple
Le Style simple, ennemi de tout ornement éclat
le, le Style naïf, le Style familier. § I. Style simple Le Style
simple
, ennemi de tout ornement éclatant, ne recherche p
ntent de sa personne qu’il ne l’est de lui-même, etc. Comme le style
simple
convient aussi aux narrations, nous en donnons, d
es Lettres familières ; il est moins pur et moins précis que le style
simple
, mais il a plus d’abandon et de mouvement. » (Fil
arence de simplicité, cache la grâce et l’esprit. Il diffère du style
simple
proprement dît en ce qu’il consiste surtout dans
tempéré Le Genre tempéré ou fleuri tient le milieu entre le style
simple
et le style sublime. Son caractère est la douceur
douceur : il eût plus riche, plus abondant et plus élevé que le style
simple
. On l’appelle fleuri, parce qu’il fait usage des
iers, mais agréables. Parmi les figures, il choisit toujours les plus
simples
et les plus naturelles. La Lettre de Voiture à ma
obre de figures et de mouvements, et ne se distingue presque du style
simple
que par un caractère plus soutenu de force et de
lera la rapidité, et cela seul aussi suffira pour le rendre précis et
simple
, égal et clair, vif et suivi. À cette première rè
ve et profonde. Il peut se trouver dans une phrase, dans un mot, très
simple
en apparence, si cette phrase ou ce mot expriment
ublime se trouve souvent dans la phrase, ou dans l’expression la plus
simple
. Ex. : Il jette ses regards et les nations sont d
us grande naïveté sans viser aux charmes de l’éloquence. Quoi de plus
simple
que le style dans lequel est écrite la création d
er beaucoup est le seul moyen de profiter. Tout cela est un peu moins
simple
et moins commode que les hautes théories qui font
ité avec sérieux ; il faut lui faire l’honneur d’en parler sur un ton
simple
et digne à la fois. Tout ce qui est grave n’est p
émonstratif, le délibératif, le judiciaire. Cette classification est
simple
et féconde, bien que les trois noms semblent indi
conseiller ou de dissuader, d’accuser ou de défendre ; et les règles
simples
et générales suggérées par l’étude des grands mod
r au-delà. Rollin dit encore : Tout cela doit se faire d’une manière
simple
et naturelle, sans étude et sans affectation ; l’
bassesses ; l’intrigue supplante les plus grands talents ; des hommes
simples
et bornés s’élèvent aux premières places et les p
t. Un mot est souvent plus éloquent qu’un long discours. Témoin cette
simple
et belle parole d’un matelot anglais qui fit réso
par l’écrivain et par l’orateur, le but que tous deux poursuivent est
simple
et peut s’exprimer d’un seul mot persuader ; c’es
de résumer lui-même ce qui lui est enseigné en une seule proposition
simple
, courte et claire. Comment l’auditeur pourrait-il
oute composition littéraire, et il n’est pas d’œuvre si modeste et si
simple
par son objet et son cadre qui ne doive en faire
es cœurs. Leçon XIII. Des trois sortes d’exorde. 1. De l’exorde
simple
. — 2. De l’exorde par insinuation. — 3. Des préca
x. - 7. Style de l’exorde. — 8. Régles de l’exorde. 1. De l’exorde
simple
. — On distingue trois sortes d’exorde, désignés
— On distingue trois sortes d’exorde, désignés par les noms d’exorde
simple
, exorde par insinuation, exorde ex abrupto. L’exo
d’exorde simple, exorde par insinuation, exorde ex abrupto. L’exorde
simple
est une entrée en matière conforme aux observatio
ut entier, rien ne prend du premier coup son essor. Que le début soit
simple
et n’ait rien d’affecté. N’allez pas des l’abord,
sans faire d’abord de si haute promesse, Me dit d’un ton aisé, doux,
simple
, harmonieux : Je chante tes combats et cet homme
, commun, étranger. IX. Le style de l’exorde doit avant tout être
simple
. Leçon XIV. De la proposition et de la divisi
cours de Cicéron contre la loi agraire. 2. De la division. — Quelque
simple
que se présente un sujet, il comporte toujours l’
éparation des parties ayant pour objet de rendre plus facile et plus ‘
simple
l’intelligence du sujet, elle doit l’embrasser to
l’orateur ou de l’écrivain. Elle doit s’étudier à être d’autant plus
simple
et plus précise que le sujet est par lui-même obs
comme. ii. prépare les esprits à l’admettre par cette description si
simple
en apparence, mais où les détails les plus famili
Quintilien ajoute avec raison : Comme c’est bien là un départ pour un
simple
voyage de campagne, et que cette conduite ressemb
e en peignant son client comme un homme d’un caractère doux, de mœurs
simples
et pures, qui ne connaît ni la cupidité, ni l’amb
égance facile du style l’agrément supplée à l’interêt dans les sujets
simples
et qui ne se prêtent pas au mouvement des passion
montrer les acteurs qui ont pris part à cette action. Par exemple un
simple
et froid historien qui raconterait la mort de Did
plus fortes doivent être isolées et présentées sous la forme la plus
simple
. VI. Les preuves les plus faibles, si elles sont
t besoin d’un goût très-éclairé dans le choix de ces moyens. Les plus
simples
sont presque toujours les meilleurs ; les voici à
sée : ainsi Molière après avoir exprimé sou idée morale sous sa forme
simple
et directe, la redouble plusieurs fois, sous des
l’honnête homme du fourbe éloquent. Les signes sont d’ordinaire assez
simples
à reconnaître : l’homme loyal est précis, ouvert,
la péroraison : récapitulation. — 3. Emploi des passions. — 4. De la
simple
conclusion. — 5. Style de la péroraison. — 6. Uti
té de quarante mille livres de rente. Voici les paroles énergiques et
simples
prononcées par le généreux apôtre, en même temps
t Dieu, ils seront tous morts demain si vous les délaissez. 4.De la
simple
conclusion. — Mais il est hors de doute que tous
lus communes, fortifie es plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. Car il ne faut pas s’imaginer qu’on ait souvent
point de vue abstrait les idées qu’il s’agit d’exprimer dans la plus
simple
proposition, un être ou un objet est antérieur à
ux propositions principales s’opposent l’une à l’autre parle sens, le
simple
rapprochement suffit presque toujours pour rendre
se de phrases unies entre elles. La proposition est renonciation d’un
simple
jugement ; la phrase exprime cet enchaînement de
es et terribles leçons. La pensée de Bossuet peut se ramener à cette
simple
proposition : Dieu fait la loi aux rois. Le dével
loi aux rois. Le développement de cette idée consiste à substituer au
simple
mot Dieu trois périphrases qui forment les trois
phrase. — 2. Des tours généraux. — 3. Des tours particuliers les plus
simples
. — 4. Des tours particuliers les plus vifs. 5. Rè
ire la pensée et l’émotion. Le tour affirmatif est évidemment le plus
simple
, le plus naturel, celui dont l’emploi se présente
et morale de cette tournure, c’est de transformer ces expressions en
simples
tours affirmatifs : Ce fut une nuit désastreuse,
urlesques dans la circonstance23. 3. Des tours particuliers les plus
simples
. — Aux formes les plus simples de la proposition
3. 3. Des tours particuliers les plus simples. — Aux formes les plus
simples
de la proposition se rattachent des tours dont l’
sont le principe de cinq règles élémentaires : I. Les tours les plus
simples
sont le tour affirmatif’ et tour négatif, qui suf
. 3. Des différentes espèces de figures. — La classification la plus
simple
et la plus raisonnable des figures distingue : 1°
ais dans le but de produire plus d’effet. Tantôt la périphrase est un
simple
moyen d’éviter la répétition monotone du mot prop
est plus sa mère ; Néron n’est plus César ; Britannicus n’est plus un
simple
prétendant ; des périphrases expressives ont remp
me que dans la musique les variations donnent plus d’agrément à l’air
simple
, ainsi la périphrase sert d’accompagnement au mot
ssassiner. Le même moyen peut être employé avec succès dans le style
simple
et familier ; nous en avons comme exemple la lett
à force de recherche et de déraison rendront-ils au public le goût du
simple
; en tout cas ils font paraître le style naturel
aux choses spirituelles. II. Les métaphores doivent être naturelles,
simples
et suivies. III. Il faut éviter les métaphores q
avaient donné des noms différents à toutes les modifications les plus
simples
des figures principales de pensée et de mots. 10
istingue l’expression propre à ce qu’elle est celle qui était la plus
simple
, la plus naturelle et qui semble devoir se présen
rflue : ce qui reste dit alors clairement ce qu’il s’agit de dire. Le
simple
subsiste par lui-même ; ce sont les pensées acces
up en perdant tous les ornements superflus pour se borner aux beautés
simples
, faciles, claires, et négligées en apparence. Pou
uce, qui soulage mes faibles yeux. Je veux un sublime si familier, si
simple
, que chacun soit d’abord tenté de croire qu’il l’
leur faire admirer des tours de force, qu’on substitue à la démarche
simple
, aisée et naturelle des Fénelon, des Bossuet, des
reux continuateur de Pascal, il a tiré des effets admirables des plus
simples
locutions : Un homme s’est rencontré, à propos de
x d’Isocrate ou de Courier. La cadence a sa valeur, même dans la plus
simple
, proposition ; la chute en doit être sonore plutô
noblesse est une convenance de ton qui s’impose au style même le plus
simple
d’où il faut exclure toute expression vulgaire.
le aisance et par quelle habile gradation, La Fontaine passe du style
simple
au style sublime : Un bloc de marbre était si
caractères propres aux diverses parties de la composition : un style
simple
pour plaire dans l’exorde, un style fin et pénétr
reflète la vivacité même de son imagination40. Un des moyens les plus
simples
de donner au style une vivacité qui peut être réc
uaient trois genres de sujets et par suite trois genres de style : le
simple
, le tempéré, m sublime. Cette classification rép
nos sentiments. Voltaire a voulu ramener les trois genres à deux, le
simple
et le relevé ; c’est un tort qu’il aurait dû sent
un ouvrage du genre le plus élevé ; tandis que dans le genre le plus
simple
, écrivain s’élève par moments jusqu’au style subl
lus louchant que celui du Paysan du Danube, et au début, quoi de plus
simple
que le portrait de cet étrange et admirable ambas
e a des qualités distinctives qui méritent d’être analysées. Le genre
simple
, qui convient surtout à la narration, a pour cara
nsée ou le sentiment et le style qui sert à l’exprimer. IV. Le style
simple
a pour qualité distinctive t a naïveté ; le style
a richesse ; le style sublime, l’élévation. Leçon XXXIX. Du style
simple
. 1. Du style simple. — 2. De la concision ou b
ublime, l’élévation. Leçon XXXIX. Du style simple. 1. Du style
simple
. — 2. De la concision ou brièveté et du laconisme
ou brièveté et du laconisme. — 3. De la naïveté. — 4. Usage du style
simple
. — 5. Règles relatives au style simple. 1. Du
naïveté. — 4. Usage du style simple. — 5. Règles relatives au style
simple
. 1. Du style simple. — Ce style simple est com
style simple. — 5. Règles relatives au style simple. 1. Du style
simple
. — Ce style simple est comme son nom l’indique un
. Règles relatives au style simple. 1. Du style simple. — Ce style
simple
est comme son nom l’indique une manière unie de d
en quoi que ce soit ; le naturel est la qualité essentielle du style
simple
; un mot une tournure qui sente l’apprêt, suffit
fit pour détruire l’effet et le charme de ce genre de style. Le style
simple
est modeste et sans prétention : des mots qui sem
voilà ce qui le constitue. Il est plus facile de dire ce que le style
simple
exclut que d’indiquer ce qu’il réclame ; cependan
, ce n’est que pour penser à vous. Les qualités secondaires du style
simple
sont la concision ou brièveté et la naïveté. 2.
eau prise dans le ruisseau et jetée sur la toile. 4. Usage du style
simple
. — C’est surtout à la narration et l’argumentatio
imple. — C’est surtout à la narration et l’argumentation que le style
simple
paraît convenir. Il est encore habile de l’employ
dit Cicéron, rien ne semble d’abord plus facile à imiter que le style
simple
; à l’épreuve, rien ne l’est moins. Quoiqu’il ne
a période, a d’autres conditions à remplir ; car les tours rapides et
simples
ne dispensent pas de toute application : il est u
ant plus touchantes qu’elle semble n’y pas songer… L’orateur du genre
simple
, content de ces grâces modestes, sera peu hardi à
lète avec sagesse les observations du critique latin. Comme le style
simple
s’écarte peu de la manière commune de parler, on
ue de parler avec justesse et solidité, et cependant d’une manière si
simple
et si naturelle que chacun se datte d’en pouvoir
un se datte d’en pouvoir faire autant. 5. Règles relatives au style
simple
. — Toutes les observations qui précèdent et dont
de bon sens qui résument et concluent ce qui précède : I. Le style
simple
a pour caractère essentiel le naturel : il exclut
chercher ; elle se rencontre et elle s’ignore elle-même. V. Le style
simple
exclut les métaphores, lès figures trop vives et
tyle tempéré, comme l’indique son nom, tient le milieu entre le style
simple
et le style élevé ; il est, dit Cicéron, une sort
e sorte de mélange, de fusion des deux autres. Plus orné que le style
simple
, moins fort et moins éclatant que le style sublim
aïveté étant le caractère de la fable, le poëte ajoute du ton le plus
simple
: Et non l’homme ; on pourrait aisément s’y trom
e auquel doit répondre une nouvelle forme de style ; ce n’est plus le
simple
et le tempéré qu’il réclame, c’est le style élevé
angage précis, clair, sobre d’ornements. Elle peut descendre au style
simple
et familier, dans lés Mémoires ; elle doit s’élev
e. VIII. La prose historique peut avoir tous les caractères du style
simple
dans les Mémoires, et doit avoir la plus grande é
le haut, tous les degrés. Nous distinguerons dans la voix, le ton du
simple
discours, celui des la discussion et le ton des g
qui est de pur raisonnement demande surtout des intonations justes et
simples
. Mais les mouvements de l’âme doivent être accent
ir de gaieté, sans trop multiplier les gestes. Voilà pour les tons du
simple
discours. Dans la discussion, si le ton est conti
ceur et de l’harmonie. IV. Elle admet trois tons principaux : le ton
simple
pour l’exposition, le ton vif pour la discussi
s’habituer à la pratique de tous les genres de style, depuis le plus
simple
jusqu’au plus relevé. C’est au professeur de mêle
l’Histoire universelle de Bossuet n’est que le développement de cette
simple
proposition : La suite des a pour but l’avènement
re à persuader, c’est-à-dire en commençant par les jugements les plus
simples
et les plus faciles à admettre pour s’élever par
ante que si elle évite toutes les longueurs. VII. Là fable doit être
simple
, naturelle, procéder par dialogue et aboutir clai
lettre, à mon avis, est celle qui tire toute sa parure de la manière
simple
, aisée, naturelle, dont elle est écrite. Telles s
rait les réduire aux quatre règles suivantes : I. La lettre doit être
simple
, claire et naturelle. Elle exclut l’ emphase et l
ous les talents, brave, fier, éloquent, élégant, prodigue et toujours
simple
, mais sans le moindre souci du bien ou du mal, il
ilà saint Louis, voilà le héros chrétien ; toujours grand et toujours
simple
toujours s’oubliant lui-même. Autre développem
re et son tombeau, la Sainte-Chapelle et Saint-Denis, tous deux purs,
simples
, élancés vers le ciel comme lui-même. Il en a lai
et de réflexions. Parmi les principes littéraires, il en est d’assez
simples
pour servir même de thèses aux développements sco
une allégorie transparente comme dans le développement qui suit de ce
simple
lieu commun : Les plus sages des hommes sont souv
la critique littéraire et morale. I. Le développement historique sera
simple
, clair et précis dans la pensée et dans la forme.
peut-être un peu aride : car je ne me dissimule pas que, réduits à un
simple
exposé, les préceptes de l’art sont rebutants pou
d’un grand discernement. 15. Le pathétique doit être exprimé en style
simple
, être préparé ; il ne faut point l’interrompre ni
t explique tout ce qui est nécessaire à la clarté du récit. Elle sera
simple
et claire, et devra sortir du sujet comme une fle
’exorde que l’orateur emploie suivant les circonstances : 1° l’exorde
simple
, quand l’auditoire est favorablement disposé ; 2°
crivain. 4. On distinguait autrefois trois sortes de style : le style
simple
, le style tempéré et le style sublime. Cette divi
régulier des mots par lesquels on exprime sa pensée. 4. La phrase est
simple
ou composée. Elle est simple, quand elle exprime
s on exprime sa pensée. 4. La phrase est simple ou composée. Elle est
simple
, quand elle exprime une idée absolue, qui, pour ê
plicable à tous les tropes : toutes les fois qu’ils chassent le terme
simple
, ils sont obligés de valoir mieux. 6. La métaphor
au de sang est donc une métaphore, et un bras de rivière n’est qu’une
simple
catachrèse. 4. L’allégorie consiste à présenter u
irconlocution est une figure par laquelle on substitue à l’expression
simple
d’une idée une expression plus développée. Elle d
ne tournure plus propre à l’expression des passions que les tournures
simples
et naturelles. 2. On compte vingt-six figures ora
es, et rechercher, pour le produire, les mots les plus forts, quelque
simples
qu’ils soient d’ailleurs. 6. Les sources du subli
charme, éblouit ; elle convient à tous les sujets, excepté aux sujets
simples
, qui doivent être traités sans recherche. 10. La
ui est grand. Ce qui est éclatant. La pompe : Tout, excepté le
simple
. Ce qui est brillant. La noblesse : Ce qui
lète ou vague, elle ne mérite plus le nom d’épithète ; ce n’est qu’un
simple
adjectif. 10. Les images, dans le style, peignent
paux de style sont : le concis, l’abondant, le grave, le véhément, le
simple
, le familier, le comique ou grotesque, l’élégant,
édie et l’éloquence pathétique l’emploient de préférence. 5. Le style
simple
contient peu d’ornements, point de tournures affe
bondant ? — 3. Le style grave ?- 4. Le style véhément ? — 5. Le style
simple
? — 6. Le style familier ? — 7. Le style comique
annir du style toutes les fleurs du langage, le rendre, au contraire,
simple
et naturel, exempt de toute philosophie, tel est
tre de recommandation n’exige pas de réponse ordinairement ; c’est un
simple
laissez-passer. § IX. — Lettres de conseils.
rier suivant la nature de la matière que l’on traite : tantôt il sera
simple
, naïf, léger et plaisant, tantôt grave, noble, él
. 12. Écrit presque toujours pour les enfants, le conte veut un style
simple
, léger, familier, et à la portée du premier âge.
récit d’un événement exposé dans une lettre. Elle se distingue d’une
simple
nouvelle en ce qu’elle ne se borne point à dire q
eligieux qui se dénouent par un miracle, admis volontiers par une foi
simple
et pure. C’est ce qui a fait donner à la narratio
’époque naïve à laquelle il l’emprunte. 8. Le style de la légende est
simple
, naturel, et respire la foi ; il tolère les expre
t au cœur, et se sert des mouvements pathétiques. Son style doit être
simple
et familier dans la plupart des cas, quelquefois
ue doit faire toute césure. Si la césure est placée sans goût pour le
simple
besoin de la phrase, pour obtenir un effet puéril
ers doit être vif et précipité, et c’est méconnaître les lois du plus
simple
bon sens que d’arrêter court le rythme par la cés
, etc. Il ne faut pas prendre pour des rimes pauvres celles où le son
simple
est modifié, quand même la voyelle ne serait poin
e syllabe dans le vers alexandrin. Cette définition est du galimatias
simple
. Si l’hémistiche était un repos, comment comprend
le et l’étendue du morceau, et ne jamais perdre de vue cette règle si
simple
rappelée par Horace, qui veut que le mérite d’une
e, et surtout en poésie et en éloquence, la description n’est plus la
simple
définition d’un objet ; c’est la peinture, le tab
ssaires à l’exposition ? L’exposition doit être, en général, claire,
simple
et brève. Plus rarement elle est relevée ou piqua
alités conviennent à l’exposition ordinaire, qu’on peut appeler début
simple
; les deux autres constituent le début pompeux et
ion sorte du fond du sujet comme une fleur de sa tige. Elle doit être
simple
, afin de disposer le lecteur à la bienveillance,
a exposé ce précepte après Horace et La Fontaine : Que le début soit
simple
et n’ait rien d’affecté. Enfin l’exposition doit
ombat des Thermopyles, par Barthélemy, est un bon modèle d’exposition
simple
. 407. Qu’avez-vous à dire sur l’exposition pompeu
t savoir revenir sans effort sur les détails que, dans une exposition
simple
, il aurait donnés dès le commencement. De plus, e
l pas d’autres sortes d’exposition ? Outre l’exposition ordinaire ou
simple
qui fait connaître sans recherche et sans pompe c
rique ? La narration historique demande généralement un style grave,
simple
, clair et pur. Également éloignée d’un langage ba
ongues réflexions. — Quant au style, il doit être en général naturel,
simple
et facile. C’est ce qui a lieu dans le plaidoyer
els, des descriptions agréables, de l’esprit sans recherche, un style
simple
et piquant, une sorte de négligence douce et faci
est l’exposé d’un événement religieux, choisi dans les siècles de foi
simple
et naïve où les esprits avaient une propension tr
. Ainsi le style de la narration sera tantôt plus élevé, tantôt plus
simple
. On ne donnera point le même ton à une narration
, qui tient une sorte de milieu entre les ouvrages sérieux et ceux de
simple
amusement, est destinée à transmettre à une perso
re les caractères de la lettre ? La lettre, n’étant que l’expression
simple
et facile du sentiment et de la pensée, qu’un ent
ctère d’une conversation soignée. Or, la conversation bien faite sera
simple
, naturelle, facile et convenable. Les qualités de
première condition qu’on impose à un écrivain épistolaire est d’être
simple
et naturel : le travail et la raideur conviennent
nt aussi peu à une lettre qu’à la conversation familière. Or, il sera
simple
, dit Le Batteux, s’il écrit comme il parle, pourv
nt les qualités du style épistolaire. Le style épistolaire doit être
simple
, naturel, facile, aisé, clair et convenable, c’es
s’élever jusqu’à l’éloquence ? Le style de la lettre, ordinairement
simple
et facile, peut s’élever jusqu’à la noblesse, à l
airement ce qu’il faut et rien de plus. Les termes propres, les tours
simples
, et surtout la brièveté, sont ici de saison. La p
Elles seront courtes et réservées, lorsqu’elles seront dictées par la
simple
politesse : comme on se rend pour ainsi dire gara
ence. Un homme bien portant et bien constitué trouve plaisir aux mets
simples
et salubres. De même, dans les arts, le bon goût
lubres. De même, dans les arts, le bon goût se reconnaît à l’amour du
simple
et du naturel. Celui-là a un mauvais goût qui se
nce entre une idée et une pensée. L’idée (είδω, je vois) n’est que la
simple
représentation que l’esprit se forme des objets.
