nom ; vous l’aviez écrit sur le livre éternel, dans la succession des
saints
rois qui devaient gouverner vos peuples ; vous l’
Gouvernement de saint Louis : ses vertus civiles et militaires. Le
saint
roi rendit aux peuples, avec la tranquillité, la
ux siècles à venir, des secours publics aux misères publiques : notre
saint
roi connut ce devoir, et jamais prince ne fit plu
prince ne fit plus d’usage d’un si heureux privilége. Que de maisons
saintes
dotées ! que de lieux de miséricorde élevés par s
l’insolence et les conquêtes des nations infidèles. Poussé d’un zèle
saint
, il sort, comme un autre Abraham, de sa terre et
par des barbares, qui foulaient encore aux pieds une partie des lieux
saints
de la Palestine et menaçaient d’envahir le reste,
pelâtes alors, en voyant ce pieux héros armé pour la délivrance de la
sainte
Jérusalem, vous rappelâtes vos anciens jours de g
la trace a subsisté jusque dans notre siècle, des panégyriques de ce
saint
roi. Mais il vaut mieux voir en quels termes ce p
me, aigle vainqueur, Au bruit de tes ailes de flamme, Je frémis d’une
sainte
horreur ; Je me débats sous ta puissance, Je fuis
D’arbre en arbre au verger errer son habit noir5. Car c’était l’heure
sainte
où, libre et solitaire, Aux rayons du couchant, i
or du soir qui perçaient les volets, Comme luttent entre eux, dans la
sainte
agonie, L’immortelle espérance et la nuit de la v
il respectueux ne voyait qu’un élu. Puis, avec l’assistant disant les
saints
cantiques, Je m’assis pour pleurer près des chère
la bière. Chacun des villageois jeta sur le cercueil Un peu de terre
sainte
, en signe de son deuil ; Tous pleuraient en passa
a foule muette un sourd sanglot sortit. Quand ce fut à mon tour : « O
saint
ami ! lui dis-je, Dors. Ce n’est pas mon cœur, c’
respirer, ni faire un mouvement, Comme si du passé l’image tendre et
sainte
Devait, au moindre bruit, s’enfuir de cette encei
pour tout le monde du haut des cieux. Dans chaque village s’élève ta
sainte
maison, et le son de l’orgue et les chants des ch
nourri aux affections de famille, et a éprouvé une de ces grandes et
saintes
douleurs que le cœur n’oublie pas, retrouve ici s
x et battant des ailes comme pour le féliciter de sa venue. Alors, le
saint
dit à son compagnon : “Je vois qu’il est de la bo
suasion dans les cœurs, la consolation dans les âmes, qu’il ouvre les
saintes
écritures, qu’il se nourrisse, qu’il enrichisse,
mentaire perfide. Sans compter les ressources immenses que les livres
saints
offrent au prédicateur qui sait en faire usage, p
léchier a su tirer de la rare conformité que lui offraient les livres
saints
entre le héros des Machabées, et le grand homme (
rces inépuisables de tous les genres de beautés. À l’étude suivie des
saintes
écritures, il est essentiel de joindre la lecture
é mes fautes derrière toi. — Le Seigneur m’a sauvé : aussi son temple
saint
retentira tous les jours de ma vie des chants de
uets, tes fêtes solennelles ? » Ne pourrons-nous jamais, unis dans le
saint
lieu, » Du retour de tes fils remercier ton Dieu
écrivain pouvait retirer de l’étude et de la connaissance des livres
saints
, sources toujours fécondes, toujours ouvertes à q
tère particulier. Je crois, par exemple, que l’esprit seul des livres
saints
pouvait inspirer le morceau suivant : Digne prix
ui prennent naturellement ici le ton et la couleur du sujet. Le plus
saint
des devoirs, celui qu’en traits de flamme La natu
es biens. « Je vous donne à jamais, » Et ma main et ma foi ; le plus
saint
hyménée » Aujourd’hui va m’unir à votre destinée.
nfant, docile aux soins de son aïeul, De nos fastes sacrés prenait le
saint
recueil, Mais non sans le baiser ; sa main respec
cteur dirigeant les récits, Le vieillard lui disait : Lisez ces pages
saintes
; Abel, le juste Abel, de son sang les a teintes.
stait sans larmes et sans voix. Mais l’azime céleste, et les onctions
saintes
, Au mourant ont rendu ses facultés éteintes ; Et
élire factice qui porte certains poètes à parler de leur feu, de leur
sainte
ivresse, etc., ni dans des apostrophes comme cell
nous trouver une juste idée de la poésie sacrée ? Ce sont les Livres
Saints
qui pourront nous donner une juste idée de la poé
ait comblé. On trouve encore d’autres poèmes lyriques dans les Livres
Saints
: les plaintes sublimes de Job, Pereat dies, et c
tions, des prières ou des louanges que le poète adresse à Dieu ou aux
saints
: à Dieu, pour le célébrer, le remercier, implore
me, et demande à être chantée. C’est le nom qu’a pris dans les Livres
Saints
la poésie lyrique, à l’exception des Psaumes. Che
t comme l’hymne liturgique, ils célèbrent Dieu et ses grandeurs ; les
saints
, leurs vertus et leur gloire ; les mystères et le
sacrées, hymnes et cantiques. Outre les poésies tirées de l’Écriture
Sainte
et le Carmen sæculare d’Horace, dont nous avons f
Marie, que l’on prendrait pour l’œuvre d’un catholique ; une prière à
sainte
Marie Madeleine, par Pétrarque ; les Disciples à
i de plus vivant, de plus délicieux que le passage suivant des Livres
Saints
: Vous bénirez nos champs, Seigneur, et vos bénéd
La religion chrétienne, qui est la source de toutes les inspirations
saintes
, a épuré ces sentiments, et a appris aux poètes à
e qu’elle est quelquefois consacrée aux souvenirs de l’innocence, aux
saintes
joies de la vertu, aux allégresses d’une bonne co
ne bonne conscience. Saint François d’Assise, saint Jean de la Croix,
sainte
Thérèse, Fénelon, ont composé des chansons sur de
c’est que celui-ci, étant destiné à être chanté en chœur dans le lieu
saint
, doit toujours être grave et sérieux ; tandis que
vivacité sémillante, et la verve soutenue d’une haute raison1. Un
saint
Qui de vous ne se souvient de Fénelon aidant
— Eh bien, cherchons-là ensemble. » Il la retrouvent. « Vous êtes un
saint
, monsieur l’abbé : vous avez retrouvé ma vache !
us avez retrouvé ma vache ! » Elle se trompait d’un mot : il était un
saint
parce qu’il l’avait cherchée1. La passion au
mbres des ponts supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture
sainte
avec les femmes des officiers et des passagers. P
propres à appuyer ses raisonnements. Une lecture réfléchie des livres
saints
, en le pénétrant de la grandeur et de la sainteté
es injustes reproches, j’avance deux propositions : 1º. C’est une loi
sainte
et parfaite : mais dans sa perfection, elle n’a r
mais dans sa modération, elle n’a rien de lâche. » 1º. C’est une loi
sainte
et parfaite ; mais dans sa perfection, elle n’a r
amne pas tout comme mortel : mais elle nous donne, en même temps, une
sainte
horreur de tout péché, même du véniel. Elle disti
ou dans laquelle il choisissait les sujets les plus importants. « Ces
saints
prédicateurs, dit l’Abbé Fleury, dans son ouvrage
ons. Le Panégyrique Chrétien est uniquement consacré à la louange des
Saints
. L’Orateur s’y propose de les honorer par l’éloge
égyrique. Mais ce serait un défaut de suivre exactement les traces du
Saint
, depuis sa naissance jusqu’à sa mort, et de louer
t Louis par le P. Bourdaloue. « Division. Saint Louis a été un grand
Saint
, parce qu’étant né Roi, il a fait servir sa digni
Partie. Saint Louis a été un grand Roi, parce qu’il a su, en devenant
Saint
, faire servir sa sainteté à sa dignité, II. Parti
eté à sa dignité, II. Partie. » I. Partie. Saint Louis a été un grand
Saint
, parce qu’étant né Roi, il a fait servir sa digni
Partie. Saint Louis a été un grand Roi, parce qu’il a su, en devenant
Saint
, faire servir sa sainteté à sa dignité. Il a été
à l’abri de toute critique. L’application des passages de l’Écriture
Sainte
, y est quelquefois peu juste, et l’usage de l’ant
quent, qui d’ailleurs a le grand mérite de ne perdre jamais de vue le
Saint
dont il célèbre les vertus. Les anciens avaient a
la gloire de ce Héros, ni interrompre l’attention que vous devez aux
saints
mystères, par un stérile, quoique magnifique réci
moments de sa vie, par tout ce que la religion peut inspirer de plus
saint
et de plus tendre à un cœur fervent ». Ces trois
guillons leurs paroles ne laissent-elles pas dans son esprit ! quelle
sainte
jalousie leurs actions n’allument-elles pas dans
peu aujourd’hui qui ne s’érigent en juges et en censeurs de la parole
sainte
. On ne vient ici que pour décider du mérite de ce
propres à appuyer ses raisonnements. Une lecture réfléchie des livres
saints
, en le pénétrant de la grandeur et de la sainteté
vera la première partie en montrant que la loi chrétienne est une loi
sainte
et parfaite, et ensuite que c’est une loi modérée
gile qu’on venait de lire, soit de quelque autre partie de l’Écriture
sainte
. Les prédicateurs proportionnaient leur style à l
un tout autre caractère ; il est uniquement consacré à la louange des
saints
. L’orateur s’y propose de les honorer par l’éloge
égyrique. Mais ce serait un défaut de suivre exactement les traces du
saint
depuis sa naissance jusqu’à sa mort, et de louer
alogue à celle de ses sermons. Division. Saint Louis a été un grand
saint
, parce qu’étant né roi, il a fait servir sa digni
partie. Saint Louis a été un grand roi, parce qu’il a su, en devenant
saint
, faire servir sa sainteté à sa dignité : deuxième
ctions même de leur ministère l’occasion de leurs désordres ; l’arche
sainte
ne rendait plus ses oracles à Silo ; mais, tombée
héri du ciel, qui renouvela le gouvernement, qui répandit une onction
sainte
sur les princes de sa nation, et qui jugea l’asse
Bernard, et ce prophète, si fameux et si souvent loué dans les livres
saints
, à celui dont j’entreprends aujourd’hui l’éloge ?
exte d’une oraison funèbre, c’est-à-dire les lignes tirées des livres
saints
que l’orateur prononce avant de commencer son dis
ir, qu’en recueillant ces termes nobles et expressifs dont l’Écriture
sainte
se sert pour louer la vie et pour déplorer la mor
er à celle de la terre : c’est celle qui se manifeste dans les Livres
saints
, et qui a pour interprète les cantiques de Moïse
lus beau dans notre langue. Mais d’où vient que mon cœur frémit d’un
saint
effroi ? Est-ce l’Esprit divin qui s’empare de mo
ment en un plomb vil l’or pur s’est-il changé ? Quel est dans le lieu
saint
ce pontife égorgé ? Pleure, Jérusalem ; pleure, c
peuples à l’envi marchent à ta lumière. Heureux qui, pour Sion, d’une
sainte
ferveur Sentira son âme embrasée !
ille à l’instant de l’ignominie du siècle, et nous place dans le lieu
saint
. La mort d’un aîné change nos vues, nous rengage
des grâces. Quels sont les motifs qui conduisent cet autre à l’autel
saint
? que vient-il chercher dans l’église ? ses tréso
ouï dire qu’il y trouverait des richesses immenses, et les dépouilles
saintes
des peuples. Ce sont des vues de fortune, d’éléva
soutenir son nom et s’établir convenablement dans le monde, un asile
saint
lui paraît plus honorable aux yeux des hommes qu’
ise des ministres que l’Église n’appelle point, et qui n’acceptent le
saint
ministère que comme un joug odieux qu’une injuste
e vérité par l’Écriture, par les Pères de l’Église, par l’exemple des
saints
, j’emploie des preuves extrinsèques. 27. Les preu
ature, Et la lumière est un don de ses mains, Mais sa loi
sainte
, sa loi pure Est le plus riche don qu’il ait fait
il s’appuie continuellement sur les exemples que nous ont laissés les
saints
: Qui oserait dire, s’écrie Démosthènes, qu’un b
travail et à la vertu des prêtres vénérables qui ont blanchi dans le
saint
ministère. Voyez quels égards et quelle convenanc
en permettre qui soit indigne d’une longue vie consumée dans les plus
saintes
fonctions. (Discours synodaux.) 100. La différen
êtes parti, pourquoi vous avez quitté votre ordre, vos frères, votre
sainte
retraite, moi-même enfin qui vous suis attaché pa
les discours académiques, les oraisons funèbres, les panégyriques des
saints
et les éloges des grands hommes. L’exorde de Boss
’Écriture, mais qu’il se pénètre tellement de la substance des livres
saints
, que la parole de Dieu se trouve continuellement
Sales, qu’est-ce autre chose que l’Évangile expliqué, que l’Écriture
sainte
exposée ? Ce sont les instruments par lesquels Di
mais pourvu qu’il se propose ce noble but, il peut embellir la parole
sainte
de tous les charmes de la vraie et solide éloquen
ançois de Sales, doit être libre, noble, généreuse, naturelle, forte,
sainte
, grave, et un peu lente. « Il faut parler affectu
; forte, contre une certaine action morte, molle et sans efficacité ;
sainte
, contre la manière adulatrice, parfumée et mondai
it comme lui. » Au contraire, la seule voix d’un homme que l’on croit
saint
réveille des idées pieuses, et donne du poids à s
anisme, on lisait d’abord, dans l’assemblée des fidèles, un texte des
saintes
Écritures, et l’orateur sacré commentait cette le
que qui détermine les volontés, et enfin une invocation à Dieu ou aux
saints
pour obtenir la grâce ou la vertu dont il s’agit.