ons spécialement la simplicité et la naïveté qui conviennent au genre
simple
; la finesse et la grâce qui sont propres au genr
genre qu’elles ne puissent aussi appartenir à un autre. 51. La pensée
simple
est celle qui présente des objets qui n’ont rien
nte, au fleuve, à la colonne. Telle image est claire comme expression
simple
, et elle s’obscurcit dès qu’on veut l’étendre. S’
foi de celui qui parle. Mais dans la comédie on les accepte comme un
simple
badinage. De quelle langue voulez-vous vous serv
tions de notre vieux langage ne déplaisent pas, surtout dans le genre
simple
et familier. Mais il est bien rare qu’on puisse a
naturel, consiste à dire en termes brillants et recherchés des choses
simples
et communes. Un rhéteur ancien appelle les vautou
à un certain genre d’ouvrages ou de compositions. Les sujets les plus
simples
, les détails même les plus petits ont une nobless
guindé et manquait de naturel. Corneille sentait la nécessité d’être
simple
dans les choses simples ; mais alors il descendai
naturel. Corneille sentait la nécessité d’être simple dans les choses
simples
; mais alors il descendait trop bas comme il s’él
goût et d’élévation dans la pensée, surtout en écrivant dans le genre
simple
et familier. Voici quelques vers qui peuvent mont
de la terre. On voit que le poète passe sans effort du genre le plus
simple
à un style noble et élevé. 136. Le mérite des bon
savent varier leurs couleurs. Tantôt lents et tantôt rapides, tantôt
simples
et tantôt élevés, ils emploient tour à tour le st
réduits à trois genres principaux par la plupart des rhéteurs : genre
simple
, genre tempéré, genre sublime. § I. Du style si
héteurs : genre simple, genre tempéré, genre sublime. § I. Du style
simple
. 140. Le style simple est celui qui exprime le
enre tempéré, genre sublime. § I. Du style simple. 140. Le style
simple
est celui qui exprime les pensées, les sentiments
objets, ou d’un mouvement de l’âme naturel et spontané. 141. Le style
simple
convient aux entretiens familiers, aux récits de
mmunes et ordinaires. Le comble de l’art, dit Marmontel, c’est d’être
simple
dans les grandes choses et dans l’expression de t
pureté et la précision du langage sont les qualités propres au style
simple
. Il rejette les figures trop vives, les ornements
mbreuses et les chutes cadencées. On peut citer comme modèle de style
simple
l’histoire de Joseph et celle de Tobie dans nos s
le tempéré est ainsi nommé parce qu’il tient le milieu entre le style
simple
et le style sublime. Cicéron définit le style tem
s auteurs du dix-septième siècle nous apprennent comment on peut être
simple
et familier sans descendre jusqu’à la platitude e
par elle-même ; cette idée est néanmoins rendue par les mots les plus
simples
; le dernier vers est donc du sublime sans être d
boliques sont très naturelles et s’emploient fréquemment dans la plus
simple
conversation : Il marche comme une tortue. — Il
se (ἀνά λύω) consiste à décomposer un ouvrage, à le réduire à sa plus
simple
expression et à ses idées élémentaires, en le dég
e donner l’intelligence de ce qui va suivre. Elle doit être claire et
simple
. 301. L’exposition sera claire si l’on ne dit que
ue sur les toits du Kremlin. 302. En général, l’exposition doit être
simple
et promettre moins qu’elle ne tiendra. C’est le m
ieu de descendre, suivant le précepte de Boileau : Que le début soit
simple
et n’ait rien d’affecté. Celui qui, dès le début
à un seul but. L’unité n’est pas moins nécessaire aux récits les plus
simples
qu’aux compositions les plus étendues. Sans l’uni
et de la possibilité. Dans la forme et le style, la première est plus
simple
et plus modeste, et n’emploie les ornements qu’av
mords. Réfute-t-il un argument ? Il ne discute point ; il propose une
simple
question pour toute réponse, et l’objection ne re
genre épistolaire tient le milieu entre les genres sérieux et ceux de
simple
amusement, et au premier coup d’œil, dit Blair, i
e doit avoir une conversation soignée. Or, une conversation doit être
simple
, naturelle, facile, familière et convenable. Les
repousse un ton trop élevé et des ornements trop apparents. Pour être
simple
, il faut se borner à écrire comme on parle, et n’
Plus que toutes les autres, les lettres d’amitié demandent ce langage
simple
, naturel et facile, dont nous avons déjà parlé. E
surtout aux lettres d’amitié. C’est là qu’on doit répandre ces grâces
simples
et naïves, ces traits d’esprit, ces mots heureux,
t le sujet de votre lettre. 354. Les lettres d’affaires sont toujours
simples
, courtes, précises et très sérieuses. Les lettres
gement et leur goût. 364. Une analyse littéraire peut s’entendre d’un
simple
abrégé fait avec discernement. Pour réussir dans
il a plus de douceur, de grâce et d’abandon. Il est propre aux sujets
simples
ou badins. Dors, mon enfant, et que sur ta paupi
ers qui ont moins de six syllabes ne sont guère propres qu’aux sujets
simples
et badins. Dans la composition des ouvrages en ve
ymphe royale est digne qu’on lui dresse Des autels… Dans les sujets
simples
et familiers, l’enjambement donne quelquefois au
ont les sons ne sont pas semblables : croître, apparaître ; 5º le mot
simple
avec son composé : heureux, malheureux ; 6º les d
e là deux genres de poèmes lyriques : l’un grave et solennel, l’autre
simple
et gracieux. Boileau a caractérisé l’un et l’autr
xpressions seront exactes et bien choisies, la marche libre, les vers
simples
et coulants ; il faut que tout y soit fini, et qu
ts susceptibles de cette forme, depuis la grande épopée jusqu’au plus
simple
récit. Nous allons nous occuper d’abord de l’épop
les obstacles qui s’opposent à son œuvre. Cette proposition doit être
simple
, courte, sans pompe et sans affectation, selon le
l’Odyssée et Virgile dans l’Énéide. Dans le premier cas, le récit est
simple
et direct ; dans le second, il est composé ou dra
bientôt dans l’oubli. 481. Le poème héroï-comique donne à une action
simple
, commune, souvent même risible, la forme et le me
de chant. Aujourd’hui, il ne diffère du grand opéra que parce que la
simple
parole y remplace le récitatif. Il y a dans ce ge
rappante. Les fables ne sont pas ce qu’elles semblent être ; Le plus
simple
animal nous y tient lieu de maître. Une morale nu
elle qu’on t’imagine dans un pays riant, fertile, habité par des gens
simples
, naïfs, spirituels et honnêtes. Le poète doit cho
ptième églogue du même poète. 565. Les bergers doivent être modestes,
simples
et naïfs, c’est-à-dire que, dans leurs démarches
ées, au caractère, au langage de l’habitant des campagnes. Souvent la
simple
ingénuité de l’homme des champs a plus de grâce q
ui qui habite nos grandes villes. Que le style de l’églogue soit donc
simple
comme l’âme des bergers, doux comme leurs passion
ter à l’expression de la douleur. 572. Le style de l’élégie doit être
simple
, facile, naturel, sans apprêt, tendre et quelquef
e qu’à produire de grands effets. Quoique ces pièces ne soient que de
simples
jeux d’esprit, il est difficile de réussir eu ce
de caractère, et parmi celles de Martial il y en a qui ne sont que de
simples
billets adressés à un ami, mais il y en a aussi d
nsée fine qu’on appelle pointe ou bon mot. Cette exposition doit être
simple
, claire, facile, et préparer l’effet qu’on attend
chaud, sur le métal encore en fusion. (Ernest Hello.) III. Style
simple
. Le distrait. Ménalque descend son escalier,
poétique. Jeanne d’Arc devant ses juges. Prince, je vous dirai la
simple
vérité : Quand déjà les Anglais dévastaient ce ro
« Tes vœux sont exaucés ; lève-toi, me dit-elle, « Bergère comme toi,
simple
et faible mortelle, « J’ai porté la houlette, et,
les qualités particulières des pensées ? 51. Qu’est-ce que la pensée
simple
? 52. En quoi consiste la naïveté de la pensée ?
ent les qualités particulières du style ? 140. Qu’est-ce que le style
simple
? 1 41. À quels sujets convient le style simple ?
u’est-ce que le style simple ? 1 41. À quels sujets convient le style
simple
? 142. Quelles sont les qualités propres au style
ent le style simple ? 142. Quelles sont les qualités propres au style
simple
et les modèles de ce genre ? 143. Qu’est-ce que l
que l’exposition soit claire ? 302. Comment l’exposition sera-t-elle
simple
et modeste ? 303. Quand l’exposition porte-t-elle
s de l’antiquité ; mais elle reste imparfaite si elle n’en est qu’une
simple
traduction, si elle n’offre pas des observations
i l’ordre consacré par Aristote, Cicéron et Quintilien. C’est le plus
simple
et celui que la nature nous indique elle-même. L’
re et ne peut point en avoir. Considérée en elle-même elle est une et
simple
. C’est la faculté de bien dire, le don de subjugu
céron voulait qu’on s’exprimât dans le sénat romain, avec une dignité
simple
, d’un ton grave et sententieux (De orat., l. II,
deux facultés principales. Notre âme, quoiqu’elle soit une substance
simple
, a deux facultés principales, qu’on distingue sur
ujours juger de la vérité ou de la fausseté d’une proposition, par la
simple
considération des idées qui la composent. Alors i
: mes mains endurcies au travail me donnent facilement la nourriture
simple
qui m’est nécessaire. Il ne me faut, comme vous v
tres une vérité qui ne se découvre pas assez. Dans les autres cas, la
simple
exposition des idées règne presque seule ; et le
ancêtres, pour des traitemens injurieux faits à des commerçans, à de
simples
pilotes, entreprirent souvent des guerres ; vous,
t dans celle d’un jeune homme. Le magistrat ne s’exprime pas comme le
simple
citoyen, etc…. Il est difficile de garder un ton
haussure de femme : » il parle lui-même à ses juges en sage, en homme
simple
et vertueux, et il fut condamné. (Barth. Voy. d’A
sions ou pour les apaiser, sont expliqués d’une manière beaucoup plus
simple
dans le dialogue De Oratore, que nous voudrions r
-froid qu’il a exprimé de passion, et de réduire à rien, par un style
simple
et uni, les idées qu’il a grossies par sa véhémen
s sûr de ses effets qu’il paraît agir sans effort. L’orateur parle en
simple
témoin ; et lorsque la chose est par elle-même ou
ur lui. Antoine ne fait que lire le testament de César, et cet exposé
simple
de ses dernières volontés, en faveur du peuple ro
s. D’ailleurs, du temps de Démosthène et de Cicéron, les lois étaient
simples
, générales, et en petit nombre ; ce qui faisait q
l’un des côtés de la question, et puis il termine par une conclusion
simple
et précise. Cependant, comme toutes ces parties e
Selon le sujet, Cicéron distingue deux espèces d’exorde : le début
simple
et l’insinuation. Exordium in duas partes dividit
n principium et insinuationem. (De inv. Rh., l. I, n. 15.) L’exorde
simple
. Le début simple consiste à exposer en peu de mo
sinuationem. (De inv. Rh., l. I, n. 15.) L’exorde simple. Le début
simple
consiste à exposer en peu de mots et avec netteté
à l’éloquence de déployer ses plus beaux ornemens. L’exorde doit être
simple
; Démosthène et Tite-Live peuvent nous servir de
. Définition de la proposition. La proposition est l’exposition
simple
, claire et précise du sujet qu’on va traiter. Sa
te de la confirmation. (Quint., l. IV, c. 4.) Il y a des propositions
simples
et des propositions composées. (Ibid.) Propositi
ositions simples et des propositions composées. (Ibid.) Propositions
simples
. On appelle propositions simples celles qui ne r
ns composées. (Ibid.) Propositions simples. On appelle propositions
simples
celles qui ne renferment qu’un seul sujet à prouv
mposées offrent toujours différens points à traiter. Les propositions
simples
, étant souvent appuyées sur deux ou trois preuves
visions. Toutes les fois que la proposition est composée, ou qu’étant
simple
, on annonce qu’on la prouvera d’abord par tel moy
nsuite aux subdivisions qui sont aussi naturelles que la division est
simple
. Dans quel cas la division n’est pas nécessaire.
non plus que d’exorde en forme, et qui se terminent aussi bien par la
simple
conséquence d’un raisonnement, qu’elles commencen
s grâces légères et proportionnées à la médiocrité du sujet, un style
simple
en apparence, mais plein d’élégance ; des figures
ien n’était-il plus propre à le faire croire que cette description si
simple
en apparence : « Milon qui, était resté ce jour m
persuader que c’est ici un départ sans empressement, sans dessein, un
simple
voyage de campagne. Que Milon paraît tranquille e
en philosophie et en morale. C’est par l’habitude de tout réduire au
simple
, de tout décomposer, de tout définir, qu’on démêl
; si nous devons insister d’abord sur la rigueur du droit, ou sur la
simple
équité ; lequel est le plus convenable de commenc
us communes, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. Sans le style, il est impossible qu’il y ait un
ient d’autres noms à ces trois genres de style ; il les appelaient le
simple
, le tempéré ou le moyen, et le sublime, et cette
n. 75 et suiv. — Quint., l. XII, c. 10.) En quoi consistent le style
simple
, le style tempéré et le style sublima. Selon eux
le style simple, le style tempéré et le style sublima. Selon eux, le
simple
consiste dans l’expression nue, claire et précise
xte. Destination de chacun de ces genres. Ils disaient que le style
simple
devait servir à instruire et à prouver, le tempér
à toucher. Peu exacte. Mais ici les idées se confondent ; la beauté
simple
et sans fard a aussi le don de plaire et de touch
nres de style : l’exorde au moyen, la narration et la preuve au genre
simple
; la péroraison au genre sublime. Mais ce précept
n ouvrage quelconque, puisqu’on peut placer un trait sublime dans une
simple
narration, puisqu’on peut et qu’on doit même écri
de bergers… Il faut être grand dans les grandes choses ; il faut être
simple
, sans être bas, dans les petites : il faut tantôt
re a ses nuances différentes ; on peut au fond les réduire à deux, le
simple
et le relevé ; ces deux genres, qui en embrassent
eur rang entre ces deux. Dans quels écrits on doit employer le style
simple
. Le style simple est celui des discussions, des
deux. Dans quels écrits on doit employer le style simple. Le style
simple
est celui des discussions, des mémoires, des réci
la réponse de Porus, en roi ; le fiat lux de la Genèse. L’expression
simple
et l’expression figurée lui conviennent. L’expre
ression simple et l’expression figurée lui conviennent. L’expression
simple
et l’expression figurée sont également propres à
ment propres à rendre une idée sublime. Exemples. Si le mot le plus
simple
est aussi le plus clair et le plus sensible, c’es
« Tout était dieu, excepté Dieu lui-même. » Voilà le sublime dans le
simple
. On représentait au fils d’Horace allant combattr
on veut relever, ennoblir une idée commune, au lieu de son expression
simple
et habituelle, on emploie l’artifice de la périph
morte. (Oraison fun. de Henriette, duchesse d’Orléans.) C’est le mot
simple
et commun qui en fait toute la force. Si l’orateu
r leur faire admirer des tours de force qu’on substitue à la démarche
simple
, aisée et naturelle des Fénélon, des Bossuet, des
l n’a pas l’air d’avoir coûté. Une idée mise galamment, mais en habit
simple
, ne paraît pas piquante à ces messieurs ; ils veu
on, est véritablement éloquent, qui dit les petites choses d’un style
simple
, les médiocres d’un style tempéré, les grandes d’
odernes à leur exemple, n’ont distingué que trois genres de style, le
simple
, le tempéré ou fleuri, et le sublime. Mais, nous
-il à l’éloquence de la tribune : l’orateur doit parler d’une manière
simple
, mais pourtant avec dignité, et employer des pens
effort, sans recherche ; si elle est dans le naïf, jetez des couleurs
simples
, négligées, qui ne paraissent dues qu’au hasard o
s ; enfin si elle est dans le sublime, déployez-en d’éclatantes et de
simples
en même temps. Ou enfin une simple pensée, un si
, déployez-en d’éclatantes et de simples en même temps. Ou enfin une
simple
pensée, un simple sentiment à rendre. Il nous re
latantes et de simples en même temps. Ou enfin une simple pensée, un
simple
sentiment à rendre. Il nous reste à parler du st
ns, selon leurs modifications diverses, par leurs signes équivalens :
simples
, par des termes simples ; complexes, par des term
tions diverses, par leurs signes équivalens : simples, par des termes
simples
; complexes, par des termes complexes ; mêlées d’
e peut seulement procéder par un chemin plus long ou plus court, plus
simple
ou plus compliqué. » (Voltaire, Dict., phil., au
ibid.) Elle sert, en poésie, à relever des détails qui seraient trop
simples
et trop communs, s’ils n’étaient élégamment expri
qui le font valoir, et suivons dans ces recherches le procédé le plus
simple
, le plus clair et le plus méthodique. Tout ce qu’
ature. Suivant Cicéron (Orat., n. 198), la période aussi bien que la
simple
phrase, sont indiquées par la nature ; car la pen
rme qui lui est analogue. Ainsi, si la pensée n’est qu’une perception
simple
et isolée, la phrase sera simple et isolée comme
si la pensée n’est qu’une perception simple et isolée, la phrase sera
simple
et isolée comme elle ; mais si la pensée est elle
sens, et moins délicats que ceux de l’entendement. » Il semble tout
simple
de placer en avant ce qui est l’objet principal d
t nous saisissons mieux le rapport qui existe entre tous les deux. La
simple
phrase que Cicéron appelle incise, incisum, doit
ctère le plus ordinaire est la gaieté. L’expression doit en être fort
simple
, parce que la gaieté ne plaît qu’autant qu’elle e
s d’horreur, d’étonnement, etc. Il faut remarquer que le tour le plus
simple
est presque toujours celui qui exprime le mieux l
ai promis. » (Émile.) Il y a cette différence remarquable entre les
simples
tours et les mouvemens du style, que les premiers
y ajoutent de la force, de la noblesse, ou de la grâce. L’expression
simple
se borne à présenter la pensée toute nue : les fi
énergie et ajoutent des ornemens au discours ; ils relèvent des idées
simples
et communes par une expression qui ne l’est pas,
on en fait usage à tout moment dans le discours soutenu comme dans la
simple
conversation, dans la prose comme dans les vers.
liée. Un des plus grands secrets de l’art d’écrire est de savoir être
simple
à propos. La simplicité fait ressortir les orneme
6.) Le style oratoire élevé les admettra plus volontiers que le style
simple
et familier ; cela résulte du précepte général de
et l’on place des métaphores outrées jusque dans les récits les plus
simples
. Le lecteur est tenté à tout moment de dire comme
est souvent qu’un ornement. La périphrase est souvent employée comme
simple
ornement, pour relever une idée simple et commune
ase est souvent employée comme simple ornement, pour relever une idée
simple
et commune par une image qui plaise à l’esprit du
icationem. (L. VIII, ch. 4.) 1°. Par l’explication des détails. A la
simple
dénomination des objets, on substitue une descrip
raison. On peut distinguer deux sortes de comparaisons : les unes de
simple
ornement, les autres de nécessité ou du moins d’u
sée ; alors elle s’appelle plutôt opposition. On emploie l’opposition
simple
lorsqu’il s’agit d’exprimer des sentimens différe
une beauté solide : alors c’est la manière la plus courte et la plus
simple
d’exprimer les choses. » (Dial. sur l’éloq.) Il
e sent pas, produit une impression vague et prompte à disparaître. Le
simple
récit d’un grand carnage nous causerait moins d’h
re naître dans leurs cœurs la surprise et l’admiration. Dans le genre
simple
, on connaît la fameuse lettre de madame de Sévign
direz-vous de nouveau ? d’où venez-vous ? Ce sont là des expressions
simples
et unies ; il n’y a point de figure. Nous parlons
s le plus ordinaire. Peut-être ne devrait-on la placer qu’au rang des
simples
métaphores. Tantôt elle les fait agir. La secon
pressions ordinaires paraissent trop faibles. Elle s’emploie dans la
simple
conversation. Les tours hyperboliques sont plus
on ne le croirait peut-être. On les emploie très-souvent dans la plus
simple
conversation. Ne dit-on pas d’un danseur, qu’il e
de s’applaudir d’avoir deviné. Mais plus particulièrement aux genres
simples
. Ce qu’on appelle particulièrement traits appart
e qu’on appelle particulièrement traits appartient davantage au genre
simple
, aux ouvrages légers et plaisans. On en trouve be
nres de sujets qui ne demandent que l’élégance, la précision, le vrai
simple
. La continuité du brillant ne sert souvent qu’à é
ans le même sens. Il dit qu’un discours pour être persuasif doit être
simple
, naturel ; que l’art y doit être caché ; et qu’un
sées. Ces défauts viennent de ce que l’écrivain présente des pensées
simples
et communes sous des expressions pompeuses, ou de
uvera que c’est prendre un essor bien élevé, pour dire une chose fort
simple
. Un apothicaire, dit Voltaire, donne avis au publ
l’êtes ? Feux est pris au figuré dans le premier hémistiche, et au
simple
dans le second. On peut remarquer qu’il y a bien
qui veut les cacher, demandent au contraire les expressions les plus
simples
. Rien n’est si vif que ces vers du Cid : Va, je n
ours oratoire s’élève quelquefois jusqu’à la hauteur de la poésie. Un
simple
récit n’admet point ces phrases ambitieuses. Les
et comme entraînés hors d’eux-mêmes…… Dans cet état d’ivresse, il est
simple
, il est juste, il est nécessaire que le style ait
Du barreau. Au barreau, l’habitude de plaider de mémoire ou sur de
simples
notes est devenue générale(1). La lecture d’un pl
ersation ordinaire. Il consiste dans des inflexions de voix douces et
simples
. Le soutenu, Le soutenu est celui qu’on doit pr
l’on veut, l’illustre défaut de Charles aussi-bien que de César. (Ton
simple
et presque familier.) Mais que ceux qui veulent c
enir. A la narration, La narration se prononce communément d’un ton
simple
et familier, parce qu’alors on dit les faits sans
exposition des preuves, on prendra, suivant les circonstances, le ton
simple
, familier, moyen ou soutenu pour les exprimer. A
éanmoins on peut assigner entre l’une et l’autre une différence assez
simple
: c’est que les bienséances regardent principalem
pour bien faire l’exorde. Il y a plusieurs sortes d’exorde. L’exorde
simple
. L’exorde par insinuation. Méthode d’insinuation.
uts de l’exorde. Définition de la proposition. Sa place. Propositions
simples
. Propositions composées. 1. C’est la proposition
ir. Division de Cicéron et de Quintilien. En quoi consistent le style
simple
, le style tempéré et le style sublima. Destinatio
aractères intermédiaires. Dans quels écrits on doit employer le style
simple
. Dans quels le style relevé. Du style périodique.
indépendant des mots. La briéveté le rend plus frappant. L’expression
simple
et l’expression figurée lui conviennent. Exemples
e et de l’épopée est majestueux, que celui de l’histoire est noble et
simple
, que celui de la comédie est familier et quelquef
une action à décrire, Une chose particulière à peindre. Ou enfin une
simple
pensée, un simple sentiment à rendre. Résumé de c
ire, Une chose particulière à peindre. Ou enfin une simple pensée, un
simple
sentiment à rendre. Résumé de ce qui a été dit su
de pensée, et nous avons adopté cette opinion. Elle s’emploie dans la
simple
conversation. Et dans la plaisanterie. Elle embel
ppartiennent aux genres élevés, Mais plus particulièrement aux genres
simples
. Discrétion nécessaire dans l’usage des pensées i
s les antécédents nécessaires à la clarté du récit. L’exposition sera
simple
et claire. Simple : il faut promettre peu, et tâc
nécessaires à la clarté du récit. L’exposition sera simple et claire.
Simple
: il faut promettre peu, et tâcher de tenir beauc
règles de la disposition de la narration. L’Exposition est claire et
simple
; elle présente les personnages. Le Nœud les met
y a entre ce récit embelli de petites circonstances, et ces mots trop
simples
: Turenne expire. Il semble, grâce à l’image pr
nablement en matière. Il y a quatre espèces d’exorde. 1. L’exorde est
simple
, quand l’orateur, n’ayant pas de préventions à dé
prouver, et se place immédiatement après l’exorde. La proposition est
simple
, si l’on n’a qu’une seule vérité à prouver. Elle
entraînement ; il faut que l’auditeur soit captivé et échauffé par la
simple
exposition du fait, qu’il croie voir les choses a
e caractère ou la signification.] Parmi les pensées, les unes sont
simples
, naturelles, naïves, fines, délicates, tendres, a
gigantesques, etc. Ces dernières doivent être rejetées. 1° Pensées
simples
La pensée simple est celle qui s’offre naturel
es dernières doivent être rejetées. 1° Pensées simples La pensée
simple
est celle qui s’offre naturellement à l’esprit, e
naturelles Les pensées naturelles sont peu différentes des pensées
simples
: elles sont renfermées dans le sujet et en naiss
nt tout naturellement. En voici une tirée de Millevoye : Sous ce
simple
monument Repose une fille bien chère ; Elle mouru
es sont des pensées dont le sel et la finesse sont cachés sons un air
simple
et ingénu ; elles semblent couler de source, sans
sée peut être sublime, quoiqu’elle soit exprimée avec des expressions
simples
. Les mortels sont égaux ; ce n’est point la nais
onner du prix, doit, recourir aux agréments du style. Rien n’est plus
simple
que les pensées suivantes ; mais l’expression les
Il semble cependant qu’elle se trouve beaucoup mieux dans les genres
simples
ou médiocres que dans le genre élevé, parce que s
tère ? L’épigramme, chez les anciens, n’était le plus souvent qu’une
simple
inscription. Ce caractère de simplicité est d’aut
ui pique le lecteur, ce qui l’intéresse. La première partie doit être
simple
, claire, aisée, et rejeter tout ce qui est langui
ine. Le madrigal, au contraire, a quelque chose de plus doux, de plus
simple
, de plus délicat : ici c’est le cœur qui parle, l
il en faut pour assaisonner le sentiment. Le tour est délicat, il est
simple
, il est doux : c’est tout ce qu’on peut souhaiter
n’est pas si relevé : le style est alors nécessairement dans le genre
simple
. Tel est le suivant. 125. Faites connaître quelqu
connaître quelques sonnets. Le sonnet suivant, quoique dans le genre
simple
, n’est pas sans mérite, parce qu’il fait connaîtr
us qui méprisez l’art dans l’éloquence, croyez-vous ne devoir qu’à la
simple
nature les agréments, la variété, l’abondance qu’
ement ému est éloquent sur l’objet qui le touche, lorsque l’objet est
simple
et n’a rien de litigieux. Mais si la cause de la
stincte et complète ; où les procédés de l’entendement, du composé au
simple
, du simple au composé, ne sont encore, si j’ose l
complète ; où les procédés de l’entendement, du composé au simple, du
simple
au composé, ne sont encore, si j’ose le dire, que
ccord et la diversité des parties dont cet ensemble est composé ? Une
simple
lecture ne les captive point, et ne laisse presqu
donnant la préférence aux causes générales, non-seulement comme plus
simples
, mais comme plus propres à faire connaître les gr
euse équité. » Voilà une grande leçon et en même temps un moyen assez
simple
de rendre les causes particulières accessibles au
se rendre. Il faut se renfermer, le plus qu’il est possible, dans le
simple
naturel ; ne pas faire grand ce qui est petit, ni
omes. N’omettre à demander aucun des axiomes parfaitement évidents et
simples
. Pour les démonstrations. Ne démontrer aucune de
nc pas de doute que ces règles, étant les véritables, ne doivent être
simples
, naïves, naturelles, comme elles le sont. Ce n’es
les arts aient pu revenir au goût des anciens, et reprendre enfin le
simple
et le naturel ! On se nourrit des anciens et des
s la connaître, et qu’il a enfin trouvée, est celle qui était la plus
simple
, la plus naturelle, qui semblait devoir se présen
s ce qu’elle a de plus beau et de plus noble, de plus naïf et de plus
simple
; il en fait la peinture ou l’histoire. L’autre,
n’en ayez point ; c’est votre rôle : ayez, si vous pouvez, un langage
simple
, et tel que l’ont ceux en qui vous ne trouvez auc
et trompeuse beauté ; au lieu qu’on ne devait chercher qu’une beauté
simple
et naturelle, qui vient de la santé et de la prop
ant l’existence de Dieu. Le métaphysicien vous fera une démonstration
simple
, qui ne va qu’à la spéculation. L’orateur y ajout
gression ; je reviens à mon but. La persuasion a donc au-dessus de la
simple
conviction, que non-seulement elle fait voir la v
rte dans les poètes que dans les orateurs. La poésie ne diffère de la
simple
éloquence qu’en ce qu’elle peint avec enthousiasm
auffer l’imagination de l’auditeur, ni exciter ses passions. Un récit
simple
ne peut émouvoir : il faut non-seulement instruir
z pourtant pas ce qu’on appelle des jeux d’esprit. Ce sont des choses
simples
: la nature se montre partout ; partout l'art se
onc. Naturellement fait-on beaucoup de gestes quand on dit des choses
simples
, et où nulle passion n’est mêlée ? B. Non. A. I
vent sans doute animer beaucoup plus un homme que s’il était dans une
simple
conversation : mais en public, comme en particuli
rps demeure tranquille quand ses paroles n’ont rien que de doux et de
simple
. Rien ne me semble si choquant et si absurde que
par Démosthène au-dessus de tout. Plus l’action et la voix paraissent
simples
et familières dans les endroits où l’on ne fait q
nsuite on établit les principes, puis on pose les faits d’une manière
simple
, claire et sensible, appuyant sur les circonstanc
une beauté solide ; alors c’est la manière la plus courte et la plus
simple
d’exprimer les choses. Mais chercher un détour po
x de mots sont dans l’éloquence. L’architecture grecque est bien plus
simple
; elle n’admet que des ornements majestueux et na
rand détail, bien des gens, s’ils l’osaient,.trouveraient Homère trop
simple
. Par cette simplicité si originale, et dont nous
inégalités. Il faut être grand dans les grandes choses ; il faut être
simple
sans être bas dans les petites ; il faut tantôt d
itables règles. Il dit qu’un discours, pour être persuasif, doit être
simple
, naturel ; que l’art doit y être caché, et qu’un
les moyens de faire toujours croître le discours, la nécessité d’être
simple
et familier, même pour les tons de la voix, et po
l est. J’ajouterai seulement en général, pour éviter la difficulté :
Simple
en était la noble architecture ; Chaque ornement,
, Et que Vadius cherche encore. Il se plaisait à consulter Ces grâces
simples
et naïves Dont la France doit se vanter : Ces grâ
ristote, et s’explique avec le style de Platon, il distingue le genre
simple
, le tempéré et le sublime. Rollin a suivi cette d
fleuve et cette rivière, tout homme de bon sens voit que l’éloquence
simple
est celle qui a des choses simples à exposer, que
me de bon sens voit que l’éloquence simple est celle qui a des choses
simples
à exposer, que la clarté et l’élégance sont tout
re a ses nuances différentes ; on peut au fond les réduire à deux, le
simple
et le relevé. Ces deux genres, qui en embrassent
ies, ni exclamations pathétiques, ni expressions véhémentes. Entre le
simple
et le sublime, il y a plusieurs nuances ; et c’es
utre qui n’est que l’effet de la négligence : c’est de mêler au style
simple
et noble qu’exige l’histoire ces termes populaire
de préférer le burlesque au noble, le précieux, et l’affecté au beau
simple
et naturel ; c’est une maladie de l’esprit. On se
’avait pas trop souvent le style familier, qui est si voisin du style
simple
et naïf. Par exemple dans Mithridate : Seigneur
mple dans Mithridate : Seigneur ! vous changez de visage ! Cela est
simple
et même naïf. Ce demi-vers, placé où il est, fait
inaires ; c’est une transition plutôt qu’une situation. Rien n’est si
simple
que ce vers : Madame, j’ai reçu des lettres de l
us communes, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. Sans le style, il est impossible qu’il y ait un
r leur faire admirer des tours de force qu’on substitue à la démarche
simple
, noble, aisée, décente, des Pellisson, des Fénelo
s ses petits menuets. Vous êtes brillant de pierreries, son habit est
simple
, mais bien fait. Il faut que vos diamants soient
mot instinct signifiait génie. Le caractère de ce bon homme était si
simple
, que dans la conversation il n’était guère au-des
rel, de l’homme du plus grand goût, de l’âme la plus haute et la plus
simple
, je mettrai votre nom au bas. Je vous embrasse te
qu’Euripide et Sophocle ne manquèrent pas d’observer. Leur style est
simple
, rarement figuré : ils ne s’y permettent jamais n
ocle et d’Euripide, auxquels on l’a tant comparé. Il est encore moins
simple
, plus poétique, enfin moins naturel que l’un et l
s, le poëte qui ne connaît que les ressources et les beautés du style
simple
s’abaissera nécessairement jusqu’à devenir famili
gédies les plus parfaitement écrits. Le comble de l’art serait d’être
simple
dans les grandes choses et dans l’expression des
d. Pour ne pas tout dire on ne dit pas assez ; et de peur d’être trop
simple
on s’étudie à être obscur. Rien de plus mal enten
lus de latitude, et la justesse leur suffit. Dès que l’expression, ou
simple
ou figurée, répond exactement à la pensée, elle e
de la pensée ou du sentiment ne demande, pour s’exprimer, que le mot
simple
de la nature. Encore alors la simplicité même aur
oblesse et son élégance : car il faut savoir être naturel avec choix,
simple
avec dignité et négligé même avec grâce. Ainsi, l
aux bretons pour leur inspirer le courage du désespoir : rien de plus
simple
, rien de plus pressant ; il n’y a pas un mot qui
rival, mais c’est pour l’étouffer. Souvent l’énergie est dans le mot
simple
: Summum crede nefas animam praferre pudori...
telet dit de la peinture : « Les mouvements de l’âme des enfants sont
simples
; leurs membres dociles et souples ne résulte de
héri, sont susceptibles de grâces, parce que tous ces mouvements sont
simples
. » Mettez le langage à la place de la personne, c
; si l’expression est juste, le style est sublime ; si le mot le plus
simple
est aussi le plus clair et le plus sensible, le s
était Dieu, excepté Dieu même » (Bossuet) : voilà le sublime dans le
simple
. « L’univers allait s’enfonçant dans les ténèbres
l’ostentation de paroles. En éloquence, on a distingué le sublime, le
simple
, et le tempéré, ou, comme disaient les Grecs, l’a
omme l’entend La Motte, dans la dernière partie de la Milonienne.
Simple
L’un des trois genres d’éloquence que les rhét
après Cicéron et Quintilien, a très-bien analysé ces trois genres, le
simple
, le sublime et le tempéré, compare le simple à ce
ysé ces trois genres, le simple, le sublime et le tempéré, compare le
simple
à ces tables servies proprement, dont tous les me
ens, plus nous avons le goût pur et sain, plus nous aimons les choses
simples
. Cicéron, de son côté, en parlant de ce genre de
t du luxe, plus nous sommes touchés des charmes de la beauté naïve et
simple
. Mais, dans l’une et l’autre image, n’oublions pa
aturel exquis. Ici disparaît la distinction que l’on a faite du genre
simple
, du tempéré et du sublime, en destinant l’un à in
pas raisonnable de refuser le don de plaire et de toucher à la beauté
simple
et sans fard. Or il est bien vrai qu’en instruisa
genre de beauté, ce don d’attacher et de plaire convient également au
simple
et au sublime ; car l’un et l’autre se confondent
fondent assez souvent : rien même ne sied mieux au sublime que d’être
simple
, mais il l’est avec majesté ; et voilà ce qui les
ef-d’œuvre ; le Gladiateur mourant, le Faune, la Vénus, sont du genre
simple
. Il n’y a pas une statue antique du caractère que
semblent être que l’abondance et la richesse de son sujet, et que le
simple
, en s’y mêlant, comme cela doit être, lui donne q
quum pauper et exui uterque. Celui-ci me semble le partage du genre
simple
: à moins qu’on ne dise qu’alors le simple est su
semble le partage du genre simple : à moins qu’on ne dise qu’alors le
simple
est sublime lui-même ; et tel est bien mon sentim
même ; si l’un ou l’autre genre de pathétique y trouvait sa place, le
simple
ou le sublime prendrait celle du tempéré. Voyez,
mpéré Genre d’éloquence qui tient le milieu entre le sublime et le
simple
. On peut voir, dans l’article Sublime, que Cicéro
e aussitôt et l'émousse, et qu’il n’y pour l’esprit, que les aliments
simples
dont il ne se lasse jamais ?Difficile enim dictu
ecta atque obsoleta fugiat, lectis atque illustribus utatur. Ainsi le
simple
se mêlera au tempéré, comme il s’allie même au su
nte les Romains comme des hommes hautains dans leurs sentiments, mais
simples
, naturels et modestes dans leurs paroles, etc. C
’ordre de Néron, et obligée de se justifier, commence par ces mots si
simples
: Approchez-vous, Néron, et prenez votre place.