l’Apologétique et les prescriptions de Tertullien, la Cité de Dieu de
saint
Augustin. Il pourra aussi consulter avec fruit qu
ent question, est un discours exclusivement consacré à la louange des
saints
. Cette sorte de discours, dit M. Laurentie, dériv
r ses exemples et encourager les fidèles à l’imiter. 344. L’éloge des
saints
se tire des diverses positions où ils se sont tro
de Dieu. Évitez toutefois, dans ces parallèles, de rabaisser un autre
saint
pour relever davantage votre propre héros. 345. E
our relever davantage votre propre héros. 345. En faisant l’éloge des
saints
, il vaut mieux insister sur les moyens qui les on
her la sainteté à des œuvres extraordinaires, et de n’estimer que les
saints
dont la vie porte le cachet du merveilleux. Le pr
e d’après les deux ou trois vertus principales qui ont brillé dans le
saint
et qui forment le fond de son caractère. La forme
iser le discours d’après les époques ou les divers états de la vie du
saint
. Quelques-uns aiment mieux Je premier genre ; mai
ent la forme historique, et pensent que le meilleur moyen de louer un
saint
est de raconter sa vie. « Amas d’épithètes, mauva
tement le caractère du personnage. Certains prédicateurs exaltent les
saints
dont ils parlent au-dessus de tous ceux qui ont v
La religion ne souffre pas que, à la face des autels et au milieu des
saints
mystères, on fasse l’éloge d’un homme qui a toujo
ristianisme, quelle force et quelle chaleur depuis les Apôtres et les
saints
Pères jusqu’à Bossuet et Fénelon, de Maistre et C
ueuses. Mais si cela était, reprend saint Bernard, pourquoi David, ce
saint
roi, dans la ferveur de sa contrition, aurait-il
uissent monter jusqu’à votre trône ! Mais ce sont les vœux de tant de
saints
rois qui ont gouverné la monarchie, et qui, metta
en parler jamais, que, comme dans la gloire éternelle, les fautes des
saints
pénitents, couvertes de ce qu’ils ont fait pour l
étés de nos sacrés cantiques et du pompeux appareil de nos cérémonies
saintes
, elle va se réunir au tombeau des martyrs, portée
rs des anges, la gloire et la clarté des prédestinés, te mêler à leur
sainte
joie, jetant du haut de la céleste gloire un œil
ir, qu’en recueillant ces termes nobles et expressifs dont l’Écriture
sainte
se sert pour louer la vie et pour déplorer la mor
de Dieu avec tant d’éclat et de fruit avant nous. Nous n’avons pas la
sainte
et admirable éloquence de ces hommes qui, sans lu
illante que forte et victorieuse. Ce luxe et ces délices de la parole
sainte
convenaient à des temps plus heureux, et pouvaien
le lévite dans un même tombeau, est-ce à toi de reprocher à la tribu
sainte
mutilée l’affaiblissement de son éclat et de ses
’autorité une chose inviolable ; en faisant de l’obéissance une chose
sainte
; en faisant de l’abnégation et du sacrifice, ou
rand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
; heureux, si, averti par ces cheveux blancs du c
e pas se dire à soi-même que c’est avec une pieuse modestie, avec une
sainte
gravité, et même avec une imposante majesté, que
mes péniblement affectés. Est-ce là, nous le demandons, la dignité du
saint
prêtre, l’attitude pieuse de l’apôtre ? D’autres
ourdaloue. On peut citer comme un modèle le panégyrique d’un grand
saint
loué par un grand prédicateur : c’est l’éloge de
de Sales par Bourdaloue. En voici l’analyse : Sujet. Dieu l’a fait
saint
par l’efficace de sa foi et de sa douceur. C’est
ève lorsqu’il en fut fait évêque ? l’hérésie y était dominante, et ce
saint
pasteur y convertit plus de soixante-dix mille hé
s du moyen âge, dont le repentir guerroyant se croisait pour la Terre
sainte
, afin de réparer par les armes, aux dépens des in
Qu’est-ce que le panégyrique chrétien ? 344. D’où se tire l’éloge des
saints
? 345. De quelle manière faut-il présenter l’élog
oge des saints ? 345. De quelle manière faut-il présenter l’éloge des
saints
? 346. Combien de formes diverses peut-on donner
era le premier monument de la prose officielle, comme le cantilène de
sainte
Eulalie est le premier symptôme de la poésie popu
ent des germes de civilisation naissante. En Italie, sous le frère de
saint
Louis, Charles d’Anjou, Naples va faire accueil à
ion normande, soit par le souvenir de Charlemagne, soit par la guerre
sainte
, comme la Chanson d’Antioche 1, se mêlent aussi,
figure de Louis IX, fondant la Sorbonne, faisant traduire les livres
saints
, ouvrant la première bibliothèque publique, organ
où brille le génie patriotique de l’homme d’état sous les vertus d’un
Saint
. xive siècle. — Les croisades avaient eu des
e en latin, de peur de gâter son style, qu’Érasme appelait Cicéron un
saint
, et qu’Alphonse d’Aragon, roi de Naples, fit la p
Né tendre et vif, mais encore innocent : Bref, digne oiseau d’une si
sainte
cage, Par son caquet digne d’être en couvent…
s enchanteurs Dès que sa voix frappait les auditeurs. Orné, rempli de
saintes
gentillesses Que lui dictaient les plus jeunes pr
monde édifié. Ainsi vivait dans ce nid délectable, En maître, en
saint
, en sage véritable, Père Ver-Vert, musqué, pincé,
Marcius ; accompagna de cérémonies sacrées, afin de rendre la milice
sainte
et religieuse. ! Après lui, Tarquin l’Ancien, pou
e du chrétien, et s’avouant heureux d’être appelé au ciel le vendredi
saint
. Toutes les institutions périssent ; la royauté
holicisme, puissance de mystères, de pompes, de famille, d’arts et de
saintes
mémoires. Vains spectacles du monde, qu’êtes-vous
ens, de ce de profundis de la mort, de ces antiennes de réjouissance,
sainte
expression de toute la vie de l’homme ? Je ne sui
Je ne suis jamais entré dans une vieille église, avec sa vierge, ses
saints
, ses vitraux qui reflètent en mille couleurs l’en
des races et de la liberté politique. Et ces cérémonies de la semaine
sainte
, qui ont fait tant réfléchir mon enfance ; cette
parlent tant nos vieux chroniqueurs ; ces rameaux parsemés ; ce jeudi
saint
avec ses autels de fleurs et ses croix voilées de
re parole fut une expression de joie d’être appelé à Dieu le vendredi
saint
. Il répondait aux sanglots de la reine par des pa
hair un dur cilice, une discipline aiguë. Ils s’écrièrent : « Il sera
saint
aux yeux de Dieu, et le Seigneur permettra des mi
isit le cercueil ; Puis venait un enfant qui, d’espace en espace, Aux
saintes
oraisons répondait à voix basse ; Car Louise étai
, la paix du cœur en furent les ciments. Dix siècles ont passé sur le
saint
édifice ; Donc, pour bien affermir la nouvelle bâ
avail 3 Au travail ! au travail ! qu’on entende partout Le bruit
saint
du travail, et d’un peuple debout. Que partout on
ige l’attention de ses auditeurs vers les beautés fécondes des livres
saints
, et il aime à former leur goût sur les chefs-d’œu
ment tous les genres de poésie trouvent leurs modèles dans les Livres
saints
: l’Ode, dans les chants de Moïse et de Débora ;
jamais l’occasion de faire ressortir les richesses littéraires de nos
saintes
Écritures et de nos grands auteurs chrétiens. Vot
e la terre. C’est ce qui a fait diviser l’histoire sacrée en histoire
sainte
et en histoire ecclésiastique. Histoire sainte.
e sacrée en histoire sainte et en histoire ecclésiastique. Histoire
sainte
. L’histoire sainte a été écrite par des hommes
ainte et en histoire ecclésiastique. Histoire sainte. L’histoire
sainte
a été écrite par des hommes inspirés de Dieu. Ell
a création du monde, jusqu’à la publication de l’Évangile, Les livres
saints
où sont consignés les événements antérieurs à la
i se sont vérifiées à la face du monde entier ; tout annonce dans les
saintes
Écritures que Dieu lui-même a, pour ainsi dire, e
ement le plus naturel. L’éloquence continue qui règne dans les livres
saints
, n’y doit rien aux ressources de l’art : elle est
le lecteur. C’est ce que n’a point fait un abréviateur de l’Histoire
sainte
, dans cet endroit, où il se borne à dire que Jose
de plusieurs psaumes et cantiques. Soutenue par la grandeur du texte
saint
, elle se montre par intervalles poète inspirée. M
lèges, Les immortels eux-mêmes en sont persécutés ; Et c’est aux plus
saints
lieux que leurs mains sacrilèges Font
ulut essayer de la donner à un autre sujet tiré de même de l’Écriture
sainte
, et de le traiter dans la forme et suivant les rè
poésie orientale, qu’il ne se soit pas davantage rapproché des livres
saints
, ce qui lui aurait permis de donner à certaines p
s bontés de son père ; Ma fille… Ce nom seul, dont les droits sont si
saints
. Sa jeunesse, mon sang, n’est pas ce que je plain
aits dévots, Aucune chose au monde et plus noble et plus belle Que la
sainte
ferveur d’un véritable zèle, Aussi ne vois-je rie
use impunément et se joue à leur gré De ce qu’ont les mortels de plus
saint
et sacré. Ces gens qui, par une âme à l’intérêt s
res écartés, Des favoris du ciel autrefois habités : Les lions et les
saints
ont eu même demeure. Là Malc priait, jeûnait, sou
moteur de nos desseins, Que ne peux-tu sur nous, si tu plais même aux
saints
? Il veut fonder un cloître, et destiné le reste
hagards, Engeance qui portait la mort dans ses regards. La cohorte du
saint
est d’abord dispersée : Équipages, trésors, jeune
fruit de tes desseins frivoles !… » Ramené par le malheur à de plus
saintes
idées et plein du souvenir de son ancien désert,
encourageaient chacun parleur exemple. Un du peuple étant mort, notre
saint
le contemple En forme de convoi soigneusement por
il et le travail des mains Me pouvaient rendre utile à des troupes de
saints
… » Il va donc trouver la bergère : « Ma sœur, s
us êtes exposée aux malices des hommes ; Je n’ai plus de mes bois les
saintes
voluptés. Ne reviendront-ils point, ces biens que
ire du monstre dont il ignore la présence, et subit le même sort. Les
saints
, sauvés par un prodige, quittent le ténébreux sou
ée Maronia. Là le couple pieux aussitôt se sépare ; De leur mensonge
saint
l’offense se répare : Leur hymen se dissout. La d
ses troupeaux. Bientôt entre leurs mains ils devinrent plus beaux. Le
saint
couple cherchait les lieux les plus sauvages, S’a
ins contentez-vous. Tandis que la bergère, en extase ravie, Priait le
Saint
des saints de veiller sur sa vie, Les ministres d
tez-vous. Tandis que la bergère, en extase ravie, Priait le Saint des
saints
de veiller sur sa vie, Les ministres divins veill
aube nourrit la terre de ses pleurs… » Tels étaient les pensers de la
sainte
héroïne. Pour Malc, il méditait sur la triple or
essant : Tu m’as donné pour aide au fort de la tourmente Une compagne
sainte
, il est vrai, mais charmante. Son exemple est pui
Heureux l’homme à qui la grâce Départ ce don efficace Puisé dans ces
saints
trésors, Et qui, rallumant sa flamme, Trouve la s
ments109 La mort aveugle et muette Ne sera point l’interprète De vos
saints
commandements. Mais ceux qui de sa menace, Comme
enchanteurs, Dès que sa voix frappait les auditeurs. Orné, rempli de
saintes
gentillesses Que lui dictaient les plus jeunes pr
ea Domino ; Deus meus, magnificatus es vehementer. Inspire-moi de
saints
cantiques, Mon âme, bénis le Seigneur. Quels conc
évot adorateur de ces maîtres antiques, Je veux m’envelopper de leurs
saintes
reliques ; Dans leur triomphe admis, je veux le p
t-on, ces pères des humains Dont le nom aux autels remplit nos fastes
saints
; Avoir amis, enfants, épouse belle et sage, Erre
gnorée du siècle de Louis XIV, qui connaissait seulement l’austère et
sainte
tristesse de l’éloquence religieuse197 ». Tout ce
ples cachés Renferment tous leurs vœux sur le ciel attachés ; Cloître
saint
, ouvre-moi tes modestes portiques ! Laisse-moi m’
e d’airain à l’accent monotone ; Ce temple où chaque aurore entend de
saints
concerts Sortir d’un long, silence et monter dans
e dis-je ? accablé de l’horreur de ses crimes, Souvent dans ces lieux
saints
l’oppresseur désarmé Venait demander grâce aux pi
8, Aimé de son troupeau, ne veut point d’autre titre, Et, des apôtres
saints
fidèle imitateur, A mérité comme eux ce doux nom
s et des flots, L’éternel mouvement et l’éternel repos. Avec quel
saint
transport tout ce peuple champêtre, Honorant ses
mple ; Il parlait, et les cœurs s’ouvraient tous à sa voix. Quand, du
saint
ministère ayant porté le poids, Il cherchait, ver
els si fiers d’un vain et mince éclat, Voyez en ce moment ce digne et
saint
prélat, Que son nom, son génie et son titre décor
en 1814 à l’Académie française. La jeune Fille malade. L’huile
sainte
a touché les pieds de la mourante,
ifix de bois Que la vierge chrétienne a saisi de ses doigts, Et l’eau
sainte
, et le buis à la sombre verdure, Du chevet des mo
se lève armé de feux plus éclatants : Le jour la voit encor devant la
sainte
image. Longtemps elle y gémit, elle y pria longte
une certaine décence dans l’expression et le respect pour les choses
saintes
, ce qui lui fit rencontrer indulgence chez le cle
bans errer sur les créneaux ? Du profane étendard qui chassa la croix
sainte
, Voyez-vous, sur les tours, flotter les crins mou
fumer l’encens, répond aux mots sacrés, Et présente le vin durant le
saint
mystère. Les rames de sa main s’échappent à la f
nvertir les cœurs par le glaive et les flammes, Dans le temple où tes
saints
prêchaient la vérité, Où de leur bouche d’or desc
J’espère un bien si grand ! Comment m’abaisser trop,
saint
homme, en l’implorant ? François de Paule. Que p
s, Et je vous comblerai d’honneurs et de présents. Tenez, de tous les
saints
je porte ici les restes ; Si j’obtiens ces… vingt
ecours à la contrainte. Je suis roi : sur mon front j’ai reçu l’huile
sainte
. Ah ! pardon ! mais aux rois, mais aux fronts cou
e le roi reste debout, les mains jointes. Pécheur, qui m’appelez à ce
saint
ministère, Parlez donc. Louis, après avoir dit
des larcins Vient cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voiles
saints
. Adieu, chapelle qui protège Le pauvre contre se
r s’arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de
saints
concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indif
énébreux recouvra son flambeau ! Heureux l’homme à qui Dieu donne une
sainte
mère ! En vain la vie est dure et la mort est amè
Dieu que la nature adore. Mais ce temple est sans voix. Où sont les
saints
concerts ? D’où s’élèvera l’hymne au roi de l’uni
respirer, ni faire un mouvement, Comme si du passé l’image tendre et
sainte
Devait au moindre bruit s’enfuir de cette enceint
tarabie ; Alicante aux clochers mêle les minarets ; Compostelle a son
saint
; Cordoue aux maisons vieilles À sa mosquée, où l
ut-être Que tel cœur inconnu qu’un village a vu naître, Qu’un cloître
saint
ensuite a du monde enlevé, Et qui pria vingt ans
rgueil, Mon âme, au premier coup, retentit indignée, Et dans la forêt
sainte
il se fit un grand deuil. Un murmure éclata sous
tombant des cieux ! Fier alors du péril, le poète partage La
sainte
gloire du guerrier, Et cueille, transporté de joi
on, L’Éternité seule jamais ne change ! « Comment, mon Dieu, dans la
sainte
cité, Peuvent-ils donc, ceux que ta grâce appelle
n esprit il avait hasardées, Tout doucement mènent au fond du bois Le
saint
rêveur perdu dans ses idées. « Que de ma chair j
’espérance illumine, De ses bontés rendant grâce au Seigneur, Vers le
saint
cloître en paix il s’achemine. En un instant tou
dans une ou deux pièces, où le son d’une cornemuse, la rencontre d’un
saint
breton à Rome, remuent sa fibre nationale. Les ad
la patrie, l’amour de la nature et de l’art, les meilleures, les plus
saintes
émotions de l’âme humaine ; de n’avoir jamais prê
ésespéré. Il dit dans Marie : « Aujourd’hui que mes pas négligent le
saint
lieu, Sans culte, et cependant plein de désirs ve
âme ? Cette nuit, quand les flots se dressaient contre nous, Par les
saints
de la mer nous avons juré tous, Si leur main nous
Et la peuplade entière autour d’eux se pressait ; Et devant tous les
saints
, devant toutes les vierges, Fumaient des encensoi
uen, à Caen et à Dieppe, en l’honneur de l’immaculée Conception de la
sainte
Vierge. Cette institution remontait au moyen âge.
erveilleuse dont l’esprit humain puisse se faire une idée. Les écrits
saints
ont un avantage bien marqué sur ce que nous offre
xtrêmes ne se rencontrent point dans la philosophie divine des livres
saints
: la morale y est ce qu’elle doit être, douce et
plus qu’à moi-même. » ……………………………………………………… » Un cœur juste, un cœur
saint
, voilà ce qu’il demande. » À l’un de ses côtés, l
bjection. C’est le mérite particulier de la philosophie de l’Écriture
sainte
: nous l’avons déjà dit, et nous allons continuer
loire qui inspire les autres poètes. Pénétré de la lecture des livres
saints
, enthousiasmé de tous les genres de beautés qui y
e des fossés, il pose des gardes, il a quelque chose de durable et de
saint
à garder. Un temple lui offre sous une image sens
suscitant en un même jour, ils ont donné aux vivants et aux morts une
sainte
et dernière apparition de la patrie1. (De la prop
de preuve d’attachement que celle dont votre lettre est la vivante et
sainte
expression ; et si je ne consultais que mon désir
mme une distraction élégante, mais en même temps j’enflammerais d’une
sainte
ardeur tous les jeunes courages impatients de lut
, et où vous êtes entièrement oublié ; puisque, s’il arrive que votre
saint
nom y soit proféré, c’est presque toujours pour y
ses contemporains. Il leur apprit le ton convenable à la gravité d’un
saint
ministère, et le soutint constamment dans ses nom
ement pénétré de l’esprit de l’évangile et de la substance des livres
saints
, il traite solidement un sujet, le dispose avec m
ètes : en vous humiliant par la pénitence, vous suivrez l’exemple des
saints
. S. Ambroise. (Date.) N° 28. — M. le comte de
anguir dans cette fatale ignorance, mais parle ; dis-moi pourquoi tes
saints
ossements, ensevelis dans la terre, ont déchiré l
r, à me faire frotter depuis la tête jusqu’aux pieds de l’huile de la
sainte
ampoule, et à faire des pèlerinages, par où je pr
l trop libre dans ses remontrances ? Quel est l’homme aujourd’hui, si
saint
, si haut placé qu’il fût, qui oserait, si Dieu de
igneur, Par lui du repentir les larmes sont comptées. Car de la pitié
sainte
il a reçu le don : C’est lui qui mène à Dieu les
punir ; c est là que chacun rendra un hommage volontaire ou forcé aux
saintes
lois de la justice. » A ces mots, un coup de lumi
mpagnon était déjà loin, et ne tarda point à se rendre dans la ville.
St
. Ephrem. N° 78 — La Discorde. L’archan
ortel. Debout dans cette enceinte, De la postérité l’image auguste et
sainte
Répétait ses accents dont le long souvenir Allait
débauche ; Jamais, le front huilé, la mort ne vous y fauche, Car les
saints
monuments ne restent dans ce lieu Que pour dire :
les collines bondiront et vous entendront avec joie. » L’étendard des
saints
, antique bannière des temps chevaleresques, ouvre
invisible et rêve ainsi que moi ! Ah ! si j’en, crois mon cœur et ta
sainte
influence, Astre ami du repos, des songes, du sil
eu du foyer s’allume, où Marthe file ; Marthe, meuble vivant de la
sainte
maison, Qui suivit dans le temps son vieux maître
alaire et pour l’honneur de Dieu, Surveillant à la fois la cure et le
saint
lieu, Et qui, voyant de Dieu l’image dans son maî
aient restés en dehors et ajouta : « Nous vous ordonnons au nom de la
sainte
obéissance de laisser les portes ouvertes, car il
s excommuniés ; il répondit : « Jusqu’à ce qu’ils aient satisfait aux
saints
canons, je ne les absoudrai pas. » Puis l’homme d
ernière prière : « Je recommande à Dieu, à la bienheureuse Marie, aux
saints
patrons de ce lieu et au bienheureux martyr saint
ue souffre pour Jésus-Christ aura part à la gloire du Dieu vivant. La
sainte
resta ainsi exposée aux bêtes, sans qu’aucune vou
court, il remplit son casque, et revient tristement s’acquitter d’un
saint
et pieux ministère. Il sent trembler sa main, tan
happait fugitive Et bientôt on ne passa plus. Ils frappent à la porte
sainte
; Car leur mère avait dit que Dieu n’oubliait pas
recette. « Combien, dans ton troupeau, comptes-tu de moutons, Dit le
Saint
au berger ? — Quarante. — Ont-ils des noms ? — No
ots sont si longs : Celui-là suffirait pour deux ou trois moutons. Le
Saint
très patient ; le berger très docile, Sortirent c
moutons, L’oraison fut apprise en quarante leçons. Six mois après, le
Saint
retrouve le berger ; Sur le Pater noster il veut
e l’étranger qui lui avait donné le sequin. « Par Mahomet et tous les
saints
, lui cria le paysan, je vous en conjure, dites-mo
un réduit, Mystérieux asile où l’espoir le conduit, Il voit des vases
saints
et des urnes pieuses, Des vierges, des martyrs dé
s arma David et dirigea Moïse, Dans les murs de Fierbois, au pied des
saints
autels, Cacha depuis longtemps aux regards des mo
verra dans son enceinte, Sur le front de ton roi, s’épancher l’huile
sainte
. » L’immortelle à ces mots remonte dans les airs
’ineffable beauté que donne la vertu, Et ton cœur te nourrit de cette
sainte
joie Qu’à ses plus chers élus le Roi des cieux en
ait d’une douceur inexprimable, et il se prenait à contempler dans de
saintes
délices la Vierge-Mère et le petit enfant. Puis,
t à travers le silence de la forêt vous n’eussiez plus entendu que ce
saint
dialogue de la prière et les pas des deux voyageu
uillage. Et quand deux fois déjà ils eurent parcouru les grains de la
sainte
couronne, ils arrivaient à la solitaire habitatio
main sur le front du jeune enfant ; puis elle prit le signe sacré, le
saint
rosaire suspendu à ses doigts d’albâtre : et auss
et serra sur son cœur la jeune fille. A quelque temps de là, une âme
sainte
vit deux formes lumineuses monter vers le ciel, e
tueux chevalier alla un jour outre-mer en Palestine, pour visiter les
saints
lieux, esquels Nostre-Seigneur avoit fait les œuv
rt sainct qui fait ce récit au premier de ses sermons de l’Ascension.
St
. François de Sales. N° 215.— Le Jugement de D
que je le prouverai à l’aide de Dieu, de Notre-Dame et de monseigneur
saint
Georges, le brave chevalier. — Il faut d’abord, d
, que cet étranger prouve qu’il est chevalier et de noble lignage. Le
saint
ordre du Temple ne permet pas à ses champions de
er l’ honneur que tu as perdu. Par ce reliquaire, templier, et par la
sainte
relique qu’il contient, si tu ne consens à me com
au Père, au Fils et au Saint-Esprit, et si elle tenait à la foi de la
sainte
Église. Elle répondit à toutes ces questions en l
urées tu t’es parjuré. Ainsi m’assistent Dieu, la bonne Vierge et les
Saints
! » Disant cela, elle le regardait en face et il
t disparu. Les hommes sont devenus trop méchants, et n’était la bonne
sainte
Vierge qui nous protège encore de son inépuisable
ve un petit oratoire ouvert, orné de peintures naïves représentant la
Sainte
Vierge Marie. Cette douce image, ainsi placée loi
e plus sur, on imagina d’y bâtir une chapelle et d’y mettre une image
sainte
, afin que personne n’oubliât, quels que fussent l
ant plusieurs qui s’y rendirent après avoir assisté à la messe. Et la
sainte
mère de Dieu, pour prouver à ces hommes pieux sa
voyageur, que la prudence vous inspire, que la bonne vierge et votre
saint
ange vous protègent, et tâchez d’être sans péché,
ui peut rendre fier, la science et le rang : vivantes leçons, modèles
saints
, glorieux anneaux destinés à transmettre aux sièc
t point les hommes et ne cherche que la justice ici-bas. Cependant le
saint
ermite soupirait après une retraite plus close ;
uriez du venir plus tôt, afin d’assister à ma messe pour conjurer les
saints
de vous être propices à votre dernière heure. Vou
plus grandes peines est celle de lui avoir déplu. E.V. N° 225. —
Sainte
Clotilde à Clovis. Elle exhorte son époux à se
mun des martyrs. Ne pensez donc pas qu’ils veuillent s’affranchir des
saints
devoirs de la pénitence et de la soumission. Loin
dans le sentier de la Loi divine, le Seigneur fera de vous un peuple
saint
, un peuple à part : il vous l’a juré, sa parole e
pour elle seule, le plus humain et le plus doux de tous les princes.
St
. Jean Chrysostome, Trad. par Maury. N° 232. —
onts de Messénie aux mers de l’Hellespont, Et cent mille héros, qu’un
saint
accord anime, S’arment en attestant notre mort un
de la noblesse, non-seulement parce qu’elle est empruntée aux livres
saints
, mais encore parce que Jésus-Christ est présent,
baissent la tête. « Retranchez ces quatre sortes de cette assemblée
sainte
, car ils en seront retranchés au grand jour. » P
oi, me disait un jour un critique, Massillon a-t-il mis ici assemblée
sainte
, puisqu’il parle à une assemblée de pécheurs ? L’
ne on aperçoit la tremblante lumière De la lampe qui brûle auprès des
saints
autels. Seule elle luit encor quand l’univers som
mesurés ; Du sanctuaire enfin j’ai franchi les degrés. Murs sacrés !
saints
autels ! je suis seul, et mon âme Peut verser dev
ectueux prodiguent les douceurs. Plus d’une apprit longtemps, dans un
saint
monastère, En invoquant le Ciel, à protéger la te
contredire les afflictions du cœur, leur rendit quelque chose de plus
saint
et de plus pur. Tout le secret du cœur d’une mère
: L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau
saint
charge toujours son prône. Le financier riant de
vrez-les, c’est le Combat spirituel, le Chrétien intérieur et l’Année
sainte
; d’autres livres sont sous la clef. S’il marche
rti, s’apaise et ne souille pas. Il entre une autre fois dans un lieu
saint
, perce la ; foule, choisit un endroit pour se rec
des forêts, celui qui partage la retraite de l’homme, obéissent à tes
saintes
lois ; tous sont sensibles aux soins dont ils son
ue plusieurs grandes et sublimes images, si fréquentes dans les lieux
saints
. Lecture. — La Mort de saint Louis. Vol. II, nº
i des méchants arrêter les complots, Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai point d’autr
acré, saisi d’une inspiration divine, prophétise l’avènement de notre
sainte
Église en se servant des expressions les plus ric
irent dans les psaumes, comme dans tous les livres émanés de l’Esprit
Saint
, et c’est là ce qui rendra toujours ce recueil si
voué à votre majesté, je ne puis consentir à vous laisser assister au
saint
sacrifice — … J’agirais ainsi si vous n’étiez cou
mort que d’une seule personne — … J’imite les prophètes ; imitez les
saints
, — Avis. Sous le voile d’une invitation paterne
itieuses et hypocrites, comme par exemple de se faire frotter d’huile
sainte
de la tête aux pieds, de faire croire qu’il avait
t le juge de la terre pourrait-il ne pas rendre justice. LE SEIGNEUR,
St
je trouve cinquante justes en Sorbonne, je pardon
. — L’Ange. Il est au ciel aux pieds de Jésus-Christ, à côté de la
sainte
Vierge, un ange…3 Il est toujours troublé et ne
relleurs jusqu’aux simples malins Au dire de chacun étaient de petits
saints
. L’âne vint à son tour, et dit : J’ai souvenance,
l répond qu’il ne le fera point jusqu’à ce qu’ils aient satisfait aux
saints
canons. (1) Puis, tombant à genoux, il recommande
commande son âme et la cause de l’église à Dieu, à la Ste-Vierge, aux
saints
patrons du lieu et à saint Denis. (1) Dénouement
Thomas avait cinquante-trois ans. — Notes. (1) A tous ces numéros le
saint
parlera. (2) Ne touchez pas à ce commencement d’a
même méthode que pour les canevas ordinaires. N° 149. — Martyre de
Sainte
Blandine Exposition. Il était temps que les g
donne une vie immortelle — … Clorinde sourit en entendant les paroles
saintes
— …. Dénouement. Soudain ses joues pâlissent, se
réussit à apprendre le pater — … Mais voilà qu’au bout de six mois le
saint
veut faire répéter sa leçon au berger — … Celui-c
’Allemagne, était à la chasse ; il rencontre un prêtre qui portait le
saint
viatique. Il descend de cheval et s’agenouille ;
que les premiers chrétiens enterraient leurs morts et célébraient les
saints
mystères de leur culte. Vastes labyrinthes de gal
t, je restai -incertaine, mais trois fois pendant la nuit je revis la
sainte
qui m’appelait. Alors je cédai, et je fis mes adi
ur — … Avis. Dans le nœud vous ne ferez pas la description des lieux
saints
, mais vous aurez soin de dire quels souvenirs de
l’autre, déclinèrent aux juges leurs noms de baptême, confessèrent la
sainte
Trinité et la sainte Eglise, et se répétèrent à l
aux juges leurs noms de baptême, confessèrent la sainte Trinité et la
sainte
Eglise, et se répétèrent à la face leur accusatio
démons — … Il était maudit — … On imagina d’y placer une image de la
sainte
Vierge — … Quelques ouvriers pieux se présentèren
. N° 225. — Saint Clotilde à Clovis Note. C’est aux prières de
sainte
Clotilde, que la France doit le bonheur d’être ch
son peuple. Le monarque avait résisté longtemps aux supplications de
sainte
Clotilde. Au moment de lui faire ses adieux, quel
avant la bataille de Tolbiac, qui devait décider du sort de l’empire,
sainte
Clotilde fait une tentative nouvelle pour toucher
N° 230. — Anthusa à saint Jean-Chrysostome Note. Anthusa, mère de
saint
Jean-Chrysostome, apprend que son fils se propose
rouvés ! Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée
sainte
, car ils en seront retranchés an grand jour ; par
? Pourquoi Massillon dit-il de son auditoire que c’est une assemblée
sainte
, puisqu’il parle à une assemblée de pécheurs ? At
re aperçoit-on la lumière tremblante de la lampe qui brûle auprès des
saints
autels. Elle luit seule quand l’univers sommeille
émit seul ; enfin, j’ai franchi les degrés du sanctuaire. Murs sacrés
saints
autels ! Je suis seul, et devant vous mon âme peu
ers le ciel et aspirer à Dieu. Lamartine a bien compris cette mission
sainte
de l’élégie : sa poésie est vraiment celle des cœ
s c’est du ciel que descend toute consolation ; c’est dans les Livres
saints
qu’il faut aller chercher la plus haute inspirati
ns philosophes), et vous verrez bien évidemment la supériorité de nos
saintes
maximes sur celles de la sagesse humaine. Envisag
reinte de la divinité même. Cependant cette religion si auguste et si
sainte
est aujourd’hui plus que jamais l’objet des décla
vers : C’est le sacré lien de la société, Le premier fondement de la
sainte
équité, Le frein du scélérat, l’espérance du just
la nécessité et la vérité de la révélation, l’authenticité des livres
saints
et l’accomplissement des prophéties qu’ils contie
’autel du Dieu qui juge et le héros et le panégyriste ! « La tribune
sainte
, dit M. de La Harpe, est pour l’éloquence un théâ
urs preuves, et appuyés partout du témoignage irréfragable des livres
saints
. Mais la marche nécessairement froide de la diale
ue cette sincère résignation qu’elle a eue aux ordres de Dieu, et les
saintes
humiliations de la pénitence ».
es passions par la morale. La prédication religieuse s’appuie sur les
saintes
Écritures, sur la doctrine des Pères et des conci
ont laissé beaucoup d’homélies. Le panégyrique sacré est l’éloge d’un
saint
; il a pour objet de célébrer les vertus des pieu
t, en s’appuyant sur la justice et sur la loi. C’est donc un noble et
saint
ministère que celui de l’homme qui tient dans sa
; inspire-moi Cette crainte vigilante Qui fait pratiquer ta loi. Loi
sainte
, loi désirable, Ta richesse est préférable A la r
e parler3. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre ; L’esprit
saint
me pénètre, il m’échauffe, il m’inspire Les grand
Odes sacrées, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des livres
saints
. Nous renvoyons, pour la citation des textes que
Jésus-Christ tout seul dans la pureté naturelle de ses vérités toutes
saintes
, que nous voyions encore régner dans l’Eglise cet
ndez pas de cette princesse des discours étudiés et magnifiques : une
sainte
simplicité fait ici toute la grandeur. Elle s’écr
r leur mort quand ils préparent leur confession, qui ne reçoivent les
saints
sacrements que par force, dignes certes de recevo
ec componction, l’eucharistie avec crainte et puis avec confiance, la
sainte
onction des mourants avec un pieux empressement.