qu’on ne trouât guère dans les personnages de Corneille de ces traits
simples
qui annoncent une grande étendue de ces traits se
l’expression ! Qui créa jamais une langue ou plus magnifique, ou plus
simple
, ou plus variée, ou plus noble, ou plus harmonieu
et paraît toujours supérieure à leurs conceptions incertaines. Génie
simple
et puissant, il assemble des choses qu’on croyait
er. III. Lorsqu’une pensée est trop faible pour porter une expression
simple
, c’est la marque pour la rejeter. IV. La clarté o
gue dans tous les genres le génie, et qui fait que les idées les plus
simples
et les plus connues ne peuvent vieillir. L. Les g
lera la rapidité, et cela seul aussi suffira pour le rendre précis et
simple
, égal et clair, vif et suivi. A cette première rè
rait qu’il en est de nos pensées comme de nos fleurs. Celles qui sont
simples
par l’expression, portent leur semence avec elles
endant comme toutes les matières qu’on traite, sont, ou dans un genre
simple
, ou dans un genre un peu plus élevé, ou dans un g
peut dire aussi qu’il n’y a que trois espèces générales de style, le
simple
, le tempéré, le sublime, et que le style particul
de la première classe peuvent convenir plus particulièrement au style
simple
; celles de la seconde au style tempéré ; celles
; celles de la troisième au style sublime. Article I. Du Style
simple
, et des Figures convenables à la preuve. Le st
Du Style simple, et des Figures convenables à la preuve. Le style
simple
n’admet ni les mots sonores, ni les tours harmoni
» Les Poésies du P. du Cerceau offrent beaucoup d’exemples de style
simple
. En voici un tiré d’une pièce de vers intitulée l
d’instruire, et généralement dans tous ceux, où l’on parle de choses
simples
et communes. On compte parmi les figures qui lui
rnement. Le style tempéré est plus fort et plus élevé que le style
simple
. On l’appelle aussi fleuri, parce qu’il fait usag
umière commence ; Tout brille des feux du printemps. Les plus
simples
objets, le chant d’une fauvette, Le matin d’un be
attacher aux autres ornements de l’art, il n’emploie que des couleurs
simples
et naturelles. On peut prendre pour modèle en ce
sicales des plus habiles compositeurs, ils écrivaient le lendemain un
simple
billet, ou une lettre d’un style banal ou équivoq
monde, vers ces temps antiques où les hommes affectionnaient une vie
simple
, nous serons fondés à penser que le langage humai
les différents caractères de la phrase, nous rappellerons que la plus
simple
est formée d’un sujet, d’un verbe et d’un attribu
ance, pour : l’homme a mis sa confiance en sa propre force. La phrase
simple
conduit directement à la phrase complexe, qui se
l’homme. La phrase composée vient se placer ici, après : les phrases
simples
et complexes, et nous dirons, pour la définir, qu
Notre premier devoir a donc été de nous soumettre au rôle modeste et
simple
qui nous était imposé par deux hommes d’une autor
u’un vil intérêt ne divise ; la bonne foi n’est plus que la vertu des
simples
; les haines sont éternelles ; les réconciliation
ra pas, et ceux qui jugent, soit avec un caractère public, soit comme
simples
particuliers, y conforment ordinairement leurs dé
hes, parce qu’ils sont toujours honorables. Ses paroles même les plus
simples
, les moindres sons de sa voix, inspirent cette co
œurs, des caractères. On ne parlera point aux gens d’esprit comme aux
simples
; aux hommes sensibles à l’honneur comme à ceux q
sérieuses et délicates, on veut que l’orateur se présente avec un air
simple
et modeste, qui inspire la confiance ; mais il es
aits d’un ennemi. » (Cic., pro Milone, c. 2.) Il y a des propositions
simples
et des propositions composées. Les simples n’ont
.) Il y a des propositions simples et des propositions composées. Les
simples
n’ont qu’un seul objet : « Nous plaidons, un tel
hilippe. Toutes les fois que la proposition est composée, ou qu’étant
simple
, elle doit être prouvée d’abord par tel moyen, en
ujours nécessaires. Il n’y a quelquefois dans un discours qu’un objet
simple
, et qu’un moyen qu’on ne peut pas décomposer. C’e
rien était-il plus propre à le faire croire que cette description si
simple
en apparence ? « Milon, étant resté ce même jour
persuader que c’est ici un départ sans empressement, sans dessein, un
simple
voyage de campagne. Que Milon paraît tranquille,
s, injustement accusé du meurtre de son père, le peint comme un homme
simple
, de mœurs innocentes et douces, sans cupidité, sa
tions : le naturel est tout ; toujours vrai, toujours aimable, il est
simple
, élevé, sublime ; il est aussi varié que le senti
auffer l’imagination de l’auditeur, ni exciter ses passions. Un récit
simple
ne peut émouvoir ; il faut non seulement instruir
accidentels. On raisonne ainsi lorsqu’on tire une conclusion absolue,
simple
et sans restriction, de ce qui n’est vrai que par
Pour ne pas tout dire, on ne dit pas assez ; et, de peur d’être trop
simple
, on s’étudie à être inintelligible. Cette affecta
up en perdant tous les ornements superflus pour se borner aux beautés
simples
, faciles, claires, et négligées en apparence. Pou
uce, qui soulage mes faibles yeux. Je veux un sublime si familier, si
simple
, que chacun soit d’abord tenté de croire qu’il l’
leur faire admirer des tours de force, qu’on substitue à la démarche
simple
, aisée et naturelle des Fénelon, des Bossuet, des
eille, et qu’on puisse remarquer que dans tous les bons écrivains, ou
simples
ou sublimes, le son même des mots s’accorde avec
avaient distingué les trois principaux caractères de l’élocution, le
simple
, le tempéré, le sublime. Quelques modernes ont re
servilement dans cette route scolastique, et d’avoir comparé le style
simple
à une table proprement servie, mais sans raffinem
Rien, dit-il131, ne semble d’abord plus facile à imiter que le style
simple
; à l’épreuve, rien ne l’est moins. Quoiqu’il ne
ase, a d’autres conditions à remplir ; car ces tours si rapides et si
simples
ne dispensent pas de toute application : il est u
y a des femmes à qui il sied bien de n’être point parées, l’élocution
simple
nous plaît, même sans ornements. C’est une beauté
es d’autant plus touchantes qu’elle n’y songe pas… L’orateur du genre
simple
, content de ces grâces modestes, sera peu hardi à
rte et animée, ne s’accorderaient pas non plus avec ce ton modeste et
simple
; mais il n’exclut pas les autres figures de mots
voix une véhémence qu’on ne doit attendre ni exiger de lui ; il sera
simple
dans son débit comme dans son style. Son action n
end pas à l’énergie ; son caractère est la douceur. Plus riche que le
simple
, plus humble que le sublime, tous les ornements l
sentiellement au genre tempéré : c’est qu’il est méprisé par le genre
simple
, repoussé par le sublime. Le troisième genre, enf
’orateur sublime et les précédents ! Celui qui s’exerce dans le style
simple
, dont le but est de parler avec goût, avec esprit
t celui qui sait employer toujours, dans les petites choses, le style
simple
; dans les grandes, le sublime ; dans les médiocr
incipes de l’orateur romain. On aurait tort certainement d’opposer le
simple
au sublime, puisque le sublime se trouve souvent
er le simple au sublime, puisque le sublime se trouve souvent dans le
simple
, et qu’il n’est rien de plus simple et en même te
sublime se trouve souvent dans le simple, et qu’il n’est rien de plus
simple
et en même temps de plus sublime que ce passage d
lumière fut. Mais c’est ici la pensée qui est sublime ; le style est
simple
. Jamais les grands critiques de l’antiquité ne se
s sur cette distinction. Après avoir reconnu, comme eux, que le style
simple
n’exclut pas la grandeur ou l’énergie des idées,
, et les nuances diverses qui en forment le caractère. 1º. Du style
simple
. Les observations précédentes, où nous avons e
ns précédentes, où nous avons entendu Cicéron parler surtout du style
simple
avec une complaisance et une prédilection qu’on r
rt. Mais il y a des sujets qui demandent d’un bout à l’autre un style
simple
. Le goût consiste à ne pas s’y tromper. « Rien de
dre dans les grands mots et les lieux communs, ou de parler en termes
simples
et familiers de la majesté du peuple romain. » Un
é générale du style ; la concision semble appartenir surtout au style
simple
. Le discours précis ne s’écarte pas du sujet, s’i
at., c. 6), est surtout propre aux sujets agréables. Plus orné que le
simple
, moins fort et moins éclatant que le sublime, il
sobriété dans la distribution des ornements, de ce langage à la fois
simple
et noble dont les grands écrivains, tant anciens
il faut que les autres, à qui d’ailleurs quelque chose de naïf et de
simple
en vous ne promettait rien de cela, soient doucem
choisi pour juge, sa majesté fourrée , on voit bien que cette image,
simple
, naturelle et comique, est venue se présenter san
s mots que Despréaux appelait trouvés. Mettez à la place l’expression
simple
, à qui profiterait de ce règne d’un moment : c’es
si du contraste des idées. Rien n’est plus frappant qu’une expression
simple
qui réunit en deux mots deux idées très opposées
ques ? Combien sont supérieurs à toutes ces idées brillantes ces vers
simples
et naturels : Cinna, tu t’en souviens, et veux m
convie. Ce n’est pas ce qu’on appelle esprit, c’est le sublime et le
simple
qui font la vraie beauté. Vous trouverez difficil
utre crainte. Ce dernier vers exprime d’une manière sublime, quoique
simple
, l’intrépidité de la vertu religieuse. La honteus
ies, ni exclamations pathétiques, ni expressions véhémentes. Entre le
simple
et le sublime, il y a plusieurs nuances ; et c’es
ances diverses que nous venons de parcourir depuis le langage le plus
simple
jusqu’au plus élevé, nous avons encore les allian
ne nous était pas aussi ordinaire que l’immobilité. Mais il est tout
simple
qu’après s’être ainsi trompé, il reproche à Cicér
nt, qu’il serait impossible de les rejeter et de ne parler qu’en mots
simples
. Dans une conversation tranquille, où il ne s’agi
e, où il ne s’agit que de faire entendre ce que nous pensons les mots
simples
nous suffisent ; mais quand il est de notre intér
La vérité. » Il faut lire dans le texte même tout ce morceau ; il est
simple
et sublime. Cette figure se borne souvent à apost
une beauté solide ; alors c’est la manière la plus courte et la plus
simple
d’exprimer les choses. Mais chercher un détour po
re naître dans leurs cœurs la surprise et l’admiration. Dans le genre
simple
, on connaît la fameuse lettre de madame de Sévign
exprime les vrais sentiments de celui qui parle, elle est expression
simple
, et non pas tour figuré. On en trouve un exemple
donc un orateur que nous allons laisser parler sur cette matière ; un
simple
rhéteur ne pourrait avoir la même autorité. « L’
de ses maîtres. « Nous distinguerons dans la voix, dit-il, le ton du
simple
discours, celui de la dispute, et le ton des gran
ui est de pur raisonnement, demande surtout des intonations justes et
simples
. Mais les mouvements de l’âme veulent être accent
ir de gaieté, sans trop multiplier les gestes. Voilà pour les tons du
simple
discours. Dans la dispute, si le ton est continu,
, non pas des modèles qui puissent désespérer leur émulation, mais de
simples
compositions scolastiques, du genre de celles qu’
is, je charmais ces hommes amis des dieux par le tableau de vos mœurs
simples
et hospitalières. Ô ma patrie, avec quel doux org
ante un vainqueur poudreux au bout de la carrière. L’autre genre est
simple
, tendre et gracieux ; il naît d’objets plus ordin
cette situation de l’âme, comment pourrait-il s’annoncer par un début
simple
, tranquille, mesuré ? Emporté par la fougue de so
Quid debeas, ô Roma, Neronibus… cum laude victorem. Si le sujet est
simple
et riant, le style aura de la douceur, de l’éléga
enre sublime. Parmi les psaumes, nous citerons, dans le genre doux et
simple
, les psaumes 22, Dominus regit me ; — 62, Deus, D
les multitudes, il faut que le sublime qui y règne soit à la fois si
simple
et si frappant qu’il saisisse tout d’un coup et s
ues d’un caractère moins élevé, d’une forme grave, mais ordinairement
simple
, et qui sont destinés à être chantés pendant les
le caractère le plus élevé au genre grave et solennel, demande un ton
simple
et modéré, un naturel aimable. Son caractère domi
t de langage étudié, de style pompeux. Le style de l’élégie doit être
simple
, naturel, sans apprêt, doux et tendre. Les images
du Récitatif ou de l’air ? Le Récitatif, qui est plus élevé ou plus
simple
suivant la nature du sujet, présente l’objet à l’
trois ; il en est de même des airs. Le récitatif est plus doux, plus
simple
; l’air est plus vif, plus animé. Les vers des ré
ansons peuvent être de quelque avantage à la société. Le sujet en est
simple
et le style familier. Voici un couplet d’un vaude
la naïveté ; tout doit y être en sentiment ; et le style doit en être
simple
, naturel et délicat. La timide romance exhale mo
la raison, par la multiplicité des lectures, ou le connaître par les
simples
instructions du christianisme, et par les leçons
el esprit plein de ses pensées et de ses idées en l’air : ce bon sens
simple
, quand il serait grossier et mal poli, plaira plu
tièrement… Les maisons qui ont commencé par des personnes ferventes,
simples
, mortes à elles-mêmes, ont bien de la peine à sub
lus avoir, et encore moins le satisfaire avec un confesseur ; le plus
simple
est le meilleur pour vous, il faut vous y soumett
protestantisme, l’appelait sa nièce. 1. Voilà une semonce maternelle
simple
et élevée ; une raison solide s’y allie à une fer
me dans les plus élevés ; communicative et intéressante dans les plus
simples
; une érudition choisie, une profondeur de raison
e plus qu’humaine ? Quelle est la source de tant de prodiges, dont le
simple
récit fait encore, après tant de siècles, l’objet
édite toujours l’ordre et les pensées ; et souvent même la méditation
simple
prenant la place d’une exacte composition, et la
e forment les chefs-d’œuvre les plus parfaits de leur art, que par le
simple
retranchement d’une riche superfluité ». C’est à
n dit : Les fables ne sont point ce qu’elles semblent être : Le plus
simple
animal nous y tient lieu de maître. Une morale nu
de peindre le Lièvre fier et courageux, l’Âne fin et rusé, le Renard
simple
et stupide, le Singe maladroit, etc. Qualités
uit de la réflexion. Ce sont, dans le style, de certaines expressions
simples
, pleines de douceur et de grâce, qui paraissent n
aine le plus parfait modèle auquel on puisse s’attacher pour le style
simple
, familier, naturel, qui est propre à l’apologue,
nt se fait cette imitation. Une vie agréable et tranquille, des mœurs
simples
et innocentes, des plaisirs purs, des passions do
onte à ces temps heureux, où les bergers dociles aux sages lois de la
simple
nature, ignorant le crime et l’artifice, occupés
ers. On a dû juger qu’il faut que les mœurs des personnages soient
simples
, pures et exemptes de crimes. Les bergers peuvent
essions pompeuses et magnifiques. Dans leurs discours, tout doit être
simple
, naïf, riant et gracieux. Rappelons ici ces vers
dans son style, Doit éclater sans pompe une élégante idylle. Son ton
simple
et naïf, n’a rien de fastueux, Et n’aime point l’
une naïveté qui paraît presque inimitable. Ce poète a peint la nature
simple
, mais quelquefois négligée. Sa versification est
règne de Louis XIII, le père de l’églogue. Au mérite d’un style aisé,
simple
et naturel, il joint le talent d’exprimer avec gr
offrent les plus riants tableaux de la vie champêtre : le ton en est
simple
et naïf : c’est partout le langage de la nature.
ris de l’imagination, ou des grâces du sentiment, les choses les plus
simples
et les événements les plus communs. Il n’est pres
mâle éloquence, Ce sentiment profond que nourrit le silence, Ce vrai
simple
et touchant, ces sublimes pinceaux, Dont le chant
et badin ; se déchaîner avec force contre le vice, ou se borner à une
simple
raillerie. Dans le premier cas, il doit employer
ux ; dans le second, un style fin, agréable et enjoué ; mais toujours
simple
, naturel et facile, parce que le style de la sati
udié, de marche suivie et compassée. Le langage de l’élégie doit être
simple
et sans apprêt ; sa marche rompue, irrégulière mê
âme, le poète saisissant la lyre, pourrait-il s’annoncer par un début
simple
, tranquille et mesuré ? Non sans doute. Emporté p
ite lettre, jusqu’au discours le plus important, est le moyen le plus
simple
et celui qui obtient les résultats les plus rapid
à l’orateur d’employer les mouvements, les passions : la réponse est
simple
. Les passions sont souvent le seul moyen qui puis
on l’importance des sujets ou les dispositions de l’auditeur : exorde
simple
; par insinuation ; pompeux, ou fleuri ; véhément
sinuation ; pompeux, ou fleuri ; véhément ou ex abrupto. L’exorde est
simple
, généralement, lorsque l’auditeur est bien dispos
ve ses auditeurs dans la même disposition. On sent qu’alors un exorde
simple
affaiblirait, ou détruirait le mouvement qu’il fa
ut du côté de Pompée. L’exorde du discours pro Archiâ est, d’un côté,
simple
, parce que la cause est favorable, de l’autre, il
la proposition est l’exposé précis de tout le sujet ramené à sa plus
simple
expression. La proposition peut être simple, ou c
le sujet ramené à sa plus simple expression. La proposition peut être
simple
, ou composée. Si elle est composée, on la divise
ties, et celles-ci en leurs différents membres. Si la proposition est
simple
, il y a encore lieu à une division qui alors indi
ont il est l’auteur. Mais la vraisemblance résulte surtout d’un style
simple
et naturel, tel que serait le récit d’une action
— Comment se lie-t-il au reste du discours ? — Qu’est-ce que l’exorde
simple
? — Celui par insinuation ? — Quand emploie-t-on
ocution. Élocution. — Style ; différentes sortes de style. — Style
simple
. — Style tempéré. — Style élevé. — Figures. — Nom
expression soit juste, aisée, naturelle. C’est ce qu’on appelle style
simple
. Mais il y -a des discours et des circonstances o
si riche, peut facilement se passer d’acquisition nouvelle. Style
simple
. Il y a des sujets où les idées se présentent
res par lesquels Cicéron distingue ce genre des deux autres. Le style
simple
est celui qui, soit dans les pensées, soit dans l
entivement les morceaux de ce genre, on trouvera que les pensées sont
simples
, naturelles, fines sans être trop ingénieuses ; t
dégagée, sans contrainte, libre, mais sans licence. Mais si le style
simple
exclut les figures qui ont trop de véhémence ou d
genres ont des bornes fixes et qu’il est aisé de reconnaître. Le beau
simple
consiste en un point au-dessous duquel on tombe d
Le sentiment et quelquefois la pensée sont sublimes, et l’expression
simple
, comme dans Racine : « Celui qui met un frein à
ets, seulement elle est traitée d’une manière différente. Il est plus
simple
de parler d’abord des tropes, ensuite des figures
citoyens, car nos pensées sont libres, et notre âme peut se rendre de
simples
fictions aussi sensibles que les objets qui a fra
l est vrai, de la même rapidité, de la même force ; des tableaux plus
simples
ou plus riants succèdent à des images plus fortes
figuré ? — Combien de sortes de style ? — Qu’entendez-vous par style
simple
? — Par style médiocre, tempéré ou fleuri ? — Qua
langue un mot nouveau ? Quels sont les principaux caractères du style
simple
, suivant Cicéron ? — Le style simple admet-il la
s principaux caractères du style simple, suivant Cicéron ? — Le style
simple
admet-il la plaisanterie ? — Comment doit-elle êt
loquence. Il y a trois genres ou caractères d’éloquence : le genre
simple
, qui dit les choses telles qu’elles sont ; le gen
mer une idée nette de ces trois genres d’éloquence. I. Du Genre
simple
. Le genre simple présente les objets sans les
e ces trois genres d’éloquence. I. Du Genre simple. Le genre
simple
présente les objets sans les revêtir d’aucun orne
ssible de trouver un plus beau chef d’œuvre d’éloquence dans le genre
simple
. Voici le discours que Judab fait à Joseph qui go
ts du discours où il veut instruire, il doit s’exprimer d’une manière
simple
: dans les endroits où il veut plaire, il doit ré
, élever l’âme par le sublime des pensées et des sentiments. Le genre
simple
est donc plus particulièrement propre à la preuve
héorie de la Rhétorique, que je me suis efforcé de réduire à ses plus
simples
éléments. J’ai placé ensuite des modèles de narra
ons continuelles ; le style devint plus précis, et en même temps plus
simple
, la société, en se perfectionnant, laissa moins c
créer des signes, non pour chacun des mots, mais pour chacun des sons
simples
, et l’on vit qu’en joignant ensemble quelques-uns
te invention aux Phéniciens, de qui ils l’avaient reçue. Devenu aussi
simple
, l’art décrire fut bientôt porté à son plus haut
non plus l’objet même, mais le mode d’existence de l’objet. Les plus
simples
de ces attributifs sont les mots qui ajoutent une
talienne se forma du latin, les Goths et les Lombards trouvèrent plus
simple
et plus facile d’adapter quelques prépositions au
e le plus intelligible ; et si notre langue, par sa construction plus
simple
, a moins d’harmonie et de vivacité que celles des
personnes qui nous entourent, et à mettre dans nos discours les plus
simples
une force qui persuade et une grace qui les fasse
ge du maître. De l’énumération des parties. Quand le sujet est
simple
, la définition peut suffire pour en donner une id
’est rien pour vous ? Cet harmonieux développement, réduit à sa plus
simple
expression, serait renfermé dans les trois propos
vent aussi, sans déployer tant d’adresse, on débute d’un ton grave et
simple
tout à la fois : ce sont les exordes qui convienn
ion oratoire, un passage de Bossuet où se trouve racontée, d’un style
simple
et grave, la conduite ferme et vigilante d’Henrie
oyauté et le châtiment des mauvais rois, termine son discours par ces
simples
paroles : « Crains donc, mon fils, crains une con
gles générales, applicables à tous les genres de composition. Quelque
simple
que soit un sujet, il est presque toujours suscep
ujets, mais jamais on n’y remarque de confusion ; ses récits les plus
simples
nous attachent ou nous amusent, parce que les fai
us communes, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. » Il est quelquefois tombé dans la tête des plus
ation exaltée a besoin de s’élever au-dessus du réel ; le vrai pur et
simple
lui paraîtrait froid et insuffisant ; il lui faut
plupart des discours de la chaire et du barreau, les transitions sont
simples
et tirées de la division même du sujet. Fléchier
peut dire qu’il y aspire ; mais, d’un autre côté, il ne peut devenir
simple
particulier sans descendre : il est donc vrai de
Pourquoi donc parlez-vous sur toutes les matières ? Je suis un homme
simple
, et j’ai peu de lumières ; Mais retenez de moi ce
longues périodes soient aussi claires et aussi précises que les plus
simples
propositions. III. Des figures de mots. Ou
urs italiens, De la périphrase. On remplace une expression trop
simple
ou trop familière par une périphrase ou circonloc
t jamais de terme ni d’ordre certain, » Presque toujours l’expression
simple
vaut mieux qu’une circonlocution. On a critiqué a
’expression métaphorique a plus de grace et de force que l’expression
simple
. Voulez-vous peindre d’un seul mot les services q
, que pour remplir une place vacante ; et, quand elle chasse le terme
simple
, elle est obligée de valoir mieux, « Il faut enco
s, rapporter les divers genres de style à trois principaux : le genre
simple
, le genre tempéré et le genre sublime ; comme, da
èces particulières chacun des genres dont elle se compose. I. Genre
simple
. Du style simple proprement dit. Le style
cun des genres dont elle se compose. I. Genre simple. Du style
simple
proprement dit. Le style simple proprement dit
. I. Genre simple. Du style simple proprement dit. Le style
simple
proprement dit se borne à réunir les qualités gén
oreille que pour ne point la blesser. L’écrivain qui emploie le style
simple
ne songe qu’à rendre sa pensée ; il se sert de la
s’en passer. Fénelon lui-même peut être cité comme un modèle de style
simple
. Au livre dix-neuvième de Télémaque, il expose ai
consiste surtout dans la simplicité des pensées, tandis que le style
simple
, proprement dit, consiste dans la simplicité des
’on appelle les lettres familières ; il est moins châtié que le style
simple
, mais il a plus d’abandon et de mouvement. Molièr
it punir ; il savait encore mieux pardonner. Vaste dans ses desseins,
simple
dans l’exécution, personne n’eut a un plus haut d
es ; au lieu de résumer, il analyse ; il procède, non par des phrases
simples
et coupées, mais par des phrases complexes, et pa
. Le style sublime, proprement dit, n’est autre chose que le style
simple
appliqué à des pensées sublimes : « Or, les pensé
les mouvements du corps : « Que l’attitude de l’orateur soit noble et
simple
; que sa tête soit droite et dans son assiette na
on s’occupe alors du style, qui doit être, selon la nature du sujet,
simple
, élégant, familier, véhément, etc. Une bonne narr
s genres de narrations : le genre élevé, le genre tempéré et le genre
simple
. La différence des genres dépend de l’importance
Staël, Corinne ou l’Italie, liv. I.) III. Narration dans le genre
simple
. Jeannot et Colin. Argument. Jeannot et Colin
i essentielle de la maison ; enfin ce sont les circonstances les plus
simples
, si l’on veut même les plus triviales : un chien
mener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien
simples
? Daignez, messieurs, daignez me répondre. Le min
sauver tout ce qu’on possède ! Eh ! messieurs, ce n’est là que de la
simple
arithmétique ; et celui qui hésitera ne peut désa
s subisse effectivement le jugement d’une chambre de justice comme un
simple
et misérable homme d’affaires, au moins Votre Maj
lera la rapidité, et cela seul aussi suffira pour le rendre précis et
simple
, égal et clair, vif et suivi. À cette premiere rè
rgie ; d’ailleurs, les sujets qu’il traite sont presque toujours fort
simples
, et son style est excellent pourvu qu’il reprodui
netteté. Les orateurs eux-mêmes doivent se garder de dire des choses
simples
avec emphase. « Il n’est pas besoin, dit Voltaire
sur la conscience. Chapitre III. Du style épistolaire. La plus
simple
correspondance offre l’occasion de mettre en prat
ces de son esprit ; ses tours si vifs et si naïfs, ses expressions si
simples
et si bien rencontrées vous amusent, vous louchen
eaucoup accroire, et qu’elle s’efforce de ramener à des manières plus
simples
et plus modestes. « Je vous aime trop, ma chère n
avec clarté. Il semble qu’on n’écrive plus qu’en énigmes : rien n’est
simple
, tout est affecté ; on s’éloigne en tout de la na
a dit en vers ; croyez que tout ce qui ne sera pas aussi clair, aussi
simple
, aussi élégant, ne vaudra rien du tout, « Vos réf
us ayez rencontré le mot propre ; et que ce mot soit élégant ou naïf,
simple
ou élevé, elle l’admet, pourvu qu’il soit naturel
ccupe nous-mêmes tous les jours ? Pourquoi le savant, dans un langage
simple
et méthodique, ne mettrait-il pas la société où i
joué, selon le sujet et selon la circonstance. Que vos paroles soient
simples
et ne sentent point la recherche. Fuyez les grand
t l’on s’étonne toujours que l’amour-propre ne prenne pas la route si
simple
d’avouer naturellement le désir de plaire, et d’e
de Staël, De l’Allemagne.) Il ne suffit pas d’être vrai, naturel et
simple
dans son langage ; il faut encore ne parler qu’à
es, fines, délicates, charmantes, inspirent une piété douce, commode,
simple
, exacte, ferme et gaie tout ensemble. C’est une â
i en donner même, sans paraître en avoir. On ne se contente pas de la
simple
raison, des grâces naïves, du sentiment le plus v
p en perdant tous les ornements superflus, pour se borner aux beautés
simples
, claires, et négligées en apparence1. Pour la poé
r eux et rien pour lui. Je veux un sublime si familier, si doux et si
simple
, que chacun soit d’abord tenté de croire qu’il l’
urs ingénieux, se flattent de surpasser les anciens, qui n’ont que la
simple
nature. Mais je demande la permission de faire ic
iche, se tournent seulement en grâce par leurs proportions : tout est
simple
, tout est mesuré, tout est borné à l’usage. On n’
de faible, ni de triste, ni de gêné ; elle élargit le cœur, elle est
simple
et aimable, elle se fait toute à tous pour les ga
nce ne doit pas servir Dieu de la même façon qu’un solitaire ou qu’un
simple
particulier1. Saint Louis s’est sanctifié en gran
d’entre les anciens qui ont excellé ont peint avec force et grâce la
simple
nature. Ils ont gardé les caractères, ils ont att
ailleurs : Il faut être grand dans les grandes choses ; il faut être
simple
, sans être bas, dans les petites ; il faut tantôt
l’intrigue devient obscure et difficile à dénouer ; si elle est trop
simple
, elle n’éveille pas assez l’attention. C’est ici
pompe solennelle de ses représentations, avait quelque chose de plus
simple
et de plus grandiose que le nôtre ; la lutte étai
aux sens plutôt qu’à l’esprit ; elle recherche, non plus les passions
simples
et naturelles, mais les passions bizarres, except
on des mœurs modernes. Ce drame se rapproche de la comédie par le ton
simple
du langage, il admet la prose aussi bien que les
re, extravagante, est comique, parce qu’elle contraste avec les idées
simples
, ordinaires et naturelles. Ainsi, l’on rit d’une
que populaire, qui convient aux personnages inférieurs ; il doit être
simple
, naturel, naïf, mais jamais grossier : la grossiè
mbinaison de l’action varie suivant les espèces de comédie : elle est
simple
dans les pièces de mœurs, compliquée dans les piè
la pièce. Style de la comédie. Le style de la comédie doit être
simple
, aisé, clair et naturel. Son principal ornement e
’Halicarnasse se demande, quelque part, si la prose, à son début, fut
simple
, sans ornements, ou si, à l’imitation de la poési
icules à ce qu’ils paraissent1. » C’est là assurément une façon fort
simple
d’entrer en matière et qui peut sembler quelque p
our les hommes de goût. On comprend que nous ne voulions pas dans une
simple
préface, pousser plus loin ces investigations. Il
. Dès lors eurent lieu des aperçus, des observations sur les procédés
simples
et naturels de cette primitive éloquence. Ces obs
e vraisemblance. » La preuve peut n’être qu’oratoire : c’est alors le
simple
récit, l’exposé ou le développement des faits qu’
preuve qui sert à l’établir, est dite dialectique, bien différente du
simple
récit des faits, de l’exposé du droit ou de l’opi
ans toutes les conditions. « La bonne foi n’est plus que la vertu des
simples
; les haines sont éternelles, les réconciliations
s, d’où résulte la proposition. Parmi les propositions, les unes sont
simples
, d’autres composées, d’autres complexes. La propo
t simples, d’autres composées, d’autres complexes. La proposition est
simple
, quand elle n’a qu’un sujet et un attribut : le c
on client, et, forcé, à défaut de meilleures raisons, de recourir aux
simples
présomptions, avec quelle adresse il en use pour
larté, netteté et précision. Diverses sortes d’exordes. Exorde
simple
. Il y a des circonstances où, sûr de l’attenti
placées. Il procède alors par ce que les rhéteurs appellent un exorde
simple
qui n’est à proprement parler qu’un début, qu’un
amis de mon Dieu ; j’ai porté l’épouvante et la douleur dans ces âmes
simples
et fidèles que j’aurais dû plaindre et consoler.