de la cour ; ils passent les mers ; ils entrent dans l’église, où le
saint
célébrait l’office ; ils s’avancent vers lui, la
ble, aussi magnifique, aussi vraie que celle qu’en donnent les livres
saints
? Je suis celui qui est… Le Seigneur régnera dan
i des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai point d’autr
uleurs les plus vives, les plus fortes et les plus vraies. Les livres
saints
offrent presque à chaque page des exemples de ce
Dieu cite devant lui tous les peuples divers ; Et pour en séparer les
Saints
, son héritage, De sa religion vient consommer l’o
t, on y ajoute un e muet pour former le féminin : prudent, prudente ;
saint
, sainte ; méchant, méchante ; petit, petite ; gra
ajoute un e muet pour former le féminin : prudent, prudente ; saint,
sainte
; méchant, méchante ; petit, petite ; grand, gran
cinora atque flagitia sua ipsi quoque in supplicium verterant9. » Les
saintes
Écritures, et les saints Pères qui les expliquent
ipsi quoque in supplicium verterant9. » Les saintes Écritures, et les
saints
Pères qui les expliquent, sont partout de l’opini
omme le seul asile pour prévenir leur dernière oppression ; qu’une si
sainte
mission, étant approuvée du ciel et suivie des ac
xemple du grand Henri votre aïeul, que les avis des personnes doctes,
saintes
et pieuses ; que la voix du peuple, que tant de r
ête de Votre Majesté, si chère et si précieuse à ses peuples, l’huile
sainte
et descendue du ciel. En ce jour, sire, avant que
de mes yeux à terre, comme si c’eût été de l’eau qu’on eût répandue ;
Sainte
Marie, madame de La Fayette, mon retour dans cett
sa sœur, dont les vertus font éclater par toute l’Elise la gloire du
saint
monastère de Maubuisson196 ; et ces bienheureuses
grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
; heureux si, averti par ces cheveux blancs du co
! que rien n’altère cette paix et cette unité où Dieu habite ! Esprit
saint
, esprit pacifique, qui faites habiter les frères
ait lui-même. Pour eux, faute de la servir, ils périraient, selon les
saints
oracles273. Jetons les yeux sur l’Église, c’est-à
has274, aucun besoin, de tous ces secours, ayant pour consolation les
saints
livres gui sont dans nos mains. Et en effet, de q
oire que par une autre Rome sortie de ses cendres, qui, étant pure et
sainte
, est devenue à jamais le centre du royaume de Jés
sanctuaire de la paix, mêler un discours évangélique à une cérémonie
sainte
. La parole dont j’ai l’honneur d’être le ministre
ive que vos ennemis avaient tenu si longtemps levé sur la tête de vos
saints
s’est tourné enfin contre eux-mêmes. Lassés d’imm
vos saints s’est tourné enfin contre eux-mêmes. Lassés d’immoler ces
saintes
victimes, et leurs mains encore sanglantes, ils o
cteurs d’un culte profane et insensé, ces oppresseurs barbares de vos
saints
et de votre Église ? À peine en reste-t-il quelqu
la sainteté de leur vie et l’éminence de leurs vertus ? Non ; soyons
saints
, et nous serons respectés : honorons notre minist
le monde envie plus notre opulence qu’il ne l’honore : faisons-en un
saint
usage, il n’enviera plus nos richesses et il resp
un panier d’osier et le sang de Jésus-Christ dans un vase de terre. Ô
sainte
magnificence ! ô faste vraiment épiscopal et dign
core renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus
saintes
, aux plus inébranlables vérités. À cette lutte, q
n’ont pas mis en eux leur dernière ressource ; la foi seule est leur
saint
asile, leur inébranlable soutien. Elle les consol
eux, tous les traits éclatants De l’histoire profane et de l’histoire
sainte
. De tant d’enseignements l’impuissante langueur S
EUCTE. Mais dans le ciel déjà la palme est préparée. NÉARQUE. Par une
sainte
vie il faut la mériter. POLYEUCTE. Mes crimes en
ême a craint la mort. POLYEUCTE. Il s’est offert pourtant, suivons ce
saint
effort, Dressons-lui des autels sur des monceaux
frémis d’allégresse et de crainte ; Et vous, sous sa majesté
sainte
, Cieux, abaissez-vous616 ! UNE AUTRE.
le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple
saint
en foule, inondait les portiques619 ; Et tous, de
ous vient aujourd’hui ce noir pressentiment ? ABNER. Pensez-vous être
saint
et juste impunément ? Dès longtemps elle hait cet
evelie. Je l’observais hier, et je voyais ses yeux Lancer sur le lieu
saint
des regards furieux : Comme si, dans le fond de c
i des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai point d’autr
des soutiens de ce tremblant État628, Vous, nourri dans les camps du
saint
roi Josaphat, Qui sous son fils Joram commandiez
tables mains De merveilles sans nombre effrayer les humains ; L’arche
sainte
est muette, et ne rend plus d’oracles. JOAD. Et q
Que Dieu veut être aimé ; Qu’il venge tôt ou tard son
saint
nom blasphémé ; Qu’il est le défenseur de l’orphe
nt moi fermer toutes les portes. JOAD. N’y reste-t-il que vous et vos
saintes
cohortes ? AZARIAS. De ses parvis sacrés j’ai deu
qu’a dispersé la crainte : Et Dieu n’est plus servi que dans la tribu
sainte
. Depuis qu’à Pharaon ce peuple est échappé, Une é
n ton nom sur eux invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus
saint
de leurs rois663, En ce temple où tu fais ta deme
t du soleil égaler la durée. Mais d’où vient que mon cœur frémit d’un
saint
effroi664 ? s’ouvrent, Est-ce l’esprit divin qui
ment en un plomb vil l’or pur s’est-il changé ? Quel est dans le lieu
saint
ce pontife égorgé669 ? Pleure, Jérusalem, pleure,
x sources de larmes Pour pleurer ton malheur ? AZARIAS. Ô
saint
temple ! JOSABETH. Ô Da
s peuples à l’envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d’une
sainte
ferveur Sentira son âme embrasée !
flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus
saintes
lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux roi
on Dieu, punissez-moi si je vous abandonne ! JOAD. Venez : de l’huile
sainte
il faut vous consacrer. Paraissez, Josabeth : vou
e ! Toi qu’un amour si tendre assurait à ma flamme, Qu’as-tu fait des
saints
nœuds qui nous ont enchaînés ? ALZIRE. Ô jours !
onfiés au ministre du dieu, Vivaient de quelques dons offerts dans le
saint
lieu. Par des sentiers secrets fuyant l’aspect de
et de l’austérité de ses mœurs. Ce jeune prince, « tout simple, tout
saint
, tout plein de ses devoirs », n’en omettait aucun
pas comme chez les modernes, grâce aux lumières du christianisme, la
sainte
idée du respect qu’il faut également avoir pour l
e, elle reçut le simple titre d’ouvrage de poésie, tiré de l’Écriture
sainte
, propre à être récité et à être chanté. Ce fut la
ense de Racine, d’abord que le fait est ainsi raconté dans les livres
saints
; ensuite, qu’un homme dont l’esprit est en proie
B. Rousseau se sont aussi approprié cette magnifique image des livres
saints
; le premier, dans le chant V de la Henriade : V
l’intérêt de la pièce n’y a été omis. Quant aux imitations des livres
saints
, fort multipliées comme dans Esther, nous nous ab
alutem germinet ! 675. Circonstance conforme aux récits des livres
saints
et très-heureusement rapportée ici, en ce qu’elle
ensurées ! combien d’intentions droites mal expliquées, et combien de
saintes
actions empoisonnées ! L’oubli et l’abandon d
ésormais une vie plus tranquille, c’est-à-dire plus régulière et plus
sainte
. Je sens que mon corps s’affaiblit et tend vers s
s, qui partit, en 1097, pour aller délivrer les chrétiens de la terre
Sainte
, qui gémissaient sous l’oppression des infidèles.
commerce. Depuis rétablissement du christianisme, on l’a nommée Terre
Sainte
, à cause des mystères que le divin auteur de notr
dans l’Artois, sur le ruisseau de Souchets, au nord d’Arras. Louis (
Saint
), roi de France, et le neuvième de nom, de la tro
s de la mer Méditerranée, au sud-ouest de la Judée, aujourd’hui Terre
Sainte
. Phœbus. Quoique ce nom n’ait été donné à Apollo
oyez ce mot. Sennachérib, roi d’Assyrie. Nous lisons dans l’Écriture
sainte
que, vers l’an 710 avant J.-C., ce prince impie e
e que, vers l’an 710 avant J.-C., ce prince impie et blasphémateur du
saint
nom du vrai Dieu, étant entré, avec une armée for
e bergère, conduisant parmi les lis les blanches brebis de son Fils ;
sainte
Agnès, au nom si doux, qui fait entre ses bras un
nom si doux, qui fait entre ses bras un lit pour le céleste Agneau ;
sainte
Madeleine, visitée dans la Sainte-Baume par les a
t aux oiseaux et les faisant taire lorsqu’il récitait son bréviaire ;
sainte
Germaine marchant sur les flots, quand le torrent
sage admirable qu’il fait de l’Écriture : au lieu de citer les livres
saints
en fastidieux érudit, il s’en sert en orateur ple
l’homme la conduite de la providence. « Nous lisons dans l’histoire
sainte
que le roi de Samarie ayant voulu bâtir une place
du chêne antique que hantaient jadis les fées, qui ne méprise pas le
saint
du lieu et le miracle d’hier qu’on en raconte ! C
eurs ; les principales, en le descendant à la fosse, lui ont donné de
saints
baisers, et toutes ont chanté jusqu’à la fin la p
ême, en lui laissant la conscience de cette élévation. C’est dans nos
saintes
Écritures que les pensées sublimes se rencontrent
parlant de Jupiter : Annuit, et tolum nutu tremefecit Olympum. Nos
saintes
Écritures sont pleines d’images plus sublimes enc
odèle de style simple l’histoire de Joseph et celle de Tobie dans nos
saintes
Écritures, les Satires et les Épîtres d’Horace, l
s à l’envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d’une
sainte
ferveur Sentira son âme embrasée !
vanté. (Racine.) Les métaphores sont très souvent employées dans les
saintes
Écritures, et les tropes les plus hardis se prése
nce des ennemis de votre maison ! Ô Éternel, veillez sur elle ! Anges
saints
, rangez alentour vos escadrons invisibles, et fai
am. Faut-il que je me jette à vos sacrés genoux ? Au nom du lieu si
saint
qui n’est ouvert qu’à vous, Lieu terrible où de D
i des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai point d’autr
e la vertu. Mais puisque Dieu lui-même a daigné s’en servir, dans les
saintes
Écritures pour graver dans l’esprit des hommes l’
gine de la poésie est si vénérable et que sa première destination est
sainte
et sacrée, objet de la poésie doit être toujours
le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple
saint
en foule inondait les portiques ; Et tous, devant
brer les perfections et les œuvres de Dieu, la gloire et la vertu des
saints
. Pour avoir une juste idée de la poésie religieus
faut passer chez les Hébreux et chercher nos modèles dans les livres
saints
. C’est en effet chez eux que nous trouvons une vé
e grand fléau de notre société. 539. Tout le monde connaît ce que les
saints
Pères et nos orateurs sacrés ont pensé des œuvres
du genre pastoral, l’histoire de Ruth, qui forme un des livres de nos
saintes
Écritures. (Voir le nº xix.) Chapitre troisièm
trace de tes pas ; ils t’appelleront la Cité du Seigneur, la Sion du
saint
d’Israël. Parce que tu as été abandonnée et en bu
une chapelle ; l’archevêque d’Arles et les évêques de Beauvais et de
Saintes
, tous les deux du nom de La Rochefoucauld, et la
ard de plus de quatre-vingts ans, dont la vie avait été exemplaire et
sainte
. Les mains croisées sur la poitrine et levant les
était à genoux devant un autel, ils vinrent l’y prendre. L’évêque de
Saintes
fut appelé ; il ne venait point. Messieurs, dit-i
lais de montagne en montagne Conduire nos troupeaux, ou, cherchant le
saint
lieu, Chanter devant l’autel les louanges de Dieu
me confiant en la main qui délivre, Je me faisais relire aux pages du
saint
livre L’histoire du berger que protégeait le ciel
pelle en sa fidèle enceinte, « Et le front de ton roi demande l’huile
sainte
. » La vision céleste à ces mots s’envola ; Mais d
EUCTE. Mais dans le ciel déjà la palme est préparée. NÉARQUE. Par une
sainte
vie il faut la mériter. POLYEUCTE. Mes crimes en
oit trouver un successeur eu moi. « Mais puis-je réclamer ce noble et
saint
usage ? « Je crains que mes vieux ans n’effarouch
ses pieds. « Je vous donne à jamais « Et ma main et ma foi ; le plus
saint
hyménée « Aujourd’hui va m’unir à votre destinée.
de sa mère. Tous trois à l’Éternel adressent leur prière, Et le plus
saint
des nœuds en ce jour les unit. Juda s’en glorifie
Jésus-Christ tout seul dans la pureté naturelle de ses vérités toutes
saintes
, que nous voyions encore régner dans l’Église cet
ines pensées par la bouche de son prophète Ézéchiel : « Assur, dit ce
saint
prophète, s’est élevé comme un grand arbre, comme
la vîmes séchée ; et ces fortes expressions par lesquelles l’Écriture
sainte
exagère l’inconstance des choses humaines devaien
grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
: heureux si, averti par ces cheveux blancs du co
5. Je prie Dieu sans relâche qu’il donne à Votre Majesté et à lui ses
saintes
bénédictions, et qu’il conserve votre santé dans
xécution des desseins des hommes. Il faut adorer en tout ses volontés
saintes
, et apprendre à le servir pour l’amour de lui-mêm
Les regrets de l’absence À Madame de Grignan Livry, mardi
saint
, 24 mars 1671. Voici une terrible causerie, ma c
ville, et conclut qu’il fallait que la religion chrétienne fût toute
sainte
et toute miraculeuse de subsister ainsi par elle-
Vérité de la Religion ; lisez l’Abbadie 2, bien différent de ce grand
saint
, mais très-digne de lui être comparé, quand il pa
lique à Joinville les causes et les effets de son expédition en Terre
Sainte
. Lecture. — Louis IX à Joinville. Vol. II, nº 15
gnages. L’orateur sacré peut puiser ces lieux communs dans l’Écriture
sainte
, dans les Pères de l’Église, dans l’Histoire Eccl
is du même lait, l’amitié, contrat sacré qui nous lie pour la vie, la
sainte
indignation dont notre cœur est saisi à la vue d’
c’est la passion calme et pure comme la raison : nos devoirs les plus
saints
deviennent nos voluptés les plus douces, et tout
foi de tes oracles, Ravirait aux mortels le plus cher de tes dons. Le
saint
que tu promets et que nous attendons ? Non, non,
Mais peut-on introduire, dans un sujet chrétien, Dieu, les anges, les
saints
, les démons ? Boileau ne pense pas que le christi
iennent ensuite ces innombrables phalanges d’esprits angéliques et de
saints
, tous couronnés de gloire dans le ciel, et dispos
par leurs vertus, à l’enfer par leurs vices ; aimés des anges et des
saints
, haïs des démons. Certes, ces ressorts sont grand
e, chère au ciel, l’histoire de Joseph et de ses frères. Le chœur des
saints
Rois, David à leur tête, le glorieux collége des
y fait rencontrer en même temps Jésus-Christ et Bacchus, Vénus et la
sainte
Vierge. Vasco de Gama, essuyant une tempête, adre
dans un quartier lointain et désert. Cependant le pape, revêtu de ses
saints
ornements, debout à l’autel, célébrait la messe d
ivrance augustes monuments ; Et d’un nouveau David la valeur noble et
sainte
Semblait dans leur enceinte D’un royaum
oment trempée, Et de l’autre à nos yeux montrant avec fierté De notre
sainte
foi le signe redouté, Criant à haute voix : « Fra
Seigneur, j’entrerai dans votre maison et je vous adorerai dans votre
saint
temple. » Et son âme s’envola dans le saint templ
vous adorerai dans votre saint temple. » Et son âme s’envola dans le
saint
temple qu’il ôtait digne d’habiter. Chateaubria
vres, qu’il soulageait lui-même ! Et cependant à toutes ces vertus de
saint
, il savait unir la plus téméraire bravoure ; c’ét
mple ; Il parlait, et les cœurs s’ouvraient tous à sa voix. Quand, du
saint
ministère ayant porté le poids, Il cherchait vers
travaux : il le vit peindre d’abord un grand tableau représentant la
sainte
Cène pour le maître-autel de l’église de Saint-Ge
t De cette douleur infinie ; Où, déchiré d’un coup, le rideau du
saint
lieu, Que d’invisibles mains tirèrent, Des c
lampes sans nombre, De la maison céleste, allume nuit et jour L’huile
sainte
de vie et d’éternel amour ? Crierons-nous à Tarqu
se rabaisse ? Faut-il oublier, avant tout, Que la Liberté
sainte
est la seule déesse Que l’on n’adore q
Fleurs, naissez sous ses pas. Ô ciel, ô
saintes
destinées, Qui prenez soin de ses jours fl
premier nuage Que colore le jour ! Signal de la prière, Elle part du
saint
lieu, Appelant la première L’enfant de la chaumiè
e fois j’errai dans tes belles retraites, Auteuil ! lieu favori, lieu
saint
pour les poètes ! Que de rivaux de gloire unis so
e ciel ou l’horizon de la vallée, et redescendre à pas lents, dans la
sainte
et délicieuse contemplation de la nature et de so
. Pour qui encore ? car elle répond deux fois. Pour toutes les choses
saintes
de la terre, pour la naissance, pour la mort, pou
déclin du jour. Céleste horloge, je sonnerai l’Angélus et les heures
saintes
où Dieu veut être loué. À mes tintements, les âme
les âmes pieuses prononceront le nom de Jésus, de Marie ou de quelque
saint
bien-aimé ; leurs regards monteront au ciel, ou,
rgueil, Mon âme, au premier coup, retentit indignée, Et dans la forêt
sainte
il se fit un grand deuil. Un murmure éclata sous
e. Air pur, voile céleste étendu sur la terre, Voûte immense,
sainte
lumière, Mon cri de désespoir vous salue !… Et ma
jà se l’imagine Qui m’amène Octavie, et d’un œil enflammé Atteste les
saints
droits d’un nœud qu’elle a formé, Et, portant à m
eucte. Mais dans le ciel déjà la palme est préparée. Néarque. Par une
sainte
vie il faut la mériter. Polyeucte. Mes crimes, en
me a craint la mort. Polyeucte. Il s’est offert pourtant : suivons ce
saint
effort. Corneille. La Provocation LE COMT
ne sais quoi de céleste. Elle crut, c’est elle-même qui le raconte au
saint
abbé : écoutez, et prenez garde surtout de n’écou
caché sous les voiles eucharistiques : livrez-le-moi sur cette table
sainte
: c’est moi qui vais le crucifier de nouveau : c’
s ; L’une fait tort à l’autre, et monsieur le curé De quelque nouveau
saint
charge toujours son prône. » Le financier, riant
i j’ai quitté. Et lorsque dans ses yeux une dernière flamme Révèle un
saint
espoir, né d’une ardente foi, Je recommande à Die
rès humble et très obéissant serviteur. Joubert. L’Amitié de deux
saints
Saint Basile et saint Grégoire de Nazianze ét
es, mères, frères, sœurs, aïeuls de côté et d’autre, étaient tous des
saints
, et la plupart des saints fort illustres. Le natu
aïeuls de côté et d’autre, étaient tous des saints, et la plupart des
saints
fort illustres. Le naturel heureux que Dieu leur
maîtres. Enfin ils se rejoignirent à Athènes, où ils se lièrent d’une
sainte
amitié. Cette liaison se fortifia toujours de plu
me des maladies contagieuses qui se communiquent aisément. » Ces deux
saints
, et l’on ne peut trop le répéter aux jeunes gens,
rions absolument. » Rollin. La Jeune fille mourante L’huile
sainte
a touché les pieds de la mourante,
fix de bois Que la vierge chrétienne a saisi de ses doigts : Et l’eau
sainte
, et le buis à la sombre verdure, Du chevet des mo
se lève armé de feux plus éclatants, Le jour la voit encore devant la
sainte
image. Longtemps elle gémit ; elle pria longtemps
ns dans ton hameau ne t’ont point rapporté 1 Ils ne t’ont point nommé
saint
de leur confrérie ! Les rimeurs se sont tus ! l’o
dans le sentier de la loi divine, le Seigneur fera de vous un peuple
saint
, un peuple à part : il vous l’a juré, et sa parol
ner le prix, en vous réservant une portion de l’héritage promis à ses
saints
». Plaignons, et plaignons bien sincèrement ceux
cieux ne sont ni moins fréquentes, ni moins heureuses dans les livres
saints
. L’image de l’homme vertueux et l’heureuse influe
des Sous l’ombrage de leurs berceaux. 135Mais que dis-je ? ta vigne
sainte
N’est plus qu’un stérile désert, Qu’un verger aux
e ciel leur envoie ; Et tant que luira le soleil, L’homme plein d’une
sainte
joie Le bénira dès son réveil. 144Son trône dev
ctobre 1830. Dieu vous l’avait donnée, Dieu vous l’a ôtée2 : que son
saint
nom soit béni ! Hélas ! que je sens bien votre pe
issement que nous trouverions dans la vie, si nous savions, comme les
saints
, nous reposer en Dieu ! Ils vont à lui comme les
orment, ils prient, ils pleurent, ils demeurent. Dieu est le lieu des
saints
; mais nous, terrestres, nous ne connaissons que
eilleux, mais moins encor que toi ! Mon âme en t’admirant frémit d’un
saint
effroi ! Ah ! qui peut exprimer tes grandeurs imm
s qu’ayant des yeux je traversai les flots ; Car jadis, abordant à la
sainte
Délos, Je vis près d’Apollon, à son autel de pier
sont levés pour honorer sa vie. Eh bien ! qu’à leur exemple, ému d’un
saint
transport, Le peuple, devant lui, se lève après s
ouver : que tes traits, que ton âge, De sa mère à ses yeux offrent la
sainte
image ! Tiens, prends cette corbeille et nos frui
acinora atque flagitia sua ipsi quoque in supplicium verterant. » Les
saintes
Écritures, et les saints Pères qui les expliquent
ipsi quoque in supplicium verterant. » Les saintes Écritures, et les
saints
Pères qui les expliquent, sont partout de l’opini
i Qui marchait revêtu de housses violettes, Turpin disait, tenant les
saintes
amulettes : « Sire, on voit dans le ciel des nua
e feu : Suspendez votre marche, il ne faut tenter Dieu ; Par monsieur
saint
Denis, certes ce sont des âmes Qui passent dans l
de Dante « Lorsque Virgile et moi nous gravissions les pentes Du
saint
mont qui guérit les âmes pénitentes, Et quand nou
omme le seul asile pour prévenir leur dernière oppression ; qu’une si
sainte
mission, étant approuvée du ciel et suivie des ac
C’est au prix de son sang que la postérité Doit recueillir un jour la
sainte
liberté. Cela suffit. Qu’importe où sa cendre rep
Sous mille préjugés dans la honte abattue, Refaire un piédestal à la
sainte
statue, Et sur son front levé rendre à l’humanité
pas un cœur où reposer le sien, Une âme où dans ses maux, comme en un
saint
, asile, Il puisse fuir la sienne et se rasseoir t
vers la mitraille, Et sous le sabre détesté, La grande populace et la
sainte
canaille. Se ruaient à l’immortalité ? Tandis que
nt le monde entier est jaloux, Que les peuples émus appellent tous la
sainte
, Et qu’ils ne nomment qu’à genoux, Paris n’est ma
ume ; Le ciel brille d’éclairs, s’entr’ouvre, et parmi nous Jette une
sainte
horreur qui nous rassure tous. Le soldat étonné d
ésarmé j’encensais les autels. Vers les derniers parvis de la demeure
sainte
Je m’avance… un jeune homme en occupait l’enceint
me, une ombre… et c’est mon frère ! Triste dépouille, ô dieux !… Urne
sainte
, ouvre-toi ! Oui, place pour la sœur !… Oreste, r
arrive, Essayez-en. LOUIS. Oui, traître, oui, le
saint
que j’attends Peut réparer d’un mot les ravages d
Sans intérêt. Ma souffrance est extrême, J’en conviens ; mais le
saint
peut me guérir demain. C’est donc par amitié que
J’espère un bien si grand ! Comment m’abaisser trop,
saint
homme, en l’implorant ? FRANÇOIS DE PAULE. Que pu
s, Et je vous comblerai d’honneurs et de présents. Tenez, de tous les
saints
je porte ici les restes ! Si j’obtiens ces… vingt
ecours à la contrainte. Je suis roi : sur mon front j’ai reçu l’huile
sainte
… Ah ! pardon ! mais aux rois, mais aux fronts cou
ue le roi reste debout les mains jointes. Pécheur, qui m’appelez à ce
saint
ministère, Parlez donc. LOUIS, après avoir dit me
’avez retenue. De tous les souverains blessant la majesté, Malgré les
saintes
lois de l’hospitalité, Malgré le droit des gens e
rs doux ; Cœurs sensibles et bons, je m’en rapporte à vous ! C’est la
sainte
équité, c’est la philanthropie Qui m’ont seules a
rcis, ah ! c’est ici seulement qu’il fallait faire retentir la parole
sainte
dans toute la force de son tonnerre, et placer av
éprouvés. Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée
sainte
: car ils en seront retranchés au grand jour : pa
ée et d’Élide ; Allons voir au théâtre, aux accents d’Euripide, D’une
sainte
folie un peuple furieux Chanter : Amour, tyran de
le qu’il faut mettre la première. Pascal. Du style des Livres
saints
Jusque dans le langage de l’Écriture, son ins
nocent, tout y est sublime et touchant : cette fidélité de l’histoire
sainte
donne du respect ; tous les chants convenables au
ville, et conclut qu’il fallait que la religion chrétienne fût toute
sainte
et toute miraculeuse de subsister ainsi par elle-
a Vérité de la Religion ; lisez l’Abbadie, bien différent de ce grand
saint
, mais très-digne de lui être comparé, quand il pa
our résoudre toutes les questions qui peuvent s’élever sur l’Écriture
sainte
, il faudrait savoir à fond les langues orientales
une bonne œuvre aussi que la beauté ; Les grâces, les atours sont de
saintes
ressources : On se laisse attirer vers l’astre ra
ient et dans la Grèce. Il réunit en lui tout ce qu’il y a de vrai, de
saint
et de sage dans le théisme de l’Orient, dans l’hé
la religion se sous-divise en deux espèces, dont l’une est l’Histoire
sainte
, écrite par des hommes inspirés ; l’autre, l’Hist
rite par des hommes aidés de la seule lumière naturelle49. L’Histoire
sainte
comprend tous les siècles qui se sont écoulés dep
a création du monde jusqu’à la publication de l’Évangile ; les livres
saints
où sont consignés les événements antérieurs à la
ns toute sa grandeur et dans toute sa noblesse, c’est dans les livres
saints
qu’il faut l’envisager. L’auteur, dépouillé de to
la magnificence des morceaux où le poète rend les beautés des livres
saints
. Le commencement en est, en particulier, si remar
modernes. Peut-on, dans un sujet chrétien, introduire les anges, les
saints
et les démons ? Il y a des critiques qui ne le pe
fait rencontrer, en même temps, Jésus-Christ et Bacchus, Vénus et la
sainte
Vierge. Son héros, essuyant une tempête, adresse
, qui, élu général des croisés, vient mettre le siège devant la ville
sainte
. Le Tasse fait paraître plusieurs grands personna
e redevenir à l’aspect du malheur, tout à coup animés par une volonté
sainte
et terrible ! Ni les blessures ni le sang même ne
les collines bondiront et vous entendront avec joie. » L’étendard des
saints
, antique bannière des temps chevaleresques, ouvre
Constance lui-même ôte sa couronne de laurier et s’incline. La troupe
sainte
se relève, et, sans jeter ses javelots, elle marc
qu’un flocon de neige aux rameaux d’un pin du Ménale ou du Lycée. Les
saintes
martyres, Eulalie, Félicité, Perpétue, descendent
es120. Sur ce, je prie Dieu, monsieur mon frère, qu’il vous ait en sa
sainte
et digne garde, etc. Retour de l’île d’Elbe (
rer des prodiges sans le secours de la matière. Maintenant, je suis à
Sainte
Hélène… maintenant que je suis seul et cloué sur
s seigneuries, et aussi celui de ces gages sacrés que m’a laissés une
sainte
maintenant au ciel… (à ces mots il s’arrêta, fond
e dévouement à l’égoïsme ; on célèbre les sacrifices de la vertu, les
saintes
douleurs qui accompagnent l’accomplissement du de
tême, orna somptueusement d’or et de pierres précieuses les corps des
saints
martyrs, que les Romains avaient brûlés par le fe
re propre main ; mais nous essuyâmes nos larmes et nous dîmes avec le
saint
homme Job : Le Seigneur me les a donnés, le Seign
euses du siècle, ils l’exposèrent couché dans son lit sur la tombe du
saint
et firent un vœu solennel pour le rétablissement
y ait pour nous, qui sommes des êtres raisonnables, quelque chose de
saint
, de sacré, d’obligatoire, c’est nier l’une de ces
devait songer qu’à paraître devant Dieu. Elle chercha dans la Vie des
Saints
, que ses filles avaient coutume de lui lire tous
ombre et religieux, Ses pâles habitants, leur rigide abstinence, Leur
saint
recueillement, leur éternel silence, Et, la bêche
éduit, Mystérieux asile où l’espoir le conduit330 ; Il voit des vases
saints
et des urnes pieuses, Des vierges, des martyrs, d
eilleux, mais moins encor que toi ! Mon âme en t’admirant frémit d’un
saint
effroi. Ah ! qui peut exprimer tes grandeurs immo
r L’harmonieux soupir de l’éternel amour, Les accents du bonheur, les
saints
concerts des anges Qui, dans le sein de Dieu, cél
; Dans ses sacrés tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les plus
saints
troublant le froid repos, J’ai pesé dans mes main
on descendra dans l’ombre de ton âme ; Peut-être que ton cœur, ému de
saints
transports, S’apaisera soi-même à tes propres acc
ante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois
saint
, don d’une main mourante, Image de mon Dieu ! Qu
remblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir ! Les
saints
flambeaux jetaient une dernière flamme : Le prêtr