Chapitre II. De la proposition. La proposition est l’exposition
simple
, claire et précise du sujet. C’est, dans les plai
rec τὸ κρινόμενον) ou l’état de la question. La proposition peut être
simple
ou composée. Elle est simple, quand elle n’a qu’u
de la question. La proposition peut être simple ou composée. Elle est
simple
, quand elle n’a qu’un seul objet à prouver. Telle
» Division. Chaque fois que la proposition est composée ou que,
simple
, elle demande à être prouvée par deux ou trois mo
à-dire offrir à l’esprit une image claire et nette de tout le sujet ;
simple
, c’est-à-dire présenter le sujet, quelque compliq
quelque compliqué qu’il puisse être, réduit à un petit nombre d’idées
simples
, mais qui l’embrassent tout entier sans restricti
c’est-à-dire qu’elle soit sans obscurité ni équivoque ; qu’elle soit
simple
et naturelle, c’est-à-dire qu’elle naisse, sans e
s sujets qu’on traite, des objets qu’on veut peindre. Le sujet est-il
simple
ou sans élévation ? il lui faut de la simplicité,
ouvements passionnés. De là la division du style en trois genres : le
simple
, le tempéré ou fleuri et le sublime. Et l’on peut
me une nuance de ces trois styles, variée à l’infini. Art. I. Style
simple
. Le style simple n’admet ni les mots sonores,
trois styles, variée à l’infini. Art. I. Style simple. Le style
simple
n’admet ni les mots sonores, ni les tours harmoni
(Orat. 23) ne semble, de prime abord, plus aisé à imiter que le style
simple
: mais, pour qui l’essaie, il n’est rien de plus
sujets, des pièces de vers qui demandent, du début à la fin, un style
simple
: le goût consiste à ne pas s’y méprendre. Ne ser
arrière. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon père. Au genre
simple
se rattache le genre naïf qui en est une variété.
s , comme dit Cicéron (Orat., c. vi), a plus d’élévation que le style
simple
, moins que le style sublime : il tient le milieu
ère commence, Tout brille des feux du printemps. Les plus
simples
objets, le chant d’une fauvette, Le matin d’un be
euve, à la discussion du sujet ou de la cause, appartiennent au style
simple
. D’autres, qui ont pour but de flatter l’imaginat
s, trouvent leur place dans le style sublime. § I. Figures du style
simple
. Les figures de pensée qui conviennent au styl
es du style simple. Les figures de pensée qui conviennent au style
simple
, sont la communication, la concession, la correct
ifique et éloquente apostrophe : « Ô vertu, science sublime des âmes
simples
, faut-il donc tant de peine et d’appareil pour te
eurs !… » Déprécation. La déprécation consiste à substituer au
simple
raisonnement d’instantes prières, appuyées sur to
mande ? » Il faut lire dans le texte grec cette admirable prosopopée,
simple
et sublime à la fois. Ainsi parlent dans Cicéron
’ordinaire sans le secours de la parole. « Souvent, dit un auteur, un
simple
salut, sans être accompagné d’aucune parole, se f
préfère la tragédie, celui-là la comédie. D’autres admirent un style
simple
, d’autres un style fleuri. Le jeune âge se plaît
isir que nous éprouvons à la lecture d’une tragédie dont l’action est
simple
. Un grand génie peut, il est vrai, par sa seule f
tteindre le sublime, c’est de dire de grandes choses avec des paroles
simples
. Toutes les fois qu’un auteur fait effort pour s’
les principes du beau. Les couleurs nous présentent l’exemple le plus
simple
du beau ; là, ni la variété, ni l’uniformité, ni
ortionnés dans toutes leurs parties, et qui, à raison de leurs formes
simples
, sont plus appropriés à nos usages journaliers. M
ts nécessaires aux besoins des hommes sont dirigés en ligne droite ou
simple
, mais que tous ceux relatifs à la grâce et destin
de l’harmonie. De là le plaisir que procure le nombre poétique ou la
simple
cadence, quoique plus cachée, mais régulière, de
les peuples, et ils introduisirent dans la composition un style plus
simple
et plus châtié. Les ornements métaphoriques furen
ous faisons usage, et qu’en inventant des signes pour chacun des sons
simples
que nous employons dans la formation de nos mots,
représenter ce petit nombre de sons par un égal nombre de caractères
simples
, dont le mélange combiné, portant aux yeux à forc
présentât à l’esprit l’idée des objets extérieurs d’une manière plus
simple
, plus courte et plus facile que ne le ferait la f
la figure même de ces objets. Les sons articulés rappelés à leur plus
simple
expression, on réduisit leurs signes représentati
euple quelconque. Les adjectifs ou termes qualificatifs sont les plus
simples
de tous les mots. Ils se rencontrent partout, et
ière de former les temps s’enracina dans le discours. Elle parut plus
simple
que les variétés des désinences anciennes ; mais
ces diverses qualités nous ne nous occuperons maintenant que des plus
simples
, dont l’ensemble forme en grande partie ses quali
ns de deux membres, ni plus de quatre ; ce n’est pas que les périodes
simples
ne puissent avoir lieu dans le discours, mais leu
ui exigent de la pompe ; s’y livrer trop fréquemment, dans les sujets
simples
, montrerait une affectation désagréable. Cependan
ue, et parviennent à n’être plus considérés que comme des expressions
simples
et littérales ; il y en a d’autres qui restent da
tion. Un des plus grands secrets de la composition est de savoir être
simple
, lorsqu’il le faut ; cela fait ressortir davantag
ussi avec soin de mêler, dans le cercle de la métaphore, l’expression
simple
au style figuré, et ne construisez jamais une pér
euvent être employées, même dans les traités de morale et ouvrages de
simple
raisonnement ; et pourvu qu’elles soient faciles
ctères généraux du style. Style diffus, concis, faible, nerveux, sec,
simple
, clair, élégant et fleuri. Pour entamer ce suj
eurs auteurs en prose et en vers, sont exprimés dans le style le plus
simple
, et sans aucune figure. J’ai donné des exemples d
ents auteurs semble s’élever dans la progression suivante, genre sec,
simple
, clair, élégant et fleuri. Nous allons en traiter
nos sentiments au lecteur ou à l’auditeur avec désavantage. Le style
simple
s’élève un peu au-dessus du style sec ; un écriva
être fort agréable. La différence entre l’écrivain sec et l’écrivain
simple
est que le premier est dépourvu d’ornements et qu
eurs contre ce vice séduisant. Caractères généraux du style. Style
simple
, affecté, véhément. Conseils pour former le style
on est la simplicité de la pensée opposée à la recherche. Les pensées
simples
naissent naturellement de la circonstance ou du s
ces mots, simplex, tenue, subtile genus dicendi. Dans ce sens, le mot
simple
coïncide avec la simplicité et la clarté du style
des ornements, et c’est une des grandes qualités du style. Un auteur
simple
s’exprime de telle manière que chacun pense qu’il
qui distinguent un homme d’un autre homme. Mais, en lisant un auteur
simple
il nous semble causer à notre aise avec une perso
ocrate s’opposa seul à ce torrent par des raisonnements profonds mais
simples
; il déroula leurs sophismes ; il s’efforça de dé
rate ; c’est de l’atticisme pur dans toute la force de l’expression ;
simple
sans affectation, mais sans force et quelquefois
ractère : elle était régulière, ferme et sévère, mais privée de cette
simple
et expressive naïveté, et surtout de cette flexib
déclarèrent les patrons de ce qu’ils croyaient être le style chaste,
simple
, et naturel de l’éloquence, et accusaient Cicéron
Chez les anciens, les juges étaient ordinairement nombreux, les lois
simples
et peu multipliées ; la décision des causes était
ire dignes de Cicéron : ils allient la force à l’adresse. Son langage
simple
et naïf donne à la douce morale que respirent ses
eur. Mais il ne faut pas oublier que ces précis ou factums étaient de
simples
mémoires destinés à être mis sous les yeux des ju
son contemporain Lenormand. « L’attaque de Cochin se réduisait à un
simple
exposé de l’affaire, à la demande et à l’énoncé l
les où vivaient Démosthène et Cicéron, les statuts municipaux étaient
simples
, généraux, et peu nombreux. Les décisions étaient
ées populaires, où le sujet des débats est ordinairement une question
simple
, les arguments puisés dans des sujets connus acqu
e diviser ou d’expliquer ; on peut se borner à quelques raisonnements
simples
sur chaque côté de la question, et terminer imméd
re par un court exorde. Les introductions de Démosthène sont toujours
simples
et courtes ; celles de Cicéron sont plus abondant
élicatesse dans l’exécution. La première règle est, que l’exorde soit
simple
et facile, qu’il naisse du sujet. Il doit paraîtr
chétif bâtiment, de surcharger d’ornements magnifiques le seuil d’une
simple
maison d’habitation, ou de donner à l’entrée d’un
un air de raideur. L’exorde explicatif tiré du texte même est le plus
simple
et souvent le meilleur ; mais il court risque d’ê
le doit être aussi claire et distincte que possible, exprimée en mots
simples
et peu nombreux, sans aucune affectation. À cette
é. 2º Il faut suivre l’ordre de la nature, en commençant par aller du
simple
au composé, présenter d’abord les arguments qui s
tion, lui doit jeter de la lumière sur tout ce qui suit. Un fait, une
simple
circonstance laissés dans l’obscurité ou mal comp
qu’il s’agit ici d’un départ sans empressement et sans dessein, d’un
simple
voyage à la campagne. Quelle adresse dans le pass
passion réelle et forte, nous trouverons toujours que son langage est
simple
et naturel ; il peut être animé par des figures v
uditeurs pour Gavius, et leur indignation contre Verrès. Le style est
simple
et l’exclamation passionnée, l’appel à la liberté
la nature du repos indique elle-même. Quelquefois c’est une légère et
simple
suspension de voix, quelquefois un certain degré
tertiisve consistere. (Cic.) L’éloquence admet différents genres. Le
simple
et le tempéré, aussi bien que le pathétique et su
rossière du même objet ; cette manière convenable est souvent la plus
simple
, et celle qui paraît la moins recherchée ; mais l
rité. S’il rapporte des choses fausses ou qu’il donne pour vérités de
simples
conjectures, il trompe le public, il en impose au
a curiosité du lecteur, l’intéresse et l’instruit souvent plus que le
simple
récit de leurs actions. Il aime qu’on lui montre
fondement le plus solide de la domination à laquelle il aspirait. Né
simple
citoyen d’une république, il forma, dans une cond
ion, d’avoir méprisé toutes les superstitions des hommes, d’avoir été
simple
et modeste dans ses mœurs ; ceux-là, sans doute,
ose comme elle est. Le ton de ce genre d’écrire doit être noble, mais
simple
, tel que celui de la vérité. Les tours recherchés
nombreux, plus soutenu, plus périodique. Il est, dans celle-ci, plus
simple
, plus léger, plus rapproché de la conversation47.
ue la Transfiguration soit sortie de votre pinceau, ou que vos chants
simples
, expressifs et mélodieux, vous aient placé sur la
avait aimé le faste dans les habits, il ne fut plus vêtu que comme un
simple
soldat. On l’avait soupçonné d’avoir eu une passi
siècle. Florus et Velléius, surtout, s’élèvent beaucoup au-dessus des
simples
abréviateurs ; car, dans ces sortes d’ouvrages, o
s les peuples, aussitôt que le langage put s’étendre au-delà de cette
simple
communication, strictement indispensable aux beso
base plus solide, sur son utilité particulière et indépendante de la
simple
apparence. C’est de l’exercice du goût et d’une s
e découvrir leur composition. En assimilant donc le goût interne à un
simple
sens, je ne doute pas qu’un fréquent exercice et
oître que celle-ci. D’abord, ce ne sont que les compositions les plus
simples
qui nous plaisent ; l’habitude d’entendre de la m
ice est un grand moyen de perfection pour le goût, considéré comme un
simple
effet de la sensibilité ! Quoiqu’à la rigueur la
en quelque sorte matérielles et frappantes, tandis que des ornements
simples
et gracieux nous échappent. C’est ainsi qu’en gén
s que les Grecs méprisaient ce faste et n’admiraient que ce qui était
simple
et gracieux. En Angleterre, comment des écrits qu
comédie plaît aux uns, la tragédie seule charme les autres ; le style
simple
et le style brillant ne sont pas estimés par les
i plaît le plus généralement ; voilà pourquoi nous préférons le style
simple
et naturel à un style bizarre ou affecté ; une hi
aie que produisent les objets qui ne sont que beaux. La forme la plus
simple
sous laquelle nous puissions apprécier la grandeu
le tout est exprimé dans un style poétique à la fois facile, naturel,
simple
, mais surtout magnifique. J’ai dit que la concisi
vera sans exception que les écrivains les plus sublimes sont les plus
simples
dans leur style, et lorsque vous rencontrerez un
lières de la beauté de chacun. La couleur est un genre de beauté bien
simple
, et c’est, par cela même, celui dont il convient
par tous les hommes en ligne droite, ou d’après la direction la plus
simple
; mais que ceux qui n’ont que l’ornement ou la gr
circonlocutions. Le style devint plus concis, et par conséquent plus
simple
. La société, en se perfectionnant, laissa moins d
ceux-ci, dans leurs dissertations diverses, se servirent de ce style
simple
et sans ornement que l’on appelle prose. Phérécyd
us intelligible ; et si notre langue, à cause de la construction plus
simple
des mots, a moins d’harmonie, moins de beauté et
fait place à des sons combinés, à une prononciation calme, à un style
simple
et à un arrangement naturel et fixe. Dans nos tem
pour donner un peu plus d’étendue aux ressources que présentaient les
simples
peintures ou les représentations d’objets visible
composent pas leurs mots au moyen de lettres alphabétiques ou de sons
simples
; chacun de leurs caractères est l’expression d’u
lés dont se composent les mots l’est infiniment moins. Les mêmes sons
simples
, continuellement rappelés et répétés, sont combin
r des signes, non pas pour chacun des mots, mais pour chacun des sons
simples
dont les mots sont composés, et virent qu’en joig
alyse des sons de la voix humaine jusque dans leurs éléments les plus
simples
, les réduisit à un petit nombre de voyelles et de
combinaisons de sons qu’ils employaient dans le langage. Devenu aussi
simple
, l’art d’écrire fut promptement porté à son plus
ctères ont une source commune. Une invention à la fois si utile et si
simple
dut être reçue avec empressement par tous les hom
conjonctions, appartiennent à toutes les langues. La division la plus
simple
et la plus claire des parties du discours, est en
par exemple, se forma du latin, les nations barbares trouvèrent plus
simple
et plus facile d’adapter quelques prépositions au
t les cas, la construction dans les langues modernes est devenue plus
simple
; nous l’avons affranchie de tout l’embarras qu’o
tés, comme « grand, petit, noir, blanc, votre, notre, » sont les plus
simples
de tous les mots qui composent la classe de ceux
parler, les genres, les nombres, les cas n’ont aucun rapport avec de
simples
qualités, comme « bon ou grand, doux ou dur. » Ce
[il convient], et autres semblables ; c’est en effet la forme la plus
simple
, c’est celle qui ne fait qu’affirmer l’existence
en d’une circonlocution. Il y a deux temps pour le futur, savoir : le
simple
ou indéfini : I shall write, scribam [j’écrirai]
endre. Le mode indicatif, par exemple, énonce une proposition pure et
simple
: scribo, I write [j’écris] ; scripsi, I have wri
le plus apercevoir. Remarquez seulement combien de choses renferme ce
simple
mot latin : amavissem, I would have love [j’eusse
cette analogie exacte de construction qu’on remarque dans les langues
simples
, qui, en quelque sorte, se sont formées d’elles-m
qu’il prenait tous les tons qu’on voulait lui donner, depuis le plus
simple
et le plus familier jusqu’au plus majestueux. À c
doute l’avantage d’être, dans sa forme et dans sa structure, la plus
simple
de toutes les langues de l’Europe. Elle est affra
les règles de notre syntaxe sont à la fois moins multipliées et plus
simples
. Je suis de l’avis du docteur Lowth, qui, dans la
mer en anglais d’une manière très convenable, et qu’une syntaxe aussi
simple
et aussi bornée que la nôtre ne demande aucune ap
mble indispensable de commencer par l’examen de ces qualités les plus
simples
, car c’est dans leur assemblage que consistent pr
communiquent de la roideur et de l’affectation. En général, un style
simple
et naturel, une construction claire et intelligib
e et les ornements ; il ne lui suffit pas de s’exprimer d’une manière
simple
et claire, il faut toujours qu’il donne à son suj
de profusion, ou surcharge de tant de mots les propositions les plus
simples
, que, s’il ne les obscurcit pas, au moins il les
ir contre l’intégrité, la nature et la vertu. » Enfin une chose aussi
simple
à exprimer qu’une blessure qu’on se fait à soi-mê
t moins délicats que ceux de l’entendement. » Il semble en effet tout
simple
et tout naturel de placer en avant ce qui est l’o
nt eux-mêmes trois sénateurs romains. » Il a traduit une phrase aussi
simple
que nullum ea tempestate bellum , par « de guerr
lord Shaftsbury, il est en revanche plus naturel, plus facile et plus
simple
, qualités qui l’emportent de beaucoup sur toutes
astidieux détails sur la propriété de chacune des lettres ou des sons
simples
dont se compose une langue. Il est certain que le
élodie du langage a moins d’influence sur nous, et notre manière plus
simple
de prononcer les mots donne à notre langue bien m
issement des vents, le murmure des ruisseaux. C’est l’exemple le plus
simple
de ce genre de beauté, et en effet le moyen d’imi
au milieu de l’adversité, » j’exprime ma pensée de la manière la plus
simple
possible. Mais si je dis, « pour l’homme droit la
ous rappeler l’idée de l’adversité. Voici encore une proposition bien
simple
: « Il est impossible, quelque recherche que nous
et d’étonnement. Quoique le style figuré s’écarte de la forme la plus
simple
du discours, il n’en faut cependant pas conclure
qui les distingue les unes des autres, et les distingue encore de la
simple
expression. La simple expression ne transmet que
unes des autres, et les distingue encore de la simple expression. La
simple
expression ne transmet que notre idée, les figure
t l’admiration de tous les siècles, sont écrits de la manière la plus
simple
. Cette pensée de Virgile, par exemple, n’a besoin
vaut plus que mille expressions figurées. C’est ainsi que le style si
simple
de l’Écriture exprime mieux les idées les plus no
usage, n’ont plus été regardés comme des figures, et sont devenus de
simples
expressions littérales ; tels sont les mots que j
plus claire et plus vive que ne pourraient le faire les mots les plus
simples
qui n’exprimeraient aucun des accessoires de cett
s. Un des plus grands secrets de l’art d’écrire, c’est de savoir être
simple
à propos. La simplicité fait ressortir les orneme
ème règle prescrit de prendre garde de jamais mêler ensemble le style
simple
et le style figuré. Il faut éviter qu’une partie
mbien il est maladroit d’entremêler ainsi le style figuré et le style
simple
. Mais ce qui produit encore un plus mauvais effet
s dans lesquelles le style figuré se mêle et se confond avec le style
simple
. On peut appliquer à l’allégorie les règles que n
ité, ou à la dignité desquels ne pouvant s’élever par des expressions
simples
et mesurées, il en emploie qui sont boursouflées
ite le nom, et qu’on ne devrait peut-être le placer qu’au rang de ces
simples
métaphores qui échappent à une composition rapide
oit le cours, mais dont peu de personnes connaissent la source ; » ce
simple
exemple montrera suffisamment que la comparaison
ux qui se disent poètes affectent de s’en servir ; mais tandis que le
simple
versificateur ne prend dans la nature aucune imag
jeter des points d’admiration après une phrase qui ne contient qu’une
simple
affirmalion, ou même seulement l’énoncé d’une pro
soit en prose, soit en vers, sont presque toujours du style le, plus
simple
, et sans aucune espèce de figure. J’en ai cité un
pithètes appliquées au style en disant qu’il est « fort, faible, sec,
simple
, affecté, etc. » Ces distinctions se rapportent b
genres, que la plupart des rhéteurs modernes ont reconnus, sont : le
simple
[simplex, tenue, subtile], le véhément [grave aut
ogrès, et répandre à sa place le goût des pensées solides et du style
simple
et nerveux. Lecture XIX. Caractères généraux d
yle simple et nerveux. Lecture XIX. Caractères généraux des styles
simple
, affecté, véhément. — Conseils pour se former un
ant et fleuri. Je vais maintenant examiner le style en tant qu’il est
simple
ou naturel ; ce caractère, qui est opposé à l’aff
sous lesquelles il est pris ordinairement. 1º. On dit une composition
simple
par opposition à la grande variété des parties qu
r opposition à ce qu’on appelle raffinement ou recherche. Les pensées
simples
sont celles qui se présentent naturellement ; l’o
s dirions que, dans les poésies de M. Parnell, il y a plus de pensées
simples
que dans celles de M. Cowley. Les pensées de Cicé
du langage. C’est ainsi que nous disons : « M. Locke est un écrivain
simple
, M. Harvey est un écrivain fleuri. » Le mot simpl
ke est un écrivain simple, M. Harvey est un écrivain fleuri. » Le mot
simple
pris dans ce sens, est la traduction de ces expre
us dicendi , qu’emploient fréquemment Cicéron et Quintilien. Le style
simple
considéré de cette manière, correspond à ce que j
différent de celui dont nous venons de parler tout à l’heure ; le mot
simple
signifiait seulement uni, au lieu que maintenant
odèle de la plus haute éloquence, mais on le citera comme un écrivain
simple
et aimable, qui a su répandre sur son style le ch
’ornements. Parmi nos écrivains plus modernes qui ont adopté le style
simple
, M. Addison est incontestablement le plus pur, le
un autre genre de beauté domine dans leurs ouvrages. Ainsi Milton est
simple
au milieu de toute sa grandeur ; Démosthène l’est
caractère distinctif le sépare à la fois et du style fort et du style
simple
. Il a une chaleur et un brillant qui lui sont par
re eux ; il combattit leurs sophismes par ses raisonnements à la fois
simples
et profonds, et s’efforça de prémunir ses concito
crate, et possédait au plus haut degré la pureté et le goût attiques.