bans errer sur les créneaux ? Du profane étendard qui chassa la croix
sainte
Voyez-vous, sur les tours, flotter les crins mouv
t fumer l’encens, répond aux mots sacrés Et présente le vin durant le
saint
mystère415. Les rames de sa main s’échappent à l
nvertir les cœurs par le glaive et les flammes, Dans le temple où tes
saints
prêchaient la vérité, Où de leur bouche d’or desc
oi qu’il arrive, Essayez-en. LOUIS. Essayez-en.Oui, traître, oui, le
saint
que j’attends Peut réparer d’un mot les ravages d
vous,Sans intérêt. Ma souffrance est extrême, J’en conviens ; mais le
saint
peut me guérir demain. C’est donc par amitié que
ce, relevez-vous.J’espère un bien si grand ! Comment m’abaisser trop,
saint
homme, en l’implorant ? FRANÇOIS DE PAULE. Que pu
s, Et je vous comblerai d’honneurs et de présents. Tenez, de tous les
saints
je porte ici les restes ! Si j’obtiens ces… vingt
ecours à la contrainte. Je suis roi : sur mon front j’ai reçu l’huile
sainte
… Ah ! pardon ! mais aux rois, mais aux fronts cou
e le roi reste debout les mains jointes. Pécheur, qui m’appelez à ce
saint
ministère, Parlez donc. LOUIS, après avoir dit me
anité447. Pour ceux que les vices consument, Les enfants veillent au
saint
lieu ; Ce sont des fleurs qui le parfument, Ce so
’ose Au Seigneur, au Très-Haut, manque-t-il quelque chose ? Il est le
Saint
des saints, il est le Roi des rois ! Il se fait d
igneur, au Très-Haut, manque-t-il quelque chose ? Il est le Saint des
saints
, il est le Roi des rois ! Il se fait des soleils
pes sans nombre De la maison céleste, allume nuit et jour463 L’huile
sainte
de vie et d’éternel amour ? Crierons-nous à Tarqu
patriotiques espérances, s’écriait : Ô jour ! jour triomphant ! jour
saint
! jour immortel ! Jour le plus beau qu’ait fait l
drap d’or s’était levé et « l’on découvrit les ossements et les corps
saints
dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur
comparer de beaux vers de M. de Lamartine dans la pièce de la Semaine
sainte
à la Roche-Guyon (Médit. poét.). Ici viennent mo
chœur d’Esther, act. I, sc. 2. 417. C’est-à-dire des paroles de tes
saints
. Le poète fait allusion au voyage de saint Paul à
son âme, il fit ôter ce mot de l’âme, disant que c’était assez que le
saint
lui fit recouvrer la santé du corps sans l’import
jamais l’occasion de faire ressortir les richesses littéraires de nos
saintes
Écritures et de nos grands auteurs chrétiens. Vot
eu le bon esprit d’initier ses élèves aux beautés incomparables de la
sainte
Écriture, de leur développer les règles et de pla
Et la lumière est un don de ses mains ; Mais sa loi
sainte
, sa loi pure, Est le plus riche don qu’il ait fai
orateur de la chaire puise une partie de son autorité dans les Livres
saints
et dans les Pères de l’Église ; l’orateur du barr
l’épopée le Dieu des chrétiens avec sa majesté terrible et douce, la
sainte
Vierge, les anges, les saints, et ces intelligenc
s avec sa majesté terrible et douce, la sainte Vierge, les anges, les
saints
, et ces intelligences déchues, que leur désobéiss
mal, mais qu’il ne trouve jamais. Autrefois l’imagination faisait des
saints
pour les légendes ; aujourd’hui elle fait des dém
les légendes ; aujourd’hui elle fait des démons pour les romans. Mais
saints
ou démons, elle prend toujours ses modèles hors d
onte jusqu’à l’antiquité la plus reculée. Nous voyons dans les livres
saints
qu’il fut en honneur chez les Hébreux., et par co
é les pas chancelants hors de ta cabane, pour célébrer le soir par de
saintes
prières, et tu te seras endormi en priant. Tu aur
, S’échauffe par degrés, prépare ce moment, Où saisi tout à coup d’un
saint
frémissement, Sur des ailes de feu l’esprit vole
u’un possédé que le prêtre exorcise, Fêter dans ses serments tous les
saints
de l’église. Voyez encore avec quelle force de r
te parler. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre ; L’Esprit
saint
me pénètre ; il m’échauffe, et m’inspire Les gran
t si touchante que fait le même poète dans l’Ode tirée du Cantique du
saint
roi Ézéchias 306 qui le composa, après avoir été
célébrer la mémoire ! De nos aïeux sacré berceau
Sainte
Jérusalem312, si jamais je t’oublie ;
te loi ? Joas. Que Dieu veut être aimé ; Qu’il venge tôt ou tard son
saint
nom blasphémé ; Qu’il est le défenseur de l’orphe
stres, par les instructions et les conseils paternels, par les livres
saints
lus avec recueillement, par les merveilles de la
parfaite ; car il n’y a pas là un mot qui ne soit pas dans les livres
saints
. Mais ces quatre vers, comme ceux que l’auteur me
le qu’il veuille faire pitié à ceux à qui il faisait encore peur. Les
saintes
Écritures et les saints Pères qui les expliquent
tié à ceux à qui il faisait encore peur. Les saintes Écritures et les
saints
Pères qui les expliquent sont partout de l’opinio
Premiers-nés des Egyptiens. Nous lisons dans l’Ecriture
sainte
que, vers l’an 1489 avant J. C., Pharaon, roi d’E
on. De tous les écrivains anciens ou modernes, les auteurs des livres
saints
sont ceux qui nous offrent le plus d’exemples du
féconde ; et nous renvoyons à l’article de l’Éloquence de l’Écriture
sainte
, ce que nous avons à dire à ce sujet. Après les é
: L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau
saint
charge toujours son prône. » Le financier, riant
lleurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de chacun étaient de petits
saints
. L’âne vint à son tour, et dit : « J’ai souvenanc
tiques, sans songer aux effusions lyriques qui remplissent l’Écriture
sainte
, et qui s’épanchaient dans l’éloquence de Bossuet
piété eût craint d’introduire la critique littéraire dans les livres
saints
. Avec la hardiesse du génie, Bossuet a défini com
et la fondation de Rome, d’exploits héroïques comme la délivrance des
saints
lieux ; on l’a vu, chantre inspiré, raconter dign
ouvoir quand il expose, démontre et défend les grandes vérités et les
saintes
lois de la morale et de la religion, il n’oublie
’exemple du sacrifice d’Abraham. N’êtes-vous pas ici sur la montagne
sainte
Où le père des Juifs sur son fils innocent Leva s
où l’idée du beau domine dans son expression la plus pure et la plus
sainte
, présente les plus grands modèles d’exordes pathé
grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
; heureux si, averti par ces cheveux blancs du co
plus d’enthousiasme, les beautés des Pères de l’Église et des Livres
saints
. Il n’a pas non plus oublié Bossuet. (Livre IV, c
nce des ennemis de votre maison ! O Éternel, veillez sur elle ! anges
saints
, rangez à l’entour vos escadrons invisibles, et f
inutiles. Je me trompe, nous avons encore des prières : nous avons ce
saint
sacrifice, rafraîchissement de nos peines, expiat
e fait aller mon discours jusqu’à elle, que j’ai moi-même entendu ces
saintes
réponses. » (Oraison funèbre de M. Le Tellier.)
arence, et les philosophes soumirent leur raison orgueilleuse à cette
sainte
folie ; elle n’annonçait que des croix et des sou
vous servir, appelée à la société immortelle de votre Fils et de vos
Saints
, enrichie de vos dons, et par eux capable de fair
vait proscrit toute liberté jusqu’à la ravir aux consciences les plus
saintes
et les plus orthodoxes101. Ce gémissement, plus f
’Histoire universelle, et cette sublime Politique tirée de l’Écriture
Sainte
, qui est l’instruction des rois. M. de Meaux sava
euilles et des abeilles, y lisant avec passion Robinson et la Vie des
Saints
. Il cherchait en imagination son île ; « mais, aj
vorer en silence tes petites seccatures 336, et te faire aimer de tes
saintes
geôlières. Ce monde-ci, ma chère Adèle, est une g
e redevenir à l’aspect du malheur, tout à coup animés par une volonté
sainte
et terrible ! Ni les blessures ni le sang même ne
, et des mains françaises ont brisé le cercueil de Du Guesclin, arche
sainte
devant qui tombaient les remparts ennemis. Analys
s seigneuries, et aussi celui de ces gages sacrés que m’a laissés une
sainte
maintenant au ciel… (à ces mots il s’arrêta, fond
e dévouement à l’égoïsme ; on célèbre les sacrifices de la vertu, les
saintes
douleurs qui accompagnent l’accomplissement du de
propre main ; mais nous essuyâmes « nos larmes et nous dîmes avec le
saint
homme Job : Le « Seigneur me les a donnés, le Sei
euses du siècle, ils l’exposèrent couché dans son lit sur la tombe du
saint
, et firent un vœu solennel pour le rétablissement
devait songer qu’à paraître devant Dieu. Elle chercha dans la Vie des
Saints
, que ses filles avaient coutume de lui lire tous
ir vivre. Il avait obtenu du roi de Naples qu’il lui envoyât « le bon
saint
homme » François de Paule ; il le reçut comme le
ce confirmatrice de celle qui n’appartient qu’à lui, il a donné à ses
saints
le privilège de produire aussi dans la mémoire de
Passant, va dire à Sparte que nous sommes morts ici pour obéir à ses
saintes
lois. » Voilà encore l’obéissance, et non pas une
es les lumières, de toutes les certitudes, et, par elle, la force des
saints
, la force des apôtres et des martyrs, la force de
; inspire-moi Cette crainte vigilante Qui fait pratiquer ta loi. Loi
sainte
, loi désirable, Ta richesse est préférable A la r
ébranlée, Par ses cris impuissants573 : Tel aux premiers accès d’une
sainte
manie, Mon esprit alarmé redoute du génie L’assau
JOCASTE. Cet organe des dieux est-il donc infaillible ? Un ministère
saint
les attache aux autels ; Ils approchent des dieux
rtèrent jusqu’à moi cette voix effrayante : « Ne viens plus des lieux
saints
souiller la pureté : « Du nombre des vivants les
e ! Toi qu’un amour si tendre assurait à ma flamme, Qu’as-tu fait des
saints
nœuds qui nous ont enchaînés ? ALZIRE. O jours !
Né tendre et vif, mais encore innocent : Bref, digne oiseau d’une si
sainte
cage, Par son caquet digne d’être en couvent... A
s enchanteurs Dès que sa voix frappait les auditeurs. Orné, rempli de
saintes
gentillesses Que lui dictaient les plus jeunes pr
son monde édifié. Ainsi vivait dans ce nid délectable, En maître, en
saint
, en sage vénérable, Père Ver-Vert, musqué, pincé,
éduit, Mystérieux asile où l’espoir le conduit690 ; Il voit des vases
saints
et des urnes pieuses, Des vierges, des martyrs, d
onfiés au ministre du dieu, Vivaient de quelques dons offerts dans le
saint
lieu. Par des sentiers secrets fuyant l’aspect de
r L’harmonieux soupir de l’éternel amour, Les accents du bonheur, les
saints
concerts des anges Qui, dans le sein de Dieu, cél
; Dans ses sacrés tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les plus
saints
troublant le froid repos, J’ai pesé dans mes main
on descendra dans l’ombre de ton âme ; Peut-être que ton cœur, ému de
saints
transports, S’apaisera soi-même à tes propres acc
es étoiles.(Fragment.) Il est pour la pensée une heure… une heure
sainte
, Alors que, s’enfuyant de la céleste enceinte, De
ante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois
saint
, don d’une main mourante, Image de mon Dieu ! Que
tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir ! Les
saints
flambeaux jetaient une dernière flamme : Le prêtr
bans errer sur les créneaux ? Du profane étendard qui chassa la croix
sainte
Voyez-vous, sur les tours, flotter les crins mouv
t fumer l’encens, répond aux mots sacrés Et présente le vin durant le
saint
mystère772. Les rames de sa main s’échappent à la
nvertir les cœurs par le glaive et les flammes, Dans le temple où tes
saints
prêchaient la vérité, Où de leur bouche d’or desc
ce, relevez-vous.J’espère un bien si grand ! Comment m’abaisser trop,
saint
homme, en l’implorant ? FRANÇOIS DE PAULE. Que pu
s, Et je vous comblerai d’honneurs et de présents. Tenez, de tons les
saints
je porte ici les restes ! Si j’obtiens ces… vingt
ecours à la contrainte. Je suis roi : sur mon front j’ai reçu l’huile
sainte
... Ah ! pardon ! mais aux rois, mais aux fronts c
e le roi reste debout les mains jointes. Pécheur, qui m’appelez à ce
saint
ministère, Parlez donc. LOUIS, après avoir dit me
i marchait revêtu de housses violettes, Turpin 793 disait, tenant les
saintes
amulettes : « Sire, on voit dans le ciel des nuag
u ; « Suspendez votre marche : il ne faut tenter Dieu. « Par monsieur
saint
Denis, certes ce sont des âmes « Qui passent dans
désolé qu’il est ton cloître solitaire Est encore à mes yeux le plus
saint
de la terre : Aussi, quand l’œil du jour, de ses
uteneurs de leurs affreux desseins, O profanation ! Ils invoquent les
saints
! Barbares chevelus, hideuses Valkyries, Aux fure
es larges vaisseaux ouverts sur ces brisants, A vos fils dévoués, bon
saint
, sont vos présents. Ah ! Comme cette nuit, votre
, Si quelque démon vert ou gris ne nous empêche : Car, depuis que les
saints
sont par nous reniés, Sur la côte on ne voit que
a tempête ! C’est notre seigle, à nous ! C’est le blé destiné Par les
saints
de la mer aux enfants de Kerné ! » Comme le cormo
sa perte était proche820. Tous, se couvrant la face, invoquèrent leur
saint
. Des feux brillaient toujours sur la côte de Sein
pes sans nombre De la maison céleste, allume nuit et jour838 L’huile
sainte
de vie et d’éternel amour ? Crierons-nous à Tarqu
us le ciel de plus belles cités. Mais, rebelles aux lois de la nature
sainte
, Les peuples qui roulaient de l’une à l’autre enc
magnifique haillon ! Alors une clameur immense, universelle, Reçut le
saint
débris qu’apportait la nacelle ! De tous les lieu
reinte, d’un côté l’image de l’Agneau, et de l’autre celle de quelque
saint
. 86. « L’amour-propre d’auteur, dit Sainte-Beuve
ecture, nous citerons : dans la troisième partie : l’arrivée en Terre
Sainte
, Béthléem, la mer Morte ; dans la quatrième parti
drap d’or s’était levé, et l’on découvrit les ossements et les corps
saints
dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur
nt d’être partial en faveur des Vaudois, comme plus tard en faveur de
sainte
Thérèse et de saint Ignace de Loyola. C’est cepen
Odes sacrées, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des Livres
saints
. Nous renvoyons, pour la citation des textes que
ur d’Esther, acte I, scène, ii. 774. C’est-à-dire des paroles de tes
saints
. Le poète fait allusion au voyage de saint Paul à
son âme, il fit ôter ce mot de l’âme, disant que c’était assez que le
saint
lui fît recouvrer la santé du corps, sans l’impor
es services, fut inhumé dans le sépulcre des rois de Juda. À peine ce
saint
homme fut mort, que Joas se laissa séduire par de
monarque, qui les laissa sortir de ses États. C’est à la prière de ce
saint
conducteur du peuple de Dieu, que ce peuple toujo
ue à la main, et chaussée avec des brodequins. Thomas de Cantorbéry (
saint
), né à Londres l’an 1117, et dont le nom de famil
tôt quatre de ses gentilshommes passent la mer, et vont assassiner le
saint
archevêque au pied de l’autel, l’an 1170. Thrace
prisez qu’une pomme sauvage. On ne veut que l’argent, un mariage est
saint
, Est sortable et bien faict, quand l’argent est e
on onde Au demeurant des eaus qui sont dessus le monde… Tandis la
sainte
Nef sur l’échine azurée375 Du superbe océan navi
ssage… Qui sçait bien à part soy dans son cœur consulter Tousjours un
saint
conseil Dieu lui vient apporter. Sur tout ne sois
eux Glisser subtilement et se perdre en la nuë, Cette ame heureuse et
sainte
, aux mortels inconnuë, Coula d’un jeune cœur pour
ndre, Car je n’estois resté que pour cueillir ta cendre Et ta mémoire
sainte
orner comme je doy ; Maintenant que j’ay fait ce
leur insolence avoit fait souspirer754. (Poésies, LXIII). Les
Saints
Innocents755 « Que je porte d’envie à la tro
e l’objet et l’acteur de moi-même, Purgé de mes forfaits par l’eau du
saint
baptême, Qu’une céleste main m’a daigné conférer,
maîtres des rois ; ils sont pieux, augustes ; Tous leurs arrêts sont
saints
, toutes leurs lois sont justes : Ces esprits, dép
vers. Ô Christ, notre unique lumière ! Nous ne reconnoissons que tes
saintes
clartés ; Notre esprit t’est soumis ; entends not
esta un aimable poète. Ses poésies sont des Sonnets, Odes, Hymnes aux
saints
, Poèmes chrétiens, Paraphrases des psaumes de Dav
t en vers on n’a gardé mémoire que de son épopée de Saint-Louis ou la
Sainte
Couronne reconquise sur les Infidèles. Les pastic
es, Et ceux qui par leur sang ont cimenté la foi, L’adorent à genoux,
saint
peuple du saint roi… Au même tribunal où tout bon
par leur sang ont cimenté la foi, L’adorent à genoux, saint peuple du
saint
roi… Au même tribunal où tout bon il réside, La s
e de lui-même : On voit comme à l’envi les drapeaux ondoyans, Vers la
sainte
cité d’eux-mêmes se ployans ; Le cri des bataillo
arler1038. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre : L’Esprit
saint
me pénètre ; il m’échauffe et m’inspire Les grand
e ébranlée Par ses cris impuissans1051 : Tel, au premier accès d’une
sainte
manie1052, Mon esprit alarmé redoute du génie L’a
savonneuses, les collines pierreuses, une outre vineuse, le tissu des
saintes
mélodies, Et d’Hermus aux flots d’or l’harmonie
qu’ayant des yeux je traversai les flots ; « Car jadis, abordant à la
sainte
Délos, « Je vis près d’Apollon, à son autel de pi
Ainsi le grand vieillard, en images hardies, Déployait le tissu des
saintes
mélodies. Les trois enfants, émus à son auguste a
ar, disciple aimé des dieux ; « Des jeux, tous les cinq ans, rendront
saint
et prospère « Le jour où nous avons reçu le grand
e fois j’errai dans tes belles retraites, Auteuil ! lieu favori, lieu
saint
pour les poètes ! Que de rivaux de gloire unis so
nce), militaires (le Vieux Sergent, le Vieux Caporal), politiques (la
Sainte
Alliance des Peuples), sociales (Jeanne la Rousse
’avez retenue. De tous les souverains blessant la majesté, Malgré les
saintes
lois de l’hospitalité, Malgré la foi des gens et
LOUIS, au comte de Dreux. Ne vous y jouez pas, comte ; par la croix
sainte
! Qu’il me revienne encore un murmure, une plaint
r s’arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de
saints
concerts. Mais à ces doux tableaux mon âme indif
ranchant Pour ouvrir le sillon le guide au bout du champ. Ô travail,
sainte
loi du monde, Ton mystère va s’accomplir ; Pour r
e premier jour où la plaine S’entr’ouvrant sous sa forte main, But la
sainte
sueur humaine Et reçut en dépôt le grain ; Pour v
jamais du vil poids de son éorps, Va s’envoler aux dieux, et, dans de
saints
transports, Saluant ce jour pur, qu’elle entrevit
le prix du combat, la céleste couronne Qu’aux bornes de la course un
saint
juge nous donne, La voix de Jupiter qui nous rapp
Moab couvrant la vaste enceinte, Pressés au large pied de la montagne
sainte
, Les enfants d’Israël s’agitaient au vallon Comme
lampes sans nombre De la maison céleste, allume nuit et jour L’huile
sainte
de vie et d’éternel amour ? Crierons-nous à Tarqu
que soit le souci que ta jeunesse endure, Laisse-la s’élargir, cette
sainte
blessure Que les noirs séraphins t’ont faite au f
omb leurs vitres exiguës, Légendes du vieux temps où les preux et les
saints
Se groupent dans l’ogive en fantasques dessins, A
isit le cercueil ; Puis venait un enfant qui, d’espace en espace, Aux
saintes
oraisons répondait à voix basse ; Car Louise étai
jour mes yeux battus d’un si long vent, Je veux faire à tes bords un
saint
pèlerinage, Revoir tous les buissons si chers à m
Marchant où l’appelait l’esprit de vérité, Porter dans les déserts sa
sainte
oisiveté ! Cueillez-y sur ses pas les fleurs imma
grands dieux1475 « Mais c’est la pauvreté qui par moi vous profane,
Saints
temples des forêts, arbres que j’aime en vain ! P
e, en tout lieu. Il faut, pour lui forger une armure complète, Que la
sainte
nature aide l’esprit de Dieu. Allons nous ravive
n’est qu’en l’outrageant qu’on s’incline sous elle ; Mais le pontife
saint
, fort de la vérité, Dans les rébellions marche ve
eillissez-moi du récit de nos gloires ! — Non, tu n’es pas flétrie, ô
sainte
liberté, Par les crimes commis sous ton nom empru
vous estes l’image, et porter au milieu De vostre cœur son nom et sa
sainte
parole. Comme le seul secours dont [par lequel] l
ncore, Bergeries, IV : O champs plaisans et doux ! ô vie heureuse et
sainte
! Où, francs de tout soucy, nous n’avons point de
terre et les cieux s’enfuiront devant toy, En te voyant si grand, si
saint
, si redoutable, Les anges fremiront au regard de
is me seribere plures Aut citius possit versus ? 629. 1° Actes des
saints
à lire (legenda) jour par jour ; 2° récits mervei
itre : Pensées de la reine de Navarre estant en sa… 703. La semaine
sainte
. 704. Affirmer. 705. Vers écrits en vue des côt
ques belles stances, par exemple : Heureux sont les mortels dont les
saints
artifices Ont lavé les péchés par des pleurs assi
mon trône au dessus du soleil, Et prés de l’aquilon, sur la montagne
sainte
, J’irai m’asseoir sans crainte ; À mes pieds trem
ur du sujet, mais que la supériorité reste à Chapelain. … Et dans le
saint
olympe où la divine essence Étale sa grandeur et
amour, avec l’intelligence, Unis et divise composent son essence. Ses
saints
, dans les douceurs d’une éternelle paix, D’un tor
Dieu : C’est le sacré lien de la société, Le premier fondement de la
sainte
équité, Le frein du scélérat, l’espérance du just
des Essais de littérature et de morale (1736), et un Panégyrique des
Saints
(1755). 1084. Nous abrégeons beaucoup le récit d
culeuses le fit appeler par Louis XI, qui espérait que les prières du
saint
prolongeraient sa vie. Il ne se rendit en France
éonidas, de Caton d’Utique, de Jeanne d’Arc, de Bayard, de Corneille,
sainte
Elisabeth, de sainte Victoire, des sapins, d’une
tique, de Jeanne d’Arc, de Bayard, de Corneille, sainte Elisabeth, de
sainte
Victoire, des sapins, d’une fleur de bruyère, des
frôlement d’un lourd manteau de soie, Tout cela dans son cœur met une
sainte
joie. (Vers la Saint-Jean, II, 9.) Dans cet or
, qui sacrifie un honnête et ardent amour pour le suivre à Rome où le
saint
office le cite à comparaître. À Rome (acte IIIe),
s n’en sont pas justes et décidés, tout l’effet est perdu. La tribune
sainte
est pour l’éloquence un théâtre auguste, d’où ell
sur l’oreille un effet désagréable. Vers de douze syllabes. Du lieu
saint
à pas lents je montais les degrés Encor jonchés d
es honneurs qu’il a trop mé — rités. -- Fuyez de mes plaisirs la
sainte
aust-erité ; Tout respire ici Dieu, la paix, la v
e. Pourquoi le même poète n’a-t-il pas dit, dans Athalie ? Le peuple
saint
en foule inondait les portiques Du temple orné pa
éprochables. Du temple orné partout de festons magnifiques Le peuple
saint
en foule inondait les portiques. 2. L’hiatus est
arleraient tout seuls ; notre cœur s’échapperait malgré nous-mêmes en
saintes
effusions, comme celui de la mère de Samuel devan
us n’aurez jamais ces effusions de cœur, cette douce confiance, cette
sainte
liberté que la familiarité toute seule donne, et
s pour le reste de l’empire un exemple d’impunité bien dangereux ? Le
saint
évêque s’empresse de prévenir cette objection par
récompenses dans une autre vie. Enfin, pour donner à ses paroles une
sainte
autorité, l’orateur quitte le ton suppliant, et s
ureux compatriotes, remplit une mission de charité, bien digne de son
saint
ministère ; il ne se dissimule pas toute la gravi
ose le dire, grand prince, si vous nous pardonnez, nous devrons notre
saint
à votre indulgence ; mais vous devrez à notre off
des méchants arrêter les complots. « Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, « Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai point d’au
s plus solennels, que nous avons donné à Annibal les marques les plus
saintes
d’une amitié inviolable ; et, sortis à peine de c
informe sur sa mort, comme s’il s’agissait de la profanation des plus
saints
mystères. » Enfin, elle reparaît dans la pérorai
grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
; heureux si, averti par ces cheveux blancs du co
usseau a si bien peint dans ces vers : Tel, aux premiers accès d’une
sainte
manie, Mon esprit alarmé redoute du génie
n du psaume 103113 par Lefranc de Pompignan : Inspire-moi de
saints
cantiques, Mon âme ; bénis le Seigneur.
leur objet : Le cantique est une pièce lyrique consacrée à Dieu, à la
sainte
Vierge, aux anges ou aux saints, ou contenue dans
pièce lyrique consacrée à Dieu, à la sainte Vierge, aux anges ou aux
saints
, ou contenue dans nos livres sacrés : le cantique
ne, Et je ne regarde Pauline7 Que comme un obstacle à mon bien.
Saintes
douceurs du ciel, adorables idées1, Vous rempliss
u supplice pour intimider Polyeucte. 3. Ruses de l’enfer. Voilà une
sainte
colère. 4. Je n’adore qu’un Dieu. C’est le Cred
sont levés pour honorer sa vie : Eh bien, qu’à leur exemple, ému d’un
saint
transport. Le peuple devant lui se lève après sa
t la sauver, seigneur, j’allais moi-même Répandre sur son front l’eau
sainte
du baptême, Lorsque les Sarrasins, de carnage fum
plusieurs conquêtes. 1. Allusion aux victoires de Taillebourg et de
Saintes
, remportées par le roi de France Louis IX, en 124
mais laissé ses cendres en repos, Si Dieu lui-même ici de son ouaille
sainte
A ces loups dévorants n’avait caché les os1.
res, Un œil chaste, un front sans souillures, Comme, aux approches du
saint
lieu, Des enfants, des vierges voilées, Jonchent
mais comme images du Dieu qu’elle adore. Elle a pour chacun d’eux un
saint
respect qui les lui rend tous vénérables, comme r
enfants, ou comme étant capable de l’être. Ce sont ces raisons toutes
saintes
qui, depuis que Dieu s’est fait homme pour le sal
ne sais quoi de céleste. Elle crut, c’est elle-même qui le raconte au
saint
abbé : écoutez, et prenez garde surtout de n’écou
voleurs sans dérober et des meurtriers sans verser de sang. Tous les
saints
Pères disent d’un commun accord que ce riche inhu
ller sur vous une rosée rafraîchissante ; leurs côtés revêtus, dit le
saint
prophète, leurs entrailles rafraîchies, leur faim
trailles rafraîchies, leur faim rassasiée, vous auraient béni ; leurs
saints
anges veilleraient autour de votre lit comme des
nous en donner l’exemple, et il n’a tenu qu’à nous, les voyant en ce
saint
jour au pied de l’autel adorer Jésus-Christ sur l
es vertus, combien de confesseurs, combien de martyrs, combien d’âmes
saintes
dévouées à son culte, combien de disciples zélés
x. Il faut qu’elle déchire notre chair, cette chair de péché, par les
saintes
rigueurs de la pénitence. Car pourquoi ce Dieu mo
cles qui vivront éternellement ; c’est là que régnait avec majesté la
sainte
discipline, modèle après lequel nous soupirons en
ieux de la religion, quand il avait déshonoré la majesté de la parole
sainte
, en y mêlant, ou des termes barbares qu’on n’ente
éprouvés. Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée
sainte
, car ils en seront retranchés au grand jour. Para
core renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus
saintes
, aux plus inébranlables vérités. À cette lutte, q
irent. Besançon ne demanda pour capitulation que la conservation d’un
saint
suaire fort révéré dans cette ville ; ce qu’on lu
nge, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement454. Les
Saints
Innocents455. Que je porte d’envie à la troup
is-moi d’un esprit qui me fasse comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes
saintes
volontés, Et réduis mes désirs au seul désir d’en
Par ses cris impuissants759 : Tel aux premiers accès d’une
sainte
manie, Mon esprit alarmé redoute du génie
éternelle ! Un peuple de brigands, sous un chef infidèle, De ses plus
saints
remparts détruit la sûreté ; Et le mensonge impur
e leurs mains, en ruines fécondes, Osèrent, du Jourdain souillant les
saintes
ondes, Profaner le tombeau du fils de l’Éternel,
ivrance augustes monuments ; Et d’un nouveau David la valeur noble et
sainte
Semblait dans leur enceinte D’un roya
, XI. Hermès842 (fragment). Les Législateurs. Voyez ces hommes
saints
, ces sublimes courages, Héros dont les vertus, le
-on, ces pères des humains, Dont le nom aux autels remplit nos fastes
saints
; Avoir amis, enfants, épouse belle et sage ; Err
ses divisions, ses preuves, ses images. « Au lieu de citer les livres
saints
en fastidieux érudit, remarque avec raison le car
ce roi, pour parler avec M. de Chateaubriand, qui, placé au rang des
saints
, est devenu pour la France une espèce de roi éter
plus de simplicité, mais aussi avec plus d’onction, des beautés de la
sainte
Écriture en général : IIIe des Dialogues sur l’él
emploi très rare. 466. Voir l’hymne que chante l’Église le jour des
Saints
Innocents : Salvete, flores martyrum, In lucis i
, res. Joinville, au commencement de ses Mémoires sur Louis IX : « Ce
saint
homme aimait et craignait Dieu sur toute rien » ;
673. Molière, mort excommunié comme comédien, ne fut inhumé en terre
sainte
que grâce à la volonté expresse de Louis XIV. 67
, plus étonnant encore, du génie de Racine avec le sublime des livres
saints
. Au-delà il n’y a rien. » 748. Plusieurs biogr
aux peuples les vérités augustes de la religion, et qu’elle loue les
saints
et les héros ; soit que, dans le sanctuaire de la
ux, dit à la muse qu’il invoque : Ose répandre encor sur ces vérités
saintes
, Les voiles enchanteurs de tes images feintes. La
r, qu’en recueillant ces termes nobles et expressifs, dont l’Écriture
Sainte
se sert, pour louer la vie et déplorer la mort du
les ignorances des sens, les ténèbres mêmes, si je l’ose dire, et les
saintes
obscurités de la foi ? Que deviennent alors ces b
grand Prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne
sainte
. Heureux, si averti par ces cheveux blancs, du co
x. Art poétique. § II. Historique de la pastorale. L’Écriture
sainte
nous offre d’admirables modèles de la vie pastora
le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple
saint
en foule inoudait les portiques… Mais lui-même ét
a vîmes séchée ; et ces fortes expressions, par lesquelles l’Ecriture
sainte
exagère l’inconstance des choses humaines, devaie
. Règne, ô Père éternel, Fils, sagesse incréée ; Esprit
saint
, Dieu de paix, Qui fais changer des temps l’incon
s. Règne, ô Père éternel, Fils, sagesse incréée, Esprit
saint
, Dieu de paix, Qui fais changer des temps l’incon
en priant ; L’enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poëtes
saints
! la grave causerie S’arrête en souriant. Il
is-moi d’un esprit qui me fasse comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes
saintes
volontés, Et réduis mes désirs au seul plaisir d’
t qu’aux champs Idumées2 Qu’il a son trône établi : De cette demeure
sainte
Il marche, et porte la crainte Au front des plus
el coup vous venez de frapper ! O Eternel ! veillez sur elle. — Anges
saints
! rangez à l’entour vos escadrons. — O Dieu terr
ays m’emploie, J’accepte aveuglément cette gloire avec joie. Ce droit
saint
et sacré rompt tout autre lien ; Rome a choisi mo
le serment prend une forme religieuse par Y invocation de Dieu ou des
saints
. O vierge sainte, plutôt mourir que de perdre l’
ne forme religieuse par Y invocation de Dieu ou des saints. O vierge
sainte
, plutôt mourir que de perdre l’innocence (H. l’
sté dans le style consiste à parler dignement et gravement des choses
saintes
et de tout ce qui a droit à nos hommages et à nos
i des méchants arrêter les complots, Soumis avec respect à sa volonté
sainte
Je crains Dieu, cher Abner et n’ai point d’autre
c’est ordinairement ce qui arrive quand on parle dignement des choses
saintes
. On verra ensuite que ces vers contiennent l’enth
œurs, et la loi révélée, écrite et consignée dans le dépôt des livres
saints
: ses clients, la nature, dont il défend les droi
es larcins3, Vient cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voiles
saints
. Adieu, chapelle qui protége Le pauvre contre s
voyage : Je vais en Égypte. Cette allusion à la fuite en Egypte de la
sainte
Famille signifiait clairement : Je fuis mes persé
sté dans le style consiste à parler dignement et gravement des choses
saintes
et de tout ce qui a droit à nos hommages et à nos
sur l’oreille un effet désagréable. Vers de douze syllabes. Du lieu
saint
à pas lents je montais les degrés Encor jonchés d
i les honneurs qu’il a trop mé — rités. —— Fuyez de mes plaisirs la
sainte
aust — érité ; Tout respire ici Dieu, la paix, la
ie. Pourquoi le même poète n’a-t-il pas dit dans Athalie ? Le peuple
saint
en foule inondait les portiques Du temple orné pa
éprochables. Du temple orné partout de festons magnifiques Le peuple
saint
en foule inondait les portiques. 2. L’hiatus est
es fables, les emblèmes des anciens sages et les paraboles des livres
saints
. Les auteurs de l’Encyclopédie ont, à l’imitation
ipe, entouré. Cinq, adj. numéral. Sain, adj. en bon état, salubre.