Simple
sans affectation, il manque seulement de force et
ues. Les premiers se donnaient pour n’estimer que l’éloquence chaste,
simple
et naturelle, et ils accusaient Cicéron de s’en ê
oide, plus tempérée, et se borne presque, en Angleterre surtout, à la
simple
argumentation. C’est cette espèce d’éloquence que
les mots. On recherchera l’ordre le plus clair et la méthode la plus
simple
. L’expression sera chaude et animée ; mais, au mi
la tribune. Voici le commencement de sa première Philippique ; il est
simple
et sans art, comme l’exorde de toutes ses harangu
e par les paroles et non par les actions ? Y a-t-il quelqu’un d’assez
simple
pour croire que c’est pour conquérir quelques mis
s. Car à la tribune, où la question discutée est le plus souvent très
simple
, les arguments sont d’autant plus forts qu’ils so
sidérable de personnes choisies [judices selecti]. L’introduction est
simple
et convenable ; ce n’est point un lieu commun reb
éron est ici, comme dans tout le cours de cette harangue, extrêmement
simple
et modéré ; et quoiqu’il s’exprime avec beaucoup
de toutes les vérités religieuses. La méthode sans contredit la plus
simple
et la plus naturelle, est de choisir dans un suje
est parfaitement compatible avec la simplicité. Les mots peuvent être
simples
, très usités et faciles à comprendre, et le style
trer dans le cœur de ceux qui l’écoutent, et que ses ornements soient
simples
, mâles et naturels. Les applaudissements les plus
arer en peu de mots. Les exordes de Démosthène sont toujours brefs et
simples
; ceux de Cicéron sont plus développés, l’art s’y
pas moins absurde de charger d’ornements magnifiques la façade d’une
simple
maison, ou de rendre l’entrée d’un tombeau aussi
s introductions par lesquelles on lie le texte au sujet sont les plus
simples
, et presque toujours les meilleures que l’on puis
aut s’appliquer à suivre l’ordre de la nature. Les arguments les plus
simples
et les plus faciles à saisir sont ceux par lesque
ion, destinée à répandre le jour sur tout ce qui suit. Un fait ou une
simple
circonstance laissée dans l’obscurité, et inaperç
e justesse dans la pensée ; l’expression dans l’autre n’est pas assez
simple
. 9. Voyez Webb, sur les beautés de la poésie.
ples, les premiers mots que l’on inventa, furent des noms substantifs
simples
et réguliers Rien n’est aussi difficile, et ne pr
torrent grossit » Leurs premiers mots furent, sans doute, non pas de
simples
noms substantifs, mais des substantifs mêmes, acc
t à ce qui suit, et faire en sorte de redescendre avec grâce au style
simple
, après s’être élevé au style poétique et figuré,
enjoué. Quelque ton que prenne le poète, le style doit toujours être
simple
, naturel et facile, et jamais froid, pas même dan
aussi de la correction et de l’exactitude. Le style de la lettre est
simple
, seulement plus ou moins léger, plus sérieux et p
oris de l’imagination ou des grâces du sentiment, les choses les plus
simples
et les événements les plus communs. 11 n’est pres
l dit : Les fables ne sont point ce qu’elles semblent être : Le plus
simple
animal nous y tient lieu de maître. Une morale nu
ion et au léopard ; de peindre le lièvre fier et courageux, le renard
simple
et stupide, le singe maladroit, etc. 297. Quand l
r des nuances très variées de style. Ordinairement le style doit être
simple
, familier, riant, gracieux, naturel et naïf. Quel
te des choses dont le merveilleux exige toute la crédulité d’un homme
simple
ou plutôt d’un enfant, comme nous l’avons vu en p
adinage, de la finesse et de la malice. Son style ordinairement aisé,
simple
et facile, saura trouver de la grâce et de l’écla
jours divers, tantôt nobles et imposants jusqu’à la sublimité, tantôt
simples
jusqu’à la familiarité ; les uns horribles, les a
, pour ne pas tout dire, on ne dit pas assez ; et de peur d’être trop
simple
, on se fait une étude de devenir obscur. Rien de
indre les égarements : Il rougit ; tout est gagné ! l’expression est
simple
, et la précision de la pensée a quelque chose de
ut être susceptible. Sous ce dernier point de vue, le style sera sec,
simple
, concis, élégant, fleuri. Le style sec ne comport
xpression. C’est le caractère de tous les écrits d’Aristote. Le style
simple
n’admet qu’un très petit nombre d’ornements ; il
a son mérite. Il y a cette différence entre le style sec et le style
simple
, que le premier n’est pas susceptible de recevoir
us communes, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur aux plus
simples
. Sans le style, il est impossible qu’il y ait un
éron, écrit véritablement bien, qui dit les petites choses d’un style
simple
; les choses moyennes d’un style tempéré, les gra
t le style doit la suivre dans toutes ses transformations. Souvent le
simple
et le sublime se touchent ; le seul précepte que
à chaque sujet. Laissons donc de côté l’ancienne division du style en
simple
, tempéré et sublime, pour dire quelques mots des
omposition. Nous parlerons successivement du style familier, du style
simple
, du style naïf, du style fin, du style délicat, d
dont un homme de goût doit toujours se garder avec soin. 2° Style
simple
. Le style simple doit être pur, clair, précis,
ût doit toujours se garder avec soin. 2° Style simple. Le style
simple
doit être pur, clair, précis, mais sans éclat, sa
l’attirez vers vous… 3° Style naïf. Le style naïf est toujours
simple
, mais il a, de plus, un caractère de naturel et d
ffisent pas pour constituer le sublime. Le sublime, par lui-même, est
simple
: il existe moins dans les mots que dans les chos
rant peut le trouver aussi bien que l’homme instruit. Rien n’est plus
simple
que ce mot de Moïse racontant la création : « Die
Qualités générales du style. 2° Ancienne division du style. 1° Style
simple
; 2° — tempéré ; 3° — sublime. 3° Figures. 1° Fig
e la science, depuis les plus vastes créations des poètes jusqu’à une
simple
lettre d’affaires, il doit satisfaire aux règles
ière Catilinaire). Il y a encore deux autres espèces d’exorde : 1° le
simple
, ou exposition courte et sans art du sujet (Massi
l’éloquence de la chaire. La narration historique est l’exposé pur et
simple
des faits. Elle doit être vraie, fidèle et complè
récapitulation) et par l’emploi du pathétique. La péroraison est donc
simple
ou pathétique, suivant les circonstances ; elle p
les circonstances ; elle peut être les deux à la fois. Le pathétique
simple
est le plus touchant. Ex. Péroraison de Bossuet
NFIRMATION. 3° PÉRORAISON. 1° Par insinuation, 2° Ex abrupto, 3°
Simple
, 4° Grave ou Sublime. Proposition et Divisio
uïté des mots, etc. Récapitulation ou Conclusion. Péroraison 1°
simple
, 2° pathétique. III. Élocution Lorsque
signaient ses qualités respectives. En voici le tableau : 1° Style
simple
. 2° Style tempéré. 3° Style sublime. Précision
ofondeur ; Enthousiasme, etc. D’après ces mêmes rhéteurs, le style
simple
convient aux compositions dont l’unique but est d
e et de science, etc. Le style tempéré tient le milieu entre le style
simple
et le style sublime, medius et quasi temperatus…
Division logique du style, moyens de le varier Une division plus
simple
et mieux fondée, est celle qui consiste à disting
s mots ; 2° Des phrases (période) ; 3° Harmonie imitative. 1° Style
simple
. Précision, Naïveté, Netteté, Concision, Naturel,
st animé et aux sentiments qu’il veut communiquer, il faut qu’il soit
simple
dans l’exposition des faits, animé dans la discus
oir un développement clair, rigoureux et complet, son style doit être
simple
et sobre. On distingue plusieurs espèces de disse
ers ou en prose. Il y en a de deux sortes. La première (c’est la plus
simple
) résume, quelquefois sans les juger, les idées ou
losophique, scientifique, littéraire. Éloge. Analyse littéraire.
simple
, critique Discours. politique, militaire, jud
é d’élément d’une fête ou d’une cérémonie quelconque ; c’est alors un
simple
divertissement. Tantôt la danse est la partie pri
emps une action triste et plaisante. Le style de la comédie doit être
simple
, vif et enjoué. Le vers n’est pas la seule forme
s étaient des hommes. C’est ainsi que La Fontaine a fait de la fable,
simple
et concise dans Ésope, Babrius et Phèdre, une am
e du poème purement didactique. Suivant le sujet, l’épître est grave,
simple
et familière, toujours élégante. Si sa dimension
dans son style, Doit éclater sans pompe une élégante idylle. Son tour
simple
et naïf n’a rien de fastueux, Et n’aime point l’o
squels des bergers s’entretiennent de la vie des champs dans un style
simple
et naturel. À cause de sa forme, elle a plus d
d’Alexandrie, avec les Idylles de Théocrite (iiie siècle av. J. C.).
Simple
et naïve dans ses œuvres un peu factices, elle s’
magination et du sentiment. On peut donner de la prose une définition
simple
et complète en citant les paroles bien connues qu
i la rapprochent de la poésie. Bien qu’en général la prose doive être
simple
, précise et sobre d’ornements, elle admet cependa
d’un style pesant et plat. Nous adopterons la classification la plus
simple
et la plus naturelle. 1° Genre oratoire. Le
sur la mort, dans son Avent. Prône Le prône est une instruction
simple
et familière faite aux fidèles durant la messe. I
morales que lui suggère la lecture du texte sacré. Elles doivent être
simples
, car l’esprit et la recherche y seraient déplacés
critique, etc. Le style de ce genre de discours académique doit être
simple
, concis, nourri de faits, et s’adresser plutôt à
couleur locale. Ex. Augustin Thierry : Récits mérovingiens. 3° Un ton
simple
et grave dans le style, comme celui d’un témoin q
Les annales ou chroniques, qui consistent ; le plus souvent dans un
simple
récit, quelquefois même dans l’énumération des fa
d’elle-même. Style épistolaire Le style d’une lettre doit être
simple
et naturel, vif et rapide, sobre et facile. « Le
s au-dessous d'elle. On distingue quatre sortes d'exordes : l'exorde
simple
, l'exorde pompeux. l'exorde par insinuation et l'
ssion est propre ou figurée ; et le style doit être, selon la pensée,
simple
, tempéré ou sublime. Le tour doit être facile, gr
uvelle, peuvent orner le style. Chatouiller, qui appartient au style
simple
, familier, est ennobli dans les vers suivants, pa
ue ne distingue, ordinairement, que trois sortes de styles : le style
simple
, le style tempéré et le style sublime ; mais l'éc
phrase que résulte ce tout qu'on appelle nombre périodique. Le style
simple
est celui de la bonne conversation, celui des let
plaire est invariable, parce que ce verbe est formé d'un verbe neutre
simple
dont le participe se construit avec l'auxiliaire
oumis aux lois de l'accord, étant également formés des verbes neutres
simples
, quelques grammairiens rendent aussi variable le
riode ? Quels sont les ouvrages de littérature qui réclament le style
simple
? Quels sont les ouvrages qui réclament le style
indre à la perfection. De même, tout ouvrage d'esprit doit être un et
simple
; et, s'il a été écrit d'un seul jet, il doit êtr
ose que l'on parle correctement et sans affectation ; le style en est
simple
, il admet peu d'ornements et rien n'y est recherc
votre santé ; l'homme propose et Dieu dispose, » ne sont pas du style
simple
, elles sont du style bas. Une lettre reproduira l
its, ou qu'il croit avoir vus. Le style de la fable est ordinairement
simple
, mais quelquefois il est figuré, noble, pittoresq
animent et varient les descriptions ; le mélange d'idées naturelles,
simples
, riantes, et d'idées sombres et nobles font dans
lette Ne s'offre point aux regards du soleil ; A tous les yeux qu'une
simple
toilette Cache ton corps, le jour, dès ton réveil
cause doit être digne du héros. Le nœud et le dénoûment doivent être
simples
, naturels. Le merveilleux, c'est-à-dire ce qui su
’instruire, on m’ordonna de me rendre au palais. S’il n’eût été qu’un
simple
citoyen, je me serais rendu chez lui ; mais je cr
l’instruire, on m’ordonna de me rendre au palais. (Ce qui était tout
simple
assurément). S’il n’eût été qu’un simple citoyen,
u palais. (Ce qui était tout simple assurément). S’il n’eût été qu’un
simple
citoyen, je me serais rendu chez lui ; mais je cr
autre nom, faisait à peu près tout le mérite. Mais il paraissait tout
simple
alors que ce fussent les rois qui vinssent trouve
alomnies des tyrans ». Voilà qui est beau, parce que voilà ce qui est
simple
et vrai, surtout à l’égard de Marc-Aurèle. Mais T
différemment sont entraînés par l’intérêt austère d’un récit mâle et
simple
d’où se détachent des portraits hardiment tracés
qu’il touche. C’est un modèle de précision, de justesse et de dignité
simple
. L’histoire en notre siècle L’histoire se
elque chose, le pauvre comme le riche, l’ignorant comme le savant, le
simple
citoyen comme l’homme d’État. Elle offre surtout
leçons, Rois, magistrats, législateurs suprêmes, Princes, guerriers,
simples
citoyens mêmes, Dans ce sincère et fidèle miroir
ècle un grand exemple, c’était Cochin ; son attaque se réduisait à un
simple
exposé de l’affaire, à sa demande, et à l’énoncé
uvements entraînants qui sont l’essence du pathétique. Son style sera
simple
et familier dans la plupart des cas, quelquefois
réponde voilà un brave ! (Bonaparte.) ANALYSE. Forme. — Un langage
simple
, où respirent la fierté et l’héroïsme est le seul
ses éloges, on ne sera pas surpris de l’effet que devait produire ces
simples
mots. L’imagination se représente tout ces vieux
vons-nous pas souvent à défendre nos biens, notre réputation dans les
simples
discussions de société, dans les contestations co
prononcera la voix haute et lentement. 2° Dans les interrogations
simples
, c’est l’accent tonique qui fait seul reconnaître
ue doit faire toute césure. Si la césure est placée sans goût pour le
simple
besoin de la phrase, pour obtenir un effet puéril
ers doit être vif et précipité, et c’est méconnaître les lois du plus
simple
bon sens que d’arrêter court le rhythme par la cé
, etc. Il ne faut pas prendre pour des rimes pauvres celles où le son
simple
est modifié, quand même la voyelle ne serait poin
éloquence parlée, n’a point dédaigné de traiter des procédés les plus
simples
de l’élocution, comme des figures de mots et de t
matière aussi vaste que la littérature. Vos ouvrages restent donc de
simples
traités de Rhétorique, et c’est votre faute s’ils
syllabe dans le vers alexandrin. Cette définition est du galimathias
simple
. Si l’hémistiche était un repos, comment comprend
des Athéniens. Vous devinez pourquoi. Le sauvage est une machine fort
simple
, que deux ou trois rouages tout au plus mettent e
nt combien, chez les peuples sauvages, la tâche de l’orateur est plus
simple
que chez nous. On peut dire qu’elle se borne à so
ple. Cette dernière condition était la plus nécessaire de toutes ; un
simple
tableau de la société athénienne vous fera compre
nt peut-être ses juges. Comprenez-vous tout ce que cette situation si
simple
et pourtant si naturelle a de terrible pour l’ora
me condamnastes l’année passée. » Et ne croyez pas que, pour être la
simple
expression du bon sens pratique, le langage de ce
arler, l’autre pour agir. Plus les discours de ce dernier sont brefs,
simples
, nerveux, plus ils ressemblent à l’action, plus i
ous réussiriez à les ébranler, n’est-il pas vrai que quelques paroles
simples
, tombées d’une bouche pure, désintéressée et reco
la longue et paisible jouissance par une loi qui punissait de mort la
simple
proposition d’affecter aux besoins de la guerre l
à ses orateurs de s’adresser aux passions ; elle les enferma dans le
simple
exposé des faits et dans les déductions logiques
ation apprêtée la pauvreté de leur conception ; mais un développement
simple
, aisé, abondant, qui coule du sujet comme un fleu
ostilités, qu’il entre dans vos murs ! Comment pouvez-vous être assez
simples
pour croire qu’il vous déclarera jamais la guerre
es du sujet que vous traitez. Et si elles ne vous en offrent point, ô
simples
et naïfs orateurs que vous êtes ! Et si l’adversa
st pour rehausser la victoire du prince. De là le contraste du style,
simple
et élégant chez l’un, véhément et coloré chez l’a
la lutte oratoire. Je vous ai dit que, chez les Grecs, elle était un
simple
résumé. Les Romains lui donnaient plus d’étendue
saut des hauteurs occupées par l’ennemi, et leur jette en partant ces
simples
paroles : « Allons, camarades, allons mourir pou
en scène au mélodrame et réduit le pathétique à l’expression la plus
simple
des sentiments. Si cette contrainte épargne à nos
a qu’un, celui qui règle tous ses mouvements sur ceux de la pensée :
simple
, quand elle est simple ; orné, quand elle est gra
le tous ses mouvements sur ceux de la pensée : simple, quand elle est
simple
; orné, quand elle est gracieuse ; magnifique, qu
: car sous leur consonnance technique ils ne cachent rien que de fort
simple
et de fort naturel. Ces tiges desséchées que vous
vivacité des sentiments qui vous agitent. Souvent les moyens les plus
simples
produisent les plus grands effets. C’est l’âme qu
cet orateur faisait courir un frémissement dans l’assemblée avec ces
simples
mots : Je demande la parole. Ému, courroucé, impa
icienne, nommée Lélia, qui s’exprimait avec tant de naturel, de grâce
simple
et correcte, qu’à l’entendre on jugeait que son p
chair que leur nature n’admet pas ? Le style de l’apologue doit être
simple
, naturel et élégant. On connaît ces diverses qual
lui les grâces, l’ingénuité et la crédulité d’un enfant. Il était si
simple
dans son maintien, si modeste quant à ses product
nds pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon
simple
et souliers plats. Notre laitière, ainsi
a précisément, et parce que l’action est toujours fort légère et fort
simple
, on évitera les grandes pièces, parce qu’il est b
n caractère de la plus riante douceur. Le style des bergers doit être
simple
, c’est-à-dire que les termes ordinaires y soient
oux et tendres, des vers aisés, coulants, harmonieux, les expressions
simples
, quelquefois riches, toujours vraies. Il atteint
la pastorale. Il avait un génie aisé et fécond, un caractère doux et
simple
; il sentait l’harmonie poétique et trouvait faci
badin. Il se déchaîne avec force contre les vices, ou se borne à une
simple
raillerie. Dans le premier cas, il doit employer
in et nerveux ; dans le second, un style fin et enjoué, mais toujours
simple
, naturel et facile97. La forme de la satire est a
u goût ; et, en effet, on conçoit qu’il n’y a pas pour un poème aussi
simple
, aussi instinctif que celui-là, si l’on peut parl
gainville et celui de son ami sont exposés, l’un gai, jovial, l’autre
simple
, susceptible, mais facile ; que tous les détails
tons suivant les divers sujets qu’elle traite : on distingue le genre
simple
, le genre tempéré et le genre élevé. Cette différ
personnages que l’on met en la scène. § I. Narration dans le genre
Simple
Suivant notre coutume, nous ne présentons ici
ements qu’elles peuvent se permettre sans crainte ; et, comme la plus
simple
correspondance est sujette aux règles de l’art d’
ui ne va pas jusqu’à l’incorrection, mais qui est l’indice du langage
simple
et naïf, ennemi de la prétention. C’est ce langag
nferment ; elles ne doivent rien contenir d’inutile. Le style en sera
simple
, clair et précis et sérieux. Il faut éviter avec
l’étiquette, et qui ne sont point du domaine du style épistolaire. La
simple
lettre de demande n’a de règles que celles qui so
ition où il se trouve, et c’est ce que peut quelquefois accomplir une
simple
lettre. Dans quelques circonstances, le devoir se
ler tout l’esprit qu’on peut avoir. Le style de ces lettres doit être
simple
, franc, facile et plein de gaieté. Voici quels so
n’avait foi à la science et au professeur, il suffit de l’exposition
simple
, claire, précise de la matière ; une bonne défini
fauts. Horace et Boileau parlent du poëme épique : Que le début soit
simple
et n’ait rien d’affecté. N’allez pas, dès d’abord
sans faire d’abord de si haute promesse, Me dit d’un ton aisé, doux,
simple
, harmonieux… etc. Vous comprenez que cette modes
rapport qu’au sujet ou à l’idée mère du discours. Cette idée est-elle
simple
, la proposition l’expose. Est-elle complexe, ou r
proposition l’expose. Est-elle complexe, ou renferme-t-elle, quoique
simple
, des preuves ou arguments d’espèce diverse, la di
, des vérités surnaturelles enveloppées d’un nuage de mystère. Tantôt
simple
, onctueuse et persuasive, quand elle expose les d
ints : il y a rarement plus de trois points. Le prône est un discours
simple
, moins méthodique, moins solennel que le sermon :
oclamations de Napoléon sont des chefs-d’œuvre d’éloquence énergique,
simple
et concise. § VII. Éloquence académique. L’
cits de l’historien, dans les vers du poète, et parfois même dans une
simple
lettre. Nous croyons inutile d’entrer dans le dét