Saint
, adj. béatifié, consacré. Sein, n. m. partie du
i des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté
sainte
, Je crains Dieu, cher Abner, et n’ai pas d’autre
uspende l’hémistiche, — en marque le repos. Partout déjà, — sous la
sainte
bannière, Vont s’enrôler — les soldats de la croi
urra, grand Dieu, pénétrer Ce sanctuaire impénétrable, Où tes
saints
inclinés, d’un œil respectueux, Contemplent de to
— Aude répond : « Ce mot m’est étrange. — Ne plaise à Dieu, ni à ses
saints
, ni à ses anges, — après Roland que vivante je de
Or vous pri jou humblement et requier en propre don que, pour le fil
sainte
Marie et pour l’amour de mi, vous voelliés avoir
humblement et vous demande en présent personnel que, pour le Fils de
sainte
Marie et pour l’amour de moi, vous veuillez avoir
-1587) Né dans le diocèse d’Agen, Bernard Palissy a surtout vécu à
Saintes
jusqu’au moment où, inquiété et arrêté comme prot
u de mes chausses367. Je m’allais souvent promener dans la prairie de
Saintes
, en considérant mes misères et ennuis, et, sur to
personne cet avertissement ; mais se promenant l’endemain425 au mont
sainte
Catherine426, d’où se faisait notre batterie à Ro
ures Paris parut plus tranquille que je ne l’ai jamais vu le vendredi
saint
. (Mémoires, IIe partie.) La Rochefoucauld (
compassion765. » (Politique tirée des propres paroles de l’Écriture
sainte
, livre I, article ii.) La bonté Loin de nou
Dieu tout le mal que vous souffrez, et remettez-vous entièrement à sa
sainte
volonté. Assurez-vous qu’on ne peut pas vous aime
es ; à me faire frottes depuis la tête jusqu’aux pieds, de l’huile de
sainte
ampoule932, et à faire des pèlerinages où je prét
été guéri. Vous avez fait mention de ma barrette933 chargée de petits
saints
et de ma petite Notre-Dame de plomb, que je baisa
cieux, les anges, les trônes, les chérubins, te proclament trois fois
saint
, Seigneur, Dieu des armées ! » Les évêques chanta
on pays, et bientôt serait infailliblement une loi de l’humanité ! Le
saint
vieillard, absorbé déjà dans les pensées éternell
l’avait fixée à la proue pour la protéger contre le mauvais temps. O
saint
impitoyable ! Comment est-il montré reconnaissant
deux rochers, un éclat du bateau laissé à sec par une lame, voilà le
saint
! » La pauvre femme oublia toute sa colère et tou
elle part du sillon comme une flèche, porte au ciel l’hymne de joie.
Sainte
poésie, fraîche comme l’aube, pure et gaie comme
ira après avoir subi toute la série des tourments. De toute la troupe
sainte
il ne restait plus que Blandine. Elle triomphait
le drapeau ; mais le drapeau, c’est tout pour l’homme qui comprend le
saint
mot de patrie. Et dire qu’au printemps de 1870, i
is du droit chemin. Non certes que les écoliers soient tous de petits
saints
: si je vous1746 le disais, je perdrais votre con
de toutes les vieilleries. Il riait des antiques plats à barbe et des
saints
évêques dont le nez était cassé. Fontanet était d
t vous êtes l’image, et porter au milieu De votre cœur, son nom et sa
sainte
parole, Comme le seul secours dont1983 l’homme se
is-moi d’un esprit qui me fasse comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes
saintes
volontés, Et réduis mes désirs au seul désir d’en
à-bas entre elles se demandent S’il est fête au village, et pour quel
saint
nouveau2406 On les laisse aujourd’hui si longtem
te parler. Mes chants vont seconder les accords de ma lyre : L’Esprit
saint
me pénètre, il m’échauffe, il m’inspire Les grand
Louis, debout. J’espère un lien si grand ! Comment m’abaisser trop,
saint
homme, en l’implorant ? François De Paule. Que pu
s, Et je vous comblerai d’honneurs et de présents. Tenez, de tous les
saints
je porte ici les restes2640 : Si j’obtiens ces… v
des larcins, Vient cacher sa jeune couvée Dans les plis de tes voiles
saints
. Adieu, chapelle qui protège Le pauvre contre ses
i marchait revêtu de housses violettes, Turpin2675 disait, tenant les
saintes
amulettes2676 : « Sire, on voit dans le ciel des
i Ne reverra jamais son vieux père endormi ! Hélas ! il a perdu cette
sainte
défense Qui protège la vie encore après l’enfance
uisit le cercueil ; Puis venait un enfant qui d’espace en espace, Aux
saintes
oraisons répondait à voix basse ; Car Louise étai
nt funeste et d’autant plus perfide, Que j’eus dans tous les temps la
sainte
horreur du vide2769, Et qu’après le combat je rêv
on habit vert, et de me mettre en noir. Laerte. Non, de par tous les
saints
, non, je vous remercie. La peste soit de vous ! Q
e des ancêtres Vierge des pas2824 d’un conquérant ; Quand, la liberté
sainte
aux flots des mercenaires2825, Opposant ses trois
eu le deuil, et vous aurez l’honneur. Prononcez mieux que nous2835 ce
saint
nom : la Patrie ! Osez enfin tout haut vous procl
tager une suprême étreinte Avec l’aîné d’entre eux, une âme droite et
sainte
, — Un homme enfin, — le seul de son nom qui restâ
Toi, jeune et belle encore, au travail t’obstinant, Plus tu me parais
sainte
, héroïque, adorable, D’être si vertueuse étant si
, — C’est grâce à toi, Gérald, que, dans un jour plus beau, Le glaive
saint
ira le rejoindre au tombeau ! Sois donc glorifié,
nnait quatre petites pièces, Tobie (1887), Noël (1890), la Légende de
Sainte
Cécile (1892), les Mystères d’Eleusis (1894), d’u
nom de Blanche-Villon désigne peut-être Blanche de Castille, mère de
saint
Louis. 77. Avec une voix de sirène. 78. Berthe
arlé en effet de la parcimonie du roi dans son habillement. 932. La
sainte
ampoule était une petite fiole (c’est le sens du
mais ne sont cités ici que [...] volontaires et plus ou moins graves.
Saint
[...] en 286 ; saint Victor, en 303 ; Gervais et
mépris. 2202. Enchâsser, mettre en châsse, comme les reliques d’un
saint
. 2203. Allusion au couplet suivant d’une chanso
05. L’aune, ancienne mesure qui équivaut à lm, 20. 2406. Pour quel
saint
nouveau, quel est le saint dont on a décidé tout
e qui équivaut à lm, 20. 2406. Pour quel saint nouveau, quel est le
saint
dont on a décidé tout d’un coup de célébrer la fê
r que la cour de Rome qui canonise, peut bien, à sa volonté, déclarer
saints
un plus ou moins grand nombre de personnes. Franç
s. François de Paule fut réellement canonisé en 1519. 2642. L’huile
sainte
, l’huile du sacre. Le sacre était la cérémonie pa
nctions avec l’huile contenue dans un vase consacré qu’on appelait la
Sainte
Ampoule (du latin ampulla, vase, flacon). 2643.
y peut plus rentrer, dès qu’on en est dehors. (Sat., X.) 2769. La
sainte
horreur du vide. Expression piquante, empruntée a
et riante Italie m’offrit la foule de ses chefs-d’œuvre. Avec quelle
sainte
et poétique horreur j’errais dans ces vastes édif
; Dans ses sacrés tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les plus
saints
toublant le froid repos, J’ai pesé dans mes mains
uples. Sur ce, je prie Dieu, monsieur mon frère, qu’il vous ait en sa
sainte
et digne garde. De Votre Majesté, le bon frère, N
e n’étant à autre fin, je prie Dieu qu’il vous ait, ma cousine, en sa
sainte
et digne garde. En mon camp impérial de Colditz,
ui-même ! Toujours environné de ces censeurs rigoureux, et plein d’un
saint
respect pour le tribunal devant lequel il doit pa
ance, c’était une aliénation24 de sens, une maladie surnaturelle, une
sainte
, une divine fureur. Aussi les païens s’en étonnai
pécher contre le Saint-Esprit si je tâchais à vous détourner d’une si
sainte
résolution61 ; même vous devez pardonner à mon zè
’être éternelle, et d’être la vie de Dieu ; mais surtout qui voit les
saints
tellement ravis de ce divin exercice de connaître
, se signalèrent entre les autres à citer les plus beaux endroits des
saints
Pères à la louange des grands jours, et firent vo
ensurées ? combien d’intentions droites mal expliquées, et combien de
saintes
actions empoisonnées ? Sermon sur le jugement de
ésormais une vie plus tranquille, c’est-à-dire plus régulière et plus
sainte
, Je sens que mon corps s’affaiblit et tend vers s
, à mesure qu’ils étendent les connaissances ; au lieu que l’Ecriture
sainte
inspire l’humilité à ceux qu’elle instruit. Mais
la plus ancienne histoire qui soit parmi les hommes après l’Écriture
sainte
. Il me semble qu’à votre âge il ne faut pas volti
éprouvés. Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée
sainte
; car ils en seront retranchés au grand jour : pa
e que le juste est alors comme un autre Moïse mourant sur la montagne
sainte
, où le Seigneur lui avait marqué son tombeau : le
u repos que le Seigneur lui montre de loin, et il regarde la montagne
sainte
où il va expirer, comme la récompense de ses trav
les collines bondiront et vous entendront avec joie. » L’étendard des
saints
, antique bannière des temps chevaleresques, ouvre
leur langue mystérieuse. Il y a écrit au firmament son nom trois fois
saint
. Gloire à Dieu dans les hauteurs des cieux. Il l’
devait songer qu’à paraître devant Dieu. Elle chercha dans la Vie des
Saints
, que ses filles1702 avaient coutume de lui lire t
mbres des ponts supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture
sainte
avec les femmes des officiers et des passagers. P
e. Saluez-le donc en passant, et qui que vous soyez, chrétien et même
saint
, aimez entendre à votre oreille, et surtout au fo
eurs ; les principales, en le descendant à la fosse, lui ont donné de
saints
baisers, et toutes ont chanté jusqu’à la fin la p
du chêne antique que hantaient jadis les fées ; qui ne méprise pas le
saint
du lieu et le miracle d’hier qu’on en raconte ! C
je lis cette prière : « Je vous offre, mon Dieu, la traduction de ce
saint
et admirable livre ; je ne l’ai pas entreprise po
n’ai eu d’autre dessein que de mettre, plus avant dans l’esprit, les
saintes
instructions qui y sont répandues, par l’attentio
: voilà à peu près la règle de notre couvent ; il y a sur la porte :
Sainte
liberté, ou fais ce que tu voudras. J’aime cent f
eux, tous les traits éclatants De l’histoire profane et de l’histoire
sainte
: De tant d’enseignements l’impuissante langueur
était moins un homme qu’une nature humaine, avec la tempérance d’un
saint
, la justice d’un évêque, la prudence d’un docteur
de même, cette souveraine bonté assurera le nid de nos cœurs pour son
saint
amour, contre tous les assauts du monde où il nou
nous-mêmes, jusque dans le renoncement à nous-mêmes, jusque dans les
saintes
rigueurs que Dieu nous inspire d’exercer sur nous
lieu de paître des brebis, il paît des hommes. Paître dans la langue
sainte
, c’est gouverner, et le nom de pasteur signifie l
altérées, D’un nectar éternel ne sont pas enivrées, Mais où les mânes
saint
, les immortels esprits, De leurs corps immolés vo
familière. 875. Cette expression est une réminiscence de l’Écriture
sainte
. 876. Fénélon était le plus tendre, le plus indu
nels ? « Voici, messieurs un grand spectacle : venez considérer les
saints
anges dans la chambre d’un mauvais riche mourant.
grande ère de l’éternité. Un prêtre assis à son chevet le console. Ce
saint
ministre s’entretient avec l’agonisant de l’immor
spect d’un beau paysage je me sens ému, sans pouvoir dire de quoi. Un
saint
évêque trouva une vieille femme qui, pour toute p
vers de Lamartine sur la Prière. En voici quelques-uns : Où sont les
saints
concerts ? D’où s’élèvera l’hymne au roi de l’uni
ne est justement vantée ; De baptêmes et de patrons ? Il a ses quatre
saints
et vous cite leurs noms ; De vos amis ? les siens
fertiles de Magdebourg, qui étaient autrefois le domaine de plusieurs
saints
archevêques, et qui se couvrent aujourd’hui des p
e les vices en général et contre les personnes ; les panégyriques des
saints
, les oraisons funèbres, les éloges, les complimen
sir et de bonheur. De là ces allusions si fréquentes, dans les livres
saints
, à une terre aride et brûlante, où il n’y a point
acrée raconte les faits relatifs à la religion : on la nomme histoire
sainte
quand elle renferme les événements religieux anté
ez voir et compter ces opinions dans les livres de la Cité de Dieu de
saint
Augustin2. Jésus-Christ a ainsi traité les sages
core renouveler les opinions humaines ; il déclara la guerre aux plus
saintes
, aux plus inébranlables vérités. A cette lutte, q
ture. Tout enfant, il lisait avec une curiosité passionnée la Vie des
saints
ou le récit des travaux apostoliques des jésuites
pécher contre le Saint-Esprit si je tâchais à vous détourner d’une si
sainte
résolution1 ; même vous devez pardonner à mon zèl
mes pieux où se déroulait, sous une forme saisissante, l’histoire des
saintes
croyances qui remplissaient leur âme. Aussi on fu
an, exaltaient tour à tour, en se donnant la réplique, les mérites du
saint
que l’on fêtait ; ou bien, le jour de l’Ascension
s yeux ce que son intelligence eût dédaigné ; diriger vers les choses
saintes
le goût des représentations païennes, qui était r
miracles, suivant qu’ils étaient tirés des Écritures ou de la vie des
saints
. Le plus ancien de tous est le mystère intitulé l
arut peu à peu l’intérêt qui s’attachait naguère aux drames tirés des
Saintes
Écritures. Bientôt, ce théâtre semi-barbare excit
te (1640), et Théodore (1644) furent toutes deux tirées de la Vie des
Saints
; par là Corneille se montrait le continuateur de
le ardente et inspirée ; il n’hésite pas à engager, dans cette guerre
sainte
, jusqu’à son honneur même, et reçoit l’or du roi
aire de ses capacités et de ses mérites. C’est un dignitaire de notre
sainte
Église, que Votre Majesté connaît depuis plusieur
é. Sa mémoire reste donc pure et glorieuse, et Bossuet le compare aux
saints
pénitents qui ont mérité et obtenu la divine misé
hat vivant comme un dévot ermite, Un chat faisant la chattemitte2 Un
saint
homme de chat, bien fourré, gros et gras, Arbitre
s : L’une fait tort à l’autre, et monsieur le curé De quelque nouveau
saint
charge toujours son prône. » Le financier, riant
leurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits
saints
. L’âne vint à son tour, et dit : « J’ai souvenanc
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