ons de ceux qui l’écoutent ? Ce n’est qu’une question de mots, que le
simple
bon sens peut résoudre. Dans la recherche de la v
proie à la violence d’une passion, nous verrons que leur langage est
simple
et sans affectation. Il peut être animé par les f
ut paraître pathétique, et son style sera effectivement hardi, vif et
simple
, s’il ne parle que d’après ce qu’il éprouve. Rien
compassion pour Gavius, et l’indignation contre Verrès. Le style est
simple
. Cette exclamation passionnée, cette invocation d
is autant d’attention que de talent pour donner aux morceaux les plus
simples
et aux passages les plus tranquilles le renforcem
n exemple, nous allons prouver que la phrase la plus ordinaire, cette
simple
question, « Allez-vous à cheval à la ville aujour
ait la mesure, et si, par la prononciation, on les assimilait à de la
simple
prose ? Il faut donc, lorsqu’on lit des vers blan
r dans toutes les affaires de la vie. L’histoire n’est donc point une
simple
narration, faite pour plaire au lecteur en flatta
, et eo immitior quia toleraverat [Car Rufus, qui avait été longtemps
simple
soldat, ensuite centurion, et enfin officier géné
de Tite-Live. Les descriptions de ce dernier sont plus entières, plus
simples
, plus naturelles ; celles de Tacite sont formées
re veuille une manière d’écrire plus coulante, plus naturelle et plus
simple
. Les anciens ajoutaient à leurs compositions hist
eindre. L’écrivain qui veut rendre ses dessins instructifs, doit être
simple
dans son style ; non content de nous donner une e
modèle de clarté et de précision dans le style philosophique le plus
simple
. Les écrits de lord Shaftsbury nous montrent jusq
mière et la plus essentielle de ses qualités, c’est d’être naturel et
simple
; car l’affectation produit un aussi mauvais effe
t composées avec esprit, leur effet est plus puissant que celui d’une
simple
instruction morale, et c’est pourquoi, dans tous
ennuyeux. Les romans prirent donc bientôt une troisième forme, et de
simples
contes ou nouvelles familières remplacèrent des r
même ils n’en connurent point d’autres. De froids raisonnements ou de
simples
discours ne pouvaient avoir d’attraits pour des p
ème épique dut son origine aux récits des exploits des héros, mais un
simple
récit ne parut pas toujours suffisant, et il est
Sans doute, dans ses premiers périodes, la musique était extrêmement
simple
; et ne consistait presque qu’en certaines inflex
s essentielles que la critique y rapporte. Je suivrai l’ordre le plus
simple
et le plus naturel, en commençant par les genres
te des cours. C’est alors qu’ils jetèrent un œil de regret sur la vie
simple
et innocente de leurs ancêtres, ou dont ils suppo
t aimables et gais sans bel esprit et sans pédantisme, où ils étaient
simples
sans être grossiers. La poésie pastorale doit son
ur la vie champêtre. Philips a tâché de paraître plus naturel et plus
simple
, mais il n’a pas assez de génie pour soutenir ses
lieux communs rebattus par ses prédécesseurs ; et, pour vouloir être
simple
, il devient quelquefois insipide et plat. Ce ne f
plus hardies et plus passionnées que celles que pourrait supporter un
simple
récit. Tel est, en effet, le caractère essentiel
l faut, enfin, que l’auteur ait le talent de descendre jusqu’au style
simple
, après avoir atteint les hauteurs du style poétiq
elles doivent être exprimées de la manière la plus concise et la plus
simple
; car si on les exagère ou qu’on s’y arrête trop
st pittoresque ; rien n’est forcé, rien n’est exagéré. C’est un style
simple
, c’est une série d’images fortes et expressives,
r distinctement. Les poètes qui savent le mieux décrire sont les plus
simples
et les plus concis. Ils peignent si bien et si ju
ffaiblir. Chez tous les anciens peuples, les meilleurs poètes étaient
simples
et concis ; c’est aux imitateurs sans génie que l
dées sur une soumission aveugle à l’autorité, donner au sujet le plus
simple
un air si mystérieux, qu’il est devenu fort diffi
gtemps dans son ressentiment. On peut donc définir d’une manière plus
simple
le poème épique en disant que c’est le récit poét
te à des poètes qui lui sont bien inférieurs. Le style d’Homère, plus
simple
que celui des plus grands poètes, rappelle la poé
l’autre dans le talent de toucher le cœur. Le style d’Homère est plus
simple
et plus animé, celui de Virgile plus élégant et p
que ses discours sont dénués de sens, et qu’il aimerait mieux être un
simple
journalier sur la terre, que de commander à tous
ire. Pour remédier à cet inconvénient, et éviter de ne paraître qu’un
simple
historien, Voltaire a mêlé la fiction à la vérité
la catastrophe d’un héros présente plus d’intérêt que le mariage d’un
simple
particulier, la tragédie a toujours été considéré
t la base de la tragédie ancienne. Loin qu’ils y figurassent comme un
simple
ornement, ou qu’ils contribuassent à la perfectio
osition dramatique, sont deux choses bien différentes. L’intrigue est
simple
lorsqu’elle ne comporte qu’un petit nombre d’inci
flèches, descend du ciel, et lui ordonne de partir. Des sujets aussi
simples
, et même en apparence aussi pauvres, sont cependa
e et dans les romans. Il faut, en second lieu, que le dénouement soit
simple
, qu’il ne dépende que d’un très petit nombre d’év
int de parade d’esprit. C’est là surtout qu’il faut que le poète soit
simple
, grave et touchant ; c’est là surtout qu’il ne do
thèses plus ou moins ingénieuses36.Voici, je crois, la raison la plus
simple
et en même temps la plus satisfaisante que l’on p
us vive que celle que produiraient les mêmes malheurs éprouvés par de
simples
particuliers. Mais cette raison est plus spécieus
oie à quelque passion vive, nous verrons toujours que rien n’est plus
simple
et plus naturel. L’on y trouve, il est vrai, beau
le passion n’est ni recherchée ni subtile ; ses pensées sont toujours
simples
et naturelles ; elles ne prennent leur source que
trent la nature telle qu’elle est, ils nous font entendre son langage
simple
, mais expressif ; aussi, dans les endroits pathét
e style ; susceptible de descendre au ton le plus familier et le plus
simple
, le poète en varie la cadence à son gré ; il est
et leurs inconvénients. L’intrigue, chez les Grecs, était extrêmement
simple
; on n’y admettait qu’un petit nombre d’incidents
onnés ; qu’ils étaient trop recherchés lorsqu’ils devaient n’être que
simples
. Voltaire convient avec franchise de ces défauts
e, et plus souvent encore la volonté des dieux ; cette exposition est
simple
, presque sans incidents, mais pleine de naturel e
mpression trop douloureuse. Les tragédies de l’antiquité étaient plus
simples
et plus naturelles ; celles des modernes ont plus
eculées. C’est le contraire dans la comédie, et la raison en est fort
simple
. Les grands vices, les grandes vertus, les grande
ime dans les affections est celui qui s’exprime de la manière la plus
simple
; un mot ou deux suffisent ; il se présente à l’â
; si l’expression est juste, le style est sublime ; si le mot le plus
simple
est aussi le plus clair et le plus sensible, le s
était Dieu, excepté Dieu même. » (Bossuet.) Voilà le sublime dans le
simple
: « L’univers allait s’enfonçant dans les ténèbre
n Dieu ou une brute,” est encore sublime dans la pensée, quoique très
simple
dans l’expression. « Dans le Macbeth de Shakspear
stentation de la parole. « En éloquence on a distingué le sublime, le
simple
et le tempéré, ou, comme disaient les Grecs, l’ab
ans la langue usuelle ; et en effet celles-ci sont au nombre des mots
simples
et primitifs. « L’indigence a donc été la premièr
ls plusieurs critiques avaient refusé ce titre : « Que l’action soit
simple
ou complexe, ajoute-t-il ; qu’elle s’achève dans
re d’artistes ont couru successivement une même carrière, il est tout
simple
que le talent, frappé des difficultés de la concu
s, est un exemple de tableau historique exécuté de la manière la plus
simple
, et présentant en même temps des scènes pleines d
t l’amant de Sylvie, Daphné, pour prouver que Sylvie n’était ni aussi
simple
ni aussi ignorante de sa beauté qu’elle cherchait
ependant rien n’y doit paraître recherché en aucune manière. Le style
simple
et facile est le seul qui puisse être mis en usag
paraît point conforme à celles du bon goût : je l’aurais voulue plus
simple
. Votre bon cœur est pressé de reconnaissance et d
our m’informer de l’état de votre santé, etc., sont, non pas du style
simple
, mais du style bas : le ton de la bonne compagnie
entes espèces de Lettres familières. Le style ne saurait être trop
simple
, trop clair et trop précis dans les lettres d’aff
du Mail, rue des Noyers. C’est encore une faute de joindre l’article
simple
et l’article particulé, au-dessus d’une lettre qu
ce et la violence décidèrent seules dans les discussions, il est tout
simple
que l’art qui concilie les esprits par le raisonn
itoyens à des idées plus justes sur l’art de raisonner. Il était tout
simple
que l’ami de la raison, le héros et le martyr de
e d’Isocrate ; mais son style est toujours pur, parfaitement attique,
simple
et sans la moindre affectation. Son plus grand mé
ieux de morale, d’art ou de science ; badine, si l’objet du chant est
simple
, léger et gracieux. Horace, chez les Latins, nous
facile se pliait à tous les tons, depuis le plus élevé jusqu’au plus
simple
, depuis l’inspiration pindarique jusqu’au simple
élevé jusqu’au plus simple, depuis l’inspiration pindarique jusqu’au
simple
billet en vers, à la manière d’Anacréon. C’est à
grands maîtres de la Rhétorique, Aristote, avait divisé d’une manière
simple
et féconde les objets que se propose l’éloquence.
t pas toujours les plus forts. « La persuasion a donc au-dessus de la
simple
conviction que non-seulement elle fait voir la vé
tisfactions qu’on peut désirer. Tout cela doit se faire d’une manière
simple
et naturelle, sans étude et sans affectation ; l’
exorde, comme toute pièce de théâtre a son exposition. Si court et si
simple
qu’il soit, l’exorde est une partie essentielle.
opée, et celui de l’Oraison funèbre de Turenne, par Fléchier. Exorde
simple
. — L’exorde ne demande pas toujours tant d’habile
ur peu de chose, où il faut aller droit au fait, l’exorde est souvent
simple
jusqu’à la nudité ; mais cette simplicité a sa gr
De tous ceux que j’ai faits je vais vous éclaircir. Auguste est plus
simple
encore avec Cinna : Prends un siège, Cinna, prend
oi que je t’impose, etc. Voilà l’exorde par préparation, tour à tour
simple
et insinuant, grave et sublime, simple et vigoure
e par préparation, tour à tour simple et insinuant, grave et sublime,
simple
et vigoureux. Mais, dans les grandes passions, l’
on premier Dialogue, ne proscrit pas la division, pourvu qu’elle soit
simple
et claire, s’accuse lui-même dans le second d’êtr
peine d’être ennuyeux. Dans une lettre, dans une conférence, dans une
simple
conversation, la mesure, la politesse, le bon goû
essions, ni par le pathétique des mouvements, mais qui a un air aisé,
simple
, naturel, est la seule qui convienne aux rapports
ut s’attacher à bien étudier le premier genre d’éloquence, qui est le
simple
, en bien prendre le caractère et le goût, et s’en
chap. i, 1, vi). Il n’y a pas beaucoup à retrancher de ces sages et
simples
paroles pour y trouver les règles du langage des
sions humaines avec toute leur pureté native. Il leur donne un air si
simple
, si facile, si familier, que tout homme est tenté
t, à force de bon sens et d’attention à veiller sur soi-même, devenir
simple
, naturel, aisé même dans le style comme dans les
l’étendue de la pensée et la force de l’attention. La période la plus
simple
n’a que deux membres. « Que ne doit-on pas crain
it conduit les anciens à distinguer trois genres dans l’éloquence, le
simple
, le tempéré, le sublime. Sans attacher trop d’imp
l’esprit moderne dans les préceptes de ces grands hommes. « Le genre
simple
paraît convenir plus particulièrement à la narrat
ns, l’harmonie du nombre et de la cadence. » De ces trois genres, le
simple
et le tempéré sont ceux qui conviennent le mieux
idité et la force, sans exclure l’agrément et le sublime. « Le genre
simple
, dit encore Rollin, n’est pas le plus facile, quo
ue de parler avec justesse et solidité, et cependant d’une manière si
simple
et si naturelle, que chacun se flatte d’en pouvoi
avec méthode, avec justesse, avec précision ; s’énoncer d’une manière
simple
, claire, naturelle et proportionnée à la capacité
ortée de leurs auditeurs. Les sermons de Saint Augustin sont les plus
simples
de ses ouvrages, parce qu’il prêchait dans une pe
leur. On voit aisément que l’amour de Dieu l’embrasait. Une éloquence
simple
et insinuante distingue ceux du P. Griffet. Cet O
es sont faibles, et pèchent contre le goût. Le P. de la Rue, toujours
simple
, noble, énergique et touchant, inspire l’amour de
a cause. Les petites affaires ne peuvent être traitées que d’un style
simple
; les grandes, d’un style élevé, et celles qui ti
es différentes espèces de discours. L’orateur doit y être tour à tour
simple
, fleuri, sublime et pathétique. Orateurs du Bar
prince de l’éloquence latine excelle dans les trois genres d’écrire.
Simple
, fleuri et sublime tour à tour, il instruit avec
tes d’éloges doit être élégant, plein de noblesse, mais en même temps
simple
, sans manquer de chaleur. Orateurs académiques
charmes de l’élocution. Le style de ces sortes de discours doit être
simple
, naturel, mais surtout très clair et propre au su
ue de quelques ornements. Il faut donc que l’orateur emploie le genre
simple
pour instruire, le genre fleuri pour se faire éco
dans les ouvrages de Thomas : il était impossible qu’il y eût rien de
simple
, rien de naturel dans les écrits d’un homme oblig
un espace immense, et se réduisent insensiblement à rien, lorsqu’une
simple
piqûre d’épingle a ouvert un libre passage à l’ai
u moins vous en ont donné une idée juste. Tout cela est beaucoup trop
simple
pour Thomas. Aussi vous dira-t-il, que « Cent mi
onneur ? Pour me faire croire ignorant, vous avez tâché d’imposer aux
simples
, et, de votre seule autorité, vous avez avancé de
anquoit de repos en l’hémistiche. Vous m’avez voulu faire passer pour
simple
traducteur, sous ombre de soixante et douze vers
e deux mille, et que ceux qui s’y connoissent n’appelleront jamais de
simples
traductions ; vous avez déclamé contre moi, pour
clarté. Si j’osais vous donner un conseil, ce serait de songer à être
simple
, à ourdir votre ouvrage d’une manière bien nature
avec clarté. Il semble qu’on n’écrive plus qu’en énigmes : rien n’est
simple
, tout est affecté ; on s’éloigne en tout de la na
a dit en vers ; croyez que tout ce qui ne sera pas aussi clair, aussi
simple
, aussi élégant, ne vaudra rien du tout. Vos réfle
up en perdant tous les ornements superflus pour se borner aux beautés
simples
, faciles, claires, et négligées en apparence. Pou
la est divin. » 3. On ne dit plus davantage que. 4. Ces vérités de
simple
bon sens ont besoin d’être répétées dans tous les
nons d’assigner. Elles expliquent au contraire, de la manière la plus
simple
, les variations que l’on a pu reprocher aux jugem
ccord constant dans ce beau poème, de tout ce que l’antique a de plus
simple
et de plus beau, avec tout ce que la galanterie m
tout de juger à la rigueur ce qui ne peut être considéré que comme un
simple
essai, où l’on rencontre néanmoins de beaux vers,
is aussi il semble affecter de prêter aux grandes choses une tournure
simple
et familière, comme de relever les petites par la
e l’humeur et souvent de la mauvaise foi. Il était plus juste et plus
simple
en même temps de ne voir dans cette traduction qu
genre que M. Delille affectionne particulièrement, par la raison bien
simple
qu’il y réussit le mieux, on attaqua sa manière ;
de son Discours sur les Lettres. « Ô vertu, science sublime des âmes
simples
, faut-il donc tant de peines et d’appareil pour t
croire qu’elle ne puisse, ainsi que bien d’autres, convenir au style
simple
. Elle peut même trouver place dans le genre épist
ouve bien souvent dans une expression, dans un seul mot. Quoi de plus
simple
que ces paroles de l’Écriture. Dieu dit : que la
nti : il n’est plus. Mais cette idée est rendue par les mots les plus
simples
. Ce dernier vers est par conséquent sublime, sans
mes ; et ces sentiments sont toujours rendus par l’expression la plus
simple
. Médée, dans la Tragédie de ce nom, veut se venge
s ni au-dessous du sujet qu’il traite, employant tour à tour le style
simple
, le style fleuri, le style sublime, selon que la
sages enchanteurs, et idéalisés par des souvenirs émus. Dans ce drame
simple
, décent, sobre et tendre, respire un génie virgil
s parages ; ce paysage n’était point un tableau colorié : c’était une
simple
estampe, où se réunissaient tous les accords de l
e, non en face par les rayons du soleil, mais, par derrière, de leurs
simples
reflets. En effet, dès que l’astre du jour se fut
herché. Elle consiste, dit le P. Bouhours 1, dans je ne sais quel air
simple
et ingénu, mais spirituel et raisonnable, tel qu’
t, et naissent sans effort du sujet que traite l’écrivain. Elles sont
simples
, communes et souvent triviales. Il faut nécessair
hardie. Rien de plus vrai, de plus juste, mais en même temps de plus
simple
et de plus commun que cette pensée, la mort n’épa
te, subjugue. Le style est fin, quand il montre, sous des expressions
simples
, des idées choisies ; gracieux, quand il est plei
n’a pas l’air d’avoir coûté : une idée mise galamment, mais en habit
simple
, ne paraît pas piquante à ces messieurs. Ils veul
un éloignement du naturel. Dire en termes trop recherchés des choses
simples
et communes, pour les faire paraître plus grandes
Enflure. L’Enflure du style consiste, ou à présenter des pensées
simples
et communes sous des expressions sonores et pompe
et les Poètes. Ils l’emploient pour étendre, orner, ennoblir une idée
simple
et souvent commune. C’est ainsi que Boileau s’est
absorption de la nature dans l’humanité. 41. Qu’est-ce qu’une pensée
simple
? La pensée simple est celle dont l’objet n’a ri
ure dans l’humanité. 41. Qu’est-ce qu’une pensée simple ? La pensée
simple
est celle dont l’objet n’a rien de relevé ni de b
sont les défauts opposés à la simplicité et au naturel ? Les pensées
simples
et naturelles ne doivent être ni communes ni affe
e est-elle naïve ? La pensée est naïve quand elle cache, sous un air
simple
et ingénu, une certaine finesse et un certain sel
es qui ne se réalisent jamais, Bossuet, ennoblissant cette idée aussi
simple
que vraie, la revêt d’une image sublime : L’homme
ne convienne à la colonne, à la plante, au fleuve, etc. La règle est
simple
, sûre et facile ; rien n’est plus commun cependan
pour empêcher qu’une image, qui est claire et juste comme expression
simple
, ne devienne obscure lorsqu’on veut l’étendre. S’
style, qui exclut l’abondance et les ornements, et convient au genre
simple
. La précision est une qualité générale et essenti
intervalle que la vérité devait avoir à franchir pour parvenir, d’un
simple
sujet, jusqu’aux oreilles d’un monarque tel que C
r et d’en saisir la différence. Celui de Sandanis, dans Hérodote, est
simple
, sans apprêt, sans ornement ; c’est le langage d’
d’Alexandre. Cette métaphore, gigantesque partout ailleurs, n’est que
simple
et naturelle ici ; l’application va le prouver. L
ge ne fût point, dans sa bouche, une jactance puérile, mais un exposé
simple
et vrai, et commandé d’ailleurs par la nécessité
eux ailes, changer à tout moment la face du combat, est la science du
simple
soldat, comme des chefs eux-mêmes. Et ne te flatt
t ce qu’Horace et Boileau ont très bien expliqué : Que le début soit
simple
et n’ait rien d’affecté. N’allez pas dès l’abord
Nec sic incipies……… miracula promat. Quoique l’exposition doive être
simple
, elle n’exclut cependant pas une certaine élévati
événements qui se succèdent durant le siège. Alors le récit se nomme
simple
ou direct. La seconde manière consiste à se jeter
néide. 390. La fable composée est-elle plus intéressante que la fable
simple
? La fable composée est plus piquante que la fab
e la fable simple ? La fable composée est plus piquante que la fable
simple
, parce que le personnage qui raconte paraît toujo
pétueux qui remue et qui entraîne : autrement ce serait le récit d’un
simple
historien. En un mot, le style de ces sortes de p
ï-comique ? Le poème héroï-comique est le récit comique d’une action
simple
, commune et presque toujours risible. Le poète y
nce de l’expression, le pittoresque et l’éclat du style ? Il est tout
simple
que nous devons exciter ici la pitié, où soulever
ublime le même orateur a tiré, dans un autre discours, de ces mots si
simples
, si vrais et si profonds en même temps : vanitas
Wagner, Fragments des Tragiques, dans la Bibliothèque Firmin Didot.
Simple
.] Non pas tout à fait dans le même sens que plus
ans le même sens que plus haut, chap. x. « Aristote appelle ici fable
simple
celle qui n’explique que les malheurs d’un seul p
uisse être écrite sans ordre ni plan. Une lettre d’affaires doit être
simple
, méthodique et précise. Une lettre familière dema
es pensées avec un certain ordre : sans avoir un plan bien arrêté, le
simple
bon sens nous indiquera la manière de tout dire a
t de la position de l’orateur à l’égard de l’auditoire. L’exorde sera
simple
, si le sujet n’a pas grande importance ou doit êt
d’Israël ? » 2° Proposition. La proposition est l’exposition
simple
, claire et précise du sujet que l’on va traiter.
narque et le héros n’auront ni le même ton, mi le même langage que le
simple
citoyen et le berger. 29. En quoi consiste la poé
les poètes, qui les emploient pour étendre, orner, ennoblir une idée
simple
et souvent commune. C’est ainsi que Boileau s’est
on ; 4° Quand la rime se borne à une seule lettre ; 5° Lorsque le mot
simple
rime avec son composé ; 6° Lorsqu’un mot rime ave
riétés qui ne riment pas avec prés, rimera avec enchantés. 76. Le mot
simple
peut-il rimer avec son composé e avec lui-même ?
e mot simple peut-il rimer avec son composé e avec lui-même ? Le mot
simple
ne doit pas rimer avec le composé, comme heureux,
avec printemps, garder avec regarder, lustre avec illustre. Si le mot
simple
ne peut rimer avec son composé, il est bien évide
ût ne voit dans ces sortes de poésies que la difficulté vaincue et de
simples
jeux d’esprit. Aussi, en trouve-t-on bien peu qui
s’exercent fréquemment à réduire les sophismes oratoires à leur plus
simple
expression et à les réfuter d’après les règles qu
vons volontiers ceux qui s’abaissent. Il faut donc que l’orateur soit
simple
et sans prétention, qu’il ne parle de lui que rar
d’avoir un cœur sensible, non seulement aux bienfaits reçus, mais aux
simples
témoignages de bienveillance ; et rien ne me para
ce qu’il faut et rien de plus. Le magistrat ne s’exprime pas comme le
simple
citoyen, et celui dont la réputation s’étend au l
d qu’ils ont déployé de chaleur, et de réduire au néant, par un style
simple
et uni, les idées qu’ils ont grossies par leur vé
é toutes ces nuances infinies à quatre espèces principales : l’exorde
simple
, l’exorde insinuant, l’exorde pompeux, et l’exord
, l’exorde pompeux, et l’exorde véhément ou ex abrupto. 171. L’exorde
simple
consiste à indiquer brièvement et sans art le suj
avec intérêt. 177. Il y a deux sortes de propositions, la proposition
simple
et la proposition composée. La proposition est si
la proposition simple et la proposition composée. La proposition est
simple
lorsqu’elle ne renferme qu’un seul objet à prouve
e titre. 178. Lorsque la proposition est composée, ou lorsque, étant
simple
, elle doit être successivement prouvée par plusie
ond perpétuel de tout l’ouvrage, et l’orateur sera véhément, sublime,
simple
, concis ou étendu, suivant les actions qu’il décr
onnes, les choses, les temps et les lieux, et s’il emploie des termes
simples
et naturels. » 189. La brièveté ne consiste pas
l’existence de Dieu ou la spiritualité de l’âme devant une réunion de
simples
villageois, comme on le ferait devant une assembl
tours qui peuvent les rendre frappantes. Ce que la sève opère sur un
simple
germe ou sur une tige naissante, l’amplification
aison. Vous avez présenté une idée ou une argumentation d’une manière
simple
et lumineuse : mais vous voyez qu’elle n’a point
ment celles qui tirent leur force de leur union ; ramenez à leur plus
simple
expression celles qui ont été développées avec éc
s sont beaucoup plus rares, parce que nos formes juridiques sont plus
simples
et plus austères. Néanmoins, elles n’en sont pas
outes les parties sont claires, distinctes et sans confusion ; il est
simple
quand le discours se réduit à quelques propositio
e en trois genres correspond aux trois devoirs de l’orateur. Le style
simple
serait destiné à instruire, le style tempéré à pl
style qui convient à chaque partie du discours. En général, le style
simple
s’emploie dans la proposition et la division, dan
lus vive, plus agréable, et en quelque sorte plus visible. Soyez donc
simple
, mais de cette simplicité qui n’exclut pas l’élég
sser tous les besoins de l’auditoire, et souffre les détails les plus
simples
et les plus familiers. 327. Bien qu’il faille moi
insi entendu est souvent plus utile que le sermon. Son genre est plus
simple
, plus à la portée des esprits peu cultivés, et pa
en exige point. Si vous divisez votre sujet, choisissez des divisions
simples
, pratiques, faciles à comprendre et à retenir. 33
té d’élocution est aussi une qualité essentielle à l’avocat. Un style
simple
, précis, élégant, où l’on évite les termes de la
les les plaidoyers de Cicéron et de Démosthènes. Les formes sont plus
simples
et les juges moins nombreux. Cependant le barreau
gé sur un mot qui lui échappe. En second lieu, que vos paroles soient
simples
et ne sentent point la recherche. Fuyez les grand
persuader dans les conversations. 412. Il ne suffit pas d’être vrai,
simple
, bienveillant, il faut aussi être modeste et ne p
et sème l’anarchie. Quoi qu’il en soit, l’art d’écrire n’est plus un
simple
amusement pour quelques nobles esprits, il s’est
triomphe qu’avait si bien préparé la logique de Démosthènes ? Par ce
simple
raisonnement, l’orateur a terrassé son adversaire
mener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien
simples
? Daignez, messieurs, daignez me répondre. Le pre
sauver tout ce qu’on possède ! Eh ! messieurs, ce n’est là que de la
simple
arithmétique, et celui qui hésitera ne peut désar
. Il fait la revue de l’Europe et du monde. Son armée n’est point une
simple
armée. C’est la grande armée. Sa nation n’est poi
nt une simple armée. C’est la grande armée. Sa nation n’est point une
simple
nation, c’est la grande nation. Il raye les empir
Combien y a-t-il d’espèces d’exordes ? 171. En quoi consiste l’exorde
simple
, et quand faut-il l’employer ? 172. Qu’est-ce que
ôté poétique, riant et gracieux de leur existence ; leur langage sera
simple
et naïf, sans grossièreté comme sans recherche et
dans son style, Doit éclater sans pompe une élégante idylle. Son tour
simple
et naïf n’a rien de fastueux, Et n’aime point l’é
l’ont fait, subdiviser le style, d’après la nature du sujet, en style
simple
, sublime et tempéré. Cette division s’appliquerai
Dans les ouvrages qui appartiennent au genre tempéré et même au genre
simple
, le première qualité spéciale est l’élégance. L’é
n de l’idée, en faisant saisir d’une manière plus vive que les formes
simples
et positives le mouvement de l’âme et la vue de l
u’on nomme figures de construction ou de syntaxe. La construction est
simple
ou naturelle quand elle suit rigoureusement un or
ses combinaisons, donner une forme gracieuse aux expressions les plus
simples
, aux termes les plus vulgaires. In verbis etiam
t prælium Munda. Le sujet est Cæsar, mis en tête de la phrase : sujet
simple
, mais complexe. — Quels en sont les compléments ?
la proposition suivante, qui n’est point oratoire, car elle énonce un
simple
fait historique ; mais qui nous fera comprendre q
discussion purement philosophique, et plus encore dans la familiarité
simple
et naïve d’une conversation. Il est donc essentie
stion undè avant ceux répondant à la question quo, par la raison bien
simple
que la fin doit aller après le commencement. exem
sée : Cicéron a été le plus éloquent des orateurs. La formule la plus
simple
sera : Eloquentissimus oratorum fuit Cicero. Ensu
orum longè disertissimus fuit Cicero. 4° En se servant de l’adjectif
simple
et d’un adverbe : Inter oratores Cicero fuit maxi
remarque, qu’il ne faut point abuser des périphrases, quand les mots
simples
suffisent pour exprimer la pensée dans toute son
mencement du tableau, produisent un grand effet ; à la vue et même au
simple
récit d’un spectacle si affreux, la frayeur doit
enre d’imitation, nous ne pouvons les exposer ici, par la raison bien
simple
qu’il n’entre pas dans le plan d’un traité de lit
des parties a lieu lorsqu’on divise l’objet, et qu’on remplace l’idée
simple
par l’énumération successive des parties qui le c
amplification par périphrase. La périphrase substitue à l’expression
simple
une description ou une expression plus développée
lle fois dans les mêmes circonstances. Quand il ne s’agirait que d’un
simple
billet, il faut qu’il y ait dans ce qu’on écrit u
nées qu’il se débitera ce jour de dragées et de mensonges. C’est à la
simple
et franche vérité que je rends hommage quand je v
tte place vous était due par droit, et que cet évènement est des plus
simples
. Mais je veux bien que vous sachiez que, depuis l
t leurs chapeaux goudronnés, vinrent entonner d’une voix rauque, leur
simple
cantique à Notre-Dame de Bon-Secours, patronne de
e selon les sujets et le genre de style qu’on adopte : elle peut être
simple
, animée, dramatique. Le nœud est le lien du récit
jusqu’au dénouement. La narration admet tous les tons, depuis le plus
simple
, comme la Cigale et la Fourmi, jusqu’au plus élev
uvelles ressources. Le style de la dissertation doit être grave, mais
simple
; les ornements et les images n’y sont guère à le
de la composition : 1° L’épi naissant mûrit…, etc. Ce début est
simple
et gracieux : un écrivain jeune et sans expérienc
teurs de la Grèce. L’éloquence des premiers disciples des apôtres fut
simple
et sans art. Ils ne songeaient point à parer leur
universel. On ne croyait pas qu’il fût permis de parler d’une manière
simple
et naturelle. Pour bien apprécier jusqu’à quel po
volonté impérieuse qui ne parle que pour agir. Son style, d’ordinaire
simple
et nu, serait parfois brusque et sec s’il n’avait
tour. Il ménage l’amour-propre de l’adversaire. 2. Ce n’est pas une
simple
métaphore. Bonaparte avait fait revivre cette dis
r. Mais, mes frères, n’en rougissons pas. Le discours de l’Apôtre est
simple
, mais ses pensées sont toutes divines. S’il ignor
rce que je suis faible » ; mes discours sont forts, parce qu’ils sont
simples
; c’est leur simplicité innocente qui a confondu
ions d’une âme alarmée par lesquelles on se trompe soi-même. Tout fut
simple
, tout fut solide, tout fut tranquille ; tout part
servées dans une justesse où rien ne manque. Toutes les machines sont
simples
, le jeu en est aisé, et la structure si délicate
produire sans les violer. — Schlegel regarde ces deux unités comme de
simples
accessoires, et prétend que les anciens tragiques
e, était mieux composée. Cependant il fallait que le nœud en fût bien
simple
, puisque Térence, dont les pièces ne sont pas ell
nœud du poème dramatique ne doit donc être ni trop compliqué, ni trop
simple
. Trop compliqué, il aurait l’obscurité à redouter
une pénible intrigue, D’un divertissement me fait une fatigue. Trop
simple
, le sujet serait bientôt languissant. Il faut sur
ie humaine : c’est là, plus qu’ailleurs, que le poète doit se montrer
simple
, grave, pathétique, et ne parler que le langage d
bassesse, et pourtant avec l’air de la vérité ; le langage doit être
simple
, du ton de la chose et des personnages, mais corr
e : l’un pris dans l’hypothèse du merveilleux, et l’autre réduit à la
simple
nature. 491. Quelles sont les règles de l’opéra d
usicien rend le discours tranquille, c’est-à-dire l’entretien uni, le
simple
dialogue des personnages, par une espèce de chant
à la comédie ? Le style de la comédie doit être généralement clair,
simple
, aisé et pur. Presque toujours il prendra le ton
t dont il est mêlé. Le récitatif du grand opéra y est remplacé par la
simple
parole ou le dialogue parlé. L’opéra comique est
n, en changeant la forme de l’idée, et en substituant à l’énonciation
simple
ou régulière l’interrogation, l’exclamation, l’ap
que consignée plus haut, que des idiotismes consacrés par l’usage, de
simples
catachrèses, n’admettant par conséquent aucun pré
sentiments, s’éloigne plus ou moins de ce qui en eût été l’expression
simple
et commune. » Tout cela me semble long et gêné.
, gracieuses, souvent véhémentes, rapides, sublimes. Vos Satires sont
simples
, naïves, courtes, pleines de sel : on y trouve un
er Homère, c’est d’être plus poli, plus châtié, plus fini, mais moins
simple
, moins fort, moins sublime : car d’un seul trait
vant les yeux. Virgile. J’avoue que j’ai dérobé quelque chose à la
simple
nature3, pour m’accommoder au goût d’un peuple ma
mener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien
simples
? Daignez, messieurs, daignez me répondre. Le min
sauver tout ce qu’on possède ! Eh ! messieurs, ce n’est là que de la
simple
arithmétique, et celui qui hésitera ne peut désar
de la douleur et du repentir, plaidant sa cause avec une logique ausi
simple
que naturelle et persuasive. Mais son père, l’ami
a Poétique (De la Poésie dramatique, § 10). Les fables et les actions
simples
.] Απλοì offre ici une difficulté, car il semble a
e dernier mot. Batteux proposait déjà un changement analogue. Le plus
simple
serait peut-être de mettre μάλλον à la place de μ
une nouveauté dans notre poésie que le charme de ces accents intimes,
simples
et domestiques. 3. Ce vers est éloquent. 4. J’a
’est l’exquise simplicité du style, quand il faut exprimer les choses
simples
. Point de périphrases maladroites ou recherchées,
int d’énigmes substituées au mot propre. M. de Lamartine prend le mot
simple
, et le rend poétique par la place et le tour qu’i
le ciel ou l’horizon de la vallée, et redescendre à pas lents dans la
simple
et délicieuse contemplation de la nature et de so
r tout ce qu’il voyait, entendait et devinait. Son existence fut plus
simple
qu’il n’eût voulu. Entré jeune au service, il bri
8, de toutes ses manières et de ses discours les plus communs. Un air
simple
et naturel toujours, naïf assez souvent, mais ass
ion dans la manière de les exprimer, ne donne et ne laisse que l’idée
simple
, mais vraie, d’une image presque au-dessus de la
d’annoncer avec emphase des vérités communes, d’embrouiller les plus
simples
et d’obscurcir les plus claires, par l’appareil f
rquée entre les poètes anciens et les écrivains de la Bible. Toujours
simples
, parce qu’ils sont toujours grands, et cédant au
ntre ces passages, textuellement suivis par les deux traducteurs. Les
simples
lumières du bon sens indiquaient à tout le monde
lier. Ce nom générique de langue romane ne rappelle, en effet, qu’une
simple
communauté d’origine, et n’exclut pas la diversit
de complainte sentimentale, dont le cadre plus étroit se réduit à un
simple
épisode, par exemple les Amours de Tristan et d’Y
aussi brillante fortune. Sous Louis XII, roi grave, réfléchi, pieux,
simple
et sage, la muse moralise, enseigne et prêche, no
naires de la société romaine, ils composaient deux c’asses : les uns,
simples
bateleurs, ressemblaient à nos saltimbanques de f
les exordes devaient être de courtes expositions ; les péroraisons de
simples
résumés ; enfin la clepsydre mesurait parcimonieu
pour donner les couleurs de la vraisemblance à une cause douteuse, le
simple
langage du bon sens, soutenu par la dignité du ca
des Céthégus, des Africain, des Papirius, des Caton, éloquence grave,
simple
, pratique, la seule peut-être qui soit digne d’un
qui ait jamais été plaidée devant les tribunaux ; tantôt elle est si
simple
, qu’il s’étonne qu’elle ait pu occuper l’attentio
accuse ou qui défend. De même, il y a trois genres de style, le style
simple
, le style tempéré et le style sublime. De même en
; la chanson a pris les ailes de l’ode ; la fable, cessant d’être une
simple
leçon de morale, s’est armée de l’aiguillon de l’
sieurs, le hasard ne pouvait m’offrir pour mon début une affaire plus
simple
, où l’innocence de l’accusé éclatât plus manifest
et du temps de Démosthène et de Cicéron, les lois municipales étaient
simples
, générales, et surtout en petit nombre. La décisi
rigoureusement les charmes de l’élocution ; et la raison en est bien
simple
. La sécheresse et l’aridité des matières ordinair
lète, de grande importance et de raisonnable grandeur non pas par le
simple
discours, mais par l’imitation réelle des malheur
µµαῖς οὕτως ὲναλείφουσι τοῖς χρώµασι τὸ ζῷον. Cf. De l’Ame, II, 7. Le
simple
trait d’une figure.] Pline, Hist. nat., XXXV, 10
et de Bossuet. On y trouve une vigueur extrême de pensée, une beauté
simple
d’expression, et souvent une manière de relever l
de la nature, dont les règles sont infaillibles ; et l’homme le plus
simple
, qui a de la passion, persuade mieux que le plus
age qui au lieu d’énoncer seulement l’idée comme le fait l’expression
simple
, y ajoute une parure, une espèce de vêtement qui
lus frappant qu’on n’aurait pu le faire en n’employant que des termes
simples
, et en dépouillant l’idée principale de ses acces
propres à instruire, peuvent convenir plus particulièrement au style
simple
; celles de la seconde, étant destinées à plaire,
ements du style ont le plus souvent une étendue qui les distingue des
simples
figures, et qui les range parmi les compositions
astidieux détails sur le pouvoir des différentes lettres, ou des sons
simples
dont le langage est composé. Il est évident que l
rrangement de mots formant un sens complet. On donne le nom de phrase
simple
à celle qui ne peut se diviser en plusieurs parti
détachées les unes dés autres, de manière à former autant de phrases
simples
. Mais lorsque toutes ces parties ou propositions
ent des vents, le murmure d’un ruisseau, etc. C’est l’exemple le plus
simple
de ce genre de beauté. Il ne faut pas beaucoup d’
ns communes et les transitions adroites et délicates. Les transitions
simples
ou communes consistent dans les mots, dans un adv
ramme, sauf qu’au lieu d’être malin et mordant, il a quelque chose de
simple
, de délicat, de gracieux dans sa pointe. Tel est
que ces bagatelles et ces caprices ne sont plus de la poésie, mais de
simples
artifices de versification. Si nous en parlons ic
trouvé son objet1. (Causeries du lundi, Ed. Garnier.) Heureux les
simples
de cœur M. Sainte-Beuve a l’esprit hospitali
sses aussi et des laisser-aller2 qui ne se rencontrent jamais dans le
simple
et mâle génie, le maître des maîtres. Mais pourqu
nt mis la morale humaine en maximes, et qui l’ont chantée sur un mode
simple
, converseraient entre eux avec des paroles rares
olline que Virgile, et un peu plus bas, on verrait Xénophon, d’un air
simple
qui ne sent en rien le capitaine, et qui le fait
lleure pour y épancher le plus de ces vérités réelles, de ces beautés
simples
, de ces sentiments humains bien ménagés, dont, so
S’il rapporte des choses fausses, ou qu’il donne pour des vérités de
simples
conjectures, il trompe le public, il en impose à
es détails peuvent être utiles aux lecteurs de toutes les classes, au
simple
citoyen, au militaire, à l’homme d’état, aux souv
tôt noble, et tantôt naïf ; tantôt touchant, et tantôt léger ; tantôt
simple
, et tantôt même sublime. S’agit-il de crayonner l
s Perses, des Grecs, des Romains et des Carthaginois. Le style en est
simple
et grave. Mais on accuse cet auteur de n’être pas
es dans ses Commentaires. Le style de ce capitaine historien est pur,
simple
, précis, et peut-être trop dénué d’ornements. Sa
lée : l’Enfant. L’auteur nous fait connaître, dans ce sujet à la fois
simple
et intéressant, tout ce qui se passe chez l’enfan
ons celui de ne pas suivre l’ordre naturel des idées. Rien n’est plus
simple
que de donner à chacune la place qui lui convient
compagnons, étant leurs chapeaux goudronnés, vinrent à entonner leur
simple
cantique à Notre Dame de Bon Secours, patronne de
avec elles à former ce qu’on l’appelle un membre. La période la plus
simple
se compose de deux membres. Exemple : Si la sage
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